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#comment le fair revenir d une autre
babavigantrom1 · 2 years
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Jeter un sort d'amour a un homme ; CANARIS SECRET D'AMOUR - Comment récupérer mon ex dans les bras d'une autre, Rituel pour faire revenir son l'être aimé.
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CANARIS SECRET D'AMOUR - Comment récupérer mon ex dans les bras d'une autre, Rituel pour faire revenir son l'être aimé. Tel : +229 61 70 70 82. Le canaris secret d'amour faire revenir son l'être aimé.
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coquillevide · 9 months
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Je n' arrive pas a dormir..
Il est 23h26 et impossible de trouver sommeil.
Cela me soule car demain j' aimerais me lever tôt, c est a dire être en forme a 6h.
Depuis que je suis partie à l' étranger j ai beaucoup de problème avec le sommeil.
Si il y a des gens qui ont des conseilles..
En attendant je vais rendre utile ces heures.
Je vais continuer de lire le livre de Simone de Beauvoir, le deuxième sexe tome I.
Je me sens paumé dans cette lecture, j essai de faire un peu d esprit critique mais je ne suis pas très doué pour ça, je pense qu il faudrait que je lise des livres qui contredisent ses propos et me faire un avis mais c est dure pour moi je n ai pas confiance en moi, en mes pensées.
Ses propos historique il faut que je les prennes avec des pincettes.
Pareil pour la biologie la psychologie.
J ai l impression que ce livre est fait pour des personnes qui ont déjà quelques connaissances général, pour l aspect biologie et psychologie.
C est un livre pour moi ou il faut faire plus de recherches de son côté.
Il y a certains passages où il faut avoir des connaissances en philosophie comme par exemple quand elle fait référence a la dialectique de l esclavage.
Et j ai été deçu, je m attendais a autre chose de ce livre, j attendais un texte qui expliquait celon l auteur ce que cela signifie pour elle être une femme.
Avec bien-sûr sa vision de la chose sur ses propos historiques et autres, mais au lieu de ça je n' ai eu que des propos de pourquoi la femme est autre, pourquoi elle se définit a travers l homme. Que sans homme elle n a pas d unité.
Ok mais comment faire par la suite ?
J ai malgres tout un propos qui m a marqué et qui reste au fond de ma tête.
Celui que finalement on pourrait expliquer le fait que la femme est un humain et comme l homme elle a besoin de faire ce monde soi, de se l appartenir de le modifier, de découvrir des choses, mais malheureusement par sa réalité biologique qui est celui d enfanter elle n a pas pu se réaliser comme l homme dans l humanité. ( C est un passage qu elle explique dans la période prehistorique )
Ce qui peut expliquer pourquoi la femme veut tant être comme un homme.
Et là on pourrait revenir à mon propos précédent et dire que j' ai la réponse pour devenir ce qu est l autre. Une humaine qui ne se réalise pas car sa réalité biologique qui l'appelle a enfanter.
Mais dans tout les cas même si ce que je dis est vrai, avec tout ces années il doit bien y avoir une façon de se voir en tant que femme ?
Et je pensais que Simone allait apporter une pensée là dessus.
Alors que finalement elle ne fait que victimiser la femme sur ce qu elle ne peut pas être.
Je ne veux pas définir la femme que par la maternité et je pense qu il y a une façon de définir la femme sans que se soit du copier coller sur un homme mais je n ai toujours pas trouvé cette définition.
Il me reste la fin du livre a lire a voir par la suite.
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rown-cheese · 2 years
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Mes dessins de 2022 (partie 1)
J’ai fait beaucoup de dessins en 2022, parce que j’ai dessiné beaucoup de petits trucs, ahah, alors je vais partager tout ça en plusieurs fois.
Commençons par le commencement! Ça ne sera pas complètement dans l’ordre chronologique mais pratiquement 
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Tout d’abord, j’ai fait une série de mini-portraits, d’abord pour diversifier les personnages que je dessinais, ensuite parce qu’on m’a dit “un qui est-ce RPZ, ce serait drôle” et que je l’ai pris 1er degré mais j’ai vite lâché à cause de ma difficulté à rester focus en dessin, ahah...
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Toujours en début d’année, j’ai joué à Gris, un superbe jeu, et comme j’aime très fort Sarah Carter, j’ai vu une similitude entre le personnage et la protagoniste du jeu. Ainsi, je me suis amusé à dessiner Sarah habillée comme si c’était elle, la protagoniste. Je suis plutôt fier de ce dessin! :D Je me suis amusé à le faire aussi, un vrai plaisir (à la base, je voulais faire quelque chose de plus complexe mais je me suis déjà mas mal défoulé avec ce dessin, ahah
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Il est connu que M.T. est HC comme ultra grand dans RPZ, et personnellement, je HC Thomas comme étant plutôt petit alors je me suis amusé à imaginer M.T. attrapant M.T. par le col pour le trimballer partout, parce que c’est marrant. Et donc, je l’ai dessiné!
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Kumiko est ma plus vieille OC à être encore vivante dans ma tête. À la base, elle était un self-insert dans Shugo Chara (donc ça me semblait logique d’avoir un nom japonais, vu que l’œuvre l’était, fallait être cohérent) puis elle est devenue son propre personnage
Je l’aime fort, et je suis désolé de la faire souffrir mais je ne sais pas comment la rendre heureuse, pas encore
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Sur le serveur RPZ, il y a un défi “Fashion catalog” auquel j’ai participé les deux fois. Voici ma première participation! J’ai eu à dessiner Daniel, dans une jolie robe de ballerine adorable et je me suis beaucoup amusé alors j’adore ce dessin!
Comme y’a beaucoup d’autres dessins encore, je vais revenir avec une autre partie très vite pour partager le reste
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claudehenrion · 2 years
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La nostalgie n'est plus ce qu'elle était. Ou le redevient ?
  Comme complément au ''billet'' d'hier relatif à ma manière de revivre les ''rêveries d'un promeneur solitaire'', un nombre inhabituel de mails me suggère de revenir sur la juxtaposition de nostalgie et mélancolie, spleen et tristesse, amertume et colère, ou conserver et sauver, le mot ''nostalgie'' paraissant  anachronique ou ''pas à sa place''.  Désireux de respecter notre si belle langue français (à laquelle j'inflige, ''à l'insu de mon propre gré'', plus de blessures que je ne le voudrais), j'ai un peu ''potassé'' le sujet... et je suis heureux de partager avec vous mes découvertes.
Première surprise, le mot ''nostalgie'' est tiré du jargon médical. Jusqu'à la fin du XIX ème siècle, il désignait une maladie, qui pouvait être mortelle, particulièrement chez les militaires (ce qui m'a remis en mémoire le ''blues'' profond de GI's, retour du ViêtNam ou d'Irak). Fouillant plus avant, on découvre que la nostalgie (c’est un néologisme créé en 1688 à partir du grec nostos (νόστος = le retour) et algos (άλγος = la douleur), définie comme un ''mal du pays'', était une véritable pathologie qui méritait une nosologie (Laennec n'est pas loin !), des soins cliniques, et parfois de la chirurgie (on frémit à la pensée des dégâts qu'une ablation (et de quoi, grands dieux ?) pouvait entraîner ! Elle frappait en priorité les militaires allemands, les marins hauturiers, ou les gardes suisses de Louis XVI, et c'est donc les médecins militaires (?) qui ont fait avancer (re- ?) la recherche sur ce mal très mystérieux.
Ils accumulèrent donc les explications (re-re- ?) atmosphériques, l'altitude, les ''humeurs'' –évidemment !--  voire même une ''dégénérescence raciale propre aux montagnards'', ce qui devenait problématique lorsqu'il fallait poser ce diagnostic sur des marins cap-horniers. Tout y passa, jusqu'à ''l'agitation d'esprit d'animaux'' --voir Molière : il a tout dit ! Mais pas moyen de comprendre et donc d'expliquer comment une ''affection morale'' ou une ''passion de l'âme'' pouvait précipiter à la mer des marins bretons ou aggraver la phtisie ou le scorbut. Le problème devint pressant après la Révolution, avec la levée en masse puis la conscription généralisée, qui ont fait passer cette affection d'individuelle à collective. On trouve des récits de soldats bretons en manque de leur langue gallèse (le ''Gallo''), d'ariégeois de la Garde bloqués en Pologne ou de ''conscrits de 1813'' qui voulaient revoir leurs Vosges... au point que cet orphelinat du ''pays'' réduisait force troupiers ''à l'état de 'végétation'' et poussait certains au suicide malgré les efforts de leurs officiers.
Ensuite, sans explication reconnue comme telle, cette ''maladie'' a régressé lentement au cours du XIXème siècle, même si elle a encore fait des ravages pendant la guerre de Crimée et désemparé les troupes coloniales, les ''colons'' alsaciens ayant fui la germanisation pour partir en  Algérie, et même les proscrits de Nouvelle Calédonie. On en trouve encore des traces pendant la guerre de 14-18, notamment chez des basques –pourtant si admirables au Chemin de Dames. Il semblerait qu'elle ait disparu –bien que le monde étant ce qu'il est, càd : fou, il ne faille jurer de rien ! Avec l'évolution du ''faire la guerre'', la Poste aux Armées, la multiplication des permissions ''de rentrer au pays'' et les progrès en matière de communications, la distance entre le passé et le présent a été réduite à presque rien (en revanche, je n'ai pas trouvé de traces sérieuses qu’auraient pu avoir smartphones et ordinateurs, autres que des enfoncements de portes ouvertes).
Dans la logique de certains de nos ''billets'' récents, il semblerait également que la standardisation massive des conditions de vie, l'aplatissement presque complet des différences régionales, l'alignement des paysages sur quelques modèles très standardisés (telle la généralisation des ''résidences secondaires''), la diminution sensible des accents régionaux, des particularismes, des vêtements traditionnels ou des cuisines typiques très ''marquées'', et la disparition des différences entre les paysages d'antan aient au moins eu une influence favorable –sur ce critère : la nostalgie n'est plus une maladie, ce serait un état d'âme finalement proche du romantisme. Comme quoi tout ne serait pas désespérément ''complètement noir'' dans le modernisme ! En tout cas, pas obligatoirement, et pas sur ce sujet précis !
Car le mot ''nostalgie'' est resté dans la langue courante, mais en changeant –pour partie-- de sens, comme c'est souvent le cas. La ''nostalgie'' aujourd'hui tend à désigner un sentiment diffus et assez mal défini qui serait une forme de regret des temps passés ou de lieux disparus ou lointains (en temps et en distance), mais auxquels on associe, souvent a posteriori, des sensations agréables. Le suffixe grec  ''-algie'' (= la douleur)  n'est plus là que par habitude, mais plus pour désigner un critère pénible de la chose, qui est plutôt devenue un sentiment agréable lié à un souvenir passé. Il s'agit principalement du regret mélancolique d'une chose, d'un état, d'une existence, ou d'une expérience que l'on a eue ou connue (désir d'un retour dans le passé), ou, à l'opposé, que l'on n'a pas eu ou pas connue, et qui vous manque (désir insatisfait). Ce manque est souvent provoqué par l'éloignement spatial et par le vieillissement qui crée un éloignement temporel qui peut être total.
La nostalgie peut se manifester dans des expressions telles que ''le bon vieux temps'', ou ''la belle époque'', ou bien –nous en parlons souvent-- ''c'était mieux avant'', mais la manière dont elle convoque le passé est souvent peu objective et peut relever d'un sentiment qui prétend que le passé était toujours mieux ou plus agréable que la situation actuelle et qui fait abstraction de ses éléments négatifs --qui ont existé. Dans la langue courante, on confond souvent la nostalgie avec le passéisme, qui est un attachement exclusif aux mœurs et aux valeurs du passé, et qui peut entraîner un repli sur soi à travers un désir profond de retourner vers des temps révolus. Mais autant le passéisme est une attitude fermée et quelque peu auto-destructrice, autant la nostalgie peut être vue comme un enrichissement qui ajoute les ''bonnes choses'' du passé à ce qu'il y a de bon dans le présent.
Et enfin, en fonction de principe de Lavoisier suivant lequel ''rien ne se crée et rien ne se perd, mais que tout se transforme'', je me suis demandé, à la fin de cette recherche rapide sur la nostalgie, si le désarroi qui frappe aujourd'hui toutes les strates de la société dans pratiquement tous les pays n'aurait pas des liens plus importants qu'à première vue avec un retour en force de l'ancienne ''nostalgie'' qui, frappant les ''exilés'' (qui sont des migrants qui ont réussi à ''passer''), les amène paradoxalement à reconstituer dans le pays d'arrivée les conditions de vie qu'ils ont fui... justement à cause d’elles ! Ce désir, difficilement compréhensible mais pourtant violent au point de sauter une ou deux générations, de vouloir recréer, subconsciemment mais mensongèrement, ce qu'ils ont fui pourrait être expliqué en partie par le retour subreptice de cette ancienne forme de nostalgie qui reprendrait du service pour détruire nos villes et nos campagnes alors qu'on la croyait morte.
Cette hypothèse fournirait l'explication manquante aux horreurs qui ponctuent de plus en plus nos jours et au dépassement de toute ''norme'' admissible dans le processus en cours, d'une immigration invasive qui rêve de recréer ici ce que la vie et le temps qui passe a supprimé ''au pays'' (modes vestimentaires et alimentaires, burkinis, us et coutumes soi-disant ''d'avant'', dans une fausse impression de ''retour aux sources'' –mais à des sources imaginaires car ré-inventées en quasi-totalité, qui sont interdits là-bas, mais refont surface ici, sous la forme de provocations, de violence et de haine inquiétantes : on recherche des rêves pour masquer la réalité, mais les jeunes marocains qui veulent tout casser les soirs de victoire --ou de défaite, ou de rien du tout-- ont intérêt à venir dans nos pays : chez eux, c’est NON !
L’idée vaut la peine d’être ''piochée'', au moment où les Etats se trouvent désarmés devant l’absurdité de réactions (et surtout d'actions ! ) que rien ne justifie ni n'excuse : pour comprendre pourquoi Bruxelles est mise à sac parce que le Maroc –qui n'a jamais été colonisé, surtout pas par les Belges-- a marqué deux buts (ce qui tue l’argument ‘‘mémoire de la colonisation’’. C’est un grand pas vers la vérité !), il faut aller au delà des fausses apparences et du ''premier degré'' qui sont la limite de nos politiques confits dans leurs réponses toutes faites --et toutes fausses. Nostalgie, quand tu nous tiens...
H-Cl.
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testframboise-aqua · 2 months
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Bon j’ai eu beaucoup de pensées en faisant les courses, sur Marseille, sur Paris, sur New York (Montréal aussi, je n’y vois pas le jeune chaos des autres villes mais je m’y ennuie lundi :D, ironie ) . Sur les histoires qui mentent, et se répètent. Sur D et M. Ces grandes villes, ces ambiances, intensités, accidents. La pression aussi on va pas se mentir. Si D et M’ne s’était pas rencontrés ils seraient peut être comme moi aujourd’hui ! J’écris un joli conte car ils ne peuvent littéralement pas se rencontrer. mais Mo, en ayant pris une décision aussi radicale que celle ci aurait elle pu revenir en arrière ? Sans avoir connecté ? Je ne crois pas. Quand le processus est véritablement enclenché, qui peut nous ramener. Faut il seulement nous ramener. Peut on rivaliser avec les vrais personnes ? La connexion. Comment ? Non non le peut on seulement ? Si j’étais un personnage de fiction je souffrirais sûrement de ne pas pouvoir faire partie de ce monde. D’être limité à mon espace de fiction. Ne ne pouvoir exister pour quelqu’un, comme D. D sûrement subit cette rivalité avec un.e proche de M et ne peut lutter. Ne D ne peut lutter se draper dans sa dignité pck D n’a rien d’autre. La fiction sans public n’est rien. Vraiment, vraiment. D devrait mourir, M devrait partir aussi je dis ça pour leur bien. Fiction bête dangereuse qui la mange ce qu’on lui donne et nous rétribue proportionnellement. Peut elle remplacer ou compenser les rapports humains. M et Halsin ont beaucoup en commun. Je crois qu’ils devraient mourir aussi pour leur bien, personne ne mérite d’être prisonnier ou vue comme la moitié d.un être . Une simple fenêtre. Est ce acceptable de ne vouloir bien être qu’une simple fenêtre pour les yeux des enfants? Est ce suffisant lorsqu’on peut dégager autant de chaleur. Mo s’est éteinte avec le temps mais Hal peut encore briller sûrement. ils méritent sûrement plus.
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edolasft · 1 year
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De la Lumière au Ténèbres : Chapitre 11
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N O U V E L L E   D E S T I N A T I O N
Entrant brusquement dans la guilde, l'exceed bleu perdit ses ailes épuisé par sa course folle pour revenir à la guilde. Tous se retournent vers les portes de la guilde qui venaient d'être ouvertes brusquement, ils remarquent très vite Happy qui chute vers le sol. Mirajane se précipite pour le rattraper dans ses bras avant qu'il ne touche le sol. Le regardant, elle y vit sa panique, sa fatigue, ses regrets. Wendy accourt vers eux et soigne alors le félin afin qu'il puisse s'exprimer rapidement. Lorsqu'il fut un peu remis, il regarde la mage qu'il le tenait dans ses bras et Happy ne retient pas ses larmes. Il se sentait tellement faible, il était un lâche. Rapidement on lui pose pleins de questions. Où sont les autres ? Que sont ces nuages dans le nuage ? Que lui est-il arrivé ? Pleins de questions qui mettent en pression le petit chat qui ne savait plus comment faire face. C'est le maître de la guilde qui intervient alors pour calmer tout le monde. Il s'approche de Happy et il lui demande calmement de lui expliquer les choses. 
Happy explique alors que tout d'abord il aurait du être en compagnie de Lucy, mais que cette dernière fut enlevée dans la forêt sur le chemin du retour, que les autres mages ont tous été vaincu pendant un lourd combat contre le maître de Balia, que Rimboper fut vaincu par Lucy. Il résume donc assez vite la situation, avant d'évoquer ce fameux monde parallèle dont avait parlé Hury. Le maître fit alors rapidement le lien avec d'autres informations qu'il avait reçu, et il se tourne vers les membres de la guilde. Il ordonne alors au groupe de secours qui c'était précédemment formé, de prendre ses affaires et d'aller secourir leurs amis le plus vite possible. Bien sûr le choque d'apprendre que Erza, Natsu et les autres se sont fait battre donna un coup au moral aux autres membres mais Happy leur explique qu'ils avaient tous été épuisé par une force étrange ce qui explique leur chute au combat. Quoi qu'il en soit cela ne les rassure pas pour autant, et il fallait rapidement intervenir pour les secourir.
C'est donc sans poser plus de question que le groupe de soutien part en destination de la guilde noire de Balia Dark. Happy allait servir de guide et il propose donc a l'ensemble du groupe de passer par la voie des airs pour y parvenir plus rapidement. Levy fut transporté par Lily, Wendy par Carla, quant à Mirajane, Lisana, Bixlow, Fried et Evergreen chacun usent de leurs propre magies pour voler. Happy lui était dans les bras de Mirajane, il devait encore se reposer un peu.
Du côté du manoir, Natsu se réveilla doucement, en se redressant il aperçut Elfman, Gajeel et Juvia l'un a côté de l'autre adossés a l'un des murs avec un regard vide, debout en face de lui Erza et Grey qui continuent de soigner leurs blessures, et le mage de feu vit au fond de la pièce Kana qui c'était isolée, selon lui elle devait énormément culpabiliser du faite que sa magie sainte n'est pas fonctionné. Par contre il remarque l'absence de Happy et Lucy et il se souvient de leur avoir ordonné de fuir, il espère simplement qu'ils ont réussi à s'échapper sans encombre même si Natsu avait un mauvais pré-sentiment. Tous les mages étaient dans un piteux états, et ils avaient encore du mal a réaliser leur défaite. Le nuage noire qui donné a la pièce une atmosphère pesante et lourde c'était dissipée et Erza se sentait d'ailleurs bien en meilleure forme depuis qu'il avait disparu. Donc son hypothèse c'était confirmée, ils étaient affaibli par cette atmosphère étrange. En revanche ce qui inquiète les dragons slayer c'est qu'ils ne sentaient plus la présence d'ennemis, plus la présence de Hury. C'était cette menace qui les inquiétaient le plus et Natsu était incapable de la pister pour le moment. 
Lucy qui fut enlevée pendant sa chute au dessus de la forêt, fini par lentement ouvrir les yeux. La première chose qu'elle vit, fut le vide sous ses pieds. Cette vue la sortie directement de ses songes et paniquer. Elle regarde autour d'elle et elle remarque bien rapidement qu'elle était suspendue au dessus d'un gouffre énorme. Alors qu'elle tente de voir si elle pouvait se sortir de se pétrin, une voix rauque se fit entendre. Relevant la tête, elle vit Hury qui se tenait droit devant elle. Ce dernier, se permet de nouveau de complimenté la ressemblance qu'elle avait avec sa défunte mère. Lucy agacée lui ordonne de ne plus prononcé le nom de sa mère, ce ton autoritaire déclencha alors une violente décharge électrique qui s'abat sur elle, hurlant de douleur, elle souffla douloureusement alors que Hury la prévient que son attitude aurait raison d'elle. La blonde la prévient alors a son tour, qu'il venait sûrement de faire une erreur en l'enlevant, qu'il venait de s'attaquer a une guilde qui le surpasserait. Cela fit alors rire l'homme qui abat une autre décharge sur elle la faisant hurler. Il prenait visiblement plaisir a la faire souffrir. Il s'approcha alors d'elle, une petite plateforme lui permettait de monter jusqu'à elle. Près d'elle, il lui caresse a nouveau le visage, avant de lui dire qu'elle souffrirait autant qu'il avait souffert a cause de Layla. Ne comprenant pas la situation, la blonde tente de trouver des explications a tous ça, elle lui pose des questions, mais il n'y répond pas. Il la gifla violemment pour la faire taire, puis avec une lame il vient taillader sa joue légèrement pour récupérer dans deux fioles différentes quelques gouttes de son sang, il lui prit aussi quelques mèches de cheveux. Il sourit amèrement et décide alors d'envoyer une des fioles a la guilde de la blonde. Cela allait forcément les provoquer et c'était son but. 
Il envoya donc grâce a l'aide d'un serpent cette fiole jusqu'à la guilde de Fairy Tail.
De retour au manoir, Erza prend la décision qu'il était temps pour eux de bouger. Ils devaient rapidement retourner a la guilde, car les mages n'écartent pas la possibilité que Happy et Lucy se soient fais avoir par Hury puisque ce dernier avait disparu. Natsu avait bien compris que sa cible principale était Lucy puisque ce dernier l'avait épargné quand il a remarqué que la mage blonde prenait la fuite, il devait donc s'assurer que son amie allait bien. L'ambiance du groupe était morose, tous étaient affaibli et le moral ne semblait pas être au beau fixe. Mais la mage de rang S tente de remobiliser les troupes et de leur donner de l'espoir, elle leur assure que Happy est l'exceed le plus rapide qu'elle connaisse qu'il a pu s'en sortir, et même si Hury les a suivi jusqu'à la guilde, elle ne pense pas que ce dernier serait assez stupide pour aller affronter toute la guilde .... Du moins elle l'espère. Le groupe de Erza se redresse donc en se soutenant mutuellement et tente donc de rebrousser chemin avant que d'autres ennemis ne viennent. 
Du côté de Wendy et son équipe ils rentrèrent enfin dans le manoir, Happy leur dit de faire attention au trou et débris qu'ils avaient causé a leurs premier passage. Ils traversèrent ce long couloir qui c'était visiblement ré-ouvert, et où on pouvait voir les dégâts causés par le gouffre qui avait failli emporter avec lui Kana et Lucy. Ils passent ensuite par la grande salle de bal qui ne ressemblait plus a rien, avant de passer par la bibliothèque où sur le sol se trouvait encore la trace de la foudre qu'avait subi Juvia. Les mages en compagnie de Happy se rendent alors compte que leurs amis avaient du subir pas mal d'épreuve... Finalement ils passent par le jardin avant de se retrouver enfin au pied de la plus haute tour.
Ils commencent donc leur ascension. A ce même instant les autres mages en haut de cette tour allaient se diriger vers les escaliers lorsqu'ils entendent des bruits sourds provenir des escaliers. Sur leur garde ils se mettent malgré leurs peu de forces en position de combat prêt a se défendre. Ils fixent l'entrée de la salle et finissent par apercevoir une troupe dans la pénombre. Surgit alors soudainement le groupe de Wendy, a cette vision de leurs camarades, Kana et Juvia s'effondrent a genoux au sol soulagée, les autres montrent des signes de soulagement et Happy vola jusque dans les bras de son fidèle compagnon. Immédiatement, Happy s'excusa auprès de son ami. Il s'excuse d'avoir fuis comme un lâche puis il annonce l'enlèvement de Lucy qui marqua alors un gros blanc dans la pièce face a cette annonce. 
Aucun sons ne sort de la bouche de Natsu, il tapa juste de colère sur le sol, il avait bien pré-senti quelque chose. Il tenta de se relever mais ses blessures étaient sérieuses et il retombe a genoux au sol, Wendy vient vers lui et elle lui administre les premiers soins rapidement. Happy explique comment cela c'était produit et Natsu était fou de rage, Il fallait retrouver leur amie et vite. Mais l'engouement de Natsu fut arrêté par Mirajane qui lui explique que le maître de Fairy Tail leur a ordonné de retourner a la guilde avant de tenter quoi que ce soit et que en vue de leur état ils seraient bien inutile de combattre le maître de Balia. Bien que cela mettent hors de lui le mage de feu, il n'eut d'autre choix que d'accepter. Le groupe de soutien vient donc aider les autres membres du premier groupe, et tous repartent par la voie des airs pour aller plus vite en direction de la guilde. 
Du côté de Lucy, la mage était dans les vapes, épuisée par les attaques reçues elle ne parvenait pas a regrouper ses pensées. Elle fut cependant brusquement sortis de ses songes par une grande gifle qu'elle reçue soudainement. Ouvrant les yeux elle regarde le visage de Hury qui se tenait juste devant elle. L'homme ricane en voyant son état pitoyable et il lui fait part de l'avancé du petit cadeau qu'il avait fais parvenir a sa guilde. Il lui montre ensuite une lacrima de communication qui se trouvait juste devant elle, il lui fait comprendre qu'elle allait bientôt pouvoir assister en live a la réaction de ses camarades. Mais ce qui fit surtout rire le mage noir, c'est que maintenant la mage stellaire le suppliait de la relâcher, elle n'était plus du tout arrogante. Mais la pitié ne fonctionne pas avec lui. Bien au contraire ça lui donne encore plus l'envie de la torturer. Il la torture alors pendant de longues minutes jusqu'à ce qu'elle succombe de douleurs dans l'inconscience.
Le groupe de Fairy Tail sur le chemin du retour parvient après un long moment a revenir a la guilde. Sur le pas de la guilde se trouvait Lacki qui vient a leur rencontre. D'abord surpris de voir l'état de ses camarades, elle leur demande de rapidement rentrer dans la guilde, car le maître venait de recevoir un étrange colis. 
Tous les membres coururent dans le hall et rejoignirent le maître qui était assis sur le bar. Erza lui demanda où était ce fameux colis, il lui montra, Natsu s'enflamma en voyant le logo de la guilde de Balia sur le paquet, il voulut le détruire mais ce retint il pouvait contenir des indices de où ce trouvait leurs amie blonde. Le maître passa son doigt sur le capuchon qui fermait l'enveloppe, un cercle magique apparut et ouvrit alors le paquet qui contenait la petite fiole avec le sang et les cheveux de Lucy, en plus de ça il y avait une lacrima de communication dedans. Le maître la sort du paquet et l'active alors. 
Le maître de la guilde noir avait laissé un peu Lucy en paix mais toujours dans la même salle que elle, lorsque la lacrima face a Lucy se met a briller, il comprit que le colis était bien arrivé et que la lacrima envoyé a Fairy Tail venait d'être activée. Il activa alors la sienne pour donner une vision sur Lucy. Lorsque cet lacrima s'alluma, la blonde entendit des voix, des voix familières, elle essaya de relever la tête mais en vain.
A la guide tous restèrent sans voix a ce qu'ils voyaient. Ils voyaient une sorte de forêt artificiel avec plein d'arbres, de plantes carnivores, de buissons piquants, et de serpent se baladant un peu partout au milieu de tout cela, leurs tête blonde qui était solidement attachée avec des lianes, elle était attachée entre deux arbres par les poignées. Ses jambes étaient libres et pendaient dans le vide. Certains membres criaient son nom mais la mage ne réagissait pas beaucoup trop amochée, elle avait de sérieuses blessures, elle saignait également beaucoup.
Elle essaya de bouger sa main, elle réussit a la bouger de quelques centimètres, Gadjeel le remarqua et le cria a tous, tous étaient contents qu'elle soit encore en vie mais leurs regards étaient remplies de rage et de haine.
Soudainement apparaît derrière Lucy, Hury le maître de Balia. Il ricane de nouveau face a la situation. Il pouvait voir la haine et la détresse dans le regard des membres de Fairy Tail. Cela le faisait jubiler, il attrapa alors la tignasse blonde de la mage et lui tira en arrière les cheveux ce qui releva le visage meurtri de la jeune femme. Criant de douleur, ces cris étaient insoutenable pour les camarades de la blonde.
Ce fut alors Makaroff qui prit la parole en demandant a ses membres de se taire. Il demanda a Hury pourquoi il faisait tout ça, quelles étaient ses intentions derrière l'enlèvement de Lucy. Le maître de Balia ne perdit alors pas de temps a répondre.
«  Pourquoi ? Vous ne semblez pas connaître le pouvoir immense que renferme la fille de Layla. Je dois m'en emparer pour renvoyer la lumière de cette femme, pour faire souffrir ce monde comme Layla a pu me faire souffrir ! »
En entendant ces paroles, Makaroff fronce les sourcils. Alors cela avait un rapport avec la défunte mère de Layla qui était morte ce fameux jour de l'an x777. Cela ne signifiait rien de bon pour le maître de Fairy Tail qui demanda alors a Lacki d'aller faire un rapport au plus vite au conseil de la magie. 
Mais tout ceci, Natsu s'en moquait bien, lui tous ce qu'il voulait c'était récupérer Lucy et botter le cul de ce type. Il passe alors devant Makaroff et commence a s'énerver devant la lacrima, a menacer le maître de Balia. Ce dernier soupire et claque des doigts. Un éclair s'abat sur Lucy qui cris de douleur. Tous furent surpris, par cela, Hury ordonna a Natsu de se calmer pour ne pas faire souffrir d'avantage leur camarade. Mais s'en fut trop pour tout le monde et soudainement Mirajane éclata la lacrima de communication. Tous la regardent les yeux ronds, elle leur dit alors qu'il était temps de réagir et d'aller la chercher. Makaroff ordonne donc aux mages qui étaient partis au manoir, c'est a dire le premier groupe et le groupe de soutien, d'aller chercher Lucy. Sans attendre l'ensemble des mages partent de la guilde. Natsu et Gadjeel servaient alors de guide, grâce a la fiole ils pouvaient garder en tête l'odeur de Lucy et la retrouver plus vite. 
En suivant son odeur, après un long moment, l'ensemble des mages de Fairy Tail se retrouvent au coeur d'une ville abandonnée. 
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christophe76460 · 1 year
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La Décision Vous Appartient 11/30
Derek Prince
Repentance ou remords ?
Nous continuons à nous pencher sur cette décision très importante : se repentir.
Dans Actes, la repentance est manifestée comme étant le premier impératif pour accéder au salut. Après que Pierre ait prêché ce message spectaculaire le jour de la Pentecôte et que la foule ait été convaincue, touchée au cœur, voilà comment la foule répondit en Actes 2:37–38. Ils dirent :
“Hommes frères, que ferons-nous ? [Comment échapper aux conséquences de nos terribles péchés ? Voici ce que Pierre répondit] : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.”
Observez, la première nécessité: se repentir … puis être baptisé … puis vous recevrez le don du Saint-Esprit. Donc, la repentance est un préliminaire essentiel à la foi et elle prépare le chemin pour l'action de Dieu.
Maintenant, permettez-moi de parler brièvement de la signification du mot "se repentir." Le mot grec qui est traduit par repentir a une signification claire dans le grec séculier et est toujours traduit par "changer d'avis". La repentance c'est comme changer d'avis, ou de direction. Vous avez vécu d'une certaine manière, vous décidez de vivre d'une autre. Vous changez de manière de penser. Nous comprenons cela dans le monde naturel, il en est de même dans le monde spirituel. Le mot hébreu habituellement traduit par "repentir", veut dire se retourner ou revenir. Mettez-les ensemble et vous aurez un tableau complet. Le grec nous montre la décision intérieure, "je vais changer d'avis." L'hébreu, de façon assez caractéristique, nous montre l'action extérieure, "je vais me retourner et marcher exactement dans le sens inverse de celui où j'ai marché jusqu'à présent." Faites se rejoindre les deux significations, voilà la repentance, c'est une décision.
Nous devons faire la distinction entre deux choses qui se ressemblent mais qui sont très différentes. L'une est la repentance, qui est une décision, pas une émotion, l'autre est le remord, qui est une émotion et non une décision. Il existe un exemple très significatif qui est celui de Judas. Après avoir trahi Jésus, il avait du remord mais il n'a pas eu de repentance. Ceci est dit en Matthieu 27, versets 3 à 5 :
“Alors Judas, qui l`avait livré, voyant qu`il était condamné, se repentit, et rapporta les trente pièces d`argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens, en disant : J`ai péché, en livrant le sang innocent. Ils répondirent : Que nous importe ? Cela te regarde. Judas jeta les pièces d`argent dans le temple, se retira, et alla se pendre.”
Voyez-vous, se suicider n'est pas le fruit de la repentance, c'est le résultat du remord. Les gens qui se suicident le font habituellement parce qu'ils n'ont pas su se repentir. Judas a ressenti une émotion très intense, une émotion qui l'a poussé au suicide. Mais la chose qu'il n'avait pas faite était la repentance. Il n'a pas changé d'avis. Nous ne pouvons pas faire la même erreur ; nous devons prendre la bonne décision.
Ma Prière aujourd'hui :
"Cher Père, aide-moi à ne jamais confondre mes émotions avec ma volonté. Je prie pour que tu me montres toujours le chemin à suivre, la bonne chose à faire, à agir selon ma volonté, et que tu donnes à mes émotions la place qui leur revient : dans la soumission à mon esprit. Je veux être satisfait en te louant, et je décide de me repentir, de changer d'avis et de voie, et de vivre pour ta gloire. Au nom de Jésus, amen !"
Derek Prince
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atelier-naginata · 2 years
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Amnesia Rebirth : horreur cryptique et invincibilité maternelle
Pour le deuxième jeu d'Halloween 2022, j'ai décidé de jeter mon dévolu sur Amnesia Rebirth, présent dans le Gamepass PC. J'en avais déjà vu aussi un bout de let's play chez Atomium, et il avait l'air de bien apprécier son expérience. Je pensais donc mettre la main sur une valeur sûre, dernier épisode d'une série relativement aimée par les fans de jeux d'horreur. Je n'avais jamais touché à un Amnesia jusque là, et pensais vivre une séance de walking simulator classique, à grosse ambiance et gros jumpscares. Dernière précision avant de rentrer dans le vif du sujet : détestant particulièrement les courses poursuites et les parties de cache-cache, j'ai arpenté le jeu dans son mode "walking simulator" (proposé avant de lancer une partie), c'est à dire sans monstre (ou presque) et sans besoin de gérer la santé mentale (ou presque).
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Dans Amnesia Rebirth, nous incarnons Tasi, dessinatrice technique française, partie pour une expédition archéologique en 1937 en Algérie, en compagnie de son mari entre autres. Tout commence par le réveil de Tasi, seule, au milieu du désert et de la carcasse de leur avion fraichement écrasé. A partir de là, il va falloir tenter de comprendre où sont les autres et comment sortir de cet enfer. On tente de reconstituer le puzzle à coup de flashback et d'écrits trouvés sur la route, et rapidement... le récit se met à coincer.
Avant de défoncer le jeu continuer mon analyse, je me dois de revenir sur une notion très importante en particulier pour les oeuvres fantastiques : la suspension de l'incrédulité. Un petit lien wikipedia sur le sujet ne fera pas de mal, mais pour faire court, c'est notre capacité à accepter les choses incroyables ou les incohérences dans les récits pour leur donner de la crédibilité. Et s'il y a bien un genre où il est nécessaire de volontairement fermer les yeux sur tout un tas de détails stupides, c'est le JRPG ; en ce sens, j'estime que je suis souvent bonne spectatrice du fait de ma tendance à ne pas trop remettre en question ce que je vois, et à accepter les incohérences irréalistes qu'on rencontre dans tous types de fictions.
Et malgré ça, je n'ai jamais réussi à rentrer dans Amnesia Rebirth, à cause d'un point en particulier. Après avoir fini le jeu, comme à mon habitude, je me suis plongée sur Youtube à la recherche d'une bonne grosse analyse bien musclée, histoire de confronter mon opinion à celles d'autres joueurs. Je vous recommande d'ailleurs chaudement la plus longue et la plus détaillée que j'ai pu trouver :
EDIT : J'allais vous partager cette vidéo, et on m'a fait remarquer, à juste titre, qu'au milieu de plein de remarques tout à fait valables, l'auteur faisait preuve d'une misogynie assez dégueulasse. Entre autre, il permet de répondre à la question que je me posais en jouant, à savoir "comment un homme peut réagir au fait d'incarner un perso féminin enceinte ?". Réponse : mal. Je ne rentre pas dans le détail, mais pour en revenir à la vidéo, j'ai bien réfléchi au fait de la linker ou non, et j'en suis arrivée à la conclusion que je ne voulais pas promouvoir ce type de contenu. Vous aurez donc uniquement ma réflexion brute.
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Attention, c'est là qu'on va commencer à spoiler. Assez rapidement dans le jeu, on découvre que Tasi est enceinte, de 3 mois. Il lui arrive moultes aventures, composées principalement de chutes, parfois vraiment hautes, et de plein de choses beaucoup trop lourdes qui lui tombent dessus. Sauf que notre personnage n'est jamais blessé, jamais en danger. Que ce soit l'écroulement d'un tank, des chutes de plusieurs mètres, des gros blocs qui nous tombent sur le ventre, Tasi s'en sort toujours sans la moindre égratignures. Et en plus de ce détail, sa grossesse avance régulièrement de 3 mois, comme par magie, lors des changements de lieux.
A cause de ces faits tout à fait étranges et irréalistes, j'ai très rapidement mis en doute ce que nous montrait le jeu. L'action d'Amnesia Rebirth se passe à moitié dans le monde réel, dans le désert, et à moitié dans une dimension parallèle où aurait vécu une civilisation très avancée technologiquement, dont seule la reine serait actuellement vivante, tirant son énergie d'humains enfermés dans des tombeaux et donc techniquement transformés en pile. Sauf que ce monde parallèle n'est jamais crédible. On pourrait fermer les yeux sur les bidons d'huile pour la lanterne et les allumettes qui sont disséminés dans ce monde : on reste dans un jeu où il faut gérer des ressources et bon, soit, on retrouve les mêmes allumettes dans le désert et dans le monde parallèle mais tant pis.
Là où ça me dérange plus, c'est quand on se retrouve face à une civilisation hyper avancée, qui arrive à créer des portails de téléportation et à extraire de l'énergie pure des corps humains, mais qui s'éclaire à la bougie et utilise un système de pyramides complètement stupides pour gérer la distribution d'énergie. Ce n'est pas un monde crédible, mais un monde de jeux vidéo fait pour enchaîner les énigmes. Je ne parle même pas des tablettes en langage inconnu qui se traduisent automatiquement pour que Tasi puisse les lire...
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Je soulève donc ces deux points pour dire qu'à aucun moment, le jeu n'était crédible pour moi. Outre que l'intrigue était décousue et difficile à suivre (pour ne pas dire incompréhensible), je n'ai jamais réussi à prendre au sérieux l'héroïne invincible à la grossesse express, et le monde parallèle de jeu vidéo. Du coup, je me suis très vite convaincue qu'on était dans un jeu type Little Hope ou Martha is dead : nous voyons le récit par les yeux du héros, qui nous ment, volontairement ou non. Et de ce fait, j'étais enchantée par mon expérience car j'adore ce type de procédé. Non seulement il force à rester vigilant à chaque détail, mais en plus, il invite à réfléchir à toutes les possibilités les plus farfelues pour tenter de comprendre ce qui se passe réellement. Mais j'aurais dû me méfier : si dès le début on commence à douter de la véracité de l'expérience racontée par le protagoniste, cela signifique soit qu'on se trompe, soit que c'est très mal écrit...
Aux deux tiers du jeu, Tasi se retrouve à nouveau dans le désert, avec l'accouchement qui démarre. Elle finit par donner naissance à sa fille (mais en 5 minutes parce qu'on est dans un jeu vidéo), le docteur lui vole son enfant et hop, la revoilà instantanément debout, à poursuivre à grandes enjambées le bougre. Encore une fois je me suis retrouvée à me gratter la tête en me demandant quand la chute arriverait... Est-ce que Tasi était en pleine hallucination ? Peut-être enfermée dans une de ces piles qui forcent les émotions en rapport avec la famille pour fournir de l'énergie ? N'importe quoi, s'il vous plait, mais ne me dites pas tout simplement avec l'air détaché que tout ça est bien réel...
Eh bien si. J'ai passé 12 heures à attendre une vraie explication solide sur toutes les incohérences qui m'ont sauté au visage et m'ont empêché de rentrer dans l'histoire, et au final, il n'y en avait pas. Je ne sais même pas quoi écrire de plus tellement la déception a été gigantesque quand j'ai compris qu'il n'y avait pas de grande révélation. Mon seul but à ce moment était de terminer au plus vite et de passer à autre chose. Quant à la fin...
Il serait peut-être temps d'ailleurs de faire un petit récapitulatif de ce que j'ai compris de l'histoire. Tasi et son équipe sont partie en Algérie pour effectuer des fouilles concernant des vestiges d'une ancienne civilisation. Ils se retrouvent accueillis par la reine de cet autre monde, qui les fait boire à une fontaine les transformant doucement en monstre. En position de force, elle leur propose un marché : que Tasi accouche et lui donne sa fille, en échange de la vie de tous ses camarades. Voilà. C'est tout. Sauf que Tasi refuse (et ne s'en rappelle qu'à la fin du jeu parce que... ?), toute son équipe meurt et il ne reste qu'elle.
Il y a trois fins possible : soit on s'échappe du monde parallèle, sachant que notre enfant porte une maladie incurable qui la tuera dans quelques années, soit on se fait transformer en monstre mais notre fille restera dans l'autre monde où la maladie ne se déclarera pas, soit on meurt en détruisant la reine maléfique. Que du bonheur, n'est-ce pas !
Rah vous savez quoi ? J'écris tout ça et je suis énervée. J'ai la même sensation d'arnaque que lorsque j'avais fini Little Hope, jeu pour lequel j'ai d'ailleurs gagné en tendresse avec le temps et le recul. Mais mazette ! Je me suis forcée à finir Amnesia Rebirth en espérant qu'il y avait un truc pour racheter le tout, mais pas du tout. Je pense que je n'aurais pas été si dépitée si le jeu avait duré quelques heures de moins, mais là, c'était trop.
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L'épilogue de tout ça (en reprenant l'écriture un jour plus tard en m'étant calmée, et après quelques nouvelles recherches) est qu'Amnesia Rebirth m'a déçue par son manque de crédibilité, mais m'a tout de même permis de me mettre (ainsi que ma commu en stream) dans une position tout à fait inédite : celle d'un personnage féminin enceinte. Là où ça devient comique, c'est que le scénariste est un homme. Et malheureusement, je rappelle que nous sommes dans un jeu d'horreur ; j'ai bien peur, en y réfléchissant, que la grossesse ne soit qu'un élément supplémentaire pour rajouter de la shock value, pour faire horreur un maximum, alors que ça devrait rester une donnée neutre. Sentiment renforcé par le fait que cette grossesse se passe en ultra accéléré parce que TGCM (ta gueule c'est magique).
Je vous parlais plus haut d'une vidéo finalement pas linkée car trop misogyne pour être partagée. L'auteur de la vidéo (de même que ma commu pendant le stream) a été choqué par le passage de l'accouchement, et par le fait qu'on nous le fasse jouer, tout en se plaignant que "c'est trop long". Alors que de mon côté, la scène a perdue en crédibilité justement pour son côté ultra expéditif (il n'y a que dans les jeux et les séries qu'on accouche en 2 minutes). Mais soyons honnête : la seule raison pour laquelle cette scène d'accouchement existe est pour choquer et rajouter à l'horreur sauf que... pour moi ça n'a rien d'horrible, c'est une chose tout à fait naturelle et neutre.
Peut-être que je suis médisante, peut-être que l'ajout de cet élément partait d'un bon sentiment, pour tenter de titiller l'empathie des joueurs... Mais je doute que les intentions soient si nobles quand elles sont injectées dans un jeu d'horreur.
Bref, vous l'aurez compris, Amnesia Rebirth, de la même façon que Le suicide de Rachel Foster est un jeu que j'ai parcouru avec plein d'innocence mais dont ma haine grandit crescendo plus j'y pense après coup. Je pourrais disserter stérilement pendant des heures sur tout ce qui ne va pas, en finissant par tourner en rond dans mon ressenti énervé et dégouté.
Je vous propose donc de poser dans un coin ce jeu, et de ne plus jamais y penser, pour notre santé mentale à tous...
Et si j’ai réussi à piquer votre curiosité, vous pouvez retrouver la collection de toutes les VOD de mon let’s play complet sur Twitch : 
twitch
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Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Whatsapp: https://wa.me/message/ISCY5 Faire revenir l’être aimé: Le travail d’envoûtement d’amour est un rituel hautement spirituel invocation pour séparer deux personnes, L’envoûtement d’amour consiste à appeler l’esprit de la personne à envoûter et effectuer le rituel sur son esprit. Parfois ce travail de rappel peut s’avérer compliquer lorsque la personne bénéficie d’une protection mystique…
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agbidi · 3 years
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Comment jeter un sort amoureux à distance, envoûtement amoureux efficace
Comment jeter un sort amoureux à distance, envoûtement amoureux efficace
Un rituel est un puissant moyen de concentrer son intention afin de réaliser un but.Dans le cas des rituels de magie rouge, l’objectif est « l’amour » (ou la convoitise).Il faut croire en la puissance de la projection d’une forte intention positive, afin d’obtenir ce que vous désirez. Apprenons ensemble comment jeter un sort qui va vous apporter l’amour que vous cherchez. Voici un sort de base…
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not-gomez-addams · 3 years
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Bonsoir, ou bonjour, Monsieur Saulter !
Je sais que vous êtes très attaché à l'esthétique des années 1920... du coup, je voulais savoir s'il y avait des films de cette période que vous avez vu, et que vous appréciez particulièrement ! :D Je pensais moi-même m'y pencher...
@carwyn-gibson
Bonsoir, Carwyn !
Je suis navré du temps qu'il m'a fallu pour répondre à cette question, ma foi tout à fait passionnante. Vois-tu, je me suis peut-être laissé emporté... ! Le début du vingtième siècle est très riche en cinéma, comme tu peux t'en douter. En effet, j'ai eu l'occasion de regarder beaucoup de films de cette époque, principalement entre 1910 et 1920. Le Cinéma, à cette époque, est une discipline encore naissante, mais qui recèle déjà de cette qualité artistique que nous lui connaissons. Je pourrais vous parler de Georges Méliès, bien sûr, et l'exemple surprenant de son Cendrillon de 1899, bien moins connu que son Voyage sur la Lune, mais parfaitement remarquable malgré tout. Je pourrais vous parler d'Alice Guy, la toute première réalisatrice de l'histoire du cinéma, qui, par ses reconstitutions de célèbres tableaux, pourrait être tracée comme inauguratrice du genre des péplums. Je pourrais vous parler de Victorin Jasset, Louis Gasnier, Louis Delluc... de beaucoup de personnes, sommes toutes, et peut-être que cela sera le sujet d'un autre poste. Aujourd'hui, pourtant, j'aimerai vous parler d'un réalisateur, et, plus particulièrement, de l'une de ses œuvres.
Laissez moi vous présenter J. Searle Dawley.
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Mr. Dawley était un réalisateur et scénariste américain, qui me semble relativement méconnu. Et l'oeuvre en question, Carwyn, devrait vous être familière, puisque j'ai pu constaté que vous aviez récemment lu le roman duquel elle est adapté : il s'agit de son Frankenstein de 1910. Et vous avez beaucoup de chance : le film, d'une durée de treize minutes environ, se trouve sur YouTube ; je vous en fourni le lien.
youtube
C'est une œuvre que j'affectionne particulièrement, et, si vous m'en permettez l'indulgence, j'aimerai vous faire un petit commentaire dessus ; il n'y a pas que le cinéma moderne qui mérite d'être décortiqué. Il s'agit, en effet, de la toute première adaptation du roman de Mary Shelley, et, s'il diffère à bien des égards du roman, il en retient certains des thèmes les plus passionnants.
L'ubris de Victor Frankenstein.
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Bien sûr, vous n'êtes pas sans savoir que l'un des nœuds principaux du roman réside dans la folie créatrice de son héros, le Docteur Victor Frankenstein ; et par là-même, son ubris, sa volonté à défier les lois naturelles, défier l'ordre des choses, défier Dieu lui-même en se prétendant Le remplacer. C'est un élément que nous retrouvons, par ailleurs, dans toutes les adaptions- l'acte sacrilège de vouloir dépasser la loi des choses, de remplacer la mort par une vie éternelle, voir pire : de créer soit même la vie.
Voyez donc la première apparition de Frankenstein, sur l'image que je vous offre. Vous pouvez remarquer, bien sûr, que la mise en scène est particulièrement parlante dans ce genre d'œuvre ; chaque détail y est millimétré. Le voici présenté sur un trône, entouré de squelettes, jouant avec des crânes : une représentation très baroque, très excessive, et très shakespearienne- la référence à Hamlet ne vous aura certainement pas échappée. Le positionnement du personnage est parlant, également. Sur la gauche de l'image se trouve le squelette, sur la droite, le vivant : l'ordre des choses est bouleversée, la mort se présente avant la vie, ou la vie se propose comme une continuation de la mort. L'atelier du Docteur a tout de celui d'un apprenti sorcier. Le voilà bien jouasse, sur son trône, l'établi couvert de morceau humain, d'une tête grotesque. Voilà donc, bien sûr, le tableau d'un savant fou- et vous remarquerez que le terme "tableau" est toujours particulièrement parlant, à cette époque. J'y reviendrais.
"The most perfect human being that the world as yet to known", déclare le Docteur. Le voici, l'ubris, l'égo créateur : la folle volonté de vouloir dépasser le travail de Dieu. Vous vous doutez bien qu'à l'époque, et plus encore à celle de Mary Shelley, c'était là un bien grave blasphème à avancer. Frankenstein, le Prométhée Moderne, qui joue a créé l'homme de sa propre glaise, est ici parfaitement représenté, selon moi- du moins, dans la première partie de ce film : son rôle créateur, en effet, se construit comme une parodie de celui de Dieu.
Prenez l'exemple du processus de création de la créature, à partir de 2m11. "I shall create into life", nous annonce le panneau. Le terme "into" est particulièrement parlant : il s'agit de faire surgir la vie depuis le néant, une image de la création ex-nihilo observée dans la génèse, et qu'on retrouve, seulement dans cette adaptation, dans la fabrication de la créature. Voyez comme elle se forme, petit à petit, morceau par morceau, sans intervention extérieure, comme sous l'influence d'une forme de magie dénaturée ! Vous pouvez également noté l'omniprésence du rouge, qui n'est que très rarement une couleur positive, et des flammes qui l'entourent (le feu étant évidemment un motif récurrent dans le mythe de Frankenstein : à l'image de Prométhée, c'est celui qui donne la vie, tout en restant destructeur, dangereux, à craindre- le feu étant lui-même craint par la créature, notamment dans l'adaptation de 1931 par James Whales).
Bien sûr, une fois la créature formée, le docteur fuit devant son œuvre macabre, cette parodie de vie ; et, détail intéressant, pour revenir sur cette idée de tableau- voyez comme la mise en scène est, une fois de plus, extrêmement parlante.
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A votre gauche, l'extrait du film, baigné dans sa couleur écarlate ; de l'autre, Le Cauchemar de Füssli, peint au XVIIIème siècle. Nul besoin de longue déclaration pour que la créature apparaisse comme ce qu'elle est : un cauchemar d'un autre monde.
La deuxième partie du film, dès lors, dévie grandement du roman ; mais elle conserve un élément particulièrement important, particulièrement central : le dédoublement du monstre, le renversement entre créateur et créature.
Ambiguïté du monstre : le créateur qui se perd dans sa création.
"Il n'y a pas qu'un seul monstre, dans mon récit, mais deux", écrit Mary Shelley. Je vais m'octroyer une brève, très brève, et très superficielle analyse de ce point précis dans le roman. La construction des rôles de Frankenstein et de sa créature sont similaires, et peut-être l'avez vous remarqué. Leur première apparition, dans le journal de bord du capitaine, est identique : tout deux apparaissent sur leurs traîneaux, apparitions surprenantes et mystérieuses. Nous pouvons également souligner l'aspect même du Docteur, sa dégradation physique qui accompagne la folie de sa fièvre créatrice ; au fur et à mesure que le corps de la créature se forme, le sien se dégrade. Tout deux, également, sont plongés dans la folie, la solitude. Finalement, le créateur se trouve dépassé par sa création. "Vous êtes mon créateur," dira d'ailleurs la créature, "mais je suis votre maître." Une construction en miroir, donc. Et savez vous où nous retrouvons, assez littéralement, un miroir ? :D
Et oui ! Dans l'adaptation de Mr. Dawley !
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Voyez la scène qui commence à 7 minutes 45. Voyez comment s'opère le jeu du miroir. Le monstre, dans un premier temps, est dans la pièce, Frankenstein apparaît dans le miroir ; et puis, inversement ! Le monstre se retrouve dans le miroir, Frankenstein, dans la pièce. La frontière est toujours présente, mais bien mince, puisque les rôles sont interchangeables, tant et si bien que le monstre finit par être, littéralement, le reflet de Frankenstein. Tout le cœur et la morale de ce film réside dans cette ambiguïté là : dans la relation entre l'humain et son double "monstrueux". Ici, la créature n'est plus seulement une création blasphématique et monstrueuse. Elle est la représentation du "mal" caché en l'homme, de son inconscient, de sa difformité. En cela, bien sûr, la fin dévie du roman d'origine.
"The monster is overcomed by love and disappears." La fin, peut-être, peut sembler décevante, en ce qu'elle est bien plus optimiste que celle de Mary Shelley : c'est que le message de l'oeuvre est différent. Ici, l'homme surpasse ses démons, par le biais de valeurs (très chrétiennes, par ailleurs, mais je ne compte pas me lancer plus en avant dans un débat sur le lien qu'entretient le mythe de Frankenstein avec la religion) positives. En treize minutes seulement, donc, ce film de 1910 parvient à raconter une histoire tout à fait passionnante, et sans conteste riche ; pas seulement au travers de ses dialogues -inexistants, sans les panneaux- mais également, et surtout, par le soin apporté à sa mise en scène.
Et... Comme je vous l'avais dit, je me suis laissé emporté ! Il faut dire que le sujet est passionnant, et j'aurais encore beaucoup à dire. J'espère vous avoir fait découvrir quelque chose d'intéressant. N'hésitez pas à me dire si ce genre de post vous intéresse - vous, Carwyn, ou peut-être d'autres personnes. Je vous souhaite en tout cas une excellente soirée ;)
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thebusylilbee · 3 years
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" La philosophe Manon Garcia s'en est récemment agacée dans un tweet. « C'est pénible les classements de la Bibliothèque nationale de France: je découvre que mon livre et mon recueil de philosophie féministe sont classés en féminisme et non en philosophie. Le Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir est en littérature et en féminisme, pas en philo. La philosophie féministe n'est pas de la philosophie ? » L'anecdote illustre parfaitement ce que démontre le recueil Philosophie féministe (patriarcat, savoirs, justice), que l'autrice d'On ne naît pas soumise, on le devient (Flammarion, 2018) fait paraître chez Vrin. Alors que dans les pays anglo-saxons la philosophie féministe est valorisée comme un champ à part entière de la discipline, la France considère encore bien souvent que philosophie et féminisme ne peuvent aller de pair.
Les dix textes majeurs ici rassemblés et présentés par cette spécialiste de Simone de Beauvoir, professeure adjointe à l'université de Yale à partir de juillet, prouvent exactement le contraire. Michèle Le Doeuff, Nancy Bauer, Sandra Harding, Geneviève Fraisse ou Christine Delphy expliquent pourquoi les femmes ont été si rares dans la discipline, se demandent si la philosophie est une science sexiste et ce que peut apporter le féminisme à la pensée (et pas seulement aux femmes). Certains textes s'opposent aussi, lorsqu'il s'agit par exemple de savoir si « le multiculturalisme nuit aux femmes ». Preuve que la philosophie féministe n'est pas un courant de pensée monolithe.
On voit la philosophie comme une discipline objective et abstraite alors que le féminisme est du côté de l'engagement politique. Une philosophie féministe, est-ce que ça existe ? Comment la définir ?
Il n'y a pas de contradiction entre philosophie et féminisme. Comme l'ont montré entre autres les philosophes féministes, c'est une illusion que de croire que la philosophie telle qu'elle a été pratiquée pendant près de deux millénaires était apolitique et objective. La position sociale dans laquelle on se trouve se reflète dans les questions que l'on se pose et l'histoire de la philosophie reflète les préoccupations de ceux qui s'y attellent. Par exemple, de Sénèque à Machiavel, certains philosophes ont été conseillers politiques, il est évident que cette position sociale a un effet sur la façon dont ils pensent le pouvoir. Et qu'ils vont nécessairement le penser différemment qu'une femme qui n'a pas le droit de participer à la vie de la cité parce qu'elle est femme. On peut dire que la philosophie féministe est une branche de la philosophie qui est informée par des considérations féministes et qui contribue aux combats féministes. C'est une certaine façon d'interroger le monde - comment les rapports de genre structurent notre pensée, nos sociétés ? - qui conduit la philo à s'attaquer à de nouveaux objets ou à considérer ses objets traditionnels de façon nouvelle. Un exemple très simple : l'histoire de la philosophie a été marquée par une pensée binaire entre le soi et l'autre, mon corps et le monde extérieur. Une fois que l'on réfléchit à l'expérience de la grossesse, ces questions se posent différemment puisque mon corps peut alors inclure un corps étranger qui est à la fois moi et non-moi. Le fait que cette expérience ne soit pas entrée en ligne de compte dans la philosophie traditionnelle du corps invite à se demander que faire du principe de non-contradiction ou des catégories binaires dont je parlais, mais ça peut aussi conduire à des questionnements philosophiques sur la façon dont le savoir est produit.
Rousseau, Hegel ou Comte leurs écrits ne sont pas tendres avec les femmes (1). La philosophie est-elle sexiste ?
L'histoire de la philosophie est sexiste, oui, mais sans doute en grande partie parce qu'elle est fille de son temps. Dans l'ensemble, la culture, la pensée, l'art ont été sexistes - mais aussi racistes, classistes - jusque très récemment. Pour autant, cela ne veut pas dire qu'il ne faille pas lire ces philosophes ou que la philosophie soit bonne à jeter à la poubelle. En revanche, il me semble important d'une part de les recontextualiser, c'est-à-dire de se demander ce que cela voulait dire de tenir de tels propos à cette époque. Par exemple, quand on pense au fait que Comte est contemporain de Mill [dans De l'assujettissement des femmes (1869), John Stuart Mill défend le droit de vote des femmes, ndlr] son sexisme est plus difficile à comprendre que lorsqu'on lit Rousseau à l'aune des théories du XVIIIe siècle sur les femmes. D'autre part, il faut se demander quelle place joue le sexisme dans leur système de pensée. C'est ce que montre la philosophe américaine Nancy Bauer dans un texte reproduit dans le recueil (2) : le problème, c'est de savoir si le sexisme est nécessaire à la pensée du philosophe en question. Le sexisme d'Aristote, par exemple, paraît moins indissociable de sa pensée que celui de Schopenhauer ou de Nietzsche de la leur.
Pourtant des femmes philosophes ont existé : la penseuse cynique grecque Hipparchia (IVe siècle avant notre ère), la théologienne anglaise Mary Astell qui publie ses Réflexions sur le mariage en 1730. Pourquoi sont-elles si méconnues ?
D'abord, la réalité est que les femmes n'étaient généralement pas considérées comme des êtres humains à part entière et donc dans leur immense majorité elles n'avaient pas accès à l'éducation, elles devaient se consacrer au travail manuel et au travail domestique ou, chez les plus favorisées, à l'organisation de la vie sociale. En tout cas, il était hors de question qu'elles soient des penseuses. Il y a par conséquent fort peu de femmes philosophes. Et dans les rares cas où des femmes ont pu accéder à la pensée, cela a très souvent été, comme l'a montré Michèle Le Doeuff, dans le cadre d'une relation amoureuse ou au moins amicale avec un penseur : Hipparchia, Héloïse, Elisabeth de Bohème, Harriet Taylor et d'une certaine manière Beauvoir. Elles sont ainsi passées à la postérité comme des compagnes. Et puis, prosaïquement, ces femmes ont souffert de tous les clichés sur les savantes, leurs travaux ont été considérés comme mineurs si jamais ils portaient sur des sujets peu sérieux comme les femmes. C'est un cercle vicieux !
Quel est l'apport majeur de la philosophie féministe ?
Son premier apport est sans doute de rendre visible le fait que la philosophie n'avait jusque-là pas pensé la féminité - ni la masculinité d'ailleurs. Quand Beauvoir ouvre Le Deuxième Sexe avec la question «qu'est-ce qu'une femme ?», ce qui saute aux yeux, c'est que cette question n'avait jusque-là jamais été sérieusement posée par la philosophie. Ça veut tout de même dire qu'elle avait, avec son ambition universaliste, implicitement écarté la moitié de l'humanité de sa réflexion, ce n'est pas rien ! Plus généralement, on peut dire que la philosophie féministe est faite de trois grandes contributions : une critique du canon philosophique ; l'introduction de nouveaux objets pour l'analyse philosophique (le genre, mais aussi la vulnérabilité, les violences domestiques par exemple) ; le développement de nouvelles façons de penser des questions traditionnelles de la philosophie, comme je le montrais à partir de l'exemple de la grossesse qui renouvelle la façon de penser le corps.
Pourquoi le concept d'«oppression» est-il central dans la philosophie féministe ?
Le concept d'oppression n'a pas été inventé par les philosophes féministes mais elles l'ont transformé : alors que pendant longtemps, on ne parlait d'oppression que pour désigner les effets du pouvoir des tyrans, les Américaines Marilyn Frye et Iris Young ont montré qu'il y avait oppression dès lors que des phénomènes structurels et systématiques créent des groupes sociaux dont les membres de l'un ont du pouvoir sur les membres de l'autre par le simple fait d'appartenir à ce groupe. Par exemple, les hommes sur les femmes, les riches sur les pauvres, les blancs sur les nonblancs. Parler d'oppression c'est, sur le plan descriptif, montrer que la société est structurée par des contraintes institutionnelles injustes et inégales et, par conséquent, sur le plan normatif, mettre en évidence la nécessité d'un changement social vers une société plus juste.
En prenant pour objet la sphère domestique, la philosophie féministe a montré que le privé est politique puisque s'y joue une grande partie de la domination sur les femmes.
La sphère privée est un des sujets centraux de la philosophie féministe. Par exemple, quand on réfléchit au consentement sexuel, on ne fait rien d'autre que d'analyser la façon dont les rapports intimes sont traversés par des rapports de pouvoir. Montrer que le pouvoir ce n'est pas seulement celui d'un gouvernement sur les citoyens mais que la société est un tissu de rapports de pouvoir et de domination qui viennent se déployer y compris dans la famille ou dans le couple est un des apports décisifs de la philosophie féministe.
Si elle a émergé en France avec Beauvoir, la philosophie féministe s'est développée principalement dans les pays anglosaxons depuis les années 70. Où en est-elle aujourd'hui en France ?
Elle a continué, bien après Beauvoir, à se construire en France, avec Michèle Le Doeuff, Colette Guillaumin et Sarah Kofman, par exemple. Mais c'est vrai que ces philosophes féministes en France ont été en quelque sorte mises en retrait de la vie universitaire et ont eu du mal à faire des émules. Puis est venue une nouvelle génération, notamment avec Elsa Dorlin et Sandra Laugier, qui a fait revenir la philosophie féministe en France, tant et si bien qu'elle est un des champs les plus dynamiques en ce moment, avec beaucoup de chercheuses comme Camille Froidevaux-Metterie ou Vanina Mozziconacci, mais aussi beaucoup d'étudiants et de doctorants qui s'intéressent à ce champ et en développent les possibilités.
Depuis quelques années, des polémiques virulentes opposent les féministes «universalistes» et «intersectionnelles», ou «deuxième» et «troisième vague» Peut-on réconcilier ces deux camps ?
Certes, il y a des désaccords parfois très forts parmi les féministes mais ils sont surtout la marque de la vitalité de la pensée féministe. Plus vous avez de gens différents qui luttent ensemble, plus il est probable que ces gens se disputent au sujet de leurs luttes ! C'est salutaire et cela nous permet à toutes d'avancer.
L'intersectionnalité, en considérant la multiplicité des identités et des facteurs de domination, ne met-elle pas en péril le fait de penser «les femmes» ? Ne met-elle pas ainsi la philosophie féministe dans une impasse ?
Pourquoi on ne pourrait plus parler « des femmes » ? On peut tout à fait parler d'elles sans postuler qu'elles ont exactement la même expérience du fait d'être des femmes. Je crois qu'il est très important d'arrêter de laisser l'extrême droite dicter nos façons de penser les concepts de la recherche en sciences sociales. Le concept d'intersectionnalité est sérieux et, comme beaucoup de concepts de sciences sociales, tous les chercheurs et chercheuses ne s'accordent pas sur sa définition, sur son emploi. Mais il faut arrêter le fantasme qui consiste à en faire un cheval de bataille d'idéologies séparatistes et dangereuses, ce n'est tout simplement pas le cas ! Il faut lire les philosophes féministes qui travaillent sur ces sujets comme Uma Narayan, Serene Khader ou Soumaya Mestiri. Le discours consistant à dire que l'intersectionnalité interdirait de parler « des femmes » transforme une question réelle et importante - quel est le sujet du féminisme si on ne pense pas que toutes les femmes sont opprimées de la même manière ? - en une affirmation fausse, dont la fonction est simplement de faire peur aux gens en disant : « Regardez tous ces gens qui luttent contre de multiples oppressions, en fait ils veulent détruire la lutte des femmes ! » C'est du fantasme, et du fantasme raciste. "
(1) Hegel écrivait : «Les femmes peuvent avoir de la culture, des idées, du goût de la finesse, mais elles n'ont pas l'idéal» ; et Auguste Comte : «C'est afin de mieux développer sa supériorité morale que la femme doit accepter avec reconnaissance la juste domination pratique de l'homme » (2) La philosophie féministe est-elle un oxymore ? de Nancy Bauer (2003).
Philosophie féministe de Manon Garcia éd. Vrin, 458 pp., 15 €.
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audessusdesgens · 3 years
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Compersion .
Ce sentiment, que j ai essayé pendant 4 ans de comprendre, d assimiler.
Tu es un être indépendant, tu as des besoins d aimer, tu aimes plusieurs.
Je comprenais la situation, le pourquoi, pas le comment.
Je ne te voulais que pour moi car je t avais trop partagé.
Je ne te voulais qu avec moi car j avais peur (j ai toujours ) d etre abandonnée et seule .
Après de multiples déchirements tu as fait ce choix de n aimer que moi . Mais la vie, les situations, ton passé que je te poussais à résoudre ont fait que tu t es senti étouffé. Tu as eu besoin aussi de l'aimer elle.
Tu l aimes, de façon différente.
Tu m'aimes , plus comme avant .
J ai traversé ce miroir, ce mur , en me brisant. Mais de l autre côté, j ai enfin compris qui tu es et je te revois enfin heureux. Enfin ce sentiment de compersion , qui n est pas facile à ressentir.
Il est toujours difficile de voir celui qu on aime avec une autre. Mais de te voir heureux est tellement important à mes yeux.
Et puis, nous vivons en ce moment quelque chose de hors du commun. Aucun mot pour le nommer. De l'amour oui, de l amitié si profonde, des discussions , une vie sans carcan, sans obligation. Le sexe aussi à été décomplexé (encore plus). Les fou rires au milieu, la passion, la douceur , les nouvelles choses...
Je me re-découvre depuis que l on s est quitté comme amoureux de tous les jours.
J ai peur encore, de te perdre réellement, mais je n ai plus de jalousie, je laisse cela aux autres.
Je sais que tu m aimes. Je t aime.
Je suis heureuse de voir tes yeux briller, ton rire revenir ,alors si dans notre bulle nous pouvons nous créer ces petits bonheurs cela me va.
Juste cette bulle ce lien fort et indestructible. Car nous avons grandi ensemble dans notre amour et celui ci a dépassé le simple stade de la relation. Il est Amour, au sens universel.
J aurais toujours besoin de toi, de ta présence mais autrement oui.
Alors , prenons juste ce qui est bon pour nous, maintenant et après...faire fi des normalisations, des cases de la société.
Tant que je suis heureuse, tant que tu es heureux.
Je t aime , mon charmant charmeur, mon Ami d Amour @baumeaucoeur62
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radcaen · 4 years
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La féminine universelle
"Si noues voulons entièremente prendre le contrôle de nos vies de femmes, elle est aujourd'hui impérative qu'on les considère comme importantes et excitantes. [...] Elle est impérative que les histoires que noues racontons à nos enfantes commencent désormaise par "Elle était une fois". Alors, après des siècles de masculin universel, je vais me payer le luxe ici d'écrire à la Féminine Universelle." -Marguerite Stern, Héroïnes de la Rue-
Cette article sera écrite à la féminine universelle par souci de cohérence, et parce que j'adore cette manière d'écrire. Une immense mercie à celle qui m'a proposée cette idée d'article, que je voulais faire depuis quelques semaines sans arriver à la faire.
Qu'est-ce que la féminine universelle ?
La féminine universelle est une des manières de s'exprimer, à l'orale et à l'écrite, qui remplace la masculine par défaut. Elle a été inventée par Typhaine D. et popularisée par Marguerite Stern dans sa livre "Héroïnes de la Rue", écrite entièrement à la féminine. Elle s'agit de remplacer les accords masculines de la langue française par des accords féminines, afin de renverser la règle selon laquelle le mâle est la base de toute, et la femelle n'est qu'une variation.
La féminine universelle est une langue évolutive, qui est écrite, dite et interprétée différemmente par les femmes qui l'emploient. Certaines ne changent que les accords, d'autres féminisent les mots, etc. Chacune est libre de l'utiliser ou pas, elle n'y a pas d'injonction particulière. La but de la féminine universelle est de faire penser différemmente, en envisageant les femmes comme la valeur par défaut de la langue française. Elle s'agit d'une initiative féministe.
Quelle utilité concrète ?
La science du langage est une monde à part entière, mais je vais essayer de résumer rapidement : la langue façonne la manière de penser des gens. Ainsi, elle a été démontrée qu'elle existe une corrélation entre les droits des femmes dans une pays donnée, et la langue de cette pays. Les langues les plus égalitaires sont celles qui sont neutres par défaut, avec la possibilité de préciser le sexe des personnes, comme en anglais. Les langues qui sont juste neutres, ou les langues dans lesquelles tout est "genrée" (comme la française), sont moins égalitaires.
Elle n'existe, à l'heure actuelle, aucune langue dont la féminine est la valeur genrée par défaut. On ne peut donc pas savoir quelle est l'impacte de la féminisation de la langue sur les droits des femmes. On ne peut que théoriser et extrapoler. Hors, elle est très probable qu'une telle manière de s'exprimer ait une impacte très positive sur la psychée des gens, tant sur les hommes que sur les femmes.
Comment l'utiliser ?
Typhaine D., l'inventrice de la féminine universelle et de l'expression "femmage", est une féministe et autrice, qui comprends l'importance des mots. La féminine universelle est une forme radicale de féminisation de la langue, puisqu'elle va à la racine de la masculinisation pour la remplacer par une base féminine. Mais elle est possible de féminiser la langue de manière plus douce pour celles d'entre noues qui ne peuvent se permettre de changer toute leur langage.
Reprendre les accords de proximité est une base simple, plus naturelle qui consiste à accorder à la sujette la plus proche plutôt qu'à la masculine. Elle est égalemente possible de reprendre des mots qui existaient avante pour décrire les femmes, et notamment leurs professions, mais qui ont été effacées : professeuse, autrice, mairesse, etc. plutôt que de rajouter une "e" aux versions masculines. Dans mes articles, j'écris à ce que j'appelle la "féminine par défaut", qui consiste à décrire toutes les protagonistes comme des femmes quand je ne connais pas leur sexe.
Conclusion
La féminine universelle est une langue que j'adore. Je ne l'utilise pas dans mes articles dans une démarche de clartée et d'accessibilitée, mais je suis heureuse de recevoir des messages écrites avec sur ma page Instagram. Si voues avez des difficultés à voues y habituer, je vous assure qu'après avoir lue "Héroïnes de la Rue" elle voues viendra naturellemente.
Les femmes ont été secondaires dans toute l'histoire de l'Humanitée, elle est temps de revenir au centre de noes propres vies, et cela passe par la langage. Réapproprions-nous la langue.
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davidvidal12 · 3 years
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^le soleil brille notre planète va de plus en plus mal
bonsoir ou bonjour  ,je suis en train d’écrire deux lettres une sur l’écologie ,une sur se que veut nous faire avaler le gouvernement , ma première lettre fais six feuilles écrite à la main ,la deuxième fait plus de vingt feuilles , ,je dénonce qu’on fait rien pour sauver la planète ,vous parlez tous ,pendent se temps la forêt Amazonienne brule pour le profit des agriculteurs du Brésil, on attend quoi pour faire classer certaines forêts à Madagascar une des plus belle forêt y en reste plus que 30% , en Cote D’ivoire la forêt détruite à 90% pour y planter des cacaoyers ,la dernière forêt qui reste ,les enfants vendu par leurs parents du Burkina Faso la sulfate au glifosate ,le président ferme les yeux, comme dans d’autres pays d’Afriques ou il y à des trafiques de pangolins , d’éléphants ,plus les chinois qui demande aux présidents Africains de virer une famille de leurs terre pour ouvrir une usine, bientôt nous serons ,huit milliards ,on fait quoi contre la surpopulations ,comme dit le chef cuisinier Thierry Marx nous somme une personne pour un hectare ,bientôt nous serons six pour un hectare ,nous somme dans le pays des droits de l’homme j’accuse les français de acheter du chinois ,de cautionner le mal vire de beaucoup de chinois ,de cautionner le non respect du peuple chinois par leur président , Madame Ane Hidalgo ,vous faite le grand paris ,par contre se que je trouve pas bien vous allez faire changer les voitures diesel à certaines personnes qui son âgé ,par contre on touche pas au gros pays qui pollue au co2 au gaz à effet de serre les Emirats Arabes ,le Canada qui cherche le pétrole ,vous parlez tous de l’insécurité, vous faite jamais rien tout les politiques ,les bons étrangers en on marre ,toujours du bla bla ,faut faire comme a su le faire Charle Pasqua ?tout se qui respecte pas le pays on les renvois dans leur pays d’origine avec une interdiction de revenir dans le pays , on nous parle de la burka ,nous somme dans le pays des droits de l’homme ,on interdit la burka ,la croix en publique ,voila un bout de mes deux lettres qui risque de finir au tribunal de paris ,faite donc lire ça à Ian Brossat ,j’aimerais bien que y m’aide avec le parti communiste , je vote plus ,j’en ai Marre de voir que les riches de plus en plus riche que les pauvres de plus en plus pauvre ,que on sais que notre planète va de plus en plus mal ,que long fait rien pour laisser faire du profit aux multinationales ,nous somme le pays de l’évasion fiscale ,de la fraude au travail au noir ,à la fraude à la sécu ,faudrait faire comme dans les pays du nord Suède , Norvège , Finlande, Danemark ,les riches comme les moins riche paie l’mpôt sur le revenu ,depuis Chirac que veut dire le mot politique ? je vous parle pas de l(hôpital, une catastrophe ;à force d’avoir fermer des lits ,de pas vouloir investir dans la recherche ,alors que on a une des meilleur médecine du monde ,des sous on en lâche en crédit allouer à !’armée , même si je vote plus je regarde toute les chaines d’informations ,bfm tv ,France 24 ,et autre ,je sais que les politiques vous voulez un jour finir par faire voter une loi qui nous oblige à aller voter ,oubliez pas se qui avais dans le temps marquer sur nos pièces égalité ,fraternité ,liberté ,donc je dit liberté de ne pas aller voter , ,je envois tout les politiques au tribunal ,coca cola qui met des appareils gratuit un mois puis payant , nutella qui fait déforester pour planter des arbres à huile de palme ,  y va se poser un très gros problème y va y avoir jusqu’à quatre degrés du réchauffement climatique ,donc l’Amérique Latine Nora plus d’eau pour arroser ses cultures comme la glace aura fondu sur les glaciers ,l’Afrique ne pourra plus cultiver ,il faudra que ses deux continent immigre ,l’Europe avons nous les moyens de les accueillir ? .Les politiques parle de l’islamiste pur et dur ,il me parle jamais du Qatar qui paie les mouvements islamistes . Les politiques parle de la drogue ,jamais il ne bouge ,il ne font rien ,se serais bien de supprimer les aides . Nous somme dans le pays des droits de l’homme ,j’accuse les français qui hachette du fabrique en Chine de cautionner le mal travailler des ouvriers dans les usines ,je suis aller voir sur internet si on trouve des télés fabriquer en Europe ,la dernière marque Philips à en fabriquer a fermer la branche télé ,comme il y a la concurrence Asiatique ,j’accuse les Français de vouloir payer moins cher ,par contre quand y von acheter un téléphone portable de ne pas regarder le prix ,j’accuse aussi Monsieur Macron et Madame Merkel de ne pas défendre les entreprise Européennes , j’accuse aussi les patrons qui veule faire fabriquer moins cher ,  D(acheter en Asie en Chine . j’accuse Bruxelles de ne pas baisser les taxes ,quand on veut acheter du tout fabriquer Français dans les centres commerciales on n’en trouve pas , les montres Lip ,les slips Français et autres .  Monsieur Macron a regarder de haut ,a mépriser les gilets jaunes ,il a fait un tour de table avec des maires , il a pas fat une réunion avec les gilets jaunes , il a parler à la télé à dix heures du matin cela ne se fait pas on parle à vingt heures . Au mois de juillet on n’a u 7% D’augmentation de l’électricité ,p puis  1,29 % en Août ,puis au mois d’octobre 4 % Gaz ,plus en novembre plus de 4 % sur les mutuelles  .  Monsieur Macron nous dit se sera les gros de la finances qui von rembourser les 750 milliards emprunter à l’ Europe ,on arrive pas à leurs faire payer l’impôt sur le revenu ,se sera comme toujours le peuple qui va payer . il faudrait faire comme en Suède , Norvège , Finlande , Danemark ,leurs faire payer l’impôt sur le revenu ,pour sauver la planète se serais bien de faire voter une loi qui interdit l’importation des bois exotiques , d’obliger les multinationales du bois à replanter des arbres ,à Madagascar il ne reste plus que 30 % d’une des plus belle forêt au monde ,les femmes se serve du bois pour cuire leurs aliments dans des poêlon, il on le gaz . faut interdire à l’entreprise petit navire de mettre des carrés bois à la mer avec des appâts de pêcher des thons qui n’on même pas frayer , faut interdire les longs filets de pêche ,faudrait interdire les massacres des éléphants des rhinocéros pour leurs cornes , des massacres des requins pour leurs ailerons ,pour finir en Chine . pour faire des économies y faudrait embaucher plus de gens pour faire des contrôles à la fraude à la sécu ,au travaille au noir ,ne plus laisser travailler les grosses multinationales qui ne veule pas payer l’impôt sur le revenu ,faudrait mettre une amende sur chaque ouvriers licencier par les entreprises qui délocalise pour faire encore plus de profits comme les salaires moins payer que en France , faut Monsieur Macron ,avec le président Américain à arriver à faire que les Chinois ne peuvent plus aller en Afrique demander aux présidents Africains de virer des familles pour prendre leurs terres pour faire des usines ,d’acheter leurs terre pour faire une récolte de riz . Monsieur macron j’espère que cette crise du coronavirus va vous donner envie de réfléchir que vous allez plus fermer des hôpitaux pour faire des économies de lits ,plus investir dans le matériels ,dans la recherche , vous lâchez des crédits pour l’armée , les politiques y ne faut plus laisser tout faire aux multinationales à force de leurs laisser tout faire un jour on ne pourra plus rien faire ,on consomme une planète ,ça pourrais être plus si certains se en fiche ,il faudrait vraiment s’occuper du problème de la surpopulation ,en inde les animaux on plus leurs places ,faudrait s’occuper de Bolsonaro qui laisse mettre le feu dans sa forêt qui ne respecte pas les tribus primitives ,faut sauver les Pygmées qui son menacer par l’industrie du bois . au Mali y à un gros problème y a des nuages de criquets pourquoi vous ne faite rien ,pourquoi ne pas aider les entreprises qui fabrique que du tout fabriquer en France on leurs baisse les charges ,on leurs baisse un peut l’impôt sur le revenu , au lieu de vouloir baisser l’impôt sur la taxe d’habitation ,se serais pas mieux de aider les bas salaires ,en France beaucoup de gens vive bien . ; pour faire des économies  vous avez dit on paie 9 retraites ,la dixième faut emprunter ,un jour vous allez nous dire on va devoir baisser les retraites ,pourquoi  ne pas s’occuper de la fraude à la sécu ,du travail au noir ,des évasions fiscales ; En France on consomme trop de médicaments ,y a des médecins qui donne des arrêts de travaille trop facilement ,les politiques en profite ,les présidents touche de grosses rente quand plus président ,y à les banque qui font du profit sur le dos des gens ,faut supprimer le agios quand on ne retire pas dans sa banque ,y a les syndic qui prenne de plus en plus cher ,les mutuelles ,pas ^pour rien que les politiques baisse les remboursements au profits des mutuelles ,voila comment je vois les choses .pour la surpopulation j(ais poser une question à mon maraicher du marcher ,nous allons faire comment pour nourrir 10 milliards d’humains ,y ma répondu se que pensais les légumes faut leur laisser le temps de pousser même sous serre voila comment je vois les choses ,un politique Anglais a dit on va bouger le jour ou  il va y avoir une grosse catastrophe 
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