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#aide à mourir
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Après l’IVG, l’euthanasie
le piège machiavélique d’Emmanuel Macron pour l’opposition Par Gabrielle Cluzel Vous pouvez soutenir notre juste combat et abonnez-vous à Semaine du MENSONGE, 18€ un an, paiement sécurisé, envoi chaque lundi, cliquez sur l’image ci-dessous : Après l’IVG, l’euthanasie : le piège machiavélique d’Emmanuel Macron pour l’opposition [EDITO] À peine terminée la grand-messe solennelle de la…
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micmacplanet · 7 months
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un projet de loi sur l'aide à mourir
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L’activiste australien pour l’euthanasie, Philip Nitschke, annonce que son sarcophage, qui permet de se donner la mort sans douleur et sans assistance est arrivé en Suisse 17 juillet 2024. À l'intérieur de la boîte aux allures futuristes, un bouton libère de l’azote lorsqu’enclenché. La saturation du gaz fait perdre conscience à l’individu, qui finit par mourir par manque d’oxygène, sans douleur, en quelques secondes à peine. Comme la capsule est composée de matériaux biodégradables, «Sarco» peut également servir de cercueil à son utilisateur. Ce n'est pas un hasard si il ressemble à un moyen de transport futuriste, il aide les patients à effectuer un dernier voyage au cours duquel ils peuvent voir le ciel à travers le couvercle transparent. Le premier candidat, un malade en phase terminale, serait déjà arrivé pour son dernier voyage. Il reste encore à finaliser le côté juridique
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claudehenrion · 6 months
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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woodfrogs · 2 months
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ohhhh dans la version originale de les misérables (version théatrale, pas le livre) quand valjean aide à fantine, elle dit "Êtes-vous un ange ou un démon?J'aime mieux mourir qu'avoir encore de faux espoirs" et quand javert se tue il dit "J'avais le droit d'être tué [...] Pour ne pas voir Satan vainqueur [...] Je préfère quitter ce monde qui tolère les Valjean [...]" ça cest cool et nest pas dans la version anglaise lol
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marie-swriting · 3 days
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Je Ne T'abandonnerai Jamais - Dean Winchester
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Masterlist
Résumé : Tu pensais que ton père, Dean Winchester, serait toujours à tes côtés.
Warnings : Spoiler du dernier épisode de la série !, la reader est la fille de Dean, pas d'âge mentionné, mais la reader est jeune adulte, angst, mort de personnage, sentiment de désespoir, perte d'un parent, fin douce-amère, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Marjorie par Taylor Swift
Allongée sur ton lit, un livre en main et ton chien Miracle à tes pieds, tu attends patiemment que ton père et ton Oncle Sam rentrent de leur chasse. Depuis que les apocalypses, les guerres entre Anges, Archanges et Dieu se sont officiellement terminées, tu t’es mise en retrait pour les chasses. Tu aides toujours avec les recherches, mais tu vas moins sur le terrain. Tu peux enfin avoir une vie normale - aussi normale qu’on peut quand on est une Winchester - et Dean a soutenu ta décision, content de voir que ton avenir est rempli de possibilités.
Alors que tu es au milieu d’un chapitre, tu entends la porte du bunker s’ouvrir. Miracle lève la tête en même temps que tu poses ton livre sur ton lit. Vous trottinez jusqu’à l’entrée du bunker où tu trouves seulement Sam, le visage impassible, mais tu ne le remarques pas.
-La chasse a été bonne ? Où est papa ? questionnes-tu avec un sourire.
-Y/N, quelque chose s’est passé.
-Quoi ? T’as rayé Bébé ? rigoles-tu, mais ton sourire disparaît quand tu vois l’air grave sur le visage de Sam.
-Non, c’est Dean.
-Qu’est-ce qu’il y a ? Oncle Sam, qu’est-ce qui s’est passé ? Papa est blessé ? Il est où ?
-Y/N, attends, te retient Sam alors que tu t’apprêtais à quitter les lieux. Tu devrais t'asseoir.
-Je veux pas m’asseoir, je veux savoir où est mon père.
-On a trouvé un nid de vampires et on est allés les voir pour les tuer, mais Dean a été blessé.
-Mais il va bien ?
Sam reste silencieux pendant une longue seconde avant de reprendre la parole :
-Un des vampires l’a poussé contre une poutre et il y avait un gros clou qui en sortait. Il a été gravement blessé.
-Qu’est-ce que tu veux dire, Sam ? Dis-moi que mon père va bien !
-Je suis désolé, Y/N, Dean… Il est décédé pendant la chasse.
En entendant cette phrase, le sol se dérobe sous tes pieds. Tu n’arrives pas à y croire. Tu reste bouche bée alors que Sam continue de parler.
-Ton père voulait que tu saches qu’il a toujours été fier de toi et qu’il t’aime. Il m’a aussi dit…
-Non…, l’interromps-tu, les larmes aux yeux. Qu- Comm-, ce n’est pas possible, bégayes-tu en secouant la tête. Il peut pas mourir ! C’est Dean Winchester. Il a survécu à tellement de choses. Il peut pas être mort !
-Y/N/N, je suis terriblement désolé.
-Non ! t’écris-tu alors que Sam voulait te prendre dans ses bras. Je… j’ai besoin de…
Tu ne finis pas ta phrase, trop sous le choc. Tu cours jusque dans ta chambre, les larmes sur le point de couler, Miracle sur tes talons. Tu laisses le chien entrer avant de t’enfermer à clé. Complètement perdue, tu ne sais pas quoi regarder. Tes yeux se baladent partout dans ta chambre alors que les mots de Sam résonnent dans ta tête : “Il est décédé pendant la chasse.” Tu hoquettes alors que de grosses larmes glissent sur tes joues. Tu tombes à même le sol, alors que ton cœur saigne. Tu n’arrives pas à croire que tu as perdu ton père.
On pourrait croire que ça ne ferait pas aussi mal après que Dean a trompé la mort tant de fois, mais la douleur est toujours aussi horrible - si ce n’est pire, cette fois. Tu as grandi avec ton père et ton Oncle Sam, ta mère étant morte en couche. Ta famille n’est pas grande, mais tu les aimes d’un amour infini. Tu as dû surmonter beaucoup de pertes ces dernières années, que ce soit Bobby, Charlie, Castiel ou encore d’autres personnes, mais la peine que tu as ressenti à leur décès n’est rien comparé à ce que tu ressens actuellement. Tu es désemparée, suppliant dans le vide à ton père de te revenir. Miracle pose sa tête sur tes jambes, cherchant à te réconforter. Tu le regardes et tu souffres un peu plus.
Dean n’avait jamais voulu de chien, malgré tes demandes récurrentes. Il disait toujours qu’avec votre train de vie, vous ne pourriez pas vous en occuper comme il faut et surtout qu’aucun chien ne montrerait dans l’Impala tant qu’il serait en vie. Toutefois, quand votre vie est revenue à la normale, il a récupéré Miracle. Tu le soupçonne secrètement de toujours avoir voulu un chien et que ton caprice lui a servi d’excuse pour enfin en adopter un. Quand il avait ramené Miracle, tu n’avais pas été étonné de voir que c’était ce chien qu’il avait récupéré. Miracle avait réussi à se faire une place dans le cœur de Dean dès leur première rencontre, bien qu’il ne l’avouerait jamais… ne l’aurait jamais avoué.
Dean commençait enfin à avoir à peu près la vie qu’il voulait vraiment, loin des apocalypses à répétition et ça venait de lui être arraché tout aussi vite. Ce n’est pas juste. Ton père ne mérite pas de mourir si jeune et tu as encore besoin de lui. Tu auras toujours besoin de lui.
Tu restes appuyée contre ta porte avec Miracle dans tes bras pendant plusieurs heures. En fait, tu ignores combien de temps tu es restée dans cette position. Tu es paralysée, le temps a cessé d’avancer depuis ta discussion avec Sam. Peut-être qu’il s’est écoulé deux heures ou une journée, tu ne sais pas et tu n’as pas le courage de vérifier sur ton téléphone. Tout ce que tu veux, c’est ton père. Tu t’en fiches de l’heure ou si tu dois manger. Tu as juste besoin de Dean et de son réconfort.
Tu repenses à toutes les fois où tu as perdu Dean et aux différentes façons dont il t’est revenu. Il y a toujours eu une solution. Cette fois, il doit y en avoir une également. Son heure n’a pas encore sonné. Tu peux encore ressusciter ton père, peu importe le sacrifice que tu dois faire. Tu sèches tes joues et te lèves du sol. Déterminée, tu quittes ta chambre et marches jusqu’à la bibliothèque, Miracle te suivant. Tu sors différents livres que tu connais déjà et d’autres que tu n’as jamais lu mais qui pourraient t’être utiles. Sur la table, tu as au moins quatre piles de dix livres, pourtant ça ne te décourage pas. Tu pourrais lire mille livres, tant que tu finis par trouver une solution, c’est ce qui compte. Tu prends un bouquin et commences à le parcourir et tu notes sur un papier les informations susceptibles de t’aider.
Tu viens tout juste de finir une pile entière quand la voix de Sam te tire de ta lecture, te faisant sursauter. Sam te regarde, inquiet alors que tu ne lui prêtes pas plus attention et reprends tes recherches. Sam s’assoit en face de toi, mais reste silencieux. Il t’observe quelques minutes avant de prendre la parole.
-Tu veux en parler ?
-Non.
-D’accord. Je vais faire son enterrement de chasseur demain. Si tu veux me joindre.
-Ne brûle pas son corps ! t’exclames-tu suite à son information.
-Il le faut bien et tu le sais.
-Non ! Si tu fais ça, ça sera encore plus compliqué pour le sauver.
-Qu’est-ce que tu recherches précisément, Y/N ? questionne Sam, craignant la réponse.
-Un moyen de ressusciter papa.
-Y/N, on ne peut pas faire ça, dit-il fermement et tu le regardes sévèrement.
-Pourquoi ? Ça ne vous a pas arrêté, toi et papa, de le faire plein de fois avant, pourquoi est-ce que ça serait différent maintenant ?
-Parce qu’à chaque fois qu’on a voulu tromper la mort, ça a causé de gros problèmes, tu le sais bien.
-On pourra s’occuper des conséquences. Comme toujours. Papa ne peut pas être mort, pas comme ça, pas maintenant alors que tout allait mieux. Je vais le ramener, peu importe le prix, affirmes-tu en ouvrant un autre bouquin.
-Même si tu devais en mourir ? interroge Sam, surpris.
-Tant qu’il est en vie, c’est tout ce qui compte.
-Y/N, ton père ne voudrait pas que tu sacrifies ta vie pour lui. Il voudrait que tu la vis.
-Ça n’a pas de sens s’il n’est pas là, dis-tu alors que tes lèvres tremblent. J’ai besoin de lui, Oncle Sam. Je dois le ramener.
-On ne peut pas.
-Bien sûr que si, on peut ! On peut trouver une solution, défends-tu avant d’avoir une illumination. Je suis même sûre que si on demandait à Jack, il le ferait. Après tout, on est mieux placé dans l’estime du Dieu actuel, on est sa famille.
-Y/N, on ne peut pas le sauver, pas cette fois, insiste Sam, t’énervant.
-Si tu ne veux pas sauver ton grand frère qui a tout sacrifié pour toi, c’est ton problème, moi, je vais le sauver. Alors soit, tu m’aides, soit tu me laisses tranquille.
-Il est temps qu’il repose en paix, surtout après tout ce qu’il a vécu.
-Justement, après tout ce qu’il a vécu, il mérite enfin de vivre sans se soucier de Lucifer, Dieu ou je ne sais quel autre Archange.
Tu regardes Sam, un air déterminé sur le visage. Sam ne répond pas tout de suite avant de peser le pour et le contre et de t’avouer :
-Dean a spécifiquement demandé à ne pas être ramené car il connaissait trop bien les conséquences alors respecte son souhait.
-Il était mourant, il ne savait pas ce qu’il voulait. Maintenant, laisse-moi, j’ai encore pleins de recherches à faire.
Vaincu, Sam soupire puis quitte la bibliothèque. Il voit bien que tu es désespérée et dans le déni. Il a espoir que tu réalises bien assez vite que ramener Dean est dangereux et inutile. Il a juste peur que tu le réalises trop tard et que tu souffres encore plus. En tout cas, il a promis à Dean de toujours veiller sur toi et c’est ce qu’il va faire. Que tu le veuilles proche de toi ou pas, Sam sera à tes côtés pour te réconforter quand tu accepteras la mort de Dean.
Le lendemain, Sam fait l’enterrement de chasseur de Dean seul. Il a essayé de te convaincre de venir, mais tu as refusé, préférant te perdre dans tes recherches. Sam aurait aimé enterrer Dean plus tard, craignant que tu finisses par regretter d’avoir manqué ce dernier au revoir à Dean, malheureusement, ça devait se faire le plus tôt possible.
Sam s’inquiète de plus en plus pour toi. Tu t’es complètement renfermée. Tu ne fais que lire tous les livres de la bibliothèque et faire des recherches plus poussées sur internet sans dormir et manger. Il t’amène de la nourriture, mais tu ne manges presque rien et tu enchaines les nuits blanches, malgré ses protestations. Il ne sait pas quoi faire pour t’aider. Il savait que tu serais dévastée en apprenant le décès de Dean, mais il ne s’attendait pas à cette réaction de ta part.
Quelques semaines plus tard, la situation n’a pas évolué, si ce n’est que tu es maintenant enfermée dans ta chambre et non plus dans la bibliothèque afin d’éviter Sam. Tu lui en veux toujours de ne pas vouloir t’aider à sauver ton père. Tu ne comprends pas comment il peut être si passif face à toute cette histoire. Ton père aurait tout fait pour ramener Sam si la situation avait été inversée, tu en es sûre.
Tu finis de lire le dernier livre que tu as pris de la bibliothèque quand tu as une illumination. Tu penses savoir où chercher sauf que tu n’as pas vu le bouquin quand tu as fouillé toutes les étagères ou alors tu aurais commencé par celui-ci tout de suite. Dans le doute, tu inspectes le bazar qu’est devenu ta chambre avant de te rendre dans la bibliothèque et vérifier quatre fois. Tu essayes de te rappeler où est-ce qu’il pourrait être quand un souvenir te revient en tête. Tu l’as vu pour la dernière fois dans la chambre de ton père il y a quelques semaines. Tu n’as pas remis un pied dans la chambre de Dean depuis sa dernière chasse. Tu n’oses pas. Tu voudrais y aller. En temps normal, quand tu vas mal, il n’est pas rare que tu retrouves ton père dans sa chambre pour qu’il te réconforte, mais si tu y allais maintenant, tu ferais face à un lourd silence et tu ne veux pas y faire face.
À contrecœur, tu finis par marcher avec lenteur jusqu’à la chambre de Dean. Tu restes devant la porte pendant quelque temps, hésitant à entrer. Tu ne sais pas si tu es prête à entrer dans sa chambre, mais d’un autre côté, tu as besoin de ce livre, il pourrait être la solution. Tu prends une grande inspiration et tu ouvres la porte. La lumière du couloir pénètre dans la pièce et tu peux voir le lit fait, sa collection de musique et le livre que tu cherches sur le bureau. Tu allumes la pièce et tu fais de grands pas jusqu’au bureau, voulant quitter les lieux le plus vite possible. Toutefois, tu ne sors pas tout de suite. Sur la chaise de bureau, tu trouves une des chemises de ton père. Les larmes te montant aux yeux, tu la prends en main et la portes à ton nez. Tu humes l’odeur familière de ton père et tu fonds en larmes en un instant. Tu aimerais que Dean entre dans sa chambre et te dise de ne pas lui voler une de ses cassettes, comme tu as souvent l’habitude de faire. À chaque fois qu’il te réprimandait, il faisait comme si ça le dérangeait alors qu’il adorait voir qu’il t’avait transmis sa passion pour le rock classique. Sa chambre est maintenant tout ce qu’il te reste de lui et tu ne veux rien perdre de cet endroit, même l’objet le plus insignifiant comme le menu pour le burger à quelques kilomètres du bunker est d’une valeur inestimable.
Tes yeux tombent sur un papier posé au milieu du bureau. Tu le lis avec attention et découvres que c’est une candidature pour être pompier où tu peux voir la signature avec son nom en bas de la page. Tu sanglotes alors que tu repenses à la fois où ton père t'avait avoué ce qu’il aurait aimé faire s’il n’avait pas été chasseur.
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C’était il y a quelques années, un matin d’automne. Dean t’avait levé tôt. Trop tôt. À quatre heures du matin pour être précis. Il t’avait réveillé, car il voulait faire une journée père-fille. Voilà comment tu t’étais retrouvée dans l’Impala aussi tôt alors que tu dormais encore mentalement et que ton père était content de passer un moment avec toi.
-Tu sais, une journée père-fille peut commencer après dix heures, t’étais-tu plaint, en baillant.
-Tu ne vas pas regretter de t’être réveillée tôt, crois-moi. On est presque arrivés.
-Ça a intérêt à être génial sinon c’est moi qui choisis la musique dans la voiture la prochaine fois.
-Bien sûr que non ! Tu connais la règle, avait refusé Dean.
-Ouais, ouais, le conducteur choisit la musique et le tueur se tait. Je mérite quand même une compensation !
-Je t’ai pris des donuts, s’était-il exclamé en montrant la boîte rose à tes pieds.
-C’est un bon début.
Quelques minutes plus tard, vous étiez arrivés près d’un lac. Dean t’avait invité à sortir de la voiture et à vous appuyer contre le capot, les donuts en main. Malgré la fraîcheur du matin, vous aviez commencé à manger alors que le soleil se levait. Le ciel avait pris une magnifique teinte ambrée et le reflet dans le lac rendait la scène encore plus belle. C’était calme, à l’exception de quelques oiseaux se réveillant.
-Alors, ça en valait pas le coup ? avait questionné Dean avec un sourire en coin.
-Ok, tu avais raison et puis, les donuts sont délicieux aussi. Je ne te pensais pas fan de lever du soleil.
-Je peux m’intéresser à la nature, parfois !
-Arrête ou alors tu vas seulement manger de la salade comme Oncle Sam, avais-tu répondu avec un faux air apeuré, Dean a levé les yeux au ciel.
-Le fait est que c’est un bon moment à passer entre un père et sa fille, loin de toutes les menaces surnaturelles, avait dit Dean en te serrant contre lui.
-C’est vrai.
-Et comme ça, je peux me rattraper en tant que père, un peu.
-Tu n’as rien à rattraper. Tu es un père génial.
-Aucun enfant ne mérite de grandir comme tu as grandi, comme j’ai grandi. Je m’étais toujours promis de ne pas faire les mêmes erreurs que mon père et voilà que tu es quand même mêlée à toutes ces conneries entre deux cours, avait-il bougonné en évitant ton regard.
-Dois-je te rappeler que si j’ai commencé à chasser, c’est parce que je t’ai suivi, pas parce que tu m’as forcé ?
-Je suis encore en colère pour ça. Tu n’avais pas à nous suivre alors que tu ignorais la menace, ça aurait pu mal se finir !
-Le fait est que je t’ai sauvé les miches face à ces loups-garous, avais-tu rétorqué avec un sourire fier.
-Et tu as surtout eu de la chance. Je ne sais pas ce que j’aurais fait si tu avais été blessée.
-J’ai appris des meilleurs, il ne peut rien m’arriver.
-Ça ne veut rien dire. Avec Sam, on s’en est toujours tirés de justesse. Je n’aime pas que tu sois dans la vie de chasseurs, avait confessé Dean avec un regard triste.
-Je l’ai choisie. Tu me donnes toujours une porte de sortie et je ne la prends jamais, car j’aime chasser.
-Peut-être, mais j’aimerais que tu aies l’occasion d’avoir une vie normale, tu le mérites.
-Je ne chasserai peut-être pas toute ma vie, je n’en sais rien, mais pour l’instant, c’est ce que je veux faire. Pour être honnête, je ne sais pas ce que je ferais si je n’étais pas chasseuse. Et puis, tu mérites une vie normale aussi, tu sais, avais-tu affirmé fermement.
-C’est trop tard pour moi. Et puis, je ne suis pas fait pour la vie bien rangée. Mais pour toi, ça peut encore être différent.
Ton cœur s’était brisé en entendant ton père dire ceci. Tu aurais aimé que sa vie soit différente, que son père lui ait donné le choix quand il était jeune. Dean avait beau gardé ce qu’il ressentait pour lui, tu arrivais quand même à lire en lui comme dans un livre ouvert. Peu importe ce qu’il pouvait affirmer, tu savais que ton père aurait aimé une vie plus calme qu’il n’avait.
-Tu aurais fait quoi, si tu n’étais pas chasseur ? avais-tu demandé de but en blanc.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Si tu avais eu une vie normale, bien rangé, tu aurais fait quel métier ?
-Je ne sais pas, avait-il répondu, mais tu ne l’avais pas cru.
-Tu vas pas me faire croire que tu n’y as jamais pensé ! Je te vois bien dans un job où tu aides les personnes.
-J’aurais adoré être pompier, avait avoué Dean après une pause.
-Tu aurais fait un super pompier, j’en suis sûre. Qui sait peut-être qu’un jour tu auras la chance de le faire ?
-Je pense pas non. Je me suis fait à l’idée que je serai toujours un chasseur et sans la chasse, je n’aurais sûrement jamais connu ta mère et tu ne serais pas là et c’est tout ce qui compte, avait-il affirmé avec un sourire sincère.
-Tu resteras toujours là, hein ?
-Toujours, avait-il promis.
Vous aviez continué à regarder le soleil se lever en parlant de choses plus banales cette fois, tu t’étais notamment plaint de quelques professeurs et Dean t’avait partagé son expérience du lycée - tout en laissant de côté quelques détails pour ne pas être une mauvaise influence.
Le reste de la journée, Dean t’avait appris à conduire Bébé, chose qui n’arrivait pas souvent. Tu étais si contente de voir que ton père te faisait à ce point confiance. Tu avais bien écouté Dean afin d’éviter de faire une bêtise. Dean, quant à lui, avait adoré partager cet instant avec toi, malgré une certaine nervosité envers Bébé qui pouvait être abîmée à n’importe quel moment. Après ce jour-là, cet endroit était rapidement devenu votre endroit père-fille.
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En repensant à cette journée, tu réalises à quel point Dean avait enfin l’occasion de vivre vraiment comme il le voulait. Il allait sûrement réduire les chasses pour faire ce qu’il souhaitait faire depuis toujours et sa chance à une vie normale lui avait été arraché. Après tout ce qu’il avait vécu, il méritait cette chance.
De plus, tu prends conscience que plus jamais tu ne feras de journée père-fille où Dean te réveille avant le soleil afin que vous profitiez vraiment de chaque instant. Si tu avais su, tu aurais fait en sorte de mémoriser chaque seconde de votre dernière journée. Tous ces souvenirs font partie du passé et tu ne supportes pas cette idée. Tu ne peux plus rester un autre jour séparé de ton père, tu es désespérée et tu dois le sauver. Tu gardes la chemise en main pendant que tu fermes la porte puis, tu te mets à prier Jack, regardant en l’air.
-S’il te plaît, Jack, si tu m’entends, tu dois m’aider. Je te dérangerai que cette fois, je te le promets. Je ne te demanderai rien d’autre. J’ai juste besoin de mon père, tu dois le ramener. S’il te plaît, aide-moi.
Tu continues tes supplications, fermant les yeux comme si ça allait donner plus de force à tes prières. Au bout de quelques minutes, la voix de Jack disant ton prénom résonne dans la pièce. Tu ouvres les yeux et sautes dans ses bras. Il t’avait tellement manqué. Tu avais vite considéré Jack comme ton petit frère après sa naissance alors quand il a repris le flambeau après Chuck, tu avais eu un pincement au cœur. Tu es ravie de voir que malgré ses nouvelles responsabilités, il répond à ton appel.
-Je suis content de te revoir, Y/N.
-Moi aussi, tu n’as pas idée.
-Tu as prié pour me parler de Dean. Sache qu’il est bien au Paradis. Il le mérite après tout ce qu’il a fait, t’informe-t-il avec un sourire sincère.
-Il mérite de vivre, surtout. Jack, je sais que je t’en demande beaucoup, mais il ne peut pas rester au Paradis, il a une vie ici, il doit la vivre.
-Je ne peux pas faire ça et tu le sais.
-Tu es le nouveau Dieu, bien sûr que tu peux ! t’exclames-tu, outrée.
-Après tout ce qu’il a sacrifié, Dean peut enfin se reposer.
-Non, il peut enfin vivre ! Jack, tu dois le sauver, supplies-tu, les larmes aux yeux.
-Je ne peux pas détruire le nouvel équilibre qu’on vient tout juste d’installer et puis, il ne veut pas, Y/N, il sait le prix à payer et il ne veut pas que toi et Sam le payez, surtout toi, répond Jack, calmement.
-Tu mens ! Mon père ne me laisserait pas. S’il te plaît, Jack, je t’en supplie de m’aider. Que tu m’aides ou pas, je trouverai une solution, mais avec ton aide, je ferai moins de dégâts.
-Ma réponse reste la même. J’en suis désolé, insiste-t-il, t’énervant.
-Pars. Je me débrouillerai seule. Je n’ai pas besoin de toi ! Pars !
Déçu, Jack disparaît, te laissant seule dans la chambre de Dean. Tu n’arrives pas à comprendre pourquoi personne ne veut t’aider. Tu ne demandes pas à ramener un monstre, juste ton père alors pourquoi tout le monde te laisse tomber ? Tes larmes qui avaient cessé de couler refont leur chemin sur tes joues en une seconde. Tu en as marre de tout. Tu en as marre de pleurer. Tu en as marre que personne ne t’aide. Et surtout, tu en as marre de pas avoir ton père.
Fatiguée mentalement, tu finis par t’allonger sur le lit de Dean et serres la chemise contre toi, espérant que ça t’apporte un brin de réconfort. Tu continues de pleurer jusqu’à ce que tu t’endormes réellement pour la première fois depuis plusieurs semaines.
Un léger courant d’air caressant ton corps te tire de ton sommeil. Tu ouvres les yeux, ne comprenant pas d’où il vient et tu découvres que tu es sur la banquette arrière de l’Impala. Tu ignores comment tu t’es retrouvée dans la voiture de Dean. A peine relèves-tu la tête que tu vois la portière ouverte et ton père qui t’invite à sortir. Choquée, il te faut une seconde avant de lui sauter dans les bras. Dean te rend ton étreinte et te caresse ton dos alors que tu portes ton attention sur ses épaules qui bougent au rythme de sa respiration comme pour t’assurer qu’il est bien vivant. Au bout de quelques minutes, tu te sépares légèrement de lui et Dean te tire pour que vous puissiez vous appuyer contre le capot de l’Impala qui est garé devant le lac. Dean passe son bras autour de tes épaules alors que tu poses ta tête contre la sienne.
-Papa, est-ce que c’est un rêve ou la réalité ? Je suis perdue, je n’ai pas encore réussi à trouver une solution pour te ressusciter, comment tu peux être là ? Et comment je me suis retrouvée dans l’Impala ?
-Il faut croire que Jack a trouvé une solution pour qu’on se retrouve, répond Dean, te donnant espoir, malgré lui.
-Donc, c’est bon ? Tu es sauvé ?
-Non, ma puce. Jack et Sam avaient raison quand ils disaient que je ne voulais pas être ramené à la vie.
-Mais pourquoi ? Tu avais enfin ce que tu voulais ! t’indignes-tu en te séparant de l’étreinte de Dean.
-Je ne peux pas continuer à mourir et à revivre continuellement, il fallait bien que ça arrive un jour.
-Oui, quand tu serais vieux, très vieux, pas maintenant !
-J’aurais aimé que ça soit plus tard aussi, mais c’est comme ça, on y peut rien. Y/N/N, je ne veux pas que tu passes ta vie à trouver un moyen de me ramener, ça finit toujours mal. Je te promets que je ne regrette rien, je vais bien et je peux enfin me reposer. Tu dois continuer à vivre ta vie sans te soucier pour moi, répond-il, calmement.
-Mais j’ai besoin de toi, papa, rétorques-tu en secouant la tête. Il y a encore tellement de choses que j’ignore, j’ai encore tellement de questions à te poser sur le surnaturel, sur ce que je dois faire, sur comment être et d’autres questions auxquelles je n’ai pas encore pensées. C’est trop compliqué de vivre sans toi, dis-tu, la voix se brisant.
-Tu y arriveras, je sais que tu y arriveras. Tu es une battante, une Winchester. Je suis fier de toi et de la femme que tu es devenue, j’espère que tu le sais.
-Oncle Sam me l’a dit.
-Ne le rejette pas. Il essaye de te soutenir du mieux qu’il peut tout en respectant ce que je lui ai demandé, déclare Dean avec tendresse.
-Tu m’avais dit que tu ne me laisserais jamais. Tu m’avais promis que tu serais toujours là.
-Et c’est le cas. Je serai toujours à tes côtés même si tu ne me vois pas. Je ne t’abandonnerai jamais et quand le temps sera venu, on se retrouvera.
-Je veux qu’on se retrouve maintenant, pleures-tu et Dean te prend dans ses bras.
-Je l’aimerais aussi, mais c’est comme ça. Je suis désolé qu’on ait pas eu plus de temps. Je t’aime, ma puce, ne l’oublie jamais.
-Je t’aime aussi, papa, dis-tu avant de faire un pas en arrière. Je m’excuserai auprès d’Oncle Sam, je n’aurais pas dû lui crier dessus.
-Il ne t’en veut pas, j’en suis sûr. Ça va aller, ne t’inquiète pas, dit-il en t’embrassant la tempe. Allez, profitons de ce moment. Donuts ?
Un petit sourire prend place sur ton visage quand il te tend le gâteau. Tu l’acceptes avec plaisir et le manges délicatement, appréciant cet instant privilégié. Mentalement, tu remercies Jack et tu t’excuses avant de te concentrer à nouveau sur le lac illuminé par le lever du soleil jusqu’à ce que tu t’endormes doucement.
Quand tu te réveilles, tu es de nouveau dans la chambre de Dean, la chemise à côté de toi. Une seule larme coule sur ta joue, mais cette fois, cette larme ne représente pas seulement la douleur de la perte de ton père. Cette larme est remplie de tristesse, certe, mais aussi de joie, car tu as pu avoir un dernier instant avec lui. Cette larme coule, car tu sais que la mort de Dean t’affecte encore, mais il a raison, il ne peut pas être ramené à la vie et tu dois l’accepter. Tu sais que malgré tout, il est toujours à tes côtés.
Tu regardes l’heure sur la table de nuit et voit qu’il est encore tôt et que le soleil est en train de se lever. Tu récupères une des vestes de ton père dans son placard et tu sors du bunker avec Miracle qui s’est levé en t’entendant. Dehors, tu regardes l’aube, ton cœur se serrant légèrement dans ta poitrine. Peu importe combien de lever de soleil tu vas devoir vivre sans Dean, tu te promets de privilégier au moins un jour par semaine pour le regarder et penser à ton père. Tu veux le garder en vie dans ta tête et pour ça, tu veux continuer les traditions que vous aviez quand il était encore là.
Lorsque la journée a officiellement commencé, tu récupères les clés de Bébé et conduis jusque dans le centre-ville, plus précisément à l’école des pompiers. Tu entres dans le bâtiment et attends ton tour à l’accueil. Quand c’est le cas, la femme t’invite à avancer et à dire ta requête.
-J’aimerais m’inscrire pour être pompier, s’il vous plaît.
La femme te donne quelques informations et des formulaires à remplir. Lorsqu’elle t’a tout expliqué, tu la remercie et retournes dans l’Impala. Assise à la place conducteur, tu regardes les papiers avec un sourire doux-amer. Même si tu ne vois pas Dean, tu sais qu’il est là à tes côtés, content de voir que tu quittes officiellement la vie de chasseur et que tu réalises tes rêves en plus des siens.
Masterlist
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paulysson1 · 3 months
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Besoin d'une Luciole
Afin de mourir tranquille,
Et de guider mon jolie ruisseau,
Donner l'envie de terminer,
Pour renaître et Être,
Les vacances de Lettres...
Une passion de fluide qui nous guide par nos passions solides.
La réalité s'habille de beauté,
Non sans en assumer le contraste des strass et des paillettes.
Et devant tes futurs fêtes, je m'y invite, je m'y sens bien,
Caresse de réglisse de sons qui nous crache le breton crachin.
Besoin d'une Luciole, comme une aide financière du coeur,
Et avec la peur que tu partes pour un meilleur portefeuille,
Un dessin esquissé du bout des doigts,
Tu es ma joie, et mon envie,
Devant les dieux et déviants les Ondes,
Ton ombre me colle à la peau,
Écrire ces mots pour ne pas te blesser de ce que tu penses de moi et de ce que je te distribue à toi,
Une pulsion, émulsion de nos regards et de nos papouilles,
C'est beau,
Et le pire,
C'est que je ne veux te trahir
P.amis
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jloisse · 10 months
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«Vous allez maintenant voir des scènes horribles»: les médias mainstream contraints de confirmer les images de bébés palestiniens abandonnés
Les images d'un bébé en train de se décomposer alors qu'il est allongé seul, toujours connecté à un oxymètre et un réservoir d'oxygène vert à proximité, sont authentiques, a confirmé NBC.
Le personnel de l'hôpital et les patients gravement malades avaient été contraints d'évacuer début novembre alors que l'armée israélienne concentrait son attaque sur l'hôpital Al-Nasr, à Gaza.
«Aucun enfant ne devrait mourir seul», a dénoncé Fikr Shalltoot, directeur de l'ONG Medical Aid for Palestinians.
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kilfeur · 1 year
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"Ils ne parlent pas assez" dans la fiction (They don't talk enough in fiction)
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Sur les séries que je regarde pas mal, j'entends souvent de personnes dirent "Pourquoi le perso ne dit rien ou refuse d'écouter l'autre ?! Ils devraient communiquer." Le truc c'est que plus facile à dire qu'à faire, par exemple le conflit entre Marinette et Adrien, Marinette se sent submergée par son rôle de gardien. Elle veut que tout soit parfait et pense que tout ira bien avec Chat Noir. Mais elle ne voit pas qu'elle fait du mal à Chat Noir sans le vouloir. Marinette veut aider les gens mais a du mal avec leurs réactions émotionnelles. Par exemple dans Reverser, elle aide Marc en les faisant se rencontrer pensant qu'ils pourraient s'entendre. Sauf que ça se passe pas comme prévu et Nathaniel pense qu'il s'est fait avoir. De plus une fois que Marinette a confessé qu'elle était Ladybug. Elle se sent un peu mieux !
Mais Alya n'aime pas garder autant de secrets, elle comprends pourquoi mais ça lui donne un tiraillement entre ce qu'elle doit faire et veut faire. Elle finit par révéler à Nino qu'elle est toujours Rena Rouge. Et c'est ce qui la différencie de Marinette qui veut tout régler toute seule alors qu'Alya fait confiance à Nino de garder le secret. Surtout que dans le finale de la saison 4, elle a failli mourir si Carapace ne l'avait pas protégé. D'ailleurs dans l'épisode de Rocketear, Nino dit qu'un couple n'a pas de secrets. Le truc c'est que si une personne cache des choses à son bien aimé, c'est pas parce qu'il a pas confiance à ce dernier. Mais c'est parce qu'elle se sent pas prête ou bien a peur de la réaction de l'être aimé. De plus Marinette n'a jamais dit que à Alya que Lila l'a menacé dans les toilettes. Car Marinette bien qu'elle est confiante, a peur de Lila car c'est comme quand Chloé l'a harcelait avant qu'elle devenait Ladybug. Sans compter qu'elle aime bien aider les autres mais quand il s'agit de ses problèmes personnelles, elle préfère les régler toute seule. Sans compter qu'elle n'a rien dit sur son trauma dans Chat Blanc. Elle intériorise de plus en plus jusqu'à ce que Felix a volé les miraculous, elle finit par craquer et dévoile ce qu'elle ressent. Elle se sent coupable et ne comprends pas pourquoi Chat Noir est là après tout ce qui s'est passé. Chat Noir reste en la rassurant qu'ils vont récupérer les miraculous un par un, il a été le soutien dont elle avait besoin pour faire face au Papillon. 
Dans le prince des dragons, Rayla est revenu après être parti le jour de l'anniversaire de Callum. Alors on manque de contexte mais dans le comic through the moon. Elle laisse une lettre à Callum sur le pourquoi qu'elle s'en va pour traquer Viren et pensant qu'elle part pour le protèger. N'oublions pas que Rayla a vécu dans un village où les actes sont plus valorisés que les paroles. Sauf que ça reste assez vache, de plus même si Callum le sait, il a le droit d'être en colère contre elle ! Car elle est partie, leur mauvaise communication a du sens car Rayla essaie de réparer ce qui a été fait en espérant que les choses redeviendraient comme avant. Tandis que Callum n'est pas prêt à l'écouter et ça reste compréhensible. Surtout qu'avec Aaravos qui a prit contrôle de son corps pour rendre sa menace encore plus grande et les roaste sur leurs insécurités. Les sentiments de Callum sont confus, car d'un côté il est content qu'elle soit là mais de l'autre il est triste et colère. Ça fait beaucoup quand même ! Même quand Callum demande à Rayla de le tuer si Aaravos prend possession de son corps à nouveau elle refuse car elle ne veut pas tuer le garçon qu'elle aime. Quand elle voit Viren, elle lui dit qu'elle doit le poursuivre. Et Callum comprend, il a peur qu'elle l'abandonne à nouveau mais laisse ça de côté. Toutefois quand Rayla retrouve les pièces de ses parents, elle fait le choix de revenir auprès de ses amis. Elle aurait pu poursuivre Viren et les autres mais non elle a décidé de revenir auprès de Callum et les autres. Callum pensait qu'elle est morte et quand il la sort des gravas, il est rassurée de la voir en vie. Maintenant peut être que Callum est enfin prêt à parler Rayla. 
Dans RWBY, Blake s'enfuit suite à la chute de Beacon laissant ses amis derrière elle. Elle pense qu'elles seront mieux sans elle. Jusqu'à ce que Sun lui dit qu'elle peut faire ses choix mais ceux des autres bon après il a un peu imposé sa présence à Blake mais elle avait besoin d'entendre ça. Car après l'attaque de sa maison, elle va se rendre à Mantle avec les autres faunus. Yang était triste que Blake soit parti à tel point qu'elle disait qu'elle s'en fichait de où elle était. Montrant à quel point elle était blessée par elle. Quand elle revient auprès d'elles, elles mettent du temps à se réconcilier vu que Yang a toujours son syndrome post traumatique à cause d'Adam. Elle essaie d'être à l'écoute mais Yang ne veut pas l'écouter. Elles finissent par se comprendre quand elles se battent contre Adam, la cause de tout leurs problèmes. Elle se protègent mutuellement et tuent Adam, j'aime bien comme la scène est présenté car Blake jette son arme ensanglanté, elle est dans tout ses états. Alors que Yang essaie de la consoler puis elles se sont réconciliés. Dans le volume 7, Blake et Yang ont un désaccord au sujet d'Ironwood et parle d'Adam, Yang dit qu'elles ont fait ce qui doit être fait. Quand à Blake, elle veut pas refaire cette erreur, ça a l'air horrible ce que dit Yang mais Adam est celui qui lui a coupé son bras et a fait fuir Blake. Donc le ressenti n'est pas le même. 
Bref tout ça pour dire que oui il faut communiquer dans une relation romantique, platonique voir même familiale. Or il y a des raisons qui poussent les perso à ne pas en parler de tel ou tel chose et c'est compréhensible en soi. Souvent c'est pas parce que la personne n'a pas confiance à son interlocteur, c'est juste qu'il craint la réaction de ce dernier si il l'apprenait. Mais ils vont finir par en parler faut juste être patient. 
On the series I watch a lot of people say "Why doesn't the character say anything or refuse to listen to the other?! They should communicate." The thing is, easier said than done, for example the conflict between Marinette and Adrien, Marinette feels overwhelmed by her role as guardian. She wants everything to be perfect and thinks that everything is fine with Chat Noir. But she doesn't see that she's unintentionally hurting Chat Noir. Marinette wants to help people, but has trouble with their emotional reactions. For example, in Reverser, she helps Marc by bringing them together, thinking they might get along. But things don't work out as planned, and Nathaniel thinks he's been had tricked. Once Marinette confesses that she's Ladybug to Alya. She feels a little better !
But Alya doesn't like keeping so many secrets, she understands why, but it gives her a tug-of-war between what she has to do and what she wants to do. She ends up revealing to Nino that she's still Rena Rouge. And that's what sets her apart from Marinette, who wants to sort everything out on her own, whereas Alya trusts Nino to keep the secret. Especially since in the season 4 finale, she almost died if Carapace hadn't protected her. Besides, in the Rocketear episode, Nino says that a couple has no secrets. The thing is, if a person hides things from their loved one, it's not because they don't trust them. It's because they don't feel ready or are afraid of their loved one's reaction. What's more, Marinette never told Alya that Lila threatened her in the bathroom. Because although Marinette is confident, she's afraid of Lila, just as she was when Chloé harassed her before she became Ladybug. Not to mention that she likes to help others, but when it comes to her own personal problems, she prefers to deal with them alone. Not to mention the fact that she never mentioned her trauma in Chat Blanc. She internalizes more and more, until when Felix steals the miraculous, she finally breaks down and reveals how she feels. She feels guilty and doesn't understand why Chat Noir is there after all that's happened. Chat Noir stays, reassuring her that they'll get the miraculous back one by one, and that he's been the support she needed to face the Hawmoth.
In The Dragon Prince, Rayla returned after leaving on Callum's birthday. So we lack context but in the through the moon comic. She leaves Callum a letter about why she's leaving to track down Viren and thinking she's leaving to protect him. Let's not forget that Rayla has lived in a village where actions are more valued than words. Except that it's still pretty dirty to do that, and even if Callum knows it, he has every right to be angry with her ! Because she's gone, their miscommunication makes sense, as Rayla tries to repair what's been done but hopes things will go back to the way they were. Callum, on the other hand, isn't ready to listen, and that's understandable. Especially with Aaravos taking control of his body to make his threat even greater and the roast on their insecurities. Callum's feelings are confused, because on the one hand he's happy she's here, but on the other he's sad and angry that she's here. That's a lot ! Even when Callum asks Rayla to kill him if Aaravos takes over his body, she refuses because she doesn't want to kill the boy she loves. When she sees Viren, she tells him she has to go after him. And Callum understands, he's afraid she'll abandon him again, but puts it aside. However, when Rayla finds her parents' pieces, she makes the choice to return to her friends. She could have gone after Viren and the others, but no, she decided to return to Callum and the others. Callum thought that she's dead, but when he pulls her out of the rubble, he's reassured to see her alive. Now maybe Callum is finally ready to talk to Rayla.
In RWBY, Blake flees after Beacon's fall, leaving her friends behind. She thinks they'll be better off without her. That is, until Sun tells her she can make her own choices, but not everyone else's. Well, he's kind of forced his presence on Blake, but she needed to hear that. Because after the attack on her house, she's going to Mantle with the other faunus. Yang was sad that Blake was gone, so much so that she said she didn't care where she was. Showing how hurt she was by her. When she returns to them, it takes a while for them to make up, as Yang still has post-traumatic stress disorder from Adam. She tries to be a good listener, but Yang won't listen. They finally understand each other when they fight Adam, the cause of all their problems. They protect each other and kill Adam. I like the way the scene is presented, as Blake throws away his bloody weapon, she's a mess. While Yang tries to console her, they make up. In Volume 7, Blake and Yang have a disagreement about Ironwood and Adam, with Yang saying they've done what needs to be done. As for Blake, she doesn't want to make that mistake again. Yang sounds horrible, but Adam is the one who cut off her arm and made Blake run away. So the feeling isn't the same.
All this to say that, yes, you have to communicate in a romantic, platonic or even family relationship. But there are reasons why people don't want to talk about this or that, and that's understandable in itself. Often it's not because the person doesn't trust the person they're talking to, it's just that they're afraid of the person's reaction if they find out. But they'll talk about it eventually, you just have to be patient.
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penguinwriter24 · 1 year
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Chapitre 7: The Search [ Fr ]
TW : mention de la mort.
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Edmund
Edmund était à l’avant avec Caspian, c’était lui qui montrait le chemin aux autres. Il détestait de savoir qu’il connaissait encore le chemin qui menait jusqu’au château de Jadis.
La nuit commençait à tomber alors ils s’arrêtèrent. Ils attachèrent les chevaux pour pas qu’ils s’enfuient pendant la nuit, ils allumèrent ensuite un feu pour avoir un minimum de chaleur durant la nuit. Edmund annonça qu’il montrait la garde cette nuit. Il ne trouverait pas le sommeil alors il pensait cela inutile de confier la tâche à quelqu’un d’autre. 
Alors, pendant que ses compagnons dormaient, Edmund entretenait le feu pour qu’il ne s’éteigne pas et il contemplait les étoiles. Edmund se surprit à faire une chose qu’il n’avait jamais fait avant. Il pria. Il pria un Dieu auquel il ne croyait pas vraiment, mais s’il y avait bien un moment pour croire en Dieu, il pensa que c’était celui-là.
C’était celui-là parce que son passé allait lui exploser au visage et il en était parfaitement conscient. Ses démons du passé allaient refaire surface et il n’était pas sûr d’avoir la force de les affronter une deuxième fois. Battre ses démons une seconde fois semblait être une mission impossible pour Edmund parce qu’il serait tout seul à les affronter. La première fois, il avait eu le soutien de son frère et de ses sœurs. Sans eux, la partie changeait radicalement.
Donc, Edmund pria. Il pria Dieu ou les Dieux de lui venir en aide. Il pria pour qu’aucun mal ne soit fait Dahlia. Il pria pour que personne ne meurt s’il devait y avoir une bataille.
-On y sera quand, tu penses ?
Edmund tourna vers Caspian quand il entendit le son de sa voix briser le silence si apaisant.
-On y sera demain, avant la tombée de la nuit. Enfin, je l’espère.
Caspian hocha la tête et n’ajouta rien de plus à cet échange.
-Quand on y sera. Laisse-moi y aller seul.
-Quoi ? Est-ce tu as perdu la tête ?
-Si la Jadis est bel et bien dans sa petite maison qu’elle ose appeler un château.., Edmund s’interrompit tout seul. Il est inutile qu’on meurt tous les deux demain. L’un de nous doit rester vivant pour Dahlia.
Caspian se redressa d’un seul coup. Il n’avait jamais entendu Edmund parler de la sorte, il parlait comme s’il savait qu’il allait mourir durant cette mission. Et, Caspian devait avouer qu’il avait peur pour Edmund, il avait vraiment peur qu’il fasse quelque chose de stupide.
-Tu ne crois pas que c’est toi qui devrais rester en vie pour elle ?
-Ne sois pas idiot, Caspian. Tu es le Roi, tu ne peux pas laisser ton royaume comme ça. Crois-moi, je l’ai fait une fois. La seule différence c’est que toi tu ne reviendras pas.
-Et si aucun de nous ne mourrait, qu’est-ce que tu en penses ?
-Tu ignores de quoi elle est capable. Ne perd pas ton temps avec l’espoir. Une fois qu’elle sait ce qu’elle veut, rien ne l’arrêtera, fais-moi confiance là-dessus.
Edmund se leva et marcha un peu pour se dégourdir les jambes. Il avait aussi besoin de temps pour réfléchir. 
C’était un secret pour personne, tout le monde savait qu’Edmund sacrifierait sa vie pour n’importe lequel des Narniens et Narniennes, mais Caspian était surpris de constater qu’il se jeterait volontairement dans la gueule du loup. Il en vint à se demander si Edmund était dans le bon état d’esprit pour cette mission. D’habitude, Edmund arrivait à prendre du recule et pour lui, ce qu’il vivait était plus une “aventure” qu’une “mission” mais cette fois, ça le touchait de près. Cette fois, il était directement concerné. Et Caspian s'inquiétait vraiment pour son jeune ami.
Edmund marchait près du campement, il gardait un œil sur ses compagnons et il tendait l’oreille à chaque petit bruit qu’il entendait. Le jeune anglais savait que c’était pour lui le moment de prendre une décision définitive.
Jusqu'où était-il prêt à aller pour sauver Dahlia et pour stopper la Sorcière Blanche ? Et, à l'époque Peter avait soulevé une question importante : qu'est-ce qui se passerait pour lui s'il mourrait à Narnia ? Est-ce qu'il retournerait juste en Angleterre comme si rien n'était arrivé ? Ou il mourrait dans les deux mondes et personne en Angleterre ne saurait ce qu’il lui serait réellement arrivé ?
C’étaient des questions valables et justifiées, mais en même temps, il n’était pas vraiment pressé d’en connaître les réponses. Surtout pour les trois dernières.
Edmund était terrifié. Il l'était pour différentes raisons. Quatre, plus précisément.
Premièrement, il avait peur d'arriver trop tard et de ne pas pouvoir sauver Dahlia. Deuxièmement, il avait peur d’être à nouveau en face de la Sorcière Blanche. (Troisièmement, il avait peur de mourir, mais ça il ne l’avouerait jamais à haute voix.) Quatrièmement, et c’était sans doute sa plus grosse peur, il avait peur du nombre de compagnons qu’il perdrait. Il faisait encore des cauchemars de l’attaque au château de Miraz quand il avait vu son peuple être pris au piège et être abandonné à leur sort. C’était dans ces moment-là qu’Edmund regrettait d’avoir une seule vie à sacrifier pour son peuple. Il en avait d’abord voulu à Peter de les avoir abandonnés, puis à Caspian quand il avait su qu’en réalité c’était lui le responsable de ce massacre.
La nuit avait été tranquille. À part quelques animaux curieux, ils n'avaient pas eu de visite inattendue. Alors, dès les premières lueurs du jour, Caspian s'était réveillé et avait réveillé tous ses compagnons puis ils avaient tous reprit la route. Edmund était en tête des troupes avec Caspian.
-À propos de ce dont on a discuté cette nuit, commença Caspian.
-Avec tout le respect que je te dois, ma décision est prise, Caspian. Rien ne me fera changer d'avis.
-C'est insensé ! Tu ne devrais pas prendre une telle décision dans ton état !
Edmund tira sur les rênes de son cheval pour le forcer à s'arrêter de marcher. Caspian fit la même chose que son jeune ami.
-Qu'est-ce que ça veut dire, ça, au juste ? demanda Edmund qui sentait déjà la colère s'emparer de lui.
-Ça veut dire que tu es aveuglé par la colère et dans un tel état, tu n'es pas en position de prendre une décision rationnelle ! répondit Caspian en gardant son calme.
-Et qui est plus qualifié que moi pour prendre des décisions me concernant ? Toi, peut-être ?
-Edmund, je…
-Combien de fois as-tu affronté la Sorcière Blanche ? As-tu déjà vu de quoi elle est capable ? Non, je ne crois pas. Moi je sais, alors la discussion s’arrête là.
-Non, ça suffit! s’emporta finalement Caspian.
Caspian descendit de son cheval et Edmund en fit autant. Les deux hommes se mirent l’un en face de l’autre. Soutenant d’abord le regard de l’autre avant que Caspian se mette à parler. Ou plutôt se mette à crier sur Edmund. S’il avait besoin de lui crier dessus pour qu’Edmund comprenne les choses, Caspian était plus qu’heureux de le faire.
-Tu ne te rends absolument pas compte de ce que tu es en train de dire, n’est-ce pas ? Tu ne te rends absolument pas compte de ce que Dahlia va ressentir quand elle va comprendre que tu as échangé ta vie contre la sienne ! Tu ne penses vraiment pas à elle, c'est aberrant !
-Je ne pense pas elle ? C'est réellement à moi que tu dis ça ? Je ne fais que ça, penser à elle ! Je pense à ce que Jadis doit être en train de lui faire subir ! Je pense à quel point elle doit être terrifiée d'être enfermée dans ce cachot ! Je pense à elle qui doit supplier et prier pour qu'on vienne la délivrer ! Je ne fais que ça, Caspian ! Je ne fais que penser à elle à un tel point que je ne peux penser à autre chose ! Alors ne viens pas me dire que je ne pense pas à elle !
-Si c'était le cas, tu saurais qu'elle préférerait rester là où elle est plutôt que de te voir mourir pour elle ! Tu n'étais pas là ces derniers mois. Elle faisait bonne figure devant tout le monde, mais au fond, elle était détruite ! C'était une loque humaine ! Tu n'as pas l'air de te rendre compte que te perdre définitivement va littéralement la tuer ! Elle ne pourra pas s'en remettre cette fois !
-Donc tu proposes quoi ? Qu'on retourne à Cair Paravel et qu'on attende que Jadis nous la rende de son plein gré parce qu'elle sera subitement devenue une bonne personne ? Je ne laisserai pas Jadis faire de mal à la seule femme que j'aime, Caspian !
-Tu es tellement têtu, c'est pas possible ! Je ne suis pas en train de dire qu'il ne faut rien faire, je dis juste qu'il faut agir intelligemment !
Edmund croisa les bras sur son torse et recula d'un pas. Il fit un signe de la tête à Caspian pour qu'il continue de parler. Il n'avait pas changé d'avis, mais il s'était dit que s'il voulait se dépêcher, il était dans son intérêt de laisser Caspian parler et le laisser croire qu'il était d'accord avec lui.
-La Sorcière Blanche doit s'attendre à ce qu'on fonce la tête baissée dans son piège ! Tu me l'as dit toi-même, elle ne réfléchit pas, alors c'est à nous de le faire. On doit être plus malin qu'elle, Edmund ! C'est le seul moyen pour qu'on réussisse. Alors, fais-moi confiance.
Edmund hocha la tête, il ne l’admettrait pas totalement, mais Caspian avait presque réussi à le convaincre de changer d’avis. Presque. Il suivrait le plan de Caspian, mais s’il voyait qu’il avait une opportunité, il la saisirait.
Edmund remonta sur son cheval, Caspian aussi. Ils reprirent ensuite leur route.
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masterofbiography · 1 year
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C'est la fille aînée d'Hershel. C'est une jeune femme blanche, ayant des cheveux châtains et courts. C'est aussi la demi-sœur de la jeune Beth, leur père étant Hershel Greene. Elle effectue beaucoup de tâches à la ferme, étant fille de fermier, elle sait s'occuper du domaine de son père (elle sait monter à cheval, s'occuper des animaux et connaît bien la forêt entourant la ferme.). Tout d'abord froide et distante, elle se révèle chaleureuse et est très appréciée par les autres membres du groupe. Maggie devient un membre important du groupe, participant activement à la survie aux côtés de Glenn, n'hésitant pas à se battre souvent contre les rôdeurs et à l'accompagner dans des missions de chapardage. Pendant une escapade avec Glenn, son aide, lui a été très utile, car elle a fait une mauvaise rencontre (zombie) et a failli y passer, mais Glenn la sauve in extremis de la morsure. Lorsque le groupe perdra la ferme dans laquelle elle vit depuis le début de l'apocalypse, elle se retrouvera sur les routes jusqu'à trouver une prison qui pourrait assurer une survie. Maggie est désormais un membre très important du groupe. Avec l'aide de Rick, T-Dog, Glenn et Daryl, elle nettoie la cour de la prison. Puis lors de l'invasion des rôdeurs dans la prison. C'est elle qui aide Lori à accoucher. Forcée d'ouvrir le ventre de Lori à vif, cette dernière meurt sous les yeux de Maggie et Carl. Elle est capturée par Merle en même temps que Glenn, alors qu'ils cherchaient des affaires pour s'occuper de Judith Grimes. Maggie en restera profondément marquée. Le groupe est obligé de quitter la prison après l'attaque du gouverneur et ils se retrouvent séparé. Elle réussit à retrouver Glenn grâce à Abraham, Eugène et Rosita et rencontre Tara, une survivante de l'assaut qui était du côté du gouverneur. C'est les premiers à arriver au sanctuaire et à rencontrer Mary. Après avoir réussi à fuir du Terminus, le groupe finit sur Alexandria et rencontrera le problème des Saviors. Un groupe dirigé par Negan, un homme relativement dangereux. Elle aura un rôle important au sein de la communauté y comprit dans celle de La Colline, un autre groupe prit en grippe par Negan. Maggie est une femme intelligente, se souciant des autres et courageuse. Avant de rencontrer le groupe de Rick Grimes, elle a eu du mal à s'adapter à la vraie nature du monde apocalyptique, car sa famille croyait que les rôdeurs étaient simplement malades. Elle a eu un changement de mentalité après avoir failli mourir à cause d'un rôdeur. Après que cela soit arrivé, elle devient plus investie dans le groupe, comprenant maintenant la nécessité de se battre pour survivre bien que cela ait tendu la relation avec son père, Hershel.
Joue avec : Glenn Rhee
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swedesinstockholm · 1 year
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17 juin
je me sentais tellement mal en rentrant ce soir que j’ai du appeler m. à minuit pour ne pas rester seule avec mes pensées, mon journal ne faisait pas le poids, j’avais besoin d’une présence. j’en peux plus de me repasser des moments de la soirée où j’aurais du la fermer au lieu de vomir mes failles et mes incertitudes de partout, mais c’est plus fort que moi et je suis morte de peur, mais morte de peur qu’il se soit dit putain c’est trop un gros dossier et que ça s’arrête là. qu’il se soit dit qu’il y avait erreur sur la marchandise, parce que dans le tram je faisais que regarder le sol en parlant de ma timidité alors que personne m’avait rien demandé, et je me demande: pourquoi je me sens toujours obligée de la mettre sur le tapis? il a dit que pourtant quand il m’avait vue sur scène et puis même sur ig, je lui avais pas du tout semblé timide. c’est celle-là, la pas timide qui l’intéresse, pas la timorée assoiffée d’affection que je lui ai présentée ce soir. je lui mangeais dans la main, je picorais les petites graines qu’il me lançait en rigolant et en le regardant avec des yeux de tourterelle. techniquement, je sais pas ce qu’il a pensé de moi, c’est ce que m. me répète, tu peux pas savoir! mais mon cerveau d’anticipation lui il sait, parce que quand il est sorti du tram il m’a dit on s’écrit en mimant un clavier de téléphone mais il a pas dit qu’on se reverrait. une fois dehors il s’est retourné pour me sourire et je sais pas pourquoi ça me plonge dans une tristesse sans fond.
18 juin
j’ai une boule d’anxiété dans le ventre mais j’arrive pas à la distinguer de ma faim, elle-même indiscernable de ma non-faim. r. m’a dit qu’il méditait le soir avant de s’endormir pour calmer son anxiété. il va voir un psychiatre qui lui prescrit une incapacité à travailler comme ça il touche des aides de l’état. genius. alors que bon, il a l’air mille fois plus sain que moi quand même. si j’avais bien su m’y prendre, j’aurais pu toucher des millions avec ma dépression. il touche aussi un équivalent du rsa. plus ça va et plus je réalise à quel point je m’y suis mal prise. mais c’est pas de ma faute, j’étais pas disponible, et puis personne m’a dit que c’était possible non plus. il m’a dit qu’il avait jamais terminé sa licence de musique et je me suis sentie un peu mal quand j’ai dit que j’étais complexée parce que j’avais pas de master, enfin un peu nouille surtout d’être complexée par un truc aussi con. j’admire sa façon d’être, d’une certaine façon, un loseur. mais un loseur adorable, guitariste virtuose et mille fois plus drôle en vrai que les tiktok qu’il m’envoie sur ig. je vais jamais m’en remettre. j’avais envie de me serrer contre lui toute la soirée. je suis trop touch starved pour fonctionner normalement. quand il a commencé à pleuvoir on s’est abrités sous le petit auvent d’un resto en face du parlement européen et j’ai du utiliser tout un tas de muscles invisibles pour me retenir de pas m’approcher trop près de lui, histoire de pas paraitre trop affamée.
quand j’ai glissé du gradin du haut vers le gradin du bas pour me mettre juste derrière lui, enfin entre lui et le mec en débardeur moulant au mullet et à la moustache rousse, je me suis penchée vers lui pour lui demander si ça le dérangeait pas que je me mette là et il a dit non pas du tout en me souriant pendant deux secondes et demi et un glacier a fondu dans ma culotte. à la fin pendant qu’on discutait avec son amie flutiste je me demandais si elle était en train de se dire love is in the air quel beau couple, ou si tout se passait de nouveau dans ma tête. qu’on me la coupe cette putain de tête. mais j’ai pas trop envie de mourir, ça va, je veux bien continuer à vivre, parce que même si tout était dans ma tête, devant nous y avait une fille qui ressemblait à clio, elle portait un débardeur noir à fines bretelles et à un moment sa copine a posé sa main sur son épaule nue et j’en pouvais plus. je crois que r. a remarqué que je les regardais. et puis la deuxième performeuse queer dansait les seins à l’air avec une telle énergie et une telle exubérance que je me suis dit quel gâchis quand même si je devais m’enfermer dans une relation hétéro sans avoir pu goûter à tout ça d’abord. encore une fois, même si elles ne veulent visiblement pas de moi, les lesbiennes sont mon radeau de sauvetage au dessus de l’abysse de la mer des sargasses.
fun fact de la soirée aussi: j’ai vu magdalena, mon héroïne bisexuelle, la sainte patronne de ma relation avec r. on s’est serrées dans les bras et j’ai oublié de la présenter à r. alors ils se sont présentés tout seuls. c’était un moment en or pour mes petites mythologies autofictionnelles, mais en même temps je me suis rendu compte que j’avais pas pensé une seconde mon histoire avec r. sous l’angle narratif. je m’en fous, je le veux lui, pas l’histoire. on s’en fout de l’histoire.
mise à part la fin de la soirée autoproclamée dramatique, c’était parfait hier soir, il m’attendait sur le pont en haut de la rue, il m’a vue arriver de loin en me faisant de grands signes comme à la maison poème et j’ai trébuché sur les pavés en arrivant juste devant lui. on a fait une longue promenade spécial moche parce que lui aussi il aime la crasse comme laura a., peut être que si je viens habiter ici moi aussi à force j’aimerai la crasse, qui sait, peut être que cette ville a des pouvoirs secrets pour entourlouper les gens à aimer sa saleté. on a reniflé beaucoup de poubelles qui puent et admiré diverses façades cradasses ainsi que l’architecture monumentale des bâtiments européens, puis il m’a emmenée dans un parc avec un étang avec une fontaine qui jaillissait d’un faux rocher au milieu comme le volcan de las vegas et j’ai dit que c’était mon nouveau truc préféré de toute la ville. on a discuté d’un million de choses tout en s’interrompant toutes les cinq minutes pour commenter un truc autour de nous et puis je lui ai dit que j’étais bannie du métro à cause de ma carte bancaire et il a payé pour moi et dans le métro je lui ai parlé du moment magique du piano pendant le concert de jeudi et il m’a dit qu’il avait jamais autant travaillé la guitare qu’en répétant pour ce concert et que ça lui avait permis de se dire putain mais c’est trop bien c’est ça que je veux faire toute ma vie!! parce que parfois il a des doutes, et il a dit j’imagine que tu dois connaître ce sentiment, et j’ai dit oui... oui... en regardant dans le vague et en pensant à ma perf de la bellone.
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the-swan · 1 year
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♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts à pincer les cordes, de son archet à glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul réel ami. vibre les sonorités ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus précieux ! seule réussite, sur les terres escarpées.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains à ne jamais devoir être abîmées, enfant sur laquelle l'on avait tout misé : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgré les blessures, et malgré les efforts, à tuer son petit corps, elle souriait ! celle à être amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angélique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavés, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'âme, naïveté à vouloir en croire bonté dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrêtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses épaules n'en étaient que chaos dans quelques uns de ses rêves. et de ses gentillesses toujours trop mélodieuses, à vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en être emprisonnée : elle en attrapait les étoiles, de ses paumes, pour pouvoir les protéger à leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et délicates en trouvaient toujours leur prince. sourire à mourir, cœur à s'éteindre. quand elle avait cru, en ses mots. à lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en étaient éteintes, dans son regard.
et de ses coups,,
à mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincère ! quand de fin de lycée, tout n'en avait été qu'illusion perfide : jeu bien mené, ficelles à l'avoir suspendue dans les tréfonds des Enfers. car d'une possessivité extrême face à ses douceurs altruistes, les coups étaient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques étoiles, là, ici : à toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. à ne rien dire, se taire ! jusqu'à ce que les joues inondées par les pleurs en reçoivent les bénédictions des cieux. protégée de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en était effrayée ,, de chaque geste que l'on venait à lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautés du monde. réactions automatiques, quand délaissée par le démon pour une autre proie ,, les poumons revenaient à fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scène, de ses délicatesses si merveilleuse ,, sylphide à se faire fraîcheur de vivre : quand sur scène, elle rayonnait. fierté de ses parents, à trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derrière son instrument, elle venait à en aimer chacun des instants où les doigts en caressaient son violoncelle. à l'enlacer, le chérir, comme réelle personne. personnification : de ses romances inventées ! à rêver comme mélodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: à la refaire naître.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretés qui lui en collaient à l'épiderme, elle en était iconique ! connue, là, pour sa bonté infernale ! quand entre banquets et soirées organisées, elle en était toujours au planning ! de son petit corps trop frêle ,, à rayonner. comme pour en cacher, que les étages n'en étaient pas si élevés par rapport à d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en étaient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcèlement
— et sur son dos, instrument à se balader ! elle sourit à tout le monde, en vient en aide à tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourée ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, à côté des concerts réalisés.
à être :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : ô jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors à supporter : à en avoir l'habitude. petite poupée à se jouer du monde, à sembler naïve et beaucoup trop bête ,, à pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'être heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommée ,, quand papa en était directeur d'une école de musique très fermée, que maman en était professeure au conservatoire. à devoir être princesse parfaite : quand les doigts à s'en abîmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'à ce que les harmonies en soient divines, jusqu'à ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitée à de nombreuses cérémonies et divers évènements, à emmener derrière eux, petite muse à briller : elle était celle à rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses délicatesses, à s'être faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécènes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82ème étage ,, ô à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
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lilias42 · 1 year
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Musique + OC scène et ambiance !
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Merci à @ladyniniane de m'avoir taggué pour ce jeu !
Bon, techniquement, c'est avec les OC qu'il faut associer des musiques qui collent à leur ambiance mais honnêtement, je n'en associe aucun à une musique donnée, mais plus des ambiances et des scènes plus ou moins type alors, on adapte !
Affrontement contre un Brave : Monster (Skillet, reprise par Caleb Hyles)
So stay away from me The beast is ugly I feel the rage And I just can't hold it
Donc restez éloigné de moi, cette bête est abominable. C'est insupportable, cette rage en moi, Et je ne peux plus la contenir
Là, c'est pas tant pour le Brave qui se sent lui-même être un monstre comme dans la chanson de base. C'est plus du point de vue de la personne qui le défi ou se retrouve à le combattre.
Les sorciers sont des personnes qui sont capables de dompter la magie et surtout qui y a survécu au point qu'il est marqué jusque dans sa chair par elle. C'est toujours très impressionnant de se retrouver face à un, surtout que c'est rare, mais aussi, devoir affronter un sorcier qui a un peu d'expérience, c'est la mort assurée s'il ne t'épargne pas ou que tu ne t'enfuis pas vu que souvent, leur peau est devenue plus dur à cause de leurs fiertés ou alors, ils sont quasi impossible à toucher, ils ont une capacité de régénération extrêmement rapide, et ils peuvent manipuler leur environnement avec leur magie. Les personnes qui en croisent ont donc très souvent l'impression d'être face à un monstre et / ou à une divinité mineure, et l'ambiance de la musique colle bien à ce côté "menace impossible à vaincre" (et aussi à cause de cet AMV sur "La légende de Korra" qui était bien callé avec la chanson tout en montrant tout le côté dangereux de l'état d'Avatar, les Braves ont même failli en avoir un si ça ne les rendait pas quasi invincible)
La magie des Braves : Counting stars (OneRepublic) [sur un malentendu littéral]
I see this life Je vois cette vie Like a swinging vine Comme une liane qui se balance Swing my heart across the line Balançant mon cœur au-delà de la ligne In my face is flashing signs Sur mon visage clignotent les signes Seek it out and we shall find Cherchons et nous allons trouver + Everything that kills me.... makes me feel alive Tout ce qui me terrasse... me fait me sentir vivant
Et surtout : Counting stars (mais au départ et écouter d'une oreille, entendu comme "looking stars")
Cette fois, on passe du côté des Braves et de leur peuple. De leur côté, la sorcellerie est bénéfique étant donné que les Braves ont souvent pour objectif de devenir sorcier pour protéger les leurs ou leur venir en aide, même s'ils doivent (souvent) se balancer entre la vie et la mort quand ils se mettent à apprendre la sorcellerie, avec plus de chance d'y rester que d'en revenir. Mais, ils le font quand même, même si c'est dur, même s'ils savent qu'ils vont souffrir mille morts et que s'ils réussissent, ils vont devoir voir tout leurs proches et futurs proches mourir étant donné qu'ils vivront des siècles mais, ils décident que cela vaut le coup, que tous les inconvénients en valent la peine si c'est pour leur peuple et dans ses moments-là, ils lèvent la tête et regardent les étoiles pour se donner du courage.
Toute la chanson ressemble à une montée en force : le début est assez doux et calme et plus on arrive vers la fin, plus la voix est forte et accompagné, comme les sorciers qui deviennent de plus en plus puissants au fil du temps, de l'entrainement et de leurs efforts, tout en rencontrant de plus en plus de gens (comme pour les voix qui deviennent de plus en plus nombreuse sur la fin). Et malgré le temps, malgré la tristesse, malgré toutes les épreuves, voir ce qu'ils ont accompli, autant pour leur village qu'eux-mêmes vaut toujours le coup et les fait sentir vivant. Ils lèvent la tête et voie les étoiles où sont tous ceux pour qui ils se sont battus dans le passé, leur disent à ceux qui s'inquiétaient qu'ils meurent à cause de leur sorcellerie que tout va bien et qu'ils continuent à avancer à présent.
Cauchemars de Lambert : Lullaby of Woe (reprise du Grissini Project ou celle d'Alina Gingertail)
Au bois du sommeil, les loups s’enlisent Les oiseaux de nuit dansent dans la brise Mais une âme seule reste en alerte Craignant les horreurs, les goules et les spectres
Enfin, toute la traduction du Grissini Project pourrait coller (aller vite l'écouter, tout est parfait dans ce clip !) tellement cette musique à une ambiance pesante et sombre qui correspond bien à un cauchemar !
Lambert est très inconscient et même assez égoïste alors, il ne se rend pas compte du mal qui fait aux autres et les blessent, il essore vraiment les gens sans s'en rendre compte, que ce soit son épouse Héléna ou les jumeaux Fraldarius. Cependant, dans ces rêves, il est souvent face à son subconscient et là, ceux qui doivent le subir se vengent car dans le fond, même quand il s'entête, Lambert sait qu'ils ont raison. Et ce savoir est comme un cauchemar, le suit partout, et de nuit, alors que tout le monde dort, il est le seul à rester éveiller ou à se réveiller à cause de ses cauchemars qui le suivent (surtout qu'il est souvent associé au soleil et au jour dans l'histoire [il avait même peur du noir étant petit], alors que les jumeaux sont plus associés aux loups et donc, tout ce qui concernent la nuit et la Lune tout en ne craignant pas l'obscurité)
Vivement la fin du service : La jument de Michao
C'est dans quatre ans je m'en irai J'entends le loup et le renard chanter C'est dans quatre ans je m'en irai J'entends le loup et le renard chanter J'entends le loup, le renard et la belette J'entends le loup et le renard chanter La jument de Michao a passé dans le pré La jument de Michao et son petit poulain A passé dans le pré et mangé tout le foin La jument de Michao et son petit poulain A passé dans le pré et mangé tout le foin L'hiver viendra les gars, l'hiver viendra, La jument de Michaon, elle s'en repentira
Sur un ton plus léger, ce serait bien une chanson qu'un chevalier pourrait écrire et chanter pour compter le temps qui lui reste avant la fin de son service auprès de la couronne du temps de Lambert. Honnêtement, elle serait plus associé à Glenn qui fredonne pour lui en entretenant ses armes et en comptant le temps qu'il lui reste à faire avant de retourner dans sa famille. Il reprend donc un air populaire de Faerghus, mais en lui donnant un autre sens. Au lieu de s'en aller de chez lui, il veut rentrer et compte les jours, et les différents animaux peuvent désigner des personnes qu'ils connait : le plus évident est le loup qui désigne sa famille, le renard peut être Sylvain qui vivait avec eux pendant la morte saison pour le protéger de Miklan, et même en tirant un peu, la belette peut représenter les Charon, même si leur animal est une fouine, vu qu'il est ami avec Cassandra et son frère Théo. Par contre, s'il la reprend, le petit poulain ne représente rien et ne colle pas avec sa version car, il ne critiquerait pas Dimitri qui n'a rien demandé, mais la "jument de Michao" est bien Lambert qui ne fait pas attention aux choses et se retrouve pris au dépourvu quand les problèmes arrivent, surtout quand ces conseillers vraiment fiables sont ailleurs à chanter tranquillement.
Ambiance de fête insouciante : Naranca (Gingertail)
Là, c'est tout bêtement l'air qui est assez joyeux, et même la chanson semble bien se finir vu que la personne qui a été mal aimé toute sa vie finit par trouver quelqu'un qui prend soin de lui et qui l'aime. Là, ce serait plus une scène où tous les persos peuvent se poser loin des soucis après une longue journée ou des semaines dures dans leur travail, surtout les roturiers et ceux qu'on traite mal. Ils seraient tous ensemble pour manger et danser afin d'oublier leurs soucis au moins un temps, puis de repartir à la charge pour les résoudre définitivement ensemble.
Et pour les tag... à la personne qui voudra bien de tenter de relever le défi !
Source image : Musiciens et instruments de musique dans la coroplathie du monde grec antique (ive-ier siècle av. J.-C.). Quelques remarques
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kassecouillettes · 2 years
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Hormonale (1/?)
Hier, je vomissais. Aujourd'hui je tremble. Le contrôle, de mon corps et de mon esprit,est de plus en plus incertain.
Mes émotions se mélangent, je ne sais pas ce que je veux. J'ai autant envie d'amour que ce que je suis incapable de donner.
Pourtant, j'essaie, je m'efforce, j'essaie de ne pas abandonner. Mais c'est si dur.
J'ai rêvé que j'époussais un noir, sûrement cet ivoirien à qui je parle et qu'il me rejetait parce que j'étais une prostituée pour lui.
Je ne veux pas me marier avec lui pourtant. Je voudrais vivre simplement, c'est peut-être sa vie que je voudrais épouser, non contente de la mienne. C'est beau l'Afrique, quel continent riche et merveilleux, quelles personnes merveilleuses et riches d'amour et de pardon, et de simplicité que sont les Africains, le peuple élu, qui a su ce préserver malgré tout des excès de l'occident.
Il m'a dit de ne pas avoir peur du destin, Dieu avait déjà choisi pour moi et si demain je devais mourir il ne faut pas être triste, c'est le destin.
Dieu t'aidera.
Aujourd'hui je prie pour que Dieu me vienne en aide, et je sais que l'aide viendra. Il m'a redonné la foi.
Aujourd'hui je dis merci, à toutes ses paroles, il n'y a pas de vices dedans, et j'en ai besoin.
Mais revenons à nos moutons...
L'implant hormonale...
Je ne suis plus le réceptacle de la vie, et ça me fait mal dans ce sens spirituel. N'est ce pas le propre d'une femme de pouvoir donner la vie ? Alors que suis-je, si je ne le peux pas ?
Heureusement que c'est temporaire. Je vais pouvoir bientôt oublié tout les problèmes hormonaux de ce petit bâtonnet du Diable.
Je vais en faire une liste.
Dépression
Anxiété et Angoisses
Asthénie
Insomnies
Aucune libido
Règles constantes
Maux de têtes
Douleurs utérines
Bouffées de chaleur
Vertiges
Aujourd'hui je peux rajouter
tremblements
vomissements
Cette liste se devra d'être effacée au fur et à mesure après le retrait de l'implant.
Si vous me lisez, sachez que cette invention qu'est la contraception hormonale est pour moi une abomination.
Femmes, si vous êtes mal sans raison, que le monde vous fait mal, demandez vous d'abord si ce n'est pas ce qu'on a implanté en vous.
Il faut savoir que j'ai failli aller chez le psy en pensant que c'était une maladie psychologique grave. Je sais aujourd'hui que c'est l'implant et surtout que tout ces effets secondaires sont courants. Je fais cette mise en garde pour que vous ne viviez pas cet enfer qui a failli me détruire.
A demain.
Que Dieu veille sur vous, et vous sur vous même, veillez à recevoir son Amour et à pouvoir le transmettre.
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lecameleontv · 2 years
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Captures de l’Ep. 2.01 (1997) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender). Titre V.O. :  Back from the dead again Titre V.F. : Nouvelle donne.
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- Mlle Parker : Alors Dr Freud ? - Sydney : Je pense que quelqu’un va mourir.
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Première apparition physique de M. Lyle  
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Introduction du personnage de Brigitte.
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- Mlle Parker : Dans la 4ème Dimension, j’ai quel rôle ?
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- Mlle Parker : je voudrais savoir... c’est qui nous ? - M. Lyle : (sourire évasif) nous ? ... (sourire fier) c’est moi ! 
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- Brigitte. : (ingénue) Je ne comprends pas ... pourquoi il est si difficile de capturer un homme seul ? - Mlle Parker : Vous faites erreur si vous pensez que c’est un homme quelconque... C’est un vrai caméléon humain. Un génie capable de tout assimiler,et de devenir la personne qu’il veut quand il en a besoin.
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- M. Lyle : Vous savez qu’il a presque réussi à retrouver sa famille Mlle Parker, heim. Imaginez les implications futures...
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- M. Lyle : A ce propos... et Sydney ... n’est-il pas une entrave pour vous ?
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- M. Lyle : S’il est réellement aussi intelligent que vous le dites, hé ... (petit sourire) je vous fais confiance, car vous aussi vous êtes intelligente (sourire entendu)... vous accepteriez toute aide supplémentaire... C’est la chose la plus sage que vous auriez à faire.
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- M. Lyle : Oh : ... si vous avez des nouvelles de votre père... faites le moi savoir (sourire aimable)
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- Dr. Christopher Fein : Hé bien Jarod, votre curriculum vitae est impressionnant ! Etudes à l��Université de Vanderbilt, de Licence d’Anatomie de la Faculté de Duke, de diplôme de Science avec Mention Très Bien obtenu à l’Université de Londres... c’est un parcours remarquable pour quelqu’un d’aussi jeune ! - Jarod : oh mais vous savez, je ne traîne pas quand j’étudie.
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- Jarod : on ne peut jamais oublier son frère. Qu’il soit vivant ou qu’il soit mort...
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Le personnage... interprété par ... revient dans l’Ep. 3.10. très en colère ...
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