Tumgik
#peine d'amour
demots · 2 years
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Ne pas s'ennuyer
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Albert Cohen, Solal
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cuntyfieddemon · 4 months
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just watched mizumono for the first time and i just think that i gave you such a rare gift but you didn't want it– didn't i ? you denied me my life– no. not your life. my freedom then. you would take that from me you would confine me to a prison cell. Do you believe you could change me the way i've changed you? i already did and honestly i think that's love in its most heartbreaking form. and something about teacups also
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petrichorpg · 3 months
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Aujourd’hui, j'ai eu le cœur brisé ...
Vous aussi ca vous ai déjà arrivé de croiser par hasard un autre rpgiste ? Vous papotez de tout et de rien, sans forcément avoir de liens entre vos personnages. Puis un jour une occasion se présente. Un rp, puis deux, puis trois ... Entre-vous ça coule de source, y a du feeling. Vous êtes sur la même longueur d'onde. Les idées s'entre-mêlent et vous sentez que vous allez avoir un duo intéressant ensemble. Et puis ... un jour votre partenaire vous dit qu'il quitte le forum pour x raisons (manque de temps, problème irl ...). Votre cœur se brise. Vous aussi vous avez déjà ressentis ça ? On dit qu'il faut séparer irl / rpg mais parfois le courant passe tellement bien qu'on y met des sentiments et ça fait mal quand c'est la fin. Un peu comme si notre personnage préféré d'une série ou d'un livre disparaissait sans s'y attendre. Oui le rpg ce "n'est qu'un" jeu mais c'est aussi plus que ça parfois. Alors à vous qui avez vécu des peines de cœur, je vous comprends, je vous envoie plein d'amour <3
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nemosisworld · 2 months
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On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés.
C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après.
Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle.
Victor Hugo, Les Misérables
Ph. Photoport
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ekman · 6 months
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Tu les emmerdes, mon Gégé, et tu as raison. Tu leur pisses à la raie, à tous ces hypocrites, ces faux-derches, ces peine-à-jouir. Toi, tu es le Gégé et personne n’a le droit de te le reprocher. Tu traverses la vie à 5 grammes parce que la vie te fait chialer depuis toujours. C’est comme ça. Du temps où tu plaisais encore à tous ces empaffés, à l’époque où ta consommation de coke très parisienne ne les dérangeait pas, ils disaient que tu étais un comédien “hyper-sensible”, “à fleur de peau”, “entier”. Ah ça oui, pour être entier, tu es entier. Avec un chibre estimé à deux kilos en temps de guerre, on ne doute pas que tu le sois. “Hyper-sensible” donc... Mais c’est pour cette raison que tu as fait comédien plutôt que déménageur, garde du corps ou cuistot. Pas besoin de tortiller du cul aux Inrocks ou de tâter de la bite chez Libé pour comprendre ça. Tu ne t’en caches pas. Zéro fausse pudeur, aucune gêne feinte, pas de virilisme à la con : l’existence te fait chialer. Ton enfance, ta mère, ta vie de merde en Touraine, les paings reçus et donnés, la cabane, ta réussite, ta faillite, tes succès, tes ratages, au ciné, dans la vie, tout en fait. Parce que tu es un diamant délicat, brillant, enchassé dans le corps d’un guerrier Gaulois de 128 kilos. Forcément tu fais du bruit, tu déplaces de l’air, tu gueules, tu les engueules, tu les agaces avec la Belgique, avec ton pote Poutine et ta Corée sinistre. Gégé, tu bouffes plus, tu dévores. Tu bois comme un trou noir, tu bandes à tout bout de champ, tu baises avant de t’écrouler, tu ronfles, tu loufes et maintenant, avec l’âge qui vient, tu te réveilles dans ton vomi ou tes déjections. Mais moi je t’aime, mon gros Gégé. Malgré le bruit et les odeurs. Oublie les ratés, les envieux, les violées amnésiques, les réseaux anti-sociaux, les médias pourris. Continue à nous parler de chatte échaudée, de petit cul, de clitoris tumescent et de foutre en cascade. D'aubes merveilleuses, de déchirements atroces, d'amours sublimes et de crépuscules tragiques. De toute façon, ils ne savent même pas de quoi tu parles. Toi et moi, mon Gégé, nous sommes de la même génération. Les quilles à la vanille, les gars au chocolat. Notre trajectoire, tantôt glorieuse, tantôt foireuse, on la revendique, on l’assume. Notre quéquette, pour ce qu’elle vaut, tout bien pesé, on la porte encore fièrement en bandouillère. On est comme ça. On cite Homère mais on pète entre potes. Et surtout – surtout ! On les emmerde ! J.-M. M.
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mailamoon · 5 months
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Oye oye bonnes gens !
Voici ma dernière fanfiction !!!
Il s'agit d'un petit intermède tout doux, tout tendre, tout fluffy, plein de bulles et d'amour.
(vous noterez comme je me suis éclatée pour la mise en page 😁)
(c'est du tout public, un peine un bisou à la fin)
(profitez de la bulle de douceur qu'est ce texte, ma prochaine fanfic va être beaucoup plus sombre...)
English text coming soon ^^
Résumé :
"Parfois, pendant cette course effrénée au One Piece, les émotions de Zoro deviennent trop intenses. Le destin qu'il a choisit le mène sur un chemin impitoyable, exigeant de lui qu'il soit infaillible.
Alors quand Sanji est blessé dans une bataille, la culpabilité envahit Zoro, amenant avec elle tout un tas de sentiments qu'il a du mal à définir.
Sanji le rejoint dans la salle de bain pour tenter d'apaiser les émotions qui assombrissent son compagnon d'équipage."
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unesimplevie · 1 month
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J'aime les moments des "juste avant", qui balancent entre tendresse et érotisme...
le "Juste avant" qu'on ne rencontre, quand on ignore encore que l'autre existe, qu'on va le croiser sous peu, que ça va changer notre vie, le "Juste avant" du premier regard, quand nos yeux se cherchent sans le savoir, et puis font connaissance, le "Juste avant" du silence précédant les premières paroles échangées, qu'elles soient banales, timides, ou coulent au contraire avec naturel dès les premiers instants.
Il y a les "Juste avant" le premier rendez-vous, lorsque l'on presse le pas, et que le coeur bat déjà la chamade, le "Juste avant" des premieres heures passées ensemble, quand la conversation commence à peine à se nouer, quand les regards se troublent à l'idée de voir la même émotion dans les yeux de l'autre.
Il y a le "Juste avant" que les mains s'enlacent, quand les doigts se recherchent au travers de l'espace infini d'une centaine de centimètres, le "Juste avant" du premier baiser, avant que les lèvres ne se frôlent et ne se découvrent, le "Juste avant" de la toute première caresse, quand les peaux se savent pas à quel point elles seront réactives l'une à l'autre, et puis, qui sait, si les choses se passent bien, le "Juste avant" du rendez-vous qui se prolonge, lorsqu'on ne sait pas jusqu'où on a le droit d'oser aller, le "Juste avant" de la première fois où l'on se déshabille, lorsque les mains hésitent entre maladresse et passion, lorsque la peau se découvre un peu au regard, aux baisers et aux caresses de l'autre.
Et puis il y le "Juste avant" de la première nuit d'amour et des ivresses du plaisir, lorsqu'on doit apprendre tout ce qui plait à l'autre, quand bien même on aurait eu d'autres amants, d'autres amantes, entre nos bras, lorsque les peaux sont à nu et brûlent de désir, le "Juste avant" de la première pénétration, lorsqu'un sexe tambourine à l'entrée d'un orifice qui lui est encore étranger, pour quelques cruciales secondes...
Enfin le "Juste avant" du premier réveil ensemble, lorsque les corps encore embrassés l'un à l'autre, pas totalement réveillés, reviennent doucement à la conscience, prenant lentement place dans la réalité, et réalisent que ce n'était pas un rêve..
(Copyright Lucas Heller, 21/04/2024)
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tosteur-gluteal · 2 months
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OMOFALLS ONESHOT - tulip (FR)
Ce oneshot se passe avant les évènements présents de OMOFALLS. Pour un peu de contexte, le pronostic vital de Sunny est engagé après le récital. SPOILERS OMOFALLS + les trigger warnings associés à OMORI, mention de la mort, présence de lame, et en général, les deux p'tits gars vont pas très bien. Peut-être une version anglaise plus tard, qui sait?
Elles tombaient une à une, décapitées dans la froideur de leur amer requiem. De leur corps ruisselle leur sang jaunis, un venin dont l'odeur florale étouffe, dont les épines qui grattent le fond de la gorge. De cette même gorge en asphyxie s'échappait la douce torture d'une mélodie d'un soir de décembre.
Le soir fatidique, où Basil avait tout perdu.
Basil, dont l'allure est habituellement si droite, rappelait maintenant son œuvre, tuait toutes ses fleurs sans remords. Les cisailles tranchaient les tiges comme dans du beurre, chaque fibre méticuleusement condamnée d'un coup net et mécanique. Efficace, sans flancher, sans empathie et sans inutile hystérie. Il décapitait ce glaïeul.
«…Mh…hm..»
Cette mélodie étouffée et fausse, si grinçante qu'elle s'enfonçait dans des plaies ouvertes. Son âme dont les fleurs l'ont privé d'amour. Ces maudites fleurs, toutes coupables aux regards innocents, toutes témoins, pourritures dédaigneuses qui le toisaient.
«…Lalala… La,...la la…»
Basil avait tout perdu; ou plutôt, on lui avait tout pris. Quelle malheureuse fin, quand le regret lui fut si insoutenable que la violence lui semblait être la seule issue. La grisaille dans ses yeux creusait tout ce qu'il restait de lui; un corps dont la peine avait engendré la négligence, jusque cette violence de dernier recours.  Après un énième coup, il balayait ses rares larmes d’une traite. Il ne reviendra pas, peu importe les punitions infligées à ces hypocrites de fleurs.
«…La…lala…la…lala..!»
Il haïssait cette mélodie. Elle est hors de ton, arrogante, pleine de fausse modestie et de cette maligne innocence malgré le meurtre. La mélodie d’une menteuse.
Il jeta un coup franc dans un pot de muguet.
«…La…la…la…»
A la fin, il ne resta d’un seul pot intact.
«…Sunny…»
Une seule tulipe blanche, mourrante au pas de sa fenêtre. Le froid et le manque de le lumière ont dû finir par la scarifier, la faire partir de la manière la plus atroce. Une agonie solitaire qui découvrait la perfection sous l’angle le plus laid.
Basil se demandait pourquoi. La douleur qu’il ressentait l’éteignait un peu plus chaque jour, en même temps que cette pâle imitation de perfection. La tulipe, bulbeuse, simple, modeste, parfaite. “Parfait” était un mot qui lui donnait envie de mourir. “Parfait”sonnait comme une injure. Un mot si plat qu’il en est intouchable. Il se maudissait pour avoir un jour osé appeler Sunny “parfait”. Tout ça, c’était de sa faute. Son parfait petit Sunny était mort par sa faute.
«…»
Comme cette tulipe-là qui suppliait la délivrance. 
Comme Sunny seul dans sa chambre, étranglé par ces sombres murmures aux cordes du violon.
Et Basil, au pas de la porte, qui regardait.
Basil lui avait tout pris. 
La tulipe fanée regardait la guillotine qui l’invitait.
«…»
Abréger ses souffrances – la chavirante fleur ne respirait déjà plus.
«…Je l’ai tué.»
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Encore quelques heures, pour dire adieu à 2024. À une année bien remplie d'émotions de peine, de joies, d'amour. Ce soir, la solitude pour certains. Le travail pour d'autres. La fête pour vous peut-être. Alors, petit message a tout ceux qui se donnent pour sauver des vies. À ceux qui aident à améliorer nos vies. À ceux qui sont présents pour soulager et accompagner. Merci pour être là. Merci à mes amis/es pour cette année. On se croise quelques instants sur un écran, au téléphone autour d'un verre l'amitié des mots, le partage, écrire sa douleur ou son bonheur. Mais ne jamais se rencontrer,qu'il est dommage de ne pas voir votre image. Mais qu'il est tendre ce moment de partage. Amitié virtuelle, je t'écris,a la recherche d'un moment de douceur celui de te lire, bien a vous
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e642 · 5 days
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Lors de ma première relation j'ai pensé -à tort avec du recul- que l'amour c'était la démesure. Que la passion, l'intérêt, l'appréciation, l'envie, les sentiments ne pouvaient exister que par le prisme de l'immodération. Je devais avoir mal au ventre d'amour, la gorge nouée à l'idée incessante de perdre l'objet de mon désir. Que si je n'étais pas amoureuse à m'en rendre malade c'est qu'alors je ne l'étais pas. Ça m'a poursuivie longtemps et ça m'a même peut-être gâché des occasions. J'ai cru qu'il fallait que je sois à bout de souffle. Que je me sente sur le file pour ressentir vraiment. Je me suis épuisée à aimer, c'était pas trop, on aime jamais trop, c'était mal, je ne comprenais pas où mettre le surplus. C'était comme nager à contre courant, possible mais pas durable. Aujourd'hui, je suis plus nuancée. Je ne sais pas si je suis amoureuse de mon copain actuel, ce qui peut biaiser mon propos, mais je ne ressens pas cette outrance. Cette urgence d'aimer et d'être submergée par tout cet amour. C'est tellement plus apaisant quand c'est calme. Quand on se rend compte que c'est là mais que ce n'est pas douloureux. Que la douleur ne fait pas vraiment partie de l'amour. Que pour aimer, il ne faut pas impérativement souffrir. J'ai cru qu'il le fallait car c'était mon seul moyen de vérifier l'authenticité de mes sentiments. Le fait est que maintenant, je connais les enjeux mais je sais que c'est plus sain et positif pour moi si je n'aime qu'à hauteur de ce que je peux aimer. En effet, ça peut faire peur. Qu'est ce qui me permet de dire que j'aime si je ne ressens pas les extrêmes ? Comment graduer des émotions qui ne me compressent pas le coeur ? Sont-elles là s'ils sont à peine audible ? Le silence est la paix ou l'absence ? Le silence prend toutes les voix, tous les tons, exprime toutes les émotions, c'est le contexte qui permet de trancher. Je me sens tellement mieux de n'être qu'exposer qu'à des douches tièdes et plus froides. Souvent je me dis que c'est peut-être parce que je n'aime pas à nouveau, puis, plus rarement, je me dis qu'il serait temps d'accepter qu'aucun amour ne se ressemble et que c'est sûrement l'expression différente de mes sentiments. Je me dis aussi qu'il y a des gens qui nous intéressent et d'autres qui nous obsèdent, je suis peut-être dans l'autre camp et c'est pas plus mal. Un jour je saurai ce que ça veut dire cette façon d'aimer mais là, je ne me pose pas plus de questions. C'est juste tellement plus reposant de ne pas être profondément amoureux.
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lisaalmeida · 16 days
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On parle bcp des souffrances des femmes, de ce qu'elles endurent au quotidien, de l'indifférence, des peines dûes au manque d'attention, mais on ne parle pas beaucoup de la souffrance des hommes ceux qui aiment comme des fous des personnes égoïstes, ceux qui souffrent d'un décès, ceux qui perdent leurs conjointes et restent seuls avec les enfants, ceux qui sont seuls alors qu'ils vivent sous le toit d'une famille qu'ils ont construit, il y a ceux qui voudraient être aimés en retour, qui donnent sans compter et qui ne récoltent qu'indifférence et mépris, oui les hommes aussi souffrent du manque d'amour, le mal ne touche pas seulement les femmes, beaucoup d'hommes cachent des larmes à l'intérieur de leurs âmes, de leurs coeurs, rendons hommage à ces hommes-courage.
#Citations et poèmes
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perduedansmatete · 6 months
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ce soir on a enfin pu fêter les 85 ans de mon grand-père au restaurant coréen dans lequel on va depuis toujours, j'aime beaucoup la patronne elle est toujours super heureuse de nous voir et nous aussi, on discute beaucoup c'est vraiment un petit cœur et on a passé une bonne soirée mais avant qu'on se quitte on a parlé de noël quand on se demandait quand est-ce qu'on se reverrait avec mes grands-parents et pour la deuxième année consécutive ma grand-mère ne veut pas le fêter, l'année dernière il y avait un contexte de conflit latent débile donc je comprenais mais là je sais que c'est juste qu'on ne va plus jamais le fêter ensemble, pas que j'aime forcément noël cette source d'angoisse horrible mais sans eux c'est toujours moins bien, je crois qu'il y a juste trop de mauvais souvenirs d'enfance qui lui sont remontés depuis qu'elle voit son neuropsy et ça me fait de la peine qu'elle préfère avoir le cafard à deux plutôt qu'avec nous comme ils l'ont toujours fait, est-ce qu'elle était heureuse quand on était plus petites ? ou est-ce que ça a toujours été dur pour elle ? je me demande mais ça me rend triste, je les aime tellement que je pourrais pleurer d'amour pour eux et plus le temps passe plus je me rends compte que tout ça c'est précieux
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icariebzh · 3 months
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youtube
"La vie Ça tient dans une paume Ça résonne comme un psaume Mais ce n'est qu'une java La vie À peine est-elle éclose On dirait une rose Mais ce n'est qu'un dahlia La vie Même si tu la bourres De rêves et d'amours Qui n'en finissent pas La vie Même si pour l'enfance C'est plus beau que Byzance C'est toujours Carpentras
La vie Ça n'a pas de ressources C'est pas coté en Bourse Comme l'or-étalon La vie Ça se débine en douce À la vie comme j'te pousse Au détour d'un avion La vie Si tu la perds pas b'soin De d'mander le chemin D'la rue des Morillons La vie On croit que c'est pépère Bien planqué l'arrière C'est toujours sur le front
La vie Pas l'temps d'faire des projets À peine même si j'ai Le temps d'être rossignol La vie On t'la donne on t'la r'prend Comme un jouet d'enfant Une divine babiole La vie C'est un bout de répit Qui couve au bain-marie Dans une drôle de cass'role La vie C'est la supercherie D'un Jupiter aigri D'un dieu à camisole
La vie Ça ne tient qu'à un fil Ca s'joue à face ou pile Pour des profits et pertes La vie Ça se sauve ça s'épargne À la caisse d'Épargne Des guerres qu'on déserte La vie Moi je la revendique Pour le moindre moustique Pour la bête de somme La vie C'est la fleur sans fusil C'est la Terre sans patrie C'est le berceau des hommes La vie"
Henri Tachan
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wandajetaime · 1 month
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The Alchemy
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♡ Ship: Jason Mendal x Ysaline
♡ résumé : Ysaline se réveille dans le même lit que Jason Mendal...
♡ words: 1283
♡ ps : Bonjour! Avec la sortie d'Amour sucré NewGen, j'ai eu une envie d'écrire quelque chose sur Jason Mendal et... j'en suis plutôt fière de ce one shot ^^ qui continuera peut être ou peut être pas. Il n'y rien d'explicite. Merci de prendre le temps de lire ! <3
♡ ps 2: je l'ai écrit en écoutant Fortnight et The Alchemy de Taylor Swift ^^ beaucoup de mes écrits seront inspirées de ses chansons :D
♡ ps 3: Pas besoin d'avoir joué au jeu pour lire ;)
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Le doux soleil de printemps caressait avec délicatesse le visage d'Ysaline. Elle ouvrit légèrement ses yeux avant de les refermer aussitôt à cause de la lumière vive. La brune se retourna avant de cacher son visage du soleil et de gagner quelques minutes de sommeil en plus.
Néanmoins, elle heurta un mur. Enfin, ce qu'elle pensait qui était un mur n'était autre que le dos d'un homme, torse nu à côté d'elle. Aussitôt elle se souvint.
Pourquoi avait-elle fait ça ? La personne avec qui elle partageait ce lit, n'était autre que Jason Mendal, qu'elle avait rencontré la nuit dernière. Enfin, " rencontré " si l'on peut dire... Jason l'avait invité à dîner dans un restaurant privé d'Amoris.
Ce qui était étrange, c'était les circonstances de leur rencontre. Les deux amants travaillent dans des boîtes concurrentes dans l'événementiel. Ysaline, suite à sa démission dans son ancienne boîte, a déménagé chez sa mère et a posé ses bagages dans cette ville. Bien vite, la jeune femme a retrouvé du travail, avec un entretien téléphonique d'à peine dix minutes. À l'entreprise Devenementiel.
Ysaline s'est très vite accommodé à cette entreprise et ses collègues plus... loufoques qu'elle n'ait jamais eu ! Elle les appréciait énormément.
Elle sentit une pointe de culpabilité lui provoquer une douleur à son cœur à cette pensée, ses yeux ambrés toujours fixés sur le dos nu de Jason, qui semblait dormir à poing fermés.
Que penserait ses collègues en la voyant ainsi ? Dans le lit de leur concurrent ?
Contrairement à ce que la scène pourrait laisser croire, il ne s'était rien passé entre les deux tourtereaux. Enfin, hormis des baisers langoureux, rien de plus. Ysaline ne souhaitait pas franchir ce pas, ça rendrait sa trahison trop... réelle pour elle.
Et Jason l'avait compris, sans qu'elle n'ait eu besoin de le verbaliser. Ils avaient un lien particulier où ils semblaient se comprendre par un regard, sans parole.
Après une longue contemplation de ce dos nu, Ysaline se tourna et regarda l'heure du le réveil high tech à sa droite. 8h13.
Elle pourrait s'éclipser discrètement, en laissant un petit post-it... ou rester ici et faire la grasse matinée, c'était Mercredi, elle ne travaillait que d'après-midi. Sa mère était en déplacement en Allemagne et sa sœur chez leur père. Personne ne l'a dérangerait.
L'idée de s'éclipser discrètement lui semblait être une bonne idée, elle se décala doucement du matelas afin de ne pas réveiller Jason. Elle rattrapa ses vêtements éparpillés dans la pièce et les enfila à une vitesse impressionnante. Ysaline remit son pantalon en état et s'arrêta à l'encadrement de la porte.
Pendant quelques secondes, elle ne bougea pas et réfléchit. Elle ne pouvait pas laisser Jason dans ce si grand lit. Elle mordait sa lèvre inférieure de culpabilité, décidément elle ne savait pas s'y prendre.
La brune se rapprocha donc du lit et se glissa par-dessus la couette, s'approchant du jeune homme. Son visage fin et séduisant semblait tellement… apaisé quand il dormait, Ysaline se surprit à apprécier cette moue. Elle passa une douce main dans les cheveux décoiffés de Jason, jouant délicatement avec les mèches grisées.
—  La belle au bois dormant... on se réveille... Roucoula Ysaline, un sourire taquin aux lèvres.
La dite belle au bois dormant, grimaça un peu et ouvrit difficilement les yeux. Jason n'était pas quelqu'un de matinale, et encore moins avec quelqu'un qui partage son lit. Il mit quelque secondes à émerger de son réveil, Jason remarqua enfin Ysaline, qui était quasiment allongée sur lui.
— Bonjour à toi aussi chaton... Croassa Jason en glissant avec tendresse sa main droite dans les mèches rebelle de la femme au dessus de lui. Tu es déjà habillé ? Dit-il en baissant les yeux sur les vêtements d'Ysaline.
— Hmm hmm. Répondit la brune, sans entrer dans les détails. Avec son majeur et son index, Ysaline traça très délicatement les traits de Jason, partant de l'implantation de ses cheveux à la naissance de son oreille gauche, puis glissa avec douceur sur les traits fins de sa mâchoire avant d'arriver à ses lèvres, sans qu'elle ne le contrôle, son pouce passa instinctivement sur les lèvres légèrement rosées de Jason, celui ci l'a regardait avec tendresse.
— Je sais que je ne devrais pas mais... j'ai très envie de t'embrasser. Murmura Ysaline, de façon si discrète que Jason ne l'aurait pas entendu s'il n'y avait pas toute son attention sur elle.
Un sourcil levé, un petit air de défi sur son visage et Jason renchérit.
— Il n'y personne pour te retenir. Pendant qu'il parlait, les mains qui s'était, plus tôt, glissé dans la chevelure de Ysaline, descendirent sur les hanches de la jeune femme, les mains de Jason s'était refermé sur leur prises, tenant fermement la brune.
Ysaline hésita quelques secondes. Ce n'était pas du tout correct ce qu'elle faisait...On ne fricote pas avec l'ennemi... Enfin, dans ce lit, les deux n'étaient plus concurrents... Non ?
Ysaline se positionna correctement, enroula ses bras autour des épaules de Jason, une de ses mains passa derrière la tête de son compagnon et attrapa ses cheveux, elle faisait ça pour ne pas perdre pied, et puis ça ne dérangeait pas du tout Jason.
— Ferme là et embrasse-moi. Répondit Ysaline, ses lèvres frôlant celle de Jason, leurs souffles étaient liés. Elle avait bien senti que le corps de Jason s'était crispé à sa phrase. Il pouvait dire ce qu'il voulait mais il aimait bien quand Ysaline lui donnait des ordres.
Ni une ni deux, Jason suivit les ordres de son amante et l'embrassa. Il avait dû se relever et était désormais assis avec sa bien-aimée sur lui. Pendant une quinzaine de secondes, leurs baisers se contentaient d'être des baisers vifs. Mais Jason n'était pas satisfait, il en voulait plus, il était complètement addict à ses lèvres.
Sans hésitation, Jason attrapa la nuque de la brune et l'allongea rapidement sous lui. Leurs lèvres ne se quittant jamais. Désormais, Ysaline était sous lui. Sa main toujours sur sa hanche, se décala sur le côté de sa cuisse et la souleva doucement.
Jason allait retirer le t-shirt de son amante pour couvrir son ventre de baisers. Mais la poigne d'Ysaline dans les cheveux du brun se fit plus forte, lui disant d'arrêter
— Jason... avertit Ysaline. Jason releva la tête et eut un petit rire nerveux, heureusement qu'elle était là pour le ramener à la raison.
— Désolé...Répondit Jason, avec un petit sourire désolé, en remettant le t-shirt de la femme sous lui. Elle lui était reconnaissante de ne pas tenter plus. Jason se leva et s'allongea juste à côté d'elle. Il la contempla quelques secondes.
— Je peux t'embrasser ? Demanda Jason sa main droite caressant la joue d'Ysaline qui accepta d'un geste de la tête. Elle aimait qu'il lui demande son autorisation.
Après une longue séance de baisers humide, Jason allait renchérir pour un nouveau baiser quand une Ysaline essoufflée et rouge bloqua les lèvres de Jason avec sa main, il était presque 9h00 elle devait d'abord rentrer chez elle se changer et prendre une bonne douche.
— T'es mignon Jason mais je vais devoir y aller. Dit Ysaline un petit sourire aux lèvres. Jason fronça un peu les sourcils, il aurait voulu rester toute la matinée dans ce lit avec elle.
—  Un dernier ? Demanda Jason en enlevant la main de la brune. Elle soupira, il avait le comportement d'un enfant de huit ans. Mais Ysaline lui posa un baiser vif sur ses lèvres avant de se lever. Elle caressa doucement les cheveux de Jason avant de s'en aller.
— Passe une bonne journée. Rit Ysaline en voyant la moue de Jason, puis elle s'en allait enfin.
Quand la porte d'entrée claqua, Jason tomba dans son grand lit vide qui sera froid dans quelques minutes. Il soupira. Elle lui manquait déjà.
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dream-phantasm · 1 year
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Leona Kingscholar x Reader: Love Letters (6)
motivation flopped :(
Rook shows up as well as a surprise guest...
Hope you enjoy! No spoilers or warnings for now but this might change in future installments :)
PART 1 | PART 2 | PART 3 | PART 4 | PART 5 | PART 6 [!] | END
"Beauté! How merveilleux!" You squint, shielding your eyes.
"Fygaa! He's so shiny dazo!" Grim grunts. "You've finally decided to seek me out, a smart decision, Trickster!" Rook Hunt was a very bizarre student. As a Pomefiore student, an NRC student on top of that, he was naturally eccentric and beautiful. 
Yet he has that edge to him that makes you want to run far, far away from him. "Uh, I'll just leave you all to it…make sure Rook doesn't blow anything up." Trey quickly closes the door behind him. 
"Trey, don't leave us!" Ace whines, placing his hand on the door. "Tell me when you're done." They could hear Trey's voice getting further, he has definitely ditched them. "It's not time to be a coward, Ace!" Deuce nudged him. 
"It's nice to meet you, Mr. Hunt." You decide to wave as he stood up and took you by the hand. He gives a light peck to your hands and looks up at you with those cunning green eyes. You squeak and flinch. 
"Oh my great sevens, ew." Ace groans, covering his eyes. Deuce stands on the side awkwardly watching the interaction. "You smell funny dazo." Grim sniffs the air, looking warily at the Pomefiore vice dorm head. The more accurate assumption was that Rook Hunt simply did not smell, at all. 
"Don't be rude, Grim." You scold him. "I've already known about you for a while, mx. It's merveilleux to meet you in person! My name is Rook Hunt, at your service." Rook introduces himself properly. "You can just call me Rook, Trickster." He adds with a smile. 
"Okay." You simply nod, this guy weirded you out. From the way he had spoken to you, you could already assume he knew of your situation. You are fairly sure Rook was stalking either your admirer or you. 
"So, you know about the thing…?" You ask just to confirm. "Oui! You've come to the right person to find your prince charmant!" Rook nods eagerly. "Good! Then, spill! Tell me who it is!" You also eagerly lean forward. 
"Fufu! But I cannot expose one's secrets as le Chasseur d'Amour!" Your face freezes before it turns into an empty expression of despair. You slowly sink to the floor, you wish to become part of the floor.
Life might be easier if I were the floor. I could just exist all day…not needing to worry about any overblots or secret admirers. I could get stepped on all day by hot- Wait. I don't want that… You blinked blankly.
"[Name], are you okay!?" Deuce shakes you frantically. "Why am I here…just to suffer?" You weakly grunt, flailing limply in his arms. "Henchman, you owe me tuna dazo!" Grim joins in shaking you, the best he could with his little paws anyway. 
"Oh my! What a tearful display of peine d'amour!"
"Alright, enough being dramatic! Hey, you! This is your fault." You hear Ace snap. "Oh, how your compagnons care for you." You spot Rook wiping tears from the corners of his eyes. "Ugh." You grumble.
"There's no need to worry, Trickster! As Monsieur Dandelion said, he indeed has eyes the colour of emeralds and he is indeed a student of Savanaclaw as you merveilleusement guessed!" Rook finally provides you a few hints. Deuce stops shaking you as you slowly get up. 
"Ace, I think we are going to be looking into every Savanaclaw students' eyes." You turn to face Ace, with a serious look on your face. He scrunches up his nose. "No way, you can do that on your own." Ace rolls his eyes, looking away from you. "Maybe we should ask Cater again…" Deuce suggests. 
"There's no way he would keep track of something like that, idiot." Ace scoffs. "Oi! I don't see you making any helpful suggestions!" He glares at Ace. "Aghh, I'm getting hungry again from thinking about our lost sandwich dazo!" Grim groans, rolling on the floor. "I'm sorry!" You wail, you really didn't mean to give Ruggie the sandwich. 
"Excuse me." The door to the alchemy classroom opens suddenly, a tall man with teal hair and mismatched yellow eyes stepped into the room. 
"Monsieur Prémédité!" Rook greeted him cheerfully. "Hello, Rook." The new student smiled politely in response. His eyes did a quick scan of the room, those heterochromia eyes landing on…you?!
You wave awkwardly. Ace slaps your hand down. You give him a questioning look but he continues staring skeptically at the student. You look to Deuce to find he looks a bit unsure as well. This might've been some weird dorm tension so you observe the student's armband. 
Octavinelle? You try your best to recall what Cater and Trey had told you that day. It's based on the Sea Witch and its main trait is compassion. Probably has a lot of mermen, right? You still don't understand how this relates to beef with Heartslabyul or Ace. You swear to the Great Sevens, how did he get into the bad graces of so many students already?
"Oh, are you busy at the moment? I could come back later." He turns back to Rook. "Hold on a moment, Trickster. What are you here for, Monsieur Prémédité?" Rook asks, turning his attention to the Octavinelle student. 
"Just the special fertilizer for mushrooms. Are they still in the cupboard?" He asks politely, staring at the cupboard behind you. 
You quickly shuffle aside nervously. The Octavinelle student notices this and you hear him chuckle quietly. Please hurry up and leave. The audacity of these guys. 
"You've gotten Crewel's permission, oui?" Rook tilts his head. "Yes. For my alchemy project this week." He nods. "You're working on luminescent fungi, correct? It's in the cupboard, Monsieur Prémédité." He gestures to the cupboard. 
"Fufu, yes, that's correct. I wonder how you figured out already." The Octavinelle student laughs, he walks toward the cupboard and crouches down.
"If I may be so presumptuous, your name is [Name], correct?" He suddenly asks you. You weren't that surprised. You're rather infamous due to the welcoming ceremony incident and then the chandelier one. 
"Yeah, it's uh, nice to meet you, Mr…?" You trail off awkwardly. "Jade Leech. Fufufu, I saw you were running around campus, asking for someone." He smiled, amused. You flushed. You probably did look like a headless chicken, huh?
It was too late for your dignity here anyway. "O-Oh, uh, yeah." You nod. "Do you by chance know a Savanaclaw student with green eyes, Leech?" Deuce asks hopefully. "Hey, don't go asking everyone, it's too vague anyway, stupid." Ace scoffs, he's still staring skeptically at Jade. 
"A Savanaclaw student with green eyes, hm? Why exactly are you looking for them, if I may ask?" He tilts his head, still rummaging through the cupboard. "Reasons…?" You offer unconvincingly. "Fufufu, well, if you don't wish to tell me, I wouldn't want any student getting into trouble because of me." Jade replies, pulling out a bag of fertilizer. He easily pries Grim away from trying to get into the bag of fertilizer.
"Fygaa! You're too crazy strong dazo!" He scowls, shuffling to your side. "Can you even eat fertilizer…?" You squint at him doubtfully.
"We don't need your help then." Ace snaps, yanking you further from Jade. "Fufu, there's no need to be so wary. I'll offer you a free hint. He's an important figure in the Savanaclaw hierarchy." Jade smiles, standing up to his full height. 
Important position? You weren't quite sure what that meant. The only thing you could think was either the dorm head or the vice dorm head. You don't even know if this information is to be trusted. Before you can even thank or ask him about that, he turns toward Rook. 
"I'll be taking my leave now, thank you for allowing me to borrow this." Jade thanks Rook with a nod. "No problem, Monsieur Prémédité! Just be sure to return it when you're done." Rook beams back. 
"[Name], if you ever need any assistance or advice, the doors of Mostro Lounge are always open." Jade offers before shutting the door behind him. His heterochromia eyes twinkle with amusement and you're definitely freaked out by this guy.
"Ugh, that guy gave me the heebie-jeebies dazo!" Grim declares rather loudly. "Ah, watch it! Don't say stuff so loudly like that, you're gonna get caught!" Ace hurriedly glares at him, still glancing warily at the door. "Um, that was…interesting to say the least." You laugh nervously.
"We won't take up any more of your time now, Rook. Thank you for the information." You want to leave as quickly as possible to collect your thoughts. "Thank you so much for the help!" Deuce adds as well.
"You're welcome, Trickster!"
"I don't wanna be here any longer…" Ace grabs the both of you by the wrist and drags you out of the Science club room. "Fyga! Wait up dazo!" Grim growls, scampering after you three.
Ao3: HERE If you see it posted anywhere or by anyone else, it's not me.
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esmerald-stuff · 2 months
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bonjour bonjour ♡ je poste ce petit message pour quelque chose que je ne fais que trop rarement, la publicité d'un pré-lien sur live by the sun, mais extrêmement attendue par la superbe @manderleystuff et moi-même. ♡
tw : prostitution, abandon forcé d'un enfant, famille dysfonctionnelle. (pl sombre, complexe mais beaucoup d'amour à la clef)
en quelques mots ;;
à mon plus beau marasme.
(f) dahlia - ce rouge sur mon corps
belle, belle, comme l'éternelle tristesse au regard de braise, l'envoutante fleur noire, dahlia (prénom au choix) attire les plus fous des marins. ils s'échouent près d'elle autant que sa vie à elle est un échec. le sang bafoué qui coule dans ses veines, dont seuls les abîmes se souviennent. les années défilent et se moquent, cruelles, de son imperfection désillusion. silhouette chancelante teinte la mélancolie, résilience faites de toutes les épreuves traversées. l'existence sous les coups de lucifer, bercée près des ombres et loin de la lumière. dahlia danseuse funeste, remonte sur la scène encore et encore pour jouer de ce tragique ballet. dix-huit années qui claquent, et un petit être vient déjà au monde. un bébé, saul, son premier garçon, mais elle manque de tout, dahlia. alors, lui aussi, manquera de tout. le corps beauté qu'elle échange contre les billets, juste assez pour se payer un loyer, se nourrir et nourrir son bébé. elle n'avait rien, dahlia, alors les années défilent et elle continue, la seule chose qu'elle sait faire, au fond. gamin grandit et encaisse difficilement, les passages de ces hommes aux regards lubriques. puis en vient un autre, un homme amour, un différent, relation de quelques temps, elle est la maitresse. et alors elle tombe enceinte, une seconde fois. petite poupée, cette fois, petite princesse, elsie. elle ne grandira pas dans ce foyer crasse, sous le joug des hommes de passage. bébé lui est arraché des bras à peine née, le père l'emmènera loin de dahlia, l'élèvera avec sa femme, bébé volé....
( son enfance et son passé sont libres d'interprétation, quant à son état d'esprit aujourd'hui et son futur, il en est de même ♡)
pour en savoir plus c'est par ici !
et pour toutes questions, nous sommes là aussi ♡ merci merci merci d'avoir pris le temps de le lire. ♡
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