Tumgik
#tout quitter
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les hirondelles se sont posées sur une ligne de pluie ; elles cherchent le départ mais elles n’ont trouvé qu’un envol ; tout quitter doit s’appuyer sur un point solide et sûr pour aboutir ; le doute et l'instable ne permettent jamais d'abandonner ce qu'on a
© Pierre Cressant
(samedi 24 septembre 2022)
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maviebuissonniere · 6 months
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Quitter la France et changer de vie … on l'a fait 👋🇫🇷🪂
Chaque année, des milliers de personnes font le choix audacieux de quitter la France, leur pays natal pour explorer de nouveaux horizons. En 2023, cette tendance s’est poursuivie, reflétant un désir croissant de changement et d’aventure. Dans un monde en constante évolution, où les frontières s’estompent et les opportunités se multiplient, changer de vie, tout quitter et partir à l’étranger est…
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mnetn · 2 months
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paul 🌅
la ganz era est bien installée 🤙ce film c'est juste "vlog à lisbonne, tout va pas se passer comme prévu 😱"
je l'ai revu la dernière fois dans le ailes du désir au cinéma QUELLE GRÂCE, QUELLE SAFE PLACE 🤲
tanner est vraiment un cinéaste hyper intéressant, je sais pas...jtrouve que ses films offrent une proximité envers les spectateurs hyper intéressante...idée à creuser (jveux tout voir)
venice bitch (sûrement ma chanson préférée de lana...ça change everyday bon...) lui va comme un gant 🎀
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insecateur · 1 year
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je devrais choisir un jour de la semaine où je poste uniquement en français pour mon propre plaisir vicieux. french friday
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mika-white-to-blue · 3 months
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(Image trouvée sur internet).
Comment résister à l'envie de quitter son job de bureau de merde pour devenir ouvrier agricole ? Travailler au grand air, prendre soin des animaux, cultiver et aimer la terre, porter une combinaison, avoir ses bottes en caoutchouc pleines de boue, occuper ses mains à tout travaux manuels, transpirer, se reconnecter à la nature, se reconnecter à l'essentiel !
(Image found on the internet).
How can you resist the urge to quit your crappy office job to become a farm worker? Working in the great outdoors, taking care of animals, cultivating and loving the land, wearing overalls, having your rubber boots full of mud, keeping your hands busy with any manual work, sweating, reconnecting with nature, reconnecting with essential !
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empiredesimparte · 2 months
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°3 | Belgisim, 15 Thermidor An 230
During the Europesim summit, Napoleon V tried to create a dialogue between the leaders of the Empire of Pierreland (Emperor David) and the Union of Iona (Queen Viviana II). This initiative proved to be of little avail.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Durant le sommet d'Europesim, Napoléon V tente de créer un dialogue entre les dirigeants de l'empire de Pierreland (l'empereur David) et de l'Union d'Iona (la reine Viviana II). Cette initiative ne s'avère que peu fructueuse : les tensions sont désormais fortes entre les pays européensims.
(Napoléon) Ce ne sera pas agréable, mais il va falloir que vous trouviez un terrain d'entente
(David) Je suis d'accord. Nous sommes tous des adultes responsables ici, et... pour être franc, certaines vérités ne devront pas quitter cette pièce, pas encore
(Eloise) Je ne crois pas que mes enfants soient un sujet d'État pertinent qui relève de la politique européennesim, du moins avant la majorité. N'est-ce pas David ? De parent à parent (Napoléon) S'il vous plaît...
(David) Quand j'ai reçu votre lettre... Je craignais que mon fils ne soit pas assez mâture pour assumer sa paternité. J'ai consulté Katalina, qui n'est pas d'accord et veut que Louis soit partie intégrante de la vie de Lenerd. À cause de ce désaccord, j'ai demandé à mes deux fils aînés et conseillers d'État... (Eloise) Vous considérez que votre petit-fils est une affaire d'état ? Comme ces deux-là qui ne sont pas vos fils ? Pardon ?!
(David) Ils sont mes fils. Felipe par le sang et Edmund par la loi. Et oui, mon petit-fils est devenu une affaire d'État ! Le père n'a pas été informé du fait que vous soyez enceinte ! (Eloise) Comme s'il ne savait pas compter jusqu'à 9...
(Napoléon) David, Lenerd devrait être reconnu par votre empire... Sinon mon filleul va...
(David) Nom de Dieu, j'essaye d'admettre mes fautes-
(Napoléon) S'il vous plaît, du calme. Repoussons ce rendez-vous...
(Eloise) Je n'ai pas besoin ni ne veut de son argent. Ni même du soutien, à moins que Louis en soit l'instigateur
(David) Eloise, je vous prie de bien vouloir croire que tout le soutien et l'argent que je vous ferai parvenir sera une attention de Louis
(Eloise) Le même Louis que vous maintenez dans l'ignorance ? Non, merci. (David) Pour le moment. Je ne pense pas que Louis devrait-
(Eloise) Vous, vous vous, VOUS. Il s'agit de mon bébé. De son bébé. Pourquoi pensez-vous que vous pouvez l'éloigner de son fils ?
(David) Le garçon n'a que 19 ans. Il ne peut pas gérer ça !
(Eloise) À 19 ans j'aurais assumé les conséquences de mes putains d'actions
(David) Donne-nous 10 ans, à Katalina et moi. Il sera alors élevé comme un prince de Pierreland avec tous les droits qu'ils lui reviennent et je le reconnaîtrai comme mon petit fils. Je dirai au public la vérité
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alexar60 · 10 months
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Vélo
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Juliette traversait, tous les matins,
Les champs de blé et les jardins,
Afin d’éviter les ragots des voisins,
Même si l’air gardait son parfum.
Affichant un visage impassible,
Elle roulait le plus vite possible.
Son cœur, pourtant si sensible,
Cognait tel un tambour invisible.
Les paysans l’admiraient.
Dans sa petite robe d’été,
Elle leur faisait un joli effet.
Et ils connaissaient son secret.
Tout le monde disait en souriant:
« V’la la jolie fille à vélo
Qui va rejoindre impatiemment,
A l’orée de la forêt, Tonio.
Comme il a de la chance.
Elle va encore l’inonder de baisers.
Mon dieu, quelle inconscience
Car il ne va rien faire de la journée ! »
Tonio se levait avec le soleil
Pour labourer son champ.
Sa main éloignait une abeille
Quand elle l’appelait en freinant.
Pendant que son vélo tombait,
Juliette courait pour se jeter
Dans les bras de son amant
Qui n’en demandait jamais tant.
Puis, ils s’embrassaient goulument,
Avant de quitter son champ
Pour le plus proche grenier,
Et y passer la journée.
Le soir, heureuse, la belle Juliette
Remontait sur sa bicyclette.
Alors, les gens la voyaient rentrer
Avec, dans les cheveux, de la paille dorée.
Tout le monde disait en riant
Que la jolie fille à vélo
A encore passé un bon moment
Dans les bras de son Tonio.
Alex@r60 – août 2023
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thebusylilbee · 2 months
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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maviebuissonniere · 5 months
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15 bonnes raisons de tout quitter pour changer de vie 👋🪂
As-tu déjà rêvé de tout quitter pour changer de vie radicalement ? De laisser derrière toi la routine pour te lancer dans une nouvelle aventure, pleine d’excitations ? Si l’idée de tout plaquer pour changer de vie te séduit, tu es au bon endroit. Voici 15 bonnes raisons pour lesquelles franchir ce pas pourrait être la meilleure décision de ta vie. 1) Pour ne pas mourir avec des regrets :…
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prosedumonde · 1 month
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J'oublie que je suis un être de chair. Comment faire, sinon, pour écarter la peur ? a-t-elle poursuivi. Il faut quitter nos corps comme on se débarrasse d'un vêtement encombrant, et longer les plages sèches. Pieds nus, il faut gravir la côte rocheuse, il faut que la pierre cisaille notre peau. Il faut voir les yeux des chats sauvages. Tout est inquiétant, tout est admirable. 
Claire Conruyt, Pour qui s'avance dans la nuit
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homomenhommes · 4 days
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Tout quitter est plus facile que tout recommencer, ailleurs, c'est toujours l'inconnu.
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JE ME SUIS FAIT UNE PROMESSE.
Je me suis fait une promesse :
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse.
Il m'a fallu bien des années,
Pour comprendre que si je ne travaillais pas sur moi, ma vie ne changerait jamais...
J'ai commencé par arrêter de lire en boucle les anciens chapitres de ma vie,
Pour en démarrer un nouveau plus calme et plus léger dans mon esprit...
Je suis sortie de ma zone de confort,
et, j’avoue, cela m’a demandé beaucoup d’efforts... J'ai cassé ma carapace construite comme barrière de protection.
Me protégeant de tout ce qui remuait trop mes émotions... Je me suis libérée de mes blessures émotionnelles. J’ai enfin pu déployer mes ailes... Je me suis rapprochée des personnes qui me font rire.
Et j'ai enfin eu la force de quitter celles qui me faisaient souffrir...
J'ai réussi à lâcher-prise dans certaines situations, En écoutant attentivement mon intuition... J'ai osé croire en mes choix,
En mes rêves, et en moi...
J’ai écouté les messages de mon cœur, la signification de mes douleurs. En les accueillant pleinement, j’ai découvert le véritable sens du mot bonheur...
Oui je me suis fait une promesse,
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse...
Pour qu’enfin je puisse moi aussi,
Être heureuse dans ma vie...
Et toi oui toi dis moi, quelle promesse est-il temps que tu te fasses à toi-même ... ?
Prenez soin de vous et des vôtres !
J-M
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clhook · 1 month
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J'ai un cousin qui a un mois d'écart avec moi (il est né en janvier et moi en décembre) donc on a le même âge mais on est pas de la même année, et ça fait quelques temps qu'il est devenu cinglos il se drogue il a une meuf tout aussi cinglée avec laquelle il se bagarre mais ils se remettent toujours ensemble il a volé des thunes à mes grands-parents plusieurs personnes de la famille lui ont trouvé un boulot dans son domaine qu'il finit par quitter sans aucune explication au bout de quelques jours ... on a essayé plein de trucs pour l'aider mais ça fonctionne pas donc perso j'ai un peu lâché l'affaire, ça me rend triste mais on peut pas faire boire un cheval qui n'a pas soif. Sa mère lui trouve plein d'excuses et la dernière en date c'est que c'est de ma faute parce qu'il comprenait pas pourquoi j'étais en avance sur lui à l'école alors qu'on a le même âge ah bon eh bien désolée de ne pas avoir retardé ma naissance d'un mois pour être dans la classe de mon cousin ptdrr
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yenasmatik · 11 days
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Re- French Elections stuff
Yo, les gens qui désespèrent de la dernière fils de puterie de l'ignoble banquier.
SAMEDI, PARTOUT EN FRANCE S'ORGANISENT DES MANIFS ANTI RN.
Alors allez googler le nom de votre ville et les horaires de la manif de votre coin, et par pitié déplacez-vous. J'ose espérer qu'ils auront la cervelle de ne pas mettre ça aux mêmes horaires que la Pride. Touchons du bois.
Je n'ai malheureusement trouvé nulle part une liste pré-faite de tous les rendez-vous. Le site de la LFI a une section "créer/rejoindre un événement" avec une carte, où une partie des événements sont indiqués. Si la grande ville proche de chez vous n'est pas indiquée, googlez [nom de votre ville] manifestation 15 juin. UPDATE: LE SITE DE LA CGT A UNE CARTE DES RENDEZ-VOUS
Rameutez les darons les daronnes les frères les sœurs les potes les collègues les mutuals tout ce que vous pouvez traîner avec vous ! Beaucoup de gens (moi la première je juge pas, ok?) n'osent pas aller en manif seuls ! Lancer le sujet en demandant qui se sent d'y aller en groupe peut leur permettre de venir ! Si vous avez un véhicule, vous pourriez être la personne qui permet à d'autres de participer ! Et comme ça vous pouvez faire un déjeuner / un café / thé / etc de célébration/réconfort en fin de manif !
CONSEILS POUR CEUX QUI NE VONT PAS SOUVENT EN MANIF SOUS LE CUT
- chaussures confortables, vous allez piétiner au départ et puis marcher entre 30 minutes et 1h - Vérifiez la météo. Pensez à un chapeau ou un vêtement de pluie. Dans le doute vaut mieux l'avoir pour rien. - On est en été prenez une bouteille d'eau ! même si vous avez jamais soif vous pourriez vraiment aider un pote
- Au cas où prenez un truc sucré, genre barre chocolatée ou petit paquet de gateaux. Si quelqu'un commence à faire un malaise autour, ça peut être important. - En premiers soins : des pansements à cloques, du doliprane, si vous avez une articulation fragile pensez à une bande de support (chevillère, genouillère) dans le sac au cas où. C'est de la parano jusqu'au jour où vous en avez besoin.
HANDICAP - Vous pouvez TOTALEMENT venir avec des bouchons d'oreilles et un casque anti-bruit !! (Les orgas de manifs sont des boulets sur l'inclusion niveau bruit, mais c'est pas l'école personne va vous les confisquer !) - Les manifs marchent sur la route et je n'en ai jamais vu emprunter d'escaliers. Pour nos amis en fauteuil roulant. N'hésitez pas à contacter une asso/ un collectif d'orgas pour demander le parcours de la manif. - Vous pouvez venir, marcher ce que vous pouvez et quitter le cortège quand vous êtes fatigués. Ca aide de venir même si vous ne pouvez pas être là jusqu'à la fin. Personne ne vous jugera, ni même ne vous remarquera. Pensez à prévenir le groupe avec qui vous venez que c'est une possibilité et discutez à l'avance de ce qui sera fait dans ce cas, pour vous éviter le stress ou la gêne qui empêche de dire "j'ai besoin de m'arrêter". - évitez les panneaux fatigants à porter. Vous pouvez écrire vos slogans au marqueur indélébile sur un vieux T-shirt blanc ou clair, ça marche très bien et c'est plus confortable ! Et si vous ne savez pas quoi écrire, ne vous prenez pas la tête, votre présence aide même sans panneau.
LIMITER LES RISQUES D'EMBROUILLES - Les manifs qui rassemblent des syndicats mainstream et autres institutions nombreuses et blanches sont rarement attaquées par la police, en tout cas hors Paris. Ca n'empêche pas de suivre quelques conseils de bon sens. - Niveau sécurité, évitez la tête de cortège (tout devant) et la queue de cortège (tout tout derrière). - Quand la marche est terminée, si la foule se disperse, ne restez pas sur place. - SI UN GROUPE D’EXCITÉS SE METTENT A CRIER DES INCITATIONS A CASSER DES TRUCS ET/OU BIFURQUENT HORS DU TRAJET DE LA MANIF PRINCIPALE, NE LES SUIVEZ PAS. Les pseudo-casseurs infiltrés ou aux affiliations douteuses ça existe. Restez dans le cortège principal, ne cassez rien, ne taguez pas, c'est plus sûr quand on ne connaît pas les groupes locaux.
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culturefrancaise · 12 days
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ERRATUM : été 2024, évidemment, pas 2025 😭
Si tout va bien pour moi, d'ici quelques mois je pourrai quitter le nid familial, reprendre un logement toute seule en ville et retrouver mon indépendance. J'essaie de budgétiser mes futures dépenses afin de savoir combien je peux mettre dans le loyer et les charges, avant de me mettre en recherche active de logement.
Combien je devrais prévoir pour mon budget nourriture, selon vous ?
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lafleurailee · 16 days
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🇵🇸 Je te dessine une Icône de profil en échange de la preuve d'un don à la cause palestinienne 🇵🇸
contacte moi par message pour participer.
J'en peux plus de rester à rien faire pendant que les gens souffrent. si offrir des petits dessins peut déclencher la motivation de donner alors je dessinerai ! Tout me semble extrêmement futile en ce moment comparé à la crise de ce gen*cide.
S'il vous plaît, même si vous ne pouvez pas donner (c'est mon cas aussi) voila une petite liste des choses que vous pouvez faire:
❤️ cliquer tous les jours sur le lien de arab.org (ça fait des dons pour vous à l'aide des revenus publicitaires)
https://arab.org
🖤 utiliser des musiques ou des sons sur les réseaux, qui sont caritatives, comme Hind's hall ou d'autres, même poster en privé génére des revenus!
🤍 quand vous voyez une vidéo ou un post qui essaie de relayer une cagnotte pour une famille. surtout ! ne copiez collez pas votre commentaire de soutien. vous croyez bien faire en commentant le plus possible mais ça fait juste croire à l'algo que vous êtes un bot et ça enterre la vidéo. écrivez manuellement, engagez la conversation.
💚 n'abandonnez pas, ne vous découragez pas et ne cessez pas de partager des choses. faites le nécessaire aux élections européennes et votez en votre âme et conscience pour les partis ayant pris position sur cette cause.
❤️ Je vous remercie de m'avoir lue ! si vous voulez donner mais que vous ne savez pas où le faire, il y a Médecins sans frontières, le fonds d'aide aux enfants de Palestine, l'Unicef. c'est un bon point de départ. mais il y a énormément de personnes à aider ayant des cagnottes pour quitter Gaza. c'est beaucoup plus urgent de soutenir directement des familles. (et attention aux arnaqueurs, des listes de leurs pseudos circulent).
Aidons les !
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