Tumgik
#relation mère-fille
emmarousil · 13 days
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Super début de journée (non)
Je me lève, normal, comme tous les jours. Ma mère : "Bonjour, bonne fête !"
Moi je ne comprend pas, logique. C'est pas mon anniversaire ou tout autre truc du genre. Du coup je fais la tête je-comprend-pas-ce-que-tu-me-dis-la.
Donc ma mère continue : "Bah oui, c'est la fête des Emma aujourd'hui !"
J'adore la vie.
C'est le genre de truc, habituellement je m'en fous complètement. Mais malgré ma forte insensibilité et fort manque d'émotion, ah venant de ma mère ça fait bien mal quand même. C'est ce que j'appelle une "fissure dans ma glace". Il n'y a que deux personnes qui peuvent me faire mal, ce sont ma mère et ma sœur de cœur Rousil (pseudo hein).
Plus sérieusement, je devrais lui dire que je suis trans. Mais pour le moment j'en suis incapable. C'est pas sa faute si elle dit ce genre de trucs par rapport à mon deadname, mais c'est de sa faute que j'arrive pas à lui dire.
Elle s'est foutue de ma gueule une fois, pas deux.
Je ne sais plus quand, elle avait regardé le téléfilm "Il est elle" (du coup c'était quand il est passé à la télé). Moi c'est dans le sens inverse, mais je me suis dit "elle regarde un truc sur les trans sans rien dire de négatif, c'est bon signe !", rien de mieux pour mettre en confiance.
À ce moment la, j'assumais ma transidentité seulement IVL et avec ma sœur. Je l'avais vaguement dit à mes amis au collège en 3e, sans demander un quelconque changement de comportement par rapport à moi (changement de prénom ou de pronom etc). Il n'y a qu'aujourd'hui que mes amis IRL sont au courant et s'adressent à moi avec mon nouveau nom. Je pensais que ce serait mieux si ma mère était la première personne à savoir (IVL c'était une sorte de "test", pour me rassurer, sans oublier que pendant longtemps j'étais un peu transphobe envers moi-même) et qu'elle pourrait donc choisir mon nom. Seulement quelques mois après le téléfilm (car je manque beaucoup de courage) j'ai fini par lui en parler. Sur le moment elle n'a rien dit, elle était juste gentille. Je me suis dit que c'était bon. Mais quelques jours plus tard, elle se met en colère contre moi et dit que si je lui avait dit que j'étais transgenre, c'était un mensonge pour lui faire pitié, pour pas qu'elle me punisse etc. Je n'ai pas trop compris la logique mais elle ne m'en a jamais reparlé après. Il n'y a que cette année, je ne sais plus quand exactement, je lui ai dit que ça m'avait blessé alors qu'elle disait que j'étais méchant avec elle (alors que je prend bien soin de ne rien lui dire de blessant, contrairement à elle). Elle a fait mine de pas s'en souvenir (je ne sais pas si c'est vrai ou non je ne suis pas dans sa tête) et s'est excusée. Elle m'a demandé l'air inquiète si j'avais encore des "doutes" (alors que quand je lui en avait parlé je lui ai jamais dit que j'avais des doutes, mais que j'étais bel et bien transgenre mais bon...). Je sais pas pourquoi j'ai bloqué, et je lui ai dit que j'étais cisgenre et qu'il n'y a aucun problème. Comme je lui avait avoué ça durant une dispute, j'avais peur qu'elle aie la même réflexion.
Depuis je suis complètement bloqué, je n'arrive pas à lui dire. Je sais même pas comment je devrais faire. Je ne sais pas comment ça va finir.
Mais bon pour avancer faut bien que je lui dise ? mais je sais que je vais pas le faire à moins qu'il arrive quelque chose de grave ou une "illumination".
Je vis seul avec ma mère, personne pour m'aider.
Ma petite sœur de cœur qui m'aidait beaucoup soutenu a déménagé, on ne se parle plus que par messagerie. Son soutient via messagerie est... beaucoup moins utile ? Elle fait de son mieux, mais j'aurais besoin d'elle à côté de moi.
Je ne connais personne de transgenre IRL, et IVL je n'ose pas embêter mon amie transgenre avec ça.
Mon père n'est pas méchant, mais il vit loin et n'a pas de téléphone portable. Pour le contacter je devrais appeler sur le fixe, et donc parler à mes grand parents avec lesquels j'ai coupé les ponts car toxiques (car mon père est un Tanguy XD). C'est dommage car c'est quelqu'un de compréhensif, même quand il a découvert via GTA (oui le jeu) que j'étais "lesbienne" (je raconterais ça plus tard c'était hilarant XD). du coup ça fait plusieurs années que je ne peux plus lui parler.
Mon ancien demi grand frère nous a abandonnés il y a longtemps en nous piquant de l'argent. Je sais même pas s'il est vivant mdr.
En bref, je vis seul avec ma mère qui n'a confiance en moi que parce que "je suis une fille", et qui a peur dès que j'ai un comportement trop masculin. Comment je devrais faire moi, pour lui dire que je suis du même genre que tous ceux qui lui ont pourri sa vie ? Même moi je ne me comprend pas, alors elle...
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Valérie Fayolle - La robe de
Présentation du roman de Valérie Fayolle, La robe du jaguar, sur le cheminement d'une femme et sa famille au cœur de bouleversements écologiques.
jaguar La robe de jaguar est la métaphore qui permet à Valérie Fayolle d’illustrer le moment, souvent fugace, où l’harmonie entre soi et l’environnement est accomplie. Rose, quarantenaire, va la découvrir au fin fond de l’Amazonie. Un roman mené tambour battant autour d’un personnage féminin captivant qui aborde aussi des sujets graves et d’actualités. “Les cours d’eau sortent bien de leur lit.…
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hcdahlem · 14 days
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Les âmes fragmentées
Avec cette incursion dans la science-fiction, Charlotte Monsarrat raconte comment dans le futur on exploite les souvenirs des disparus, extirpés de leur cerveau. Une technique qui a cependant ses failles. Alors on bascule dans le thriller intense.
    En deux mots Véronica réalise des “filmémoires” à partir des souvenirs de personnes décédées. Mais quand elle reçoit un enregistrement pirate la mettant en scène avec un homme recherché par la police, elle comprend que sa mémoire n’est plus intacte. Avec l’aide de Rémi, sa compagne, elle va chercher à comprendre comment cela a pu arriver. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique J’ai la mémoire…
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suzannebelairworld · 2 years
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L'influence d'une mère
L’influence d’une mère
Ding Dong! La sonnette du côté retentit à 9 heures précises en ce matin d’été. Ma mère disait qu’il était impoli d’aller chez des amis avant cette heure et tout le monde suivait cette règle. Image d’arrière-plan par Sasin Tipchai sur Pixabay Cet été-là, maman avait décidé que ma sœur et moi étions assez vieilles pour manier les aiguilles et les ciseaux par nous-mêmes et s’était engagée à nous…
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lebibliocosme · 2 months
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La maison aux pattes de poulet
Titre : La maison aux pattes de poulet Auteur : GennaRose Nethercott Éditeur : Albin Michel Date de publication : 2024 (janvier) Synopsis : Séparés depuis l’enfance, Bellatine et Isaac Yaga pensaient ne jamais se revoir. Mais lorsque tous deux apprennent qu’ils vont hériter leur grand-mère ukrainienne, frère et sœur acceptent de se rencontrer. Ils découvrent alors que leur legs n’est ni une…
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georgettelahaine · 2 years
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Disons le sans détour, j'ai pris beaucoup moins de plaisir à lire ce second roman de VG. Une histoire plus classique et un dénouement décevant. J'ai trouvé le profil des héroïnes trop caricatural : Anna , maman isolée et divorcée qui galère à joindre les deux bouts ( OH MON DIEU sans homme dans sa life pour la sauver ), une grande ado Chloé amoureuse d'un Kevin tocard qui lui envoie des dick tip, et Lilly la petite dernière qui souffre de ses années collège. Anna malgré ses dettes et son renvoi va emmener ses filles voyager à l'autre bout de l' Antarctique à bord d'un van. L'écriture est toute aussi légère puisque c'est un roman polyphonique et l' on passe aisément d'un point de vue à l' autre ( niveau de langage, néologisme et faute d'orthographe compris). J'ai quand même trouvé le ton mièvre et il y a carrément des passages où je me suis ennuyée. Dommage... car il y a un réel combat à travers cette épopée. Anna cache un lourd secret et la tension arrive à monter au fil des étapes du voyage jusqu'à sa découverte qui fait complètement retomber la structure narrative et émotive du livre. Dommage.
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anastasianox · 2 years
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CELLE QUI CRIAIT AU LOUP de Delphine Saada ★★★★☆
Description: “Quand les filles parlent d’elle, tout bas, entre deux portes, elles disent qu’elle est fière et hautaine, aussi belle qu’une lumière froide. On a rien contre elle, qui peut avoir un truc contre Albane, elle est parfaite ? Faut juste reconnaître que c’est pas normal de passer autant d’années à travailler avec une personne sans rien savoir d’elle.” Albane est une infirmière modèle,…
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jefaiscequejepeux · 6 days
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Taleur j'étais de bonne humeur je me suis dit je vais appeler mon petit papa (car normalement c'est toujours lui qui m'appelle) et en fait l'appel m'a grave déprimée parce que j'entendais les enfants de la fille de ma belle-mère qui jouaient derrière car il était chez elle et puis il me parlait pas trop fort un peu en mode ça me gêne de parler (parce que j'ai pas vu ma belle-mère ou ses filles depuis 12 ans donc clairement le rappel de mon existence est forcément un truc un peu tabou). Et donc en raccrochant j'étais pfff trop bizarre mon père avec sa vie parallèle là puis après je me suis dit qu'en fait c'était moi et mon frère sa vie parallèle parce que son quotidien depuis 30 ans c'est avec ma belle-mère et ses filles et nous quand on y allait encore pendant 18 ans il nous voyait au max 2 week-end par mois mais on se sentait pas vraiment chez nous et puis depuis 10 ans on le voit genre 1 soirée toutes les 3-4 semaines. Alors c'est quand même pas le pire des pères il nous appelle 2 à 3 fois par semaine, il se déplace pour venir, il se rend dispo au max pour être là pour nous si on a besoin de lui, etc. et vu l'état des pères de famille de manière générale (la barre est au sol mdr) j'apprécie d'avoir un père qui se soucie beaucoup de moi et me le prouve souvent. Mais malgré tout ça, je trouve ça si bizarre de faire des enfants et puis ensuite de quasiment jamais vivre avec eux. Il a juste vécu avec mon frère jusqu'à ses 4 ans mais quand moi je suis née le type s'est barré et ça me tue de jamais avoir vécu de moments du quotidien avec mon père jamais de sa vie le type m'a emmenée à l'école c'est une dinguerie je pleurais énormément par rapport à ça quand j'étais petite mon papa me manquait tout le temps j'étais jalouse de le voir aussi peu et que ma belle-mère et ses filles puissent le voir autant au quotidien et chepa moi ça me tuerait de faire un gosse et de perdre tous ces moments là avec lui j'aurais trop honte je trouve que c'est grave du gâchis. Évidemment quand t'es divorcé t'es bien forcé de renoncer à des trucs mais voir mes gosses 4 jours par mois perso je trouverais ça claqué au sol. Surtout qu'il s'est mis avec une femme horrible donc l'ambiance chez lui était affreuse j'étais tendue comme un string donc les seuls moments que j'ai passés avec lui j'étais genre pas du tout moi-même, mon objectif c'était qu'on oublie que j'existe et d'effacer ma personnalité au maximum pour m'en prendre le moins possible dans la gueule j'étais vraiment comme ça h24 😐. Donc bref je pensais à tout ça en marchant après notre appel et je me suis auto-saoulée parce que j'ai l'impression que je digère jamais aucun des événements de ma vie donc après je me suis dit owf puis c'est sûrement un peu pour ça que je me sens comme une merde qui doit prouver sa valeur dans toutes mes relations car dès le départ c'était un peu bah toi tu nais je vais aller me faire une autre famille bye genre l'impression de pas être assez même si évidemment c'était pas moi le problème j'étais un bébé adorable (mdr) mais bon ça clc même si encore une fois y a bien bien pire comme situation et comme père
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ernestinee · 3 months
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J'ai terminé "La maison aux sortilèges" d'Emilia Hart et j'ai adoré !
Je n'ai pas bien profité de la fin parce que c'est toujours à ce moment-là que l'ensemble du monde qui se tient habituellement autour de moi décide de venir gesticuler devant mes yeux, poser des questions, faire du bruit en mangeant ou simplement être là alors que je voudrais que tout disparaisse mais bon c'est contraire à l'usage quand on ne vit pas dans une grotte.
L'histoire se déroule sur 3 époques, et on rencontre trois femmes fortes. D'abord Kate en 2019, qui quitte un conjoint violent alors qu'elle est enceinte, elle se réfugie dans une petite maison à la campagne, léguée par sa tante. Il y a aussi Violet en 1942, une adolescente très proche de la nature, mais vivant avec un père riche et plus proche des convenances que du bien-être de sa fille. Et enfin Altha, dont on lit le journal datant du 17eme siècle et commençant par relater son procès pour sorcellerie.
Petit à petit, on apprend ce qui lie les trois femmes, cette puissance qui va pousser Kate à mieux se connaître, Violet à déterrer presque littéralement des secrets de famille et Altha à enfreindre la promesse faite à sa mère.
J'ai lu rapidement les 430 pages, on ne se prend pas la tête, on est face aux problématiques que les femmes vivent depuis des siècles. Altha, Kate et Violet sont des warriors au milieu de tout ce qui voudrait que les femmes marchent droit. Il y a des petites touches de magie çà et là et moi j'aime bien ça.
⭐⭐⭐⭐⭐ totalement 5 étoiles.
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sous-le-saule · 9 months
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Je suis en vie
Dans les fictions, les flics disent toujours que les 48 premières heures après une disparition sont cruciales. Cela faisait 50 heures que j’avais signalé la disparition d’Alice.
Je restais là, planté devant le lavabo, avec l’eau chaude qui coulait depuis je ne savais combien de temps, incapable d’une tâche aussi simple que me débarbouiller le visage.
Une partie de moi, lointaine, s’étonnait de ne pas être en état d’arrestation. La femme et, 15 ans plus tard, la fille ? Qui pouvait croire une coïncidence pareille ?
Mais, au fond, cela importait peu. Je voulais juste savoir si Alice était encore en vie. Sa mère aurait-elle eu ce légendaire instinct maternel qui lui aurait fait dire : « Elle est en vie, je le sens » ? Moi, je ne sentais rien, et j’en avais honte.
Je ne savais qu’une chose : Alice ne m’aurait pas fait ça.
La police pensait le contraire, évidemment. Une ado avec des problèmes à l’école, une dispute récente avec son père, et aucun indice ne laissant supposer un enlèvement ? Ca sentait la fugue à plein nez. Ils m’avaient demandé si des affaires manquaient dans sa chambre, et j’avais avoué, mortifié, que j’étais incapable de leur répondre. Son sac à dos, oui, mais ça ne voulait rien dire. Comment pouvais-je savoir s’il manquait de l’argent ou quelques vêtements dans cette chambre d’adolescente en désordre permanent et dans lequel j’avais gentiment été prié de ne plus mettre les pieds depuis ses treize ans (« mon intimité, papa, tu comprends ? »).
Ils m’avaient posé des questions pleines de suspicion sur notre relation mais je ne savais pas si c’était le traitement normal réservé au père ou si c’était à cause de la disparition de sa mère.
Elle aussi, sans une trace. Pour autant que je sache, elle était à la maison avec Alice. Quand j’étais rentré du travail, la petite pleurait dans son berceau, seule. Le désordre qui régnait dans la maison depuis sa naissance n’était pas pire que d’habitude. La porte était verrouillée. Aucune valise ne manquait, le passeport de Joanne était toujours là, et il n’y avait de mot nulle part.
Je l’avais cherchée. Pendant des années, je l’avais cherchée. Dans les hôpitaux, chez les membres de sa famille et tous les amis que je lui connaissais, dans la ville et puis dans d’autres, collant des affichettes avec sa photo, sur internet… J’avais longtemps été suspecté. Le mari, évidemment. La thèse du suicide avait fini par prévaloir. Dépression post-partum. Elle s’était probablement jetée dans le fleuve. On retrouverait le corps un jour, ou pas. Mais dans le regard de certains, je voyais bien que le doute subsistait.
Et voilà que je refaisais exactement les mêmes recherches, les mêmes démarches, et je ne comprenais pas comment il était possible que ça m’arrive une fois de plus, ni comment j’allais surmonter l’épuisement sans nom qui me gagnait.
Je me mis à pleurer, devant ce fichu robinet que je ne parvenais même pas à fermer. A pleurer comme un gosse, avec la morve et les gros sanglots qui déchirent la poitrine. Parce qu’Alice devait être morte. Parce qu’elle ne m’aurait pas infligé ce doute en sachant par quoi j’étais passé avec sa mère. Elle n’était pas cruelle. On s’entendait bien. Même si on avait nos désaccords. Principalement sur le fait qu’Alice continuait les recherches alors que je trouvais qu’elle, qu’on, devait aller de l’avant maintenant. C’était ça, notre dispute. La dernière fois qu’on s’était parlé.
Je poussai un cri animal et frappai du poing sur le lavabo. Ca ne pouvait pas être les derniers mots que ma fille avait entendus de ma bouche. Je relevai la tête, prêt à fracasser le miroir embué quand quelque chose arrêta net mon geste.
Il y avait une lettre écrite dans la buée. Un J. Puis un E, à l’envers. Des lettres maladroites s’ajoutèrent laborieusement, comme si les écrire demandait un effort considérable. Longtemps, je restai figé face au miroir, partagé entre la certitude que j’avais fini par perdre l’esprit et la crainte que le moindre mouvement ne fasse disparaitre le message.
« Je suis en vie »
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gendervapor14 · 2 months
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8. What song would make a great fic (to either write or read)?
9. How do you find new fic to read?
10. How do you decide what to write?
(if not answered already), and 37 & 38! Fanfic ask meme❤️
ooh hello!! thank you for these!! i did answer #38, but i'll answer #37 for sure!
8. What song would make a great fic (to either write or read)?
ooooo as a music nerd i love this question and i apologize for how longwinded my answer is XD i don't do many songfics or much song-related writing [*shoves the title of two fights for freedom under the rug*] but i do have a ton of playlists and songs that make me think of specific characters or fics. to answer this question, i'll just pick one called "Fever Dream" by Dirt Poor Robins. specifically the part starting just after the 4:00 minute mark. the lyrics make me go INSANE with this idea for a dark/horror dq bros fic where doflamingo realizes that corazon is just a false identity and he can't do anything to get his brother back and it drives him even more insane. these lyrics make me crazy Now here comes the liar (lion) Clawing at your door Drunk on the blood of your brother And he's back for more (apparently the lyric is actually "lion" rather than "liar", but i hear "liar" so therefore i declare it is "liar" for the sake of my own brainrot) imagine a fic where rosinante is the one psychologically tormenting doflamingo!! unsure if i'll ever get around to writing it, but it'd probably have a similar vibe to blood gone sour.
9. How do you find new fic to read?
i usually do a nightly prowl under the one piece fandom on ao3 and either filter by most recent fics with rosinante or bell-mere. otherwise i read recs that are bumped on discord servers, or stories friends write! i'm actually terrible at reading tho i don't read nearly enough. when i have free time, i usually use it to create.
10. How do you decide what to write?
excellent question. i make a list of priorities. sometimes it's disorganized lists on my phone, sometimes i use calendars. first and foremost are things with due dates, so zine work, or gifts for exchanges, birthdays or holidays. next i prioritize stories that are works in progress, but already posted on ao3. i hate having incomplete works posted on ao3, so i strive to get them wrapped up asap. then it's a rabid thunderdome of all my other wips and ideas all wrestling for victory for who gets to be created XD i'm constantly bursting with ideas i never get to work on, unfortunately.
37. Promote one of your own “deep cut” fics (an underrated one, or one that never got as much traction as you think it deserves!). What do you like about it?
i'm gonna go ahead and promote spitfire and ice because i busted my ass on this for the crackpair event and i was actually really happy with the result? i was assigned makino x kuzan, so i threw bell-mere in there too just to shake things up, and then i fell madly in love with bell-mere x makino and their flirty banter. it captured my heart in a way i was NOT expecting. i guess the tags aren't particularly interesting to most, so it's relatively unknown with only 4 kudos and 31 hits. but look at this!! “Hey, I’ve gotta ask you something.” She leaned over the counter once Makino settled herself and refilled the pitcher for the next round. “Would I still be wanted here…after hours?” With a tight smile, Makino rested her hands over the tabletop. “We’re closed for customers after hours. I need some time to tidy up the place.” “Right, right…” Pretty gray eyes wandered. “But in this situation, I wouldn’t be a customer.” With an amused chuckle, Makino folded her arms over her stomach. “What do you want me to say, Miss Bell-mère? Do you want me to welcome you to my private quarters upstairs?” That exposed chest filled with air. “I wouldn’t be against an invitation.” smh. well, at least i'm proud of it!
ahhh sorry i got so rambly XD i had fun answering these! thank you so much for the questions!! here's the list if anyone else has a question, or wants to reblog it for themselves!
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pauline-lewis · 3 months
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Now I too can say that I've been happy
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J'aime bien, parfois, quand les films se suivent et s'emboîtent d'une manière un peu particulière. Ces dernières semaines, j'ai vu à la suite Past Lives de Celine Song, Nuits blanches de Luchino Visconti et revu Two Lovers de James Gray (je ne sais pas si parfois ça vous arrive de revoir les films et d'avoir l'impression de les redécouvrir sous un jour tout à fait nouveau comme si on vous avait remplacé les yeux, le cœur ou le cerveau — mais en y réfléchissant vous vous rendez compte que ce sont juste quinze ans de vie, de lectures, d'expériences qui ont réarrangé complètement votre manière de regarder).
Trois films, donc, qui racontent à leur manière la solitude, les amours dont on sait qu'elles n'existeront jamais, les cicatrices que laissent le passé sur le cœur et aussi une forme d'incommunicabilité qui rend mélancolique.
Je suis allée voir Past lives sans trop savoir de quoi il en retournait, j'étais intriguée par la hype. J'ai été surprise, donc, des émotions très fortes que le film faisait parfois naître en moi. Il a une façon très juste de raconter ces relations à distance qui se cristallisent autour de conversations qui remplissent cette solitude bizarre qui a pour moi été synonyme de la fin de l'adolescence. Le film retrace donc l'histoire d'une jeune fille qui quitte la Corée avec ses parents alors qu'elle n'a qu'une petite dizaine d'années et qui se retrouve des années plus tard à discuter en ligne puis sur Skype avec son crush de l'époque. Et puis iels arrêtent de se parler, les années passent, chacun rencontre quelqu'un d'autre, vit sa vie. Et, encore dix ans plus tard, le contact est renoué. Celine Song a une manière vraiment très douce de filmer le léger malaise ces retrouvailles, on peut presque voir se balader à côté des deux ami·es le fantôme de celleux qu'iels ont été. À 10 ans, à 20 ans. Elle rend palpable le temps qui passe et ce qu'il nous fait. J'ai adoré que dans l'invisible, dans les silences, flottent les années, les expériences partagées mais aussi tous les instants que l'on a raté de l'autre. Il y a une scène assez magnifique dans laquelle l'héroïne discute avec son mari et ils se demandent ce qu'il se serait passé s'ils ne s'étaient jamais rencontrés. Ils délient, comme ça, par les mots, tout ce qu'ils ont noué ensemble. J'ai moi-même eu cette conversation plusieurs fois, cette conversation qui nous met au bord d'un précipice, qui nous donne un vertige.
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Et puis quelques jours plus tard j'ai découvert Nuits blanches de Visconti et je pense que cela faisait quelques temps que je n'avais pas aimé un film aussi fort. Adapté d'une nouvelle de Dostoïevski, Nuits blanches raconte l'histoire d'un homme très seul, Mario, incarné par Marcello Mastroianni (définitivement l'un de mes acteurs préférés) qui, alors qu'il erre dans les rues de la ville où il vient d'emménager, croise le chemin d'une jeune femme un peu perdue. Tout le film se passe le soir et cultive ce sentiment d'entre-deux : entre la nuit et le jour, entre la fiction et la réalité, entre la vérité et le mensonge. La jeune fille dont Mario est amoureux en aime un autre : celui qui l'a elle-même sortie de la solitude et d'une famille qui contrôle ses moindres faits et gestes (elle raconte dans un rire triste que sa grand-mère aveugle attache sa jupe à la sienne avec une épingle à nourrice). Il lui a promis de revenir la chercher et elle l'attend, fébrile, comme au bord de la folie.
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Comme dans Two Lovers et dans Past Lives, les relations se répondent mais ne semblent jamais parfaitement alignées. Mario se persuade qu'il est amoureux et se jette à corps perdu dans cette relation qui semble pourtant vouée à l'échec, tant le fantôme du précédent amant (qui, en plus, est incarné par Jean Marais, forcément ça en jette) prend de la place entre elleux. Dans une scène vraiment magnifique, Mario aide Natalia à écrire une lettre d'amour pour cet autre homme et il a l'air de penser que ces mots d'affection pourront peut-être, par ricochet, s'adresser à lui. (Il m'est arrivé de conseiller des chansons d'amour à faire écouter à une autre et d'espérer que la même illusion se produirait) Ils se baladent le long du canal, dans la brume, vont danser. Mario veut y croire, espère jusqu'au bout l'absence de ce deuxième homme qui n'a pas de prénom. Rien ne peut lui arriver puisqu'il sait désormais qu'il peut être heureux. Il est beaucoup question dans le film d'un amour idéalisé, rêvé et de la façon dont il se mesure à la réalité. Une femme qui aime un homme dont elle garde un souvenir qui semble vague, un homme qui tombe amoureux d'une image dans la brume. J'ai évidemment adoré le décor fabriqué à Cinecittà qui donne aux éclairages de nuit un aspect parfaitement irréel — je crois que j'aime le cinéma quand il a cette fausseté là et qu'il sait s'en servir et en jouer.
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Je l'ignorais lorsque j'ai vu le film à sa sortie mais Two Lovers de James Gray est aussi fortement inspiré de la même nouvelle de Dostoievski ("J'ai trouvé cette nouvelle très émouvante. Cet homme souffre de toute évidence d'une sorte de trouble psychologique, mais l'histoire se penche avant tout sur son rapport à l'amour."). Quand je l'ai vu la première fois il semblait me dire qu'il existait deux choix dans la vie, l'un de la sagesse et un de l'aventure. La brune, la blonde. Quand je l'ai revu la semaine dernière il me semblait bien plus profond : j'y ai vu les souffrances des un·es et des autres, le poids de la famille contre un certain désir d'émancipation, la possibilité de la fuite, une violence de classe aussi (dans la scène, cruelle, du restaurant). J'y ai vu de nombreux parallèles avec le film de Visconti (Two Lovers aussi se passe surtout de nuit) même cette scène de l'opéra qui se déroule dans Two Lovers presque hors champ (le personnage de Gwyneth Paltrow est invitée par son amant à en écouter en live tandis que celui de Joaquin Phoenix écoute un CD des plus grandes arias chez lui) et qui est celle de la cristallisation émotionnelle dans Nuits Blanches — Natalia y est emmenée avec sa grand-mère par son amant et elle en profite pour se rapprocher de lui. C'est la scène de la véritable naissance du désir, de la signature d'un pacte silencieux. C'est aussi, dans les deux cas, une scène d'éloignement. Il y a quelque chose qui, avec le temps, m'a touchée d'une manière très différente dans le film, peut-être dans une forme d'incommunicabilité. Il m'est apparu qu'il ne s'agissait pas tant d'une question de "choix" de vie que de questionner une vision de l'amour. J'ai été touchée par la manière dont le personnage principal cherche une vérité pourtant impossible à trouver dans le flou des sentiments, dont il pense que l'amour va le réparer. Peut-être, me suis-je dit en le terminant, que tous les films que j'ai aimé dans ma vie mériteraient que je les revois ne serait-ce que pour que j'ai l'occasion de constater ce que le temps leur a fait et a fait à mon regard. Voilà une résolution comme une autre pour 2024 !
(Si vous êtes arrivés jusque là je vous recommande fortement la BO de Past Lives composée par deux membres de Grizzly Bear, Christopher Bear et Daniel Rossen, et qui est sublime ! Elle est partie direct dans ma playlist "musique pour écrire").
youtube
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Florence Chataignier - Des gens
Un premier roman à paraître début mai
Comme il faut Des gens comme il faut, premier roman de Florence Chataignier, sont au cœur de cette histoire d’adultes qui souhaitaient, par-dessus tout, être comme les autres et vivre comme une famille parfaite. Seulement, il ne suffit pas de paraître pour être. À trop se forcer, on en devient fou et on peut rendre fou ceux qui vivent avec vous ! Lorsque la mort survient, il est alors temps de…
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hcdahlem · 15 days
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L'enfant rivière
Le jour où leur fils Nathan a disparu, la vie de Zoé et Thomas a basculé. Un drame qui va permettre à Isabelle Amonou de nous offrir un roman très noir, une quête insensée et une réflexion sur l'identité et les origines, dans un monde hostile.
En deux mots Zoé chasse les enfants de migrants pour les remettre aux autorités. En parcourant la contrée, elle espère pouvoir retrouver son fils Nathan qui a disparu depuis six ans. Ce drame a fait fuir son mari Thomas qui revient au Canada pour enterrer son père. Et retrouver celle qui veut croire au miracle. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique À la chasse aux enfants Le jour où leur fils…
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swedesinstockholm · 7 months
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15 août
j'ai passé deux heures à marcher à travers la ville dans un état de désillusion complète ce soir, non pas de désillusion, d'illusion justement, je voulais dire delusion, delusional, delulu comme disent les jeunes américains, r. m'a écrit à quatre heures du matin pendant qu'il faisait une insomnie alors qu'il dormait dans une tente avec sa fille plantée dans le jardin de sa mère et y avait un orage et il entendait la musique des voisins et il arrivait plus à se rendormir et c'est à MOI qu'il a écrit of all people, il me demandait comment ça allait avec mon film, il pensait à moi et à mon film à quatre heures du matin dans une tente avec sa fille, comment je suis sensée ne pas être complètement delulu?
ce matin en lisant ses messages j'ai senti la joie couler partout dans mon corps et j'ai essayé d'en localiser la source, quelque part dans le thorax, au milieu, c'est là que je le sens quand je me sens aimée. même s'il m'aime pas amoureusement, il m'aime quand même. et quand je vivais encore dans l'illusion et que j'espérais passer un été d'amour avec lui à bruxelles, ça s'est peut être pas passé comme je l'espérais, mais finalement je suis quand même un peu en train de passer un été d'amour avec lui, amour à l'eau plate et à distance mais amour quand même. amour amour amour dans mon coeur ce soir pendant ma promenade, j'écoutais des trucs pop en m'imaginant les chanter avec sa fille chez lui pendant que je lui prépare des gâteaux dans la cuisine par exemple une tarte à la myrtille et on fait des petites chorégraphies et on chante en criant la chanson de caroline polachek et évidemment r. finit par tomber sous mon charme. delulu level 1000. je dois vraiment faire très attention.
à part ça je suis restée un bon quart d'heure accoudée à une balustrade qui surplombait la vallée et c'était vraiment bien de regarder quelque chose qui n'était pas mon écran d'ordinateur, tout ce vert, toute cette réalité, même si j'étais à moitié perdue dans mes fantasmes à l'intérieur de ma tête.
16 août
à chaque fois que j'écris avec r. avant de me coucher j'arrive pas à m'endormir après et j'arrive pas à me concentrer sur mon livre non plus. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine et d'abord ça m'a vexée mais toutes mes jérémiades sur r. là c'est plus possible, même sur tumblr. on a regardé le nouvel épisode de how to ce soir et puis à onze heures il a dit bon je vais au lit mais on a encore passé trois quarts d'heures à s'écrire et il a évoqué notre future performance et le fait d'avoir ça dans notre futur commun, un peu comme une garantie qu'il va pas disparaître du jour au lendemain, qu'il veut rester là, qu'on va se revoir, ça me donne un très grand sentiment de sérénité. ça me rassure. même si en réalité c'est pas du tout une garantie, il peut tout à fait changer d'avis du jour au lendemain. il a changé de photo de profil sur whatsapp, heureusement il met que des photos où il est moche. je me demande s'il le fait par égard pour moi.
dans le nouvel épisode de how, john wilson mentionne sa rupture avec sa copine et j'étais honteusement satisfaite qu'il se retrouve seul comme moi. mais je parie que même lui ne voudrait pas de moi. j'ai l'impression d'avoir franchi un cap dans ma relation avec mon physique, que toute ma vie je me suis voilé la face et que je me suis enfin rendu compte que j'étais moche. peu importe l'angle sous lequel on me tourne, je suis moche, c'est un fait, c'est comme ça et je peux rien y faire. je comprends pas pourquoi ça m'a pris autant de temps pour sortir de mon illusion d'être un peu mignonne, ou au moins d'avoir un charme atypique. hier j'ai essayé de mettre du rouge à lèvres mais c'était encore pire. maintenant quand je vois des moches ça me rassure, j'ai l'impression qu'on fait partie de la même communauté des moches, je suis pas seule, on est des millions. des gens au physique disgracieux. vraiment disgracieux, pas comme gaëlle obiégly, cette impostrice.
17 août
jenna lyons dans real housewives of new york a ravivé mon feu de lesbienne qui dormait quelque part dans mon bas ventre et c'est fantastique. gaëlle obiégly dit que publier son journal c'est comme parler la bouche pleine mais elle a manifestement jamais vu jenna lyons marmonner des remarques sarcastiques tout en se goinfrant d'oreos périmés et de pringles au caviar dans real housewives of new york. rien de rédhibitoire là-dedans. j'ai lu qu'elle avait une maladie génétique qui fait qu'elle a des taches et des marques sur sa peau et qu'elle a pas de cils ni de sourcils et qu'elle a des trous dans ses cheveux et que ça a détruit sa confiance en elle parce qu'on la harcelait à l'école et qu'au début de sa carrière chez j. crew elle se trouvait affreuse sur les photos parce qu'elle avait pas encore trouvé son style, et puis elle a commencé à portes des grandes lunettes pour se camoufler derrière et des tenues qui montrent très peu de peau et elle attachait systématiquement ses cheveux en les plaquant en arrière pour cacher les trous et c'est devenu son style signature. elle dit qu'elle montre jamais ses jambes parce qu'elles ont des taches et de la cellulite et pendant une seconde je me suis dit est-ce que je devrais faire comme elle et cacher mes imperfections (non mais quel mot) et ne jamais montrer mes jambes moi non plus? mais non. je préfère être du côté de celles qui assument leurs imperfections (ce MOT), ou du moins qui essaient. même si ça "m'avantage pas." même si parfois je me demande si je devrais pas mettre plus de soin à "m'avantager." faire des efforts pour trouver un look qui "m'avantage," comme elle, pour me donner plus confiance en moi. un look qui me donne de la tenue, une consistance, une colonne vertébrale redressée. un look clean et net. sharp.
elle raconte aussi que sa mère avait le syndrome d'asperger et qu'elle avait pas d'amis et que donc elle lui avait jamais appris comment on se faisait des amis, comment ça fonctionnait, et qu'elle aussi elle avait du mal à se faire des amis, qu'elle savait toujours pas vraiment comment on faisait, qu'elle partait toujours du principe que les gens n'avaient pas envie de passer du temps avec elle et que donc elle attendait que ça vienne d'eux, pour ne pas prendre le risque du rejet. et j'ai pensé à maman, qui a peu d'amis elle aussi, même si elle a pas du tout asperger, et je me suis demandé si ma vie sociale maigrichonne venait de là. alors je me demande, est-ce que je peux encore apprendre à devenir sociable? est-ce qu'un jour j'aurai des vrais amis qui habitent à proximité de chez moi ET que j'ai envie de voir?
18 août
j'ai encore passé une heure sur whatsapp avec r. chaque soir je le fais se coucher de plus en plus tard, je rigolais toute seule avec les jambes en l'air en lisant ses messages et il me disait qu'il avait littéralement éclaté de rire quand j'avais dit un truc on se fait mourir de rire mutuellement et c'est merveilleux. j'ai lancé un concours de noms pour notre groupe inspiré par les feutres de bingo américains et puis il m'a fait un long message vocal pour m'expliquer qu'il adorait ma façon d'écrire sans accents ni majuscules et parfois quand il me dit certains trucs il me donne l'impression d'être quelqu'un de sage et de bon conseil, quelqu'un qui a de l'expérience de vie. de la bouteille. j'aime bien cette expression. c'est quoi cette sorcellerie? il m'a cassé ma relation avec mon physique mais en contrepartie il me fait voir d'autres facettes de moi que je vois absolument jamais.
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lebibliocosme · 1 year
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La trilogie baryonique, tome 1 : La tragédie de l'orque
Titre : La tragédie de l’orque Cycle/Série : La trilogie baryonique, tome 1 Auteur : Pierre Raufast Éditeur : Aux forges de Vulcain Date de publication : 2023 (février) Synopsis : Le changement climatique a terrassé l’humanité qui s’est effondrée démographiquement, politiquement, scientifiquement. L’esprit humain semble mort en ce début de XXIIème siècle, où les nations reprennent doucement le…
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