Tumgik
#mais qu'est-ce qu'il adore son fils
lilias42 · 2 years
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Faut que ça sorte / que je l'écrive sinon, ça me tournera dans la tête ad vitam aeternam : question existentiel au sujet de l'écriture en approche
J'ai cette question qui n'arrête pas de me tourner dans la tête... quand on réécrit un personnage, qu'est-ce qui est le plus important ?
- Respecter l'idée de départ qui semble avoir été associé au personnage ? => méchant qui adore l'être ; ami des animaux ; misanthrope qui le cache sous un air avenant mais qui est cruel et si vous n'êtes pas dans son petit cercle de proche, vous pouvez crever, iel s'en fichera ; quelqu'un qui a des traumatismes qui handicape sa vie de tous les jours, traumatisme issus des pression qu'iel a subit ; quelqu'un qui décide de ne pas s'en faire ; quelqu'un qui décide de surtout s'occuper du présent car c'est le plus important...
OU ALORS !
- Est-ce qu'on doit respecter l'exécution dans l'oeuvre fini, même si cette exécution et la manière dont cela affecte l'idée de base, même si cela gâche autant l'idée de base et son potentiel ? En particulier quand le gâchis vient de tentatives de rendre comique quelque chose qui ne l'est pas du tout en fait, ou pour faire du proxénétisme du joueur.
En plus de cette question, il y a aussi l'élément on va dire... "affectif", à quel point l'affection qu'on a pour un personnage x ou y affecte notre jugement et notre envie de respecter l'exécution canon ou l'idée de base ?
(suite et ma réponse avec ma position sur le sujet sous la coupe)
Je me pose la question dans le cadre de mon UA car, même si j'ai des OC, je vais devoir réécrire des personnages canon, et en particulier des personnages principaux. Pour le moment, j'ai changé plusieurs éléments car, cela ne collait plus au nouveau contexte, tout en essayant de conserver au maximum ce qui est l'essence du personnage dans le canon.
Pour le moment, le seul personnage canon (qui existe avec plus d'une ligne j'entends) qui a eu un billet est Rodrigue, et j'ai essayé de conserver un maximum son caractère dans le canon, tout en l'adaptant au contexte de l'UA "bye !". Cependant ! Est-ce que je le conserve car j'aime sa personnalité dans le canon ainsi que son idée de base (un bon père juste dépassé par les évènements, qui fait des erreurs car il est dans la pire des situations ou pas loin et qui tente de se reconnecter sans succès à son fils tout en tenant la promesse faite à son meilleur ami) OU, parce que cela colle encore à celui qu'il est dans l'UA ? Je pense que pour lui, c'est un mélange des deux mais, je sais très bien que pour plusieurs personnages, je vais surement devoir choisir entre les deux options : respecter l'idée de base OU l'exécution en jeu.
Prenons un personnage pas du tout polémique... voyons... disons Edelgard. J'aime beaucoup son idée de base : c'est une impérialiste qui veut reconstituer l'ancien territoire de son empire, tant pis pour les autres nations qui ont déjà au moins 400 d'autonomie vis-à-vis d'Adrestia, une femme qui est prête à tout pour atteindre son objectif, tellement sûre d'avoir raison sur toute la ligne qu'elle n'écoute rien ni personne, même si rien n'a de sens quand on réfléchit 2 minutes (je pense à son idée que les Sept ceux ceux qui ont ordonné les expérimentations pour créé l'empereur ultime qui a juste... zéro sens si on y réfléchit un peu et qu'on sait ce qui s'est passé en Ordélia avant). J'aime cette idée de base, j'adorerais que ce soit une méchante qu'on adore détester car, elle ne pense qu'à elle-même et pas aux autres, envoyant ses sujets au casse-pipe pour qu'ils accomplissent CES désis à ELLE, dans une guerre que personne n'a jamais voulu, le tout pour que SON pays soit de nouveau le premier, quitte à décapiter les autres à coup de hache, option qu'elle préfèrera toujours pour résoudre TOUS ses problèmes, tellement que cela est même rappelé dans sa conversation de cuisine :
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J'aime cette idée ! J'aime aussi les détails par-ci par-là qui montre qu'elle n'est clairement pas une bonne dirigeante, comme sa paresse chronique (rappeler ici, surtout quand vous répondez ce qu'aurait dit Hubert, ses conversation de thé qui le rappelle souvent là où Dimitri parle de travail et Claude de découvrir la vérité, le tout en étant très hypocrite là-dessus comme dans son soutien avec Linhardt [même s'il ne l'a pas volé ces accusations de flemmardise, c'est un peu l'hôpital qui se fiche de la charité]) et son inconscience de tout ce qui empêche les gens de s'élever tout seul car, les choses sont plus compliqué que juste une question de force brute (rappeler ici avec Ferdinand, et dans les pourparlers avec Dimitri dans AM) et qu'elle n'a aucune vision sur le long terme contrairement à Dimitri et Claude (Byleth a l'excuse qu'iel n'aurait jamais imaginé finir dirigeant-e de Fodlan au moins). Cela me fait un peu penser à Scar dans le Roi Lion, même s'il y a surement des exemples plus pertinents à faire, et ce au sein même de la licence FE : un ambitieux assoiffé de pouvoir mais qui, une fois au sommet, se révèle être un très mauvais dirigeant à cause de sa paresse et de son absence de politique sur le long terme. Et avec son côté immature (penser qu'elle a toujours raison et tout casser si les choses ne sont pas comme ELLE elle le veut) et avide de pouvoir tout en voulant faire table rase du passé qui ne l'arrange pas, cela me fait penser à Kylo Ren dans les deux films de la (je trouve) très bonne postlogie Star Wars (quel 3ème film ? Y en a eu un ?) : c'est un ado violent et immature qui casse tout autour de lui et qui ne maitrise pas sa colère, et à qui on a eu la mauvaise idée de mettre un flingue entre les mains. Même si certains éléments de son histoire explique son comportement, rien ne justifiera jamais de conquérir la galaxie en massacrant tout ce qui s'y oppose. J'aime l'idée ! Je voudrais l'aimer et la détester en même temps !
MAIS ! Mais - et je crois que ce n'est un secret pour personne pour qui a déjà lu quelques-uns de mes billets sur l'UA "bye !" - malgré cette base prometteuse, je déteste l'exécution de cette idée en jeu. principalement par nécessité de ne pas se faire sentir mal le joueur de s'être laissé aveuglé par son affection pour elle, surtout qu'elle est la principale waifu du jeu, qu'elle est souvent au premier plan des bandes-annonce et qu'honnêtement, ce jeu vise très clairement un public masculin donc, les personnages féminins doivent lui plaire. Le jeu se plie en quatre pour qu'on oublie à quel point elle est horrible, que ses actions sont mauvaises et que c'est elle qui a mis Fodlan à feu et à sang. On oublie même l'Empereur de Flammes après l'ellipse, c'est dire ! On pourra me répondre que c'est parce qu'ils savent que les deux font qu'un mais, je trouve que le jeu ne rappelle pas assez toutes ses actions horribles de WC, ou alors ne parle que de ceux des agarthans. Le conseil de guerre de la lune céruléenne de WV note - surement à raison, en particulier avec les infos qu'on les personnages - qu'Edelgard et le chevalier macabre était leur pion MAIS, en tant que joueur, on sait par CF que l'alliance avec eux était volontaire et dans toutes les routes, qu'elle travaille avec eux même si elle n'approuve pas tout, que le chevalier macabre est sous les ordres d'Edelgard et qu'elle le "prête" aux agarthans pour faire leurs sales besognes (soit tuer des gens, ce qu'elle lui permet aussi de faire en lui donnant des terrains de chasse en continuant d'employer ses services).
ça encore, on peut l'excuser en disant que c'est les personnages qui ne le savent pas, que seul le joueur a une vue complète des évènements mais, quand tout le jeu passe son temps à l'excuser, ça ne passe plus. Le seul qui la confronte vraiment est Dimitri dans la scène des pourparlers, alors que Seteth et Claude sont étrangement arrangeants avec elle (je me souviens qu'il dit qu'il a des objectifs / idéaux assez semblable au sien après l'ellipse mais, j'arrive pas à le retrouver, je mettrais le lien quand j'aurais remis la main dessus). De plus, même s'ils ne connaissent pas tous les détails, tous les personnages SAVENT que c'est ELLE qui a déclaré la guerre à l'Eglise et à tout Fodlan dans la foulée ! C'est elle qui est responsable de tous ses morts, c'est elle qui est responsable de Remire ou l'a au moins laissé arriver, c'est elle qui a créé ou au moins utilise les bêtes démoniaques (fait à partir d'êtres humains je le rappelle et personne ne mérite ça), c'est elle qui envahit et écrase tout sur son passage ! Elle devrait être haït par tout le monde pour cela ! Une fois de nouveau sur pied, Dimitri a l'excuse de se raccrocher à ses souvenirs d'enfance avec elle mais, il la tuera quand même si elle refuse de changer et d'abandonner ses massacres. Claude ne la connait que de loin et sait qu'elle n'a rien contre tuer des gens (en particulier ceux qui sont différents). Et Seteth sait qu'elle est derrière l'enlèvement de sa fille pour lui voler son sang (et je suis persuadée que l'idée de la retrouver transformer en arme lui ait forcément passé par la tête pendant ce mois).
Bref. Le jeu ne devrait pas être aussi complaisant et enclin au pardon avec elle. Le jeu semble confondre "expliquer", et "excuser" alors que si le second ne peut aller sans l'autre, le premier ne conduit pas forcément à l'autre. Et ne parlons pas de CF qui fait tout pour la dédouaner et faire tomber tout le blâme sur ses victimes ou sur les agarthans sinon, on est encore là demain et moi demain, j'ai autre chose à faire.
Certaines circonstances peuvent l'expliquer à l'intérieur même du jeu mais, la plupart sont extérieur à l'histoire en elle-même. Ce sont des impératifs marketing pour plaire à une certaine partie des joueurs qu'on estime majoritaire... ce que je peux comprendre. Il faut que le jeu se vende pour faire tourner la boite, et je ne sais pas comment c'est au Japon mais, en Occident, on connait bien la réaction des fans qui n'ont pas ce qu'il voulait (je pense ici à la postologie Star Wars... et je risque de me faire des ennuis si j'en parle trop [heureusement que je n'écris pas en anglais...]). Ce serait surement se tirer une balle dans le pied de rendre la principale waifu insupportable, même si elle rempli à merveille son rôle de tromper le joueur.
Mais, quand on a un concept pareil, cela pose problème et le gâche car, elle ne peut plus être à la hauteur de ce concept quand elle rougit et s'enferme dans sa chambre un mois car, on a vu son dessin de nous.
D'autres personnages sont touchés par cela, que ce soit pour la comédie ou pour faire du proxénétisme du joueur. Bernadetta qui hurle tout le temps à cause de son traumatisme est le plus souvent montré sous un angle comique. ça peut être touchant (je pense à son soutien avec Ferdinand, grande soeur Dorothéa ou Alois), voir un peu drôle (là, c'est plus celui avec Caspar et Linhardt) mais, d'autres semblent tomber à plat pour la comédie. Ici, je pense à son soutien avec Petra qui part sur une idée intéressante, relativement semblable à celui de Léonie (que je trouve mieux gérer) et pourrait avoir une fin ouverte où Bernadetta décide de faire des efforts plus courageuses mais, avec les trois dernières lignes, cela tombe complètement à plat. Là aussi, je voie l'idée de base : un personnage touché d'anxiété sociale et qui a peur des autres, avec un comportement d'hikikomori à cause d'un traumatisme avec son père. Mais, quand on voie le traitement qu'à le jeu des problèmes mentaux, la finesse et la justesse qu'il peut avoir (celui de Dimitri est très bien fait), cela fait encore plus tâche de voir un traitement comique.
On pourrait me rétorquer : "ce jeu a besoin de comédie pour ne pas être trop sombre"... Oui. Oui, ça fait du bien de la comédie. Les jeux de guerre ne sont pas les plus appropriés je trouve car, la guerre est toujours quelque chose d'horrible mais, c'est vrai qu'on a besoin de légèreté. J'aime beaucoup VW pour ça d'ailleurs, c'est un chemin beaucoup plus léger, notamment grâce à Claude.
Mais, il y a une différence entre "rire avec les personnages", et "rire des personnages". Rire avec les personnages impliquent qu'on s'amuse avec eux (la proposition d'Hilda que Claude ou elle-même se déguise en Edelgard, la remarque de Dimitri quand on lui dit qu'on lui a appris l'humour, le soutien de Léonie et Bernadetta justement au sujet du frelon...) et là, je n'ai aucun problème avec ça. Par contre, "rire des personnages" impliquent qu'on ridiculise un personnage exprès pour la comédie, ce qui provoque un détachement vis-à-vis de ce qui se passe. Cela peut très bien marcher dans certaines occasions spécifiques, notamment avec les méchants faits pour être ridicule. Je pense encore à Kylo Ren qui a plusieurs moments comme ça mais, avec les deux films qui n'oublient jamais qu'il est dangereux, ce qu'un personnage comme Edelgard ne peut pas se vanter sur CF où elle a besoin de Byleth pour lui tenir la main. Avec Bernadetta, on est souvent dans la situation qu'on rit d'elle car, elle est anxieuse socialement et qu'elle est inadapté. On a le soutien de Petra mais, celui avec Sylvain (pourtant très bon sur l'idée : il essaye de complimenter son livre qu'il a sincèrement aimer avec une lettre pour ne pas l'effrayer) ou d'Ingrid (qui essaye de la faire sortir de sa chambre car, elle s'est elle-même enfermée après la mort de Glenn et veut l'aider) en pâtissent aussi. Elle ne se rend pas compte que Sylvain est juste gentil avec elle car il aime son écriture et continue de nier, le tout après des réactions très exagéré où elle a pensé qu'il faudrait le cramer pour que personne ne connaisse son livre, même si elle se ravise. Et celui d'Ingrid est essentiellement Ingrid qui enfonce sa porte pour la forcer à s'entrainer, ce qui n'est agréable en AUCUNE circonstance, a un moment où elles semblent se comprendre avec Bernadetta qui reprend un peu confiance mais, ça se finit quand même sur Bernadetta hurlant avec Ingrid qui la force à s'entrainer. Je veux bien que ce soit dans la personnalité d'Ingrid de ne pas faire de concessions mais, pas à ce point, elle reste sérieuse. Elle obligera Sylvain à s'entrainer car il est paresseux et qu'ils se connaissent depuis toujours. Elle ne le fera surement pas avec Bernadetta qui est très clairement mal à l'aise et qu'elle connait beaucoup moins bien. Elle a des moments comme ça dans son soutien C avec Ignatz où elle lui force la main et que leur deux caractères rentrent en collision dans leur soutien B mais, c'est les 2 premiers soutiens sur 4, elle va s'améliorer, alors qu'elle ne s'améliore pas avec Bernadetta, elle reste à la case départ. Tout ça pour de la comédie qui rabaisse les personnages : si le jeu ne les respecte même pas, pourquoi devrais-je les respecter ou en avoir quelque chose à faire d'eux ?
Bref, j'ai encore fait un pavé sur un coup de tête... tout ça pour dire que quand je réécrirais un personnage canon, je pense que je l'écrirais plutôt en respectant ce qui me semble l'idée de départ plutôt que l'exécution en jeu. Je pense que je procéderais ainsi :
- un ou deux paragraphes que j'essayerais de garder relativement court (dans la limite de ce qui est court pour moi où je parle de ce qui me semble être son idée de base, puis de son exécution en jeu
- le reste sa réécriture dans le contexte de l'UA "bye !", avec des justifications aux changements que je fais par rapport à l'exécution dans le canon.
Je pense que c'est le chemin que je vais suivre, respecter l'idée et le concept de départ qui semble se dessiner derrière l'exécution d'un personnage, quitte à contredire cette même exécution, en particulier quand je trouve cela plus pertinent. Cependant, c'est surement extrêmement arrogant de ma part, et même prétentieux, ce que je ne veux pas. C'est comme si je disais que je comprenais mieux les personnages que leurs propres créateurs. Ayant moi-même écrit des oeuvres "originales" (même si ce mot n'a plus de sens en terme de création artistique à notre époque selon moi car, tout a été fait, refait, parodié, détourné, récupéré et s'inspire des choses que les auteurs aiment) avant de faire des fanfic sur Fe3h (car c'est marrant et que ce jeu a bien bousculer mon univers mental et créatif), je n'apprécierais vraiment pas si on me disait que j'ai mal compris un de mes propres personnages, en particulier sans argument. Ajouter à cela que si j'ai bien compris, la plupart des personnages de Fe3h sont des détournements / critique / contre-pieds d'archétype propre à la série. N'ayant fait que deux jeux (Fe3h et Awakening), je ne peux pas connaitre ces archétypes (tout au plus, je voie que "Lorenz = Virion ou Maribelle" ; "Ingrid +/- = Zelcher (et encore)" ; "Léonie = Sully" ; "Félix +/- = Lon'qu" en terme d'archétype). Je ne peux donc pas m'appuyer dessus quand je réécris un personnage et n'en prend pas compte.
C'est pour ça que je tâcherais de justifier le plus possible mes changements et pourquoi je pense que ce sont de bons changements. Un auteur n'est pas un dieu, il fait forcément des erreurs. Je fais des erreurs, les auteurs de Fe3h font des erreurs, tous les auteurs font des erreurs, tout le monde fait des erreurs. Cependant, je comprendrais que ce soit une mauvaise voie et si vous trouvez cela insultant, je tâcherais de me rapprocher du canon pour réécrire des personnages, voir réécrire des billets si cela s'en éloigne trop. Dans un sens, heureusement que la question a poppé dans ma tête avant que je ne réécrive des personnages principaux...
Bon ! J'espère que je ne vous ai pas trop saoulé avec ces questions existentielles qui me sont passé par la tête ! Fallait que je le dise sinon, ça allait me trotter dans le gandot jusqu'à ce que mort s'en suive alors, je voulais l'écrire. En plus, je pense que c'est une bonne chose d'être au clair sur la méthode. C'est comme en science pour ça, il faut faire connaitre son point de vue, sa vision des choses, et il faut avoir une méthode claire et la faire connaitre. Ainsi, c'est plus simple de trouver les vices de procédures et y remédier si nécessaire pour faire un meilleur travail. Et les gens savent où ils mettent les pieds. J'espère simplement que ce n'est ni trop prétentieux, ni trop égocentrique de ma part. Si cela l'est, n'hésitez pas à me le dire et je supprimerais ce billet pour ne pas pourrir le reste.
Merci de votre attention.
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sammyjomcl · 3 years
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Voici un autre bout de Moments oubliés. Nath est si beau dans son costume de futur marié que ça m'a donné envie d'écrire ce petit texte qui me trotte dans la tête depuis un moment.
Merci d'avance à celles qui me liront. Si vous pouvez me laisser un petit message pour me livrer votre ressenti ça serait génial car j'ai bientôt fini ces Moments oubliés et ça sera ma dernière histoire donc ça compte pas mal pour moi.
Bonne lecture!
Moments oubliés (suite)
Je regarde l'horloge et le constat ne change pas. Ma sœur est en retard. Je prends mon téléphone pour lui envoyer un message mais c'est à ce moment-la que la sonnerie de la porte de l'appartement retentit. Je vais ouvrir et elle me sourit avant de me prendre dans ses bras.
- Bonjour Ambre, toujours à l'heure à ce que je vois...
- Bonjour mon adorable frère qui remarque ce genre de choses immédiatement au lieu de me saluer chaleureusement après tant de temps sans se voir...
Je la regarde et j'ai envie de lui ébouriffer les cheveux. Elle devine mes pensées et fait un pas en arrière.
- Ah non Nath, pas touche à ma coiffure!
Je lève les yeux au ciel. Mais je sais bien que son apparence compte plus que tout pour elle, surtout depuis que sa carrière professionnelle dans le mannequinat se déroule bien. Je prends un moment pour l'observer. Bien coiffée et maquillée, vêtements tirés à quatre épingles... mais surtout...
- Tu as l'air en forme.
- Tu t'inquiètes toujours pour ma santé, n'est-ce pas?
- ...
- Eh bien tu peux être rassuré. J'ai même fait une prise de sang la semaine dernière et je vais très bien. A moins que tu ne préfères lancer une enquête sur moi...
Je suis intérieurement soulagé. Elle voyage beaucoup et on se donne peu de nouvelles. Je n'ai donc que rarement l'occasion de lui demander comment va sa santé. Elle croise les bras sur sa poitrine et fronce les sourcils.
- J'imagine que tu ne regardes même pas les photos que je fais pour certains magazines ?
- Huummm Ambre... tu fais surtout des photos pour de la lingerie alors j'ai pas tellement envie de voir ça...
- Ha! Idiot, je ne passe pas mon temps en petite tenue. Il y a différents styles de lingeries. Et certains magasines demandent de très belles photos.
Devant mon air blasé, elle secoue la tête. Passons à autre chose.
- Tu viens prendre un thé ? J'ai acheté celui dont tu m'as parlé.
- Ah ça fait plaisir de voir que tu m'écoutes de temps en temps.
Nous voilà vite installés devant nos thés. Je prends un autre petit instant pour l'observer pendant qu'elle caresse Blanche. Elle me fait penser à notre mère. Je dirais même qu'elle lui ressemble de plus en plus. Mais... je ne peux m'empêcher de sourire en réalisant que je la trouve plus... épanouie... Je suis vraiment soulagé que la ressemblance s'arrête à certains traits physiques. J'espère qu'elle ne sera jamais aigrie comme notre mère.
Blanche finit par s'en aller et Ambre se tourne vers moi.
- Tu as bonne mine toi aussi. Et comment va Su'?
- Elle aurait aimé être là mais elle recrute justement une nouvelle serveuse parce qu'elle a de plus en plus de travail et... on a aussi besoin de temps pour nous.
- Je suis contente que ça se passe bien pour vous. Alors...
Devant mon mutisme, elle soupire.
- Nath, j'ai bien compris par tes nombreux messages la semaine dernière que tu avais quelque chose d'important à me dire. Je me suis libérée rapidement pour ça. Ça n'a pas l'air d'être une mauvaise nouvelle alors j'attends que tu me dises de quoi il s'agit...
Elle n'a pas toujours été perspicace à mon sujet mais elle s'est améliorée avec le temps. Et comme je n'ai pas envie de tourner autour du pot...
- Je vais me marier l'an prochain. J'ai donc pensé que je devais te prévenir aussi vite que possible pour que tu me réserves une date dans ton emploi du temps bien rempli.
Elle ne bouge pas et me regarde fixement. Une seconde plus tard, sa tasse de thé manque de tomber alors qu'elle me saute dessus en criant.
- Mon petit frère va se marier !!!! Je...
- Tu quoi?
Elle me regarde, un peu gênée.
- Disons que j'avais des doutes sur ton envie de te marier un jour.
- Je ne peux pas te jeter la pierre à ce sujet, le mariage a longtemps fait partie des concepts qui ne me disaient rien. Et puis... c'est venu naturellement alors... pourquoi pas?
- Je suis si heureuse! Bon... je vais t'emmener faire les boutiques. Et je vais contacter quelques personnes qui ont des boutiques à l'étranger... j'ai travaillé avec des gens qui...
- Du calme, pas la peine d'appeler toute l'industrie du mariage !
Elle me regarde, sévère. J'ai compris, madame n'acceptera pas que son frère se marie avec un costume trouvé dans la boutique du coin.
- Nathaniel... j'ai très envie de t'apporter mon aide.
- Tu as surtout envie de me surveiller parce qu'il paraît que mon sens de l'habillement a toujours été questionnable...
Elle pince ses lèvres et finit par avoir un sourire en coin.
- Il est vrai que tu n'es pas particulièrement doué côté fringues. Mais là c'est différent. Mon petit frère se marie et j'ai envie que tu aies un costume qui te correspond. Et aussi pour que tu sois magnifique sur les photos.
Je secoue la tête, amusé. Elle se met à fouiller dans son téléphone.
- J'ai aussi de très bons contacts pour des robes de mariées...
- Su' a déjà des tonnes d'adresses à voir mais j'imagine que quelques unes en plus ne feront pas de mal.
Après une petite heure à parler tenues de mariage, ou plutôt à écouter Ambre parler de tenues qu'elle a vues de par le monde, elle finit par poser son téléphone. Son ton change et je sens qu'elle va aborder un sujet délicat.
- J'ai hâte de me trouver une superbe tenue. Il faudra voir si Su' a un code couleurs en tête pour sa famille et... Nath... tu comptes le dire aux...?
- Non.
Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase. J'aurais même pu lui écrire une grande pancarte avec un gros NON marqué dessus avant même qu'elle ouvre la bouche.
Elle se mord la lèvre et cherche ses mots, sans parvenir à les trouver.
- Ambre, ma famille c'est toi. Je n'ai besoin de personne d'autre. Et je vais même aller plus loin. Je vais très bien en pensant à mon mariage sans nos parents. J'ai beaucoup travaillé sur mes sentiments à leur égard et... je n'ai plus cette colère aveuglante. Mais je suis arrivé à la conclusion que je n'avais pas envie de leur pardonner leurs erreurs. Et je n'ai pas envie qu'ils fassent partie de ma vie. Nous sommes assez grands pour savoir ce que l'on veut, qui l'ont veut avoir autour de soi. On me répète sans arrêt qu'on ne doit inviter à son mariage que les personnes que l'on veut vraiment voir. Se forcer à inviter des inconnus ou des membres de la famille lointaine n'est jamais une bonne idée. Je sais que tu trimballes dans ta tête tes rêves de gosse où nous sommes une gentille petite famille. Mais ma vision de la famille c'est ça; Toi. Et Su'. Et Blanche bien sûr.
Ambre sourit légèrement. Elle hoche la tête.
- Je comprends. Et tu as raison. Ce jour-là doit être fêté avec les personnes que tu souhaites voir. Je reste en ville jusqu'à la fin de la semaine. Je vais te trouver un beau costume.
- Tu sais qu'on a le temps...
- Oui mais si tu craques sur une tenue maintenant, ça sera déjà ça en moins à prévoir ! Tu as une préférence de couleur? Je dois peut-être voir avec Su'...
- Elle m'a dit de choisir parce que je suis "magnifique dans n'importe quel costume" et que ça doit d'abord me plaire à moi.
- Compte sur moi et tu seras encore mieux que "magnifique" !
Je suis content de la voir si motivée. Je n'en attendais pas moins d'elle. Ça me fait aussi plaisir de savoir que je vais passer un peu de temps avec elle.
- Demain, RDV à 10h pour aller dans la ville voisine pour un premier repérage. Et une autre boutique se trouve à une heure de route mais on va y passer aussi.
Hum... bon je vais peut-être un peu regretter de passer du temps avec elle au final. Elle va être sans pitié avec moi pour trouver la tenue parfaite.
Les mois ont passé et j'ai dû un peu calmer ma sœur niveau achats. Je sais que c'est mignon d'un côté, elle se donne à fond pour mon mariage mais elle est limite à vouloir me trouver un costume cousu au fil d'or.
Nous voilà devant une énième boutique. Ambre affiche une moue boudeuse.
- Nath, je ne connais pas cette boutique. Certes, on y trouve quelques marques de qualité mais...
- Mais quoi? Leigh a donné cette adresse car il connaît une vendeuse qui lui a dit avoir eu un bel arrivage. Il a un peu vu leur collection et il pense que ça pourrait me correspondre.
Elle hausse les épaules et nous rentrons dans la boutique. L'humeur maussade de ma sœur disparaît quand elle voit certains costumes et elle se met à parler frénétiquement avec une vendeuse. J'ai l'impression qu'elle m'a oublié... bah, autant que j'aille faire un petit tour pour voir ce que je trouve.
J'ai du mal à me projeter dans une tenue. J'ai l'impression que tous ces costumes feraient l'affaire. Est-ce vraiment si important d'en essayer une centaine pour en choisir un ? J'ai bien entendu envie que ma future épouse me trouve parfait pour cette journée spéciale...
Un coup d'œil rapide vers Ambre m'indique qu'elle a jeté son dévolu sur un costume noir et un autre blanc. Ce n'est pas la première fois que ça arrive, elle a du mal à se decider sur laquelle de ces deux couleurs m'irait le mieux. J'imagine que le moment des essayages va bientôt commencer.
Juste avant de faire marche arrière, un bout de tissu bleu clair attire mon attention. Je m'approche du mannequin qui porte le costume et...
- Nath, qu'est-ce que tu fais?
- La même chose que toi, je regarde ce qu'il y a d'intéressant et je trouvais cette couleur pas mal du tout.
Ambre hausse les sourcils. J'aurais juré qu'elle aurait rigolé en me disant que, évidemment, j'ai choisi du bleu, qui est une couleur que j'apprécie. Mais après tout pourquoi pas?
- J'ai déjà essayé un costume bleu nuit. Tu m'as dit que c'était trop sombre et que ça n'allait pas avec mes cheveux ou je ne sais plus quoi. Ce bleu me plaît bien.
- C'est la première fois qu'une tenue a l'air de te plaire. Ça vaut le coup d'essayer !
Ni une ni deux, elle fond sur une vendeuse qui va me chercher un costume à essayer.
Je me retrouve dans la cabine d'essayage, devant le miroir, à me regarder en tentant de deviner si Su' apprécierait de me voir ainsi habillé. C'est beaucoup moins classique que du noir ou du blanc. J'essaie même d'imaginer ma future épouse à mes côtés dans une belle robe mais l'exercice s'avère compliqué car je n'ai pas trop d'imagination à ce sujet. Elle sera superbe sans aucun doute.
- Naaaath tu es prêt ? Je peux voir? Qu'est-ce qui te prend autant de temps?
Décidément, la patience n'est pas une histoire de famille. Je sors pour me faire inspecter sous toutes les coutures par ma jumelle. Son visage est neutre pendant toute la durée de son inspection, qui semble ne pas finir. Elle finit par hocher la tête et me lance un énorme sourire.
- Ça te va vraiment très bien! Je pense qu'on touche au but! Il nous faut des chaussures claires et tu seras parfait. En tout cas tu as bien choisi, ton mauvais goût vestimentaire a su rester au placard pour l'occasion!
- ... C'est un compliment, ça? Je devrais peut-être demander à Su' ce qu'elle en pense...
- Tu n'as pas envie de lui faire la surprise ?
Je me regarde à nouveau dans le miroir. Je dois bien avouer que cette tenue me plaît. Je me tourne vers la vendeuse.
- Je pense qu'on a trouvé ce qu'on cherchait.
- Une minute, papillon! On doit prendre tes mesures pour que ce soit à ta taille. Puis vérifier que tout est raccord niveau couleur de la tête aux pieds.
- Ambre, je dois rentrer chez moi bosser sur un dossier...
Les mains sur les hanches, elle me regarde, sérieuse. La vendeuse qui se tient à côté se retient de rire. Il va me falloir encore un peu de courage.
Je rentre à l'appartement et m'effondre sur le canapé du salon. Su' émerge de la chambre.
- Bonjour mon chéri! Oh... tu reviens du boulot? Tu as l'air crevé, je croyais que tu étais avec Ambre.
- J'étais en effet avec la fashion police qui me sert de sœur et elle m'a lessivé.
Elle rigole et vient s'asseoir à côté de moi, m'invitant à poser ma tête sur ses cuisses. Ses mains se glissent dans mes cheveux et enfin je me sens me relaxer.
- Alors, ça a été dur?
- Oui et non. Prendre des mesures de la tête aux pieds, c'est pas ce que je préfère. Mais j'ai choisi un costume. Je peux officiellement dire que je suis habillé pour notre mariage.
- Oh mais c'est super! Je peux savoir ce que tu as pris?
- Hum...
Elle explose de rire. Ses doigts se promènent toujours entre mes cheveux.
- Ne t'en fais pas mon chéri, j'ai hâte de te voir dans ton costume mais ça ne me dérange pas que tu gardes la surprise. J'ai déjà ma petite idée sur la question.
- Ah bon?
- Connaissant Ambre, elle aura essayé de te trouver un élégant costume noir ou à l'opposé blanc, d'une marque qu'elle juge digne de sa confiance. Mais moi je te vois plutôt choisir du bleu, vu que c'est la couleur que tu affectionnes le plus.
Ma tête surprise la fait sourire. Je ne devrais peut-être pas être si surpris, après toutes ces années ensemble, on se connaît bien donc l'entendre si proche de ce qui s'est passé est plutôt normal. Je lui souris à mon tour.
- Future Madame Carello, vous êtes définitivement parfaite pour moi. Nous devrions nous marier sans plus attendre.
- On vérifie les prochains vols pour Las Vegas et on se marie dans la foulée puis on loue une voiture pour longer la côte ouest avant de partir sur la route 66?
- Tentant. Enfin, jusqu'à ce que ma sœur nous retrouve pour nous faire la scène du siècle.
- MIAOU?
- Ah... Blanche n'est pas d'accord en plus...
Je finis par me lever du canapé et tend pour main à Su' pour qu'elle se lève à son tour.
- Il se fait tard, on va se cuisiner un petit dîner ?
- Avec plaisir!
- Et toi côté robe de mariée, tu en es où ?
Elle hausse les sourcils.
- Inspecteur, vous n'avez pas le droit de mener cette enquête. Je ne répondrai à aucune question.
- Je suis sûr que je peux te faire craquer.
Un petit sourire en coin, elle me lance un défi du regard. La soirée ne fait que commencer.
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frenchhobbit · 3 years
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Entre rêve et cauchemar chpt2
Chapitre 2
Chryséis se leva du mauvais pied, un peu comme tous les matins. Elle n'aimait pas se lever tôt, elle se sentait plus à l'aise la nuit. Mais il y avait cours, et elle devait y aller...
 Encore à moitié endormie, elle se traina jusqu'à la salle de bain. Elle se brossa les dents, se débarbouilla le visage. Puis elle se regarda dans le miroir. Les cinq années à Poudlard l'avaient aidé à mûrir. Elle n'était plus joufflue et moche comme à la rentrée, son visage s'était allongé. Elle était toujours loin des canons de beauté avec son visage rond, ses yeux noirs et ses cheveux marrons légèrement ondulés. Ses traits étaient plutôt normaux aussi, elle était à peine jolie. Mais elle avait appris à s'affirmer, à afficher son style sans se soucier du regard des autres.
 Elle s'habilla ensuite, rentrant sa chemise blanche dans sa jupe verte et argent. Elle accrocha une chaîne en guise de ceinture et mis boucles d'oreille (un dragon d'argent) et bagues à ses doigts. Ensuite, elle attacha ses cheveux en une queue de cheval sur le côté.
 Elle admira son reflet : elle aimait beaucoup son style. Mais pour parfaire tout ça, elle aurait aimé se teindre les cheveux en vert sapin, légèrement plus sombre que les couleurs de sa maison. Il faudrait qu'elle jette un coup d'oeil au manuel de potions pour trouver quelque chose...
 "Allez bouge Chrys, on va rater les pancakes !" lui dit Ellana.
 Dans son dortoir, elle cohabitait avec Ellana, Saihma et Liomée. Toutes trois étaient amies, ou plutôt potes. En fait, Chryséis n'avait qu'une seule vraie amie : Henriette Scamander. De deux ans son aînée, la jeune fille était à Poufsouffle. L'amitié entre les deux maisons était réputée et Chryséis et Henriette en donnaient un parfait exemple. Mais bientôt Henriette quitterait Poudlard. La Serpentard en était très triste. Elle se demandait comment elle ferait sans elle.
 Car elle n'était pas très sociable. En vérité, elle aimait bien se mélanger aux autres, rire avec eux, ce genre de choses. Mais elle ne liait jamais de lien très fort. Car Chryséis, au fil de sa première année, avait développé une dépression. Et cela lui gâchait la vie.
 En fait, l'épisode du train, le jour de son arrivée, l'avait beaucoup plus impacté que prévu. Mais, pire encore, Lucius Malfoy et Bellatrix Lestrange, en voyant que Chryséis était dans leur maison, s'étaient fait un malin plaisir à la harceler. Ils avaient commencé par l'humilier, d'abord en privé, puis en public quelques fois. Ils lui avaient lancé des sorts, cassé ses lunettes... Jamais rien de très grave, mais assez régulièrement pour que ça blesse Chryséis de manière irrémédiable. Elle se défendait au début, mais au bout de deux mois elle n'en eut plus la force et tenta simplement de se protéger comme elle pouvait.
 Mais l'histoire se termina assez rapidement. Quelques mois plus tard, en apprenant qu'elle était née-moldue, ils s'étaient mis à la traiter de "sang de bourbe". C'est là que les professeurs étaient intervenus, imposant une distance entre eux.
 Cette histoire n'avait pas duré longtemps, mais Chryséis ne s'en était jamais remise. Ils avaient réussi à l'isoler et elle avait sombré. Bien sûr, elle gardait tout cela bien caché, mais les cicatrices un peu partout sur son corps témoignaient de son état mental peu stable.
 Pour autant, elle continuait son quotidien comme si tout allait bien - ou du moins elle essayait.
 Encore la dernière, elle pressa le pas pour rattraper ses amies. Elle sortit des cachots et prit les escaliers pour monter à la Grande Salle. Certains élèves arrivaient encore. Et parmi eux, elle aperçut le fameux groupe des Maraudeurs. Tout le monde les connaissait à Poudlard. Non seulement ils étaient intelligents, mais ils étaient aussi farceurs, drôles et beaux. Sirius Black surtout.
 Sirius était probablement le plus beau garçon de l'école. Et toutes les filles l'avaient remarqué. Chryséis aussi, bien sûr. Mais elle tentait de ne pas y penser. Car, après tout, dans quelle réalité Sirius Black pourrait jamais s'intéresser à elle ? Pas dans cette réalité-ci, en tout cas.
 Elle s'arrêta pour laisser passer le groupe de garçons. Sirius ne la vit pas. James Potter en revanche l'observa avec un dédain moqueur - il n'aimait pas les Serpentard. Mais Remus Lupin, d'une main dans le dos, le poussa à avancer et offrit à Chrys un petit sourire désolé.
 Et si jamais il y avait une chance que le plus beau garçon de l'école s'intéresse à une fille comme elle, toute interaction entre eux serait impossible puisqu'il détestait, comme son meilleur ami, les Serpentard. Quelle veine pour elle !
 Elle soupira et alla déjeuner.
 *****
 Au retour des vacances, Chryséis se sentait un peu mieux. Elle avait passé quelques jours agréables dans son Ecosse natale et était prête à affronter le reste du trimestre. Dans le trajet pour retourner à Poudlard, elle discuta beaucoup avec Henriette. Elles parlèrent jusqu'au quai de Pré-au-lard et s'attardèrent un peu, laissant les autres les devancer. Mais bientôt, un groupe de septième année vint chercher Henriette. Elle s'excusa et partit avec eux.
 Chryséis se retrouva seule, mais cela ne la dérangeait pas, elle aimait bien marcher seule. Elle commença à réfléchir à tous les devoirs qu'elle avait pour demain - les avait-elle faits ?
 "Ouais c'est bon, lâchez-moi !" grogna quelqu'un derrière.
 "Sirius ! Ne te défile pas comme ça ! Mère a raison, c'est important !"
 En entendant le nom de Sirius, Chryséis se tendit mais résista à la tentation de se retourner.
 "Ouais c'est ça !... bande de bouffons..."
 Il arriva bientôt à sa hauteur. Elle avait compris qu'il venait de se disputer avec sa famille et n'osa pas faire le moindre mouvement vers lui - ce n'était pas le moment de l'importuner. Mais un petit groupe de filles devant eux s'étaient retournées et voyaient une opportunité dans la situation : Sirius n'était que rarement sans son groupe d'amis et il était difficile de l'aborder. Pour une fois qu'il était seul, elles n'allaient pas se gêner !
 Sauf que Sirius n'était clairement pas d'humeur. Il soupira en cherchant une échappatoire. Et il vit Chryséis qui essayait de passer inaperçue. C'était ça ou pire : il avança vers elle.
 "C'est quoi ton nom ?" lui demanda-t-il tout bas.
 "Euh... Chry-Chryséis Daley..." bégaya-t-elle.
 "Chrys !" s'exclama-t-il en lui tapant l'épaule comme si c'était une vieille amie. "Ca fait un bail dis donc ! Qu'est-ce que tu me racontes ?" Et il rajouta, plus bas : "Continue à avancer, s'te plait."
 Elle le suivit. Il déblatéra quelques banalités jusqu'à avoir semé sa famille et dépassé le groupe de jeunes filles sans un regard. Quand ils furent un peu plus seuls, il soupira et retira son sourire de façade.
 "Désolé, Daley. J'en peux plus de ces gens. Et merci."
 "Je t'en prie," répondit-elle, doucement, les joues rouges.
 "T'es à Serpentard, c'est ça?"
 Elle n'aurait pas pu nier : ses habits la trahissaient. Alors elle répondit d'une toute petite voix déçue.
 "Oui."
 "Bah c'est cool, t'as pas l'air chtarbée, comme les autres."
 "Y a pas que des cons dans notre maison," répliqua pourtant Chrys en repensant à ses adorables colocataires.
 "Ouais, c'est ça," rit-il. "Eh mais, c'est pas toi que l'autre Malfoy il avait embêtée la première année ? Parce que t'étais une née-moldue ?"
 Chryséis se referma immédiatement sur elle-même. Les souvenirs étaient douloureux, même après cinq ans.
 "Si."
 "Oh. Désolé. C'était pas cool de leur part franchement. Ca va depuis ?"
 "Ouais."
 Il se tut. Chryséis ne sut pas trop s'il avait compris à quel point il remuait le couteau dans la plaie ou s'il trouvait toute cette situation gênante.
"Bon, je vais essayer d'aller retrouver mes potes. Merci de m'avoir sauvé la mise. Je t'en dois une, Daley. Allez salut !"
 Et aussi soudainement, il partit en avant.
 Sa première conversation avec Sirius Black. Et elle avait été gênante au possible.
 Sérieusement ?! .... Elle était maudite.
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aristidehfyu083 · 3 years
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lounesdarbois · 3 years
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Les Blancs face au Mal
Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. 
Ephésiens, 6:12 
Un bref retour sur les années 1920 pour comprendre que la haine  anti-Blanc est l'expression d'autre chose. Probablement l'impression en creux de l'avancée de la technique (dès 1920-30 avec électricité, eau et gaz à tous les étages, voiture). Le Blanc comme père, mari et travailleur est rendu caduc par l'ingratitude de ses obligés et obligées désormais autonomes par félonie et ingratitude. Haute technologie et basse bestialité fraternisent étrangement en une convergence d'intérêts communs.
Puissance de deux grands auteurs des années 1920, de Lovecraft et de Morand, pour comprendre en période d'apostasie accélérée la fascination (répulsion mêlée d'attraction, comportement de la jeune femme devant le fascinus) pour les cultes sauvages des primitifs arriérés, forme sanglante et barbare du saint sacrifice non-sanglant de la messe. Le fils de Yog-sotot (Lovecraft, L'abomination de Dunwich) est crucifié, le cadavre du roi Mongkoû (Morand, La chèvre sans cornes) a les jambes rompues pour ne pas qu'il se relève). Le phénomène blanche à black (Charleston) procéderait donc d'abord d'une capitulation spirituelle nommée apostasie, qui potentialise alors l'efficacité des magies noires. 
« Lovecraft retrouve ici une source fantastique très ancienne : le Mal, issu d’une union charnelle contre nature ». 
Michel Houellebecq, Lovecraft: Contre le monde, contre la vie. 
L'homme libre-penseur éclairé plaçant le catéchisme et les contes Serge le mytho au même niveau de suspicion, s'ouvre tout grand aux "arts premiers", aux cultes vaudous soudain riches de subtiles profondeurs insoupçonnées, au rock et à sa généalogie trouble, à l'insoupçonné sémiologie de chaque tam du tam-tam. La jobardise du bourgeois érudit qui se pâme sur "le sauvage si spontané" comme un forcené parti trop loin se met pour chercher l'équilibre perdu à adorer son contrepoint, est une chose vue et revue. Le son que produit le tam-tam ("mais non Papa, c'est un djeumbé!"), instrument rudimentaire, est forcément la réduction de la musique à sa plus pauvre expression: le beat, support hypertrophié de toutes les musiques depuis le plan Marshall (concept d'animation machinale du monde chez Clouscard dans Le capitalisme de la séduction, thème des danses africaines chez Houellebecq dans Les particules élémentaires), qui s'adresse au cerveau reptilien. 
Et si ni le singe ni le robot ne savent créer une mélodie, tous deux savent très bien s'en approprier le prestige comme le levain pourrait s’approprier les mérites de la pâte: la boîte à rythme et le sampler ne produisent rien, mais imitent et reproduisent abstraitement la musique, et répondent admirablement au singe dans une dialectique du singe et du robot qu'avait mis en évidence le Dantec des TdO. Tous nos mœurs actuels seraient la face émergée de soubassements spirituels changeants comme d'imperceptibles plaques tectoniques dont nous aurions appelé à notre insu les bouleversements par le rejet de la religion de nos pères. Le monde veut nous divertir, et nous, nous convertir.
De même que le prolétaire envieux du supérieur et le bourgeois parvenu par des mensonges forment en fait une seule et même personne, l'homme de l'esprit critique sourcilleux qui se montre scrupuleux algébriste devant l'Evangile est le même qui fonce dans les fausses religions, les cultes arriérés, les mensonges épais des manipulateurs certes professionnels mais rendus par la crédulité de leur parterre, fainéants à monter un bobard trop bien ficelé. Rejetant la religion de la lumière, sur eux fondirent les ténèbres. 
Ainsi prennent-ils pour premier ce qui est dernier, pour jeunesse et renouveau ce qui est sénile. Fatale conséquence de cet aveuglement surnaturel (Deutéronome chapitre 28, verset 28) ces docteurs en esprit critique mais analphabètes de l'intuition et du bon sens deviennent-ils stériles pour eux-mêmes et agents de prolifération pour l'envahisseur, gardiens intraitables du camp de concentration de leurs frères détenus européens et portiers "ouvreurs" serviles du pont-levis sur Gibraltar. C'est par mépris téméraire des forces invisibles et surestimation de l'esprit critique, déformation professionnelle, que l'observateur croit parfois au complot rationnel organisé. Ctulluh veille. 
2019, la princesse royale de Norvège fière de narguer les derniers Blancs en s'affichant avec un chamane africain? Paris tous âges et classes confondus habillé en kids moulés Hanounah-PNL? Les plus scrupuleuses critiques rationnelles rejettent l’Eglise, mais pour foncer dans le vaudou l'heure suivante? Le plug de Vendôme, les perruches au bois de Sceaux, la population active sous shit et porno, Notre-Dame en flammes? Rien de tout cela n'étonne le lecteur de Magie Noire (1928) où chacun de ces phénomènes est prophétisé en toutes lettres, annoncé avec une prise de risque maximale. Mais sait-on encore lire? Que dire de ceci, rédigé 14 ans avant les faits: "Le mois qui suivit l'ouverture des hostilités entre les Etats-Unis et le Japon, après l'indécise bataille de Pearl Harbor", dans Le Tsar Noir, chapitre 3, paragraphe 2. Qu'est-il le plus facile? Alors pour que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir... 
Si Lovecraft identifie le principe du Mal à un monstre qui embusqué dans les interstices des plans de l’univers, à “un conglomérat de globes iridescents toujours fluctuants, s'interpénétrant et se brisant”, Morand soumet au révélateur dans le premier chapitre de Rien que la Terre et dans Magie Noire une catastrophe qui avance comme un hydre aux têtes changeantes et renouvelables dans le temps. Les fléaux que nous voyons sont les protoplasmes d’assaut dont le Mal est le noyau décisif, et que la majorité des hommes terrifiés par sa puissance décident de servir (substrat du premier monologue de Kurz dans Apocalypse Now) à proportion de leurs capacités d'entendement. Ce culte au Mal se nomme vaudou ici, talmud là, il vit de la peine des Gentils, par leur sueur, leur sang et leurs larmes, il aime l'obscurité, le rembrunissement et l'oxydation, il avance comme la Bête Sauvage (Clouscard) qui cherche affamée des arpents vierges à salir c'est pourquoi son ennemie absolue est aussi l'objet de son désir souilleur : l'Immaculée. 40 années de pornographie démontrent que le personnage de la "grosse pute" remporte moins de succès que celui de la jeune nymphette innocente dont la rareté concentre encore plus anxieusement les avidités multipliées. 
Mais on dit ça, on crie dans le désert...
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dramaticalraven · 4 years
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Tout simplement
Han Solo aimait beaucoup de choses. Parmi elles se trouvaient le sex, les arnaques, les voitures de collection, son Faucon Millénium, son physique et, cela peut paraître étrange, ses cheveux.
Mais ce qu'il aimait par-dessus tout, c'était de se réveiller près de son petit-ami. L'adorable et (démesurément) intelligent Luke Skywalker. Il ne se sentait pas idiot à côté de lui, juste dépassé. Mais il aimait le sourire qu'avait Luke quand il lui expliquait quelque chose. Le blondinet utilisait des mots compliqués, parfois dans une autre langue, et Han aimait ça. Il trouvait ça affreusement sexy.
Luke avait une sœur jumelle, que Han aimait... Enfin aimer est un bien grand mot ! Leia Organa Skywalker avait la langue bien pendue et beaucoup de répondant. Elle était aussi sur-protectrice, vicieuse, rancunière, hautaine et une tueuse de plans accomplie. Han ne comptait plus le nombre de fois où Luke l'avait laissé tombé pour passer du temps avec sa sœur. Mais il ne lui en voulait pas. Han n'avait pas de famille alors Leia est, pour lui, ce qu'on appellerait la belle-sœur machiavélique.
Les parents de Luke... Aïe... Avec eux il avait du mal. Mais il les aimait... bien... Padmé, politicienne en proie à devenir Gouverneur, avait accueillie Han avec un speech d'intimidation. Le coup du "tu fais du mal à mon fils et je ferais en sorte que jamais tu ne puisses remettre les pieds dans ce pays". Han aimait bien Padmé et Leia parce qu'elle veillaient sur Luke.
Anakin Skywalker d'un autre côté... Han ne l'aimait pas beaucoup. Déjà il lui avait fait le coup du "tu fais pleurer une seule fois mon fils et tu peux être sûr qu'on ne retrouvera jamais un seul morceau de ton cadavre" dès que Luke eut le dos tourné... Ensuite il avait fait en sorte d'espionner ou faire espionner chacun de leurs rendez-vous... Après ce fut les descentes de la police dans son petit appartement... Puis les tentatives de faire rompre Luke par des inscriptions dans les plus grandes écoles d'ingénierie avancée... Et la dernière vacherie en date... La corruption. Anakin lui avait offert de l'argent s'il quittait Luke. Proposition à double tranchant puisqu'en rompant il ferait pleurer le blondinet ce qui entraînerait sa mort prématurée.
L'oncle Ben ? N'en parlons pas... Il fait un truc flippant de liseur de pensée. C'est trop pour Han.
Han aimait la famille de Luke, à quelques exceptions près. Mais il aimait Luke encore plus. Et ce qu'il aimait bien plus encore était de le regarder dormir.
Luke est lové contre lui, la tête dans le creux de son épaule, les mains sur sa poitrine et ses jambes entremêlées aux siennes. Han Solo n'échangerait sa place pour rien au monde. Il n'y a rien que l'univers pourrait lui offrir qui serait plus beau que son Luke Skywalker. Son précieux et adorable Luke...
Parce que... Qu'est-ce qu'il y a de plus beaux que les instants passés avec l'être aimé ? Absolument rien.
Han aimait beaucoup de choses. Parmi elles se trouvaient le sex, les arnaques, les voitures de collection, son Faucon Millénium, son physique et, cela peut paraître étrange, ses cheveux. Parce qu'il n'aimait rien qui n'était pas en rapport avec Luke.
Luke qui adorait le sex dans le Faucon Millénium. Luke qui adorait le voir arnaquer les petits commerçants de rue quand ils essayaient de les mener en bateau. Luke qui adorait les voitures de collection de son père. Luke qui adorait le regarder faire du sport. Luke qui adorait passer encore et encore ses mains dans ses cheveux.
Han Solo aimait Luke Skywalker. Parce que Luke Skywalker aimait Han Solo. Tout simplement.
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claudehenrion · 4 years
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Racisme ou racismes ? ( I ) : un concept flou devenu fou...
 La fin mégotée et mesquine du confinement très excessif auquel nous avons été condamnés sans jugement a été, en plus, gâchée par la triste “farce-attrape” qu'est l'amalgame honteux qui est fait entre un assassinat par un policier américain et un accident dans une gendarmerie française…  Ces deux manières de vivre le racisme sont insupportables ! Mais une seule est employée par la grande majorité des commentateurs, en majorité passablement décérébrés…  ‘’Racisme’’ est un mot extrêmement dangereux à manier, et pourtant, chacun le dégaine à tout propos, notre époque semblant avoir une vraie fascination pour les transgressions et une réelle attirance pour les concepts mal définis et les vocables privés de leur sens.
 En français, ce mot désigne un concept idéologique foireux qui présuppose l’existence de races humaines, ce qui est indéniable (la preuve ? Hollande le condamnait ! C'est tout dire !), mais qui prétend établir entre elles des gradations dans la supériorité et l’infériorité, ce qui est faux. ”Etre raciste” ne devrait donc avoir qu'un seul et unique sens : “souscrire à cette vision hiérarchisée du monde”. Ceux de nos compatriotes qui adhèrent à ce choix philosophique (?) douteux doivent se compter un petit 0,1 ‰  de la population, et si les ”racistes” sont plus nombreux dans des sondages, c’est à cause des énormes déformations sémantiques qui affectent et esquintent ce mot  -ce qui est une des caractéristiques de notre temps.
 En ”novlangue”, en revanche, la définition est… absente, par définition ! C'est ce qui explique pourquoi les cuistres adorent brandir ce mot à tout va : la seule force de leur jargon informe consiste à priver les mots de tout sens précis… ce qui ouvre grand la porte à n’importe quelles dérives conceptuelles. ”Etre raciste” peut alors signifier : ”se retrouver mis dans une case floue où quelqu’un avait besoin de vous faire entrer, pour démontrer que vous êtes pervers, méchant, indigne, fou, criminel, blanc de peau, etc… ou que vous n'êtes pas “politiquement correct”. Que tout cela soit affirmé sans preuves et soit souvent faux, ne suffit pas à rétablir la vérité : leur nouvelle vérité n'est que mensonges, et c’est une autre des constantes de notre temps ! Souvenez-vous de Humpty-Dumpty, ce personnage de ’‘Alice au pays des merveilles”, qui affirmait avec mépris à Alice : “Quand j'utilise un mot, il signifie exactement ce que j'ai décidé qu'il signifie, ni plus, ni moins, car je suis le maître !”.  Ce gros œuf prétentieux, premier personnage “politiquement correct” de l'histoire, préfigurait la cohorte de nos politiciens et la pseudo-intelligentzia de Gauche qui changent le sens de chaque mot employé à chaque utilisation, sans sens, si j’ose !
 Que cache ce Racisme qui court les rues en ces jours si tristes pour ceux qui admirent l'intelligence ? Ce mot galvaudé camoufle mal les mésaventures d’un concept vide que chacun définit donc comme il lui convient à l'instant où il l'emploie ! Une première remarque porte sur la permanence de l’idée d’un ordre du monde reposant sur des ”races” (mot si mal défini, nous l'avons dit, que les idiots rêvent de l’interdire !) : il paraît logique d’imaginer que les premières micro-peuplades qui se croisaient dans les temps préhistoriques ne pensaient pas en premier lieu à se serrer gentiment la main en demandant des nouvelles du petit dernier et de la belle-mère ! Et nous portons encore en nous les conséquences génétiques des luttes entre nos ancêtres Cro-Magnon et les Néandertaliens, ces perdants de l’histoire : sans doute le premier génocide remonte-t-il à ces temps peu connus, au point de se retrouver dans la Bible (le meurtre d'Abel par son frère Caïn, qui en est une parabole explicite).. Et la première préfiguration de “races” remonte, dans à peu près toutes les civilisations, à un récit de “partage” entre Sem, Cham, et Japhet, les trois fils de Noé, au lendemain du déluge. Cette histoire, alors partagée par tous les peuples, mériterait d’être au patrimoine de l’humanité !
  Nos ancêtres très lointains étaient-ils tous racistes, déjà, sans le savoir ? En fait, il faudra attendre le XIXè et le XXè siècles pour prendre la mesure de ce que peut représenter le concept, beaucoup plus récent, de ”supériorité raciale”,  par rapport à la multi-séculaire “différence entre races” (qui est aussi de nature culturelle et religieuse… ce qui explique la taille des “gaps” qui séparent les hommes !). Hannah Arendt avait, la première, fait remonter l’apparition de l’anti-sémitisme, (à distinguer de l’anti-judaïsme, plus ancien -nous en parlions il y a peu) au début du XIXè siècle (dans son ‘’Origines du totalitarisme’’ - 1951, le Seuil)..
 La véritable rupture conceptuelle allait venir de ce ”darwinisme social’’ (que Darwin a renié) qui a ouvert la porte à l'horrible “lutte des classes”, devenue ”lutte des races” : tout, sur terre, ne serait que combat contre l'autre, rejet de l’altérité, et confrontations entre les divers groupes humains. ”Etre raciste” veut alors dire : ”ne pas partager ce que tu dis/crois/penses/fais/ressens”… En un mot : ''n’être pas comme toi''. Pour étayer leurs croyances, les tenants de ce cauchemar réfutent le concept de ”race”… qui est pourtant la colonne vertébrale de leur pensée ! Allez comprendre ! Car c’est de cette addition d'erreurs que vient le nouveau ”vrai-racisme” qui nous empoisonne la vie aujourd'hui. Ce nouvel anti-concept repose sur une inégalité à géométrie variable et sur une différenciation culturelle qui ne tolère que “la mort de l'autre”. Au lieu de ‘’déduire’’ toute différence réelle ou mesurable, on ‘’l’induit’’ de la seule existence de l’autre en tant que ”autre”…
  Ce non-concept est à la base des actuelles manifestations de vrai racisme, telles les épurations ethno-religieuses qui salissent notre siècle : Kosovo, Syrie, Irak, Liban, Darfour, Soudan, Nigéria, Turquie et Zimbabwe où Mugabe, dans son racisme ”pur” (et surtout dingo !), chassait les blancs, parce que blancs, de ce pays si beau et si riche avant lui… quitte à le réduire en cendres. Mais l'homme nouveau, pour les racistes de la mouvance “anti-raciste” ne peut, ne doit se résumer qu'à sa seule couleur de peau. Un cauchemar qui a été jusqu'à perturber la manifestation des “soignants” de ce 16 juin, polluée et salie par des tee-shirts “Adama Traoré” !
 Le très sérieux  ”Rapport Pew sur la liberté religieuse” confirme qu’il existe bien, aujourd’hui, nombre d’authentiques manifestations de racisme, et qu'elles sont, dans leur immense majorité, spécifiquement anti-occidentales et anti-chrétiennes, à cause d’un parachronisme qui assimile cette religion à la ”race blanche”, contre toute évidence (la vaste majorité des chrétiens n’est pas “des blancs”. Les pauvres victimes de cette vindicte étant réputées ”coupables au carré” (d'être blanches, d'abord, et de n'être pas noires, ensuite !), elles doivent être punies au carré, aussi.
  En France, malgré un black-out officiel (la chrétienté n’est pas bien vue du tout, en Socialie macronienne !), nos écrans sous influence n'arrivent plus à cacher un déploiement de haine, pour le malheur du monde. J’ai honte pour eux de leur aveuglement ! Mais le Pouvoir, fidèle à sa filiation gaucho-bobo et soumis à une énorme manipulation idéologique, campe sur l'autre rive, pendant que l'effrayant racisme des anti-racistes nouvelle vague, qui s'inscrit dans l'effondrement symbolique de la Nation, qui n’a pas engendré le citoyen du monde auquel rêvaient les imbéciles, mais des sous-tribus agressives (par intoxication au mensonge) qui réduisent à néant les conditions de feu-l'universalisme que fantasment tous les coupables de notre effondrement actuel… (à suivre…)
H-Cl.
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emanationlove · 4 years
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Une famille pleine de secrets..
Jean-Marc et Sandra se sont rencontrer pendant leur dernière année de lycée tout de suite ils ont eu le coup de foudre, ils savaient tous les deux qu'ils finiraient leurs vie ensemble. A la fin de leur bal de promo Jean-Marc et Sandra passèrent la nuit ensemble et deux semaine plus tard Sandra appris qu'elle était enceinte. Son monde s'est effondrer quand elle a annoncer la nouvelle a ses parents ils était tellement en colère qu'ils l'ont jeter dehors  avec toutes ses affaires.. mais heureusement que Jean-Marc et ses parents était là !  3 mois plus tard ils ont emménager ensemble, Jean-Marc était si courageux il bataillais tout les jours entre ses études a Brightchester et les petits boulots pour subvenir aux besoins de sa futur famille. 6 Mois plus tard Clément (leurs fils) était né ils était combler de joie ! 1 an après Sandra adorer tellement sont rôle de mère qu'elle voulait déjà d'autre enfants  alors avec Jean-Marc pendant leurs voyage à Sulani ils ont décider d'adopter dans un orphelinat 3 petites filles (des triplés !!!) Coralie, Margaux et Carla. Sandra était tomber sous le charme de la petite Coralie mais en apprenant que cet enfant avait deux sœur Sandra n'avait certainement pas le cœur a les séparer. C'est ainsi qu'ils rentrèrent chez eux avec leurs bambin Clément et leurs 3 bébés  Coralie, Margaux et Carla. 7 ans ont passer les enfant grandisse et les parent poursuive leurs carrière fleurissante dans l’écologie Jean-Marc a était muté à  Evergreen Harbor là-bas ils trouvèrent une maison petite mais elle leurs convenaient parfaitement ! Mais pour Sandra il manquait quelque chose... un 5 éme  Enfant !!!! C'est ainsi qu'un an après dans un orphelinat a Simsokyo  Jean-Marc et Sandra son devenu les parents de Lucas. 6 ans après Toute la famille se porte a merveille Clément est en dernière année au lycée il se prépare a entrée dans la même université que son model, Jean-Marc son père il espère que lui aussi tout comme son père il rencontrera l'amour de sa vie. quant aux triplées eh bien... la vie n'est pas toujours rose elles n'arétte pas de se chamailler car leurs chambre et devenu bien trop étroite depuis c'est devenu la guerre froide entre Margaux et Carla elles ne se supporte plus il faut dire qu'au lycée Margaux est une paria qui enchaîne les heures de colle et les mauvaises notes quant Carla et bien c'est la reine des abeilles !  Tout le monde est toujours a ses ordres ou en totale admiration devant elle se qui énerve encore plus Margaux . Pour Coralie mis a part les petites querelles entre sœurs pour elle tout vas bien elle est première de sa classe, passionnée de surf ou autre activités aquatique tant quelle est dans l'eau elle est tout simplement heureuse. Quant a Lucas un vraie génie ! Non je vous jure un incroyable virtuose du violon !! il fait la fièreté de sa famille mais surtout de Clément son grand frère lui et Lucas sont extrêmement proche d’ailleurs pour Lucas le départ de sont frère est une terrible tragédie pour lui.. il vas lui manquer terriblement mais d’ailleurs très bientôt il vas pouvoir se consoler en marchant sur les trace de son grand-frère vous ne voyer pas pourquoi ?! Sandra est enceinte !!! et oui ! encore un nouvel enfant dans la famille ! 1 an est passer et le petit Louis a vue le jour toute la famille est sous le charme  ! Pendant l'accouchement Sandra a eu des complication et elle ne pourras malheureusement plus avoir d'enfant elle était tellement triste en l'apprenant qu'elle s'est réfugier dans son travaille et se donne a fond pour améliorer sont quartier ! Jean-Marc quant a lui il supervise les projects de sa femme c'est le meilleur architecte d'Evergreen Harbor ! Clément par bientôt a l'université, les triplées en sont heureuse car elles vont pouvoir faire agrandir leurs chambre mais les tensions sont toujours au rendez-vous ! Margaux et revenu de sont deuxième séjour de garde vue Jean-Marc et Sandra se demande qu'est ce qu'ils ont raté dans sont éducation et c'est se qui a commencer a faire exploser quelque tensions au sein du couple... Lucas est un grand frère comblé il aime tellement sont petit frère qu'il partage sa chambre avec lui ! Coralie quant a elle n'est presque pas à la maison quand elle fini les cours c'est direction la plage jusqu'a des heures impossible elle est devenu amie avec un dauphin et même avec une sirène elle vas bientôt en devenir une elle aussi grâce a son amie mais ça c'est son secret rien qu'a elle et elle espère le garder le plus longtemps possible. Un soir en rentrant a la maison elle s'arettat au simdonald's pour se prendre un truc a manger mais se qu'elle vue sur le parking du fast food l'aneantissa  est ce vraiment son père dans cette voiture embrassant une copine de sa sœur Carla  ??!! Non ce n'est pas possible !!  elle rentra a la maison sans avoir commander a manger ni dire bonsoir a sa famille et se coucha directement priant le ciel que tout ceci n’était qu'un cauchemar ...
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pink-jindallae · 5 years
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Nuit - NSFW (Night FR)
[Nathaniel/Sucrette] Lemon et un tout petit peu de angst, parce que je suis cruelle. L’histoire se déroule après que Nathaniel ait tout raconté à Sucrette dans l’épisode 11. Je l’avais promis en version française, donc voici \o/ La version de Nath arrivera ce week-end ;) Sucrette n'est pas nommée comme ça vous pouvez imaginer le nom que vous voulez Nb de mots : 4689 ATTENTION : très très érotique. À vos risques et périls lol
Sucrette P.O.V.
Nathaniel et moi avons passé toute la soirée à parler. Il m'a raconté toute l'histoire et je suis reconnaissante de son honnêteté. Je sais que c'était difficile pour lui de me confier un tel secret, mais je ne pouvais plus supporter davantage de mensonges. Il explique tout dans les moindres détails; ce qui était arrivé, combien il se sentait seul, combien il était perdu désormais. Mais plus que tout; comment il est prêt à changer pour moi. Je ne pouvais que l'écouter, ses mains tremblantes entre les miennes pour l'encourager. Le ciel est déjà noir quand Nathaniel se décide à partir. Selon lui, c'est dangereux de rester trop longtemps dans ma chambre et je peine à comprimer le sentiment d’inquiètude qui s’empare de moi. Est-ce que les types pour qui il travaille pourraient venir jusqu'ici ? Comme s'il devine mes pensées, il me rassure tout de suite, un sourire au coin des lèvres. " Ne t'inquiète pas. Ils ne s'aventurent pas dans le campus." me dit-il en se levant du lit. "Je ne comprends pas, dans ce cas." je réplique en me redressant à mon tour pour lui faire face. "Qu'est-ce qu'il y a de si dangereux ?" Son sourire s'étire, plus suggestif cette fois, et ses yeux brillent de malice. Je me sens tout à coup comme une petite souris coincé entre les griffes d’un chat. Il joue avec une mèche de mes cheveux un moment avant de répondre. "Tu ne devines pas ?" "Je…" je commence avant d'être interrompue par ses doigts qui effleurent doucement ma nuque après avoir replacé mes cheveux derrière mon oreille. La gorge sèche, je ravale ma salive tant bien que mal et essaie de garder mes yeux dans les siens. "Tu ?" s'enquiert-il à voix basse, faisant un pas en avant. "… ne sais pas." Ma voix s'éteint doucement. Ma tête est complètement vide, je n'arrive pas à réfléchir correctement quand il est si près et j'ai l'impression que la situation l'amuse beaucoup. Je l'entends rire dans sa barbe. "Vraiment ?" Il penche la tête près de mon oreille et son souffle caresse ma peau. Je ne peux pas réprimer un frisson. "Tu risques de me mettre de l'embarras si tu fais semblant de ne pas comprendre." Sa voix est chaude et cajoleuse. Une onde agréable descend le long de ma colonne vertébrale, de ma nuque jusqu’au bas de mes reins. La chaleur monte en moi, la température de la chambre frôle un degré presque érotique. Le danger, c'est lui. Il affole tous mes sens et il le sait, il en joue insolemment. Je m'abstiens de me mordre la lèvre, ce ne serait que lui donner trop de satisfaction. Cependant mes yeux se ferment malgré moi à la douceur de son index qui écarte la fine bretelle de mon débardeur. Plus tôt dans la soirée, j'ai enlevé mon chemisier à carreaux pour être plus à l'aise, ne portant qu'un simple vêtement qui ne couvre pas énormément ma peau… et il adore ça. Beaucoup trop. Ses lèvres se posent sur mon épaule dénudée et un soupir indécent s'échappe des miennes. Est-ce vraiment moi qui vient de gémir ainsi ? C'est tellement embarrassant… Incité par ma docilité, il embrasse ma peau avec une atroce lenteur, noue un collier de baisers sur mon cou alors que ses mains se tiennent sagement autour de ma taille. Déjà séduite, je m'arque contre lui et penche la tête sur le côté pour lui offrir un meilleur accès. Je me laisse emporter par la sensualité de ce moment. Le combat est perdu d'avance. "Si tu ne dis rien, je ne vais pas m'arrêter." me soupire-t-il, essoufflé. Il respire fort, comme s'il cherche à se contrôler. Il m'incite à réagir, mais qu'est-ce qu'il demandait encore ? M'a-t-il seulement posé une question ? Ses lèvres me font perdre le fil et j'oublie de répondre quand il remonte le long de ma gorge avec langueur. Mes doigts se crispent sur son torse puissant. Il embrasse mes joues, mon nez, chacune de mes paupières puis mon front. Je m'impatiente et tends les lèvres… Cependant mon ardeur se heurte à un simple effleurement à peine perceptible et soudain je ne sens plus sa chaleur. Il vient de s'écarter. "Désolée ma belle, mais le jeu est fini. Il faut que je rentre chez moi maintenant."  Il me sourit tendrement, plus aucune trace de malice dans ses yeux. Ma seule réaction est de battre des cils, perplexe. Est-ce qu'il ne venait pas à l'instant de me dire qu'il n'allait pas s'arrêter ? C'est quoi ce changement soudain de comportement ?! Il s'amuse à susciter un désir en moi, me laissant pantelante, puis s'éloigne comme si de rien n'était ! Ce n'est pas fair-play de sa part de jouer avec mes sensations. Il sait que ça fonctionne ! Le pire dans tout ça, c'est son rire cristallin en me voyant lui jeter un regard noir. "Tu trouves ça drôle ?" je boude en croisant les bras sur ma poitrine. "Un peu, oui." Le voilà à nouveau en train de jouer avec mes cheveux. "Ne te vexe pas, princesse. Tu n'as aucune idée à quel point j'aurais adoré continuer mais pas de réponse, pas de câlin. On se voit demain." Sur ces mots, il dépose un baiser furtif sur mon front puis fait demi-tour. Avant qu'il ne puisse passer le pas de ma porte, j'attrape le pan de son veston pour l'arrêter. Il semble surpris car je remarque ses pupilles s'écarquiller subtilement. "Nath, attends ! Je…" "Oui ?" répond-il patiemment sans me presser. Mes joues s'empourprent et je baisse les yeux incapables de soutenir son regard de braise. Pourquoi je me sens si timide devant lui ? Ce n'est pas comme si nous ne l'avions jamais fait. Certes, la dernière fois remonte à des années, mais je ne suis pas novice bon sang ! Et j'ai également connu d'autres hommes après lui, même si je dois avouer que ça fait longtemps. Pourtant, face à Nathaniel, je suis troublée jusqu'au plus profond de mon être. "Ma coloc' n'est pas là ce soir… " je reprends d'une toute petite voix. Un peu de courage ! "Elle est absente pour trois jours et je… Enfin…" Ma déclaration a eu don d'accaparer toute son attention puisque je le revois fermer calmement la porte et se tourner complètement vers moi. Seulement, il ne bouge pas. Au contraire, il s'adosse contre ma porte, les bras fermement croisés contre sa poitrine. "Et donc ? Qu'est-ce que tu veux ?" me demande-t-il plus urgemment, jurant avec son calme apparent. Ses yeux sont fébriles, embrumés par une étincelle qui ne m'est pas inconnue. Sa respiration s’accélère à nouveau. Il a envie de moi. Devant mon mutisme, il poursuit : "Je te l'ai déjà dit, mais je ne joue pas avec l'incertitude." Son ton est agité mais ferme. "Si c'est moi que tu veux, dis-le franchement." Nathaniel commence à s'impatienter, ses mains se serrent et se desserrent sur ses biceps. Après une profonde inspiration, je m'approche d'un pas mal assuré vers lui et dépose délicatement mes mains sur les siennes. Il décroise les bras sans broncher et me laisse emmêler nos doigts pendant que je me hisse sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser. Comme je n'ai toujours rien dit, il refuse de bouger d'un iota et je le sens se raidir sous mon autre paume caressante qui remonte le long de ses bras pour s'attarder sur ses pectoraux. Son manteau gênant m'empêche de profiter pleinement de ses muscles saillants, aussi, je m'empresse de le faire glisser par-dessus ses épaules avec une lenteur délibérée. Résolument obstiné à ne pas ciller, il m'observe sans me repousser alors que le vêtement tombe lourdement à nos pieds. "Tu n'as toujours pas répondu." murmure-t-il le souffle court. Je le fais taire en posant un doigt sur sa bouche, caressant tendrement la cicatrice barrant sa lèvre. Son corps est tendu comme un arc quand j'embrasse sa mâchoire. Je m'attarde longuement, un grognement plaintif racle sa gorge qui laisse échapper mon prénom lorsque je descends vers sa nuque offerte. Cette fois, nos rôles s'inversent et c'est moi qui domine. Si Nathaniel veut s'amuser à affoler mes sens et m'abandonner lâchement l’instant d’après, je lui rendrai la monnaie de sa pièce. Il ne me touchera pas tant que je ne lui aurai pas donner la permission. Au moment où je me détache de lui, j'aperçois dans ses yeux dorés une lueur incandescente mêlée à ce qui ressemble à de la déception. Avec un sourire malicieux, j'attrape son collier et le guide jusqu'à mon lit pour l'y faire basculer sans effort. Il se laisse docilement tomber sur le matelas, simplement redressé sur ses coudes et continue de me contempler tandis que je me place à califourchon au-dessus de lui. Je le vois sourire, la flamme que j'ai allumé dans son regard brille plus intensément. "Comme toujours, tu préfères prendre les choses en main. Ça n'a pas changé." Mes joues rougissent malgré moi à l'évocation de ce souvenir. Je nous revois dans ma chambre d'ado quatre ans plus tôt, dans la même position après lui avoir retiré son haut. J'avais même osé lui dire que j'avais envie de lui. Il semble se délecter de ma réaction car j'aperçois son sourire s'élargir. Il doit deviner sans peine à quoi je pense mais je ne me démonte pas pour autant. Pour lui faire passer l'envie de se moquer, je tire doucement sur son collier pour l'obliger à approcher son visage du mien. Nous sommes si près que son souffle caresse tendrement mes joues. "Tu parles trop." Je scelle nos lèvres une nouvelle fois et il me rend mon baiser avec beaucoup d'ardeur, visiblement pas indifférent à mon petit jeu. Nos langues s'entremêlent, se taquinent pour mieux se câliner. "Et toi, pas assez." ajoute-t-il en reprenant son souffle entre deux baisers. Nathaniel s'allonge plus confortablement, m'emportant avec lui sans séparer nos lèvres. Dans un élan aventureux, mes mains se faufilent sous son t-shirt pour tâter son corps puissant, retraçant le chemin de ses abdominaux durs qui se contractent sous mes doigts. Son cœur pulse à toute vitesse dans sa cage thoracique. Pour mieux le toucher, j'enlève son haut avec impatience. Je dévore des yeux son corps sculpté à la perfection sans dissimuler ma convoitise. Bon sang… La boxe lui a taillé un corps de rêve à damner la plus sainte des religieuses. Son buste se soulève au rythme de sa respiration irrégulière, ses joues sont rosies à cause de notre séance sensuelle. Cette vision magnifique me fait mordre inconsciemment la lèvre. Je plonge ma tête dans sa nuque, papillonne sur sa peau avec plus d'audace et d’assurance. Je touche, lèche, mords tout ce qui m'est désormais accessible. Nathaniel commence à perdre pied car ses mains sont vissées sur mes hanches. Il me force à interrompre l'ondulation lascive de mon bassin contre le sien. "Laisse-moi te toucher..." me supplie-t-il d'une voix gémissante. Son regard est implorant, humide. Mon amant est au bord de l'explosion mais sa requête se perd dans le silence de ma chambre. Aussitôt, je retire ses mains puis les bloque de part et d'autre de sa jolie tête blonde. "Non." D'un mouvement cruellement lent, ma langue chemine plus bas, toujours plus bas. Seul le bruit de ma bouche le dégustant et sa respiration haletante résonnent dans la pièce. Son ventre se contracte un peu plus sous le feu de mes baisers. Fébrilement, je défais le bouton de son jean pour le libérer de la prison de son pantalon. Excité par mon initiative osée, Nathaniel soulève ses hanches et je lui retire tous ses vêtements d'une traite. Pas une once de pudeur ne zèbre son regard doré. Son sexe gorgé se tient fièrement dressé devant moi, offert à ma seule fantaisie. Je le détaille plus longuement, comme pour m'imprégner de son image pour la tatouer dans mon esprit. Suis-je en train de rêver ? Ce ne serait pas la première fois. Mon fantasme paraît si réel. Il est tellement beau, encore plus que dans mes souvenirs. Cette vision aphrodisiaque de Nath nu sous moi, vêtu uniquement de ses colliers, envoie de puissante décharge électrique dans le bas de mon ventre, ma féminité me réclamant presque sauvagement l'envie d'être comblée sur le champ. Mais je n'ai pas encore assouvi tous mes désirs… Lorsque que je saisis enfin son membre dur, Nathaniel se fige. Le lent va-et-vient que j’impose le long de sa verge lui arrache plusieurs vocalises érotiques. Tout son être vibre au rythme de mes doigts et son bassin commence à bouger à la même cadence pour augmenter la friction. "Oh putain…" jure-t-il entre ses dents. Ses doigts sont fermement agrippés au lit. Je dois avouer que sa maîtrise de lui-même m'impressionne en toute sincérité. Alors que je m'évertue à lui faire perdre la tête, il obéit sagement à mon ordre de ne pas bouger. Jusqu'à quand va-t-il tenir ? L'idée de pousser le vice plus loin me traverse l'esprit. Malheureusement, je n'ai pas le temps de mettre mon plan à exécution. Avant de comprendre ce qu'il m'arrive, je me retrouve plaquer sous lui. Mes poignets sont emprisonnés au-dessus de ma tête par une de ses mains tandis que l'autre cale ma jambe contre son flanc. Son corps pèse délicieusement contre le mien pendant qu'il dévore mes lèvres fougueusement, affamé. Il presse son membre durci contre mon centre vibrant encore habillé et un gémissement de plaisir m'échappe, avalé par la férocité de sa bouche. Toujours clouée contre le lit, j'essaie de m'extirper de sa prise, j'ai tellement besoin de retirer mes vêtements, de sentir ma peau nue contre la sienne. Cette barrière de tissu est si frustrante ! Néanmoins, Nathaniel ne cède pas. Sa main qui traçait des figures imaginaires sur ma cuisse remonte désormais le long de mon ventre dans le but de saisir mon haut et il s’en sert pour lier mes poignets. "Qu'est-ce que…" "À ton tour de ne plus bouger." Ses yeux en disent long : il veut se venger. Il cajole sans prévenir mon téton nu insolemment dressé avec son pouce, m'extirpant un sanglot de plaisir. Inutile de préciser qu’il apprécie l’absence de soutien-gorge.   "Alors comme ça, on ne porte rien sous son haut ?" Je tente une réponse, mais celle-ci meurt entre mes lèvres immédiatement sous le feu de sa bouche câlinant ma poitrine. Il suce langoureusement mon téton coincé entre sa lèvre et sa langue sans se presser. Il mord et je tressaille, puis il lèche comme pour demander pardon. Je ne peux rien faire, si ce n'est m'abandonner totalement à lui, me faire plus souple dans ses bras. Perdue dans un océan de volupté, je remarque à peine qu'il me déshabille habilement. "Quand on est si belle, c'est un crime de porter des vêtements. Et puis, ce n'est pas juste que je sois le seul à être nu, tu ne crois pas ?" Je sursaute en sentant son autre main glisser entre les lèvres humides de mon sexe. Sans une once de gêne, mon bassin ondule à sa rencontre, désireux d'obtenir un frottement affolant. Nathaniel répond à mon désir aussitôt et je pousse un cri aigu impudique. Il lève la tête de ma poitrine – maintenant couverte de suçons – et me regarde, fier de son travail et la main toujours occupée à me rendre folle. "Nath… Oh Nath !" Je gémis indécemment. "Nath, s'il te plait !" Je n'ai même pas honte de le supplier. "Tu es bien bavarde tout à coup." se moque-t-il gentiment. "Tu veux quelque chose ?" Il prend un malin plaisir à me taquiner. Mes mains se débattent encore pour se libérer, mais rien à faire. À chaque fois que j'essaie de m'exprimer, il varie la pression sur mon clitoris et me rend incapable de structurer la moindre parole cohérente. "Alors ?" s'amuse Nathaniel. "Je… Ah ! Je voudrais… Hmmm !" "Oui ?" s'enquiert-il en butinant ma nuque de baisers fiévreux. Je vais avoir plein de suçons ici aussi… "T-toi… Je… Aaaah. B-Besoin. En moi-Ah !" Nathaniel fait mine de réfléchir.   "Ce n'est pas ce que je veux entendre." Avec une lenteur effarante, il s'applique à masser l'entrée de mon vagin sans le pénétrer. J'ai tellement besoin de le sentir en moi. Il me fait vivre un véritable supplice alors qu'il sait très bien ce que je désire. "Je te l'ai dit plus tôt, non ?" reprend-il d'une voix suave. "Pas de réponse, pas de câlin." "Nath, s'il te plait…" Je pousse un sanglot à mi-chemin du plaisir et du tourment.  En me voyant aussi désespérée de ne pas pouvoir articuler une phrase censée, il arrête sa torture un instant et laisse la raison me revenir. J'ai du mal à reprendre mon souffle. Après quelques minutes, je parviens finalement à m'exprimer. "Prends-moi. Maintenant." "À tes ordres, princesse." J'exhale un soupir de soulagement quand mon beau blond ne se fait pas prier pour accéder à ma demande. Ses doigts s'enfoncent enfin en moi, entamant un va-et-vient lascif. Nathaniel alterne savamment un rythme lent et rapide, une pression douce et forte. Je l'entends vaguement me parler sans comprendre ce qu'il raconte, trop absorbée par le plaisir qu'il me procure. Mes paupières se ferment et mon corps se cambre pour mieux l'accueillir. Cependant, ce n'est toujours pas ce que je veux. J’ai envie de lui, de son sexe dur et chaud plongé en moi. "Nathaniel, pas tes doigts…" Je crois entendre un léger rire. "Comme tu voudras." Il ne se retire pas pour autant, non. Il continue son jeu et sa bouche trace un chemin enflammé, commençant par le lobe de mon oreille. Puis il descend et descend encore. Ses lèvres passent par ma gorge, entre mes seins, puis mon nombril… Il écarte mes cuisses sans effort puis finit par remplacer ses doigts par sa langue. Par réflexe, je sursaute mais il me tient fermement clouer au lit pendant qu'il me lape comme un assoiffé. Le plaisir devient de plus en plus pressant, de plus en plus intense. Presque insupportable. Un flot jouissif commence à monter en moi jusqu'à ce que la sensation me foudroie sur place, m'emportant loin dans un maelstrom euphorique. Oh mon dieu. Je viens juste d'hurler mon orgasme. Les gens du dortoir ont sûrement du m'entendre. À cet instant précis, ça ne me dérange pas. Je me sens tellement bien que je m'en fiche complètement. Comment s'en préoccuper quand il me regarde avec cet air amoureux ? Ses doigts prolongent un peu plus mon plaisir tandis qu'il dépose un tendre baiser sur chacune de mes joues. Il caresse mes cheveux avec douceur, le temps que je m'apaise et reprenne mon souffle. Je sens ensuite mes mains être libérées et je m'empresse de les plonger dans sa chevelure dorée. Mes lèvres tendues quémandent un baiser qu'il m'offre sans résister. Le baiser se fait tendre et sensuelle. Je caresse d'une main distraite la peau nue de sa nuque et il s'enflamme à nouveau. Je réalise subitement que son membre est toujours dur contre moi et je me sens mal pour lui. Je veux lui offrir le même plaisir qu'il m'a donné… Il s'écarte cependant de moi avant même que je puisse tenter quoi que ce soit pour le soulager et j'ai soudain très froid. Sa chaleur me manque déjà. Je me redresse en position assise, le regardant fouiller la poche de son pantalon. "Nathaniel… ?" Après quelques secondes, il en sort un préservatif puis revient vers moi. Il m'allonge doucement contre le lit et se place entre mes jambes une fois la protection enfilé. Et bien que je puisse lire l'envie dans ses yeux, il ne me pénètre pas encore. Ses prunelles sont voilées de doutes qui me serrent le cœur. "Dis-moi que tu veux que je te fasse l'amour." Quoi ? On vient de passer énormément de temps dans les préliminaires, je pensais pourtant nos intentions claires. Alors pourquoi hésite-t-il autant ? Et pourquoi a-t-il l'air d'être sur le point de pleurer ? Inquiète, je saisis délicatement son visage en coupe. "Que se passe-t-il ?" je lui demande avec douceur. Je lis l'appréhension dans son regard. Je peux voir les rouages de son cerveau cliqueter à toute vitesse, toutefois il soupire seulement, ne sachant peut-être pas comment exprimer ce qu'il ressent. Il ferme les yeux et se laisse aller contre la paume de mes mains comme pour mieux les sentir. "Je ne veux pas que tu regrettes d'être avec moi." Sa voix est tellement faible qu'elle est presque inaudible. Il a l'air si peu sûr de lui, si effrayé que ça me fend le cœur. Avec une tendresse presque maternelle, je parcours son visage de baisers adorateurs. "Nathaniel… Bien sûr que je n'ai aucun regret." "Alors s'il te plaît... dis-le. Je… j'ai besoin de l'entendre." Une bouffée d'amour m'envahit. Plus qu'une autorisation, c'est la confirmation de mes sentiments pour lui qu'il recherche depuis le début. J'ai mis du temps à comprendre qu'il ne parlait pas simplement de coucher avec moi. Il ne demande pas non plus juste du sexe. Il veut me faire l'amour. "Je te veux. Fais-moi l'amour." Pour sceller mon consentement, je place un chaste baiser sur ses lèvres. Il me sourit, ému et reconnaissant. Je le guide et finalement, il entre en moi. Petit à petit, il comble le vide bouillant de ma féminité et j'expire de bien-être. Pour mieux le sentir, je noue mes jambes autour de sa taille et il s'insère plus profondément encore. Nath s'immobilise et enfouit son visage dans le creux de mon cou. "Je t'aime." murmure-t-il tendrement. "Moi aussi, je t'aime…" Commence ensuite un ballet sensuel, il me prend avec une douceur désespérée. Le métal froid de sa chaîne caresse mes seins à chaque mouvement. Nos lèvres se cherchent, se trouvent une nouvelle fois, nos langues dansent au même rythme que nos deux corps tandis que sa main droite entrelace la mienne. Progressivement, un nouvel orgasme fait ascension en moi. Mes hanches ondulent, l'incitant à accélérer la cadence, mais son rythme reste catégoriquement lent. Je pousse un cri de plaisir à la suite d'un coup de rein puissant. Nathaniel grogne quand je plante mes ongles dans son dos. Son front se colle au mien et notre respiration saccadée se mélange. "Nath, plus vite." Je gémis, mais ma supplication reste sourde à ses oreilles. Il continue toujours langoureusement, seule la pression de son bassin change, douceur et force se succédant à la suite de l'autre. Contrairement à toute à l'heure, la jouissance monte en moi bien trop lentement… Je la sens si près et si éloigné à la fois. Comment une chose peut être aussi délicieuse et aussi douloureuse en même temps ? "Nathaniel… Je… J'ai besoin…" Ma voix sanglote, presque en pleure. "Je sais." Pourtant il refuse obstinément de modifier son rythme. Je suis au bord de l'orgasme. Encore un peu. Juste un peu et je sombre dans la folie. Devant son entêtement, je décide de prendre les choses mains et essaie de changer nos positions. Peut-être que si je le chevauche, je pourrais imposer la cadence que je désire, celle dont j'ai vraiment besoin, là maintenant. Cependant, il ne me laisse pas faire, me gardant sous lui. À court d'options, je me caresse. S'il ne m'accorde pas ma demande, je m'en occuperai moi-même.  Et là, oui… Je me rapproche un peu plus. Contre toute attente, il me laisse faire, se redresse même sur un coude afin de me faciliter l'accès. Il saisit une de mes jambes, la place sur son épaule et je me cambre délicieusement pour lui offrir un meilleur spectacle. "Tu es tellement belle…" soupire-t-il. De plus en plus impatient, le rythme de Nathaniel commence à se casser, devenant plus saccadé. Il chasse mes doigts pour les remplacer, presse, fait rouler sur son index mon bourgeon gorgé. Et doucement, atrocement doucement, toutes les terminaisons nerveuses de mon corps fondent en spasme. "Oh Nath… oui…" Mes muscles me lâchent au fur et à mesure que je navigue sur la vague du plaisir. C'est puissant et ça dure un long moment. J'ignore combien de temps. Je suis toujours dans un océan de bonheur quand je me rends compte que Nathaniel n'est plus très loin. Un pli barre son front et ses yeux sont fermés, désormais concentré sur son propre plaisir de façon irrésistible. Il est si beau. Quelques coups de reins convulsés et il s'immobilise et jouit en moi. Le râle rauque qu'il laisse échapper est tellement sexy. Je veux graver ce moment dans ma mémoire pour toujours. Il lui faut plusieurs secondes pour reprendre contenance. Je ne peux pas empêcher un gémissement s'échapper de mes lèvres quand il se retire. Il se couche à mes côtés après avoir jeté le préservatif usé dans ma corbeille, me prenant dans ses bras immédiatement. Je me laisse aller contre lui sans un mot, beaucoup trop épuisée de toute façon. Je lutte pour rester éveillée mais les doigts de Nathaniel qui dessinent des cercles dans le bas de mon dos rendent la tâche difficile. "Je ne veux pas m'endormir tout de suite…" je lui dis, baillant malgré moi. "Pourquoi ? Tu veux recommencer ?" "L'idée est séduisante, mais je suis beaucoup trop épuisée." "Petite nature." plaisante-t-il et je frappe gentiment son torse. Il rit doucement et je le rejoins. Une fois que nous nous sommes calmés, le silence nous enveloppe à nouveau. Je me blottis près de son cœur apaisant. Pour être honnête, j’ai peur d'être en plein rêve. J'appréhende qu'il disparaisse dès que j'aurais fermé les yeux pour me réveiller dans un lit vide le lendemain matin. Je ne pense pas que mon cœur survivra s’il m'abandonne, seule… Lisant dans mes pensées, Nathaniel me rassure en me caressant les cheveux. "Je ne vais nulle part, mon cœur." Ce surnom affectueux me fait sourire. C’est celui que j'aime le plus, celui qu'il utilisait quand nous étions encore au lycée. Il me vole un dernier baiser et je finis par m'endormir contre lui. -- "Tu as l'air de très bonne humeur, aujourd'hui." me fait remarquer Rosa. "Ah vraiment ?" Mon regard se pose partout sauf sur elle. Peut-on vraiment lire en moi comme un livre ouvert? Après la résolution de la panne de réseau et du problème entre Alexy et Rosalya, elle et moi sommes allés au parc. Conversation entre filles. Je sais qu'elle souffre toujours et je voulais lui faire penser à autre chose. Il semble que cela fonctionne un peu trop bien. "Oui, tu n'arrêtes pas de sourire." Affirme-t-il en riant. "Alors, tu as passé un excellente nuit ?" "H-hein ? Euh, j'ai très bien dormi…" Évidemment, elle ne me croit pas. À croire que j'ai une pancarte autour du cou affirme le contraire. Elle fait toujours son deuil et son cœur mettra du temps à guérir, mais je suis quand même heureuse qu'elle puisse au moins rire avec moi. C'est déjà ça de gagner. "À d'autres. Tu rayonnes d'une aura de sexe." Je sursaute à ces mots crus. Comment peut-on avoir une aura de sexe ?! "Alors t'as intérêt à me raconter a-b-s-o-l-u-m-e-n-t tout en détail." Je ne peux pas esquiver. Soudain, je sens mon portable vibrer dans ma poche. J'ai reçu un message. -     Tu me manques Nathaniel. Mon sourire a du s'élargir car j'entends Rosa me fait une pique. Je reçois un autre message. -     On pourrait aller chez moi ce soir. Tu manques aussi à Blanche, elle adorerait que tu la câlines Tu n'es vraiment pas subtile, chéri. C'est adorable… J'ai envie de le taquiner un peu. -     Ce ne serait pas toi qui aimerait des câlins plutôt ? -     J'espère bien recevoir autant d'attention qu'elle, voire plus ;) Je me pince les lèvres pour ne pas que mon sourire s'étire. Mes joues me font un peu mal à force. Je tape sur les touches de mon téléphone rapidement. -     Déjà en manque alors qu'on vient de se quitter ce matin ? -     Dis la fille qui s'est jetée sur moi Je suis sûre que je suis complètement rouge. Quand même, il n'est pas totalement innocent non plus. C'est lui qui a commencé à me peloter. Je réponds seulement : -     D'accord je viens, mais uniquement pour Blanche. A ce soir ♥
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luma-az · 5 years
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Fanfic My Hero Academia : Ambition masquée #1
Je commence à publier une nouvelle fanfiction sur fanfiction.net 
https://www.fanfiction.net/s/13239562/1/Ambition-masqu%C3%A9e
et sur AO3 
https://archiveofourown.org/works/18178955
Je vais tester de la publier en parallèle sur Tumblr, en tentant de ne pas trop me mélanger dans les boutons... Mise à jour tous les mercredi, normalement elle va durer dix chapitres.
Résumé : Bakugo Kastuki, né Sans-Alter, déteste les héros et leur arrogance. Devenu policier, il met un point d'honneur à arrêter les vilains avant eux, même si les risques qu'il prend lui valent des reproches de sa hiérarchie. Malgré son sale caractère, il n'effraie pas le héros Red Riot, qui le séduit peu à peu... mais leur relation ne sera pas si simple. Bakushima. Rating T pour les jurons et un peu de violence 
Pairing : Bakugo Katsuki x Kirishima Eijirou
Avertissement : jurons. Beaucoup. 
Disclaimer : My Hero Academia ne m'appartient évidemment pas, c'est une œuvre de Horikoshi Kohei, qui fait un travail magnifique !
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Dans cette histoire, Bakugo est né sans Alter, et nous le retrouvons alors qu'il est devenu policier, bien après les évènements du canon, auxquels il n'a pas participé (à part la fameuse scène de l'attaque du Gluant, où il a été sauvé par Deku), et qu'il a suivis de loin dans les médias. Je reste en style indirect libre, la narration se fait toujours en suivant la façon de voir de Bakugo (personnellement je n'ai rien contre Deku, qui est adorable, mais va se faire traiter de tous les noms, forcément).
La manière dont Bakugo utilise ici des explosifs pour pallier à son manque d'Alter ne fonctionne pas vraiment (en tous cas ça devrait plutôt lui arracher les bras que de lui permettre de combattre). Mais ça passe dans le manga où on peut émettre la même critique, alors je me le permets XD (et puis, que serait Lord of Explodo-Kills sans explosifs, franchement ?)
Aussi, je ne connais pas bien les grades des policiers au Japon, sans oublier que les rôles sont forcément chamboulés dans un monde où les héros font une partie du travail, donc je suis restée sur le fait que Bakugo est un officier et appelé comme tel, sans plus de détails.
Les noms japonais des personnages originaux et des lieux viennent de mes idées idiotes traduites par Google translate, donc c'est sans doute complètement n'importe quoi XD 
Le souffle court, Bakugo Katsuki continue à courir jusqu'à l'extrême limite de ses forces. Ce salopard est là, juste devant lui, et il est hors de question de le rater. Il entend, au-dehors, un message embrouillé venant d'un mégaphone. Merde ! Ça, ça ne peut être que l'arrivée des héros, et les policiers qui font un barrage aux civils. Il lui reste très peu de temps.
L'immeuble en construction dans lequel il traque sa proie offre peu de cachettes, mais d'innombrables échappatoires, et le vilain a un Alter Ressort, il bondit là où Kakugo crache ses poumons à force d'enfiler les escaliers. La bonne nouvelle, c'est qu'il ne peut pas s'échapper, une fois au sommet il sera coincé. Mais coincé au sommet, ça veut dire que n'importe lequel de ces stupides héros ailés n'aura plus qu'à le cueillir comme une pomme bien mûre, et ça c'est hors de question. Bakugo Katsuki ne va certainement se laisser souffler sa cible aussi facilement.
Il arrive au sommet de la partie bétonnée. Plus d'escaliers, le vilain se contente de sauter d'une poutrelle d'acier à l'autre, sans doute certain que ce stupide policier sans Alter qui le traque va rester bloqué. Et bien ça, c'est sous-estimer gravement l'officier Bakugo, et c'est une erreur que les criminels n'ont jamais l'occasion de commettre deux fois.
Il a déjà l'explosif dans la main. Il a beaucoup d'explosifs différents, selon les besoins, mais celui-ci est son préféré : nitroglycérine. La main protégée par un gant épais, il claque la fragile ampoule de verre contre le sol.
La boule de feu qui en résulte aurait dû simplement le rejeter en arrière, le brûlant grièvement au passage. Mais Bakugo maitrise parfaitement l'art d'utiliser la puissance des explosifs à son propre avantage, et dans le même mouvement il a déjà commencé à sauter, tandis que la main protégée encaisse l'essentiel de l'énergie qui le propulse. D'un bond inhumain, il franchit la distance qui le sépare de la poutrelle et atterrit les deux pieds en avant sur la poitrine du vilain. Surprise, connard.
Bakugo le rattrape avant qu'il ne tombe et commence à l'attacher - des bandes ultrarésistantes, du même genre que celles utilisées par les héros, bien plus efficaces que les stupides menottes règlementaires. Bandes qu'il attache à la poutrelle elle-même, histoire que son gros saucisson ne s'échappe pas, et que les héros qui viendront le chercher galèrent un peu. Après tout, pourquoi leur faciliter le travail ? Quand eux attrapent un vilain et laissent les policiers le boucler, ils ne pensent jamais à leur faciliter la vie.
Assis sur la poutrelle à côté du criminel capturé, Bakugo se permet une pause, satisfait. De sa position il voit ses collègues au sol qui gèrent la foule, et à l'intérieur du cordon, deux héros qui le regardent. Il se permet de leur faire un petit signe de la main moqueur. Alors, les pros, on a peur des hauteurs ? On a besoin d'aller chercher un Alter volant ? Bande de nazes.
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Ils ont fini par avoir un collègue avec un Alter volant. Tsukuyomi, le héros à la tête d'oiseau, qui utilise Dark Shadow, l'ombre démoniaque. Celle-ci le fait léviter jusqu'à la poutrelle de Bakugo, qu'il salue sobrement :
« Bonjour, officier. Je vois que le suspect a été capturé. Des informations particulières à transmettre ?
— Non, dégage juste ce merdeux de là. Il a un Alter Ressorts, l'essentiel c'est de ne pas le laisser rebondir sur une surface.
— Je vois. Avez-vous besoin d'aide pour redescendre ?
— Je suis capable de me démerder.»
Le héros hoche la tête et entreprend de détacher le vilain de sa poutrelle, en veillant à garder ses mouvements entravés. Si Bakugo avait su que ce serait lui qui viendrait, il n'aurait sans doute pas fait les liens aussi pénibles à enlever, mais il ne fait pas un geste pour l'aider. Il n'a rien contre Tsukuyomi, qui fait son boulot correctement, reste toujours poli, ne s'offense jamais de son insolence et ne le sermonne pas lorsqu'il fait le travail des héros à leur place. Tant que les civils sont protégés et les vilains arrêtés, le héros à tête d'oiseau se fiche bien de qui récolte les lauriers, et Bakugo le respecte pour ça. Sans aller jusqu'à lui faciliter la vie en collaborant efficacement. Non, l'officier déteste les héros, tous sans exception, et il travaille seul. Arrêter un vilain avant les héros est son unique satisfaction dans la vie.
Il commence à redescendre à son tour, utilisant les poutrelles et les échelles des ouvriers, puis à nouveau les escaliers. Pas la peine de se dépêcher pour le retour sur terre, il sait très bien ce qui l'attend et n'est pas pressé.
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Une fois en bas, le vilain est déjà embarqué dans un fourgon, la foule se disperse, mais les médias sont là. Ah, et les héros envoyés sur place sont restés. Bakugo grimace en reconnaissant Ingenium. Ce stupide héros a des moteurs dans les mollets, une personnalité psychorigide et une voix de prédicateur. Se faire engueuler par lui sans pouvoir lui balancer une ampoule de nitro dans la gueule est un calvaire. Et bien sûr, il se lance dans un sermon à chaque putain de fois qu'ils se croisent :
« Officier Bakugo ! À nouveau vous avez enfreint le règlement d'arrestation des criminels dotés d'Alter ! C'est aux héros de...
— Quel putain de règlement, est-ce que j'ai utilisé un putain d'Alter ? Qu'est-ce qu'il y a, la putain de police n'a pas le droit d'arrêter des criminels maintenant ?
— C'est beaucoup trop dangereux de laisser un...
— Est-ce que tu serais en train de me traiter comme un putain de civil, Balai-dans-le-cul ?
La dispute se serait vraiment envenimée si elle n'avait pas été interrompue par un rire franc. Bakugo tourne la tête et s'aperçoit que, focalisé sur Ingenium, il a négligé de regarder qui était l'autre héros envoyé sur place. Fatale erreur, puisqu'il s'agit de Red Riot, le héros à l'Alter de durcissement. Il aurait dû s'en douter, les anciens camarades de classe de ce petit minable de Deku ont tendance à travailler ensemble, même aujourd'hui, alors qu'ils sont tous passés professionnels depuis six ans. Bakugo suit la carrière de Red Riot depuis sa première apparition médiatique, durant le festival sportif de Yuei, et connait son Alter et son style de combat sur le bout des doigts. Mais ce n'est que depuis qu'il travaille comme policier qu'il a pu le rencontrer et découvrir son caractère.
En dépit de son apparence monstrueuse lorsqu'il utilise son Alter, Red Riot est un adorable rayon de soleil, toujours souriant, toujours positif, et que les dieux aident Bakugo, toujours sexy comme l'enfer. Jamais l'officier ne l'a vu porter le moindre bout de tissu qui pourrait cacher son torse de plus en plus musclé au fil des années. Le regarder dans les yeux ne sert à rien, il a un magnifique regard cramoisi qui s'illumine dès qu'il voit quelqu'un à qui il pourrait parler, pur et innocent. Et un sourire lumineux, malgré les dents de requin qu'il exhibe sans le moindre complexe à tous ceux qui croisent sa route, souligné par la mentonnière bizarre qu'il porte sur le visage. Oui, Red Riot a le mauvais goût le plus voyant qu'un jeune héros ait jamais osé arborer, la preuve sa manière d'hérisser ses cheveux rouge pétard en une grosse masse de pointes, ou ses épaulières hideuses en forme d'engrenages tout aussi rouges. Mais ça ne change rien. Tout le monde l'aime. Même Bakugo n'arrive pas à le détester correctement.
Il faut dire que le héros rouge n'y met pas du sien :
— Bravo pour ta capture, Bakugo ! J'ai tout vu d'en bas, c'était génial ! Utiliser un explosif pour sauter, c'est super courageux et super viril ! T'as jamais peur de rien !
Bakugo et Red Riot se sont déjà croisé un certain nombre de fois, lorsqu'ils étaient sur la piste du même vilain. Le policier a toujours eu de sales manières et ne se privait pas d'insulter et tutoyer les héros dès qu'il les rencontrait. Red Riot ne s'en est jamais vexé. Au contraire, il semble trouver sa mauvaise humeur perpétuelle très drôle, et a profité du tutoiement pour le tutoyer à son tour, comme s'ils étaient amis. Il n'hésite pas à rabrouer l'officier lorsqu'il trouve qu'il dépasse les bornes, ni à le féliciter lorsqu'il a fait une action particulièrement spectaculaire. Bref, Red Riot a toujours traité Bakugo comme l'un des leurs, et le policier doit bien admettre qu'il est sensible à cette attitude chaleureuse.
Au lieu de continuer à s'engueuler avec Ingenium, Bakugo se renfrogne et hausse les épaules avant de marmonner :
— Pff, n'importe qui aurait pu le faire. Fallait pas rester cloués au sol, les minables.
À nouveau, Red Riot rit, et bordel comment peut-t-il avoir un rire aussi chaleureux. D'habitude, les rires rendent Bakugo fou de rage - il n'y entend que des moqueries. Mais pas celui-là. Comme si aucune intention maligne ne pouvait traverser l'esprit de bisounours de Red Riot.
— J'avoue, mais tu imagines si j'étais grimpé là-haut ? À tous les coups je serais tombé, j'aurais dû utiliser mon Alter pour ne pas m'éclater au sol, et tu imagines le cratère après ?
Bakugo se retient pour ne pas sourire. Oui, il imagine très bien Red Riot faire la météorite humaine. Bon sang, ce qu'il aimerait s'entrainer au combat contre lui. Le héros rouge peut encaisser des coups phénoménaux, et frapper si fort qu'il détruit les murs à coup de poing. Gagner, ou même tenir bon, face à un monstre pareil doit être extrêmement satisfaisant. Mais bien sûr, compliments ou pas, Red le considère comme un civil et ne s'autoriserait jamais à utiliser son Alter avec lui. Il reste un putain de héros.
L'officier coupe court et plante les deux héros sans les saluer, poursuivi par le sermon d'Ingenium de plus en plus remonté. Quelle plaie, ce type. Comme si le commissaire ne suffisait pas. Oh, Bakugo respecte la loi et le règlement intérieur de la police, il y a toujours veillé. Mais il ne respecte pas les ordres, le matériel règlementaire ni les consignes de sécurité. Ses réussites spectaculaires, sous les yeux de la presse avide de sensationnalisme, le protègent à peu près contre les sanctions disciplinaires. Mais il est en permanence sur le fil du rasoir, et il le sait très bien.
Il passe devant les journalistes en les ignorant - il laisse le commissaire gérer les communiqués de presse, une condition indispensable pour que ce fichu cabot lui fiche la paix - et salue ses collègues d'un signe de tête. Ils en font autant, froids et méfiants comme toujours. Aucun n'approuve ses méthodes, tous préfèrent laisser les héros combattre et arrêter les criminels impuissants derrière. Ils restent solidaires, aucun ne le laisserait seul en danger sans prévenir les renforts, mais Bakugo sait qu'il n'est pas aimé. Ce qui lui convient très bien. Il préfère travailler seul et à sa manière, les lâches qui lui servent de collègues ne feraient que le gêner.
L'officier s'apprête à entrer dans sa voiture quand il est rattrapé par Red Riot, qui lui demande presque timidement :
— Heu, attends, Bakugo, est-ce que tu aurais encore une minute ?
— Quoi ? Le gars est arrêté, j'ai un rapport à faire, qu'est-ce que tu veux de plus ?
— Oh, ça n'a rien à voir avec le vilain, c'est juste... enfin, c'est plus personnel...
— Qu'est-ce que tu me veux ?
— C'est juste que je me demandais... Est-ce que ça t'intéresserait qu'on... je veux dire...
Il inspire un grand coup et semble reprendre courage. Plantant son regard droit dans les yeux de Bakugo, il lui déclare d'une voix forte :
— Je t'ai toujours beaucoup admiré, tu es fort et tu vas toujours droit au but sans crainte ! Et plus on se voit, plus je t'apprécie aussi en tant que personne ! Alors j'aimerais te demander si tu accepterais de dîner avec moi un soir ? Ce serait un honneur !
Il s'arrête là, les joues presque aussi rouges que ses cheveux, mais toujours déterminé. De son côté, Bakugo n'arrive pas à comprendre ce qui est en train de se passer. C'est quoi, cette invitation ? On aurait dit un défi de vieux film de yakuza ! Sans doute le genre préféré de ce ringard de Red Riot, mais quand même, où il veut en venir, ce...
L'officier comprend au moment où les autres policiers, plus loin, se mettent à ricaner. Red Riot est ouvertement gay, il l'a toujours assumé dans les interviews et s'est toujours engagé contre les discriminations. Il est en train de le draguer. Sans la partie séduction, est-ce encore de la drague ? En tous cas, il lui a fait une proposition, ouverte et claire, et Bakugo n'a absolument aucune idée de la manière dont il devrait réagir. Merde, il n'a pas été assez désagréable avec ce stupide rouquin ? Il aurait dû mettre un grand panneau clignotant au-dessus de sa tête marqué "Foutez-moi tous la paix, bande de connards" ?
Le pire, c'est qu'il ne serait pas vraiment contre. Il n'a jamais été intéressé par une relation sur le long terme, préférant se concentrer à sa propre amélioration, mais rien à faire, il se sent bien avec Red. Quelque chose en lui se détend. Passer une soirée avec quelqu'un qui l'apprécie ne lui ferait vraiment pas de mal au moral, et il faut bien avouer qu'être dragué par un canon pareil n'a rien de désagréable non plus. Peut-être même...
Le regard de Bakugo s'égare sur les bras musclés et le torse puissant de son interlocuteur, et il se sent d'un seul coup moins sûr de lui. Profitant de son hésitation, Red Riot lui donne une carte de visite tout en ajoutant d'une voix timide :
— Écoute, je comprends que tu n'as pas envie de décider tout de suite, mais tu peux m'appeler si ça te tente, d'accord ? Quand tu veux. Je... ça me ferait plaisir.
Encore indécis, Bakugo prend la carte. Il remarque qu'elle est au vrai nom du héros, Kirishima Eijirou. Un nom qu'il connaissait déjà, parce qu'il a mené son enquête de près sur tous les héros, dépassant largement ses prérogatives de policier. Mais là, c'est quasiment une présentation officielle, lui donnant le droit d'utiliser ce nom, et surtout lui faisant confiance pour ne pas le dévoiler.
Avec un grommellement qui veut tout et rien dire, le policier empoche la carte et monte enfin dans sa voiture. Il ne part cependant pas assez vite pour ne pas entendre les autres policiers compatir envers le héros rouge, en lui disant qu'il n'a aucune chance. Après tout, c'est bien connu que l'officier Bakugo déteste les héros, tous sans exception...
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20- LA MOUSSE AU CHOCOLAT
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Michel est simplement bizarre. Vraiment bizarre. Je suis encore amoureux de Max mais sans espoir.
Max préfère les Danois. Max adore toutefois mon corps maigre, comment le ventre se creuse quand je m'allonge. Max vit seul avec sa mère et finit ses études d'avocat. Sa mère m'aime bien. Il y a moi à Paris, seulement moi je crois -au moins dans son appartement- et il y a tous les Danois, mais c'est loin de chez elle. Le père de Max n'a pas accepté l'homosexualité de son fils. Il a demandé à sa femme de choisir entre lui et son fils. Elle a choisi. Max déteste son père, il s'appelle Atlani mais il veut qu'on l'appelle Geldfeld, le nom de sa mère. Elle nous laisse son grand lit quand je viens, elle dormira dans le lit d'appoint. Max a une belle queue circoncise. Je suis allongé dans le lit des parents de Max et je ne dois pas crier si fort, sa mère est à côté. Il part à Copenhague pendant deux semaines et il emporte beaucoup de vins français,  là-bas, ҫa coûte une fortune. Les Danois sont extrêmement reconnaissants quand on leur apporte du vin français. J'imagine très bien le genre de reconnaissance que montrent les beaux Danois à Max. Je me console de Max avec Martial.
Martial adore le sexe et ҫa tombe bien, moi aussi. Il a une chambre de bonne au deuxième étage, rue Nicolo dans le 16ème. L'immeuble est moderne et tellement chic que les chambres du personnel sont au même étage que les appartements dont ils dépendent. C'est un vrai studio de 18 m2 avec une mini terrasse. Martial n'est pas au service de madame Poincaré, il est infirmier. Il admire mes veines saillantes et me dit qu'il me ferait bien une prise de sang. Je préfère enlever mon pantalon que ma chemise. Il se laisse déshabiller et son braquemart est déjà tout excité. Il faut baisser les stores. Ils sont électriques et si l'on ne les baissent pas jusqu'au bout, il y a des rais de lumières qui passent entre les lamelles. J'ai les yeux grands ouverts et je peux crier comme je veux, c'est insonorisé. Notre marathon de sexe vient de commencer, va-t-on pouvoir battre notre record de 29 heures et 8 éjaculations chacun? Nous sommes très synchrones, tout va de soi. C'est une vraie drogue, plus on en prend et plus on en veut. La première éjaculation est pour décharger la tension, le plaisir commence avec la deuxième. Nous sommes là, il fait une chaleur à crever, nous sommes couvert de sueur. Il faut faire une petite pause. On sort le batteur électrique dessous la ban-couette Cinna, les plaques de cuisson dans la salle de bain, les ingrédients dans la penderie sans oublier la "maryse en caoutchouc" dans le verre à dent. On va faire une mousse au chocolat. Les mousses au chocolat de Martial sont les meilleures. Il y a des morceaux de blancs en neige au milieu et des zestes d'orange. "Mais tu es bête Philippe, s'il y a des morceaux de blancs en neige dedans, c'est parce que j'ai pas assez mélangé avec le chocolat, c'est pas fait exprès!" Quoiqu'il en soit, c'est super léger et aérien, ... et délicieux. Les blancs sont bien durs, on a rajouté du sucre glace à la fin. Il y a le chocolat fondu d'un côté mais pas trop chaud sinon ҫa "casse" les œufs en neige, et on incorpore l'un à l'autre en soulevant délicatement ... avec la maryse ... en caoutchouc. En fait c'est plutôt comme si le chocolat déteignait sur les blancs. On a pas d'orange pour les zestes, c'est une horreur. Le Monoprix de la rue de Passy est beaucoup trop loin, on va aller chez Hédiard en face, avenue Paul Doumer. Les Japonais et les gens vulgaires vont chez Fauchon mais les vrais Parisiens vont chez Hédiard. C'est un monde à part entière. Des thés dans des boîtes empilables en métal, du saumon fumé, des fruits confits. Les odeurs sont magiques, les couleurs chatoyantes et chaque produit raconte un voyage. Des oranges de Séville? De Sicile? Ou de Casablanca? Une orange du Maroc, oui, ce sera très bien. Pendant que l'orange est enveloppée dans du papier de soie, nous nous rendons à la caisse pour régler. Nous tendons notre petite facture écrite à la mains par la vendeuse et la caissière n'en revient pas. En trente ans de maison, elle n'a jamais vu un montant aussi bas. Elle crie incrédule du haut de son perchoir à la vendeuse de l'autre côté du magasin "5 francs 5???" Il doit y avoir une erreur! La vendeuse, très gênée, soulève l'unique orange dans le champ de vision de la caissière qui est atterrée par la pauvreté de ses clients. Hédiard a bien changé! Nous ressortons en nous esclaffant "Mademoiselle Madeleine? 5 franc 5???"
Il n'y a aucun romantisme entre Martial et moi mais une extrême camaraderie ... et du cul. Martial préfère les New-Yorkais mais ҫa ne me dérange pas. Il prétend que là-bas un dollar, c'est comme un franc en pouvoir d'achat. Je ne peux pas comprendre qu'en une seule soirée il puisse gagner 200 dollars de pourboire. 1700 francs? Le prix d'un loyer mensuel à Paris! Il a ramené une cassette avec le nouveau tube de Cindy Lauper "She bop". On a jamais entendu ici. Il comprend les paroles, ҫa parle d'une fille qui se branle en feuilletant les pages d'un magazine gay, c'est incroyable. Est-ce qu'il pourra ramener un "Blueboy Magazine"? Et un 501 aussi? Non, je ne veux pas un répondeur téléphonique  Panasonic, qu'est-ce que j'en ferais?
Max Geldfeld me donne rendez-vous pour aller au Grand Palais. Il y a une expo à ne pas manquer, son copain "Maître conférencier" à l'abbaye de Royaumont sera là aussi. Je préférerais voir Max tout seul. Il n'y a pas seulement Bernard Malewski que je connais déjà, il y a aussi Michel van Lierde que je n'ai jamais vu. Tout le monde est très affecté, se donne du monsieur, et parle avec un accent qui traine un peu. Je suis fasciné, il faudra que je m'entraine à parler d'une façon aussi distinguée. Michel est vraiment bizarre, contredit tout le monde et sort en permanence sa science. Il se force à rire et se la joue très condescendante. Comme c'est rafraichissant, quelqu'un qui n'a jamais lu Julien Green! Il clame comme on réciterait du Corneille  "Avec des alternatives de froideur et des velléités de résistance..." Et Bernard de continuer avec emphase "j'étais faible et sensuel" Les deux se regardent très fiers d'eux-mêmes  en déclarant que s'il n'y avait qu'un livre, ce serait Léviathan! Est-ce qu'ils connaissent tout Green par cœur, ces deux là? Ils sont dans un film et très loin de la réalité. En fait, c'est même plus un film, c'est un livre. Je ne sais pas si je jeux l'ouvrir ou le fermer ce livre. Je connaissais des versets entiers des Saintes Écritures et je les ai finalement closes à tout jamais. Je n'en parlerai jamais à personne. Max m'observe. M'a-t-il invité pour me donner en pâture à ces hurluberlus? Max est-il en train de faire ses adieux? Je sens que je suis ici seulement pour être présenté à Michel qui ne sort jamais en boîte. Pour impressionner Michel qui donne beaucoup trop d'attitude et qui est toujours tout seul. Je n'aime pas Michel mais au moment de se séparer, il me laisse négligemment sa carte "Appelez-moi donc si vous voulez vous instruire, je vous prêterai des livres!". Il habite sur la très cossue rue de la Pompe dans le 16ème. Je le remercie mais j'habite en banlieue et je ne vais presque jamais dans le 16ème.
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christophe76460 · 2 years
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE
Dimanche 29 mai 2022.
BIBLE EN UN AN :
2 Chroniques 7–9 ; Jean 11:1–29.
SUJET :LA BÉNÉDICTION AARONIQUE (I).
ÉCRITURE DE FEU :
Nombres 6:23-26.
VERSET A MEMORISER :
Nombres 6:24 -"Que l'Éternel te bénisse et te garde"
CITATIONS INSPIRANTES:
Vous êtes bénis pour être une bénédiction pour les autres.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d'adoration sous la conduite du Saint-Esprit.
PAROLE PROPHETIQUE POUR AUJOURD'HUI :
La bénédiction de Dieu qui n'est accompagnée d'aucun chagrin sera votre part, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE:
Prier pour la bénédiction de Dieu est une façon de demander que la faveur divine repose sur vous et votre famille. L'ancienne prière de bénédiction dans notre Écriture de Feu aujourd'hui nous aide à comprendre ce que les bénédictions sont censées faire dans nos vies.
Les bénédictions aaroniques peuvent être considérées de cinq manières pour une meilleure compréhension :
1. Dieu vous favorise et vous protégera.
2. Dieu sera satisfait de vous.
3. Dieu vous fera grâce, c'est-à-dire qu'il vous fera miséricorde et compassion.
4. Dieu vous donnera son approbation.
5. Dieu vous donnera la paix.
La bénédiction d'Aaron révèle le genre de Dieu que nous avons et que nous servons, et ce qu'il veut pour ses enfants. La bénédiction aaronique est aussi une bénédiction en trois exemplaires qui signifie la Trinité en action :
(1) Dieu le Père vous bénisse et vous garde.
(2) Dieu le Fils fait briller sa face sur vous et vous fait grâce.
(3) Dieu le Saint-Esprit lève sa face sur vous et vous donne la paix.
La bénédiction d'Aaron est une bénédiction avec autorité parce qu'elle vient de notre Seigneur Jésus-Christ. C'est une bénédiction selon Sa volonté divine pour votre besoin.
« Que le Seigneur vous bénisse » est la première promesse pour vous dans la bénédiction d'Aaron. Cela implique la vie, la prospérité et une bonne santé. La Bible parle de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes (Éphésiens 1 : 3). Qu'est-ce que ça veut dire? Cela signifie toutes les bonnes choses que Dieu donne à Ses enfants comme le salut, les dons du Saint-Esprit, le pouvoir de faire la volonté de Dieu, l'espérance de la vie éternelle avec Christ, etc.
Toutes ces bénédictions ne peuvent être appréciées que si vous êtes un véritable enfant de Dieu. Autrement dit, si vous avez abandonné votre vie à Jésus-Christ. Sinon, bien-aimés, faites-le maintenant afin que vous puissiez profiter de toutes les bénédictions que Dieu a pour vous.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Je déclare et bénédictions et faveur de Dieu sur tous mes efforts dans la vie, au Nom de Jésus.
2. Je décrète et déclare que la Main de Dieu est sur ma famille et moi, au Nom de Jésus.
3. Tout gang démoniaque envoyé contre moi, retourne par le feu, au Nom de Jésus.
SOIRÉE
4. Quiconque planifie le mal contre ma vie, que le mal lui revienne, lui ou elle, au Nom de Jésus.
5. Père, à cause de ta faveur et de ta protection sur moi, toute arme formée contre moi est sans effet, au nom de Jésus.
6. O Seigneur, bénis-moi et élargis ma côte, au Nom de Jésus.
7. O Seigneur mon Père, change ma vie et change mon histoire pour de bon, au Nom de Jésus.
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jmecherche · 2 years
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Pourquoi les autres couples me font mal ?
En fait, je ne sais pas pourquoi, je me sens mal quand je regarde ou ressens l'énergie des couples.
Cela, même quand j'étais avec Ijklmnop... Je ressens comme un manque, que je perçois comme impossible à combler, qui me ramène à une "triste" réalité que je n'ai pas tout, que je ne suis pas aimée par aucun homme...
Certes, j'ai mon adorable fils qui m'adore de tout son petit coeur. Mais je sens que j'aurai adoré avoir un homme qui m'aime. J'envie toutes ces femmes qui sont aimées en couple. Qui vivent cette symbiose d'être en couple, d'avoir un homme qui soit là rien que pour elles, pour qui elles sont uniques et spéciales.
Alors que moi, je suis là, à devoir reprendre ma vie en main, seule, devant redoubler d'indépendence... qu'est-ce que j'aurai aimé avoir mon homme à moi, qu'on sorte de temps en temps au resto ensemble, aller se balader, voyager, profiter de la vie, de la Terre et de ses beaux endroits,... juste vivre de belles expériences ensemble...
Pourquoi est-ce si dur pour moi ? Je n'hésite pas à m'engager, à me donner à une relation, i'm all in dès le début quoi... qui ne voudrait pas de ça ?!?
Et même que je suis la préférée partout où je vais : au bootcamp, et même récemment, à mon tout nouveau travail (ils adorent mon niveau et ma façon de travailler)
Peut-être que c'est ça mon problème ?
Je lâche tout dès que je me mets en couple. Je ne sais pas maintenir ma vie pendant que je suis avec quelqu'un. Je ne sais pas dire non, je ne sais pas me mettre en priorité, j'attends cela de l'homme... et ça me frustre énormément!
Désormais, je suis cette belle femme toute radieuse qui reste dans la tête des hommes et qui sait se mettre en priorité, qui n'hésite pas à se donner à ses rêves. Je suis quand même aimée, adorée, vénérée de toutes parts... Je suis irrésistible. Je suis tellement worth it. Celui qui me trouve et qui réussit à faire de moi sa femme sait qu'il a trouvé LA Perle rare.
Je suis une femme d'affaires. Busy. Productive. Pleine de bonne énergie. d'Energie Divine. Je suis Celle que tout le monde veut. Je suis promise à un brillant avenir qui se réalise déjà.
J'ai la chance de rencontrer des gens qui sont conscients de ma valeur et qui me montrent à quel point je suis importante à leurs yeux.
Je suis inhaled par eux, et aussitôt je suis dans leur bloodstream et je suis en train de flotter dans leur système. Je suis perceptible par leurs sens et ils peuvent tous me ressentir dans leur tête et même behind leur eyes.
Je suis attendue dans la vie de cet homme qui sait que j'existe.
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Je ne sais pas pourquoi je pense à Ijklmnop qui m'aime et qui ressent des sentiments forts à mon égard (??) comme s'il était dans les parages en train de vivre sa vie et qu'il m'aimait à distance...
Moi, de mon côté, je ne l'aime plus. C'est fini. Il m'a trop blessé, il m'a laissé tomber à plusieurs reprises, a profité de ma gentillesse, a abusé de mes faiblesses... alors, j'en ai assez des abus. Raison pour laquelle j'ai coupé les ponts d'avec Yannick. Je sens que Morpheus aussi est similaire et pour cette raison, et parce que je pense le cotoyer davantage, je m'affirme et je me positionne comme une femme qui ne vient que pour bosser, et gagner du fric, et évoluer dans mon apprentissage du code. je m'en fous des attentions particulières. il ne m'inspire pas vraiment confiance. même s'il est plus agé que moi.
même dans mon rôle de maman, les choix que je fais sont bons pour mon fils. je m'en fous des autres et de leurs opinions. je dois penser au bien-être de mon enfant avant tout.
Pourquoi tout cela me semble si dur ?
Qui m'a fait croire que ce serait si dur ? Ma mère, mes soeurs, les femmes que j'ai cotoyées, les gens que j'ai cotoyés, mon papa,...
je n'ai pas vraiment connu de gens heureux, seulement des moments dotés de l'énergie du bonheur (mais ça aussi c'est éphémère)
Si je veux rencontrer une femmes heureuse, qui respire la joie de vivre et qui a un impact magnifique et réel sur les humains qui l'entourent, autant que je la devienne alors!
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Dimanche 12 Septembre
Livre d'Isaïe 50,5-9a.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Psaume 116(114),1-2.3-4.5-6.8-9.
J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.
J'étais pris dans les filets de la mort,
retenu dans les liens de l'abîme,
j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
j'ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! »
Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.
Il a sauvé mon âme de la mort,
gardé mes yeux des larmes
et mes pieds du faux pas.
Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Lettre de Jacques 2,14-18.
Mes frères, si quelqu’un prétend avoir la foi, sans la mettre en œuvre, à quoi cela sert-il ? Sa foi peut-elle le sauver ?
Supposons qu’un frère ou une sœur n’ait pas de quoi s’habiller, ni de quoi manger tous les jours ;
si l’un de vous leur dit : « Allez en paix ! Mettez-vous au chaud, et mangez à votre faim ! » sans leur donner le nécessaire pour vivre, à quoi cela sert-il ?
Ainsi donc, la foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte.
En revanche, on va dire : « Toi, tu as la foi ; moi, j’ai les œuvres. Montre-moi donc ta foi sans les œuvres ; moi, c’est par mes œuvres que je te montrerai la foi.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 8,27-35.
En ce temps-là, Jésus s’en alla, ainsi que ses disciples, vers les villages situés aux environs de Césarée-de-Philippe. Chemin faisant, il interrogeait ses disciples : « Au dire des gens, qui suis-je ? »
Ils lui répondirent : « Jean le Baptiste ; pour d’autres, Élie ; pour d’autres, un des prophètes. »
Et lui les interrogeait : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre, prenant la parole, lui dit : « Tu es le Christ. »
Alors, il leur défendit vivement de parler de lui à personne.
Il commença à leur enseigner qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite.
Jésus disait cette parole ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit : « Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Évangile la sauvera.
- © AELF, Paris
« Si quelqu'un veut marcher derrière moi..., qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive »
Comment exprimer ce que mon âme a ressenti quand, de la bouche d'un saint prélat, elle a entendu ce qui est déjà ma folie, ce qui me rend absolument heureux dans mon exil..., l'amour de la Croix ! (...) Qui me donnerait le langage du roi David pour pouvoir exprimer les merveilles de l'amour à la Croix ? (...)
Oh, la Croix du Christ !... que peut-on dire de plus ? Je ne sais pas prier, je ne sais pas ce qu'est être bon..., je n'ai pas l'esprit religieux, car je suis plein du monde... Je ne sais qu'une chose, une chose qui remplit mon âme de joie, tout en me voyant si pauvre en vertus et si riche en misères ; je sais seulement que j'ai un trésor que ne changerais pour rien ni pour personne..., ma Croix, la Croix de Jésus, cette Croix qui est mon seul repos&nbsp! Comment expliquer cela ? Celui qui ne l'a pas expérimenté ne peut nullement soupçonner de quoi il s'agit.
Ah, si tous les hommes aimaient la croix du Christ !... Si le monde savait ce que c'est que d'embrasser pleinement, vraiment, sans réserve, en folie d'amour, la Croix du Christ ! (...) Combien de temps perdu en causeries, dévotions et exercices qui sont saints et bons, mais ne sont pas la Croix de Jésus, ne sont pas ce qu'il y a de meilleur ! (...)
Pauvre homme qui n'es bon à rien, qui ne sers à rien, (...) qui traînes ta vie, suivant comme tu peux les austérités de la Règle, te contentant de cacher en silence tes ardeurs, aime à la folie ce que le monde méprise parce qu'il ne le connaît pas, adore en silence cette Croix, qui est ton trésor, sans que personne s'en aperçoive ! Médite en silence devant elle les grandeurs de Dieu, les merveilles de Marie, les misères de l'homme (...) Continue ta vie toujours en silence, aimant, adorant et t'unissant à la Croix... Que veux-tu de plus ? Savoure la Croix, comme a dit ce matin Monseigneur l'évêque... Savourer la Croix !..
Verset du jour et ses passages… afin d’ête affinés, purifiés et épurés. Daniel 11.35Daniel 11.21-35playProfanation du sanctuaire21 »Un homme méprisé prendra sa place sans qu'on lui ait donné la dignité royale. Il arrivera dans une période de tranquillité et s'emparera du royaume grâce à des intrigues.22 Les troupes qui déferleront comme un torrent seront submergées devant lui et brisées, de même que le chef de l'alliance.23 Une fois qu'on se sera rallié à lui, il recourra à la tromperie. Il se mettra en marche et aura le dessus avec peu de monde.24 Il pénétrera en toute tranquillité dans les endroits les plus fertiles de la province; il fera ce que n'avaient pas fait ses prédécesseurs ni ses ancêtres: il distribuera le butin, les biens et les richesses. Il formera des plans contre les forteresses, et cela pendant un certain temps.25 A la tête d'une grande armée, il déploiera sa force et son courage contre le roi du sud. Ce dernier s'engagera dans la guerre avec une grande et très puissante armée, mais il ne résistera pas, car on formera des plans contre lui:26 ceux qui mangeront des plats servis à sa table causeront sa perte. Son armée se dissoudra et les morts tomberont en grand nombre.27 Les deux rois chercheront dans leur coeur à faire du mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au moment fixé. 28 »Il retournera dans son pays avec de grandes richesses. Dans son coeur, il aura des intentions hostiles contre l'alliance sainte. Il agira contre elle avant de retourner dans son pays.29 Au moment fixé, il marchera de nouveau contre le sud, mais cette fois-là cela ne se passera pas comme la première fois. 30 Des bateaux venus de l'ouest avanceront contre lui. Découragé, il rebroussera chemin, puis dans sa rage il agira contre l'alliance sainte. Il reviendra et traitera avec bienveillance ceux qui auront abandonné l'alliance sainte.31 Des troupes se présenteront sur son ordre et elles souilleront le sanctuaire, la forteresse. Elles feront cesser le sacrifice perpétuel et dresseront l'abominable dévastation.32 Il corrompra par des flatteries ceux qui violent l'alliance, mais les membres du peuple qui connaîtront leur Dieu agiront avec fermeté,33 et les plus perspicaces donneront instruction à beaucoup. Ils se heurteront pour un temps à l'épée et à la flamme, à la déportation et au pillage.34 Durant cette période ils recevront un peu d'aide et beaucoup se rallieront à eux de façon hypocrite.35 Quelques-uns des hommes perspicaces trébucheront afin d'être affinés, purifiés et épurés jusqu'au moment de la fin, car elle n'arrivera qu'au moment fixé.Néhémie 8.1-8play8 Alors tout le peuple s'est rassemblé comme un seul homme sur la place qui fait face à la porte des eaux. Ils ont demandé au scribe Esdras d'apporter le livre de la loi de Moïse, prescrite par l'Eternel à Israël,2 et Esdras, qui était aussi prêtre, a apporté la loi devant l'assemblée. Celle-ci était composée d'hommes et de femmes, de tous ceux qui étaient aptes à la comprendre. C'était le premier jour du septième mois.3 Esdras a lu dans le livre depuis le matin jusqu'à la mi-journée, sur la place qui fait face à la porte des eaux, en présence des hommes et des femmes, de ceux qui étaient en âge de comprendre. Le peuple tout entier s'est montré attentif à la lecture du livre de la loi.4 Le scribe Esdras se tenait debout sur une estrade en bois, fabriquée pour l'occasion. A côté de lui, à sa droite, se tenaient Matthithia, Shéma, Anaja, Urie, Hilkija et Maaséja, et à sa gauche Pedaja, Mishaël, Malkija, Hashum, Hashbaddana, Zacharie et Meshullam.5 Esdras a ouvert le livre de façon visible pour le peuple dans son entier - puisqu'il était surélevé par rapport à lui - et lorsqu'il a fait ce geste, tout le peuple s'est mis debout.6 Esdras a béni l'Eternel, le grand Dieu, et tous les membres du peuple ont répondu: «Amen! Amen!» en levant les mains, puis ils se sont prosternés et ont adoré l'Eternel, le visage contre terre.7 Josué, Bani, Shérébia, Jamin, Akkub, Shabbethaï, Hodija, Maaséja, Kelitha, Azaria, Jozabad, Hanan et Pelaja, qui étaient lévites, expliquaient la loi au peuple, et celui-ci est resté debout sur place.8 Ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu'ils avaient lu.Un service proposé par UniversdelaBible.netLire et écouter la Bible
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nix-bishop · 6 years
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SoccerBible - Interview 2D Gorillaz en français
2D des Gorillaz parle Football & La Coupe du Monde Avec SoccerBible
Avec la sortie d'un nouvel album à l'approche de l'été, le dernier album des Gorillaz sonne en ce moment même dans les bureaux de SoccerBible. Nous avons pris le temps avec l'homme au chant et au clavier, 2D pour parler de la Coupe du Monde, de son attachement au jeu et pourquoi nous ne devrions pas adorer les idoles.....
Alors 2D, quel genre de fan de football êtes-vous ?
"Bonjour SoccerBible, ici 2D. J'aime probablement plus jouer que regarder. Mon rêve était de jouer pour mon équipe locale, le Crawley Town FC, mais ma mère et mon père m'ont appris à ne pas viser trop haut. Au lieu de cela, j'ai eu des essais pour Pease Pottage qui était un club plus petit à proximité. L'entraîneur a dit que j'avais une grande vision, mais pas de résultat final. Je prenais la balle et je voyais très clairement dans ma tête ce qu'il fallait en faire, mais quand je me réveillais de ma vision, la balle m'avait été retirée. Je ne suis pas entré, mais ils m'ont laissé garder les shorts. Vous les avez peut-être vus dans la vidéo Humility. Je les ai lavés plusieurs fois au fil des ans, alors ils sont un peu petits maintenant."
Quel a été votre premier souvenir de Coupe du Monde et qu'est-ce qui vous fait rêver ?
"Euh, je ne m'en souviens pas vraiment. J'enterre tous mes mauvais souvenirs au fond de mon cerveau, sous les rêves brisés et juste à gauche de ma peur des œufs (à l'exception des crèmes Eggs, évidemment.). Je dirais que la meilleure chose à propos de la Coupe du Monde, c'est qu'on ne peut jamais le prévoir. Qui aurait cru que Pickled Onion Monster Munch gagnerait en 2016 ?" Voyez-vous des crossover entre la musique et le football ?
"Ah, je pensais à la Coupe du monde de chips. Désolé, je suis un peu excité car j'ai brûlé la bougie aux deux extrémités hier soir, ce qui est très difficile car elles ne sont conçues pour brûler qu'à une seule extrémité. Ça m'a pris toute la nuit. Eh bien oui, comme les chips, le football et la musique sont des langues universelles, et ils peuvent créer une belle harmonie. Bien que tous les crossovers ne soient pas des réussites, comme lorsque Diana Ross a manqué ce pénalty."
Vous avez déjà aimé les autocollants de football et tout ça ?
"Quand j'étais jeune, je n'avais pas les moyens de terminer l'album, alors je dessinais les joueurs dans les cases vides. Maintenant que je suis une mégastar, je ne peux toujours pas me permettre de terminer l'album parce que j'ai entendu dire qu'il en coûte plusieurs millions de livres pour obtenir chaque autocollant. Ce qui est dommage, les albums de stickers Panini devraient être pour tout le monde, pas seulement pour les super riches." Vous souvenez-vous de votre première paire de chaussures de football ?
"Ouais, j'ai pris une paire d'occasions dans une usine à Crawley. C'était deux pieds gauches. J'ai pensé qu'ils pourraient me donner un avantage car l'Angleterre est toujours à court de joueurs du côté gauche, mais je n'arrêtais pas de courir hors du terrain jusqu'au parking".
Parlez-nous du nouvel album - serait-il bon de savoir qu'il est écouté par les joueurs avant et après un match ?
"Ce n'est pas pour avant ou après, c'est pour The Now Now, tout de suite. Vous me suivez ?"
Tout le monde finit par parler de penalty - à quoi ressemblaient les scènes de fête pour vous lorsque l'Angleterre a gagné mardi soir ?
"Je suis maintenant un gourou de la méditation transatlantique (merci YouTube). Il m'a appris à être vraiment calme et à intérioriser mes émotions. Donc, de l'extérieur, j'étais assis tout simplement à regarder l'écran à O'Neills. A l'intérieur, cependant, j'étais en train de lever le poing et de faire 'oooo, c'est génial'. alors qu'il était encore baissé"
Jusqu'où pensez-vous qu'ils peuvent aller ? La prochaine étape avec la Suède.....
"Je suppose qu'ils pourraient aller en Suède s'ils le veulent, mais la Coupe du Monde est en Russie, alors je leur recommanderais de rester dans le pays."
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Es-tu amoureux de Harry Kane comme nous tous ?
"Un mot sage, mon ami. Ce n'est jamais une bonne idée de vénérer des idoles. C'est quelque chose que j'ai essayé d'apprendre à mes millions de fans. Il s'agit de jouer en équipe, de s'écouter les uns les autres, pas seulement les idées d'une seule personne. C'est une citation de mon manifeste."
Ces joueurs sont soumis à une pression folle lorsqu'il s'agit de la Coupe du Monde - comment avez-vous géré votre succès et gardé votre sang-froid ?
"Marcher jusqu'à prendre un penalty doit être comme marcher jusqu'au microphone sur scène. Le ballon est le micro et le gardien de but est votre démon du doute qui essaie de vous décourager. Le mien était un vrai démon, il avait l'habitude de dire des choses méchantes dans mon oreille et de baisser mon pantalon sur le métro. Mais maintenant il est en prison et je suis libre."
Quand les gens viennent à un concert des Gorillaz, comment aimeriez-vous qu'ils repartent ?
"J'aimerais qu'ils se sentent transformés, comme s'ils étaient allés dans un endroit si loin qu'à leur retour, le monde ne sera plus jamais le même. Comme quand on a été en France ou qu'on souffrait d'une commotion cérébrale."
À quel point aimez-vous jouer devant une foule - la scène est comme votre terrain de football, n'est-ce pas ?
"Je suis un peu inquiet pour vous. Dans la vie, il n'y a pas que le football. Beaucoup de choses ne le sont pas, comme.... eh bien rien ne me vient à l'esprit, mais regardez sur Wikipedia. Non, je ne dirais pas que la scène ressemble à un terrain de football. Il n'y a pas de règles sur scène, pas d'arbitre. Bien que Noodle utilise un de ces bonbonne de mousse pour s'assurer que nous sommes tous au bon endroit."
Qu'en est-il du reste du groupe - y a-t-il eu beaucoup de rivalités footballistiques tout au long du tournoi ?
"Amis, frères, amigas - c'est le temps de l'unité, pas de la rivalité. Alors, venez tous ensemble, tout de suite, près de moi. (Je n'ai jamais vraiment compris ce texte)."
Interview originale : https://www.soccerbible.com/interviews/2018/07/2d-from-gorillaz-talks-football-the-world-cup-with-soccerbible/
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noksye · 6 years
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Here we are ! I introduce you a new fanchild (even if he’s more like a fusion) :
Name : Nix (mix of Mist and Nex (murder) and the contraction of Nichts (nothing))
Age : 16/19
Pronouns : He/Him (normal) They/Them (mad)
Facts : 
He doesn’t like ketchup because of its resemblance with blood.
Nonetheless, he loves sweet things (cupcakes are his favorites, you can give him one to be his new bff).
He doens’t understand why people see his pressure means (muders) as something bad. He thinks he works for a great cause and regrets that the majority doesn’t understand him (ironically).
His favorite pastime is to create jewelry – his necklace was made by himself. Unfortunately, successful attemps are rare.
He doesn’t know how to do his shoelaces.
When he loves, he doesn’t count the cost. He has a phobia to lose something or someone he cares about (and he’s really paranoid about that).
He’s a reserved guy the first days you meet him. He needs to judge you to know if you’re gonna be a threat or not.
If you’re a threat, he’s gonna try to kill you.
If you’ll become a friend, he’ll wanna be essential in your life. 
If neither, he’ll be neutral.
He considers himeself as a shield to his relatives.
He kills what he sees as a threat for him or the ones he loves in thinking that would bring him inner peace and outer peace (first goal of his “parents”).
He thinks that without war, there’s no peace, so he sees himself as the one who has to fight against what he defines as “war”.
He’d do anything for something/someone he loves whether it’s a request or if he considers that it’s beneficial to this thing/person.
He’s kinda a stalker.
His L.O.V.E. is actually 1 because he didn’t have the occasion to kill someone in Dusttale (because of the resets) or in the Save Screen (otherwise, when he’ll get some people to “protect”, his L.O.V.E. will quickly up to 18-20, he’s been trained by Dust after all).
“I gain LOVE ‘cause I love 'em.”
He’s probably a Lawful – Evil guy.
Story :
He’s not born from a true and reciprocal love between Murder and Geno. Both of them found a middle ground : the human must stop genocide routes and resets, they played enough. So, they have created a fusion of themselves, by mixing their magics together (the way is pretty close to PJ’s), hoping that the child inherits of their will and be able to succeed where they failed. He grew up in Dusttale, his reference AU via Murder. He could see what his “father” had to do to stop the human. On the other hand, he had the ability to go in the Save Screen, where Geno showed him what his world, the Original, has experienced. Nix thought immediatly that if he needed to protect someone of a threat, he’ll do it before the threat could ever blink. He believes that his “parents” mistake was to wait too long.
In the Save Screen, he has the same capacity than Geno : he can follow something, more precisely someone (someone he encountered and he must know their name), because he doesn’t have the power to keep an eye on a whole AU. Usually, he watches what Murder does with his days.
If he has what he considers as friends or relatives, he can follow them instead of Murder. He can teleport in the world he observes (without necessarily knowing where it is, it’s as if he was crossing throught his monitor screen). But he’ll return inevitably in the Save Screen if he tries to teleport again (his teleportation only works that way).
Chips :
Dusttale!Sans ;
Nix is probably one of the few people to call him by his true name which is Murder. He cares about him, but not like a son with his father, more like a brother – including the fact that he follows him, even if he dosen’t doubt about his skills, we never know. If Murder tells him that a random people is a threat for a random thing he loves (especially what he calls peace), Nix will begin to spy them to study them, get his own opinion and find a proper method to kill them. Of course, if Nix’s judgement is not the same as Murder, he’ll do nothing.
Aftertale!Sans ;
He thinks that Geno has a negative view of his way of doing, but he lets him do, because it works (?). On his side, he belives that his second “father” is someone sad, to whom life has taken everything. So, he must protect him (that’s the reason why he chose to live in the Save Screen after discovering it). He doesn’t feel like he’s as close to him as Murder, but he feels that they have the same passion and the same conviction about “protecting” things, so he finds himself in Geno throught this. And because he doesn’t want to lose that, he has to be the shield.
Nom : Nix (mélange de Mist (brume) et Nex (assassinat) et aussi la contraction de Nichts (rien))
Âge : 16/19
Pronoms : Il/Lui
Facts :
Il n'aime pas le ketchup car ça lui fait penser à du sang.
Cependant, il adore les choses sucrées (lui offrir un cupcake fera de vous son nouveau meilleur ami)
Il ne comprend pas pourquoi les dissuasions qu'il utilise (#meutre) sont vues comme mauvaises. Il considère qu'il oeuvre pour une bonne cause et regrette qu'on ne le comprenne pas vraiment à ce sujet (ironiquement).
Il a un passe temps pour la création de bijoux, son collier étant de sa création, ceci dit, rares sont les essais qui aboutissent vraiment..
Il ne sait pas fait ses lacets.
Quand il aime, il ne compte pas. A une phobie de perdre ce à quoi il tient (au point d'en être paranoïaque).
Il est plutôt réservé les premiers jours après une rencontre pour se faire un avis de si la personne est une menace ou non.
Si oui, il va essayer de la tuer.
Si non, il fera tout pour devenir indispensable à sa vie.
Si aucun des deux, il sera neutre.
Il se considère comme un bouclier pour ses proches.
Il tue tout ce qu'il considère comme une menace pour ceux qu'il aime en pensant que ça lui apportera la paix intérieure et la paix extérieure (but premier de ses ''parents'')
Il pense que sans guerre il n'y a pas de paix, donc se voit comme celui qui doit lutter contre ce qu'il définit comme étant la ''guerre''.  
Il ferait n'importe quoi pour quelqu'un/quelque chose qu'il aime, que ce soit quand on lui demande ou s'il considère lui meme que c'est bénéfique pour cette personne/chose.
Un peu stalker sur les bords
Son L.O.V.E est actuellement 1 parce qu'il n'a pas eu l'occasion de tuer qui que ce soit à Dusttale (Resets nombreux oblige) ou dans l'écran de sauvegarde (sinon, quand il aura quelques personnes à ''protéger'', son L.O.V.E va rapidement passer vers 18-20, il a été entrainé par Dust après tout).
"I gain LOVE 'cause I love 'em."
Il serait probablement Loyal – Mauvais.
Story :
Il n'est pas né d'un amour pur et réciproque entre Murder et Geno. Les deux ont simplement trouvé un terrain d'entente sur le fait qu'il fallait que l'humain cesse les génocides et les resets, que ça avait assez duré comme ça. Ils ont donc, par le mélange de leurs magies (à l'instar de PJ), créé une fusion d'eux deux, en espérant que celui-ci hérite de leur volonté et qu'il réussisse là où ils ont échoué. Il a grandi à Dusttale, son AU de référence par le biais de Murder. Il a pu constater ce qu'avait du faire son "père" afin d'arrêter l'humain. De l'autre côté, il avait la capacité de se rendre dans l'écran de Sauvegarde où Geno a pu aussi lui montrer ce que son monde de base, l'original, avait vécu. Il se dit de suite que si jamais il devait protéger quelqu'un d'une quelconque menace, il le ferait avant que la menace ne puisse agir. Il estime que l'erreur de ses "parents" a été d'attendre trop longtemps que tout dégénère.
Dans l'écran de sauvegarde, il a la meme capacité de Geno à pouvoir suivre l'évolution de quelque chose, ou plus précisément de quelqu'un (qu'il connait et dont il connait au moins le nom), puisqu'il n'a pas la puissance nécessaire pour surveiller tout un AU, donc il regarde généralement ce que fait Murder de ses journées.
S'il a ce qu'il considère comme étant des amis ou des proches, il peut les suivre à la place de Murder. Il peut se téléporter sur le monde de la personne qu'il observe (sans forcément savoir où c'est, comme s'il passait à travers son écran de surveillance) mais retournera forcément à l'écran de sauvegarde s'il essaie de se téléporter à nouveau (sa téléportation ne marche que de cette façon).
CHIPs :
Dusttale!Sans ;
Nix est sûrement l'une des rares personnes à l'appeler par son vrai nom qu'est Murder. Il tient à lui, non pas comme un fils tient à son père, mais comme un frère - incluant le fait qu'il surveille ce qu'il fasse, bien qu'il n'ait aucun doute sur ses capacités, on ne sait jamais. Si Murder lui dit qu'untel est une menace pour x chose auquel il tient (notamment la paix), Nix commencera à l'espionner pour l'étudier, se faire son idée, et trouver une façon adéquate de le tuer. Bien sur, s'il n'est pas du même avis, il n'en fera rien.
Aftertale!Sans ;
Il pense que Geno voit d'un mauvais œil sa façon de faire mais qu'il le laisse faire parce que ça marche (?). De son côté, il imagine plus son deuxième "père" comme une personne triste à qui la vie a tout pris et qu'il doit protéger (c'est la raison pour laquelle il est resté vivre dans le Save Screen après l'avoir découvert). Il ne se sent pas aussi proche de lui que de Murder mais il sent qu'il a la même force et la même conviction que lui par rapport à la "protection" des choses, donc il se retrouve en lui a travers ça. Et parce qu'il ne veut pas perdre ça, il doit être le bouclier.
Geno!Sans belongs to @loverofpiggies
Murder!Sans doesn’t belong to me but I haven’t his ref blog, sorry :c
Nix is my baby ♪
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