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#quiproquo
chicinsilk · 4 months
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"Ligne Naturelle L'Ovale"
Christian Dior Haute Couture Collection Spring/Summer 1951 Afternoon dresses, “Pantomime”, “Dordogne” and “Quiproquo”. Models Alla, Angélina and Lucky. Trip from the House to Italy to Venice in June 1951.
Christian Dior Collection Haute Couture Printemps/Été 1951 Robes d'après-midi, "Pantomime", " Dordogne" et "Quiproquo". Mannequins Alla, Angélina et à Lucky. Voyage de la Maison en Italie à Venise en juin 1951.
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chlcavalier · 2 months
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absencesrepetees · 1 year
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quiproquo (rose lowder, 1992)
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loiseau-lyre · 2 years
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Here is the third and last part of my Zucest Webtoon. I post the three together.
I struggle to find what drunk Azula told to her dumdum. Hope you like it.
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Also on Ao3
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lesparaversdemillina · 10 months
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plumedepoete · 1 year
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L'oiseau, le quiproquo - David Frenkel
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Comme beaucoup de ses concitoyens, Madame Antunes avait quitté le Portugal. Elle s’était installée à Genève et y vivait depuis deux mois. Elle n'avait eu aucune peine à trouver le poste qui lui convenait. De plus, un ami portugais qui avait ses entrées dans une importante régie de la place, lui avait trouvé un petit appartement. Afin de parfaire un français balbutiant, elle avait répondu à une annonce proposant des cours particuliers. Il s'était trouvé que l'annonceuse était sa voisine de pallier, Madame Chappuis. Un matin, Madame Antunes tomba sur celle-ci, elle avait l'air soucieuse et se pressait à l'étage.  ‒ Bonjour Madame Chappuis, où courez-vous comme ça ?  ‒ Je vais récupérer l'oiseau.  ‒ Ah bon ! Je ne savais pas que vous possédiez un oiseau.  ‒ Eh oui, et un oiseau de nuit en plus.  ‒ Ça existe ?  ‒ Bien sûr, il n'y a qu'à se promener dans certains quartiers chauds, et vous en verrez plein. Puis elle la planta là.        Madame Antunes resta clouée sur place, tant les propos de sa voisine l'avaient surprise. Pourquoi l'oiseau n'avait-il pas été en cage ? Et où avait-il bien pu se nicher ? Elle ne gardait quand même pas l'oiseau dans la salle de bain du studio ou dans les WC. Si oui, elle l'aurait entendu. Et c'est quoi les quartiers chauds ? se demandait-elle. La quinte de toux d'un vieillard se traînant vers l’ascenseur interrompit brusquement le cours de ses réflexions. Elle descendit avec lui et se rendit au troquet du coin pour avaler, comme chaque matin, son petit noir et lire les journaux. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, empruntant le chemin du retour, elle croisa Madame Chappuis flanquée d'un homme parfait sous toutes les coutures. Le front bombé, les yeux bleu ciel, la bouche fine au lèvres bien dessinées et la taille diablement bien proportionnée répondaient aux canons de beauté masculine qui faisaient florès en ce début du XXIème siècle. Madame Antunes, dont le visage sillonné des rides de la quarantaine reflétait une profonde personnalité, ne pouvait faire abstraction des rivalités entre femmes. Elle ne pu s'empêcher de pointer dédaigneusement ses petits carreaux sur sa voisine. La vénusté de celle-ci devenait pour elle transparente. Elle ne vit pas les cheveux d'or tombant gracieusement sur les épaules ; elle ne fut pas ébloui par les mirettes qui lançaient des éclairs de soleil à travers ce bistrot borgne et elle n'observa non plus la bouche coquine aux lèvres boudeuses qui semblait narguer les clients la regardant avec concupiscence.  – Alors, Madame Chappuis, avez vous retrouvé l'oiseau ?  – Oui, oui, répondit-elle évasivement.  – Allez ! Montrez-moi, le petit oiseau !  – Mais, je vous en prie, Madame, lui répondit le jeune homme, d'un air offusqué.        Un brin embarrassée, Madame Chappuis, pour se donner contenance, tira le jeune homme par le bras et dit d'une voix pressante : « Excusez-nous, le vieux hibou nous attend, nous devons l'emmener chez le médecin, on vous laisse. »        Interloquée, Madame Antunes se demandait si un esprit malin ne l'avait pas transportée dans un monde de fou. Elle regagna sa demeure en se traînant comme un zombie. Arrivée au bas de l'immeuble, elle trébucha sur une des marches de l'escalier menant à la porte d'entrée ; le concierge, qui était aussi d’origine portugaise, passait justement à côté d'elle avec l'aspirateur à main. Il la rattrapa avant qu'elle chute.  – Dites donc, qu'est ce qui vous arrive ? Vous me paraissez bien perturbée.  – Depuis ce matin, on ne me parle que d'oiseaux, c'est à se demander s'ils sont tous devenus, comme par magie, des hommes-oiseaux.  – Cela m'étonnerait car cela demande beaucoup d'entraînement, lui répondit pensivement le concierge.  – Alors, Madame Chappuis, elle s'est moquée de moi ?  – Non, non, c'est simplement une drôle de poule.  – Comment ça, une drôle de poule ? Mais, qu'est ce qui m'arrive ? se demanda Madame Antunes en se mettant la main sur le front avant de tourner les talons.        Elle monta chez elle en courant, se rua dans sa chambre, se jeta sur son lit, les mains à ses tempes et la tête enfouie dans un coussin. Soudain, elle sursauta, un moineau apeuré, qui était entré par la fenêtre ouverte, volait en tous sens en se cognant contre les murs et le plafond. Affolée, elle se précipita sur le pallier et cria : « Oiseau dans ma chambre ». Le concierge, qui s'apprêtait à passer l'aspirateur, la calma en lui disant. « C'est bon, je m'en occupe ». En moins de temps qu'il ne faut pour le dire,il guida l'oiseau avec un balai vers la sortie.  – Allez, Madame vous pouvez rentrer, le vilain moineau est parti.  – Je n'ai pas dit qu'il était vilain, mais il me faisait peur, renchérit-elle toute confuse. Je dois vous paraître folle, mais depuis ce matin, comme je vous l'ai dit, on ne me parle que d'oiseaux.  – J'espère que personne ne vous a donné des noms d'oiseaux, ne vous a insulté.  – « Insultar » ? Oh non, mais moi pas comprendre,vous me parlez d'une drôle de poule, Madame Chappuis cherche un oiseau de nuit et elle revient avec un beau jeune homme ; je lui demande de me montrer son petit oiseau, le jeune homme se fâche ; puis elle me dit qu'elle doit partir visiter un vieux hibou, et voici qu'un moineau arrive dans ma chambre ! Il y a de quoi devenir « tarès ». Le concierge se tenait les côtes. Il retrouva son sérieux que lorsque Madame Antunes éclata en sanglot, pensant qu'il se gaussait d'elle. Il l'entoura affectueusement de ses bras et lui dit :  – Vous savez, j'ai des yeux et des oreilles qui traînent dans l'intimité des locataires. Madame Chappuis est une drôle de poule, une mère qui protège beaucoup son enfant, elle s'inquiète s'il ne rentre pas à l'heure et qu'elle ne peut l'atteindre sur son téléphone portable. Le prénommé Robert travaille la nuit ; il fait partie du Groupe Sida Genève ; il circule en bus dans les rues où les gens vendent leur corps.Il les accueille et les aide à se protéger contre la maladie. Souvent, après le travail, il se rend chez un ami. La maman appelle son fils « mon oiseau », c'est un « termo afectivo ». Chaque matin, les deux rendent visite à leur cher vieux hibou, un monsieur qui a maintenant quatre-vingt-deux ans et est immobilisé dans une chaise roulante. Ils lui font ses commissions et lui servent parfois de chauffeur. Ils l'appellent ainsi parce que, lorsqu'il était plus jeune, il se tenait toujours à l'écart des autres personnes. La maman et le fils sont vraiment inséparables.  – Je comprends la maman, mais le fils, n'a-t-il pas une copine ?  – Il est de l'autre bord, comme on dit aussi en portugais « gay » il est gai comme un pinson lorsqu'il s'envole vers le joli merle.        Madame Antunes ne comprit pas la signification du mot pinson. Mais cela ne lui importait guère, car elle était agitée par un trouble exquis. Les bras qui l'avaient entourée avaient aussi ceint son cœur. Aussi l'invita-t-elle à prendre un café chez elle. Au fil du temps et de fils en aiguilles, gazouillant passionnément dans leurs demeures, le rossignol de Cupidon leur construisit un nid d'amour. Et les deux, transformés en tourtereaux se promenèrent le long de lendemains qui chantaient. Read the full article
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valalatine · 2 years
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"(...) Un cœur qui nous oublie engage notre gloire ;
Il faut à l'oublier mettre aussi tous nos soins :
Si l'on n'en vient à bout, on doit le feindre au moins ;
Et cette lâcheté jamais ne se pardonne,
De montrer de l'amour pour qui nous abandonne."
Valère dans Le Tartuffe, de Molière, 1669
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ardate · 6 months
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#just me rambling#badvibe#god. i feel so let down by my friends these days#it's been a billion things piling up for many many weeks#and right now i just got told by a friend with whom I was supposed to go to a convention that she forgot I was coming#so she won't be able to pick me up cuz she's going with her mom instead#we made plans for visiting that city in the morning before going to the convention and all.#i put it down in my agenda and moved plans around to accomodate for it. but she straight up...#entirely forgot i was supposed to be there#she forgot about me#and i'm SO. FUCKING DONE. ABOUT BEING AN AFTERTHOUGHT ALL THE FUCKING TIME#this is just too fucking much. between this and my childhood friend who acts distant w me ever since there was a dumbass quiproquo#where i have to fucking work hard everytime at creating a good atmosphere whenever we see each other cuz she wont put in that effort#and another friend who's been utterly ignoring me on purpose for some fucking goddamn reason i don't know why or what i did#ignoring me or being rude other times#all of those are just examples but its been so many things#i have been. SO fucking patient with everyone. ive helped them so many times too- sometimes to my own loss#i've been so kind and understanding despite my personal struggles - keeping my feelings of anger and injustice at bay#and i get what in response? i'm fucking. forgotten i guess. pushed aside. treated like a nuisance#i feel like its at the point where the closer they are to me the less effort they put in. cuz i'm a given now. they can treat me like shit#they treat strangers better than their close friend cuz they know i'll just take it. or smth. i'm a punching ball for bad moods#i'm done being the understanding one. what about that. what if others were the ones having to come to me and be kind instead#what if i was the one people coddled and offered sympathy to for once in my fucking life#idk. just fucking explode#i feel so disrespected. and uncared for#and so deeply unloved#i'm done. i'm done#the convention thing was just the fucking hammer to break my back after everything#i'm so deeply heartbroken#do i matter to the people i care about
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guesswhogotaname · 2 years
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HEEEEEE ÇA GROOVE SOUS LA CANICULE ?
Je publie enfin la suite de cet ✨AU multilanguage kt✨après un looooong moment d'absence (j'avais un peur de me répéter dans mes écrits et qu'on tourne en rond autour du fait que personne ne se comprend...) Et là je remercie tout particulière @miung-dreamer (cadeau pour toi ☀️💖) qui m'avait inspiré il y a un moment déjà l'idée de ce petit texte ! Voilà l'équipe, passez un doux moment et attention à la canicule (ou les orages) prenez-soin de vous!!
Nos ombres qui dansent.
C’était le soir d’une fête spéciale, exceptionnelle. 
Les domestiques et les cuisiniers avaient passé toute la journée à préparer un immense banquet. Tel un défilé ; les assiettes et les plateaux d’argent s’étendaient à l’infini, débordant de nourriture  des morceaux de viande juteux, des fruits et des légumes de toutes les couleurs, des colonnes de pâtisseries et bien évidemment, le meilleur vin qui puisse exister, arrivant expressément de Rome. L’intérieur de la grande salle de réception du château avait été décoré par les armoiries des différents tribus, et clans : message de paix et d’apaisement. Une musique joyeuse résonnait sur les murs de pierre. 
Les invités de ce soir venaient des Territoire du Nord. Ils commémoraient l’équilibre et l’unité des terres dans une quête commune et salvatrice. L’humeur festive enveloppait la demeure du Roi, tous étaient rassemblés en son nom et celui de l’harmonie neuve qui régnaient là où la guerre avait fait rage. Ils célébraient une nouvelle ère qui commençait. 
Et pourtant Arthrhy était préoccupé. Son visage était fermé dans une expression ombrageuse, sa main ne quittant jamais le pommeau de son épée. 
Il marmonna, la mâchoire crispée par une colère sourde, une anxiété grandissante. 
« Non mais, une idée à la con, j’vous jure… » 
« Ah pas faute de vous avoir prévenu… » lui répondit le seigneur Léodagan, assis à sa droite comme toujours, levant les épaules en évidence. « L es Pictes c’est un toujours un merdier à gérer, surtout quand les Orcaniens sont dans le coin… » 
Une seule erreur diplomatique et la paix durement conquise était brisée.Certaines querelles n’avaient pas été entièrement réglées  le royaume d’Orcanie et les tribus nomades Pictes, d’anciens ennemis, devenus alliés par obligation et non par nécessité. Une tension épaisse et électrique régnait dans la salle. 
Le refus du roi Loth de venir à cette soirée s’était fait savoir par la reine-guerrière. Elle avait rassemblé sa garde, ainsi que les hautes figures auprès d’elle, et elles lançaient des regards furieux et indignés aux invités décorés de la bannière d’Orcanie. 
Dame Séli parlait longuement avec elles ; essayant de les convaincre de ne pas agir imprudemment. 
Arthrhy se méfiait de la véhémence de ces habitants ;  il les connaissait grâce des récits de bataille et d’études. Parmi les autres celtes, les Pictes étaient considérés comme des païens, vénérant des Dieux très anciens, discutant dans une langue incompréhensible, oubliée. Il y avait des rumeurs terribles sur ces gens  des guerrières sanguinaires au pouvoir magique puissant, un peuple toujours au bord de la révolte. Les Pictes avaient repoussé les Romains, avaient refusé de s’agenouiller devant la Croix. Ils s’en moquaient de l’épée de flamme, ou des prophéties qui proclamèrent Arthrhy Roi des Rois. Ils ne partageaient pas les mêmes croyances. 
Leurs cheveux longs étaient parsemés de tresses, d’ornement de plumes et de pierres scintillantes. Leurs corps couverts de tatouages à l’encre bleue qui représentaient des symboles, sortilèges de force, de pouvoir, de protection, les emblèmes de leurs tribus respectives. 
« Si jamais la garde picte décide de se foutre sur la gueule avec les Orcaniens, on est sacrément dans la merde. Vous risquez de vous faire détrôner salement. » Souffla ennuyé le Roi de Carmélide, masquant mal son inquiétude et sa nervosité. 
« Merci du soutien beau-père… »
Arthrhy les observait méticuleusement, comme on surveille un animal sauvage, dangereux, du coin de l’œil dans l’attente de l’attaque, de l’embuscade. 
Et puis, soudainement, la lourde porte s’ouvrit brusquement. 
La délégation picte se leva, alertée par le bruit, prête à se défendre. Les Orcaniens tournèrent leurs têtes vers la seule possibilité de sortir, craignant voir des guerrières surgirent par milliers. Arthrhy retient sa respiration, sa main attendant l’ordre de dégainer son épée. 
Mais aucun hurlement d’attaque pour interrompre les festivités. C’était la Reine qui entra, sereine et souriante. Elle se dirigea rapidement vers les dames Pictes. Elle  les salua chaleureusement les unes après les autres dans cette langue avec des sons venant des profondeurs de la terre, mais aussi légère que le souffle du vent, une mélodie invraisemblable, magique. L’atmosphère se transforma.
Peut-être que les mots de son épouse apaisaient les craintes des guerrières, calmèrent leurs envies de vengeance, et prônèrent les idées de la paix. 
Arthrhy était médusé, son regard ne pouvait se détacher d’elle. 
Sa femme qu’il croyait incapable de diplomatie, idiote aux arts de la conversation, maîtrisait parfaitement la situation parmi les siennes. Elle leur offrait une confiance aveugle et sincère. Et les Pictes qui se sentaient menacées étaient rassurées en voyant une alliée  du même sang, de la même famille. La Reine ne montra aucune peur, aucune mauvaise intention, alors les guerrières l’appelaient « Vanora »  elles s’inclinaient, touchaient ses cheveux, ses vêtements ; comme une déesse, une créature féerique et bienveillante. Elle leur offrait une preuve de bon augure. 
« Regarder ma fille, une vraie princesse picte, moi je vous l’dis. » Avoua le seigneur Léodagan avec une immense fierté, Arthrhy avait presque cru apercevoir un sourire au coin de ses lèvres. 
Sans préambule, avec un groupe de femmes, la Reine se mit à se remuer en riant joyeusement. Elles dansaient en ronde autour d’elle, chantant avec des mots inconnus, et des mouvements étrangers aux coutumes d’ici. 
Ghenifar portait une robe pourpre, ample, sertie de broderie au fil d’argent. Arthrhy était fasciné par les volants du vêtement de son épouse, qui virevoltaient dans l’air, léger et souple, ses cheveux sombres tourbillonnant autour de son visage, dévoilant quelques perles blanches parsemées parmi les mèches brunes. Elle avait toujours aimé danser lors des banquets. Elle semblait glisser de main en main, ses yeux mi-clos, et un sourire radieux sur ses lèvres roses. 
Mais le Roi fut vite sorti de ses rêveries en entendant des cris, semblable aux hurlements des loups. Les soldates Pictes frappaient une pulsation vive sur leurs plastrons de cuir, et la ronde autour de la Reine devient plus rapide. Elles se mirent à fredonner d’une voix bizarrement aiguë, et riaient à gorge déployée. 
Au milieu de ce vacarme  ; sa femme dont les joues étaient plus rouges que le vin dans les coupes. Les autres conviés semblaient s’amuser de ce jeu ; ils battaient le rythme avec les couverts sur les tables, ils rejoignaient les guerrières dans leur hilarité, et chantaient des mots qui ne ressemblaient à rien aux oreilles d’Arthrhy. 
« Qu’est-ce qu’il se passe encore », s’interrogea le Roi. 
« Oh vous allez comprendre bien vite… » Lui répondit son beau-père, ne contenant pas la malice dans sa voix. 
Ghenifar s’avança vers lui, toujours accompagné par les acclamations des invités. 
Ses joues étaient en feu et elle se mordait la lèvre inférieure dans un geste nerveux. Elle inclina la tête devant son Roi, respectueusement, son silence timide, et ses yeux pétillants d’une émotion qu’Arthrhy n’arrivait pas à lire complètement. 
Arthrhy se leva de son trône, presque peiné de voir son épouse dans cet état sans y comprendre la raison, et ce geste provoqua un mouvement dans la foule, des applaudissements et des rires. 
« Mo thighearna… » Elle lui dit, sa voix aussi petite que possible, un murmure à peine audible. Elle n’osait pas rencontrer le regard de son mari, elle fixait le sol comme si les secrets de l’univers y étaient inscrits. Il reconnut le noble titre qu’elle lui adressait. Ghenifar lui parlait toujours de cette façon profondément respectueuse, une politesse extrême, mettant la distance raisonnable entre eux. Elle ne l’avait jamais entendu l’appeler par son prénom. 
« An gabhadh tu dannsa còmhla rium » elle demanda, et la foule cria de joie, les couverts tambourinèrent plus fort sur les tables. Des clameurs de victoire accompagnaient les chants amusés des convives. 
« C’est quoi vos conneries  ? Attention, j’suis pas du tout d’humeur à… » Arthrhy foudroya Léodagan d’un regard, l’obligeant à faire office d’interprète. Il n’avait aucune envie de jouer les devinettes ou de comprendre ce dialecte rugueux du Nord. 
« C’est une tradition picte, j’ai eu le droit au même bordel à mon mariage… » articula le roi de Carmélide entre deux éclats de rire. 
Ghenifar prit le bras d’Arthrhy, attirant enfin son attention vers elle. 
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, comme un oiseau essayant de sortir de sa cage. Elle passa sa langue sur ses lèvres sèches, cherchant les mots en brittonique qu’elle avait appris pour lui faire comprendre sa demande. Arthrhy ne put s’empêcher de baisser les yeux, suivant le mouvement de cette langue, presque imperceptible, complètement innocent, mais il eut l’impression qu’un feu brûlait sur ses joues. 
« Vous, dansez avec épouse »
Le Roi resta muet, interdit. 
Encore une tradition barbare et absurde. Il détestait danser. 
Il chercha déjà un moyen de refuser poliment son invitation ; lui explique sans faire offense. Mais il se rendit compte bien rapidement du silence assourdissant dans la pièce qu’il ne pouvait d’accepter. 
Elle espérait, le souffle court, ses yeux brillants, et il se demanda si elle l’avait toujours regardé comme ça, avec autant de dévotion et de désarroi. Tous attendaient la danse du Roi et de la Reine, le couple seigneurial qu’ils formaient, l’illusion d’un amour pur, chaste, exemplaire. 
Masquant mal son malaise, Arthrhy posa sa main sur la sienne. 
« Bon bah, allons-y alors… » 
Il l’entraîna au centre de la pièce sous les yeux de tous. Il n’avait aucune idée de la sorte de danse qu’elle attendait, il ne connaissait pas les coutumes de ses origines. Il répéta les gestes qu’on lui avait appris, une autre femme dans un pays en ruine, un souvenir lointain maintenant qui semblait appartenir à une vie passé. Il se rappelait dans la cour de la villa, le soleil sur sa peau, le chant des hirondelles, l’odeur du miel, la paume d’Aconia posée son épaule, ses yeux d’ébène pénétrant, hypnotisant. Il pouvait presque entendre la chanson qu’elle fredonnait du bout des lèvres pour donner le rythme.
Mais ce soir, ce n’était pas Aconia dans ses bras, mais Ghenifar ;  sa main gelée dans la sienne, et l’autre, maladroite, contre sa clavicule, et peut-être pouvait-elle sentir le sang pulser dans ses veines. 
La musique changea, une mélodie joyeuse, pleine d’espoir et de promesses. Ils effectuèrent ensemble les premiers pas, le corps de sa femme suivant attentivement ses mouvements. Jamais ils n’avaient été aussi proches. 
Il pouvait détailler les mystères de son visage  ; la courbe de son nez, ses cils voilant ses iris noisette, la forme de sa bouche, cette teinte rosée sur ses joues. Elle gardait son regard figé sur son médaillon, elle n’avait pas l’audace de lever les yeux vers lui.
« Vous ne vous débrouillez pas trop mal. » Il murmura, se pencha vers son oreille pour lui confier ce secret. C’était un geste fou, démesuré, mais il n’avait pas pu s’en empêcher. 
Elle sursauta contre lui, surprise de ce rapprochement étrange, tendre. Elle redressa la tête, ses pupilles tremblaient de ce sentiment immense et innommable qui grondait en elle.
« Vous être pas trop mal non plus. » Elle lui répondit avec un demi-sourire, discret, effronté. Son accent faisait vibrer les mots dans sa bouche, comme un sortilège. 
Et elle s’éloigna de lui, quittant ses mains et ses bras. 
Les clameurs redoublèrent de force et les mélodies s’élevèrent avec entrain. Dans un éclat, la musique changea de nouveau, une cadence endiablée, les tambours résonnaient dans sa cage thoracique, la harpe s’arrangeant étrangement bien avec la guitare et le souffle des bombardes. 
Il resta les bras ballants, incapable de bouger, les yeux rivés sur sa femme. 
Elle virevoltait, les pans de sa robe dévoilant légèrement le haut de ses chevilles, sa peau laiteuse, elle ressemblait à un mirage, à une apparition divine, ses hanches qui ondulaient sous le rythme des applaudissements et des chants. Elle tournait, et sa voix s’envola, limpide et mélodieuse, dans cette langue indéchiffrable qui appartenait à une tribu lointaine et secrète. Rayonnante de son sourire espiègle, petite princesse indomptable et sauvage, trop jeune pour le devoir qu’on lui imposait, le rôle qu’elle devait supporter. 
Elle revient vers lui, plus proche que jamais, leurs corps entrants en contact, comme un coup de tonnerre qui déchirait le ciel. Elle riait, son regard ne quittant jamais le sien  pétillant de cette passion destructrice qui pourrait tout ravager, déclencher des guerres et mettre le monde des hommes à feu et à sang, cette émotion si pure, si intense. Sa femme, la sienne, devant les dieux anciens et le nouveau, comblée et amoureuse.
Il eut soudain une pensée épouvantable qui le transit d’angoisse, car à cet instant il voulait franchir cette frontière, briser son serment, et adorer cette femme, la rendre heureuse.
C’était une idée déraisonnable, délirante, impossible. Il était terrifié, des fourmillements dans ses doigts, ses genoux ne demandaient qu’à se prosterner devant elle. 
Sa compagne se déposa lentement au sol, la tête gracieusement inclinée. Arthrhy se dirigea vers elle, conduit par une volonté autre. Son cerveau complètement vide, ensorcelé par cette danse et le chant de Ghenifar. Il ignorait lui-même ce qu’il allait faire une fois proche d’elle. 
Il tendit le bras pour qu’elle puisse se relever. La foule applaudit, sifflant de bon cœur. 
Ghenifar leva les yeux vers lui, et il était comme foudroyé par la tendresse, la dévotion qu’il recevait. Il en était parfaitement indigne. 
Il déposa un baiser sur sa main, et la terre s’arrêta de tourner. 
Les étoiles brûlaient dans le ciel, mais aucun feu n’était comparable à celui qui étincelait dans les yeux de Ghenifar. 
Ils restèrent peut-être un millième de seconde de trop à se regarder l’un l’autre, un moment d’oubli où Arthrhy n’était plus prisonnier de Rome et de ces fantômes. Juste une seconde suspendue, perdue. L’idée terrible de lui voler un baiser naquit dans son esprit. Il sentit ses oreilles brûlées, et une bouffée de chaleur le força à se racler la gorge avant de prononcer le plus respectueusement possible.
« Merci ma Dame. »
Ghenifar comprit, aucune des langues qu’elle connaissait ne pouvait l’aider à trouver une réponse. Elle espérait que ses yeux pouvaient parler à sa place. 
Arthrhy n’arrivait pas à lâcher sa main, alors il l’emmena avec lui vers son trône, sans rien dire. Il marmonna pour lui-même « C’est mieux comme ça… Les gens sont contents et puis voilà… » C’était des excuses, des mots sans importances. Arthrhy préféra ignorer le regard étonné de son beau-père, il voulait sentir la chaleur de la paume de sa reine contre la sienne. C’était grisant, merveilleux, terrifiant. 
Ils passèrent le reste de la soirée l’un à côté de l’autre, et les invités auraient pu croire que le Roi était véritablement amoureux de son épouse. Ils ne se parlèrent pas plus que ça, juste main dans la main. Arthrhy était agglutiné à son trône, enseveli sous des conversations diplomatiques stériles et il buvait le vin des Romains pour apaiser le dessin des hanches de sa femme qui ondulaient sous la musique. Ghenifar l’admirait du coin de l’œil, un sourire ravi qui ne quittait pas son visage. Ses amies d’enfance venaient la voir, riant avec elle, et complimentant sa danse et son chant. Elles parlèrent dans leur langue mystérieuse du nouveau Roi. 
Parfois, par inadvertance, leurs regards se croisaient, et la foule devenait nébuleuse, une masse informe, irréelle. Le brouhaha incessant se dissipait, ne laissant place qu’aux battements de leur cœur. Elle lui souriait toujours, comme s’il n’existait que lui parmi les ombres sans noms, avec cette même tendresse débordante, cet amour plein d’espoir. 
Il avait une furieuse envie de l’amener danser encore ; qu’elle puisse tourbillonner et que son rire fasse fuir les démons et la colère. Mais il n’en fit rien. Il était un lâche, un idiot. La douleur et le désir tenaillaient ses entrailles ; il n’arrivait pas à maîtriser l’ardeur de son regard quand il la contemplait, et pourtant tout son corps était victime d’un poids terrible, immobilisé sur son trône. 
À un moment, il oublia ses promesses, ses devoirs, et ses idées contraires. Il se pencha vers elle, et il murmura pour qu’elle seule puisse à le comprendre. 
« Je suis content d’avoir dansé avec vous. » Le sourire de sa femme était si radieux qu’il aurait pu en tomber amoureux. « Vous… Vous êtes une excellente danseuse. » Il rougit violemment comme un gamin en entendant l’ardeur de ses propos. 
Ghenifar eut un joli rire, pétillant, sans moquerie ni malice, juste une joie pure et sincère. 
« Merci. »
Arthrhy, bêtement heureux de ce moment de bonheur que le destin lui accordait. 
Si gouverner l’impétueuse et divergente Bretagne était son fardeau, celui d’être un époux n’était pas aussi horrible qu’il l’avait imaginé… Peut-être qu’il pourrait s’y habitué ?
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le-journal-catalan · 3 months
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OMAC Torreilles : Une soirée au théâtre
Le vendredi 16 février, nous aurons le plaisir de recevoir la troupe “HuiThéâtre” pour une représentation de la pièce de théâtre “La fin du monde” de Sacha Guitry. Cette pièce relate avec humour les aventures du duc de Troarn et de ses amis, prêts à tout pour garder le château de ses ancêtres. Quiproquos et personnages haut en couleur seront à l’honneur pour une belle soirée en perspective. A…
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kurp-stuff · 3 months
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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k-looking-glass-house · 8 months
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The wedding tailor~
As I already said once, when Mister Crewel doesn't make some outfits (which actually never happen...seriously Cruella!!), K is the one doing the job!!
You know the groom edit collection in collab with my dear @twiwoncrackpopcorn !! Thanks them, they were the one coming up with the idea and the special click and drag game...
Well in my lore, K is the one who designed most of them!! And gave everyone perfect groom outfits after the event....a bit too late... But fashion doesn't wait... neither some fanservice!
She is also the one who sew Idia's suit, as she never question people when they asked her an outfit, except size color and so on! She would be like "Sorry, not sorry Idia hn!! But you are so handshommeee!"
She also sew the rescue team groom's outfits, but greatly questionned back then Sam's taste on some patterns, as it was either truly "avant-gardiste or old fashioned". But told him if he already knew about the issue, since he asked her to sew them a month ago out of nowhere...
She was officially presented to the current NRC's chara cast during this event!
She clearly sided with Riddle and Epel about "their size don't matter" as she is 148 cm without heels... Which make Riddle feels super tall....
She tried to sell all Sam's good part to Eliza, as Mister Crewel failed without even trying, but she got engrossed in a quiproquo!
K: Sam is the besht!! Princessh, you'll get 3 no 4 to 5 meals a day, with pocket money!! Lot of free time! Good clothes and headpat!! A warm bed with fresh clean sheets! And champagneeee!! Marry Shaaaamm! Eliza: ...How do you know that my dear, sounds indeed very lovely? K: Becaushe Sam treats me like this!! Everyday, all time I am sho spoiled *dummy smile*! *NRC cast* facepalm mentally or not: That rabbiiiiit is no good either! Eliza: Awww my, you are his wife I seeee, how lovely! K *flustered*: *turn to Sam* Am I your WIFE?? *sparkle* Sam: Of course NOT!!!! K *turn to Eliza*: I am NOT!! Sam: Whyyy do you evennn ask.... *facepalm* Eliza: Ah ah, young weds are so shy, Idia darling we'll be the same!! K: Hihihi hihihiii congratulations!!! I am the rabbit who shew your hushband suit! Idia: Arwwwghhhhh HELP HELPPPP the rabbit was also an enemy since the beginning what a shojo-ish plot twist! Sam: Da*n.... I could have the princess ghost under my care... I mean saved the blue flamme kooni-chan! Divus: She didn't even look at me.... and think Sam is married and is a good husband......*depressed* I am not paid enough... *hugging dogs*
Eventually she was ready to put a forbidden love potion in the wedding champagne cup of Eliza to make the mission successful!
She kept trolling Crowley about why doesn't he also help and seduce the bride! And to save his dignity he graciously paid 3 times the prices for all her fashion design work, which made her silent and happy!
Ultimately she ends up with real K drinking champy and singing "kiss her, kiss her!"
K is heavily inspired by Paris "belle epoque"! Her outfit is part of Ann Demeulemeester F/W19 Women's collection (totally inspired... I was in love back then)
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K the rabbit with real K (Cass') ready to drink Champagne I mean save Idia.... More like come on boys let's catwalk on those outfits!! Now turn....ah yes roll on the floor!!!
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luminiera-merge · 5 months
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The Music of Evangelion 3.33
HIIII they got wiped recently but i have playlists of the soundtracks from each eva rebuild movie in the order they're played in the movie. i did the 3.33 one from memory and while there IS a site dedicated to "where does this song play in the show/film?" (tunefind) it's not great and it's owned by songtradr so i'm making one of my own.
for now, here is each song featured in Evangelion: 3.33 You Can (Not) Redo, in the order they appear in and where they play! the first three are there to show the structure. they all have links to the song too!
Bataille d'Espace [Movie Version]: EVA-02' retrieves EVA-01 in space.
God's Message [Movie Version]: Asuka is blindsided by the Mark.04 and holds on for dear life.
Quiproquo 131 (2 pianos) [Movie Version]: Shinji is wheeled to the bridge of the Wunder.
Serenity Amongst the Turmoil [Movie Version]: Misato plans her move against the Nemesis series.
The Ultimate Soldier [Movie Version]: EVA-02 is deployed.
Dark Defender [Movie Version]: The Wunder powers up.
The Anthem [Movie Version]: The Wunder reaches critical power and destroys the Nemesis series.
Quelconque 103 (piano) [Movie Version]: Ritsuko and Sakura brief Shinji.
Quiproquo 83 (2 pianos) [Movie Version]: Asuka tells Shinji it's been 14 years.
Out of the Dark [Movie Version]: The Mark.09 and Rei escape with Shinji.
3EM11_QuatreMains_E_03_mx3*: Shinji sees Kaworu playing piano, but quickly moves on.
L'Apôtre de la Lune (2 pianos) [Movie Version]: Shinji explores the ruins of NERV HQ.
Thème Q (guitare) [Movie Version]: Shinji talks with Rei-Q in her "room".
3EM14_Piano_Adlib_44*: Kaworu and Shinji meet at the piano.
3EM15_pre*: Kaworu convinces Shinji to play piano with him.
3EM15_QuatreMains_Fun_07_edit_B*: Shinji and Kaworu's first duet.
Quatre Mains (à quatre mains) [Movie Version]: Shinji's second duet with Kaworu.
Qui veut faire l'ange fait la bête (piano solo) [Movie Version]: Shinji stargazes with Kaworu.
Quiproquo 140 (piano) [Movie Version]: Shinji expresses worry about the fate of New Tokyo-3.
Trust [Movie Version]: Kaworu brings Shinji outside to tell him the truth.
Long Slow Pain [Movie Version]: Fuyutsuki tells Shinji about NERV.
Quelconque 56 avec A4 (2 pianos plus) [Movie Version]: Shinji struggles to process everything.
3EM21A_QuatreMains_G*: Kaworu's piano flourish before the mission begins.
L'Apôtre de la Lune (orchestre cordes) [Movie Version]: Shinji refuses to pilot Unit-13, but is convinced by Kaworu.
Return to Ash [Movie Version]: Unit-13 and the Mark.09 descend into Central Dogma.
It will mean Victory [Movie Version]: Asuka and Mari vs Shinji, Kaworu and Rei-Q.
Betrayal [Movie Version]: Shinji locks Kaworu out and pulls out the spears.
Scarred and Battled [Movie Version]: Rei-Q frees the 12th Angel.
From Beethoven 9: Unit-13 begins Fourth Impact.
The Wrath of God in All its Fury: Fourth Impact; EVA-02' engages the Mark.09.
Kindred Spirits (Thème Q) [Movie Version]: Kaworu tells Shinji not to be sad.
Tout est Perplexe (Thème Q) [Movie Version]: Kaworu dies.
God's Gift [Movie Version]: Fourth Impact ends and Mari rescues Shinji from Unit-13.
Sakura Nagashi: Credits theme.
Peaceful Times (choeur) [Movie Version]: Evangelion 3.0 + 1.0 teaser with the "Unit 08+02".
*Not available in the widely available commercial soundtrack release.
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coolvieilledentelle · 11 months
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir à ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...  
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lesparaversdemillina · 11 months
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