Tumgik
#(mais dans ce cas c'est pas tant le travail de la personne que j'aime pas c'est plutôt l'un de ses sujets abordés ?…
spottys-rathole · 11 months
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For the ask game, 13 and 26
13. A creator who you admire but whose work isn't your thing Aaaaahhh it's going to be boring tldr answer but I honestly can't really think of anyone who fits this………….. ._. I'm the kind of person who likes things even when I don't understand them idk For eg in art whether it's modern or classic, I may not be into the genre that the creator made but I may still admire the technical work behind it or the thought process of the art piece and what it represents, so in a way I'll always sort of admire the artist for their work ? I can think of plenty of people whose work I find remarquable but who I despise with all my petty heart because they're a dick though, but not so much the other way around
26. What's a piece that got a wildly different interpretation from what you intended Mon Meles, Loulou, n'importe quel dessin avec mon putain de Meles. Même les autres concepts ils arrivent pas à le décrire, et les autres de mon groupe ils étaient persuadés que ce que je voulais soit de la chaire dégarnies était en réalité de la fourrure marron cradingue et ils me l'ont avoué après 5 mois de préprod, jte jure jvais bouffer quelqu'un un jour
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deathlesssaints · 6 months
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le trashtalk c'est dépassé les ami.es
certains de vos billets tumblr me font peur. oui, tout le monde peut jouer ce qu'il veut. pourquoi se ramener en pensant avoir le droit de dicter ce que chacun doit jouer ? est-ce que je parle, moi, de ce que vous jouez ? non, car on s'en contre carre le haricot mdr. chacun est là pour s'amuser, chacun s'amuse avec les personnes qu'ils veulent, pourquoi vous venez vous plaindre que x joue trop ses ships, que y parle trop de fesses (j'aime aborder la sexualité de mes perso comme d'autres abordent la mort (que j'aborde aussi hein, je suis pas l'obsédée du Q pour laquelle on me fait passer mes potes et moi)), que z parle de la mort (ohlala attention). je comprends pas ce besoin de parler, de se moquer ou de trash talk le jeu d'une autre personne tant que ça vous atteint pas. et si c'est le cas, bah vous le dîtes, vous lisez plus (car on vous fout pas nos rp ou nos sms devant vos yeux, vous faîtes le choix de cliquer, vous faîtes le choix de lire, vous vous infligez ça (à croire on parle d'une torture mdr merci pour nos écrits)). c'est dingue ce jugement que vous avez sur tout. c'est dingue que dès que c'est pas comme vous faites bah c'est plus bien. merde, laissez les gens vivre, laissez les gens rp, vous rendez le rp tellement chiant. vos jugements vous vous les gardez si c'est pas constructif, surtout quand vous voyez que par vos opinions sans réaliser que non, on est pas des obsédés qui rp qu'avec leur ship, qu'on a des liens amicaux, familiaux et tout le reste. vous catégorisez tellement les gens, mais vous réalisez à quel point c'est bas et merdique comme comportement ? vous donnez franchement envie de s'investir. marre d'être mise dans des cases car je fais x ou y chose sur un forum, marre de lire du bashing sur tumblr dès que je fais mon tour, d'entendre x ou y choses sur telle ou telle chose. juste vous savez pas profiter de votre passion, vous savez pas juste vous amuser ? vous ressentez toujours le besoin de commenter ce que le voisin fait, critiquer, encore et encore. vous êtes lassants et je commence à fatiguer de cette communauté qui ose se dire bienveillante (même si apparement c'est pas donné à tous.tes) et qui souhaitent l'intégration de leur personnages, quand en retour ça tacle sur tumblr ou en dm. vous êtes pas les goat que vous pensez être. on voit les critiques et c'est juste blessant. en bref, moi j'suis juste d'avis que tout le monde joue comme il veut tant que ça dépasse pas les limites. laissez les gens jouer et s'amuser. amusez-vous. arrêtez de vous prendre la tête. arrêtez le trash talk gratuit. arrêtez de nous prendre la tête aussi. vivez, profitez, passez pas votre temps à cracher sur ce que les autres font. je suis pacifiste mais marre qu'on critique mes potes, qu'on leur fasse vivre un bordel monstre et qu'on les fasse (dont moi) passer pour ce qu'ils ne sont pas. et quand bien même je le serais, je n'impose rien à personne. :))
ET oser sous-entendre que parce qu'on joue x ou y sujet, on ne respecte pas le travail des admins c'est le pompon mdr. surtout quand on manque autant de respect envers les membres de cette dite communauté, qui respecte pas qui ? ps. regardez comment vous agissez avant de parler de comment les autres agissent, merci :)
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selidren · 3 months
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
10/10
Il s'avère qu'il n'y a nul besoin d'engager des cuisinières canadiennes pour manger un pancake, et il existe même des appareils qui permettent de les fabriquer et de les cuire très facilement qui sont vendus aux Etats-Unis, alors j'en ai commandé un. Cependant, ces petites discussions ont poussé Constantin à parler de beaucoup de choses, de sa jeunesse par exemple.
Vous ne le savez peut-être pas, mais il y a des noms qu'il vaut mieux ne pas prononcer dans notre maison en présence de Madame Eugénie. Constantin se raidit lui-même toujours quand j'essaie de lui parler de sa mère, et Adelphe reste obstinément évasif sur le sujet de ses tantes ou même de son oncle. Les confidences de Constantin, si elles ont fait rire Cléo et Noé, ont été entendues par Madame Eugénie, qui est aussitôt aller s'enfermer dans sa chambre. Elle ne l'admettra jamais, mais nous savons tous qu'elle est allée y pleurer. Je comprends leur douleur, car il suffit de parler aux bonnes personnes en dehors de la famille pour avoir les bonnes informations, mais je ne peux m'empêcher de me sentir mise à l'écart. Il y a des choses dont ils refusent tous de me parler, des sujets tabous. Mais quelque part, je suis heureuse que ces secrets disparaissent car ils refusent d'en parler aux enfants. Ce n'est pas plus mal. Il y a des choses peu reluisantes dans chaque famille, et je juge qu'il vaut parfois mieux les oublier. J'aime donc à croire que les erreurs de Jules ne laisseront pas tant de traces sur la vie de Lucien dont vous nous dites que c'est un si bon garçon. Votre époux semble juger qu'il manque d'ambition, mais cela est-il donc un problèmes à vos yeux ? Je me trompes peut-être mais je ne le pense pas.
Votre amie, Albertine
P.S. J'allais oublier. Au cas où Constantin oublierait de le mentionner à Jules, pourriez vous nous faire parvenir une recette de crêpe américaine je vous prie ? Connaissant mon mari, il fera la moue si jamais Madame Armadet nous cuisine une recette française.
Transcription :
Arsinoé « Cléo ! Papa s’apprête à raconter des histoires sur son enfance ! »
Cléopâtre « Chouette ! Je veux tout savoir ! J’ai besoin de matière pour nourrir mes textes, et nombre d’écrivains s’inspirent de leur enfance ou de celles de leurs amis pour rendre leur récit plus vivant. Je viens de terminer le livre de Louis Pergaud d’ailleurs. »
Arsinoé « Bien, tu me le prêteras. Alors Papa ? »
Constantin « Alors… Par quoi commencer ? J’ai beaucoup de bons souvenirs de mon enfance. Car j’imagine que ce sont de beaux souvenirs que vous voulez… »
Arsinoé « Oui oui. »
Constantin « Fort bien. Heu… Je n’ai pas vraiment d’idées... »
Cléopâtre « Peut-être quelque chose en rapport avec ces fameuses crêpes américaines. Ce sont des gaufres d’ailleurs, Papa. »
Constantin « Ah voilà ! Je te disais bien qu’elle s’était trompée de recette. »
Constantin « Alors… J’étais un petit garçon assez impatient. J’adorais ces crêpes et malheureusement, nous n’allions pas goûter chez Tante Jeanne autant que je l’aurai aimé. Je devais prendre mon mal en patience. Et une nuit, j’en ai assez d’attendre. »
Cléopâtre « Qu’avez-vous fait ? »
Constantin « J’ai attendu qu’Adelphe se soit endormi, car il allait sans doute descendre pour me surveiller, et je me suis relevé. »
Arsinoé « Vous êtes allé essayer d’en faire à la cuisine ? »
Constantin « J’avais parfaitement conscience que je ne savais ni la recette, ni même comment allumer le poêle, alors j’ai fait la seule chose qui me semblait logique à cet instant : je suis monté en haut et j’ai réveillé la domestique, il s’agissait de Madame Horideau à cette époque. Je lui ai demandé de me faire des crêpes américaines sur le champs. »
Arsinoé « Je n’arrive pas à croire que vous nous racontiez une de vos bêtises. »
Constantin « Et pourtant… Pour une raison que je ne comprends toujours pas, elle a accepté et s’est mise au travail à la cuisine, pendant que j’attendais sur une chaise. C’est alors que Tante Lucrèce est arrivée. Oh elle n’était pas contente du tout... »
Cléopâtre *chuchote* « Attends, LA Lucrèce ? Celle dont personne n’ose même prononcer le nom en présence de Grand-Mère. »
Arsinoé *chuchote* « J’en ai bien l’impression... »
Constantin « Allons cessez ces cachotteries et laissez moi terminer ! Tante Lucrèce m’a sermonné bien sévèrement, et avec raison car je n’ai saisi l’ampleur de ma bêtise que quand mon pèrem’a personnellement corrigé. »
Arsinoé « Et Lucrèce ? Elle ne vous a pas puni ? »
Constantin « Oh si, bien sur. Elle était bien plus douce que mon père, mais elle avait quelque chose d’intimidant et de presque terrifiant quand elle se mettait en colère, même si jamais elle n’aurait levé la main sur un enfant. Elle a raconté l’histoire à Tante Jeanne, qui en a beaucoup rit après s’être honorablement indignée, puis lui a demandé de ne plus me service de crêpes américaines à moins que je ne lui demande la recette. »
Cléopâtre « Mais, alors pourquoi vous n’en avez plus mangé depuis si longtemps ? Vous en êtes tout de même au point où vous engagez une cuisinière de Kingston précisément pour vous faire des pâtisseries ! »
Constantin « Je n’ai jamais demandé la recette... »
Arsinoé « Mais… Tante Jeanne habite littéralement de l’autre côté du pont. »
Constantin « J’avais bien trop honte. »
Arsinoé « Alors pourquoi ne pas la demander à quelqu’un d’autre ? Cousin Jules a bien quelqu’un dans sa famille qui doit savoir les préparer. »
Constantin « Je… C’est une bonne idée Arsinoé. Je devrai le demander à Cousin Jules dans ma prochaine lettre… Je n’y avais jamais pensé... »
Cléo & Arsinoé *rires*
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #548 ~ L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Sofie Maja
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Je soulève la bâche et jette un oeil à mes bébés encore une fois. Aaah, dans quelques instants, vous allez changer de main ! De bonnes, croyez-le ! Mais ça va me manquer de plus vous bichonner après le travail à la mine...
Je me sens parfois stupide de parler ainsi à mes créations mais cela m'a toujours fait me sentir moins seule. J'exclue pas de faire des enfants un jour, mais ceux-là en tout cas sont bien les miens. Enfin, pas entièrement... ils ont une autre "maman" qui les attend. Je pense qu'elle sera ravie du résultat. Ah, nous approchons du QGR.
Il faut vraiment avoir une audace insensée pour penser que ça permettra un jour de ramener des titans vivants à étudier. Il n'y a que Hanji pour ça ; le major Erwin est aussi un visionnaire mais il manque de fantaisie. Heureusement qu'elle est là pour le secouer un peu ! Elle lui apporte ce grain de folie nécessaire. Je voudrais pas non plus que ça l'amène à trop d'imprudence. Je pense souvent à ce qui se passe quand ils sont de l'autre côté des Murs, face aux titans... Je me pisserais dessus à leur place, sans rire... Ils font tant pour nous, et avec tant de courage...
Le moins qu'on puisse faire c'est leur fournir le meilleur matériel. On s'en moque, des autres régiments, papa a raison. Les explorateurs méritent le top du top. Ils sont les seuls à s'intéresser vraiment à comment fonctionne ce monde de fous. Et il faut des fous pour y arriver, non ? Hanji en sera, et je serais fière de l'avoir aidée.
Elle ne sait pas que je viens avec la cargaison, ainsi que nos deux bijoux. Ce sera une surprise. Nous franchissons l'arche de la cour et la carriole vient se garer près des écuries. Je saute à terre, pas fâchée de me dégourdir les jambes. Je ne vois pas d'explorateur... enfin... j'entends le bruit d'un balai raclant le sol. Je pénètre dans la pénombre du bâtiment et l'odeur agréable des chevaux flotte autour de moi. Je regarde à droite et à gauche et aperçois une silhouette étrangement pâle et comme lumineuse qui fauche le pavé couvert de paille à l'autre bout.
Est-ce un explorateur ? Je l'interpelle et il lève le visage vers moi. Je me dirige vers lui et constate qu'il porte les ailes de la liberté. Bonjour ! Il hoche la tête sans répondre. Malgré son mutisme, il a l'air sympathique. Je voudrais voir un gradé, le capitaine Hanji. Elle est là ? Le ravitaillement est arrivé. Il hoche de nouveau la tête silencieusement, pose son balai contre le mur et se précipite dans la cour. Se précipiter, c'est un grand mot. Il est lui-même si grand qu'il n'a pas besoin de se hâter pour parcourir très vite la distance nécessaire. Il semble presque glisser par terre, comme s'il lévitait... Drôle de personnage ! Je devrais être habitué avec le bataillon ! Il n'a pas prononcé un seul mot mais je suis sûre qu'il a compris et est allé chercher Hanji.
Je me pose sur un ballot de foin et mâchonne une brindille en attendant, les pieds dans le vide. Le conducteur de la carriole est allé prendre une collation au mess. J'aime le goût du foin, c'est celui de la bonne terre de la surface. Moi, je vois surtout celle du dessous, et le soleil me manque parfois. Le foin a le goût du soleil, de la terre et du bon air. La vie devrait toujours avoir ce goût là. Si je pouvais être un cheval dans une autre vie, je me goinfrerai de foin tout le temps !
Un pas pressé claque sur le pavé et je saute sur mes pieds en souriant. Je l'attends, bien campée, les mains sur les hanches ; sa fine silhouette sautille à travers la cour d'une façon tout à fait familière. Eh ! ce n'est pas raisonnable après ce qui t'est arrivé ! tu devrais te ménager ! Elle me saute au cou en me remerciant encore de lui avoir sauvé la vie. N'exagère pas, j'ai fait ce que je pouvais. Le major a été très réactif. Ca a l'air d'aller, en fait.
Je l'écarte et fais le tour d'elle pour regarder son allure. Elle confirme que l'hôpital militaire de Trost a fait du très bon travail, elle ne sent presque plus de tiraillement sur sa cicatrice. Je comprends vite qu'elle veut se débarrasser de ce sujet et aller sur un autre. Elle se doute bien que si je suis venue en personne avec la livraison, ce n'était pas pour rien ; je quitte rarement la capitale, si ce n'est pour rentrer à la maison de temps en temps. Ses longs doigts fureteurs se promènent déjà sur la bâche... Minute, ma grande ! Sois pas si pressée ! Nos bébés font leur entrée dans le monde ! Attention !... ... TADAAM !!
Je tire la bâche d'un coup sec et le soleil vient frapper le métal poli et le bois verni. Hanji pousse une exclamation formidable et se met à rougir comme une gamine devant une friandise ! Elles te plaisent ? C'est la dernière version. J'ai collé au plus près de tes derniers plans. J'ai ajouté d'autres lanceurs de câbles, il y'en a dix en tout sur chacun, ce qui fait vingt. Avec ça, tu vas pouvoir carrément les immobiliser au lieu de juste les agripper. Tu pourras aussi viser des gabarits supérieurs, mais ce sera à toi de tester sur le terrain, je peux pas le faire moi-même. Le système de fixation au sol a été revu aussi.
Elle fait le tour de la carriole en se frottant les mains, les lunettes brillantes et les cheveux en pétard. Bon, ça a l'air de te convenir ! On parlera du prix plus tard. Je te cache pas que ça m'a coûté un peu plus que prévu... Elle m'annonce que Smith lui a alloué un budget plus important pour ses recherches et qu'elle tapera dedans. Parfait ! Il te prend enfin au sérieux ! Tu vas pouvoir les utiliser à votre prochaine sortie peut-être. Faut lui en parler. Nos bébés ne vont pas dormir ici longtemps, ils veulent se mesurer aux titans !
Elle hoche la tête frénétiquement et m'entraîne vers le mess après avoir caressé avec amour l'objet de notre collaboration. Je rabats la bâche dessus et la suis. Un verre serait pas de refus. Je ne vais pas repartir tout de suite, j'optimise mon déplacement, j'ai des clients pour la guilde à voir. Oui, le ravitaillement est succinct cette fois, le major a spécifié que la dernière expédition n'avait pas trop entamé vos réserves de matériel. Autant économiser.
On se pose devant une chope de jus de pomme et je lui demande des nouvelles du régiment. Le caporal te fait toujours la vie dure, dis-moi ? Elle répond en sirotant qu'il a pas le temps en ce moment car il forme sa nouvelle escouade, il est donc souvent dehors. De nouvelles recrues ? Exceptionnelles, je suppose ? Hanji me répond que je ne crois pas si bien dire, que ce sont des spécimens à part, presque aussi fascinants que des titans. Wouaah, tu dis pas ça à la légère, hein ? Ils ont quoi de spécial ?
Elle me dit qu'elle ne sait pas encore très bien mais qu'elle a procédé à des analyses physiologiques rapides et qu'elle a déjà détecté des choses étranges. Elle fera d'autres expériences plus tard. Des analyses physiologiques, carrément ?! A quoi ils ressemblent, ces phénomènes ? Elle m'explique alors des trucs auxquels je comprends pas grand chose, mais quand elle se met à me les décrire, je crois m'y retrouver. J'en ai vu un déjà ! Celui que j'ai envoyé te chercher, c'est un de ces jumeaux mystérieux ? C'est vrai qu'il avait un drôle d'air... Il ne parle pas ? C'est pas un peu ennuyeux, sur le terrain ? Elle m'assure que le caporal va se débrouiller. Si tu le dis...
Je veux surtout que tu prennes soin de toi et que tu commettes pas d'imprudence avec ces machines. Te laisse pas déborder par ton insouciance, tu sais que ça peut mal finir. Je veux qu'on me ramène le résultat de leur utilisation, pas ton cadavre. Le caporal a parfois raison de te canaliser. Elle fait la moue en protestant.
Promets-moi de revenir, c'est tout, et si ça tourne mal, tu galopes vite jusqu'ici ! Je te ferais de nouveau toutes les captureuses que tu voudras ! En encore mieux !
Elle continue de siroter son jus de pomme en me scrutant par dessus le rebord de sa chope. Avec Hanji, on sait jamais vraiment où on va. Il faut être très résilient pour servir sous ses ordres, je sais même pas si j'en serais capable. J'ai confiance en elle, mais... il y a toujours cette part d'imprévisibilité un peu folle qui guide chacune de ses actions.
Des fous pour comprendre un monde de fous... Quoiqu'on fasse, nous autres simples citoyens, on sera jamais à leur hauteur... et on comprendra peut-être jamais vraiment qui ils sont.
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basilepessoart · 3 months
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En Toute Honnêteté
A un éditeur boycotteur. Le fait que vous soyez un flottant, je m'en outre-branle.
Un minimum de connaissance du mag vous eût permis de constater que tout flottant a le droit d'y figurer, et d'y être dignement honoré. Je suis fan de plein de flottants, ou de voiles-vap (Bowie, Placebo, Mercury, Klaus Nomi, Bronski Beat pas "fan" mais c'était bien, je suis pas certain certain de l’hétérosexualité de Dave Gahan (Depeche Mode) et j'aime beaucoup, Brett Anderson (Suede) idem, et probablement d'autres).
Ce que vous auriez pu faire : "Cher Monsieur Pesso,
Votre roman est brillant, comme tout ce que vous faites. Quelque chose nous titille cela dit l'anus : pourriez-vous nous donner des précisions sur vos positions vis-à-vis des homosexuels hommes ? Nous sommes en effet souvent choqués par votre usage des mots "tante", "tarlouze", et autre "pédale". Cordialement, Les éditions...." C'est compliqué ? --- J'avais pourtant publié ce texte pour une amie qui me trouvait homophobe peu avant de recevoir mon manuscrit par retour de poste quelques jours après l'envoi comme s'il vous brûlait les mimines. Revoici le texte... Attention, la vidéo du beau Georgius pourrait sévèrement vous émoustiller. Moi je trouve ça sexuellement débile, comme toute l'homosexualité masculine, et je considère encore en avoir le droit. Vous vivez en Occident, à part beaucoup d'Arabes, beaucoup de noirs, et beaucoup d'extrémistes de droite, nul ne vous veut aucun mal, et sûrement pas moi.
"...: au sujet de mon "homophobie" (TM). T'as compris qui je suis. Si une personne comme moi peut régulièrement traiter les pédés de tantes et autres joyeusetés, ce n'est pas que je leur veuille le moindre mal.
Ce n'est pas non plus contre eux personnellement, en tant qu'humains. YWAMag a promu les gays comme n'importe qui d'autre, sans aucun boycott. Je n'ai aucun problème à reconnaître la qualité humaine de quiconque, quelle que soit son orientation sexuelle, même une que je désapprouve et qui, dans chaque livre sacré monothéiste, est décrite comme une abomination. Ca ne vient pas de moi mais de Dieu. Si t'es pas contente, tu le traites d'homophobe et on voit... D'autre part j'ai défendu dans mon travail de journaliste depuis dix ans les gays de la barbarie homophobe, article après article. En attendant je te mets un extrait du dossier que j'ai fait en 2 014 pour Georgius Saevarsson. Un très bel homme qui se trouve être gay mais pas une tantouze. Car oui, il y a une différence.
Cela dit il fait des trucs artistiques assez glauques et complètement tante, mais pas que. Le clip sur lequel j'ai écrit est à la fois très tarlouze et avec suffisamment de qualité artistique pour que je m'y sois intéressé. Je te mets aussi un extrait de son interview en anglais par moi. J'ai fait tout ça gratos, comme souvent, avec Anne à la technique. Je ne compte mon temps pour personne. Il est interné depuis des mois car détruit par le calvaire que nous vivons.
BP.
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multicloredturbulence · 9 months
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Photographe le temps d'un métier révolu? - Ou - Comment soutenir ce métier aujourd’hui. 
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(Cet article est une continuité du podcast "Freaks et Merveilles" : https://open.spotify.com/episode/0r15lTAt3Q12vo3AOSSOKs?si=2a0598e9760e47a3)
Un échange qui m'a fait réfléchir
Il y a quelques semaines, j’ai eu la chance d’être invitée au micro du podcast “Freaks et Merveilles” pour échanger avec Croque au sujet de mon métier, de ma passion et surtout des problématiques auxquels nous (les photographes) sommes confronté(e)s dans ce monde surchargés d’images. Un monde où notre travail semble perdre de sa force, de sa valeur et de son authenticité. Aujourd’hui, tout le monde est (ou se croit) photographe avec son smartphone dernier cri, mais être photographe c’est tellement plus que ça. Un(e) photographe pro a pris le temps de se former, d’étudier, de travailler son style, d'investir dans du matériel coûteux et de proposer un service complet (pré - event/séance - post event/séance) avec un suivi sérieux et une éthique de travail vis à vis de nos client(e)s et/ou modèles. 
Lors de cet enregistrement, nous avons principalement gravité autour de l’univers Drag (thématique du podcast) et de la précarité de ce milieu souvent “self made” sans subside et avec peu de budget. Néanmoins,  ces difficultés dépassent bien les frontières de ce monde et s'appliquent au secteur culturel / artistique en général et me questionne. J’en arrive à me demander si j’ai encore une réelle place en tant que professionnelle et si les images que je produis ont encore une réelle valeur dans une société qui paradoxalement sature la toile et les réseaux sociaux de pixels pour promouvoir business, activités, passions & projets.
L’idée de cet article n’est pas de pointer du doigts ou cibler certains secteurs, établissements ou artistes mais de permettre la mise en lumière d' une problématique et de proposer quelques pistes ou nous serions tous gagnants. En ce qui me concerne, il y a deux grands sujets - le respect du travail/ de la photo/ de l'œuvre et la rémunération pour un service rendu.
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Revaloriser la photographie / le métier
Je ne compte plus le nombre de fois ou l'on m'a contactée sur insta ou par mail avec une intro similaire à " J'adore ton travail, ton univers. J'aimerais tellement bosser avec toi mais nous n'avons pas de budget - défraiement 50€ possible" Comme beaucoup, j'ai accepté plusieurs fois ces conditions par amour, par passion du spectacle et de la photo. Avec le recul je me dis que je ne regrette pas d'avoir soutenu plusieurs projets que j'aime/j'aimais beaucoup mais ce qui me semblerait juste dans ce cas de figure est de proposer alors un échange à valeur égale.
Par ex: Hello, j'ai besoin d'une photographe pour tel ou tel projet / event. J'adore ton univers mais je sais que je n'aurai pas le budget pour m'offrir tes services. Néanmoins ce que je peux te proposer est X nombres de places pour un show (à valeur égale de ta prestation) que tu utilises en 1 soir avec des ami(e)s ou plusieurs soir seule ou en plus petit comité / ou je te donne pour un montant équivalent de ce que je crée (bijoux, vêtements, ...) Un "paiement" en visibilité ne rapporte (concrètement) rien à part quelques followers et likes sur un compte. Photographes amateurs (et pro) ne proposez pas vos services gratuitement, cela ne rend service à personne en bout de ligne. Le jour où vous passerez pro, votre point de vue ne sera plus le même.
En tant qu'organisateurs d'évènements, de soirées, de spectacles comptez un budget photo dans votre budget global. C'est rarement le cas mais rien de mieux que de pouvoir compter sur une série d'images pro pour promouvoir votre event ou les prochains qui suivront. La solution idéale (selon moi) serait d'avoir un(e) "In House photographer" . On ne parle pas ici d'un temps plein mais soit un petit contrat employé avec un nombre d'heures par mois si on peut se le permettre ou alors un deal fixe avec un contrat indépendant. Photographier (par ex) 2 shows / events / ... sur le mois avec une licence d'exploitation des images. Cela permet un revenu "fixe" pour le photographe et du contenu visuel de qualité assuré pour les établissements/ events manager / sociétés / bars... Meilleurs visuels, meilleure communication = retour sur investissement.
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Respecter le travail du photographe / l'œuvre
Non respect des droits d’auteurs est un autre sujet épineux et complexe. Par défaut, le copyright (mention du photographe) est obligatoire (sauf cas particulier / négocié en amont et facturé dans le cadre de la licence (droits / diffusion). Or, si vous avez omis de mentionner le nom du photographe à proximité de sa photo, - à titre informatif- en vertu de l’article XI.165, §2 du code de droit économique, - il appartient de veiller à mentionner le nom de tous les auteurs dont vous reproduisez les œuvres.-  un montant forfaitaire de 123,95 € correspondant à l’indemnisation minimum prévue dans le tarif de la SOFAM, société de gestion de droits) peut être exigé. (Ces tarifs sont consultables sur le site www.sofam.be). Faites en sorte que cela soit un automatisme. On signe son nom en bas d'une lettre, on utilise, diffuse une photo accompagné de la signature du photographe. Les droits d’auteurs étant assez compliqués, renseignez-vous (photographes) et posez un cadre très clair sur papier au niveau du droit d’utilisation et diffusion de vos images. Quel que soit le projet ou la personne / modèle / client… Faites le par défaut pour éviter des malentendus et surtout pour aussi permettre aux personnes concernées de réaliser et comprendre que payer un photographe pour une prestation ne donne pas full accès aux images, que vous en restez le propriétaire et que l’on ne peut pas faire n’importe quoi avec celles-ci.
Pensez également à respecter l'intégrité de l'œuvre. Nous avons travaillé longtemps pour trouver notre style, notre patte, notre formule magique retouche. On n’applique pas un filtre, on ne recadre/détoure pas une partie de l’image sans demander l’accord du photographe tout en lui partageant l'idée du visuel et ce pourquoi il sera utilisé et dans quel cadre ou contexte.
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Des petites attentions qui font la différence
De par notre métier, nous avons tendance à être discret(e), à nous rendre presque invisibles lors de nos prises de vues, spectacles et/ou backstage, mariage, corporate event ou séance privée. Notre discrétion, notre calme et concentration font de nous des photographes attentif(ve)s au moindre détail respectant nos sujets, leur concentration, leur espace et le public si nous sommes dans la salle. Néanmoins,  parfois cette force nous fait défaut et nous invisibilise. On se fond presque dans le décor à en perdre notre place au sein d'une équipe, d'un collectif. Si certaines choses sont parfois évidentes pour les hosts, owners, performeur/euses, modèles ça ne l’est pas pour nous si on ne le dit pas clairement. Je me suis souvent fait dire “ Oui mais il faut prendre sa place” comme si je devais me battre ou forcer quelque chose. Pourquoi ne pas juste la donner ou la recevoir .  De petites attentions ou paroles peuvent y contribuer comme - “N'hésites surtout pas à te servir ou aller au bar l’équipe est au courant que tu fais les photos ce soir” - “ On a prévu un petit quelque chose à manger après, prends toi une petite pause et viens avec nous” ou encore un petit mot pour le/la photographe lors des remerciements, partager son nom , site, et encourager le public à suivre leur travail & univers.  - Nous sommes des oiseaux solitaires mais aimons tout de même faire partie de l'équipe, de la famille, du collectif. 
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Bref, vous l’avez compris, , ceci n'est qu'un brainstorming de pistes et solutions pour (re)valoriser et respecter le travail des photographes pros (engagé(e)s - bienveillant(e)s) - respectueux/euses). Pouvoir replacer ce métier à sa juste place et le rendre plus viable sur le long terme. Dans ce monde qui vulgarise les images et les pixels à outrance évinçant tout le travail qu’il y a en amont et après pour livrer “le cliché” qui sera rapidement posté sur instagram et tout aussi vite oublié prenons le temps de les apprécier ces clichés qui un jour raconteront une histoire, feront partie d'archives et d'un autre temps.
Pour celles et ceux qui voudraient approfondir un peu le sujet,  ci dessous quelques liens utiles sur le sujet des droits d'auteurs : 
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verloren-y · 1 year
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11 Avril 2023
Ich habe allen Grund wütend zu sein ja. Scheiße ihr seit alle ICH HASSE EUCH ALLE. Oui j'ai hésité à écrire en allemand mais je vais pas le faire parceque nique ta mère je fais ce que je veux ta mère la pute. Je suis énervé parceque rien ne va. Que comme par hasard je ne peux pas venir le jours où tout le monde peut, mais en réalité on aurait pu déplacer ce jour. Puisque Luca l'avait proposé. Enfaite il y avait une solution, mais personne n'en avait rien à foutre. Il y avait une solution et on aurait pû y arriver, mais finalement non. Non parceque c'est trop compliqué et que quand c'est trop compliqué et que c'est juste UNE PERSONNE qui peut pas c'est pas grave, oui cette personne c'est toujours toujours moi. Toujours. D'ailleurs je crois me souvenir que quand ils ont fait une GRILLADE, chose que je n'ai plus faite depuis plusieurs années AU MOINS 5ANS. Bah écoute chérie tu travail bah temps pis. J'avais le covid du coup je pouvais pas venir mais je suis presque sûr que c'était planifié un jour où je travaillais. Et puis ça arrange tout le monde. Tu vois tu pouvais pas venir. Mais ça ne dérange personne. Ça ne dérange personne que ça fait depuis un ans que moi j'ai pas vu tout le monde. Tout le monde s'en fou de mon aniv, plusieurs personnes disais ouais trop cool oui jviens. Mais finalement non il y avait personne à part Sina Emma et Kimi je crois que c'est tout yavait Dala???? Je me souviens pas. C'est possible éventuellement mais en réalité je crois pas. Parceque ces gens il faut planifier. Mais bref enfaite je les aimes pas. Et ça c'est encore autre chose d'une part je suis énervé donc je m'en fou je les déteste. je les déteste parceque je mense qu'ils ne m'aiment pas. C'est la même chose qu'avec maman, qui me DIT qu'elle m'aime mais qui ne fait pas DE VRAIS EFFORTS pour moi. Ça ne te coûte RIEN de dire et parler. Mais réellement faire quelque chose c'est autre chose. Honnêtement Kimi elle m'énerve aussi là, mais c'est pas grave elle fait ce qu'elle peut.
Le truc c'est qu'on aurait pas trouvé d'autre jour que le 15. Le teuc c'est que quand l'organisation a été faite je me rappelais plus, rien n'est épinglé, pas de hashtag rien. Et puis les gens discutent beaucoup dans les salons et ça disparaît. Bon bah voilà. Je suis furax parceque peu importe si c'est de m faute que j'ai oublié que j'allais à un concert, je n'aurais pas pû venir ET j'aurais à nouveau été la seule personne qui n'aurait pas pû venir.
Donc tu sais uoi, enfaite j'en ai marre Anett est très gentille elle tente tout pour moi très gentil. Mais ça va pas marcher je suis furieux et je ne peux pas, je ne veux pas de ça. Donc avant j'avait commencé une phrase avec d'une part MTN d'autre part. Je remarque que j'aime vraiment pas tant que ça ces gens. Voilà bon c'est dégueulasse mais plusieurs que je m'en fou un peu ou même je commence à trouver Luca désagréable même il m'énerve on est tout le temps en conflit lui et moi et ça me fait bien chier j'en ai ras le bol. J'en ai marre que tout le monde fait comme si tout allait bien et que tout le monde fait comme si ils avaient leur vie sous contrôle et qu'en aprtie c'est le cas. Du moins sous un pt de vue professionnel. Moi non rien ne va. Je ne vais pas trouver de job et je reçois pas CE QUE JE VEUX. Alors je fais un caprice, chose que j'ai jamais eu le droit de faire parceque je suis un bon garçon et que je dois faire plaisir et être gentil et UNE POUPÉE, mais putain y'a rien qui va putain de merde je suis à bout. Je vais mal et en même temps je vais mieux qu'avant, j'ai tellement avancé et j'arrive pas à être fière parceque je fais des pas en arrières et que j'ai du mal à me gérer j'y arrive pas. Et c'est juste super dur. Et ça n'arrange pas que mon copain est pareil que moi. Littéralement on se ressemble tellement. Et moi je suis à la recherche de stabilité et de structure. Chose qu'on m'a jamais donné. Et je sais toujours pas comment vivre avec le jujement et comment dire aux gens ce qu'ils font c dla merde sans être GIGA offensant. Jsuis saoulé, je suis saoulé qu'apparemment je suis toujours le problème peu importe le groupe je suis jamais assez important. Je commence à croire moi-même que je suis pas important et pourtant je sais que la plupart des gens sont juste des gros nulos qui sont nul et kls arrivent juste pas à gérer et ils sont pas juste comme ça avec moi. Mais je problème c'est que je peux VOIR une autre réalité. Et surtout que quand j'aurais la possibilité, qu'on POURRAIT trouver une autre solution PERSONNE ne le fait. Alors que moi je le fais TOUT LE TEMPS. Je tente toujours de trouver comment tout le monde est heureux et tout le monde puisse venir et que même si ça marche pas que la personne a au moins l'impression qu'on a tout essayé et que c'est pas ma faute.
Mais là non, c'est juste MA FAUTE. Rien d'autre j'aurais dû le dire en avance et je sais moi perso que ça n'aurai rien changé mais bon
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eamjournal · 2 years
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Lettre 29
Dimanche 5 Mars 2023
Cher Hugo,
Comme tu le sais de la lettre précédente, nous nous sommes couchés vers 8h. Alors évidemment une bonne partie de la journée est passée à la trappe tant nous étions fatigués. Ainsi la journée du dimanche n'a vraiment démarré qu'à partir de 13h.
Avec Liam on s'est fait un giga petit déjeuner en se racontant tout ce qu'il s'était passé la veille. Que ce soit les impressions, les moments forts et ce que l'on avait pensé des gens. Il etait véritablement très content d'avoir passé cette soirée même s'il en ressortait très fatigué. Il aurait même aimé passer plus de temps à discuter avec certaines personnes afin de mieux les connaître parce qu'elles avaient l'air vraiment cools.
A la suite de ce moment il etait temps de passer se laver et pour Liam, de faire ses bagages. Il repartirait dans quelques heures. Il a longuement expliqué combien il etait content d'avoir passé ce week-end avec moi. C'est vrai que nous n'avions jamais passé autant de temps ensemble, je pense que ca nous a beaucoup rapproché. J'étais vraiment très contente de l'avoir avec moi, avec les années j'ai le sentiment que Liam fait partie de mes vrais amis. Amis que je ne perdrai surement jamais, même avec l'écoulement du temps et ça, c'est super rassurant et plaisant. J'aime à penser que c'est une personne idéale pour moi, pour être dans mon entourage, il est super positif et très bon ami.
Nous avons décidé de prolonger notre temps ensemble quand il a décidé de m'emmener chercher de l'essence pour sa voiture peu avant qu'il s'en aille. Le trajet était super marrant d'ailleurs, nous avons beaucoup ri, dit beaucoup de bêtises. Les routes du Havre sont décidément de grandes sources de fous rires et de blagues plus débiles les unes que les autres. Il y a toujours des choses absurdes qui rendent un rien vraiment loufoque. Et je pense que même si on s'y ennuie, je l'aime bien pour les moments comme ceux-là qu'elle peut offrir.
Après m'avoir ramené, Liam est reparti. Je me retrouvais toute seule et j'avoue qu'après une bonne douche et une épisode de série, je me suis complètement endormie. Je n'avais ni la foi de travailler, ni la foi de regarder la télé. Le décalage horaire provoqué par la nuit blanche m'avait assommé.
J'ai oublié de mentionner que du moment de son départ, jusqu'à la fin de cette journée, Thibault et moi n'avons pas arrêté de discuter et de nous chamailler en privé.
Enfin, cette lettre n'est pas la plus longue mais elle est pleine de réflexion. Saches que je pense à toi malgré tout et que je vois tes story ou tu découvres et t'amuses. Je repense aussi à ce que Liam m'a révélé à ton sujet, sur tes pensées.. enfin, passes une bonne nuit Zugot, je t'aime fort.
M.
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beatlesonline-blog · 2 years
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street-japan-style · 4 years
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Les Street Styles du Harajuku Market: Lutin (Mad & Kawaii / SJS)
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★ Peux-tu nous présenter ton style ? Comment le définirais-tu ? Il est varié, c'est un gros mélange de 15 ans de styles alternatifs divers et variés, c'est pastel, c'est sombre, c'est nerdy, c'est 80's c'est vraiment selon mon humeur. 
★ Comment cela t'est venu ? En découvrant des gens cools, j'ai eu envie de faire pareil et puis j'ai fait avec les envies du moment. 
★ quelles sont les réactions dans ton entourage ? Toujours positives, mon entourage proche adore et me soutient, la famille éloignée un peu moins mais c'est pas à mon âge qu'on va s'en soucier. Mes clientes me font confiance aussi à cause de mon look. Ça surprend les plus classiques mais elles sont vite habituées. 
★ Portes-tu ton style tous les jours ? Oui et non, ça va dépendre de mon mood. Parfois la flemme prend le dessus ou l'envie de discret ou tout simplement je travaille et je ne souhaite pas tacher mes vêtements cool. Bien que même dans mon travail je garde quand même une petite part d'originalité!! 
★ La pièce maîtresse de ta garde-robe ?  Alors il  a quelque temps j'aurais dit mes crops top mais c'est plus tant le cas, je dirais en ce moment ma collection de chaussures plateforme ou non. 
★ Des bonnes adresses ? Mon shop? mdrrr, les petits créateurs surtout car j'aime avoir des pièces originales en bijoux, pour les sapes c'est friperies et shop moldu pour la plus part du temps car je suis plus size et c'est parfois compliqué de trouver des trucs cool à ma taille et j'aime les sapes simples mais pleine d'accessoires. 
★ Si tu avais un conseil à donner à un.e débutant.e/nouveau.elle, quel serait-il ? Étudie les règles, suis-les et une fois que tu es familier avec tout ça, envoie tout valser pour prendre tous les détails qui te parlent le plus et faire ton trucs à toi. 
★ Les personnes qui t'inspirent ? C'est cliché à dire mais tout le monde! des fois c'est un simple truc qui va m'inspirer une tenue.
★ Présente un peu ta tenue ?  Alors je me suis inspiré d'une tenue réalisé par Alys, une lolita belge. Je voulais porter un nuisette et un bas large, j'ai fais des tests avec les nuisettes que j'ai et c'est parti complètement en cacahuètes. Mon premier essai n'était pas concluant, j'ai essayé avec cette jupe et j'ai brodé avec les accessoires que j'avais en rose et noir.
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acowenfrance · 4 years
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2020 a laissé beaucoup d'entre nous se sentir impuissants, mais avec cette nouvelle année il y a une chance de récupérer nos pouvoirs. Il n'y a pas de meilleure façon d'accueillir cette énergie en regardant la nouvelle série Fate: The Winx Saga , mettant en vedette Abigail Cowen , qui joue le rôle de Bloom dans cette nouvelle série Netflix. Bloom nous montre à tous que ce sont nos différences qui font de nous une force avec laquelle il faut compter. Si vous avez du mal à découvrir votre propre pouvoir unique, lisez la suite de notre entretien avec Abigail, qui discute avec nous de son expérience de travail sur le tournage de Fate: The Winx Saga , de son parcours en tant qu'actrice et de sa passion pour le mental. plaidoyer pour la santé.
𝐶𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐶𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡. 𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒.
Votre nouvelle série Fate , basée sur la série Winx Club , sortira très bientôt. Que pensez-vous de la sortie? Je suis très excité, mais je suis aussi très nerveuse. C'est mon premier rôle principal dans quelque chose. C'est un mélange d'émotions. C'est de l'excitation et des nerfs! Vous jouez Bloom. Pouvez-vous nous parler un peu de son personnage dans la série? Bloom est un étrangère. Le spectacle se déroule dans l'Autre Monde, mais elle est née dans le monde des humains. Elle a découvert vers 16 ans qu'elle avait des pouvoirs et elle a été envoyée dans l'Autre Monde pour apprendre à les contrôler. Elle est têtue, il s'agit donc en quelque sorte de son parcours d'apprentissage sur elle-même et de développement d'amitiés, tout en essayant de contrôler ces pouvoirs de feu. En quoi pensez-vous que vous êtes semblable et différent de Bloom? Je dirais certainement que je suis lié à sa personnalité têtue. J'ai été un peu têtu et dur toute ma vie. Je me rapporte beaucoup à Bloom en fait, surtout à cet âge et aux choses qu'elle traverse, à découvrir qui elle est et à s'entendre avec elle-même. Vous savez, les choses typiques que vivent la plupart des adolescents. Je me rapporte à sa volonté et à son entêtement maintenant dans ma vie. Je dirais que la différence est… je ne sais pas vraiment. Je dirais peut-être juste les pouvoirs de feu. Je n'en ai pas. Quelle a été selon vous la plus grande leçon que vous avez tirée de Bloom? J'ai tellement appris de Bloom. Ce qui vous différencie, c'est votre superpuissance. C'est ce qui vous rend spécial et beau. C'est ce qui fait de vous, vous. Mais cela peut être effrayant au début. En la jouant en tant que personnage et en passant par ces émotions avec elle, je pense que tout le monde peut comprendre cela. Toute la série apprend à accepter ce qui vous rend différent et ce qui vous distingue. Je n'ai regardé que les premiers épisodes, donc évidemment, les fées apprennent encore à se connaître et il y a un peu de tension, mais comment cela fonctionnait-il avec autant de femmes formidables dans les coulisses? C'était incroyable! C'est tellement spécial quand vous avez une émission centrée sur les femmes comme celle-ci. Cela crée un environnement merveilleux sur le plateau et à l'écran. Le casting a juste ces femmes formidables et fortes qui se soutiennent toutes et s'encouragent les unes les autres. C'est formidable de travailler et d'être là. Nous sommes tous devenus de très bons amis et nous nous sommes bien entendus dès le premier jour. En vous donnant une seconde pour vous vanter, que pensez-vous avoir apporté à la table sur le tournage de Fate: The Winx Saga ? Vous savez, je pense que tout le monde a apporté quelque chose de différent. C'était le thème principal pour tout le monde. J'ai définitivement des manières étranges. Je ne sais pas si c'est une bonne chose. Je sais que c'est ce qui m'a été mentionné. C'était quelque chose dont je n'étais pas sûr de moi parce que quand je parle, je pense que j'ai des manières idiotes. Mais comme je l'ai dit, étant sur le plateau avec tant de gens qui aimaient et soutenaient vraiment ce qui vous rend différent, j'ai en quelque sorte pensé que cela pourrait être intégré à Bloom. J'ai pensé que c'était une belle réalisation pour moi. J'espère que cela répond à votre question, mais je ne sais pas si c'est un moment de vantardise. * rires* De quelles manières ce spectacle ou cet ensemble particulier vous a-t-il défié en tant qu'acteur? De toutes les manières possibles, pour être honnête. C'était mon tout premier rôle principal. C'était mon premier rôle lourd. Cela ne veut pas dire qu'il existe un petit rôle ou un petit acteur. C'était juste un rôle avec une responsabilité plus lourde. J'avais l'impression de travailler jour après jour, de longues heures dans des conditions météorologiques folles. Avoir cette quantité de responsabilité et les différentes émotions à représenter dans différentes scènes en une journée était beaucoup. J'étais très nerveux à l'idée de m'y mettre, et j'ai dû surmonter ces nerfs et sortir de ma tête, n'ayant jamais joué un rôle principal auparavant. J'ai vraiment dû me forcer à y aller et aussi simplement chercher le soutien et les conseils des gens sur le plateau. Avoir cet environnement favorable sur le plateau a été utile. Mais oui, cela m'a mis au défi de toutes les manières possibles - en tant que personne, en tant qu'acteur, en tant qu'ami. De toute évidence, cette version est un peu plus pointue que le Nickelodeon Winx Club . Mais d'une certaine manière, je pense que cela rend les choses plus faciles à comprendre pour les personnes de mon âge, les jeunes adultes. Quels types de leçons ou de moments espérez-vous que les téléspectateurs retiennent vraiment de ces épisodes? C'est définitivement différent. J'aime le dicton: «The Winx le public a grandi et nous aussi. Je pense que nous nous sommes vraiment concentrés là-dessus pour la série. C'était le programme pour cela. Il y a tellement de leçons à tirer. Je pense que l'aspect de l'amitié est merveilleux et important à embrasser. La plupart du temps, cela peut être une lutte dans le monde. Je pense que la façon dont la série décrit ces amitiés est spéciale car elle ne montre pas seulement cinq filles s'entendant avec des papillons et des arcs-en-ciel. Cela montre les inconvénients, mais que grâce à l'amitié, vous pouvez en sortir. Il montre les différents types de femmes dans l'amitié et l'acceptation, l'autonomisation et l'inclusion. Il est si important d'en faire partie et d'en tirer des leçons. Pour les personnes de l'âge des filles, elles peuvent regarder cela et être encouragées à s'accepter pour qui elles sont. A cet âge, c'est dur parce que tu veux t'intégrer. Je sais qu'à cet âge, je voulais être tout le monde, et je détestais ce qui me rendait différent. J'adore le fait que cette émission le montre, et cela montre l'amitié qui en découle. J'ai lu que vous avez grandi dans une ferme, souvent en jouant et en créant vos propres histoires. Rétrospectivement, comment pensez-vous que ces simples moments ont influencé votre jeu d'acteur maintenant? Oh mon Dieu, de toutes les manières possibles! En repensant beaucoup ces derniers temps, je réalise à quel point cela a affecté ma méthode. Je me souviens avoir joué à Barbies tout seul, ou je sortais avec mon frère et créais des histoires. Je mettais en scène sur des spectacles avec différents scénarios. Je créais constamment. C'était incroyable d'avoir cette liberté en tant qu'enfant de s'exprimer comme tu le voulais et comme tu l'entends. Cela permet également des possibilités infinies dans votre vie d'adulte, car vous vous habituez à permettre à votre cerveau d'aller où il veut. Quand j'étais jeune, je jouais aux Barbies et je créais ces histoires. Je commençais à pleurer sur l'histoire. Je me souviens avoir pensé: «Oh mon Dieu. Je peux pleurer comme ça? Peut-être que je peux être une actrice. J'étais tellement dans les émotions de ça. Je tire de ces moments maintenant, étant en contact avec différentes émotions. C'est comme un muscle que j'ai entraîné depuis que je suis enfant. Changement de vitesse… Je sais que vous êtes un ardent défenseur de votre santé mentale. 2020 n'a pas été facile pour nous tous, alors comment avez-vous veillé sur vous-même? Je me suis assuré d'être patient avec moi-même et de me donner la grâce. Avec cela, cela m'a aidé à ne pas être si en colère contre moi-même de ne pas vouloir être social ou de me sentir déprimé pendant une journée. Je pense que beaucoup de gens se sentent comme ça en ce moment et se sentent en colère contre eux-mêmes pour se demander ce qui ne va pas avec eux. Je pense qu'être patient avec soi-même est la chose la plus importante en ce moment. Et en réalisant que nous ne sommes pas les seuls à vivre cela. Nous sommes tous là dedans. Rien ne va pas avec nous. C'est juste la main que la vie nous a donnée en ce moment. Même avec ça, ça n'aide pas toujours. Je pense qu'il est important de faire de l'exercice, de bien manger et de se confier aux gens. Dites-leur que vous ne vous portez pas bien aujourd'hui. Le simple fait de le dire et d'être audacieux est, je pense, la chose la plus importante à faire, car c'est la plus effrayante. Je pense que c'est le plus effrayant parce qu'il y a une telle stigmatisation autour de la santé mentale et la stigmatisation autour de se sentir triste dans la journée. La stigmatisation dit que si vous vous sentez triste, déprimé, déprimé ou anxieux, cela signifie que vous êtes faible ou que quelque chose ne va pas avec vous. Ce n'est pas du tout le cas. Avec cette stigmatisation, les gens n'en parlent pas, et ils le refoulent. Ensuite, ils entrent simplement dans une spirale, et la situation empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. En entrant seulement dans les détails avec lesquels vous êtes à l'aise, qu'est-ce qui a déclenché votre passion pour parler de santé mentale? Quand j'ai traversé une période difficile au collège - après avoir été victime d'intimidation pour avoir les cheveux roux - cela m'a coûté très cher. J'ai été scolarisé à la maison en huitième à cause de cela. J'ai beaucoup appris sur comment m'aimer moi-même. C'est un long, long voyage. Cela va être un voyage pour le reste de ma vie, et je dois utiliser les outils dont je dispose pour m'accepter, m'aimer et me donner la priorité. Je dirais que cela en a déclenché beaucoup. Cela a vraiment frappé il y a quelques années lorsqu'un de mes amis proches s'est suicidé. Après cela, cela a frappé quelque chose en moi [d'être] aussi ouvert et vocal que possible sur les choses. Cela m'a ouvert les yeux de réaliser que tant de gens traversent cela en silence. Si une personne peut parler et dire: «Hé, tu n'es pas seul», ou simplement expliquer le processus chimique en cours dans le cerveau… il ne s'agit pas de dire aux gens qu'ils peuvent être «réparés», c'est de dire: «Hé, il existe une solution à votre douleur en ce moment. Ce n’est pas la fin, tout est tout. Faire ces choses est important. Si je peux être la seule personne à aider une autre personne, cela en vaudrait vraiment la peine pour moi. Je sais que les gens souffrent tout le temps, la douleur de subir les effets du suicide. Je pense que c'est l'une des choses les plus importantes dont il faut parler. Pour les jeunes qui vous admirent, quels conseils pouvez-vous offrir à quelqu'un qui ne sait peut-être pas comment défendre ses besoins mentaux? C'est difficile parce que certaines personnes qui passent par ces choses ne se tournent pas parce qu'elles ont l'impression de n'avoir personne à qui s'adresser. Mon conseil est qu'il y a toujours des lignes d'assistance à appeler. J'ai entendu des gens les appeler. Je sais que c'est quelque chose que vous pouvez atteindre. Mais même le simple fait de le publier et de toucher une seule personne et de parler à l'existence peut vous aider à l'accepter. C'est plus facile à dire qu'à faire. Vous pouvez même l'écrire ou un journal à ce sujet. Le sortir et ne pas avoir l'impression que c'est un sale secret est un premier pas important. Rappelez-vous qu'en ce moment, vous pouvez vous sentir désespéré et que cela ne va peut-être pas automatiquement, mais que demain est un nouveau jour pour que quelque chose de nouveau se produise dans votre vie. Cela vaudra la peine de rester dans les parages. Rappelez-vous qu'il y a de meilleurs moments à venir, car le principal problème de la dépression et de l'anxiété est que cela provient en grande partie du désespoir. Trouvez-vous quelque chose pour vous donner un peu d'espoir. Comprenez que la guérison n'est pas linéaire. Ce ne sera pas mieux demain. C'est un voyage et un combat. Vous devez vous battre. Je pense qu'il existe de nombreuses ressources différentes et j'espère qu'il y en aura d'autres à l'avenir qui seront plus accessibles.
𝐿𝑒 𝑚𝑜𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑚'𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡« 𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 ». 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑧 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒
Enfin, quelle est selon vous une bonne intention ou un objectif que tout le monde peut se fixer à l’entrée de cette nouvelle année? Je pense avoir de l'espoir. Le mot qui m'est venu à l'esprit était «espoir». Gardez la foi et continuez à trouver des moyens d'avoir de l'espoir sur ce que le monde sera et peut être. C'est beaucoup de ce que les gens vivent en ce moment, perdant espoir de trouver une solution à cette pandémie. Je pense qu'il est important de garder espoir et de manifester cela.
▪ source  ▪ traduit par ACFR.
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daemoninfo · 4 years
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FAQ : A la découverte de notre daemon
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Des choses à savoir avant de commencer la visualisation de notre daemon ?
Tout d'abord, avant de commencer quoi que ce soit, je pense qu'il est important de resignaler qu'un daemon est une projection de son « soi intérieur ». Voir son daemon relève complètement de l'imagination / la visualisation / la vocalisation / l'introspection. Personne ne peut voir ou entendre votre daemon à part vous-même.
Un daemon n'a pas d'impact de lui-même sur le monde physique. Il n'existe que parce que vous le faites vivre. Les daemons font partis de nous.
Il ne faut pas confondre le daemonisme avec la multiplicité ou même la tulpamancie. Ce sont des choses différentes. Légitimes, passionnantes et intéressantes mais différentes.
Alors, à quoi tout cela sert ?
Tellement de choses !
Vous allez découvrir un daemon ayant une personnalité qui lui est propre, souvent complémentaire à la vôtre. Ainsi, il ne réagira pas toujours de la même manière que vous. Il pourra, alors, vous donner un avis différent du vôtre, voir autrement une situation, vous conseiller sur certains points etc. Parfois, ses réponses pourront même vous surprendre. Ses actes et sa façon d'être vous en diront beaucoup sur vous-mêmes.
Sa forme physique animale, ses traits distinctifs, ses aptitudes peuvent être analysés et vous permettre de mieux vous connaître et vous comprendre.
Bien entendu, daemon reste un ami toujours là, prêt de vous. Il peut vous aider et vous conseiller au quotidien. Votre relation sera unique car il sera toujours « dans votre poche ». Il sera votre guide et votre meilleur ami, à la fois.
Est-ce que cette histoire de daemon est une secte ?
En effet, envoyez moi tout votre argent !
Non, je plaisante !
Non, avoir un daemon n'est pas une secte.
Pour les sceptiques, voila comment reconnaître une secte :
La secte a un chef (ou “gourou”) ;
La secte cherche à vous éloigner de vos proches et à vous couper du monde extérieur ;
La secte est souvent liée à des croyances religieuses et prédictions ;
La secte vous force à croire à certaines informations (considérées comme étant La Vérité Ultime) et rejette toutes critiques ;
La secte est souvent liée à la sexualité (obligations comme interdictions) ;
On vous demandera souvent de l'argent pour entrer (pas toujours au début pour vous amadouer) et participer à une secte ;
Il est difficile voir impossible de sortir d'une secte.
En espérant que ces conseils vous aideront dans la vie quotidienne.
Quelle forme animale donner un mon daemon ? Il ne peut pas plutôt être un humain ou un être anthropomorphe ?
Désolée de vous décevoir mais le daemon est toujours un animal (voir une créature aux caractéristiques très animales dans certains cas).
Pourquoi ? Après tout, il ne s'agit que d'imagination, non ?
Tout d’abord car le daemonisme s’inspire des romans de Philip Pullman, là où les daemons sont pratiquement uniquement des animaux (voir parfois des créatures fantastiques comme dit ci-dessus). Ensuite car le choix de votre animal peut en dire long sur votre personnalité. Etudier cet animal, connaître sa façon de vivre, ses habitudes, ses actions et sa symbolique peut être un exercice très intéressant et enrichissant.
Cependant, la daemon peut prendre la forme de confort de son choix pour s'amuser ou par envie. Il n’y a pas de mal à ça, après tout : tout se passe dans notre esprit et nous sommes entièrement libres dans notre tête. Il ne faut juste ne pas en faire la forme définitive de son daemon, au risque de n'être pas prit au sérieux par la communauté (dans ce cas là, peut-être que vous trouverez plus votre place dans la tulpamancie, par exemple).
Comment savoir quel animal est mon daemon ?
Normalement, le daemon prend instinctivement sa forme de lui même. Si ce n'est pas le cas, vous devez lui en proposer quelques unes. Le plus souvent, il prendra la forme d'un animal qui ressemble réellement à son daemian. Un individu peut alors dire “Je suis craintif mais curieux, plutôt stressé. C'est pour cela que j'aime être dans un petit coin, discret et au calme. Comme vous pouvez le deviner, je préfère de loin les petits groupes d'amis à la foule. Je suis plutôt économe et j'aime tout prévoir à l'avance. Je n'aime pas les surprises. Je peux donc en déduire que mon daemon est probablement un écureuil”.
Cela peut sembler simple mais trouver son daemon définitif nécessite un vrai travail d'analyse sur soi-même (et sur les animaux en général).
Surtout, ne ne forcez pas à votre daemon à prendre la forme d'un animal X juste parce que vous l'adorez ou que vous le trouvez est cool, puissant ou mignon. Ne vous mentez pas à vous même, si vous n'êtes pas si indépendant que ça, vous ne pouvez pas avoir un daemon chat, soyez honnêtes. Mais ne vous en faites pas trop, votre daemon n'adopte pas une forme unique au départ, il peut changer avec le temps ou adopter plusieurs formes différentes avant de trouver la bonne (avec des formes favorites). Profitez en pour faire tester ce qui vous convient au mieux ! On peut faire des essais et se tromper ! On peut aussi évoluer avec le temps !
Souvent, les jeunes daemians n'ont pas de daemon fixe, il change avec le temps. Lorsqu'un daemian sent réellement “construit”, son daemon peut garder une forme définitive.
Comment savoir si mon daemon est fixé ? En gros, “définitif” !
On dit que votre daemon est fixé quand il arrête de changer de formes.
Souvent, cela arrive suite après plusieurs analyses, lorsque vous sentez que votre personnalité est réellement stable. Vous vous connaissez bien et vous avez fait un véritable travail de recherche sur votre personnalité et sur votre identité. On dit que ça arrive souvent au début de l’âge adulte.
Des personnes pensent que notre daemon devrait changer plusieurs fois dans notre vie car nous changeons et évoluons durant toute notre existence (ou bien dans une situation traumatique, par exemple)… Mais il est plus courant de voir des personnes ayant un daemon précis qui ne change plus de forme.
Qu’est-ce qu’une forme de confort ?
Il s’agit de la forme de votre choix dont votre daemon peut prendre l’apparence et qui vous semble confortable au quotidien. Il peut s’agir d’absolument tout ce que vous désirez (animal, humain, créature inventée...) mais sans être la vraie forme fixée de votre daemon
Que signifie “une analyse” en daemonisme ?
Une analyse est le fait d'interpréter l’animal nous conviendrai le mieux suivant notre personnalité. Souvent, l’animal en lui même et ses traits métaphoriques sont détaillés suivant de nombreux critères (classification, apparence, mode de vie, sociabilité, biotope, alimentation, position sur l’échelle alimentaire, vocalises, moeurs... mais aussi la vision de cet animal à travers le monde, les légendes à son sujet, le perception totemiques..) puis transformés à notre échelle en tant qu’humain (exemple : un animal qui vocalise beaucoup -> une personne bavarde.) Ces analyses sont courantes sur les communautés anglophones mais absolument méconnues en France. Si une véritable communauté apparaît en France, j'imagine que des personnes se lanceront dans la création d’analyses. Pour ceux qui sont bons en anglais, vous pouvez lire (voir traduire) des analyses déjà existantes sur les différents forums traitant du sujet (daemonpage).
Qu’est que la “Forme de Pullman” ?
Il s’agit de la forme animale qui représente au mieux l’animal que vous êtes d’après des clichés. Par exemple, dire que la souris est timide, le lion courageux, le renard rusé ou encore le hiboux sage.
Qu’est ce que la “Forme Analytique” ?
Il s’agit de la forme animale qui représente au mieux l’animal que vous êtes d’après de longues recherches et analyses sur les animaux. Il est intéressant de beaucoup se renseigner sur un animal (lecture, documentaire…) et d’observer ses attitudes/comportements/lieux de vie/régime alimentaire/etc. pour trouver la bestiole qui nous correspond réellement.
Les deux formes étant acceptées sur les communautés.
Mon daemon a t-il un genre ?
Oui et non. Certains pensent qu'un compagnon mental est forcément “sans genre” car il n'est « qu'une » projection de notre subconscient, d'autres préfèrent lui en donner un.
A vous de choisir.
Souvent, on pense que le genre de notre daemon est différent du notre. Des clichés disent qu’une femme aura forcément un daemon de genre masculin, un homme de genre féminin. Quand n’est-il des personnes non-binaires ? Je pense que l'on devrait donner à notre daemon le genre de notre choix car il s'agit avant tout d'une question de confort personnel.
Mon daemon a-t'il un nom ?
Pas obligatoirement mais cela est vivement conseillé.
Le nom que vous donnerez à votre daemon doit représenter cette partie enfouie en vous. Il est très intime et personnel donc vous pouvez déjà arrêtez de taper “générateur de prénom” sur un moteur de recherche. Le nom de votre daemon n'a pas de règle à part ça, il peut être un mélange de mots bien choisis de la langue de votre choix, un nom purement inventé. Le nom peut être court comme long, composé ou non, être un simple surnom. Bref, vous êtes libres là-dessus.
Il n'y a pas de mal à changer le nom de votre daemon au début, après tout, vous-même vous changez encore et votre identité n'est pas encore fixée. Certains prennent plusieurs mois voir des années avant d'être sûrs du prénom à lui donner.
Quelle personnalité donner à mon daemon ?
Sur les sites anglophones, il n'est pas rare de retrouver des compagnons mentaux sarcastiques, affectueux, directifs, loufoques, sérieux…
En fait, chaque daemon a sa propre personnalité, façon de penser et de voir le monde. Votre daemon peut avoir une personnalité semblable à la vôtre sur certains points et totalement opposée sur d'autres. On peut également être complémentaire.
Si vous êtes très timide, votre daemon peut se montrer très sociable et vous poussera à aller vers les autres. Si vous êtes casse-cou, il peut être craintif et être cette petite voix qui vous dit « si j'étais toi, je ne ferais pas ça… ». Si vous êtes très joueur ou exubérant, votre daemon peut l'être également et apprécier les mêmes choses que vous.
Et le fun commencera.
La personnalité de votre daemon se forgera avec le temps et l'habitude, elle pourra soit vous mettre en garde lors d’une situation soit vous conforter dans vos idées. Comme pour le nom et le choix de la forme, elle peut évoluer avec le temps.
Les daemons ont-ils des sentiments qui leurs sont propres ?
Oui…et non.
Ses sentiments sont, souvent, les mêmes que les vôtres. Il peut être, ou non, triste/heureux/amoureux/etc. quand vous l'êtes. Il ressent vos émotions mais les traduit d’une autre manière : Pour un problème identique, il aura une façon différente d’analyser et de ressentir la chose. Pour faire simple, par rapport à vous, il aura généralement une approche et une réaction différente vis à vis d’une situation.
Comment visualiser mon daemon ?
Regardez votre main. Imaginez à présent qu'un oiseau se pose sur votre paume. Il s'agit d'un petit rossignol. Vous l'entendez chanter. Vous pouvez rapprocher votre autre main de lui. Vous cherchez à le caresser, il recule un peu car il est craintif mais, finalement, il se laisse faire. Vous sentez vos doigts caressant ses plumes douces et chaudes.
Si vous avez réussi cet exercice, eh bien, il s'agit de la même chose avec votre daemon. Pas plus, pas moins. Vous l'imaginez bouger, agir, faire du bruit à vos côtés. Vous pouvez également imaginer son toucher, son poids ou même son odeur. Regardez un bon film avec votre daemon couché sur vos genoux. Courez dans les bois avec lui. Discutez ensemble et plaisantez sur vos professeurs sur le chemin de la fac (ou autre niveau scolaire).
Si vous avez l'habitude de visualiser votre daemon, il peut même finir par apparaître (même en rêve !!) sans que vous ayez trop besoin de vous concentrer. Vous ne verrez cependant jamais votre daemon comme vous pouvez voir votre ordinateur ou votre chaise.
Quelle voix donner à mon daemon ?
Il arrive que votre daemon ait le même timbre de voix que vous. La même voix que celle que vous entendez dans votre tête en lisant ce texte. Si vous êtes imaginatif, vous pouvez inventer une voix personnalisée à votre daemon ou reprendre et modifier un peu une voix que vous connaissez déjà (en vrai, en film, en série, en dessin animé etc.)
Dois-je parler à voix haute à mon daemon ?
A voix haute, dans votre tête, comme vous le désirez (et tout dépend du lieu où vous vous trouvez, bien entendu…) Après tout, vous n'êtes même pas obligé de lui parler. Comme je l'ai écrit tout à l'heure, votre daemon, c'est une partie de vous, c'est votre imagination, vous êtes donc totalement libre sur ce point.
En réalité, une discussion avec son daemon est un monologue devenu un dialogue.
Petit exemple :
Une personne sans daemon : ”Arf, je galère pour réviser mes maths et faire mes exercices… bon, je pense que je m'en occuperai plus tard…”
Une personne avec un daemon (plutôt sérieux et un peu autoritaire) : « Arf, j'en peux plus de réviser ce contrôle de maths… et tout ces exercices, pfiou… - Écoute, t'as pas vraiment le choix ! - Mais ça ne sert à rien, je le sais que j'aurai une mauvaise note. En plus, à ce rythme là, je n'y arriverai jamais à temps. - Alors concentre-toi et bouge-toi ! Ça va être pénible, je sais, mais t'as sérieusement pas le choix ! - Mais j'en ai marre, ça me stresse ! - Alors calme-toi, détends-toi cinq minutes. Ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Si tu ne le fais pas, tu vas voir, ça va te retomber dessus. - Ouais… t'as sûrement raison… »
Le daemon n'a pas pu dire « je vais t'expliquer absolument tout ce que tu ne comprends pas, laisse moi faire ! » tout simplement parce que les daemons savent uniquement des choses que vous même savez.
Le daemon a permis, ici, à la personne de retrouver du courage et de ne pas abandonner trop vite et de l’aider à persévérer. C’est votre conscience qui vous aide à progresser et faire des efforts.
Puis-je avoir plusieurs daemon ?
Oui, mais c’est extrêmement rare dans la communauté. On peut percevoir la chose ainsi : “nous n’avons qu’une âme, donc nous n’avons qu’un daemon”. Après, tout dépend de l’individu et du but recherché. Il est plus courant de n’avoir qu’un seul daemon...mais c’est possible !
Est-ce que mon daemon est mon âme ?
Si vous croyez en l’âme, oui vous pouvez vous dire que votre daemon est, en quelque sorte, (une partie de) votre âme. Je pense que notre daemon est une boule de pensées qui arrive à tenir en place grâce à notre imagination et nos visualisations. Après, c'est à vous de décider et de ressentir la chose. Après tout, ce concept n'a aucun rapport avec une quelconque religion ou secte. Vous pouvez très bien être chrétien, juif, musulman, bouddhiste, athée, agnostique ou même scientologue et avoir un daemon.
Puis-je faire « apparaître » et « disparaître » mon daemon comme je le souhaite ?
Oui, en quelque sorte. Vous pouvez également juste décider de l'entendre ou de sentir sa présence sans même le visualiser. Si vous passez un long moment sans être en contact avec lui, pas besoin de culpabiliser : il ne pourra pas vous en vouloir ou se sentir délaisser : c’est une facette de vous même, après tout. Il ne s’agit pas, encore une fois, d’un être autonome ou “sensible” comme le serait une tulpa.
Vous pouvez également le visualiser dans un monde mental (nommé “Wonderland” ou “Innerworld”). Après tout, avoir un daemon, c'est donner vie à son subconscient. De toutes manières, vous ne pouvez pas le perdre : votre subconscient ne peut pas disparaître.
Je ne crois pas aux daemons.
J'ai souvent lu sur le net que dire « je ne crois pas aux êtres imaginaires » revient à dire « je ne crois pas qu'il soit possible de parler à une partie de nous même, de lui donner un nom, un genre, une personnalité et de l'imaginer sous forme physique ». C'est un peu comme si vous rétorquiez « je ne crois pas qu'il soit possible de se parler à soi même ». Mais je comprends que l'on puisse être sceptique au début.
Allez ! Je me suis bien renseigné, je me sens prêt. J'aimerais rencontrer mon daemon.
Comment suis-je censé commencer ma première discussion avec lui ?
Rappelez-vous que votre daemon est un ami que vous avez avec vous depuis toujours. Un ami qui connaît tout de vous, votre passé, vos sentiments, vos actes, vos secrets etc. Vous pouvez donc tout lui dire sans crainte.
Pour commencer, le mieux serait de se présenter à lui, comme si vous rencontriez un nouvel ami.
Pour les débutants, il est conseillé de d'abord lui parler avant de commencer à le visualiser afin de distinguer votre voix mentale de celle de votre daemon. Pour vous aider, donnez-lui un timbre de voix différent du vôtre.
D'autres choses à savoir ?
J’ai, probablement, oublié de nombreuses choses dans cette FAQ donc n'hésitez pas à me poser vos questions. Je vous invite également à faire une critique ou un commentaire. Si vous avez ou comptez avoir un daemon, vous pouvez m'en parler volontiers, cela m'intéresse. Si vous connaissez bien ce concept, n'hésitez pas à ajouter quelque chose ou à signaler une erreur.
Merci d’avoir lu !
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reveusedelanuit · 4 years
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Lettre à ma psy
Bonjour,
J'ai toujours été plus doué à l'écrit. Les mots sont comme des amis une fois mis sur le papier, qui m'aident à décrire ce que les paroles ne pourraient exprimer.
Lorsque nous sommes ensemble, je parle de tout, de mon entourage, de mes souvenirs, mais jamais de moi. Et comme je réponds "ça va" à la question "comment allez vous aujourd'hui ?" je me doutes que vous avez compris depuis longtemps que parler de ma personne me rend fébrile.
Mais il faut avancer, enfin, je crois que c'est ce qu'il faut. Parfois je n'en suis plus si sûr. Je ne sais plus si je dois escalader le mur devant moi ou attendre qui s'effondre avec le temps.
Tous les matins je me lève avec l'envie de dormir encore quelques jours, quelques années, mais mon corps se lève, poussé par cette routine qui me piétine. Je me lève fatiguée de cette journée qui a à peine eu le temps de commencer. Mon cerveau reprend déjà du service en me dictant ce qui est bon à faire pour ne décevoir personne. Ne pas s'énerver, ne pas soupirer, ne pas pleurer. Juste sourire et acquiescer.
J'ai des envies. Sortir faire une balade, faire du rollers, voir mes amis, faire du sport. Mais je n'en ai plus la force. Je n'arrive plus à puiser en moi ce qu'il faut pour faire tout ça.
Si je chante, si je parle beaucoup, si je ris fort, si j'écoute trop fort la musique, c'est avant tout pour ne plus penser. Je pense, je pense tellement, je n'en peux plus de penser. C'est épuisant à force. Je pense à plein de chose, à ses souvenirs douloureux, aux bonheurs que je n'ai pas, puis il y a cette voix en moi qui me dit que je ne le mérite sûrement pas, sinon j'aurais déjà eu depuis longtemps se bonheur entre les mains.
Après mon grand-père qui m'a traité de prostitué, après ma grand-mère qui ne comprend pas que je ne veuille pas tuer une souris, si petite soit elle, j'ai eu droit à mes propres parents et leur réflexions.
Nous parlions d'une de mes nouvelles acquisitions. Des oreilles de lutin (utilisé pour du Cosplay la plupart du temps). On en est venu à parler de mes différents styles vestimentaires et du fait que ma mère ne voulait pas sortir avec moi lorsque j'étais dans un style particulier. Je lui ai dit que si elle ne voulait pas sortir avec moi c'est parce qu'elle devait avoir honte de moi. Le "oui tu as raison" qui a franchi ses lèvres était inimaginable. Mon père a fini par surenchérir que je n'avais, de toute manière, pas de goût, qu'il était d'accord avec ma mère et que je devais arrêter de gaspiller mon argent dans un truc aussi idiot que le Cosplay.
J'ai rarement été aussi déçu, aussi triste, autant prise au dépourvu. De ses révélations, je garde tout. J'ai beaucoup pleuré leurs paroles qui tournaient en boucle dans mon esprit. Comment faire pour vivre comme avant ?
Je me sens vide et en même temps, pleine de tristesse. Je me noie lentement et l'enclume attachée à ma cheville ne m'aide pas à remonter. L'enclume, le poids des non-dits, des regrets, des colères non éclatées, des larmes trop retenues, des traumatismes, des critiques. Elle pèse lourd. Elle pèse toutes ses nuits à pleurer, à crier, à frapper dans les murs, à se faire du mal, à trop boire, à vomir à force de pleurer.
Elle pèse aussi lourd que moi, que ce corps trop gros que j'ai. Aussi lourd que ces cuisses qui ne passent plus dans mes shorts d'été.
Comment quelqu'un pourrait m'aimer ?
En plus de ce corps, je les fais fuir. Jusque dans mes cauchemars je reste le second choix.
À chaque fois que quelqu'un s'intéresse à moi, je fais tout pour le faire fuir, parce que j'ai une peur panique d'être abandonné. Je sais que si je ne les fais pas fuir volontairement, je finirais par les blesser, ils finiront par comprendre que je suis pas toute nette alors dans tous les cas ils partiront. Et je me retrouverais seule avec tous les souvenirs qui tourneront en boucle dans ma tête pour me dire que tout est de ma faute, que jamais je ne retrouverai ce que j'ai perdu et que je devrais vivre avec ces tourments toute ma triste, déprimante et inutile vie.
Et puis, de toute manière, comment pourrais-je infliger ma personne à quelqu'un. Je n'ai pas envie de les faire souffrir moi. La culpabilité détruit vous savez.
Si j'avais eu le courage de passer à l'acte quand j'ai faillit le faire, dans cette salle de bain, le jour du réveillon de Noël, cela ferait déjà 4 ans que l'on se rappellerait de moi comme on se rappelle d'un souvenir.
Et en 4 ans qu'est-ce qui a changé ? J'ai grandi. Mais je suis toujours aussi triste. J'ai l'impression d'être un corps vide qui avance grâce à on ne sait quel miracle.
J'ai souvent l'impression d'être déjà morte à l'intérieur. Mon corps réagit aux émotions, il rit lorsque c'est le moment, il est triste lorsqu'il le faut mais mon âme, mon coeur ne ressentent plus rien. Je n'ai pas été vraiment heureuse depuis des années. Je ne sens plus rien. Plus rien ne me fait vibrer, pas même la Wicca. Je sais que mon corps prend plaisir à faire ça mais moi je ne ressens pas ce plaisir.
C'est assez compliqué à exprimer et à expliquer mais je ne vois pas comment faire autrement.
Me comprenez vous ?
Parfois je me dis qu'une divinité, un dieu ou ce que vous voulez après tout, me veut auprès de lui et fait tout pour me faire trébucher.
Vous savez, il y a peu je voyais la vie comme une ligne, que l'on suit, qui va parfois à la rencontre de la ligne de quelqu'un d'autre, la quitte et retourne sur d'autres chemins. Mais en fait la vie n'est pas en 2D. Ce n'est pas une ligne qui serpente un chemin imaginaire. C'est tellement plus complexe. Elle va dans tous les sens possibles et la calculer à l'avance revient à faire des pronostics qui n'ont qu'une chance infime de se réaliser.
La vie sera toujours là pour nous montrer que nos pronostics sont erronés.
Alors, ai-je vraiment une chance ? Une chance d'être sauvé ? Une chance d'aller mieux ? Je ne sais pas. En ai-je envie ? Parfois non. Je ne me plais pas dans ma noirceur mais elle me rassure. Au moins je ne me fais pas de faux espoir. Et qu'y a t'il de pire que de voir tous ses espoirs s'évaporer en un claquement de doigts ?
Ces espoirs déchus sont une part de mes souffrances. Lorsque l'on est petit on nous dit souvent "si tu y crois tu pourras tout faire". Foutaise
J'ai cru en mon rêve pendant des années, il ne m'a jamais quitté. Il était un bijou à chérir. J'en ai pris soin comme on prend soin des choses qu'on aime. Je me suis battue pour le réaliser en oubliant tout le reste, en l'oublient moi même. Il en vallait la peine alors j'ai passé mon temps a me perfectionner. Mais un jour, un mur que je n'arrivais pas à franchir le bloqua la route. J'ai tout de suite compris. Je me suis acharnée pendant des mois mais je n'ai jamais réussi à le franchir.
On m'a tellement fait croire que tout était possible quand on y croyait que j'ai fini par penser que c'était vrai.
Loupé.
Mon rêve c'était pas seulement être vétérinaire. C'était faire un métier que j'aime, dans lequel je puisse m'épanouir mais surtout un métier où je pouvais me rendre utile. Je voulais soigner, guérir, aider les animaux.
La tristesse est palpable lorsque j'écris ces mots. Je me déteste d'avoir échoué. Je me déteste pour tant de choses mais ça c'est pire que tout.
Adrien méritait plus que moi de rester sur cette terre. Il était intelligent, avait du potentiel mais surtout il avait une force de caractère que je lui envie.
Il était toujours si heureux et souriant.
Foutu cancer.
Maintenant, en attendant de retrouver un stage je travaille dans un bar tabac. Les propriétaires sont des amis à mon papa. Je ne suis pas a plein temps mais j'ai quand même une bonne paye a la fin du mois, de quoi économiser.
Je pars en vacances tout le mois d'août. Reposez vous bien.
Avec la hâte de vous revoir.
Sincères salutations.
Enola
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fallenrazziel · 3 years
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Les Chroniques de Livaï #524 ~ DANS LE DOUTE, ABSTIENS-TOI (juillet 846) Ada Barrett
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le  personnage   le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le   plus fort de    l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur   ?   Qu'est-ce   qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en   devoir de   répondre à ces questions en vous livrant ma  propre vision   de sa vie, de   ses pensées, des épreuves qu'il a  traversées, ainsi que   celles des   personnes qui l'ont côtoyé, aimé,  admiré, craint,   détesté. Si   j'essaie le plus possible de respecter le canon,   quelques libertés    seront prises sur les aspects de sa vie les plus   flous. Quelques    personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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J'attrape mon plateau et me mets en quête d'une table un peu à l'écart. Les rangs du régiment ne sont pas encore reconstitués, ce n'est donc pas difficile de trouver un peu de solitude à l'heure du dîner. Je ne peux pas m'empêcher de jeter des regards autour de moi à chaque fois, comme si quelqu'un m'observait. Mais non, personne ne fait attention à moi ; il faut dire que j'ai veillé à ne pas me faire d'amis depuis que j'ai été mutée. Ce serait mauvais pour mes affaires...
Cette tambouille est vraiment aussi désagréable qu'on le disait dans la garnison. Je regrette nos repas à la caserne... Les explorateurs ont vraiment droit à ce qui se fait de plus mauvais en terme de nourriture. Mais c'est pas non plus comme si j'avais le choix. Alors j'avale la mixture à peu près liquide dans mon assiette en me disant que mon mari et mes enfants peuvent aussi se remplir l'estomac en ce moment grâce à ce que je fais.
Je continue de maudire le jour où tout a basculé pour moi. Je me suis mise toute seule dans ce pétrin, et je dois assumer, comme je l'ai toujours fait. Mais toute cette injustice me met en rage à l'intérieur. Je ne me sens pas liée à tous ces types qui pensent que mourir pour l'humanité est un objectif héroïque. Ils n'ont pas de famille à charge pour la plupart. Je ne peux pas penser comme eux.
Je suis soldat depuis mon adolescence. C'est suite à une rixe dans un bar que j'ai rencontré Charly. Il m'a tout de suite tapé dans l'oeil, avec son air effronté de faux mauvais garçon, et j'ai compris que je ne pourrais plus me passer de lui quand il a commencé à occuper toutes mes pensées. Ca affectait même mon boulot. Trouvant ça intolérable, j'ai pensé que le mieux était de lui demander de m'épouser. Ca fera dix ans cette année... Je touille mon potage froid et me dis alors que tout s'est passé en un éclair.
Ca n'a pas été facile de mener mes deux grossesses avec mon travail à la garnison, mais on s'en sortait finalement. Mon salaire nous faisait vivre en grande partie, et Charly travaillait sur des chantiers un peu partout dans le Royaume. Ce n'était pas très bien payé mais nous manquions rarement de quelque chose grâce à notre débrouillardise. On était une bonne équipe ; j'aime penser que nous le sommes toujours, même si...
Je n'arrive plus à me mentir sur le goût infect de cette saloperie, et je pose ma cuillère, décidée à ne plus en avaler. De toute façon, je n'ai plus faim. Je lève les yeux de mon assiette et scrute un peu le réfectoire. Personne ne se dirige par ici. Tant mieux, je vais pouvoir ressasser mes problèmes tranquille encore un peu... Je sais que c'est mauvais pour mon moral d'y penser constamment, mais je ne peux pas faire autrement. Je n'en reviens toujours pas de notre malchance...
Charly a eu un accident. Tombé d'un toit, qu'on m'a dit. Il ne fallait pas compter sur une indemnisation à vie. On a vite grignoté le budget... Les médecins ont coûté cher, tout ça pour me dire que mon Charly serait infirme le restant de ses jours... Je suppose que n'importe quelle autre femme se serait effondrée en pleurant, mais ça n'a jamais été dans mon tempérament ; il ne m'aurait pas épousée sinon. J'ai juste retroussé mes manches, assuré des gardes de nuit et des missions dangereuses dans l'espoir de gagner un peu plus. Je ne rentrais pas tous les soirs, et avant que je m'en aperçoive, mes petits avaient bien grandi.
Charly ne se plaignait pas de mon absence. Peut-être que je le fuyais, et qu'il s'en doutait, après tout. Et puis après ça, une saloperie de maladie s'est attaquée à mon aînée, ma petite Cäcilia... J'ai cru craquer cette fois... Elle n'allait pas bien depuis l'accident de son père, une dépression ou autre chose... Elle avait aussi besoin d'un traitement pour la pousser à s'alimenter ; elle maigrissait à vue d'oeil... et je ne savais pas quoi faire de plus. Pour la première fois de ma vie, j'étais démunie et sans solution à un problème. Mais je me suis dit "non, Ada, il y a toujours une solution". Et elle s'est présentée de façon fortuite.
J'attrape le pain, me mets à le mâchonner, et lui trouve un goût de vieille farine. Il se transforme en bouillie dans ma bouche. C'est toujours mieux que le potage... Je déglutis avec difficulté.
Ca s'est passé quand... ce marchand véreux a proposé de me payer pour que je ferme les yeux sur son trafic illégal. J'étais tombée sur son entrepôt personnel en faisant ma ronde et en furetant un peu. Il m'a tendu une liasse de billets... et une petite lueur d'espoir s'est allumée en moi. Je les ai pris, et constaté que ça faisait un bon paquet d'argent... Je me suis dit que... ça ne ferait de mal à personne si j'arrondissais mon salaire par ces méthodes. La garnison est pas aussi pourrie que les brigades, cela va sans dire, mais je savais que ça se faisait. Moi, j'avais jamais trempé là-dedans, on m'a toujours appris l'intégrité - valeur familiale. Mais j'en avais tellement besoin... Ma famille allait se disloquer, et j'étais prête à tout pour éviter ce cauchemar...
Je ne pouvais tout simplement pas admettre que ces êtres que je chérissais depuis dix longues années puissent m'être enlevés, comme s'ils n'avaient jamais existé... C'était inconcevable. Alors j'ai continué et peaufiné la méthode. J'ai fourré mon nez partout où je soupçonnais des malversations et j'ai sollicité des pots de vin pour prix de mon silence - alors que mon devoir aurait consisté à arrêter les malfaiteurs. J'ai frayé avec de vrais bandits, qui ont malgré tout bien compris à qui ils avaient affaire. Je ne suis pas une faible femme, mais une vraie louve capable de montrer les dents. J'ai amassé beaucoup d'argent sale de cette façon. Et bientôt, les soupes à la maison ont commencé à être plus consistantes. Cäcilia semblait même reprendre goût à la vie.
Il va de soi que je n'ai jamais parlé à Charly de mes magouilles. Il croyait à ce que je lui racontais ; les augmentations de salaire, ça lui paraissait plausible. Ca aurait pu durer encore longtemps, peut-être pour toujours. C'était mon moral à moi qui en prenait un coup. Cela allait tellement à l'encontre de mes principes... Mais pouvoir faire manger les miens et payer leurs soins médicaux, cela valait ce sacrifice. Je savais que je risquais de me faire repérer ou dénoncer si quelqu'un fouinait dans mes affaires, mais je refusais d'y croire réellement. C'est ce qui m'a perdue, je pense... Je paie mes jours de malhonnêteté. Ma grand-mère disait toujours "argent mal acquis se paie doublement un jour ou l'autre".
Quand ce grand type dans son manteau noir s'est pointé à la caserne, une alarme s'est mise à teinter dans ma tête. Je savais qu'il était là pour me faire des problèmes. Quand il a prononcé mon nom, j'ai pas pu me défiler, tout le monde me regardait. Il m'a fait un signe de tête et nous nous sommes retrouvés dehors, loin des oreilles indiscrètes. Il avait tout l'air d'un malfrat, mais j'ai vite compris que je faisais fausse route. C'était un type important, trop pour jouer la désinvolture. Alors je me suis écrasée, tout le temps qu'il a mis à parler. Je bouillais de rage mais aussi d'appréhension.
Il a juste dit "nous savons ce que tu fais". Ce "nous", j'ai fini par saisir que ça voulait dire "des personnes haut placées auxquelles il ne faut pas chercher noise". Il m'a expliqué que si je ne voulais pas finir en prison, je devais me montrer obéissante et faire ce qu'on me demanderait. J'ai été saisie d'une peur panique pour la première fois de ma vie ! La prison ? C'était impensable !
Qui s'occuperait des miens si je devais être incarcérée ? Ils mourraient de faim tous les trois ! J'étais leur seul recours ! Ils avaient besoin de moi ! Je me souviens d'avoir supplié cet homme de ne pas me faire ça, car si je me considérais comme responsable de tout, ma famille n'y était pour rien. Jamais je ne me suis aplatie ainsi devant qui que ce soit ; mais ma dignité n'était qu'un détail... Je lui ai dit que s'il voulait quelque chose de moi, quelque chose de particulier, rien que pour lui... j'étais prête à le faire si ça pouvait régler l'affaire... Je serrais les poings, je tremblais de honte, mais j'étais déterminée...
Il a relevé les bords de son large chapeau en se penchant sur moi et je suis sûre d'avoir capté une lueur gourmande dans son regard sombre... juste un instant... Mais il s'est vite repris, et m'a répondu que si j'étais prête à faire ça, alors ce qu'il avait à me proposer serait un jeu d'enfant. Je me suis remise à respirer. Il était sérieux ?
J'interromps le cours de mes souvenirs douloureux pour me tourner vers une exploratrice qui s'assoit face à moi. Je la reconnais, on partage la même chambre. Elle me sourit timidement, mais je ne le lui retourne pas. Je ne suis pas d'humeur à engager la conversation. Je lui fais juste un signe de tête, me lève et prends mon plateau pour le ramener vers la cuisine. J'ai besoin d'air frais. Je sors du mess et me retrouve en plein soleil, dans la cour du QGR.
Ma présence ici est une conséquence directe de mon entrevue avec cet homme. C'était le marché qu'il me proposait : m'engager dans le bataillon et espionner les faits et gestes des vétérans. Je serais rémunérée aux résultats, que je devais communiquer - papiers, conversations, bruits de couloirs, secrets stratégiques - une fois par semaine à un intermédiaire. Tant que je m'acquittais de cette tache, ces "gens importants" veilleraient à ce que ma famille ne manque de rien. Et si je réussissais à fournir ce qu'on me demandait, l'éponge serait passée sur toute mon affaire.
Comment aurais-je pu refuser ? Cela me paraissait de vraies vacances comparées au danger auquel je venais d'échapper ! Je ne peux m'empêcher d'imaginer encore la disgrâce totale qui me guettait... Moi qui ai toujours enseigné l'intégrité et l'honnêteté à mes enfants, savoir leur mère en prison pour de tels motifs... Je n'y aurais pas survécu moi-même, je crois. J'aurais plus de chance de survivre aux titans... alors je les ai choisis.
Cela fait une semaine que je suis sur place, et j'essaie d'être la plus discrète possible. Mes compétences en filature me sont très utiles pour ça. Même si j'ai du ruser pour éviter le caporal Livaï dans les couloirs des gradés. Je sais pas, je peux pas le sentir, lui... Il s'est déjà retourné deux fois sur moi avec un air indéfinissable, et il y a que deux réponses possibles : soit je lui plais, soit il flaire ma duplicité. Aucune des deux options n'est réjouissante...
Heureusement, il est parti pour la semaine, le major aussi, donc j'aurais le champ libre pour tenter de pénétrer dans le bureau de Smith. Quoique, je vais quand même devoir éviter le nez de limier du capitaine Zacharias... J'ai déjà titillé un peu la serrure - le crochetage, ça me connaît -, mais elle doit être spéciale car je n'ai pas réussi à la forcer.
Je dois ramener quelque chose d'intéressant. Le type m'a fait comprendre que d'autres espions étaient sur le coup dans le régiment. C'est à celui qui ira le plus vite ; une vraie course contre le temps. Mais je ne dois pas me précipiter. Avec de la chance, un autre se fera piquer et ça détournera l'attention assez longtemps. Si ça m'arrive, ce sera peut-être pire que la prison... On m'a raconté des trucs sur les méthodes d'interrogatoire du capitaine Hanji Zoe... j'ai pas envie de tester, même si je ne sais rien de mon commanditaire de toutes façons.
Personne ne me mettra au trou. Et quand j'en aurais fini avec ça, je retournerais à ma petite vie d'avant, ni vue, ni connue. Charly, les enfants... vous me manquez tant...
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blad-693 · 4 years
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Regrets
Pendant des années, je vivais pour ne pas avoir de regrets. Parce que la dernière fois que j'en ai eu ça m'a massacré.. Ça m'a plongé dans une tourmente de regrets... Je n'en sortais jamais... Ça m'a pris un temps de malade et des efforts de força pour surpasser ces conneries.
maintenant... Je m'engage la tête en avant dans une source de regrets énorme.
Je vais me fracasser si je n'arrête pas la chute maintenant. Plus que je j'irai plus en profondeur, pire sera le crach. Je ne peux plus supporter le sentiment de faire quelque chose que je vais regretter.
mais le pire c'est que je ne serai pas seule à le regretter...
Je ne veux pas entraîner une famille dans ma chute. Ils n'ont rien demandé.
Si je suis faible de personnalité, et que je me laisse aller à mes désirs. Je suis à plaindre... Mais si ma faiblesse causera le malheur d'autrui, alors c'est criminel.
Je crois que le pire du pire... C'est que ça devient une histoire compliquée. Où je ne suis pas la seule à faire du mal. On est deux. Ça n'a pas de sens. Ça n'en a aucun. C'est tellement compliqué. Ça va dans tous les sens. Il n'y a rien de simple à expliquer dans cette histoire. C'est tellement compliqué... Que ça paraît être inexplicable. Peut-être que c'est vraiment injustifiable.
Je ne veux pas avoir de regrets. Et je ne veux pas être le regret de quelq'un d'autre.
La vie est belle parfois... Et c'est dans ces moments-là qu'elle mérite d'être vécue.
Je suis incapable de partager tout ce que je suis, tout ce que je fais avec une personne. Je peux divulguer un peu de vérité à une personne à chaque fois. Mais je ne peux pas tout déballer.
J'ai toujours eu ce petit sentiment... Celui d'avoir un avantage sur les autres en ayant une face cachée dont personne ne se doute. Et je ne veux pas perdre cet avantage. Ça ne m'intéresse pas du tout.
C'est en disant ça, que je réalise à quel point c'est con. Mais honnêtement, je m'assume... Je n'en ai rien à faire d'être bizarre.
On n'a pas les mêmes besoins. Mais on peut subvenir aux besoins l'un de l'autre.
Pour l'instant je me déteste. J'ai envie de disparaitre. Mais apparemment, ma souffrance apporte du bonheur à quelqu'un. Je crois que ça me va.
j'ai l'impression d'être hypocrite. Je pe demande si je ne fais pas ça par culpabilité. Parce que je n'ai pas apporté le soutien qu'il fallait à la personne qui en avait besoin il y a cinq ans. Maintenant je fourni ce petit soutien.
j'en prendrai la tête si cette fois aussi je foire la mise. Je ne me le pardonnerai pas si il finit par céder.
Je suis tellement pathétique à courir derrière la rédemption.
Je ne sais plus ce qu'il vaudrait mieux pour lui. Je ne sais plus du tout ce que je dois l'encourager à faire.
Au début c'était pour elles que j'avais de la peine. Hier c'était pour lui. Et maintenant je souffre pour les 3. Pour le présent et le futur.
Mes dames et Messieurs, nous sommes heureux de vous annoncer que le prix DramaQueen de l'année 2020 est décerné à notre rigoureuse Abir qui fait tant d'efforts pour faire de sa vie un véritable cauchemar.
J'ai envie de disparaitre. Je suis sûre maintenant que si je n'existais pas plein d'horreurs ne se seraient jamais produitent. Et je suis fatiguée d'avoir à me racheter... Ça devient fatiguant à la longue.
J'ai l'impression que dans ce monde il y a deux types de personnes. Celles qui font du monde a better place. Et celles qui pourrissent l'existence.
Je fais indiscutablement partie de la deuxième catégorie. Et je passe mon temps à essayer de rebalancer l'équation. Je suis vidée. J'ai envie de disparaitre.
Putain mais c'est quoi cette vie de merde à laquelle on veut mettre au monde des gamins. C'est quoi cet enfer.
Je crois que l'enfer et le paradis. C'est ici qu'on les vit. Il y a des gens qui passent leur temps à payer leurs conneries.
Qui a décidé qu'il devait y avoir autant de souffrance dans les sourires, dans l'amour, dans la haine, dans l'espoir, dans la déception, dans la lutte, dans l'echec, et même dans la victoire.
Quelque soit l'option qu'on choisit on vit la merde dans tous les cas.
Si on choisit de s'isoler. De vivre loin. Là où personne ne viendra pourrir nos journées. Où on ne doit de comptes à personnes. Où on ne fait partie de la vie de personne. On va souffrir de cette solitude profonde.
et si je m'amuse à entrer dans la vie des autres, alors je vais me retrouver en train de foutre le cauchemar partout.
Quand on écoute de la musique. Je pense à de la musique qui parle d'eux... Plus que celles qui parlent de ce que je ressens.
Je me sens bizarre. Je me sens vide. Ce n'est pas une question de cheminée et de charbon et de cendres. Je me sens inexistante. J'ail l'impression que tout me fait mal. Et que rien ne me fait du bien. Pouuf... Je n'aime pas déprimer.
J'ai besoin d'arrêter de vivre dans cette douleur.
J'ai besoin de me focaliser sur la vie des autres. Sur les vies que je peux rendre meilleures. Et j'ai besoin de voir des résultats vite.
j'ai besoin d'enfants.
Je sais ce qui me reste à faire.
Ouuuf. Ça m'a fait du bien. Maintenant les choses sont plus claires pour moi.
Je sais ce que j'ai à faire demain.
J'irai avec un CV... J'en profiterai pour demander du travail. Je veux me fixer ici question de rendre la relation impossible.
Ooooh je suis mauvaise.
Je ne peux pas faire le contraire de ce que je dis.
Je vais essayer non pas de me fixer alors mais de me stabiliser. Et je m'en fou des conséquences. Je suis fatiguée.
Je veux qu'il soit heureux. Maintenant c'est clairement une priorité. Et je veux qu'elle soit épanouie. Et je ne veux pas faire de mal à l'autre.
J'ai ce désir de me racheter que vais assouvir. Parce que ce besoin tourne à l'obsession et que je deviens malade quand je deviens obsessive. Je l'ai déjà vécu.
Je veux aller de l'avant. Et je veux gagner en autonomie. Je ne veux pas m'empêtrer dans une autre dépendance.
Je ne crois pas que j'en vaut le coup. Je crois qu'il se trompe à mon compte. Je peux apporter de l'amour, de l'affection, des soins, de la tendresse. Mais je ne peux pas être toujours présente. Je ne pourrai pas le sauver des malheurs du monde. Je ne pourrai pas l'empêcher de s'engager dans des conneries. Et je ne peux pas le dissuader de s'engager dans ses propres choix. Je ne peux que le soutenir. Parce que c'est ce que moi j'ai toujours désiré. Du soutien. J'ai déjà du mal à prendre des décisions pour moi. Je ne peux pas prendre des décisions pour les personnes que j'aime. Je sens que je n'ai même pas le droit d'influencer leur opinion.
J'ai tellement peur de lui faire du mal, et à elles aussi.
Ça me terrorise d'être un jour la source de son malheur.
Pourquoi est ce que les gens ont du mal à boir que je ne suis pas une personne bonne et généreuse. Même si je fais tout pour leur expliquer que je suis pourrie... Ils continuent à s'obstiner à croire que je suis une bonne personne.
Peut être qu'ils ont besoin eux aussi de crois que le monde n'est pas si affreux qu'il le prétend ou qu'il en à l'air.
On passe notre temps à se mentir. Nous sommes des hypocrites de haut niveau.
en tous les cas. Je suis la plus grande hypocrite dont je puisse admettee l'hypocrisie. Plus que ça ça devient de la schizophrénie, de la méchanceté, du mensonge...
Peut être que je me Berne à être à prétendre que suis à la frontière de l'hypocrisie alors que je me suis déjà engouffrée dans tous les pires vices de la société.
je suis un cas social.
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bekindalways-yt · 4 years
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Skam España [Traduction française] : Saison 4 Episode 8 Clip 1 – Cris, Nora, Viri et Eva
(Traduction anglaise de @skamesptranslations )
Cris
- Maman : Cristina, attends ton père car aujourd’hui il va nous emmener dans son taxi, le métro pourrait être rempli aujourd'hui, ok ?
[Message de Joana : Bonne chance, beauté. Dernier jour d'EVAU
Cris : Merci !!!!]
- Maman : Et quand tu finis tu reviens à la maison, car ton père veux partir tôt pour Zaorejas.
- Cris : Hum, je n'y vais pas.
- Maman : Quoi ? Tu m'as dit qua tu n’allais pas à Mallorca.
- Cris : Ouais, mais je préfère rester ici, maman.
[Message de Joana : J'aime ton t-shirt
Cris : ???? Comment tu sais ce que je porte ?
Où es-tu ?]
- Maman : Mais je ne vais pas te laisser à la maison toute seule un mois entier.
- Cris : Et Dani ??
- Maman : Dani doit travailler, des choses à faire.
- Cris : J'ai aussi des choses à faire, maman.
- Maman : Quelles choses ? Rester sur le téléphone, faire ton petit truc, tu es vraiment bonne à ça. Mais comment vas-tu passer tes examens , mon amour, si tu as ton esprit ailleurs, pour sûr, pas sur les révisions. Et je vois ça de là, si c'est ce à quoi tu penses est rester à la maison pour faire une de tes manigances, tu te trompes. Cristina !
- Joana : Bonjour.
- Cris : Bonjour. Je ne vais pas à Zaorejas, maman. Je suis restée un bon nombre de jours à la maison, à étudier et maintenant ce dont j'ai envie c'est d’être avec Joana. Car c'est ma copine. Pas mon amie, ma copine.
- Maman : Donc… C’était réel. Je pensais que c’était une phase, et que ça allait te passer.
- Cris : Et bien, non, maman, ce n'est pas une phase. De plus, j'ai été assez claire là-dessus.
- Joana : Et bien, humm, je pense que je suis peut-être venue au mauvais moment… je peux te déposer et ensuite…
- Cris : Non, non, non, reste.
- Joana : D'accord.
- Cris : Reste.
- Maman : Hey, pars, pars. Je parlerai à ton père et lui dirai que tu y es allé en métro, allez.
- Cris : Ok
- Maman : Allez.
- Joana : Et bah, quel moment de faire son coming out.
- Cris : Ouais, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je devais le dire à voix haute, maintenant c'est sortit. Ay, s'il te plaît…
- Joana : Et… Qu'en est-il des examens ?
- Cris : Meuf, je ne sais pas, j'ai tout oublié, je le jure, je suis vide, je ne sais même pas quel examen j'ai maintenant.
Nora
- Alejandro : Hey, t’inquiète pas, je suis sûr que tu réussira avec brio. Et le cas contraire, tu peux aussi le passer l'année prochaine, quand tu reviendra de New York.
- Nora : Ouais, le truc c'est que… Le truc c'est que, le, le truc de New York… comme, je ne sais pas. Je ne suis plus sûre.
- Alejandro : Comme, je sais que une année c’est beaucoup, mais… nous avons été longtemps séparés, tout les deux. Et nous voilà. Je t'attendrai.
- Nora : Non, c'est que… le truc c'est que, j'y ai pensé et… et je pense que je reste. Comme, de cette façon, je ne sais pas, je commencerais l'Université avec mes amis, et, et nous n'aurons pas à être séparés, hein ?
- Alejandro : Mais pour ta sœur ?
- Nora : Et bien, ma sœur… j'ai encore tout l’été à passer avec elle. Mais ensuite je reviens, et, je ne sais pas, trois mois avec ma sœur est bien, non ?
- Alejandro : Et bien, mais tu as toujours parlé de ton année sabbatique, voyager, savoir ce que tu veux étudier… Tu es sûre ?
- Nora : Oui. Oui, oui, je peux tout faire. Je peux partir, je verrais ma sœur, je voyagerai durant l'été, et ensuite je reviens, et de cette façon je commence l’année avec tout les autres et… nous n’aurons pas à nous attendre. Je veux être avec toi en ce moment.
- Alejandro : Je t'aime.
- Nora : Je t’aime plus. Humm… J'ai un examen et tout…
- Alejandro : Oh, putain.
- Nora : Oui, EVAU.
- Alejandro : Bonne chance. Ai confiance en toi, ok ?
- Nora : Ok.
- Alejandro : Tu peux le faire !
- Nora : On se voit plus tard !
- Alejandro : A plus ! Sois prudente ! Bonne chance !
Viri
- Hugo : Comment tu vas ?
- Viri : Horriblement. Je sais qu'il faut être calme, mais à chaque fois que je pense « calme toi Viri » je suis encore plus nerveuse.
- Hugo : Pareil, pareil. Je suis pareil.
- Viri : Hugo. Donne moi ta main.
- Hugo : Wow.
- Viri : Ça te porte chance. Jusqu’à présent ça a marché pour moi.
- Hugo : Tu me donnes ta chance ?
- Viri : Oui. Je te la donne.
- Dilan : Putain !!! Impossible, mec, impossible !!!! De tous les étudiants, la probabilité d’être nous trois les uns derrière les autres… Genre, genre, nous sommes meilleurs amis… Qu’est-ce qu'il y a, vous n’êtes pas nerveux, mec, pour l'examen le plus compliqué de tout l'EVAU ?
- Viri : Non, pas du tout. Tu es nerveux ?
- Hugo : Non, non, mec, pour être honnête non
- Viri : Pas du tout.
- Hugo : Je ne suis pas nerveux.
- Viri : Nous sommes vraiment calmes.
- Dilan : Je suis vraiment nerveux, wesg
- Hugo : Bien sur, parce que tu n'as pas étudier.
- Viri : Bien sur.
- Dilan : Fils de putes… Au faite, en parlant d’être nerveux… La semaine prochaine, croisière. Et je sais que tu n'y vas pas, Viri, mais… Hugo, Hugo, tu peux toujours venir.
- Hugo : Je ne viens pas, frère.
- Dilan : Allez, frère, juste parce que ta copine n'y vas pas tu n'y va pas.
- Hugo : Ce n'est pas ça. Je ne me sens juste pas d'y aller, je te l'ai déjà dis, mec.
- Dilan : Tu es si faux, mec.
- Viri : Hugo, ne le fais pas pour moi.
- Hugo : C'est lui, c'est juste un bavard de merde, comme, je n'y tiens pas tant que ça.
- Dilan : T'es un menteur.
- Hugo : Ne soit pas un rat, mec.
- Dilan : Tu es faux.
- Viri : Mec, tu vas vraiment aimer ça, comme, c’est une croisière, la mer, le futur biologiste de la mer… Tu en meurs d'envie. Écoute, je veux que tu y ailles, faire de la plongée, manger beaucoup de glaces, boire, fum… Non, pas fumer.
- Dilan : Oui fumer !
- Viri : Et, surtout, prendre des photos, beaucoup, et des vidéos, et tu me les envois toutes, ok ? Tu peux y aller, alors pars.
- Hugo : Mais ça ne saura pas pareil sans toi. Quoi, vous faites équipes maintenant ou quoi ?
- Dilan : Ouais, un peu, non ?
- Hugo : Écoute, je viens mais seulement si tu fermes ta putain de bouche mec, tu es la personne la plus agaçante que je connaisse, je le jure.
Eva
- Jorge : Et bien alors, les gens, on y va ou pas
- Eva : Attends, attends, non, non, attends, je dois regarder quelque chose.
- Jorge : Tu ne vas apprendre ce que tu ne sais pas maintenant, Eva.
- Eva : Non, et si les isotopes sont dans l’examen, hein ?
- Jorge : Alors tu es foutu, car tu vas échoué
- Eva : Hey, hey, hey, qu’est-ce que tu fais, idiot?
- Jorge : Quoi « idiot », c’est toi l’Idiote !
- Eva : Wow, tu es l’Idiot !
- Lucas : Vous êtes tous les deux des idiots, tous les deux.
- Eva : Mec, j’aimerais faire comme ça, et retourner en première année.
- Lucas : Et bien…
- Eva : Et bien, et bien, genre, sans examens…
- Lucas : J'allais dire, peut-être toi, mais…
- Eva : Non, non, non. Genre sans examens, ou d’autres choses…
- Jorge : Putain
- Eva : Mais nous avons passé un très bon moment.
- Lucas : Beaucoup, pour être honnête.
- Eva : Et c'est vraiment cool que nous sommes ici comme ça.
- Lucas : « Comme ça », comment ?
- Jorge : Comme ça, comme des amis, sans mauvais sang.
- Lucas : J'ai compris l'allusion. C'est vrai que j'ai été un petit peu con.
- Jorge : Un peu, il dit.
- Lucas : Juste un peu.
- Eva : Hey ! Es-tu… Et bien, retournons-y…
- Jorge : À tes isotopes.
- Eva : Humm, et bien, les gens, nous rentrons ou quoi ?
- Jorge : Allez, putain, oui.
- Eva : Allez.
- Jorge : Je ne sais pas cette merde.
- Eva : Eh, tu vas échoué !
- Lucas : Tu le sais.
- Jorge : Oui, je vais l'avoir, pas comme Eva.
- Eva : Hey ! Quel con, mec !
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