Tumgik
#couche de travail
holudureni · 2 years
Text
Heure d hiver mode d'emploi lego
#http://vk.cc/c7jKeU#nofollow#<p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><center>HEURE D HIVER MODE D'EMPLOI LEGO >> <strong><u><a href= rel= target="_blan#<br> lego bateau pirate#<br> comment faire un bateau en lego qui flotte#<br> lego 10259#<br> bateau lego titanic#<br> bateau en lego facile#<br> lego 10254tuto lego facile#<br>#<br> </p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>Aujourd'hui#Lego est le 4ème fabricant de jouets mondial. Plus de 800 heures de travail ont été nécessaires pour installer les 2 millions de tuilesD'ai#j'ai déjà commencé à mettre ma vie en cartons en vue du déménagement. des couches de vêtements devenus encombrants à la sortie de l'hiver#Ce modèle LEGO Creator Expert comprend aussi un comptoir à billets avec un horaire et une fenêtre de comptoir avec de la place pour glisser#C'est la Journée de l'échange de travail à LEGO City. Tout C'est l'heure du jeu-questionnaire le plus passionnant au monde ! PLAISIRS D'HIV#Vous verrez ! Après l'achat#n'hésitez pas à consulter la notice LEGO® Creator Expert 10249 Le Magasin d'Hiver pour monter rapidement et facilement votre#En décembre#construis chaque jour un nouveau modèle parmi les 24 proposés sur le thème de l'hiver ou de Noël. Amuse-toi pendant des heures à construire#</p><br>https://ginecefacu.tumblr.com/post/693030504385150976/broyeur-alko-2400-r-notice-download#https://ginecefacu.tumblr.com/post/693030504385150976/broyeur-alko-2400-r-notice-download#https://ginecefacu.tumblr.com/post/693030504385150976/broyeur-alko-2400-r-notice-download.
0 notes
mochademic · 2 months
Text
Tumblr media
100 Days of Productivity [Day: 74] || 100 Jours de Productivité [Jour: 74]
maybe it's alright if I admit that I'm tired. today, though. just today.
it's interesting how you can cram an immense amount of things into one day & still feel like you haven't done much when you finally get some downtime. I've been splitting my days between my studies, freelance work, & now preparatory things for my job. 4:30am to rise & not getting to bed until sometime past 10. this is why I'm deeply grateful I keep a journal. it allows me to look back & remind myself that I really have done enough.
currently listening // Someone by TSS
Peut-être que je peux admettre que je suis fatiguée. Aujourd'hui, cependant, juste aujourd'hui.
C'est intéressant de voir comment on peut accumuler une quantité énorme de choses en une journée tout en ayant l'impression de n'avoir pas fait grand-chose quand on a enfin un peu de temps libre. J'ai partagé mes journées entre mes études, mon travail en freelance, et maintenant les préparatifs pour mon travail. Je me lève à 4 h 30 et ne me couche qu'à 10 h passées. C'est pourquoi je suis profondément reconnaissante de tenir un journal, qui me permet de regarder en arrière et de me rappeler que j'en ai vraiment fait assez.
chanson // Someone par TSS
88 notes · View notes
diapered-dav · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Last day of work before holiday. It's in home office so put on a diaper!
Dernier jour de travail avant les vacances ! C'est en télétravail alors c'est en couche!
128 notes · View notes
lisaalmeida · 2 months
Text
Parce que l'idéal de la femme blanche, séduisante mais pas pute, bien mariée mais pas effacée, travaillant mais sans trop réussir, pour ne pas écraser son homme, mince mais pas névrosée par la nourriture, restant indéfiniment jeune sans se faire défigurer par les chirurgiens de l'esthétique, maman épanouie mais pas accaparée par les couches et les devoirs d'école, bonne maîtresse de maison mais pas bonniche traditionnelle, cultivée mais moins qu'un homme, cette femme blanche heureuse qu'on nous brandit tout le temps sous le nez, celle à laquelle on devrait faire l'effort de ressembler, à part qu'elle a l'air de beaucoup s'emmerder pour pas grand-chose, de toutes façons je ne l'ai jamais croisée, nulle part. Je crois bien qu'elle n'existe pas.
King Kong théorie,
Virginie Despentes.
Tumblr media
48 notes · View notes
thebearchives · 2 years
Note
hi love! congrats on 500♡ may i ask for B4 from your kisses prompts with charles? i'm Mega Stressed from uni work and could really use the comfort :') tysm!
hello!! thank you so much for the request. tried to channel what i would want to hear during my own uni-influenced breakdowns, so i hope this comforts you :')
pairing: charles leclerc x reader
prompt: temple kisses
Tumblr media
the sound of your door opening caught charles’ attention, who turned his attention away from the television just in time to catch your figure shuffling into the room. he couldn’t stop the smile from forming, eyes taking in the large hoodie— his—that you seemed to be drowning in.
you stopped when you reached the couch, standing so close to where charles was sitting that his knee brushed against your own. you nudged his legs and he leaned back, parting them to let you slot yourself in between them. 
“hello, mon ange,” he wrapped his arms around you, lips pressing a lasting kiss against your temple.
you sighed, eyes closing as you felt all your tension release from your body, “hi.”
charles pulled away, letting you scoot down and rest your head just under his chin, against his chest. while you settled down, he turned down the volume of the tv, “avez-vous terminé votre travail?” are you done with your work?
you hummed in agreement, eyes slipping shut. 
one of charles’ hands entangled with your own, squeezing, “that’s good.”
you shook your head, groaning, “i’ve still got so much to do tomorrow, i barely did anything today.”
charles frowned, “but, amour, you’re working as hard as you can. take it one day at a time. you’re doing your best, and that’s more than good enough.”
you fiddled with his fingers, refusing to look him in his eyes, “but i feel like my best isn’t good enough,”
“look at me,” charles pulled his hand away from yours, finger pushing your chin up. he looked deep into your eyes, “you’re doing amazing, amour.”
your eyes flitted down, shy from the confrontation. he gave your chin another nudge, “i’m so proud of you. don’t ever forget that, okay?”
you smiled softly, eyes coming back up to meet his. the honesty and love was clear in his gaze, you couldn’t look away, “okay.”
charles let go of your chin, instead moving his hand behind your neck to pull you down, close. you closed your eyes at the feeling of his lips hitting the edge of your hairline.
“je t’aime, mon ange,” charles breathed out against your skin, “j’aime tout de toi.” i love everything about you. 
you wrapped your arms around him, snuggling back down to his chest, “je t’aime aussi, mon amour, plus que les mots ne peuvent l'expliquer.” more than words can explain.
Tumblr media
560 notes · View notes
homomenhommes · 3 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 114
La nouvelle routine s'est mise en place. Mes clients sont ravis que j'ai pu augmenter le rythme de nos rendez vous. A 4 passes par semaine vu qu'ils sont maintenant 8 ils y ont droit deux fois par mois. Avec l'augmentation de ma " disponibilité ", j'ai pu contenter 4 nouveaux clients pris pour la moitié dans les amateurs de gang bang et l'autre moitié par relation, tous TBM. C'est la marque de ma petite entreprise, la satisfaction des " hors normes " !
Marc entre dans une phase de travail intense avec déplacements et travail à la maison. Nous en discutons ensemble, ce sont des opportunités à ne pas laisser passer. Sacrifice temporaire ! Contrairement à la fois précédente, il ne sera pas obligé de m'organiser mon emploi du temps. Entre mon boulot de paysagiste, la gestion de mes deux poulains, mon taf d'escort officiel d'Emma, il ne me restera pas beaucoup de temps libre. Et là il me laisse libre de baiser avec n'importe lequel de nos amis. Juste quand ses déplacements dépasseront la semaine. Sinon je l'attendrai avec impatience. Mais je ne crois pas que je le ferais.
Je vais me retrouver donc seul un WE sur deux ! C'est Emma qui est contente, elle récupère ainsi mes samedis soirs libres pour sortir.
Mercredi dernier j'ai emmené Ed chez le grand black. A l'aller, il était content car c'était la condition que j'avais posé pour qu'il puisse à l'avenir participer à nos touzes. Quand nous sommes arrivés, Ed a été impressionné par le client. Faut dire que 2m, costaud, noir Kiwi, monté plus de 27 cm x un bon 6,5 de diamètre, ça de quoi impressionner un gamin d'1,66m par 48kg, blanc ! Le client était content que je puisse lui fournir deux jeunes hommes si semblables (âge, format) ;tout en étant si différents (origine). Il l'a tout de suite entrepris. Comme toujours, je reste dans un coin pour veiller sur ma " marchandise ". Ed se trouva nu en un temps record. Profitant de sa force et de la légèreté d'Ed, le client l'a empoigné par les hanches et l'a basculé, tête vers son sexe. Ajustement de la hauteur et Ed se retrouva la gorge empalée sur la mégabite noire. Pour pouvoir respirer et maîtriser un peu l'envahissement de sa gorge il prit appui de ses mains sur les genoux de son pineur. Le client de son coté la bouche posée sur l'anus d'Ed lui bouffait l'oignon à grand coup de langue. C'est la première fois que je voyais cette position à la verticale. Le plus impressionnant c'est qu'ils l'ont tenu un bon moment. Lorsque notre black a pensé qu'Ed était prêt, il l'a posé sur le lit et, profitant de sa position horizontale, s'est enfoncé jusqu'aux couilles dans sa gorge. J'ai entendu que chaque pénétration étranglait Ed. Je me suis approché pour lui dire de se calmer. Il s'est excusé. J'en ai profité pour vérifier la dilatation anale de mon ptit mec. Je ne tiens pas à ce que cette brute le déchire. Il lui avait bien salivé la porte et Ed s'était ouvert à presque 4 doigts. Ça plus un peu de poppers et il pourra prendre le black. Je me retire et disant que c'est Ok et qu'il peut y aller. Pour se faire pardonner, il se couche sur le dos et demande à Ed de venir lui même s'empaler sur sa queue. Malgré la préparation, je vois le visage d'Ed se crisper alors qu'il pousse pour faire entrer le gland. Je m'approche d'eux et lui passe le flacon sous le nez. Chaleur, grosse chaleur et de lui même Ed descend d'une bonne dizaine de cm. Il me réclame une nouvelle dose. Je repasse le flacon et il se retrouve les fesses collées aux cuisses noires. Là, il ne bouge plus. Je lui demande si ça va, il me répond que c'est dur mais que c'est bon aussi. Je m'écarte.
Il reste bien 2/3 minutes sans bouger. Il remonte mais n'ose pas encore sortir toute la bite de son cul. Par contre je l'entends demander plus de gel. Le client se tartine à nouveau la kpote et Ed se rassoit. Le contraste entre les deux protagonistes est total, bien plus qu'avec Jimmy. Ed s'enhardi et entame un " pas " puis un " trot " appréciant sa nouvelle " selle ". Quand son anus s'est bien dilaté, il tourne la tête vers moi et me fait un clin d'oeil. Le black commence à le traiter de " ptite salope ", de " cul à baiser "... il le prend par les hanches et rythme lui même le mouvement d'Ed. Il (le black) se glisse vers le bord du lit et s'assoit en demandant à Ed de serrer ses cuisses contre ses hanches et de s'accrocher à son cou. Là il se lève. Il vient vers moi, me félicite de lui avoir trouvé deux jeunes aussi salopes puis s'écarte et plaque Ed contre un mur pour le fixer alors qu'il reprend le pilonnage anal. Le mec est résistant et je sais qu'il va limer un bon moment. Il bouge encore et vient poser Ed sur le plateau d'une commode, le cul juste au bord. Il n'oublie pas de graisser régulièrement sa tige. Ed est bien parti et même sans poppers donne tout ce qu'il a. Alors que le client l'écrase un peu, il s'empare d'un des gros tétons et l'aspire, le suce, en un mot le tète. Quand il le relâche pour attaquer le second, il découvre un téton raide d'un bon centimètre de longueur. Ses doigts remplacent sa bouche et le client gémis tout en continuant à limer le petit cul blanc d'Ed. Soudain, il se jette en arrière arrachant ses tétons aux bons soins de la bouche d'Ed et se bloque au fond de son cul. Il tressaute 4 à 5 fois avant de sortir. C'est seulement quand il s'est arraché qu'Ed a jute, bon point pour lui ! Comme toujours, le demi-verre de sperme qui distend la kpote est impressionnant. Nous envoyons Ed se doucher et le client me reprend l'enveloppe qu'il m'avait donné d��s l'entrée pour refaire le chèque. Ce qu'il y a de bien chez mes clients c'est qu'ils sont suffisamment honnêtes pour reconnaître que parfois ça vaut plus que la passe de routine. Quand il me tend le nouveau papier, j'ai le plaisir d'y lire un montant augmenté de 50%. Pas mal !
Quand je ramène Ed chez lui, il n'y a personne, le ptit frère est au foot. J'en profite pour l'accompagner jusqu'à sa chambre. Grande, dans les 25m², posters d'équitation au mur !!! Aspect très comme il faut. Comme il n'a pas arrêté de me malaxer le paquet pendant le trajet en moto, je bande encore comme un taureau. Je le pousse sur son lit. Il a compris et défait ceinture et boutons de son 501. Je lui baisse le slip et tâte son anus. Malgré ce qu'il vient de se prendre, il s'est bien refermé et je dois saliver pour le rouvrir. J'ouvre ma combi par le bas, sors mes 20cm et les lui mets profond. Malgré ce qu'il vient de se prendre, son cul s'est bien resserré et je ne " nage " pas dedans. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'exerce à refermer son trou sur un crayon de bois. Il me demande comment et je lui explique les exercices de contractions annales qu'il va devoir faire si il ne veut pas que son anus ressemble à une chatte baveuse. Je reprends mon enculade sans douceur. Ed encaisse comme un pro. Son cul est trop bon. Je finis par éjaculer dedans, mes mains retenant ses hanches pour donner tout au fond de son cul. Il jute dans sa main pour ne pas en mettre partout. Je lui fais bouffer son sperme. Après m'être lavé la queue, je le quitte.
Quand je rentre, je suis seul pour encore un bon moment. Je vais à l'appart et y trouve Jimmy devant la télé. Il ne fait pas très chaud mais la piscine est chauffée et nous allons nous y délasser. Je pars pour 1h à contre courant pendant qu'il nage trankil à coté. Nous sommes interrompus par Marc qui est arrivé avec les peignoirs. Nous rentrons et Jimmy toujours " serviable " tombe à genoux aux pieds de Marc et avant qu'il ait eu le temps de réagir, entame un pipe. La bite mole prend très vite de l'épaisseur et défonce rapidement la gorge de mon petit protégé. Le mercredi, c'est le tour d'Ed et du coup il est en manque ! De mon coté je roule une pelle à mon mec. 10mn de ce régime, Jimmy exerçant des aspirations de plus en plus fortes, massant le gland derrière son larynx, Marc explose et il le gave de jus. J'en récupère une partie en roulant un patin à Jimmy.
Marc décide de garder Jimmy pour la soirée.
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
23 notes · View notes
e642 · 5 months
Text
Le week end dernier a été compliqué pour nous deux. L'ambiance était froide, pesante et désagréable. Suite à quoi, en début de semaine, je lui avais écrit le fameux "il faut qu'on parle". J'y avais notamment abordé le thème de la communication. Notion sur laquelle j'ai du travail certes mais lui encore plus. Je lui disais que ce n'était plus possible qu'on vive des moments aussi pénibles uniquement parce qu'il ne voulait pas me dire ce qu'il se passait que je n'étais pas dans sa tête, que tout n'était pas flagrant, que des fois, je pouvais ne pas me rendre compte d'avoir mal agi ou été maladroite. J'avais pas fait du chantage affectif, j'avais seulement spécifié que moi ce n'était pas quelque chose qui me convenait et que ça me ferait partir à un moment donné si ça ne changeait pas, que j'en avais marre d'amorcer les discussions difficiles mais nécessaires, d'être rejetée par lui à chaque fois que j'essayais de savoir ce qu'il ressentait, et d'accepter ça globalement. On avait beaucoup parlé, il m'avait expliqué ce qui l'avait dérangé le week end dernier, ce qu'il avait ressenti, ce qu'il pensait de mon monologue, etc. Mais du coup, moi j'avais une appréhension pour ce week end là. Je me suis dit "je suis déjà assez chamboulée par les partiels, je veux pas risquer de l'être plus en le voyant, de me rajouter de l'angoisse". Il est quand même venu. Et j'ai senti que la conversation avait fait un bout de chemin dans sa tête. Il est parti tout à l'heure, milieu d'après midi, et avant de partir, il m'a dit "viens on se pose un peu, couche toi tranquillement et écoute moi, laisse moi parler jusqu'au bout et après tu me diras ce que tu as dans la tête". Je savais pas trop ce qu'il allait me dire. J'ai obéi du coup. Je l'ai laissé parler. Il m'a dit, dans les grandes lignes, qu'il était désolé pour le week end dernier et qu'il allait faire de réels efforts pour que notre couple pâtisse moins de ses traumas et surtout de son incapacité à parler dans les moments compliqués. Ensuite, il m'a dit qu'il n'était pas bête, qu'il voyait bien que sous mon calme plat, j'avais peur de rater, puis il m'a aussi dit qu'il avait conscience que cette année avait été dure pour moi. Surtout ce changement de vie, le cancer de ma mère, sa tromperie, et que c'était normal d'avoir eu du mal à m'y mettre. Et que même si je ratais, mes notes ne reflèteraient jamais qui je suis ni ma valeur. Il m'a dit aussi qu'il avait rarement croisé quelqu'un d'aussi intelligent que moi et d'aussi fort (mentalement) et qu'il admirait beaucoup ce côté là de ma personnalité. Puis il a rajouté qu'il croyait en moi, que j'étais capable et que son amour et celui de mes proches n'étaient pas conditionnés à ma réussite scolaire. Puis qu'il m'aimait aussi.
Et tout ça, j'ai beau le savoir, ça m'a fait tellement de bien qu'il le dise et qu'il me montre un côté plus émotionnel de lui. Finalement, ce week end m'a fait un bien fou. J'ai eu l'impression qu'on s'était retrouvés. Il montre tellement peu de lui des fois, qu'on a vite fait de le prendre pour un con mais là, il m'a prouvé le contraire sans même que j'ai à demander.
24 notes · View notes
thebusylilbee · 10 days
Text
Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis » mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors. 
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? » 
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
11 notes · View notes
madame-sakura · 1 month
Text
-"Je ne veux pas être celle qui mène. Je refuse d'être le chef. Je veux vivre dans tout le mystère et la richesse de ma féminité. Je veux un homme qui se couche sur moi, toujours sur moi. Sa volonté, son plaisir, son désir, sa vie, son travail, sa sexualité : voilà la pierre de touche, le levier de commande, mon pivot. Ça m'est égal de travailler, de tenir les rênes sur le plan artistique et intellectuel ; mais comme femme, oh ! mon Dieu, comme femme je veux être dominée. Je me moque que l'on me dise de compter sur moi-même, de ne m'accrocher à personne - tout cela, j'en suis capable - mais je veux être poursuivie, baisée, possédée par la volonté d'un homme, à son heure et selon ses ordres."
- "Pourtant, il me dit : "La première fois que je t'ai vue, j'ai pensé que tu étais perverse, décadente. Et, en dehors de notre expérience personnelle, qui n'est ni perverse ni décadente, je sens chez toi une immense capacité d'abandon, si bien qu'on a l'impression qu'il n'y a pas de limite en toi, pas de limite à ce que tu pourrais être ou faire - c'est ça la décadente, une absence de frontière - un abandon pervers, sans limite à l'expérience."
Anais Nin
8 notes · View notes
uneessencesensible · 1 month
Text
N°2162 – Vendredi 15 mars 2024
J’ai enfin eu mon rendez-vous avec la thérapeute et j’ai enfin le fin mot de l’histoire. Tout part de l’enfance, comme je le pressentais. Ça part de cette période où j’étais sans cesse attachée à ma mère. Que je ne pouvais pas être sans elle, sans me sentir au plus mal. Je pouvais même passer ma journée à lui téléphoner, alors qu’elle était au travail. J’appelais également le père noël entre temps. Mon frère était censé me garder, mais il n’en était rien. Je me rappelle de cette fois-là, car la note de téléphone avait été sacrément salé pour mes parents. Je me rends compte que je reproduis la même chose sur Bae. Je lui envoie sans cesse des messages. Je l’appelle pratiquement tous les jours, sauf le week-end, puisque nous sommes ensemble. C’est dur à accepter, plus dur que je n’aurai imaginer. J’ai craqué ce soir, c’est sorti tout seul. Je sais que ma mère a fait ce qu’elle a pu. Elle n’a pas voulu me faire du mal en me protégeant comme elle l’a fait et je ne lui en veux pas. Loin de là. Je vais suivre ma thérapie et arriver à détruire ce mode de fonctionnement qui s’est implanté dans ma tête. Je vais améliorer et arriver à profiter du présent, à cent pour cent, sans arrière-pensées à cause de mes peurs, de mes angoisses. Je suis en très bonne voie, j’en suis persuadée et je le ressens au fond de moi. Au moins, ce soir, je me couche avec des réponses que j’attendais depuis un bon moment maintenant. Je vais mettre un peu de temps avant de digérer tout ça, mais je me laisse le temps. C’est le mieux que je puisse faire. Une bonne nuit de sommeil et demain, cela ira mieux.
13 notes · View notes
cineclub84 · 1 month
Text
Sisters, 1972
Tumblr media
Danièle Breton rencontre Phillip à un jeu télévisé. Elle le séduit, le ramène chez elle puis couche avec lui. Le lendemain, l'amant entend une dispute entre Danièle et sa soeur jumelle. De sa fenêtre, la journaliste Grace Collier voit Danièle l'assassiner sauvagement. Elle... ou sa soeur jumelle ? Grace appelle la police, qui ne la croit pas, et décide donc de mener sa propre enquête. Seulement, derrière ce meurtre se cache une incroyable et monstrueuse histoire d'amour qui va vite se transformer en cauchemar pour la journaliste...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Brian De Palma est un réalisateur surprenant car il peut autant vous délivrer un cinéma fascinant qu'un navet autrement dit il est instable. Toujours est-il que celui-ci appartient à la première catégorie. Oscillant entre Hitchcock et Argento, Brian De Palma rédige et signe un thriller effroyable, possédant un scénario de très grande qualité et qui plus est regorge de rebondissements. Le film relate l'histoire de deux soeurs siamoises, l'une agréable et l'autre agressive. Sans vous dévoiler le fin mot de l'histoire, il faut vraiment saluer le travail de mise en scène du réalisateur américain. S'appuyant sur une musique terrifiante de Bernard Herrman, Brian De Palma instaure une ambiance malsaine et délivre des plans étonnants ce qui a fait sa réputation de plus grand cadreur de tous les temps, inventant l'image coupée en deux afin de suivre simultanément deux scènes ou évènements. Un film qui débuta le domaine du cinéma d'horreur aux Etats-Unis. Si le film a aussi bien vieilli, c'est parce que le film ne possède aucun temps mort et que le réalisateur allait s'affirmer comme l'un des réalisateurs les plus efficaces de tous les temps. Traduisant le malaise entre deux soeurs siamoises, le film est un formidable témoignage pour défendre cette catégorie de personnes qui appartient à la rareté. Mettons-nous à leur place. Est-il facile déjà d'avoir un jumeau ? Et est-il encore plus facile pour une personne d'être condamnée à rester collée à elle pour le reste de leur vie ? La chirurgie moderne permet aujourd'hui que ce problème génétique soit bien traité mais uniquement dans certains cas! Imaginons que deux frères jumeaux soient collés au cerveau, peut-on leur apporter cette aide précieuse qui est basique pour nous qu'est l'intimité ? Thriller virtuose, réalisation parfaite, sujet rarement abordé dans l'histoire du septième art, ce film permet au spectateur de penser qu'il peut se sentir heureux d'être seul et de ne pas souffrir de schizophrénie. Un excellent long-métrage !
Tumblr media
Official Trailer - SISTERS (1973, Brian De Palma, Margot Kidder, Charles Durning)
youtube
7 notes · View notes
fieriframes · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
[I dream of mirrors. The fauna of mirrors. Mirrors that multiply the world. Mirrors whose reflections weave infinite stories. I saw you from the other side of the mirror.]
IV - Appelant de Minuit
Le téléphone a sonné. J'écoutais en retenant mon souffle. Qui va le prendre ? Personne ? Le diable ? Les deux possibilités semblaient également probables.
C'était aucun des deux. "Le numéro que vous avez composé n'est pas attribué." Ça ne marchait pas. J'ai réessayé avec le même résultat. D'accord, c'était évidemment pas un numéro de téléphone français.
Peut-être que c'était un numéro international. Mais quel pays ? J'ai pensé à l'Empereur. "Créez le calme à partir du chaos en décomposant le problème, puis planifiez les actions nécessaires pour le résoudre". J'ai décidé de travailler systématiquement et de commencer par le début. +1, les Etats Unis.
Donc, +1 626 247 3510, on y va.
Ça sonnait. Quelqu'un a pris le téléphone et ce n'était pas le diable.
C'était une mélodie. Une mélodie faible. Un piano jouait doucement, répétant un morceau simple. Ça ressemblait à une berceuse. Une berceuse triste, hypnotisante et sinistre. La mélodie était toujours légèrement décalée, comme si quelqu'un la jouait en regardant dans le vide. Je pouvais entendre le son des touches du piano enfoncées, ce qui me rapprochait du joueur, mais je n'étais pas sûr de l'endroit où j'étais transporté. Le son du piano donnait l'impression d'être au milieu d'une grande pièce vide.
La mélodie a continué à grandir, avec de plus en plus de couches ajoutées. Après environ une minute, la mélodie a commencé à se défaire. Quand la chanson a été finie, je n'ai pas entendu un bip. Il ne s'agissait manifestement pas d'un message d'accueil sur la messagerie vocale, mais j'ai tout de même raccroché.
J'ai retapé le numéro. La même chanson. Cette fois, j'ai remarqué des altos ou des violons subtiles en bruit de fond. Ils se sont levés et sont tombés. Un flux et un reflux, se déplaçant comme de l'eau. Un deuxième piano plus onirique entrant pour jouer la berceuse une seule fois. Le bruit du vent au loin, hurlant la mélodie.
J'ai appelé au moins dix fois de plus, remarquant à chaque fois de nouveaux détails. Je ne savais pas si les cartes m'avaient vraiment conduit à cette chanson ou si c'était juste une coïncidence. Avant que je puisse y réfléchir sérieusement, je me suis endormi.
J'ai fait les rêves les plus étranges cette nuit-là. J'étais un cormoran, debout sur un pilier près du rivage, regardant la marée monter. Écoutant l'eau heurter les rochers et les vagues qui refluent et coulent. Un port perdu dans les roseaux. Le vent se levant, dominant les sens. La mer et moi, perdus dans le son.
Le lendemain, j'ai cherché le numéro. L'indicatif régional l'a placé à Arcadia, en Californie. Arcadia, comme l'enseigne au néon éclairant le chemin vers la maison d'Amélia. Ce ne pouvait pas être une coïncidence. Ce devait être le bon numéro.
J'ai vécu avec la chanson dans la tête. Jour après jour. Une mélodie si familière, comme si je l'avais connue tout ma vie, mais incapable de lui mettre un nom dessus. Des heures et des heures à réfléchir, à chercher en ligne, à aller de plus en plus profondément dans le terrier du lapin sans s'en rapprocher. D'abord tourmenté par les cartes puis une chanson; je ne savais pas ce qui était pire.
Quelques mois plus tard, la mélodie désormais enfouie dans ma mémoire, j'ai pris un café avec mon amie Christina. Caché dans une petite ruelle, ce café dans Rue de l'Hirondelle était un club de jazz la nuit et servait le meilleur espresso le jour. Le propriétaire était toujours à l'extérieur pour vous accueillir en fumant. On a eu une courte conversation avec lui, commandé des boissons et on s'est dirigé vers le petit coin à l'étage.
♪ Well, the smart money's on Harlow…
Avec une chanson familière jouée sur la stéréo, il a apporté nos boissons avant de retourner à son endroit préféré à l'extérieur. Christina et moi étions seuls là-bas. On a immédiatement commencé à rattraper notre retard sur la vie depuis notre dernière rencontre il y a bien trop longtemps. Elle s'était occupée. Moi aussi, même si je ne savais pas combien je voulais partager.
Il y a eu une pause naturelle dans la conversation et on l'a passée avec la voix incroyable de Tom Waits. Quand la chanson s'est terminée, une autre mélodie très familière a rempli le café. Des violons. Un piano doux. Quand le deuxième piano est entré, les pensées se sont cristallisées dans mon esprit. La chanson au téléphone. Je devais avoir l'air d’un fou, passant de m'asseoir paisiblement sur ma chaise à répéter "Quelle est cette chanson? Quelle est cette chanson?" et se précipiter en bas pour demander au propriétaire. Il n'était pas là, ni à l'extérieur ni à l'intérieur.
Vaincu, je suis remonté pour expliquer mon étrange comportement à Christina. Quand je me suis assise, elle a tourné son portable vers moi et m'a dit: "tu sais, il y a des applis pour tout, même pour trouver des chansons dont tu ne te souviens pas du nom. Maintenant, dis-moi ce qui se passe." Mon cœur battant la chamade, j'ai regardé l'écran et voilà. La chanson mystère, identifiée.
139 notes · View notes
diapered-dav · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Près pour le bricolage avec ma couche sous ma salopette de travail !
Ready for a working day with my diaper under my work overalls.
60 notes · View notes
jeanchrisosme · 8 months
Text
Tout n’est pas parfait dans une relation, cela ne veut pas dire jeter l’éponge au premier obstacle. Il ne s'agit pas de se réveiller tous les matins pour préparer un café et le prendre ensemble. Il ne s'agit pas toujours de recevoir des câlins au lit jusqu'à ce qu'ils s'endorment tous les deux. Ce n'est pas une maison propre, remplie de rires et d'amour tous les jours et ce n'est certainement pas une publicité. Mais c'est quelqu'un qui vole vos couvertures et qui ronfle, et qui est parfois le porte-parole de paroles dures. C’est être en désaccord jusqu’à ce que les cœurs guérissent. C'est rentrer à la maison et trouver la même personne chaque jour, quelqu'un qui tient à toi quoi qu'il arrive. C'est rire des choses stupides que vous faites, même sans le vouloir. Il s’agit de s’entraider dans le dur travail de la vie. C'est apprendre à avaler des mots ennuyeux au lieu de les prononcer à voix haute. Il s'agit de préparer la nourriture la plus simple possible (ou de commander une livraison) et de s'asseoir ensemble pour manger tard, car vous avez tous les deux eu une journée difficile. Et lorsque vous traversez une crise émotionnelle et que votre partenaire couche avec vous, vous tient dans ses bras et vous dit que tout ira bien. Et vous le croyez. Il s’agit de continuer à aimer quelqu’un malgré les défauts et les difficultés de la vie. Aimer quelqu'un n'est pas toujours facile. Mais c’est incroyable et réconfortant, et c’est l’une des meilleures choses que vous vivrez dans la vie. Montrer moins
15 notes · View notes
Text
Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Tumblr media
Apprécier de dormir du sommeil du juste 
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle 
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés 
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur 
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée 
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser ! 
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine 
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping 
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur 
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée 
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin 
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner 
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel 
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes 
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin 
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer 
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là 
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane 
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes 
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque 
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi 
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur 
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée 
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle 
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble 
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid 
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots 
12 notes · View notes
homomenhommes · 3 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 117
Mardi, Marc à sa journée.
Nous passons la matinée au lit entre caresses, mamours et somnolence. Trop bon !!
Au déjeuner, nous discutons du comportement d'Emma. Je lui dis que j'ai l'impression d'être un mélange d'amant, escort-boy et du fils qu'elle n'a pas eu. Il est d'accord avec moi et ajoute que je ne me suis pas trompé vu la fortune de ma nouvelle " mère ". Je ne me vexe pas car je n'ai pas été la chercher et puis il n'est pas dit que cela dure des années ;encore. Je serais peu être un jour remplacé.
Jimmy débarque tout prêt à 14h. Je lui fais confiance et nous partons aussitôt pour sa prestation. Heureusement le mec chez qui on va est plutôt du genre expéditif. Nous serons de retour dans 2 heures trajets compris. Quand il s'est déshabillé, j'ai pu constater qu'effectivement il s'était bien préparé, son trou arborant le pied d'un plug. Pas de fioriture avec ce client. On arrive, il bande dès que Jimmy est nu. Ce dernier s'installe la tête au fond du canapé, à genoux sur le bord, les fesses en l'air. Le mec le dé-plug et s'enfonce direct dans son cul. 1/4 d'heure à 1/2 heure après, le mec a rempli sa kpote et j'attends Jimmy qui a quand même droit à une douche. Avec ce mec, la séance dure maxi 3/4 d'heure. Heureusement que nous sommes au forfait et pas à l'heure !
Retour à la maison en milieu d'après midi.
Comme j'ai installé mon bureau dans le sien, nous travaillons ensemble, Marc et moi, chacun de son coté, jusqu'en début de soirée.
Nous descendons à la salle de muscu nous détendre. Une heure et demie après, nous sommes fatigués. Sous les douches, après nous être lavés, ;nous nous massons, caressons respectivement nos muscles rebondis par les exercices. Après nous être séchés, nous nous hydratons la peau. A la fin, nous bandons tous les deux. Nous glissons sur les tatamis pour nous embrasser et continuer nos caresses. Doucement, je le pousse sur le dos. A genoux à ses cotés, j'explore son corps avec ma bouche. De son visage, je glisse sur son torse, embrasse ses épaules, lèche ses pecs puis suce ses tétons. Ils gonflent sous ma langue. Je les quitte pour descendre plus bas. Le nombril me distrait quelques minutes mais pas plus, pas très érogène comme zone ! De plus son gland gène son accès dès qu'il bande un tant soit peu, ce qui est le cas. Donc pas de déplacement pour attaquer le morceau. La joue posée sur ses abdos, je travaille son gland et uniquement lui. Léchages, mordillements, succions, je ne cesse de l'exciter que lorsque Marc est sur le point de jouir. Puis je recommence dès que la pression est retombée. Il finit par ne plus tenir et poussant sur ma tête, enfonce sa bite dans ma gorge jusqu'à ce que mes dents entourent sa base. Il m'étouffe mais je crois que j'aime ça ! Il me relâche avant que réellement je manque d'oxygène mais c'est pour se mettre à " m'enculer " la bouche à grands coups de reins. Je laisse faire, je sais qu'il va bientôt s'arrêter de lui même avant de juter. Enfin la pause, mais uniquement pour ma gorge, mon cul, lui, prend la relève et, les épaules au sol, le cul relevé, je me fais saillir comme une chienne. J'aime ses coups de reins possessifs, sa façon qu'il a de me démonter la rondelle (façon qui m'excite autant que de me faire défoncer par une bite de 25cm !). Il le sait parfaitement. Il a su dès la première fois me faire jouir dix fois plus fort qu'avec une meuf. Il s'arrête soudain pour de dire d'aller sur le sling et reprend son enculage alors que les pieds coincés dans les supports j'écarte mon cul comme une salope. Ses mains sur mes pecs, triturent mes tétons. Quand il se couche pour me rouler une pelle, il m'écrase les couilles et la bite, renforçant l'excitation. C'est moi qui le premier cède et j'explose entre nos deux corps. Mon sperme tartine nos abdos. Il se redresse, empoigne mes cuisses et augmente la cadence jusqu'à me juter dedans puis ajoute ses dernières giclées aux miennes avant de revenir les étaler en se recouchant sur moi. Un patin d'1/4 d'heure plus tard, nous sommes retournés nous doucher !
Vraiment trop bon mon mec ! Juste un jock sur le sexe nous sommes remontés diner. Pendant que Marc cuisine, je passe voir Jimmy. Il me demande si nos retrouvailles se sont bien passées. Je lui demande si il a diné et de me faire voir son travail. Il me demande si nous avons besoin de lui ce soir. Sa main sur mon jock me fait bander. Du coup je le ramène à la maison. Marc m'interroge du regard, je lui dis que Jimmy avait envie de nous faire plaisir ce soir. Marc lui demande comment. Aussitôt Jimmy se place à genoux devant lui et suce son paquet. Marc, rapidement bande. Jimmy détrempe les mailles de la poche à faire durcir Marc. Sa bite distend le tissus élastique alors seulement, Jimmy écarte le bord pour libérer la " bête ". Je remarque que Jimmy utilise tout son savoir faire et pipe Marc comme un pro. Va falloir que je surveille ça de près, faudrait pas qu'il pique mon homme !! Du coup je m'approche d'eux et roule un patin à Marc. Sa langue me transmet toute l'excitation que lui procure Jimmy. Il finit par ne plus tenir et Jimmy en travers de la table se fait enculer par les 22cm de Marc quand moi je lui cloue le bec en enfonçant bien mon gland dans sa gorge. Au dessus de lui nous continuons notre pelle. J'adore faire l'amour à Marc par ptit mec interposé. Moi aussi j'ai envie d'une queue dans le cul ! Je me détourne de la bouche de Jimmy et demande à Marc de m'intercaler. Il décule et je m'engouffre dans la place libérée. Jimmy serre son anus et moule ma bite au plus près. Bien éduqué ce petit ! (lol) Marc ne met pas longtemps avant de me sodomiser. Je me détends un maximum et il m'enfile jusqu'aux couilles. Je suis le seul en mouvement, ma bascule alternant entrée dans Jimmy / sortie de Marc de mon cul avec l'inverse. Trop bon, c'est moi qui gère l'excitation du trio. Si j'accélère ou si je serre mon cul, j'augmente le pression.
Nous finissons dans cette position, je me fais doser par Marc et je jute au fond de Jimmy. Lui se répand sur son ventre.
Une fois ce dernier reparti à l'appart, j'ai de nouveau mon Marc pour moi tout seul. Les absences répétées pour son taf, nous font apprécier encore plus les moments que nous avons ensemble (même si chacun de notre coté nous ne nous ennuyons pas). Du coup nous ne nous attardons pas et rejoignons notre chambre pour nous câliner.
Mercredi,
Je vais chercher Ed, quand je sonne à la porte, ça s'ouvre aussitôt sur son jeune frère. Je reste dehors, Ed me rejoint rapidement. Nous allons chez un des nouveaux clients.
Le mec est petit, rondouillard mais arbore une bite de plus de 25cm x 6 qu'il sait très bien utiliser à 100%. C'est un doux avec qui tout se passe calmement, délicatement. Ce qui ne veut pas dire que mon poulain a le choix. Le mec sait ce qu'il veut et il l'obtient (d'autant plus qu'il paye pour cela !). Il se fait sucer pour bien bander et n'oublie pas d'aller vérifier la gorge d'Ed en s'enfonçant jusqu'aux couilles. Et comme il aime bien la sensation, il vérifie plusieurs fois. Ed est maintenant rodé et sait parfaitement régler sa respiration pour ne pas s'étouffer. Il maitrise aussi ses réflexes et n'essaye plus de régurgiter involontairement le gland qui l'envahi. Je le vois même aller de lui même ingurgiter le gros gland du mec. Bon petit ! Pendant la pipe il s'occupe du trou d'Ed. C'est un perfectionniste et il passe pas mal de temps à le préparer. Gel, doigt, gel, doigts, jusqu'à réussir à lui en mettre 4 de sa petite main droite. Il fait cela si bien qu'Ed vient tous seul se tortiller le cul dessus. Il commence à bien prendre le pli et devient accro à la bite de mec. D'accord, il m'a avoué avoir phantasmé sur les bites des étalons de son club d'équitation, et de celle non moins grosse qui déformait le jeans d'un certain Lad. Je n'ai fait que mettre à jour sa face pute/soumis qui sommeillait au fond de lui. Quand notre client le sent prêt, il lui demande de se mettre à 4 pattes. Avec son ventre proéminent, c'est la seule position qui lui permet d'enfoncer totalement sa queue au fond de son cul. Avec Jimmy, ce dernier étant beaucoup plus souple qu'Ed, il peu le prendre de face, Jimmy écartant les jambes quasi en grand écart.
Quand il est dans un cul, il aime prendre son temps. Il s'enfonce tout doucement, si lentement que parfois Ed ou Jimmy donnent des coups de cul pour que ça rentre plus vite ! Mais il maitrise et encule sa pute à la vitesse qu'il désire. Avec lui nous en avons pour l'après midi entière. Ce qu'il aime aussi c'est après un moment, déculer et revenir masser le trou examinant les parois internes en écartant l'anus avec ses deux mains. Les premières fois cela fait bizarre de le voir mater pendant 1/4 à 1/2 heure le trou qu'il vient d'élargir, mais après tout c'est son trip ! et au moins celui là est sans danger. Après cela il le ré-encule jusqu'à la jouissance. Pendant la douche de mon toy boy, nous discutons toujours un peu. C'est comme cela que j'ai deviné qu'il était avocat. Au retour, j'arrête la moto dans un chemin pour enculer Ed à mon tour. Pendant les séances de toute façon je bande continuellement. Si je ne veux pas avoir mal aux couilles pendant des heures, il faut bien que je les vide ! Et c'est meilleur dans un cul ou une bouche que dans ma main ! Sans même retirer nos casques, je baisse son jeans et ouvre ma combi juste le nécessaire pour sortir mon service trois pièces et l'enculer plié en travers de la selle. En général c'est rapide, un peu brusque mais trop bon ! En plus le risque d'être surpris renforce l'excitation. Et nous prenons tous les deux un grand plaisir à cette situation. Je le lâche devant chez lui et rentre direct à la maison.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
~~
Tumblr media
16 notes · View notes