Tumgik
#qu'est-ce queue c'est?
tosteur-gluteal · 4 months
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Slutty priest is homophobic (chaos ensues) - OMORI MLB AU x Priest!Nick au (French version)
This is a collaborative fic I've made with @theokusgallery! This does not contain any spoiler, and is in French (English version coming soon. Probably. maybe.) Trigger warnings! This fic contains queerphobic slurs, as Priest!Nick is very repressed. If this makes you uncomfortable, don't hesitate to avoid this post! With that out of the way, Bonne lecture!
Les carreaux de la Cathédrale se brisent en milles éclats. Ladybug, dans la hâte, ne remarqua pas la présence du prêtre: une alerte akuma avait été formulée trente minutes auparavant dans ce quartier, et selon le protocole, on avait fait évacuer les lieux pour la sécurité des citoyens. En l'occurrence, Ladybug avait décelé une activité suspecte au sein de la Cathédrale.
Le prêtre, caché sous les débris, regarda Ladybug depuis le sol. Il l'espionna alors que le jeune homme cherchait la source de la menace qui avait été formulée. Il attendit le bon moment pour sortir de sa cachette, l'attaquer, le tuer--
Et le moment vint.
Il sauta du sol, faisant tomber les débris autour de lui, et se lança vers Ladybug. Les ailes de chauve-souris qu'il avait dans le dos l'aidèrent à se propulser tandis que sa queue de démon s'agitait de bas en haut pour détourner les morceaux de vers qui auraient pu l'atteindre.
"Ce gosse, pensa Nick, il a le droit de faire ce qu'il veut, mais MOI…!"
Ladybug serrait les dents. Malgré son agilité, il éprouvait une grande difficulté à éviter les attaques du vilain. De plus, il lui fallait trouver un moment de répit pour communiquer son emplacement à son coéquipier.
"Très élégant, monsieur! Enfin bon, malheureusement, je ne pense pas qu'il soit approprié de porter ce genre de tenue en ce lieu sacré..!"
Ladybug sautait de pilier en pilier, forçant le vilain à lancer ses débris dessus.
"Oh pitié, rétorqua celui-ci, tout en ventilant son torse exposé de manière provocatrice; t'es très mal placé pour parler, travlo!"
Ladybug le regarda, interloqué, ne sachant quoi répondre, et Arsenic en profita pour tenter de lui asséner un coup de poing que Ladybug évita de justesse.
"Ladybug, tout va bien ?!"
Ladybug poussa un soupir de soulagement en entendant Catmint.
"C'est pas trop tôt ! Il t'en a fallu, du temps, qu'est-ce que tu faisais ?!"
"J'ai évacué tout le monde, répondit Catmint. C'est lui, l'akumatisé?"
"T'en vois souvent, des gens normaux avec des ailes, queues et cornes de démon, toi ?"
Catmint eut tout juste le temps d'éviter une attaque du "démon" avant que celui-ci ne fit volte-face et saisisse Ladybug par le col. Il plongea verse le sol, entraînant Ladybug avec lui, en le plaqua contre les dalles de l'église.
"Ça va, tu t'amuses bien à flirter avec ton pote, pédé?!"
Ladybug utilisait ses bras pour tenter d'échapper à la prise du vilain sur son cou.
"Tu m'as l'air…bien, bien frustré, mon gars-"
"Comment ne pas être frustré quand on voit que des gens de ton espèce se baladent librement, sans aucune crainte envers Dieu..!"
Avant qu'il puisse en rajouter une couche, Catmint libéra Ladybug de sa poigne d'un coup de pied bien visé.
"Combien de temps avant un Lucky Charm?" Catmint signait à Ladybug alors que tous deux s'étaient dispersés, en mouvement constant dans toute la Cathédrale.
"Cinq minutes. Gagne du temps."
Catmint hocha de la tête.
L'homme se releva, le regard fixé sur Ladybug. La haine dans ses yeux était claire, et Catmint décida de se lancer dans le combat plus intensément, puisque ce vilain semblait décidé à l'ignorer pour se concentrer sur Ladybug.
Il attrapa le bras d'Arsenic, et le jeta vers le mur de la cathédrale. Nick eut tout juste le temps de stopper son élan en utilisant ses ailes, mais avant qu'il ne puisse se jeter une fois de plus vers Ladybug, Catmint courut vers lui et saisit ses ailes pour l'immobiliser au sol.
Le vilain se débattit furieusement, criant vers Catmint, qui essayer tant bien que mal de garder le contrôle des ailes de l'homme.
"Allez, juste deux minutes de plus..!" pensa Catmint.
Arsenic se pencha violemment en avant, faisant voler Catmint, qui était derrière lui. Catmint se rattrapa et retomba sur ses pieds sans grande peine, s'élançant une fois de plus vers l'homme et lui portant un coup de poing dans le ventre qui repoussa le vilain. Arsenic attérit sur le sol, tenant son rosaire dans la main.
"C'est son rosaire…!"
"MAINTENANT !" cria Ladybug.
Catmint porta un coup de pied sur la main de l'homme qui tenait le rosaire. Celui-ci cria de douleur et lâcha le rosaire, laissant à Catmint le temps de le détruire.
L'akuma jaillit de la croix fendue; puis d'un saut contre le mur, il le captura en plein vol avec son yo-yo. Triomphant, il leva le poing dans les airs. "Je te libère du Mal!"
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olympic-paris · 27 days
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saga: Soumission & Domination 253
Fin des vacances de Noël 2012 (suite)
Nous nous séchons et remontons au 4ème. Nous y retrouvons nos amis qui me chambrent sur le fait qu'il m'ait fallu autant de temps pour remplir un simple dossier. Je confirme leur sous entendu en affirmant que tester la marchandise (dit avec un grand sourire) demandait un peu de sérieux. Pas question de faire entrer dans mon écurie n'importe qui. Viktor, qui a retrouvé les bras de Nicolaï, confirme que ma sélection est nécessaire pour garantir un service cohérent, vu les physiques demandés par ma clientèle. Il termine sa sortie par un gros roulage de pelle à son mec.
PH et Ernesto avancent alors que si nous avons pris notre pied, ça n'a pas été leur cas à eux qui sont restés bien sages avec Viktor.
Ce dernier donne un coup de coude dans les côtes de Nicolaï et ils se lèvent pour rejoindre Ernesto et commencer à l'entreprendre. Avec PH dans mes bras, nous les regardons faire. Si nous pouvons nous apercevoir que Viktor est très à l'aise, nous remarquons que Nicolaï suit ses moindres gestes, avide d'apprendre et de les répéter sur Ernesto. Ce dernier, enfoncé dans le canapé est aux anges. Il se laisse faire et bientôt se retrouve nu, bandant comme un taureau. Nicolaï se rend compte de ce qu'est un mec TTBM. C'est Viktor qui commence à sucer le barreau d'Ernesto. Puis, rapidement, ils se l'échangent. Il profite en premier de la gorge de Viktor. Malgré sa bonne volonté, Nicolaï a plus de mal à prendre 24cm par la bouche. Mais il ne s'avoue pas vaincu et nous voyons bientôt son nez s'écraser sur le bas des abdos.
Ernesto tourne sa tête vers moi et me dit qu'il sait y faire lui aussi. Avec PH nous nous déshabillons et les rejoignons. Nous commençons par mettre mes deux Escorts à poils eux aussi puis à 5, nous commençons la touze. Entre pipes et feuilles de rose, nous maintenons nos bites bien raides et préparons nos rondelles aux saillies à venir. Nicolaï veut donner la priorité de son cul à Viktor. Ce dernier est étonné, habitué à être passif avec son Russe de mec. Nous les regardons baiser. Ils sont beaux et nous ajoutons nos caresses à leur étreinte. Après les avoir laisser faire tous les deux, je me place dans le dos de Viktor et, enkpoté, bien lubrifié, je le plante à l'occasion d'un de ses retraits du cul de Nicolaï. Mes deux acolytes, se présentent devant nous pour donner leurs queues à sucer.
Après quelques minutes, je les désaccouple et les mets à 4 pattes côte à côte. PH encule Viktor alors que je me fais Nicolaï. Je prends mon temps pour bien détendre la rondelle de Nicolaï avant de passer la place à PH. Il y entre après moi. Alors qu'Ernesto le remplace et sodomise à son tour Viktor. Le cm de plus qu'il (PH) a en diamètre nécessite une nouvelle couche de gel mais il apprécie la nervosité de la rondelle fraîchement déflorée. Je dis à Nicolaï de se détendre et de profiter de PH pour roder son anneau. Je le rassure en lui confirmant qu'Ernesto n'était pas plus large seulement plus long. Je lui donne ma bite à sucer pendant qu'Ernesto défonce Viktor pour le plus grand plaisir de ce dernier.
Quand PH coulisse facilement dans le cul de Nicolaï, il se retire et prévient Ernesto que le p'tit nouveau est à lui. Changement de kpote et Ernesto lui met les 3/4 de sa queue directement. Viktor lui tien la tête et alterne roulages de pelles et conseils de décontraction. Avec PH je suis spectateur de son alésage en profondeur. Ernesto a maintenant une bonne expérience et délicatement mais surement, il lui met ses derniers cm à petits coups de rein biens assurés. Quand il plaque son bassin sur les fesses de Nicolaï, il le laisse s'habituer quelques instants en restant bien au fond de son cul. Quand il sent qu'il se détend un peu, il commence ses va et vient. Viktor ajoute un peu de gel sur la " cheville ouvrière " qui défonce son ami et dit à Ernesto qu'il peut y aller. Mains ancrées aux hanches de Nicolaï, Ernesto amplifie ses mouvements et pilonne notre ami russe. Avec PH, nous nous branlons tout en les matant. Faut dire que le trio qui baise sous nos yeux est sacrément excitant. Nous sommes d'ailleurs les deux premiers à juter et nous nous approchons pour envoyer notre sperme sur son dos. A cette vue, Viktor sort son gland de la bouche de Nicolaï où il avait trouvé refuge et ajoute sa production. Alors que les spermatozoïdes sous l'effet de la pesanteur s'échappent en glissants sur les cotés, Ernesto explose avec un rugissement propre à nous rendre sourd pour au moins quelques heures ! Je vois alors que le jus slave maculer le dessus de la table basse.
Affalés dans les canapés a reprendre nos esprits, Ernesto déclare, dans le silence post coïtal, Nicolaï bon pour le service. Eclat de rire général !
Je propose à Viktor de reste passer la soirée et la nuit avec nous, mais il décline sa mère les attendant pour dîner.
Avant qu'Ernesto ne parte pour Barcelone, nous avons le temps de revoir Emma.
Nous passons une après midi à baiser tous les quatre. C'est fou le nombre de combinaisons possible entre trois mecs et une femme ! Heureusement que nous sommes jeunes car Emma aurait asséché de moins exercés que nous ! J'ai arrêté de compter mais PH et moi avons du la doser trois fois et autant pour Ernesto (sous kpote) alors qu'elle jouissait parfois plusieurs fois d'affilées.
Ce soir là nous sommes restés diner avec elle, morts de faim de nos dépenses physiques. Quand nous la quittons, elle glisse une enveloppe à Ernesto. Dans la voiture, alors que nous rentrons au Blockhaus, je demande à Ernesto de l'ouvrir. Comme je le pensait, elle l'a remercié avec générosité. Devant les billets qui remplissent l'enveloppe, Ernesto nous dit que la prochaine fois il va lui dire que ce n'est plus nécessaire, que c'est un plaisir et non un travail. Je lui souhaite bon courage et lui dis qu'il aura du mal à lui faire entendre raison, vu que de temps à autre, PH et moi ressortons nous même avec ce genre de cadeau.
Quand nous l'accompagnons à l'aéroport, Ernesto nous glisse à l'oreille, alors que nous nous embrassons, qu'il a hâte que son frère arrive en France.
Nos embrassades sans complexe nous valent quelques réflexions désagréables, mais de loin seulement. Faut dire qu'embêter trois jeunes mecs de plus d'1m85, larges d'épaules demande plus de courage que ces imbéciles n'en n'ont. J'ai quand même repéré quelques têtes et alors qu'Ernesto passe la douane, je m'approche d'un (50aine dégarnie, bedonnant) et lui demande si c'est de la jalousie ou de la bêtise. La meuf à ses cotés (50aine, blonde permanenté, rondelette mais avenante) est morte de rire et le mec s'empourpre en bafouillant. Avant de les quitter, PH ajoute qu'elle ferait mieux de larguer un connard pareil et de se trouver un jeune mec qui saurait mieux lui faire l'amour que ce débris. Il va même jusqu'à lui glisser ma carte professionnelle alors que son mec frise l'apoplexie.
Les deux autres qui avaient eu de propos désobligeants à notre égard nous tournent le dos dans l'espoir que nous les oubliions. C'est le cas et nous sortons en courant, morts de rire au point que nous devons reprendre notre souffle pendant 5mn accrochée à la caisse.
Jardinier
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logogreffe · 2 years
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Chez le coiffeur , French vocab
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Aller chez le coiffeur : to go to the hairdresser / hair salon
"J'ai rendez-vous chez le coiffeur dans une heure." // "I have a hair appointment in an hour."
IMPORTANT NOTE :
"Hair" in French is used in the plural form ! If you're talking about "un cheveu " you're talking about a single string of hair.
"Mes cheveux sont mouillés !" // "My hair is wet !"
"J'ai trouvé un cheveu dans ma soupe." // "I found a hair in my soup."
Note : "Cheveux" is often pronounced as "ch'veux"
un coiffeur/ une coiffeuse : Hairdresser
un shampoing : shampoo
un sèche-cheveux : hair dryer
une brosse ou une brosse à cheveux : a brush / hairbrush
un peigne : a comb
des ciseaux ou une paire de ciseaux : scissors
un fauteuil : armchair
Useful sentences :
- "Installez-vous dans ce fauteuil et penchez la tête en arrière." //
"Sit in this armchair and lean your head back."
- "La température de l'eau vous convient ? Dites moi si c'est trop chaud." // "Is the water temperature right for you? Let me know if it's too hot."
- "Je vous fais un soin ?" // "Should I give you a (hair) treatment?"
- "Alors, qu'est-ce que je vous fais ?" // lit. translation : "So what do I do to you?". It's basically "What do you want ?"
Possible answers :
- "Vous pouvez juste me coupez les pointes s'il vous plait ?" //
"Could you just trim the ends for me please?"
-> Couper les pointes : to trim the ends
- "Vous pouvez me les lisser ?" // Can you straighten it for me?
-> lisser = to straighten
(Again, hair is used in the plural form in French so it's "les lisser" and not "le lisser")
- "Vous pouvez me faire un brushing ?" // Can you give me a blow-dry?
-> un brushing*= a blow-dry
(*faux anglicisme and it has to be pronounced with a French accent)
Coupes de cheveux et coiffures : Haircuts and hairstyles
un dégradé : layered cut
une frange : a fringe
une coupe au carré : a bob
une boucle : a curl
un chignon : a bun
une tresse : a braid
une queue de cheval = a ponytail
And finally : As you're staring at the most horrendous haircut of your life, the hairdresser will ask you :
"Ça vous plait ?" // "Do you like it ?"
and you will lie and answer :
"'C'est parfait ! Merci !" // "It's perfect ! Thank you !"
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kilfeur · 11 months
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La perte d'un répère ( the loss of a landmark)
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Ruby n'était pas la seule à avoir des conflits intérieures. Weiss ressent encore la perte d'Atlas et même l'appel de Klein montre que justement les réfugiés ne sont pas réceptifs à l'aide de la famille Schnee ce qui est assez compréhensible. On peut avoir aussi le ressenti de Weiss en sachant la mort de Jacques, montrant ses reproches envers lui car il les a abandonné bien avant la chute d'Atlas. Mais malgré tout, Atlas restait un repère et voir que sa chute a été provoqué par Ironwood, une personne qui avait prit sa grande soeur sous son aile et qui l'avait aidé dans le bal de charité dans le volume 4. Ça fait mal, c'est vrai ! Et elle n'a plus de maison errant en essayant de trouver une réponse. Au port, elle parle au Bruce, elle comprend comment est Gotham est pour lui. Du coup, elle lui pose à son tour la question est ce qu'on peut toujours appeler une maison si elle n'est plus là. Et qu'est ce qu'il y a après ? Qu'est ce qu'elle peut faire désormais ? On se souvient de sa tirade contre sa version jeune d'elle même. Et même si je pense que ça tient toujours, concrètement elle ne sait pas pour où commencer.
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Weiss qui n'a justement pas de pouvoir contrairement aux autres, on pourrait croire que ce serait une cible facile. Mais malgré tout, elle arrive à s'adapter en utilisant ce qui l'entoure et comprend que la queue du scorpion grimm est un indice. D'ailleurs le fait qu'elle soit celle qui sauve les innocents lors de l'attaque du pont montre justement que même en tant que Schnee, la priorité sera toujours le peuple et non les intérêts de sa famille contrairement à Jacques. Même si Batman est plus en retrait dans ce film, j'ai bien aimé leurs interactions concernant la quête de réponses. Tout comme Weiss, il a eu des attentes de la part de ses parents mais après leurs morts. Il a essayé de trouver des réponses à ses questions pour comprendre ce qu'il est et ce qu'il doit faire ainsi que pour Gotham. J'aime bien comment cette scène fait aussi parallèle avec Ruby et Clark dans la salle d'entraînement.
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Mais le fait que justement c'est Watts qui a causé tout ce bordel, mettant le désordre dans sa tête que ce soit dans le monde digital mais aussi celui de JL. Je peux comprendre qu'elle soit en rognes car Watts s'était allié à son père pour faire tomber l'un des dominos afin qu'Atlas tombe. Du coup elle soutient Ruby pour continuer sa mission mais Clark insiste sur le fait de se reposer car ils en ont besoin ! Lors de l'affrontement final, elle suit le plan bien qu'elle essaie d'atteindre Watts et malgré leur piège, elle voit sa maison bien que ce soit pas réel. On voit que ça la peine de revoir un pays fantôme or elle voit bien que sa famille sont les personnes qui l'entourent et a eu la chance de les trouver. D'ailleurs j'aime beaucoup la petite provocation lancé par Weiss envers Watts car il suit plus Salem désormais. Watts d'ailleurs parle de sa vision, disant que les Schnee n'en avait pas. Sauf qu'aucune de ses balles ne touchent ses cibles. Et le mettant à nu devant Kilgore pour qu'ils soient en conflit et ainsi les piéger dans le monde digital ce qui soulage Weiss.
Elle n'a peut être pas encore trouvé comment concrètement façonner son héritage. Mais elle continuera d'avancer car elle n'est plus seule désormais et son propre repère, son équipe, la suivra pour ce qu'elle compte entreprendre.
Ruby wasn't the only one with inner conflicts. Weiss still feels the loss of Atlas, and even Klein's call shows that the refugees are not receptive to the Schnee family's help, which is quite understandable. We can also see how Weiss feels about Jacques' death, reproaching him for abandoning them long before Atlas fell. But despite everything, Atlas was still a landmark, and to see that his downfall was brought about by Ironwood, a person who had taken his older sister under his wing and helped her with the charity ball in volume 4. It hurts, it really does! And she no longer has a home wandering around trying to find an answer. At the port, she talks to Bruce, she understands how Gotham is for him. So she in turn asks him the question: can you still call it home if it's no longer there? And what's next? What can she do now? We remember her tirade against her younger version of herself. And even if I think it still holds, she doesn't really know where to start.
Weiss has no powers of her own, unlike the others, so you'd think she'd be an easy target. But despite everything, she manages to adapt by using her surroundings and understands that the grimm scorpion's tail is a clue. Moreover, the fact that she's the one who saves the innocents during the bridge attack shows that even as Schnee, her priority will always be the people and not her family's interests, unlike Jacques. Although Batman takes a back seat in this film, I enjoyed their interactions as they searched for answers. Like Weiss, he had expectations of his parents, but after their deaths. He tried to find answers to his questions in order to understand what he is and what he must do, as well as for Gotham. I like how this scene also parallels Ruby and Clark in the training room.
But the fact that it was Watts who caused the whole mess, messing up her head in both the digital world and JL's world. I can understand why she's upset, because Watts had allied himself with her father to bring down one of the dominoes so that Atlas would fall. So she supports Ruby to continue her mission, but Clark insists they need to rest! In the final confrontation, she follows the plan even though she's trying to reach Watts, and despite their trap, she sees his house, even though it's not real. We can see that it pains her to see a ghost country again, but she can see that her family are the people around her, and she was lucky enough to find them. I also like Weiss's little provocation to Watts because he's no longer following Salem. Watts talks about his vision, saying that the Schnees didn't have any. Except that none of his bullets hit their targets. And exposing him to Kilgore so that they're in conflict and thus trapped in the digital world relieves Weiss.
She may not yet have figured out how to concretely shape her legacy. But she'll keep moving forward, because she's no longer alone, and her own landmark, her team, will follow her wherever she goes.
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sh0esuke · 1 year
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" I Won't Survive This "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Gojo Satoru
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́  : Après dix-neuf jours écoulés, Gojo Satoru est enfin de retour. Cela n'attise pas seulement la joie de ses amis, mais aussi la colère de ses proches.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien de bien méchant outre du spoil
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝐤.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Gojo Satoru, l'enfant prodige, était à présent le tout dernier espoir qu'avait dans le fond de sa manche l'humanité toute entière. Voilà deux jours qu'il avait été libéré de la Lisière du Supplice. Voilà deux jours qu'il avait déclaré la guerre à Kenjaku et au Roi des fléaux, Ryomen Sukuna. Le détenteur du Sixième Œil n'avait eu, depuis, pas un seul instant de répit, ça avait été une succession de mauvaises nouvelles, des épisodes dépressifs à en perdre la tête, et une pression toujours plus insupportable qui s'installait sur ses épaules. Et, malheureusement pour lui, ça n'était que le début.
« Shoko ! »
Une jeune femme avait fait son entrée dans le bâtiment, mains nues. Entre son bras et avant-bras, reposait un joli sac de cuir noir. La brune fit volte-face en direction de la nouvelle arrivée, elle extirpa la cigarette coincée entre ses lèvres et arqua un sourcil, Shoko la dévisagea longuement, ignorant même la présence de MeiMei à ses côtés.
« Ça alors, quelle surprise, je me demandais quand est-ce que tu allais enfin arriver. »
La médecin légiste serra sa cigarette entre son index et majeur, elle descendit en un clin d'œil les nombreuses marches de l'escalier afin de rejoindre la jeune femme.
« Tien donc... » murmura MeiMei, finement amusée.
« J'ai fait le déplacement pour me pointer jusqu'ici, c'est pas pour que tu me dises qu'il s'est barré. »
Shoko secoua la tête.
« Il est en haut. » répondit-elle.
Elle zieuta son dos un instant.
« Il est pas avec toi, le petit monstre ? »
La demoiselle roula des yeux. Elle aurait pourtant juré qu'il s'était accroché à sa main lorsqu'elle avait fait son entrée. Il avait bel et bien disparu. Elle ne le sentait ni dans sa main, ni contre sa jambe.
« Qu'est-ce que j'en sais ? » elle maugréa. « Il est comme son père, j'y peux rien. »
Shoko sourit.
« Si je le vois je te le ramènerai. »
« Merci, t'es un amour. Il doit pas être loin. »
La jeune femme laissa son petit sac tomber dans le creux de sa main pendant qu'elle s'approchait de l'immense escalier. De ses escarpins à plateforme Medusa Versace, elle dépassait Meimei ᅳd'ailleurs sans même la regarder, elle était bien trop occupée à dévisager le chemin dressé droit devant elle, furieusement pressée. Le bâtiment ne lui était pas spécialement familier, elle avait un peu de mal à se repérer. Mais la présence spirituelle de Gojo se faisait forte sur la gauche, ainsi, elle s'y dirigeait.
Et elle ne tarda pas à le retrouver.
« Espèce de sale enflure. »
La porte coulissante claqua derrière elle. L'enfant prodige bondit du canapé sur lequel il était assis, faisant immédiatement réagir la personne assise devant lui. Un répugnant homme dont les cheveux plaqués sur son crâne leur donnait un effet gras et une paire de lunettes sur son nez ridiculement carrée et épaisse.
Gojo fronça les sourcils.
« Ijichi, tu ferais mieux de nous laisser. »
Le blanchâtre se gratta ensuite la nuque. Il regarda son assistant et ami s'en aller, la queue entre les jambes, pendant que la jeune demoiselle qui avait fait son entrée, elle, avait croisé ses bras contre sa poitrine et avait commencé à le foudroyer du regard.
« Tu bouges, je te tue. »
Une fois la porte coulissante refermée ᅳne laissant que Satoru et la jeune femme dedans, le détenteur du Pouvoir de l'Infini reposa son regard sur sa bien-aimée. Gojo n'eut aucune difficulté à remarquer ses yeux rouges ᅳmalgré la couche de maquillage qui les entouraitᅳ et son nez irrité par lequel elle ne cessait de renifler. Néanmoins, elle était splendide. Gojo faisait presque tache à côté d'une femme aussi élégante et resplendissante. Elle portait à merveille son tailleur noir en satin, dont le bas de son pantalon pattes d'éléphant, fondait sur le sol en ventouses. Sa petite veste épousait à merveille ses courbes, son décolleté était révélé sous la forme d'un V plongeant et, au niveau de sa taille, un épais bout de tissu noir agissait en guise de ceinture. Gojo la trouva belle, à couper le souffle, comme tout ceux qui avaient croisé son chemin depuis ce matin. Il fut cependant le premier à remarquer l'éclat de tristesse dans son regard.
Car, après tout, il n'était pas son mari pour rien.
« Dix-neuf jours, Satoru. Tu te fous de moi ? »
La jeune femme envoya valser son sac à main au sol, elle marcha à vive allure dans sa direction, faisant voler les bords de son pantalon, ce qui dévoila ses splendides escarpins à plateforme Medusa Versace et ne s'arrêta qu'une fois nez à nez avec l'enfant prodige. Leur proximité aurait dû lui faire effet, car Gojo, lui, sentait son cœur battre à la folie, cependant, elle était tellement révoltée, qu'elle fut incapable de perdre du temps à flirter.
« Regarde moi bien, espèce de sale fouteur de merde. »
Violemment, elle se saisit de sa mâchoire.
« Tu me le paieras. »
Satoru sourit.
« Heureux de te revoir, moi aussi, chérie. »
« Parce que tu crois que je suis ravie, là ? »
Grimaçant sous l'emprise qu'elle avait, Gojo eut l'audace d'hocher la tête.
« Imagine ma réaction quand j'ai appris que le cadavre de Suguru t'avait emprisonné dans la Lisière du Supplice. Imagine la réaction de ton fils quand j'ai dû lui dire que tu étais présumé mort ! »
Ses yeux palpitèrent de colère.
« Désolé, jeᅳ »
« 'Désolé' ? 'Désolé' ?! C'est tout ce que tu as à me dire ?! »
Gojo soupira. Il se mordit l'intérieur de la joue et fit une maigre tentative en passant son bras autour des hanches de la jeune femme, il guetta avec attention sa réaction, de peur de la faire péter une énième durite.
« Ils t'ont prévenu, au moins ? » demanda-t-il, avec inquiétude.
Sa femme souffla.
« C'est Shoko qui m'a envoyé un message. Elle m'a expliqué que ça c'était mal passé à Shibuya, apparemment personne ne voulait m'en parler. »
Gojo esquissa un sourire.
« Je me demande bien pourquoi... »
« Ferme-la, enflure. » le coupa-t-elle. « J'ai cru que j'allais mourir... Comment tu as pu te laisser faire comme ça ? Et Suguru, alors, je le pensais mort ! »
L'enfant prodige grimaça au nom de son ami d'enfance.
Gojo aurait bien aimé avoir une explication à donner, une explication qui aurait autant fait sens que du bien, malheureusement pour lui, ça n'était pas le cas. Il ne voulait pas faire empirer la situation. Kenjaku s'était emparé du cadavre de son meilleur ami, après qu'on lui ait refusé celui d'une jeune et fraîche demoiselle, c'était aussi simple que ça. Mais comment l'annoncer à sa femme ? Elle qui avait le cœur sur la main ne le supporterait pas. Suguru avait été proche d'elle durant son adolescence, il lui avait même été d'une grande aide le jour où elle s'était décidée à demander ᅳforcerᅳ Gojo à sortir avec elle. Depuis ce jour, elle était tombée en adoration pour lui.
Gojo se voyait mal dire la vérité.
Alors, il s'en alla choisir la facilité.
Il mentit.
Il mentit à sa femme, les yeux dans les yeux.
« Je le pensais aussi... »
Gojo apporta sa seconde main au poignet de son épouse, il la força ainsi à retirer sa main de son visage.
« Ne te tracasse pas avec ça, ce sera bientôt terminé. »
« Pourquoi, parce que tu vas te battre contre lui ? Je te l'interdis. »
L'enfant prodige arqua un sourcil.
« Regarde moi bien, Satoru, je ne te le dirais pas une seconde fois : je t'interdis de te battre contre Suguru et Megumi. »
L'expression surprise qui s'installait sur les traits de l'exorciste n'était rien comparé à celle vilaine sur celle de la jeune femme. Si le regard avait pu tuer, Gojo aurait déjà quitté ce monde depuis longtemps. Malgré ses prières, il sut qu'elle ne plaisantait pas.
« Qu'est-ce que tu racontes ? »
« C'est plutôt à moi de dire ça. Qu'est-ce que toi tu fiches, hein ?! »
Elle se détacha de lui et frappa son pectoraux de la pointe de son ongle acrylique. L'extrémité manqua de le poignarder, Gojo en grogna.
« Tu vas vraiment tuer une seconde fois ton meilleur ami, et exécuter ton fils ? La bonne blague ! »
Son visage se durcit.
« Tu as une autre solution ? »
« C'est pas à moi de gérer ça. Tu te démerdes pour les sauver, c'est tout. » articula-t-elle avec fermeté. « Satoru, je te préviens : plus personne ne mourra. Je ne te le pardonnerais jamais sinon. »
Gojo déglutit.
Elle avait beau hausser le ton et lui planter des dagues de ses yeux, il ne put s'empêcher de la trouver charmante. Le ton mielleux de sa voix, sa peau si douce, ses lèvres pulpeuses et brillantes, ses jolis cils couverts de mascaras et sa philosophie de vie, son grand cœur. Gojo en sentit son cerveau exploser, il s'éparpilla en mille morceaux dans son crâne, à présent incapable de l'aider à se décider entre amour et raison. Le simple fait de la voir battre des cils suffit à le convaincre. Gojo se sentit impuissant.
« Satoru, chéri. »
La demoiselle déposa sa main libre sur sa joue.
« Je t'en prie, ne fais pas de notre enfant le fils d'un meurtrier. Je ne le supporterais pas. »
« C'est pas comme si jamais le choix, ma belle. » marmonna-t-il pourtant. « Si je fais rien, Sukuna tuera tous les humains. Il ramènera l'espèce humaine à son époque, ils ne seront que du bétail. Je veux ce qu'il y a de mieux pour vous. Pour vous tous. »
« Et Megumi, alors ? »
Gojo glissa sa propre main libre sur sa joue. Mari et femme se caressèrent, une main sur la joue de l'autre et la seconde emprisonnée dans un nœud de doigts. Gojo refusa de la lâcher. Elle lui faisait mal au cœur, elle faisait revivre des conversations qu'il n'avait cessé d'avoir dans son esprit depuis son entrevue avec Sukuna. Mais elle était la voix de sa raison. Et peu importe qu'elle lui dise des choses déplaisantes, tant qu'il avait l'opportunité d'admirer ses beaux yeux, d'entendre sa voix de velours, il était le plus heureux des hommes. Il n'avait pas besoin de plus. Alors Gojo l'écouta avec grande concentration. Il lui dédia toute son attention, ignorant délibérément les choses et présences qui vagabondaient autour d'eux deux.
« Je sais pas. » avoua-t-il.
« Satoru, tu ne peux pas le tuer. »
La jeune femme inspira difficilement. Sa respiration tremblait.
« Ce n'est qu'un enfant.. Il n'a que quinze ans. »
Le détenteur du Sixième Œil pesta silencieusement.
« Tu penses que je le sais pas ? »
« Non, désolée, autant pour moi, c'est plutôt ta décision de vouloir l'exécuter qui me le laisse croire. » ironisa-t-elle.
« Je trouverai quelque chose. »
L'aveu de Gojo la prit de court.
« J'essaierai, je trouverai une solution pour le sauver. » il jura.
« Tu es sûr ? »
Elle roula des yeux en le voyant bomber le torse.
« Évidement. » sourit-il. « Je trouverai bien un truc, je l'expulserai de force, j'irai détruire ses doigts, peu importe. J'essaierai avant tout de sauver Megumi. »
« Tu me le promets ? »
Alors qu'elle avait raffermi la prise de sa main sur sa joue, Gojo, lui, s'était mis à caresser la sienne. Tandis qu'elle, le regarda avec panique, lui, l'eût contemplé avec tout l'amour du monde dans les yeux. Gojo lui mentait bien trop. C'était une mauvaise habitude dont il avait du mal à se débarrasser. Mais comment aurait-il pu lui dire la vérité, sachant que ça lui aurait brisé le cœur ? Gojo ne put s'y résoudre.
« Je te le promets, ma belle. »
Comme pour sceller ses paroles, il déposa un tendre baiser sur ses lèvres de velours.
L'enfant prodige l'embrassa délicatement, de peur de la briser, tandis qu'il la tint toujours plus fermement contre son torse. Son cœur pulsait dans sa cage thoracique. Il en avait les oreilles rouges. Gojo ne savait plus où se mettre. Son parfum intoxiquait ses poumons et il sentait une vague de papillons fourmilier dans son bas ventre. Quant à son épouse, elle jugea nécessaire de libérer sa seconde main pour attraper son visage en coupe, de manière à réponse plus amoureusement à son baiser. Elle le sentait partout. Partout autour d'elle. Gojo était dans le bas de son dos, il la maintenait en place, mais il était aussi sur sa joue, à forcer sa tête à rester stoïque et il était au fond d'elle, dans son cœur, dans son esprit, dans son estomac, et dans son âme. Gojo l'avait envahie. Même sa salive ne lui appartenait plus. Elle était sienne. Il était comme un virus. Un virus dont elle n'avait jamais ni recherché de remède, ni été guérie de.
L'instant où le détenteur du Sixième Œil se sépara d'elle, la demoiselle recula. Elle apporta son poing à son pauvre cœur et, presque immédiatement, elle entendit la porte de la pièce s'ouvrir. Des bruits de pas hâtés se mirent à frapper le parquet. Et tandis que son épouse ferma les yeux, ceux de Gojo s'illuminèrent.
« Papa ! »
Père et fils s'enlacèrent. Gojo s'était agenouillé pour accueillir son petit garçon droit dans ses bras, il l'avait étreinté, emprisonné contre lui.
« Comment tu vas, champion ? »
L'enfant prodige caressa le sommet de son crâne.
« Tu as pris soin de maman, j'espère ? »
Le garçon hocha grossièrement la tête. Il savait que son père l'avait senti, de même pour ses grosses larmes qui avaient commencé à tremper son t-shirt. Mais Satoru n'en avait que faire. Il était soulagé de voir son fils après avoir été séparé de sa famille l'espace d'une éternité.
« Mhh ! J'ai été fort, je l'ai protégée comme tu m'as appris ! »
Gojo et sa femme surent pertinemment qu'il mentait, leur fils n'était pas quelqu'un de courageux, il avait autant peur du noir que de la première bête venue. Mais ils savaient aussi qu'il faisait de son mieux, à leurs yeux, c'était amplement suffisant. Gojo était fier de son fils pour avoir essayé, pour vouloir le rendre fier de lui ᅳsigne qu'il l'estimaitᅳ tout en sachant pertinemment que sa femme était assez grande pour se défendre seule. Que même un descendant du clan Gojo n'aurait pas suffi à égaler ses talents d'exorciste.
« C'est bien, filston. » déclara Gojo. « Je suis fier de toi, t'es un grand garçon, maintenant. »
L'enfant prodige se recula de son fils. Il le détailla attentivement, désireux d'imprimer sa simple image dans son esprit. Gojo ignora sa femme qui s'en était allée récupérer son sac à main et jeter un coup d'œil à sa montre, il était trop occupé à embrasser le front de son garçon et à le serrer contre lui.
C'était fou à quel point un si petit être pouvait être aussi diabolique qu'attendrissant. Sa joue rebondissait contre le moindre geste et ses yeux brillaient, à s'y méprendre, comme les siens. Gojo parla avec son fils, il le réconforta et l'étouffa dans son étreinte un nombre incalculable de fois, tout ça sous le regard attentif de sa femme. Ce ne fut qu'une dizaine de minutes plus tard, alors qu'on venait d'enfoncer la porte et de crier, que Gojo se détacha de son fils.
« M'sieur Gojo ! M'sieur Gojo ! »
Accompagné d'autres élèves, Yuji Itadori, ancien réceptacle de Sukuna, avait fait son entrée dans le bureau.
« Y'a un petit garçon qui vous ressemble qui se balade dans les couloirs ! Vous nous aidez à le retrouᅳ Oh. Oh ! Il est là ! »
Gojo se redressa, étudiant les nouvelles têtes apparues dans la pièce. Kinji, Inumaki, Yuta, Panda et même Maki, tous se tenaient derrière Yuji Itadori ᅳqui pointait l'enfant du doigt, des étoiles dans les yeuxᅳ, mains sur les genoux, la poitrine, le visage, ils cherchaient leur souffle.
« Du calme. Vous cherchiez mon fils, c'est ça ? » demanda le blanchâtre.
Yuji hocha vigoureusement la tête.
« Il a retrouvé son chemin comme un grand. » les informa-t-il dans un petit sourire.
« Vous avez un fils ? » s'étonna Maki d'un ton dédaigneux.
« Ouch. »
Gojo plaqua sa main contre sa poitrine.
« Qu'est-ce que ça veut dire, ça ? »
Maki zieuta la troisième Gojo postée sur leur droite à tous. Elle la saluait d'un petit geste de la tête, ce qui, fatalement attira toute l'attention sur elle. Les garçons la dévisagèrent.
« M'dame. »
« Maki. »
« Vous êtes la femme de m'sieur Gojo ?! » s'exclama Yuji.
« Saumon. » intervint Inumaki.
Pendant ce temps, Panda s'était approché d'elle, l'épouse du détenteur du Pouvoir de l'Infini s'accroupissait, voyant la curieuse créature lui faire face. Son pantalon éléphant traînait loin au sol, camouflant ainsi ses splendides escarpins à plateforme Medusa Versace. Elle déposa ses poignets sur ses genoux et plissa les yeux. Une fois suffisamment proche, Panda sentit une de ses mains sur le sommet de son crâne le caresser. Il en soupira.
« Panda, t'étais au courant !? » s'écria Yuji.
« Je savais pour l'épouse, pas pour le fils. » intervint Maki.
« Regardez ! »
Fièrement, Gojo brandit son fils. Il le tint depuis ses aisselles, sous les yeux brillants de Inumaki, Yuji et Panda. Gojo le savait : un enfant, ça faisait toujours son effet. Et qu'il en était fier... La chair de sa chair, le produit de son amour avec la femme de ses rêves, devant ses élèves chéris. Son garçon se tenait calmement. Il admirait Yuji et l'étrange visage de Kinji, ainsi que l'affreuse cicatrice inscrite sur le visage de Maki ᅳce qui l'avait immédiatement fait gémirᅳ
« Fier descendant du clan Gojo, je vous présente mon fils ! Satoru junior ! »
La seconde suivante, sa femme l'avait frappé. Une énorme claque dans le dos de son crâne, et voilà qu'il arrêtait ses conneries.
« C'est ça ouais. Joue avec le feu, sombre fou. » maugréa-t-elle. « Non mais qu'est-ce que tu peux me les briser, sérieusement... »
Gojo rapporta brusquement son fils contre sa poitrine. Il regarda d'un œil boudeur sa bien-aimée se présenter, puis présenter leur enfant tandis que, de son côté, il avait pleuré dans les bras de son garçon, lui contant à quel point il souffrait et se sentait partir dans un monde meilleur. Sous le regard attendri de Maki, Panda et Inumaki, il s'était amusé à entendre son fils crier et frapper son torse. Gojo pouffa silencieusement. Son fils continua de l'appeler. Et, lorsque, soudain, il revint à la vie, rappelé par le pouvoir des liens familiaux, Gojo fut accueilli par le regard désapprobateur de sa femme. Elle tapait du pied au sol, les yeux plissés et ses bras de nouveau croisés sous sa poitrine.
« Repose-le au sol avant de le blesser. »
« Quoi ? Mais on s'amuse ! »
« T'as quel âge, sérieusement ? »
Elle roula des yeux l'instant même où elle eut fini de parler. Elle s'était avancée jusqu'à lui et, une fois leur petit garçon récupéré, elle s'en alla l'offrir à Yuji.
« Allez jouer avec lui, j'ai deux-trois trucs à régler avec Satoru. »
« Compris m'dame. On va bien s'en occuper je vous le promets ! »
Elle le foudroya brusquement du regard.
« Y'a intérêt. »
Yuji déglutit.
« Sinon tu peux dire adieu à demain. »
« Elle plaisante ! »
Gojo rit subitement, pressant ses mains sur les épaules de la jeune femme.
« Prenez bien soin de lui et amusez-vous, on se voit plus tard ! »
« Oh. »
Un peu trop hébété par son interaction avec la femme de son professeur, Yuji ne bougea plus. Fatalement, on lui vola le garçon. Inumaki l'avait attrapé et, aux côtés de Panda, suivit de loin ᅳprèsᅳ par Maki, il l'avait déposé sur son dos et avait couru hors de la pièce. Inumaki fit l'avion, les bras écartés, il fonça droit devant lui, accompagné par les plaintes de la Zenin et des exclamations de Panda.
Yuji resta là. Il ne bougeait plus.
« Eh ? »
« Tu devrais te dépêcher de les rejoindre. » sourit Gojo sur un ton étrangement doux. « Sinon mon fils va finir par les aimer plus que toi. »
« Hein !? Non ! »
La femme de l'exorciste roula des yeux. Elle observait Yuji et Kinji s'échapper de là dans des exclamations paniquées, tout deux furieux l'un contre l'autre pour avoir laissé les trois s'échapper. Au même moment, pile poil où la porte coulissante se referma, elle sentit la main de Satoru se glisser dans la sienne, son souffle chaud caressa sa nuque, ainsi que son décolleté, faisant s'emballer les battements de son cœur. Satoru se colla contre elle. Il l'enlaça avec force, soudainement submergé par un sentiment d'euphorie très puissant. Il déposa aussitôt un baiser sur sa joue. Et elle répondit dans un doux sourire en tournant sa tête dans sa direction. Gojo l'embrassa ensuite, elle en sourit.
« Tu le le paieras. »
Gojo huma contre ses lèvres.
« Plus jamais je te laisserai t'en aller. »
« C'est une idée qui me plaît. » il chuchota.
« Satoru, chéri. »
Au moment où il rouvrit les yeux, l'enfant prodige sentit sa femme faire volte-face, à la place de son dos, sa poitrine se colla à son torse. Immédiatement, ses mains trouvèrent leur place sur ses épaules. Elle inspira grandement. Sa tête lui faisait mal, elle en avait les larmes aux yeux. Ce fut si soudain, mais, en cet instant, elle songea au fait que, pour la troisième fois de sa vie, elle risquait de le perdre. Gojo était bel et bien là devant elle, mais qu'en adviendrait-il de ce fait dans les jours à venir ? Gojo Satoru, détenteur du Sixième Œil, du Pouvoir de l'Infini était imbattable. Mais il n'était pas immortel, il ne pouvait pas se régénérer comme le faisait le roi des fléaux Sukuna. Gojo se risquait à perdre bien plus que l'enflure d'en face, car il n'allait pas seulement combattre un démon, mais son propre fils, son ami.
« Gagne. »
Les yeux de Gojo s'écarquillèrent.
« Je t'en prie, reviens moi en vie. »
La demoiselle appuya sur ces propos en collant son front contre le sien, une larme invisible roulant le long de sa joue.
« Remporte ce combat, Satoru. Ne meurs pas. »
Son cœur se serra.
« Je n'y survivrai pas. »
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #552 ~ L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Vivement qu'on en finisse, j'en ai marre. C'est vraiment pour le bataillon que je fais ça, mais je m'en veux d'avoir laissé Erwin me convaincre... A quoi ça peut bien servir, tout ça ? Je sais qu'on nous mate de là-haut, et je fais ce que je peux pour leur en donner pour leur argent, mais... tttchhh... Je dois arrêter d'objecter aux plans d'Erwin, il a son idée et il nous fait pas dépenser ce matos aujourd'hui pour rien, je suppose. Il retombera sur ses pieds, c'est sûr.
La bigleuse a pas terminé encore. Elle en a ficelé deux déjà, et ça lui suffit pas. On peut rien en faire de toutes façons, et ils vont pas tarder à se libérer, je les vois gigoter. Ses câbles sont pas encore au point, même si ça fonctionne mieux que la dernière fois. Bon, je vais aller faire un tour au sud puisque tout semble sous contrôle ici. Au moins je l'entendrai plus brailler.
Je décolle de mon arbre et scrute l'horizon. Les gars font du bon boulot, aucun gabarit de plus de sept mètres n'a passé nos lignes. Je vais aller les surveiller quand même. On a pas nos chevaux ce coup-ci et il faudrait pas que l'un d'eux se retrouve par terre trop longtemps.
J'entends de nouveau des cris et un essaim de jeunes soldats passe près de moi entre les arbres clairsemés. L'équipe de casse-cous, comme dit Mike. Je sais pas comment il fait pour les gérer, moi, je pourrais pas ; je les collerai aux corvées sans arrêt pour les calmer. Même le chef d'équipe est pas tenable. Il cherche toujours la confrontation avec les titans. Aujourd'hui c'est utile, mais à l'avenir, une bonne frayeur devrait leur apprendre la discipline. Je peux peut-être m'arranger pour la leur coller tout à l'heure.
Un petit quatre mètres les suit de près ; il se dirige vers les pièges de Hanji et il a la taille réglementaire, c'est ok. Elle pourra encore faire son show. Où sont mes hommes ? Ah, les voilà, à la limite sud du périmètre qu'on a délimité. Apparemment, ça castagne par là, je vois des éclairs d'acier. Je vais voir comment ils se débrouillent avant de les disperser de nouveau ; ils doivent pas rester groupés. Mais je leur en veux pas d'avoir papoté un peu. Cette "mission" est d'un ennui mortel...
Je parviens à distinguer Krys et Ber ; le premier porte une queue de cheval basse sur la nuque, et l'autre haut sur la tête avec un ruban rouge, qui se voit de loin. A vrai dire, même sans ça, j'arriverai à les reconnaitre de loin à leur façon de voler et de se battre.
Krys est un fonceur, il frappe fort et vite, sans trop de précision mais il touche facilement les membres. Il est idéal pour affaiblir les cibles mais est moins bon pour donner le coup de grâce. C'est Ber qui s'en charge en général. Il est beaucoup plus patient, ne fait jamais de mouvements inutiles et attend le bon moment pour fondre sur les nuques à découvert. Il rate jamais sa cible, sa précision est remarquable. Ils se complètent très bien mais peuvent vite être en difficulté s'ils sont séparés.
Je me propulse vers eux, et leur indique de revenir vers le nord pour s'occuper des titans qui vont pas tarder à se libérer des câbles. Erd et Gunther resteront ici pour bloquer les quelques gros qui voudraient passer. Ber me demande où sont les jeunes de l'équipe de leurres - je parviens parfaitement à comprendre ce qu'il veut dire maintenant -, et je lui indique aussi le sud. Ils sont partis par là, avec un titan au cul. On va restreindre le champ de capture pour mieux le couvrir. Une fois que les capturés auront été éliminés, si Hanji veut pas rentrer - et bordel, je crois bien que ce sera le cas -, vous vous disperserez sur un cercle plus petit. Vérifiez votre gaz, la réserve se trouve près de l'escouade scientifique.
Les deux garçons hochent la tête et s'envolent devant moi, me distançant très rapidement. Je traîne volontairement derrière pour observer les parages. Erd et Gunther sont posés sur une branche, attendant le prochain intrus indésirable. Ils sont prêts à les intercepter, mais les titans sont pas très nombreux dans le coin. Je vais revenir tranquillement vers le centre de la zone et tenter de raisonner Hanji. J'aimerai bien écourter la sortie...
Je l'entends gueuler de là où je suis. Les choses vont pas comme elle veut, on dirait. Je m'approche sans bruit et observe la scène. Un des titans se débarrasse des derniers filins qui le recouvrent et se met à sauter en l'air de joie. Une des captureuses est déjà occupée à ficeler le dernier arrivant, et les membres de l'escouade tactique hésitent à intervenir, ne sachant pas si leur capitaine veut ou non éliminer ce titan gênant.
Une des machines est rivée au sol, manipulée par deux soldats, et l'autre est attachée à la grosse branche d'un arbre, afin d'utiliser un autre angle d'attaque. La bigleuse est juste à côté et donne ses ordres. Je vois Krys et Ber tourner autour de la scène, attendant qu'on leur dise d'intervenir. Je vais devoir m'en mêler...
Eh, Quat'z'yeux ! Tu vas te retrouver submergée là ! Il est temps de buter celui-là ! Elle me crie qu'elle risque de pas en avoir d'autre de cette taille, et qu'elle veut tenter de le capturer d'une autre façon. Essaie avec un autre, il est vraiment excité, il pourrait bien démolir tes machines ! Ca me déplairait pas mais c'est du fric gâché. Elle en est presque à s'arracher les cheveux, alors je me décide à sa place. Je fais un geste à mes deux soldats, qui ne m'ont pas quitté des yeux, et ils fondent tous deux sur le titan sautillant. Après une courte mêlée de lames et de sang, la mocheté s'écroule au sol.
La tempête ne tarde pas à venir. Hanji se met à me noyer d'injures que je n'avais encore jamais entendues, et je dois garder mon calme pour pas la renvoyer sur les roses. Tu captures, je tue, ok ? Si t'es pas contente de moi, tu le diras à Erwin. Je suis déjà bien assez con d'être venu me faire chier ici pour amuser la galerie. T'en as d'autres qui vont arriver, arrête de chialer. Je mettrais pas nos escouades en danger parce que tu sais pas ce que tu veux faire de tes copains saucissonnés.
D'un nouveau geste, j'ordonne aux jumeaux de rester sur place afin d'assister l'escouade scientifique. Puis je me pose près de la bigleuse, qui vient me planter un doigt dans la poitrine avec colère. J'ai fait mon boulot, si tes prises se libèrent, c'est pas mon problème. Zéro mort, zéro blessé. Je prends pas de risques. Fais mieux, c'est tout. Et puis, tu vas en faire quoi ? On peut pas les transporter, non ? Il faut bien les buter alors.
Parler avec eux ? Ma pauvre, t'es réellement dingue... Contente-toi d'être réaliste et finis-en vite, je me fais vieux. En attendant, je reste ici. Quitte à à bosser pour ta pomme, autant que je puisse me marrer un peu.
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claudehenrion · 2 years
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Peut-on encore espérer ?
 Même si elle professe une forte préférence pour le pire, notre époque est, aussi, capable du meilleur, ce qui maintient en vie les optimistes. Un des problèmes les plus graves du moment, c'est que la Presse, néfaste et mortifère au delà de ses propres espérances, ne vante jamais que ce qui est à rejeter, à condamner, à refuser... mais que, par un biais inexplicable (mais permanent), elle présente comme le ''nec plus ultra'' d'une pensée qu'elle prétend bonne sur des critères --connus d'elle-seule– qui sont tous mauvais : plus c'est désespérant et plus elle le dit salvifique... ce qui  explique pourquoi nos contemporains (car cette pathologie est mondiale) croient que ce ''pire'' pourrait être une solution. C’est un mensonge !
Or il n'en est rien : à côté de ce qui constitue la trame sombre de notre (sur)-vie quotidienne revue et corrigée dans le sens du ''pas d'espoir'' (la ''no hope Society'' des 'ricains)-- il existe une vie, ''la vraie vie'', à l'extrême opposé de tout ce que nous racontent politiciens et journalistes, une fois de plus unis dans une entreprise inexplicable de destruction de toute société organisée –et plus particulièrement de notre civilisation judéo-chrétienne, dont toutes les valeurs –vraies, celles-là-- sont le contraire des anti-valeurs qui nous sont sans cesse présentés comme la nouvelle base d'idées qui devraient construire un monde nouveau. C'est un autre mensonge.
On a du mal à croire que quelques milliers de ''mal-pensants'' arrivent à maintenir 8 milliards d'humains la tête sous l'eau... biberonnés à l'eau du Léthé, pour oublier qu'il existe une ou des alternative(s)... Et pourtant, le 24 novembre dernier, a eu lieu, rue Saint-Guillaume, juste en face du cloaque contre-intellectuel, dé-politique et a-moral qu'est devenu ce qui fut Science-Po (devenu Science-Pipeau, affirment les ''anciens''), en plein cœur de ce quartier latin qui fut le lieu géométrique et le rendez-vous de notre belle jeunesse, l’ouverture d’ un ''Centre Saint Thomas d'Aquin'' (en abrégé : ''le CST''). Dans un beau discours inaugural, Eléonore de Noüel, sa Directrice, a déclaré que cette ouverture répondait à un authentique scandale : Thomas d'Aquin, un des plus grands penseurs de l'humanité, est quasi inconnu en France.  Ce mystère fait partie des préoccupations contre-civilisatrices qui font fonctionner –de plus en plus mal-- le moteur (arrêté !) de nos intellectuels en manque total de cerveau, de culture, de jugeote... et de solutions qui en soient.
Et pourtant Dieu sait (si j'ose !) si l'intention des pères de la scolastique était de tout faire pour réconcilier la philosophie grecque (et particulièrement l'aristotélisme), avec  la théologie chrétienne : la théologie et la philosophie, pour eux, ne sauraient conduire à des vérités opposées. ''Vaste programme'', aurait dit qui nous savons... d'autant plus que, pour en arriver à cet ambitieux projet, ils en appelaient à la médiation de Dieu, ce qui, évidemment, ne peut mener, aujourd'hui, qu'à accélérer la danse de Saint Guy des ''Wokistes'' qui ont fait de cet ex-haut lieu de la pensée française un bas-fond de la bêtise humaine, soumis à des aberrations sans queue ni tête... ni lendemains possibles. Et ces idées, contre toute intelligence et toute sagesse, sont reprises par nos gouvernants, vraiment pas à la hauteur de leur boulot et des défis qu'ils sont censés redresser. et qu’ils ne voient même pas
Pour Thomas (bien loin d'être Saint, in illo tempore), ''gouverner, c'est administrer la Cité d'après la vertu de Justice, en vue du bien commun''... notion qui ne saurait en aucun cas se confondre  avec les concepts, aussi vagues que flous, ''d'intérêt général'' ou –pire encore, puisque impossible-- de leur ''vivre ensemble''. Mais notre personnel politique ne sait plus compter au delà de ''49.3'', et notre Assemblée Nationale se déshonore dans de fausses querelles et de stupides invectives (car même leurs fausses indignations sonnent ''toc' … et le sont : on les sent fabriquées de toutes pièces, sans aucun fondement, mais exclusivement destinées à faire du ou le ''buzz'' (en français : ''des bruits incongrus'' ?). Nous vivons un temps où les ministres sont... les nuls que nous subissons, où les députés sont... les ravageurs de l'ex-LREM ou de la ''NUPES'', et où la vie intellectuelle... tourne autour de la sottise vulgaire d'un Cyril Hannouna, ce faux faiseur de faux rois d'une heure ! Dans des clashes d'une bêtise crasse, l'arène politique et la politique elle-même ne sont plus que des lieux où se déchaînent de fausses passions sordides, inutiles, et tout... sauf dignes du plus petit intérêt !
La dérive des idées-du-jour vers tout ce qui est ''franchement mauvais'' pour l'Homme, et celle de la construction européenne (un beau rêve assassiné par des idéologues sans foi ni loi) ont accéléré l'étiolement du principe d'identité nationale, voire, plus grave encore, de la Nation proprement dite, et ont invisiblement conduit trois générations de politiciens à ne plus faire reposer l'ordre dans la Cité que sur des ''droits de l'Homme'' (mal définis !)–ratatinés en ''droits humains'' sous la pression de harpies haineuses--, en supprimant l'ordre établi, les principes qui le régissent et tous les ''corps intermédiaires'' (famille, école, église, syndicats, partis, etc).   Or s'il n'y a plus d'intermédiaire entre l'individu et l'universel, l'idée-même que puisse exister un ''ordre collectif commun'' disparaît... et il ne reste, sur la table de négociations devenues impossibles, que des litanies de revendications venant le plus souvent de minorités qui se sentent exacerbées et qui se croient exaspérées.... ou qui veulent s'offrir la plus grande part possible du gâteau.
L'excellent Pierre Manent, dans son propos inaugural du ''Centre Thomas d'Aquin'' cité plus haut, a posé la question : ''L'ordre politique est-il rationnel ?'', et a répondu : ''Notre monde est devenu un monde de monades'' (NDLR : du grec μονoς, monos = un, l'unité. En métaphysique, on définit une ‘’monade’’ soit comme une Unité suprême – exemple : l’Un, Dieu, le Principe des nombres--, soit comme un élément spirituel minimal –exemple : le signe, le logo, le schéma. Pour simplifier, traduisons-le, ici, par ''Unité'')... ''un monde d'Unités, donc, où chaque Unité a le droit absolu de voir son désir satisfait ou son rêve réalisé... où chacun a le droit d'être un enfant infiniment capricieux''. Je ne sais pas si cette analyse dresse devant vous, comme elle le fait devant moi, le mur en construction de notre échec actuel et le spectacle de notre longue descente vers l'enfer, chacun croyant qu'il a raison contre la raison, l'intelligence, la réflexion… et l'Histoire de l'humanité. N'oublions pas Ezéchiel : ''Malheur à la Cité dont le roi est un enfant ''… un ''roi'' qui condamne, sans pardon possible, tous ceux qui, soignants ou pas, ne se plient pas à ses caprices puérils, pourtant scientifiquement et autrement démontrés injustifiables. Le prophète aurait été bienvenu d’ajouter un membre utile à sa phrase : ''Et malheur, aussi, au pays dont tous les sujets se comportent comme des enfants...''.
Il se confirme chaque jour (et plusieurs fois par jour, hélas!) que notre monde a perdu la raison. La seule existence d'un ''Centre Thomas d'Aquin'', le ''Docteur Commun'' devenu Saint entre temps, sera-t-elle suffisante pour redresser tout ce qui a glissé ''de traviole'' ? En période de disettes (et Dieu sait s'il nous en manque, des choses, dans l'enchevêtrement ''indé-chosable'' des crises que nous subissons !), ''mieux vaut quelque chose que rien...''. Quant à nous... tout ce que nous pouvons faire, à titre individuel, c'est l'espérer, et prier, pour ceux qui savent encore : en ce temps d'Avent plus encore que d'habitude, ça ne peut pas faire de mal !
H-Cl.
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kelthoumrambles · 20 days
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Trop de trucs. Hiiii. I'm still alive. Trop besoin d'écrire un peu tout ce qui me passe par la tête.
First thing first, le dj de london avec qui j'ai eu un truc là l'autre jour vient de m'envoyer un message sur whatsapp?! Mdrrr... jme souviens même pas de lui avoir donné mon numéro? Il m'a juste envoyé "u in london??" Why babe u hungry ? U wanna suckle my tits ? (J'ai plus aucun filtre). Il est 21h30 passé, je lui répondrai demain (genre j'ai des principes maintenant lol quoi).
Ça me fait penser qu'il y a un autre mec de londres mega mignon à qui j'ai tjs pas repondu. Ça fait 3 semaines que je nie mon tel c'est chaud de retomber dans ses mauvaises habitudes. j'ai même pas encore répondu à mes messages d'anniversaire du 8/08... :( j'y arrive pas et je sais que c'est dur pour bcp de monde à comprendre mais j'y arrive pas. Je le fais pas exprès. J'ai juste aucune énergie. Vide sidéral. J'arrive juste à écrire ici ou à boire et faire le clown de temps en temps. Entre ça bha il n'y a rien. Et faire semblant d'être là "ohh merci" alors que j'ai essayé de me t** il y a moins de 6 mois bha non en fait. Désolée mais merci quand même pour vos souhaits.
Si non, waw... il s'en est passé des choses dans ma vie (dans ma vie mais surtout dans ma tete qui est tellement pas stable). Je sais pas. j'ai vraiment essayé de terminer le mois d'août sur une belle note en essayant une énième fois d'arrêter de boire ou plutôt d'arrêter de me mettre des mines de fous malade mais lundi 26 jme suis retrouvée chez mes amis (couple gay, detail pas si important mais important pour comprendre certains autres details) et voilà, j'ai encore terminé bien pété jme souviens même plus du context - pas besoin de context ni de raison pour se defoncer avec moi - mais jpense que j'étais tellement stressée à l'idée d'aller porter plainte le lendemain (contre mon "poto dealos" qui m'a "légèrement" agressée l'autre jour) que j'ai bu comme un trou
Le lendemain, j'ai annulé mon rdv avec la police pour le reporter au mercredi. Mercredi matin, je suis allée porte plainte comme une grande, seule encore une fois et apeurée et ça c'est bien passé. Mon constat de coup et blessure est de 3 semaines sooo la police va surement aller gentiment lui demander quelques explications. J'ai à peine eu le temps de rentrer chez moi que mon pote (du couple d'amis) m'appelle en pleurant (truc à absolument éviter de faire avec moi à moins qu'un de vos proche soit literallement mort ou sur le point de mourir). Du coup, je descends en ville comme une dingue en mode WTF j'arrive qu'est ce qu'il se passe? Il répond plus et une heure plus tard, je le retrouve assis, première rangée, dans la plus grande cathédrale de la ville en train de pleurer (me demandez mm pas comment je l'ai retrouvé). Breeeeefffff long story short. il est tombé sur des échanges de messages comme quoi son mec de 50 ans allait se faire sucer la queue par un petit jeune de 20 ans. J'étais la en mode euhh... et vu que mon pote parle pas très bien français, j'étais en mode t es sûre ?? Breeeeefffff n°2 j'ai "sauvé" leur couple et j'ai passé toute la journée/soirée à ça et franchement je m'en serais passé mais voilà I'm a good friend what can you do.... (leo bitch)
Si non, ça fait plus d'une semaine que j'échange avec un mec qui habite dans le sud ouest. On est censé se voir fin septembre à Toulouse mdr. Et ... ça ne me fait pas peur mais jsais pas si c'est la meilleure des idées car on s'est rencontré sur un site de rencontre mega chelou et c'est genre un "dominant" et jsuis censée être une "soumise" vous voyez le truc... mais il est mega mignon (l argument ultime xD) mais je suis mega consciente que ça tourne pas rond dans ma tête sooo si j'ai la thune (moi qui à partir du 15 du mois n'ai plus que 100 balles max.) ou s'il décide de m'inviter, j'irai car je refuse jamais une belle aventure. Mais jsais pas. J'hésite tjs un peu là. Je me sens pas assez désirée. Btw sorry pour ma ponctuation jsais pas si quelqu'un lira ma longue tirade à la 642 mais sorry pour le manque de respect oui la ponctuation is dying ici
Samedi matin. Dur dur. je me suis sentie comme une merde toute la semaine car je me suis mise plusieurs cuites et que j'arrive pas à fonctionner comme j'aimerais fonctionner. L'alcool aide pas. J'avais rendez-vous avec mon psy à 10h du mat (étude privée) et j'y suis allée. Ca faisait un mois qu'on ne se voyait plus et comme j'ai honte de mon état, j'avais trop envie d'annuler mais j'ai pas annulé (10 points pour gryffondor). À la base, une consultation chez mon psy dure 45 minutes pour 50e jcrois. Moi, depuis le début, il me garde 2h15 pour 40e (au lieu de 150). Et samedi, j'étais tellement .... au bout de ma vie. C'est vrai. Au bout de ma vie... qu'il m'a gardé 3h30!!! et il m'a dit que je pourrais lui payer plus tard. Genre... God bless this man. Ça me donne envie de chialer. Il m'a meme fait une séance d'hypnose (jpense quil était un peu inquiet de mon état mnt que jy pense). C'était la première fois. C'était de l'hypnose pour me relaxer et ça m'a tellement fait du bien... jsuis vraiment sortie en me sentant mieux. Je lui ai demandé "vous pensez vraiment qu'il y a de l'espoir pour moi?" Et il m'a répondu oui blablabla... honnêtement, parfois j'en doute. Il m'a donné plein d'exercices somatic.
Mes dissociations (bcp de derealisation) sont de plus en plus fortes et nombreuses et elles sont devenu impossible à masquer. Sans parler de mes hallu (visuelle et auditive). Et je mentionne même pas tout. J'ai l'impression de partir en COUILLES grave alors que ça fait... 18 jours que j'ai plus pris de coke (j'ai l'impression que ça fait au moins 92727282 jours??). Je pense tout le temps à me defoncer la gueule franchement ça fait pitié c'est pas vivable jsais pas. Jsuis très souvent angoissée. Je pars grave en couille quoi. Je bouffe tout le temps, j'ai des allergies cutanées. Je sais pas ce qu'il se passe. Bye. Mais BYE
Malgré ça, j'ai envoyé une candidature pour un job aujourd'hui et je fais de mon mieux pour aller marcher au moins 50 min presque tous les jours. Aujourd'hui, jai fais 10 minutes de cerceau. Mdr jvous dit il n'y a rien de logique.... et c'est même pas une question de logique, j'ai besoin de 10000 balles et d'une intervention divine et ptet que ça ira mieux (pas sûre). J'aurai pas du reprendre des xanax mais trop tard. Après cette boîte, ce sera fini de toute façon.
Finalement, dimanche, j'ai été à un barbecue chez Mr l abbaye (mon nouvel ami de 80 ans qui est également anticaire) et la moyenne d âge était de 60 ans facile. C'était cool. Tout le monde était totalement pété. Le soir, je suis retournée dormir chez mes amis, jsuis rentrée dans la douche alors que le copain de mon ami se lavait en mode "casse-toi" et le lendemain, j'ai passé toute la journée en étant mega mais mega mega mega hangover chez eux. A un moment, mon ami me dit "k, there is something I've been wanting to ask you for a long time that I don't understand. Where is your mum?" Mind you, we've been friends for.... years. Like over 8 years I believe ? And we've spent quite some time (a lot!) together! I love him, truly. Donc il me demande où se trouve ma mère et je commence à rigoooler mais vraiment à rigoler quoi (c'est un phénomène qu'on appelle réaction inappropriée) puis je marrete d'un coup et je lui dis mega sérieusement "my mum is dead. She died in a car accident" *gros blanc* mon pote trop choqué sûrement de plein de choses. L annonce du décès de ma mère, le fait qu'il soit pas au courant, ma réaction peut-être. Puis il me demande si on était proche et je lui réponds "yea... we were" et je commence à pleurer xD. Cest... tellement pas drole en fait. Wow. Un de ces sanglot qui venait de loin. On aurait dit une scène de film. Dans la même semaine, on s'est vu pleurer l'un l'autre pour la première fois et on a été vraiment vulnérables. Je lui ai parlé du fait que j'allais bientôt dépasser l age auquel ma mère est décédée et que ça me hantait prq j'ai le survivor guilt et que j'ai bcp de mal à vivre avec ca et dautre trauma qui viennent me hanter (surtout lorsque je suis sobre..), ces derniers mois et que my mental health n'avait pas été aussi mauvaise depuis des années (bien que ça fait aussi des années qu'elle n'est pas bonne) bref c'était du lourd qui a créé du léger. Gros câlin. Je pense qu'on vient de la même étoile lui et moi.
On a side note, le fait de dire à un ami proche (je précise einh) au bout de 8 ans que je suis orpheline de mère... c'est vraiment pour dire à quel point j'ai toujours tout mais tout gardé pour moi (la souffrance la violence la peur...). Ça me rend triste pour le jeune moi et ça me donne la rage pour le moi d'aujourd'hui. En tout cas, je reste persuadée que ça a apaisé le moi de demain et que ça faisait partie de my recovery.
Shared joy is double joy and shared sorrow is half a sorrow
Aaaazaaàaahahahajzjejzkajàaaàaaaaaaaaaaaajdkdbdkdjajaaaaaahhsxdbdkskjàaaaaaaajajejdjdjdjajonnxvwvwvaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh
De la keta me ferait vraiment du bien la. Damn.
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recidivelocale · 1 month
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Tout roule.
Assis devant son paquet, l'air idiot, sentant bien que tous les regards sont tournés vers lui. Il n'ose pas relever les yeux. Il sait que s'il le fait, il va devoir sourire, et l'ouvrir, son paquet.
De toutes façons, il sait ce que c'est, ça fait la quinzième année.
Il a eu le tort de le feuilleter, cet almanach, dans cette librairie et de dire qu'il aimait bien, que ça lui rappelait des souvenirs, pourtant il le sait qu'il ne faut pas dire des trucs comme ça devant elle. Elle prend tout au pied de la lettre.
Au début de leur relation, il lui a dit qu’il aimait beaucoup Descartes et elle n’a rien trouvé de mieux que de les inscrire à un club de bridge. Il n'en peut plus.
Depuis, tous les ans, elle lui achète pour son anniversaire un foutu almanach de son Berry natal, avec des anecdotes sur les saisons, les morts dans les étangs, les sorcières et les plantations par légumes. Elle le sait pourtant, il n’aime pas jardiner.
Qu'est-ce que c'est con un almanach !
Il s'est renseigné, en 300 ans de chasse aux sorcières il n'y a eu que 3 procès pour sorcellerie. L'un était la dénonciation d'une femme par son voisin. L'une de ses vaches est morte après le passage de la  dite Jeanne Morel. Il devait juste ne pas aimer sa voisine ce con ou elle a refusé de coucher avec lui.
Il n'a pas envie de l'ouvrir son cadeau, mais il sent bien que la situation devient gênante. Elle va commencer à toussoter, lui dire que bon, maintenant il faut qu'il réagisse. Il a envie de lui mettre dans la figure son paquet. Putain, il s'en tape de cet almanach, avec ses histoires stupides, le temps qu'il fait à la Saint Médard et si tu peux planter tes poireaux quand ton clébard remue la queue.
Il devine aussi le demi-sourire de sa sœur, tiens en voilà une qui aurait bien mérité de finir sur le bûcher. Mauvaise comme la peste, un rictus en coin elle attend le moment où les hostilités vont commencer. Elle aime bien quand ça va mal. Au moins on a des trucs à dire, des positions à prendre, défendre l'un, enfoncer l'autre et pourquoi pas changer en cours de route.
Elle tient par le bras son mec, Benoît… Benoît, il n’en a pas que le prénom, il en a l’air aussi, aussi con qu’un almanach lui aussi.
Une goutte de buée coule le long de son verre de champagne bon marché, glisse sur la table en formica et roule vers le paquet en attente. Il se dit que si elle arrive, jusque là, il ne l'ouvrira pas son paquet et il les laissera tous en plan avec leurs cadeaux débiles. On en reparlera de cette journée, longtemps. Elle mériterai d'y être dans son almanach cette date.
« Tiens c'est ça, je vais créer un recueil des « j'ai tout envoyé chier », ça changera ». La goutte roule doucement, il la scrute, espère mais elle s’arrête quelques centimètres avant le présent.
Elle toussote, pince les lèvres et lui dit, alors Mamour, tu l’ouvres ce cadeau ? ce surnom dégoulinant l’inonde d’un malaise poisseux.
Elle se racle la gorge de façon plus insistante, il sursaute légèrement et revient enfin à lui.
Tout le monde le regarde, mains crispées sur leur verres.
Il capitule et ouvre le paquet. C’est un magnifique livre qui s’intitule : Vivre avec son cancer.
Ah !, elle a eu mes résultats se dit-il.
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avidex · 2 months
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Observatoire de Marseillan, Hérault, 22 avril 2023
Celui ci nous aura donné du mal. Mais qu'est ce que c'est que ce truc, nous sommes nous longuement dit ?
Eh bien il s'agit d'une femelle de Rouge queue à front blanc (on a souvent en tête les plumages des mâles, plus flashys, mais ils ne représentent que la moitié de la population)
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cricxuss · 6 months
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"Connaître ses classiques"
Elle rentrait chez elle, le pas pressé.
A cette heure-ci, il devait déjà être là....
Elle poussa la porte, et se déchaussa dans l'entrée, ôtant rapidement ses escarpins. Au plus vite, elle accrocha son manteau à la patère. Quant à son sac, elle le laissa là, par terre.
Les pieds presque nus, juste enveloppés du voile soyeux de ses bas, c'est sans bruit qu'elle entra dans la maison proprement dite. Elle entendit de la musique, ou peut-être la télé, dans le salon, et s'y dirigea promptement.
Mais, à sa grande déception, il n'était pas là.
"Chéri? T'es où?"
On n'aurait su dire si ça voix était rageuse ou suppliante.
"j'arrive... qu'est ce qu'il y a?"
Il sortit de la cuisine, une tasse de café à la main. Elle se précipita presque sur lui, s'agenouilla malgré sa jupe pour ouvrir le pantalon, et sans un mot d'explication, commença à masturber la verge surprise de cet assaut. Il réussit à poser non sans mal la tasse de café en sécurité sur le meuble le plus proche.
"Mais qu'est ce que tu .."
La réponse à cette question interrompue étant trop évidente, elle préféra refermer ses lèvres sur la queue maintenant endurcie, et prouvant une fois de plus que les femmes sont multitâches, ouvrit de ses mains libres la fermeture arrière de sa jupe.
Après quelques allers retours de sa bouche, elle se redressa et le repoussa sur le canapé, se débarrassa de sa jupe, puis de sa culotte, les yeux brillants de plaisir anticipé.
"J'en avais envie depuis le début de l'après-midi, au boulot... j'ai mouillé comme une folle. Je me suis même caressé aux toilettes, mais rien n'y a fait, j'ai envie de ta bite... j'espère que tu es aussi chaud que moi, bébé, parce que j'ai envie de me faire un remake de film: "une chatte sur un toi brûlant"."
Avec un soupir de luxure enfin assouvie, elle s'empala sur le sexe dressé, le plus profond possible, et embrassa son homme (encore étonné mais pas du tout mécontent) à pleine bouche en le chevauchant sur le canapé.
(Copyright Lucas Heller, 26/03/23)
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christophe76460 · 7 months
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
dimanche 18 février 2024
THÈME : ENNEMIS DE LA FAMILLE- LA PARESSE.
BIBLE EN UN AN : Nombres 28, Nombres 29, Nombres 30, 1 Corinthiens 12, 1 Corinthiens 13, 1 Corinthiens 14
ÉCRITURE DE FEU : Proverbes 6 : 6-11
VERSET DE MÉMOIRE :
Proverbes 13 : 4 - " L`âme du paresseux a des désirs qu`il ne peut satisfaire; Mais l`âme des hommes diligents sera rassasiée."`
CITATIONS INSPIRANTES :
Si vous désirez une vie pleine de sens, ne soyez pas paresseux.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR:
Tout esprit de paresse dans votre vie mourra, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Qu'est-ce que la paresse ? La paresse est le refus de travailler. Quiconque n’aime pas travailler ou faire des efforts est décrit comme un paresseux. Un père paresseux ne pourra pas subvenir aux besoins de son foyer. La Bible dit dans 1 Timothée 5 :8 : «Si quelqu`un n`a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu`un infidèle. » L’Écriture ci-dessus assimile un homme paresseux qui ne peut pas prendre soin de sa famille à un incroyant. Cela signifie qu’en tant qu’enfant de Dieu, vous devez travailler dur pour pouvoir prendre bien soin de votre famille et des autres autour de vous. C'est l'œuvre de vos mains que Dieu bénira. Si vous voulez la bénédiction de Dieu, vous devriez pouvoir présenter quelque chose qu’Il bénira. La Bible ne tolère pas la paresse, mais la condamne dans toutes ses ramifications.
Lorsque nous examinons de près la femme de Proverbes 31, nous pouvons voir qu’elle travaille dur pour subvenir aux besoins de sa famille. Pour résumer son dévouement au bien-être de sa famille, Proverbes 31 :27-29 dit : « Elle veille sur ce qui se passe dans sa maison, Et elle ne mange pas le pain de paresse. Ses fils se lèvent, et la disent heureuse; Son mari se lève, et lui donne des louanges: Plusieurs filles ont une conduite vertueuse; Mais toi, tu les surpasses toutes."
Bien-aimés, nous n’avons aucune excuse pour ne pas subvenir aux besoins de nos familles parce que la Bible nous l’ordonne. Et nous avons de nombreux exemples dans la Bible de ceux qui ont veillé à prendre très bien soin de leur famille en termes de satisfaction à la fois de leurs besoins physiques et spirituels.
Une famille de paresseux sera pauvre, réduite en esclavage et ne pourra jamais devenir grande. Dans Jean 5 :17, Jésus dit : « Mais Jésus leur répondit: Mon Père agit jusqu`à présent; moi aussi, j`agis. » Si notre Seigneur Jésus-Christ agit, qu’en est-il de vous ? Bien-aimés, le verset à mémoriser d’aujourd’hui nous offre à tous matière à réflexion. Je vous conseille de lire et de méditer là-dessus : «L`âme du paresseux a des désirs qu`il ne peut satisfaire; Mais l`âme des hommes diligents sera rassasiée.»
(Proverbes 13 : 4).
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Tout esprit de la queue opérant dans ma famille, meurs, au nom de Jésus.
2. Toute malédiction de retard qui agit dans ma famille, brise-toi, au nom de Jésus.
3. Tout esprit de paresse qui retient ma famille captive, meurs, au nom de Jésus.
SOIR
4. Tout joug d'indolence dans ma lignée, se brise par le feu, au nom de Jésus.
5. Tout esprit d'indifférence à l'égard de la grandeur dans ma famille, meurs, au nom de Jésus.
6. Père Seigneur, bénis les œuvres de nos mains dans ma famille, au nom de Jésus.
7. Dans ma famille, nous ne travaillerons pas en vain, au nom de Jésus.
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angellyslion · 1 year
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OS : La fille de l'organisation
FemConan, elle est ma fille du boss de l'organisation. Elle l'a fui et tous les membres sont à sa recherche.
Rye et Bourbon travail pour l'organisation et espionnent le FBI et le PSB. Shinichi et Conan sont deux personnes différentes.
Shuichi est adossé contre un mur déguisé en fille, il espionne les actions de Gin et vodka. Il entend les bruits des klaxons et des bavardages des passants mais n'y prête aucune attention. Il est concentré sur sa mission. Il déteste devoir se faire passer pour une femme. La robe restreint ces mouvements et la perruque la démange. Son attention est attirée par une petite main qui tire sur sa robe. Il se met au niveau de l'enfant et ainsi les cacher de la vue des deux hommes.
« Ne Mio-neechan, pourquoi tu fixes autant cet homme ? J'avoue qu'il y a quelques points communs avec Kukai-nii-san. Il t'a trompé je suis persuadé que tu trouveras un meilleur nii-san pour moi que lui. En plus tu as promis à kaa-san de m'emmener m'acheter un nouveau livre et une glace. Si tu ne tiens pas ta promesse je le dirai à kaa-san. La fille murmure, rentre dans mon jeu si moi je t'ai vu les regarder ils ont dû sentir que tu les fixés. Le souci que tu n'es pas une femme et que tu es un agent du FBI.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Et qui es-tu ?
- Je suis Enola Edogawa, une détective ! Après comment je sais que tu étais un agent c'est très simple là dans ta voiture même si elle est cachée j'ai pu voir ta veste ou c'est inscrit les lettres FBI. Tu as une arme cachée et attachée dans ton dos. Tu as une oreillette dans l'oreille droite. Et donc il fait que tu es déguisé en femme pour espionner ces hommes en noir qui sont suspects. Et que  j'ai deviné que tu n'étais pas une femme c'est que la plupart des filles aiment prendre soin de leurs cheveux qui soit doux et soyeux et ta posture est beaucoup trop raide pour être une fille. Et de plus ta robe montre un peu les défauts même si on pourrait penser que tu as des formes.
- Tu as raison Imuto, allons chercher ton livre et ta glace.
- Arigato neechan ! L'enfant souris. Les deux montent dans la voiture. Si j'étais toi j'éviterai de les suivre et partir dans le sens contraire. La prochaine fois que tu auras l'occasion place leur un traceur indétectable sur leur voiture pour pouvoir les suivre.
- Tu as quel âge ?
- J'aurai l'âge sur tu me donneras !
- Ça ne répond pas à ma question ! En apparence tu fais sept ans mais mentalement je dirais que tu es plus âgée mais je ne pourrais pas dire lequel.
- Alors j'ai sept ans, la fille hoche des épaules. Tu peux t'arrêter ici, j'habite à deux pâtés de maisons. En regardant autour de lui, Shuichi remarque qu'ils sont à Beika.
- Je peux te raccompagner jusqu'à chez toi !
- Ne t'inquiètes pas, monsieur l'agent je peux finir le reste du chemin à pied.
La fille attend que l'homme s'arrête. Il le fait en soupirant. Shuichi regarde la fille à la queue de cheval haute qui quitte son champ de vision.
- Shu ça va ? demande une voix de femme à son oreille.
- Je vais bien Jodie ! J'ai juste rencontré une petite fille très intéressante.
- Comment ça intéressante ?
- Elle elle est arrivée à deviner que j'étais un agent et que je n'était pas une femme en quelques secondes d'observation. Pour son âge elle est très perspicace elle ne doit pas avoir plus que sept ans. Je rentre au QG à toute suite Jodie. Shuichi raccroche. Il pense, je t'ai enfin retrouvé Hime-sama.
Pendant ce temps de l'autre côté de la ville.
- Que se passe-t-il Vodka demande Gin avec une cigarette à la bouche voyant que son coéquipier à la tête ailleurs.
- Je crois avoir aperçu Hime-sama tout à l'heure.
- Quand ?
- Au moment où cette femme nous fixait. Mais du peu que j'ai entendu l'un de nous ressemblait à son ex. Les deux étaient sœurs, c'est pour cela que je n'ai rien dit. Les deux sont parties dans l'autre sens. 
- J'espère juste que ce n'est pas elle. Qui aurait pensé qu'une simple enfant nous donne autant de fil à retordre.
- Tu sais bien Aniki que ce n'est pas une simple enfant !
- Elle est fille d'Ano Kata. Je sais et qu'aucun mal ne doit lui arriver.
Enola souffle de soulagement, elle est arrivée à échapper à Gin et Vodka de justesse. Elle s'effondre sur son lit. Au bout de plusieurs heures à ruminer sur son passé, l'enfant se lève et se prépare un petit repas. Une fois ce dernier avalé, elle se brosse les dents et part se coucher.
Le lendemain, elle se rend à l'école tout en restant sur ses gardes entre l'agent du FBI qui connait le quartier où elle habite et les hommes en noir qui sont sur ces traces elle doit rester discrète et faire attention.
Une fois arrivée à l'école, elle soupire une nouvelle fois de soulagement. Elle se dirige vers sa classe et s'assit à sa place. Elle s'installe et prépare ses affaires pour les cours à venir tout en le faisant, elle a une mauvaise intuition.
À la sonnerie, au moment où le directeur Ryujiro Uematsu rentre dans la classe avec une femme qu'Enola reconnaît après que leur regards se sont croisés. Elle pourrait reconnaître l'individu sous n'importe quel masque qu'il pouvait porter.
- Votre sensei a eu un accident, elle est actuellement à l'hôpital. Le temps de son hospitalisation, vous aurez une nouvelle sensei Nagisa Takami. Je vous laisse faire connaissance. Si vous avez besoin de moi Takami-san venez me voir dans mon bureau.
- Arigato Uematsu-san. Une fois que le directeur a quitté la classe. Vous allez tous sortir une feuille et noter votre prénom sur cette dernière. Et pour terminer vous allez la plier pour pouvoir mettre votre prénom en évidence et face à moi. Une fois que tout le monde a exécuté la demande. Arigato mina.
La journée se passe et à la grande surprise d'Enola, la femme n'a rien tenté pour l'approcher. Elle range ses affaires.
- Enola-san pourrais-tu rester, j'aurai besoin d'avoir quelques mots avec toi ? C'était trop beau pense qu'elle ne me reconnaisse pas, pense la fillette.
- Hai sensei, répond l'enfant sachant très bien qu'elle ne peut pas refuser. Les deux femmes attendent que tous les enfants quittent la salle de classe.
- Tu vas continuer longtemps à jouer la comédie Imuto ?
- Je ne sais pas de quoi vous parlez sensei.
- Imuto, arrête ce jeu ! Père a envoyer tout le monde à ta recherche ! Cela fait des mois que tout le monde est sur tes traces ! Il a fallu un appel de Rye pour confirmer que tu es toujours en vie !
- Je suis orpheline !
- Hime ! S'orripille la femme. Ne dis pas ça !
- Il m'a renié. Il n'est plus mon père.
- Il le regrette, rentre à la maison avec moi ! Elle la supplie du regard.
- Non, Puis-je y aller sensei ?
- Bien, soit prudente sur le retour !
- Hai ! Mata ashita sensei !
- À demain Enola !
L'enfant quitte la salle soulagée que l'interrogatoire soit terminé.  Avant de rentrer chez elle, Enola fait un détour au Konbini pour s'acheter quelque chose à manger ce soir. Elle n'avait pas envie de cuisiner. Quand elle s'apprête à rejoindre la fille d'attente pour payer, une voix l'interrompt.
- Tous à terre vous allez tous mettre votre argent et votre téléphone. Étant une enfant, Enola ne bouge pas. Elle fait semblant d'être effrayée et de chercher sa maman de yeux alors qu'elle scanne les cinq voleurs. Elle se couche. Très vite, elle sent une présence à côté d'elle qui l'a prend dans ses bras.
- Ne t'inquiètes pas Enola-Chan, je suis là. Murmure le nouvel arrivant
- Amouro-niisan ?
- Oui, c'est moi, Enola-chan.
- Que fais-tu ici Amouro-niisan ?
- Je faisait quelques courses pour le café.
- Le café est très loin d'ici et je sais qu'il a un autre konbini plus proche du café sur celui-ci.
- Celui-ci est plus grand et les produits sont meilleurs !
- Ce n'est pas pour me surveiller plutôt Amouro-niisan ?
- Pas du tout Enola-chan ! As-tu une solution pour sortir d'ici ?
- Un seul parmi eux a un vrai pistolet les autres sont factices par contre ils ont des taseurs. Celui qui a le vrai pistolet est le chef, c'est lui qui a crié à terre. Vu leur postures aucun des voleurs ne savent se battre. Je suis la seule enfant, sinon il y a cinq adolescents et une quinzaine d'adultes. Je sais que tu as une arme sur toi, Amouro-niisan. Si tu le fais sans avoir peur des conséquences cela signifie que tu es autorisé à en porter une. Donc tu travailles pour la police mais puisque je ne t'ai jamais vue dans les différentes préfectures cela signifie que tu travailles pour le PSB et que tu es un agent haut placé. Et si tu veux avoir une chance de les vaincre commence par le chef. Une fois mis hors jeu, les autres vont avoir peur et cela sera plus simple pour les arrêter, ils feront plus facilement des erreurs et donc par conséquent plus facile de les battre. Et le seul adulte qui sait se battre est le caissier. Amuro fait trébucher le chef, récupère l'arme et l'assomme. Pendant que les autres voleurs sont surpris, le caissier profite de cette opportunité pour mettre KO, le voleur qui est prés de lui.
Le chef se réveille, Enola le voyant lui lance un ballon et le renvoie dans le monde des rêves. Les deux hommes mettent rapidement les autres hors jeu. Les deux hommes ligotent les voleurs et quelques secondes plus tard la police arrive sur les lieux.
- Que sait-il passer demande Megure.
- Ces hommes ont essayé de voler ce magasin. Et Amuro-san et le caissier sont arrivés à les maîtriser.
- Ah Enola-chan ! Pourquoi cela ne m'étonne pas que tu sois mêler à cette affaire ?
- L'habitude ? Vous savez très bien Megure-keiji que je suis un aimant pour les crimes en tout genre. L'enfant hoche des épaules.
- Je vais vraiment finir par te mettre une équipe sur le dos pour m'assurer qu'il ne t'arrive rien. Plaisante l'inspecteur.
- Même si j'ai une équipe de protection, cela ne changera pas grand-chose Megure-keibu. Je sais qu'il faudrait faire une déposition, serait-il possible que je la fasse demain ?
- Bien sûr Enola-chan ! J'enverrai Takagi pour venir te chercher vers huit heure !  Et j'appellerai ton école pour les prévenir.
- Arigato Megure-keibu.
- Sato-san te ramène.
- Hai ! Viens Enola-chan je vais te ramener chez toi ! Enola sourit et suit docilement la policière.
Une fois dans la voiture, Enola laisse tomber son masque.
- Je sais que c'est toi Vermouth. Déclare l'enfant d'un ton neutre.
- Tu n'es pas drôle Imuto ! Vermouth boude.
- La vraie Sato est où ?
- Endormie dans le coffre.
- On peut s'arrêter en route pour commander quelque chose ?
- Bien sûr Imuto ! Quesqui te ferai plaisir ?
- Peu importe, le temps que c'est à emporter.
- Tu es si froide avec moi, Imuto.
- C'est de ta faute, s'ils sont morts !
- Père voulait te récupérer à tout prix et ta mère a refusé qu'il te prenne et je n'ai pas eu le choix en la matière.
- Tu aurais pu trouver une autre solution que d'assassiner ma famille !
- Et comme quoi Hime ?
- Me faire passer pour morte, faire un procès et prouver qu'ils ne pouvaient pas s'occuper de deux enfants en même temps. Il y avait plein de manières de me récupérer sans les tuer ! Tu as préféré la facilité en tuant tout le monde !
- C'était une assurance que personne ne te récupère et te recherche.
L'enfant reporte son attention sur l'extérieur et ne dit plus un mot.Elle lâche un "Arigato" quand sa soeur lui tend un plat. Enola quitte la voiture une fois devant le manoir Kudo. Elle souffle.
Une fois à l'intérieur de sa chambre, la jeune fille s'autorise à pleurer. Sa famille lui manque. Même si Yusaku n'était pas son père biologique, elle le considère plus comme son père que son vrai père. Elle mange son repas et pars se coucher. Le lendemain, elle se réveille avec les yeux bouffi.  
Elle n'a pas arrêté de cauchemarder. Elle pouvait voir sa sœur tuer sa mère Yukiko, son père adoptif Yusaku et son demi-frère Shinichi. Elle peut aussi ressentir la chaleur de l'incendie qui a ravagé leur maison de vacances à Hawaï. Elle se lève péniblement, va à la salle de bain et passe de l'eau sur son visage.Enola s'installe dans le salon et patiente que Takagi arrive. Après plusieurs minutes d'attente, le policier sonne.
- Bonjour Enola-chan es-tu prête à y aller ?
- Hai Takagi-keiji.
- Alors allons-y ! Elle hoche de la tête et ferme le manoir à clé. Elle monte dans la voiture. Et sur le trajet les deux échanges des banalités.
- Bonjour Enola-chan, salut le chef de la division 1, prête ?
- Oui.
- Très bien, commençons par le début, présente toi.
- Enola Edogawa sept ans.
- Que faisais-tu le lundi 7 juin à 19h00 ?
- Je me rendais au konbini pour m'acheter un repas préféré. Quand cette dernière s'est faite attaquer par des voleurs. Ils nous ont ordonné de donner notre argent et notre téléphone. Étant qu'une enfant, j'ai fait semblant de chercher ma maman et de n'avoir rien sur moi. J'ai appelé discrètement le poste de police, sans pour autant répondre aux questions posées pour ne pas me faire prendre. Amuro-san m'a dans un premier temps rejoint pour me calmer et me rassurer. Et dans un deuxième temps, je lui ai dit qui était vraiment armé. Il l'a mis K.O et le caissier en a profité pour mettre le voleur près de lui dans le même état que leur chef. Les deux hommes ont œuvrés ensemble pour mettre le reste des hommes hors service puis vous êtes arrivés.
Après quelques autres questions, Enola est libre de partir. À la sortie du poste, elle croise Amuro.
- Bonjour Enola-chan ? Comment vas-tu ?
- Bien et toi Amouro-niisan ?
- Ça va !
- Que fais-tu ici ?
- Je suis venue te ramener chez toi à la demande de ton père ! Il t'aurait laissé vivre ta vie mais avec les derniers événements, il ne peut plus te laisser faire.
- Je ne veux pas ! Le blond s'approche doucement de l'enfant et lui murmure.
- Si tu crois que tu as le choix, tu fais fausse route Hime-sama. J'ai deux choix à te proposer soit tu viens de manière pacifique avec moi soit j'emploie les grands moyens. À toi de voir Hime-sama.
- Je ne retournerai pas là-bas !
- Tu ne me laisse pas le choix Hime-sama.
Bourbon pique discrètement l'enfant avec une drogue. La fille de sept ans tombe dans les bras du blond. Celui-ci la porte jusqu'à sa voiture à l'abri des regards.
- Rye, Gin et Vodka soyez prêts. Je l'ai récupéré et pour ce faire j'ai dû la droguer, elle ne voulait pas venir autrement.
- Message reçu, soupire Gin, content que la mission cache-cache se termine après deux ans. Ils ont plus qu'à retrouver la traite.
Après les huit heures de route qui séparent Tokyo de Kurayoshi et les quelques réveille de l'enfant. Vermouth récupère sa sœur qui commence à émerger. La fille gémi.
- Chut Hime, rendors toi ! Tu es en sécurité maintenant. La plus jeune suis le conseille de la plus âgée. Elle à trop mal à la tête pour réfléchir correctement.
Quelques heures plus tard, Enola se réveille, son monde n'est plus aussi sensible qu'avant.
- Bonjour Hime, je suis ravi de te revoir après deux ans de fugue. C'est bon de te revoir. Grâce à ton départ w j'ai amélioré tout le système de sécurité. Il sera activé tout le temps, jusqu'à ce que je puisse te faire confiance à nouveau. Et c'est mon dernier mot.
- Je te hais !
- Moi aussi, je t'aime Musume.
L'homme quitte la chambre de sa cadette la laissant le maudire. Une fois qu'elle se calmera, il ira la revoir.
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Alors que mon esprit s'éteint, perdu dans la contemplation de la vie, une lueur traverse le brouillard... "le Tumblr, Touille!!" Pour que vous ne pensiez pas que je suis morte, piquée à mort par une méduse, je vais donc essayer de rassembler les lambeaux résiduels de ma conscience qui s'endort pour vous faire part de mes aventures !
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La journée commence donc très bien, puisque je me retrouve sur le pont d'un bateau avec un muffin au chocolat en main, prête pour une journée de plongée sur la grande barrière de corail.
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Elle continue avec UNE HEURE de briefing sécurité, qui se résume par "pas touche ou tu meurs, tué soit par la faune locale soit par un guide si tu abimes quoi que ce soit"... On nous reparle notamment de ce petit coquillage très mignon qu'on ne glisse pas dans sa poche "parceque en dehors des 10000$ d'amende que vous allez vous prendre, s'il vous pique à travers la combinaison, on pourra juste vous tenir la main et vous rassurer pendant les 3 minutes qu'il faudra à la neurotoxine pour vous tuer". MAIS QU'EST CE QUI S'EST PASSÉ PENDANT L'ÉVOLUTION SUR CE CONTINENT ?!? Pardon.
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Les photos suivantes ont été prises par un photographe avec nous, avec un enooooooorme appareil avec des machins partout, un globe géant devant l'objectif, et tout un tas de gadgets de science fiction. N'empêche que ça rend sacrément bien !
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Je vous laisse profiter des images ! C'était une véritable ode à la vie cette expédition...
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Il y avait des coraux de toutes les tailles, toutes les formes, toutes les couleurs, des éponges avec des flocons de neige dans les bras, des bancs de poissons d'un bleu époustouflant, des individus noirs et blancs se camouflant tellement bien qu'on ne voyait que la queue (Blanche) nager toute seule, des poissons piquetés de tâches fluorescentes comme si Chloé les avait attaqués à coups de pinceau, des étoiles de mer, des concombres de mer majestueux (et croyez moi, ce n'est pas un adjectif que je croyais un jour associer à cette bestiole) hérissés de piquants et gros comme ma cuisse, des anémones se laissant flotter dans le courant, ... C'était incroyable.
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Pour résumer, 3 plongées, des bouteilles d'oxygène à moitié pleines en remontant tant c'était à couper le souffle, et une Touille avec des yeux qui scintillent.
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Une partie de la barrière était blanche et morte, mais ça avait étonnamment bien repoussé par dessus ! Je ne sais pas si c'est dû à l'absence de touristes pendant le COVID, mais ça donne de l'espoir pour la survie de ce petit miracle, terriblement menacé par le réchauffement climatique...
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Et le meilleur pour la fin ... (Comment ça mes chevilles ne vont plus rentrer dans mes palmes ?) Votre chère et tendre 🤗
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La journée se finit sur un petit coucher de soleil, posée sur la jetée, la cacophonie des perruches en arrière plan.... (Et l'apparition de chauves souris à l'envergure plus longue que mon bras, c'est la version locale des pipistrelles)
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Je vous aime 💕
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lalignedujour · 1 year
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Les lumières s'éteignent. Les pensées s'apaisent. Les maisons s'étagent. Les baies se multiplient. Les rêves s'échauffent.
C'est ce moment juste avant le sommeil. Les rêves font la queue avant d'entrer en scène.
Il y a le rêve souvenir-reconstruit : on est à Florence, Émile est dans une poussette, on voit tout de son point de vue. Des personnes se penchent sur lui, et son papa lui donne une glace. Mais pas une glace de bébé, un cône vanille. Dans la réalité, Émile sait que ses parents l'ont emmené en vacances à Florence quand il avait 2 ans, mais il n'en a aucun souvenir.
Il y a le rêve érotique : c'est un mélange entre un interdit (genre la stagiaire des achats à peine majeure), une frustration (Jeanne, qu'il ne reverra plus, son amour arraché encore vert), et un idéal (ce visage doux de l'amour qui hante ses rêves depuis qu'il sait aimer, c'est le même visage). En bonus, il sait qu'il rêve, il peut se permettre toutes les pratiques qui lui passent par la tête.
Il y a le rêve fuite : des gens lui courent après pour le tuer, mais ça n'est pas un cauchemar, c'est plutôt un moment haletant et divertissant. Il court très très vite, il se voit se déplacer sur la carte, à travers les champs de maïs et les routes nationales. S'il court encore un peu plus vite, il vole. Il vole comme un drône. Il passe à travers les ouvertures des clochers. Et il bat fort des ailes, à s'en épuiser, autrement il retombe (parce qu'il est un humain, pas un oiseau, pour voler il doit consentir à des efforts sur-oiseaux).
Mais c'est le rêve fou qui passe devant tout le monde. Sans vergogne. Émile va se faire écraser par un cahier de coloriage, puis vivre aplati comme un clown, sauver Mme Cougnac (sa prof remplaçante d'histoire-géo quand M. Houillet avait été en formation) de virus du sida géant. Il les enferme dans une carrière de chevaux. Il retourne le lac gelé et se tourne vers sa prof (qui est devenue un canard), il lui retire son bec pour le manger, puis le lui rend. Puis le car arrive à destination, et il est obligé de descendre, alors il serre fort le canard (qui est devenu son frère). Il descend par la soute et il est en Afghanistan et les gens ont des têtes de bandes dessinées. C'est que des méchants qui tirent en l'air avec leurs kalach mais il ressent aucune menace. Il parle couramment néerlandais avec eux, et va naturellement se lancer dans le commerce de fruits séchés. Ça paraît à ce moment-là l'option la plus simple. Il pose une photo de sa femme sur son bureau (Julie, son crush de 3ème, mais sous la forme de Lucky, son chien d'enfance). Les kalachs retentissent, c'est super parce qu'il va jouer à son jeu préféré : le golf à pied. Il frotte ses doigts de joie, des ailes lui poussent dans le dos et dans une animation de dessin animé, il se téléporte sur un terrain de golf à pied. Il se met à cloche-pied et frappe la balle de golf du plat du pied (il est le club de golf). Un type à l'arrière-plan commente sa performance auprès de sa femme (sa vraie femme cette fois). C'est le prof de golf à pied. Il dit qu'Émile est le plus beau club qu'il ait jamais eu l'honneur d'entraîner. Un club de 9, peut-être même de 8 trois-quart (c'est mieux 8 trois-quart que 9). Sa mère apparaît dans un nuage avec une moue insatisfaite. Elle lui montre une photo de lui et Lucky prise dans un grand huit de fête foraine.
Qu'est-ce que tu veux faire contre ça. Il respecte rien.
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shameless promos because i put my souls into these fics Open my heart (let it bleed unto yours) by pendruning ^^ bucks trans, reporter deadnames him at work, a singular homoerotic buddie moment <3 Qu'est-ce que c'est? also by pendruning ^^ theres a bakery hen goes to whenever a member of the crew comes back after an injury... the bakery of course gets used to her visits <33 love the work ur putting into this fandom honestly, ive found some gorgeous fics as a result so thank you very much :)
Hi! Thank you! This was such a nice ask, i'm glad you've found fics you've liked thanks to this silly blog <3 Yours have been added to the queue! I hope people give them love too! <3
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