Tumgik
#je le répète
jezatalks · 1 year
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Mon ordinateur a crashed 10 fois en 24h.
Ça fait 2 heures que je met à jour quasi tout ce que je trouve. (Il a évidement planté et redémarré 2 fois durant le processus)
Je suis encore sous Windows 8, et mon ordinateur n'est pas optimisé pour Windows 11 (et j'ai aucune info de s'il est capable de supporter Windows 10...)
Je pensais me racheter un nouvel ordi/tablette d'ici mon anniversaire. Mais si je ne trouve aucune solution dans les 2 prochaines semaines, va falloir que je dépense.
Rip mon porte monnaie. Surtout que je vais devoir débourser pour une nouvelle voiture (et que j'économise un max où je peux pour mon pvt). Ah aussi, je ne vais plus avoir le droit aux APL, donc je vais encore moins toucher de sous 🙃
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fremmedsprak · 2 years
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je suis tellement mais tellllllllement tannée de ce superviseur de stage
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basilepessoart · 2 months
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I'd like to know, dudes and girls : what is your fucking goal in systematically taking the authors off ? You take pictures, paintings, drawings, on whatever website, you take the authors off. You have a goal, but which ? Despicable. BP.
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elmaxlys · 1 year
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À ce rythme-là, Phaenomen sera le seul d'Erik L'Homme que j'aie en intégrale + poche
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magicarpedore · 2 years
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Quand le nouveau qu'on vire en a eu si mal à l'égo qu'il se comporte encore moins bien et justifie absolument tout par "de toute façon je suis viré".
Et on se réjouit tellement de l'avoir fait.
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abdou-lorenzo · 4 months
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"Je t'aime", répète le vent à tout ce qu'il fait vivre. Je t'aime et tu vis en moi...........💞✨🥀
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René Char
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jean-pierre-fr · 9 days
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Je t'aime éperdument, et je te le dis, et je te le répète, et mes paroles te l'expriment,je voudrais recommencer ainsi pendant l'éternité, et chaque soir, je regrette la nuit qui va s'écouler sans toi, et chaque matin, j'en veux au soleil de briller, comme aujourd'hui, quand tu n'es pas dans mes bras.
Victor Hugo
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I love you madly, and I tell you, and I repeat it to you, and my words express it to you, I would like to start again like this for eternity, and every evening, I regret the night that will pass without you, and every morning, I resent the sun for shining, like today, when you are not in my arms.
Victor Hugo
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e642 · 29 days
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J'ai aidé ma mère à commander un téléphone sur Darty. Et ça a couillé dans l'authentification et le paiement. Ça donnait l'impression qu'elle allait être débitée mais que la commande n'avait pas été passée. Elle a paniqué donc j'ai contacté le site via un chat. J'ai cru que j'écrirais à une IA mais non. Je l'ai vu aux messages bourrés de faute de la meuf qui m'a rép. Elle m'a dit que le pb c'était que j'avais deux comptes à la même adresse mail, le truc c'est que c'est impossible. Jlui dis et elle pète un câble et me transfère à un collègue. Donc le gars ne voit pas la conversation qu'on a eu. Il me demande d'expliquer mon pb et jlui répète ce que m'a dit la meuf et je rajoute que ça me paraît bizarre ce qu'elle m'a dit. Il m'a écrit mot pour mot "ptdrrr le principe de tous les sites c'est qu'on peut pas faire 2 compte sur une adresse, elle est débile ou quoi ?". J'ai aimé son ton. Donc on a bitché comme des petites merdes pendant 20 min. C'était hilarant. Bref meilleur service client.
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kilfeur · 4 months
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Vous savez Aurora me fait penser à Armand lors des toutes premières saisons. Je veux dire son seul acte de gentillesse a été de de dissuader son père d'arrêter sa soeur. Mais mise à part ça, il était assez arrogant provoquant Tristepin (bien que la première fois c'est le rouquin qui l'avait provoqué mais Armand n'est pas innocent pour autant). Tout comme Aurora, Armand est resté dans son royaume et ça lui a pas permit d'évoluer et en soit c'était réaliste ! Ou bien le fait qu'il était trop sûr de lui avec son père concernant l'invasion de Nox, se faisant avoir en beauté ! Voir même quand il se moquait de Tristepin quand ce dernier avait prit conscience de son statut de dieu. Mais ce qui le différencie d'Aurora, c'est son père, il l'aimait tout autant qu'Amalia. Or même moi, je pouvais voir que même son père semblait aussi plus favoriser sa fille que lui. Ce qui expliquerait justement la relation compliqué entre les deux frangins et le fait qu'il voulait justement prouver sa valeur aux yeux de son paternel.
Ce n'est qu'une fois, qu'il est mort, qu'il a eu sa révélation, qu'il s'est rendu compte qu'il pouvait plus se mentir à lui même. Se montrant enfin honnête avec Amalia permettant enfin leur relation guérir petit à petit. Malheureusement, les bonnes choses durent jamais longtemps alors qu'Armand se sacrifie pour sauver son royaume le confiant à sa soeur. Montrant qu'à la toute fin, il avait confiance en elle pour gérer la suite ! D'ailleurs même sa mort debout contre le monstre des Nécromes. Ça m'a fait penser à la mort de Barbe Blanche dans One Piece qui était lui aussi resté debout !
D'une certaine manière, l'histoire se répète sauf que contrairement Armand, Aurora ne va pas évoluer positivement !
You know, Aurora reminds me of Armand in the very first seasons. I mean, his only act of kindness was to dissuade his father from arresting his sister, allowing her to go on an adventure. But apart from that, he was pretty arrogant, provoking Tristepin (although the first time it was the redhead who provoked him, but Armand is no innocent). Like Aurora, Armand stayed in his kingdom and that didn't allow him to evolve, which was realistic! Or the fact that he was too sure of himself with his father concerning the Nox invasion, and got screwed in the end! Or even when he mocked Tristepin when the latter became aware of his godlike status. But what set him apart from Aurora was his father, who he loved just as much as Amalia. But even I could see that her father seemed to favor his daughter more than him. This would explain the complicated relationship between the two siblings and the fact that he wanted to prove his worth to his father.
It was only when he died that he had his epiphany, that he realized he could no longer lie to himself. Being finally honest with Amalia allowed their relationship to heal little by little. Unfortunately, good things never last long, as Armand sacrifices himself to save his kingdom, entrusting it to his sister. Showing that, in the end, he trusted her to take care of the rest! Indeed, even his death standing up to the Necrome monster. It reminded me of the death of Whitebeard in One Piece, who also stayed on his feet!
In a way, history is repeating itself, except that unlike Armand, Aurora isn't going to evolve positively!
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muller nunha praia de Galiza
@les-cris-des-fendues: A travers les atomes je marche comme à travers les flocons de neige obliques j’exhibe expressément mon impermanence noire ou éblouie, compagne de l'amour et des massacres. Marie-Claire Bancquart
@les-cris-des-fendues: L´autre À force de m’écrire Je me découvre un peu Je recherche l’Autre J’aperçois au loin La femme que j’ai été Je discerne ses gestes Je glisse sur ses défauts Je pénètre à l’intérieur D’une conscience évanouie J’explore son regard Comme ses nuits Je dépiste et dénude un ciel Sans réponse et sans voix Je parcours d’autres domaines J’invente mon langage Et m’évade en Poésie Retombée sur ma Terre J’y répète à voix basse Inventions et souvenirs À force de m’écrire Je me découvre un peu Et je retrouve l’Autre. Andrée Chedid
© Manoel T, 2023
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lalaballa · 11 months
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Pour des gars du nord, c’est dur à se dire, mais on se répète sans arrêt qu’on s’aime l’un l’autre, confie Miles. Alex sait que je serai toujours là pour lui
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Alex Turner: Pour moi, Last Shadow Puppets n’est même pas un groupe. Plutôt une échappatoire à la notion même de groupe. Un espace de liberté
[...] Il n’existe aucune gêne, aucun tabou, aucune limite entre nous. C’est vraiment un échange, on détourne les idées de l’un et de l’autre. A l’arrivée, c’est impossible de quantifier l’apport de chacun. Notre complémentarité me fait parfois flipper
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TLSP @ Les Inrockuptibles, 15 March 2016 📸 Hidiro
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rageauventre · 7 days
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LES CHOSES QUE JE DÉTESTE SUR LES FORUMS. part 02. (préparez vos tomates, je sens que je vais en froisser plus d’un.e)
1. Les accueils de merde. Quand vous êtes une communauté active et qu’on vous voit dans le flood, les top sites etc toute la journée et que vous mettez quatre jours à accueillir un nouveau. Ça va ? À l’aise non ?
2. Les gens sectaires. Vous savez ces gens qui ne veulent pas changer de partenaires, souvent restent en groupe et ignorent les autres. Qui font des DC a foison et prennent des liens qu’entre eux. Le confort, le confort…
3. Les réponses aux rps normaux tous les 4 siècles mais aussi rapide que flash quand il s’agit du ship ou de smut. On le répète pas assez mais 🤢🤮
4. Les piques dans le Discord à propos d’un ship ou ce que fait un personnage. Je pensais pas que vous jouiez encore à la marelle …
5. Le staff qui fait passer les conneries (dont le harcèlement) parce que c’est des copaing. Oui des copaing. C’est beau le favoritisme.
6. Ces gens qui réservent des fcs pendant 6 mois mais ne les jouent jamais.
7. Le principe des joueurs du mois qui mettent en avant les floodeurs par excellence. Heureusement que participer à « une rose à 10 » ne fait pas office de rémunération monétaire.
8. Les forums kleenex. Ça vous arrive de ne pas sauter de la barque avant qu’elle soit vraiment coulée ?
9. Quand les mots plagiat et inspiration ne font plus qu’un.
10. Les forums sans le mode sombre.
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raisongardee · 17 days
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"Si la bêtise est l’incapacité de comprendre les choses les plus simples, elle est, au XXe siècle, une catégorie historique. Et le support privilégié de cette bêtise transcendantale est, selon Orwell, la classe intellectuelle. Je ne crois pas qu’il y ait, dans son œuvre des années 1940, un thème plus omniprésent que celui-là. L’intellectuel (et "il faut noter qu’il n’y a désormais plus d’intelligentsia qui ne soit en un sens "de gauche""), c’est - nous répète-t-il – ce manipulateur de signes qui peut à tout moment, par la logique de son activité, déconnecter inconsciemment de l’objectivité sensible […] Seul, par conséquent, un solide sens des limites pourrait garantir que le détour nécessaire par l’abstraction ne fonde pas un envol définitif hors de la réalité matérielle. Or ce sens des limites, garde-fou du penseur, ne peut trouver ses conditions d’existence, c’est la grande idée d’Orwell, que dans la sensibilité morale, dans ce qu’il désigne partout comme la common decency, c’est-à-dire ce sens commun qui nous avertit qu’il y a des choses qui ne se font pas. Si par conséquent l’intelligentsia moderne a, dans son ensemble, rompu avec le réalisme spontané de l’homme ordinaire, c’est fondamentalement parce qu’elle a cessé d’être morale."
Jean-Claude Michéa, Orwell anarchiste tory, 2008.
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alicedusstuff · 1 year
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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asta-daily · 1 year
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Under control
-- ATTENTION ALL PERSONNEL -- The situation on site is under control, I repeat : everything is under control. Do not panic. Please return to your station and resume currents operations. I repeat: DO NOT PANIC. Please report to your hierarchy via standard canals any unusual memetic of hallucinatory effect, and any unscheduled environment variation. External communications has been cut out until further notice, do not try to circumvent telecom apparatus. Do not hinder emergency responders and offer assistance only when asked to do so. Do not panic. Panic is counterproductive. I repeat: DO NOT PANIC.
/* Pencil doodle on A6 sketchbook - Porte-mine sur carnet A6 */
-- A L'ATTENTION DE L'ENSEMBLE DU PERSONNEL -- La situation sur site est sous contrôle. Je répète : Tout est sous contrôle. Veuillez retourner à vos poste de travail et reprendre vos activités. Ne paniquez pas. Je répète : NE PANIQUEZ PAS. Veuillez faire remonter à votre hiérarchie via les canaux usuels tout effet mémétique ou hallucinatoire éventuel ainsi que toute variation environnementale non planifiée. Les communications extérieures sont coupées jusqu’à nouvel ordre. Veuillez ne pas tenter de contourner les mesures mises en place à cet effet. Veillez à ne pas gêner le personnel urgentiste et n'offrez votre aide que si expressément demandée. Ne paniquez pas. La panique est contre-productive. Je répète : NE PANIQUEZ PAS.
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marie-swriting · 3 months
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Être Avec Toi - Kate Bishop
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Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée. 
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur. 
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie. 
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces. 
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force. 
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi. 
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement. 
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.   
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras. 
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète. 
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien. 
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre. 
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée. 
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.  
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse. 
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention. 
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner. 
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure. 
-Grâce à toi, je vais bien. 
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi ! 
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant : 
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux. 
-J’ai eu peur. 
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt. 
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole : 
-Kate, on doit en parler. 
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi. 
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ? 
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve. 
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment. 
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux. 
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée. 
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ? 
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue. 
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader. 
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
Marvel Masterlist
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