Tumgik
#je les aime putain
superiorkenshi · 1 year
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Y a le nouveau chef de rayon il était pas la quand j'ai fais ma colo vue que c'est un alternant et la il ma vue et le boug ma toucher les cheveux??? En disant que c'est jolie (certes il a raison) mais esh qui t'as cru être pour me toucher?? IL MA PAT PAT! J'ai envie de vomir-
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jezatalks · 28 days
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Il y a 2 semaines j'ai fait jouer Koumon No Hana à mon nouvel ami en stream sur discord. Et donc maintenant c'est moi qui joue à l'un de ses jeux de drague qu'il aime bien : katawa shoujo.
C'est un jeu de drague créé par 4chan où l'on peut sortir avec des filles handicapées. (Ça sonne bizarre dit comme ça mais c'est plutôt pas trop mal foutu)
Après on utilise surtout ce temps pour papoter, et c'est cool comme moment. Mon copain était là pour les premières heures, et une autre amie avec qui je n'avais pas pris le temps de discuter depuis un bail est passée un petit moment.
La semaine dernière j'ai joué à la route neutre où l'on meurt à cause de son voisin de dortoir (qui est un putain d'incel avec un discours complotiste anti féministe arrgh).
Et donc hier j'ai décidé de partir sur la fille que j'aimais le moins en 1er. Aka, Shizune la fille sourde et muette + son amie/interprète. Et c'était siiii long !!! Juste avec sa route (et la neutre) j'ai complété 1/3 du jeu. Et il y a 5 prétendantes avec 2 fins chacune.
J'ai joué de 13h30 à 2h du matin heure française. Déjà le jeu est pompeux. Énormément de dialogues (normal pour un VN), mais la route avait beeaauuucoouuup de dialogues, et les 2 filles sont insupportables. Donc j'ai fait la mauvaise et bonne fin. ET DANS LES 2 ROUTES LA LOVE INTEREST EST UNE CONNASSE ET LE REVENDIQUE !! >>:(((
Et les 2 filles sont vraiment, mais vraiment insupportables en tant que perso. Pour vous dire, c'était tellement lourd qu'on était content quand l'incel arrivait et parlait de son complot contre les "femelles" parce qu'au moins c'était divertissant 😭
Sinon, comme j'ai pris le jeu sur steam, il est d'office censuré pour les scènes de sexe (normal, c'est des mineurs) et à la place, ILS ONT MIS UNE IMAGE DE CHINCHILLA
C'était si improbable mais drôle ! On était tellement soulagés d'avoir de l'action, même si toute la scène de sexe était skip car au moins on avait un jpeg de chinchilla débile avec des potirons. On était juste content de ne plus voir la meuf qu'on draguait. Aaahh
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maxeine-txt · 1 month
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TAG GAME DU RPG
règles du jeu : créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Au début, j'avais un peu la flemme. Puis, j'ai reçu un deuxième tag (merci @timuschaos et @dynamiiiight <3). Au pire, comme j'suis un peu nouvelle dans les parages, ça fera une introduction à ce qu'il y a dans ma tête.
Depuis combien de temps fais-tu du rp? — 6 piges, je crois ? Plus ou moins. Et ça fait qu'un peu plus d'une année que je traine sur les forums.
Quel était le premier personnage que tu as créé? — Pallas, ado devenue trop vite adulte ; directrice d'une cathédrale vivante, peut lire dans ta te-tê et broder littéralement les émotions. Elle est sous les traits de Steffy Argelich et aujourd'hui, c'est la protagoniste de mon premier roman (oops).
Quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — Mes fcs sont toujours équivoque à un perso dans ma tête. Mais je rejoue tout le temps les mêmes persos (et puis c'est encore mes débuts, j'étais sur de l'illustré avant d'arriver sur forum) ; du coup : Kate Snap & Anna Somna, mon duo de fc que je traine partout.
Y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — Le medfan, la fantaisie un peu (un certain univers avec des sorciers aussi) ; j'suis plus dystopie, cyberpunk, goudron, néon, "are you lonely? let me fix that".
Quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — Les romances, les trucs durs qui finissent bien. Les familles choisies, les fratries qui essaient de survivre entre eux. Oh, et les figures paternelles pour mes persos. J'aime bien les trucs un peu tristes qui tendent vers le mieux. J'écris jamais de bad ending.
Dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — Mon petit rêve, c'est d'ouvrir un forum dans l'univers de The Last Of Us. J'ai déjà tout dans ma tête, j'ai même commencé à faire le graphisme. Mais j'sais pas coder mdrr. Sinon, comme j'ai dit plus haut ; cyberpunk, dystopie. Oh et j'adore les conneries avec des super-pouvoirs (que ce soit plus vibe Miss Peregrine ou carrément du capepunk).
Un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — Niamh, une ex trop jeune taularde qui peut parler aux morts. Du coup, elle gagne sa vie en se la jouant GussDX. Sous les traits de Sophie Thatcher.
Y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — Des meufs qui peuvent être ton daron. Plein de défauts. Crades ; plein de poils sur les jambes et plein de tatouages sur les bras. Sinon, je parle souvent de trucs que j'ai vécu. J'ai un aspect assez thérapeutique et cathartique avec l'écriture et le RP. Donc ; je parle souvent quand on confond la faim et une envie de fumer, quand ta chambre à coucher c'est le canapé des potes, quand ta caboche c'est pas ta meilleure pote.
Y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — Le rap français. Même les textes autotunés qu'on juge comme pas bien écrit parce que ça sort pas de l'Académie Française (promis, on a capté que le "p" dans rap ça voulait dire poésie). Mon Hugo à moi, c'est Wallace Cleaver et sa mélancolie. Ma Voltairine de Cleyre, c'est Asinine et sa female rage. Mon Rimbaud, c'est l'autotune de Selug et $enar. Mon Camus, c'est Okis et ses réfs de foot.
Une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — L'album Le plus beau des Monstres de Surprise. Ma rappeuse préférée avec Asinine, j'me reconnais énormément dans ces textes. Oh et L'INVERSE pour mon son préféré. Allez, hop, hop, on soutient les meufs dans l'industrie et on va écouter.
Putain, c'est qu'elle débite la conne.
☞ je tague : @byzantium-pearl @frierenart @montmarays + ceux qui veulent, hein ; soyez pas timide.
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perduedansmatete · 1 year
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ce matin j'ai râlé dans mon coin car j'avais mal au ventre et que je me suis dis oh putain voilà j'ai encore des douleurs de règles une semaine avant de les avoir j'en ai marre mon corps a vraiment décidé de me faire chier depuis quelques temps genre un an ou deux mais en allant aux toilettes je me suis rendue compte que non j'avais juste mes règles et j'ai encore plus râlé car on ne peut plus se fier à rien elles sont encore en avance et ça m'énerve c'est pas normal puis j'étais pas bien car j'ai l'impression et souvent mes impressions se vérifient qu'on me ment et j'aime pas ça j'ai stalké quelqu'un aussi et ça m'a pas apporté grand chose finalement à part faire passer le temps, d'ailleurs je pense que les gens qui croient qu'on leur ment tout le temps (moi) y croient parce qu'eux-mêmes mentent et je n'aime pas mentir mais je suis bien obligée pour un ou deux trucs toujours les mêmes et ça me pèse car c'est des mensonges généralisés dans le sens où c'est le même mensonge mais à plusieurs personnes et j'aime pas ça, je pense que j'aime aussi pas trop mentir car souvent c'est pas du tout dans mon intérêt car je cache juste mes émotions et mes ressentis en me disant qu'ils ne sont pas valables ou que ça me porterait préjudice de les exprimer et ça me met dans des situations merdiques enfin bref c'est peut-être pour ça que j'ai encore essayé de faire plein de tri aujourd'hui car j'ai besoin de me vider de beaucoup de choses je crois mais j'y vais petit à petit même si à force je commence quand même à me sentir démunie de tout et pourtant j'en amasse des trucs mais j'ai besoin de me défaire de certaines choses j'ai envie d'être une nouvelle moi et ça prend du temps, dans l'après-midi mon amie qui habitait à trente secondes de chez moi m'a appelé car elle passait à l'appart une dernière fois et qu'elle savait que je voulais le voir avant de tourner la page avec elle, ça m'a fait bizarre mais j'ai bien aimé on a laissé une dernière trace en me mesurant sur la porte de la salle de bain comme ça je serai toujours là avec elle et sa famille avant le coup de peinture des nouveaux propriétaires, en repartant de l'appart on a croisé le chat que j'aime bien car il me colle tout le temps = le chat qu'elle aime pas car il la colle tout le temps, il avait l'air d'avoir extrêmement chaud donc elle a voulu le mouiller avec un peu d'eau mais c'est sorti tout seul et il a fui le pauvre mais au moins on peut dire qu'il est bien hydraté et là je suis rentrée chez moi avec l'envie de revoir fleabag car j'ai besoin d'avoir le cœur brisé mais je crois que je vais juste m'abrutir le cerveau car j'ai vu qu'il y avait de nouveaux épisodes de love is blind où ils vont se taper dessus (j'espère) donc voilà mon programme de cette fin d'après-midi et de journée peut-être si je ne m'arrête pas (passionnant n'est-ce pas)
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lisaalmeida · 10 months
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" je vais te raconter un secret sur être avec la bonne personne, tu verras, ce n'est pas aussi compliqué qu'il en a l'air, l'important, disait mon grand-Père, c'est de prêter attention aux détails, parce que voilà la magie.
Tu sais que tu es à l'endroit indiqué quand tu as mal au ventre de tant de rire, quand tu te remplis de compliments et de bavardages cucul à mains pleines, quand les peurs et les insécurités sortent en courant, quand tu as l'air plus attrayant au miroir et sans t'en rendre compte tu en ramènes une Sourire d'oreille à l'oreille, et oui, tes amis en rient.
Le problème, c'est que nous nous accrochons aux mauvaises personnes, à ceux qui n'ont pas de temps pour nous, à ceux qui ne nous donnent pas la priorité, à ceux qui se retranche de prétextes stupides et nous donnent de longues, ceux qui disent qu'ils ne sont pas atteints du temps ou que la Distance est quelque chose qu'il ne peut pas prendre, comme si l'amour était seulement de se toucher et de se baiser.
Le problème, c'est que nous acceptons moins d'amour que nous ne méritons, nous nous desvaloramos, nous nous mettons en offre et nous mettons un bandeau dans nos yeux en nous disant que c'est pire d'être seuls putain ! La solitude ne brûle pas, mais aujourd'hui, on dirait que oui.
C'est incroyable comme on aime être dans un endroit où on ne nous apprécie pas, où on ne nous laisse pas grandir, où on ne se nous pas, et le pire, c'est qu'on se fait des cons comme si ça nous remplir, comme si la vie était une valse de souffrance , comme s'il n'y avait pas quelqu'un là dehors qui attend de nous rencontrer et de nous voir avec cet art que nous sommes, parce que oui, laisse-moi te dire que la bonne personne va te voir de l'art même dans le cul.
Le problème, c'est qu'ils nous ont fait tant de mal que nous ne faisons plus confiance, que nous pensons que tout le monde va nous blesser, que plus personne n'arrive avec les meilleures intentions, et nous nous fermons, nous fermons la porte à l'occasion, à la surprise, à la romance et nous laissons Que l'amertume nous ruine, comme si donner tout pour quelqu'un et finir avec le coeur dehors la fin du monde, quand à dire vrai, ceux qui sont mal sont ceux qui ne le font pas.
Trouver la personne indiquée n'est pas si compliqué, parce que tu vas sentir un étincelle bien salop, parce que tu vas la voir partout, parce que tu vas t'enlever la faim, parce que ta mère va te demander pourquoi tu es si content, parce que tu vas à Vouloir essayer et tu vas oublier ce putain de passé qui te fout autant, et c'est là que tu vas te rendre compte, que tu es avec la personne indiquée ".
Instructif pour tomber sur la bonne personne.
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swedesinstockholm · 1 month
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24 juillet
je me suis forcée à aller cimetière pour me faire sortir et pas passer la journée dans ma chambre comme hier mais en attendant quand je suis dehors je travaille pas. en plus c'était bien hier dans ma chambre j'écoutais de la musique j'avais la fenêtre grande ouverte mon nouveau tapis sous les pieds et j'écrivais un texte pour le open call du haus für poesie. j'avais commencé à essayer de traduire marrons glacés en allemand mais j'ai laissé tomber, y avait trop de subtilités, ça change toutes les sonorités, impossible de traduire délicat, délicate parce que c'est pas genré en allemand et en plus c'est moche (zart). c'était clairement au dessus de mon niveau de compétence. j'ai passé la matinée à regarder des tutos et à lire des forums sur le microkorg pour savoir de quoi j'avais besoin pour m'en servir sur scène parce qu'ils demandent une fiche technique dans le open call mais j'ai pas trouvé de réponse claire alors j'ai écrit à r., après de longues hésitations, parce que j'avais peur d'être ridicule, ce qui à la réflexion est encore plus ridicule, mais je suis tellement intimidée par le monde de la musique que je me sens ridicule rien que d'avoir eu l'idée de vouloir utiliser un synthé. le monde des câbles et des adaptateurs et des prises et des machines me mystifie totalement et il me fait peur. ou plutôt il m'ennuie. il m'emmerde profondément. j'ai bien vu l'année dernière à genève quand on a fait le setup pour la perf avec ru. à quel point je servais à rien. alors qu'elle non plus à la base elle y connaissait rien. bref, il m'a dit qu'il me répondrait ce soir tard parce que grosse journée de papa et j'avais envie de lui envoyer mille coeurs.
hier j'ai découvert la signification du mot limérence et je crois bien que c'est de ça que je souffre. ça fait citron vert et ça fait liminal. entre deux. transitoire. sur le seuil. avec un goût acide mais frais. rafraîchissant. mouais. ils disaient que la différence avec l'amour c'est qu'en limérence on se soucie pas du bien-être de l'autre, c'est très autocentré, tout ce qui compte c'est de savoir si l'autre nous aime ou pas. l'autre différence c'est qu'on met l'autre sur un piédestal et qu'on voit pas ses défauts. ok. moi je pense que c'est juste une forme de tomber amoureuse spécifique aux gens qui ont vécu un trauma d'abandon/de négligence dans leur enfance et j'aurais pas appelé ça limérence, mais bon.
(je viens de voir un écureuil!) hier soir je suis quand même sortie prendre l'air et ça s'est transformé en promenade de deux heures, je crois que c'était la meilleure jusqu'à maintenant. à part la toute première le premier soir. j'ai vu le coucher du soleil au tempelhofer feld, je voyais jamais l'intérêt de cet endroit ni l'engouement qu'il suscite parce que c'est juste une piste d'atterrissage vide sans arbres ni rien, mais hier j'écoutais de la très bonne musique et y avait pas trop de monde et le ciel était entre deux averses à moitié gris-mauve à moitié doré, tout était doré et beau et spectaculaire et y avait une atmosphère très paisible. quand le soleil s'est couché il s'est mis à pleuvoir à grosses gouttes c'était le moment entre le jour et la nuit et je savourais l'eau qui me tombait sur les jambes et trempaient mon short gris en molleton les néons étaient allumés dans les rues et les gens mangeaient et buvaient des coups sur les trottoirs mouillés abrités sous les auvents magie magique j'étais enchantée par tout. j'aime bien être dans cet état, quand tout m'émerveille. j'aime bien quand ça arrive. je sais pas à quoi ça tient.
je continue sur ma lancée des efforts, ce soir j'étais dans un bar lesbien avec une fille d'un groupe telegram qui m'a demandé si je voulais l'accompagner au public viewing de princess charming, je le sentais qu'à moitié mais bon toute occasion est bonne à prendre pour rencontrer des lesbiennes alors j'ai dit ok et j'ai passé la soirée à me dire putain je pourrais être tranquille sur mon canapé en train de travailler sur mon texte avec la fenêtre ouverte. il faisait super chaud à l'intérieur et on était collées à l'écran juste à côté du haut-parleur qui me perçait les tympans parce qu'y avait pas de place et les gens qui passaient devant le bar me rentraient continuellement dans le dos et je pensais encore au squelette qui dit if it sucks, hit da bricks!! mais je voulais pas être impolie, alors j'ai patiemment attendu que l'interminable épisode de téléréalité lesbienne se termine en faisant du eye contact avec une fille très grande sur le trottoir qui ressemblait à un des grands frères de stranger things avec son mullet bouclé et sa chemise à manches courtes ouverte sur un marcel blanc.
à un moment sur l'écran géant elles étaient toutes dans la piscine à chanter danser et s'embrasser les unes les autres et les filles dans le bar dansaient et chantaient avec elles et moi je pensais à mon trauma et à mon corps qui se fige, qui se transforme en zombie engourdi et sans vie à chaque fois qu'il faut s'amuser. je le sous-estime toujours. je me dis que j'arriverai bien à le dépasser, dans les bonnes circonstances, mais peut être pas en fait. je me sentais complètement à la masse. je comprenais un mot sur deux de ce que me disait la fille alors qu'on parlait luxembourgeois, elle a payé ma limo fleur de sureau mais j'avais pas de cash à lui donner et je savais pas quoi dire, j'arrivais pas à suivre les conversations en allemand parce qu'y avait trop de bruit et j'arrivais pas à me concentrer. donc je me suis dit que c'était peut être pas une bonne idée d'aller à la soirée flirt speed dating au k-fetisch demain. je vais me contenter d'attendre de rencontrer mon âme soeur au cimetière, même si ça doit me prendre 84 ans, tant pis. on a parlé du lycée, elle a passé quelques années au rodange aussi et elle avait reding et elle m'a dit qu'il avait agressé des filles du lycée et j'arrivais pas à y croire. j'arrivais pas à croire que mon prof de latin que j'ai eu pendant cinq ans était un agresseur sexuel et j'arrivais pas à croire que je l'apprenais dans un bar lesbien à berlin devant une émission de téléréalité projetée sur un écran géant. à la fin on était sur le trottoir avec des gens chiants alors j'ai dit bon j'y vais et je suis allée m'acheter un paquet de chips et je suis rentrée libre comme l'air me mettre en culotte sur mon canap avec mon paquet de chips bonheur divin et suprême.
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lefeusacre-editions · 2 months
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"LA MAMAN ET LA PUTAIN" (Jean Eustache, 1973), par Pierre Pigot
Le blog du Feu Sacré tenait à revenir sur l'un des événements cinématographiques marquants de cette année : la parution en vidéo de la quasi-intégralité de l'œuvre de Jean Eustache. Avec trônant au centre, ce film proustien qu'est "La Maman et la Putain".
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Alexandre lit Proust.
« Longtemps, je me suis réveillé fort tard », telle est la note proustienne parodique sur laquelle s’ouvre le magnum opus de Jean Eustache, explicitement conçu en miroir du grand œuvre du petit Marcel. Alexandre émerge d’un lit qui n’est même pas le sien, et qui reviendra régulièrement comme une matrice dont il est difficile de s’extraire : lieu-refuge, et surtout lieu des femmes, de celles qui obsèdent et qui tourmentent, parce qu’elles se refusent avec obstination à la complète transparence qui devrait, selon leur supposé maître, accompagner leur possession jalouse. La passion d’Eustache pour la Recherche devait inévitablement rencontrer le problème qui se pose à tout créateur confronté à cette cathédrale de mots, d’art et de passion : être brutalement possédé par le désir de la reproduire, pour soi-même, pour en atténuer la force presque transperçante – et s’acharner à ne pas se satisfaire d’une simple reproduction. Tout dépendait du matériau qui était à disposition du fanatique. Proust avait sa propre vie, mais qu’il avait enrichie de sucs fictionnels vénéneux pour tout exégète. Eustache, moins protégé par l’art, n’était capable de mettre au mont-de-piété du cinéma que les parts les plus sacrifiables et les plus précieuses de son existence tourmentée. Moins d’une décennie plus tard, cette transparence s’avérerait fatale – et l’on reverrait, encore et encore, Alexandre assis, torse nu, lisant la Recherche dans sa vieille édition NRF, et plus particulièrement La Prisonnière, ce catafalque du malheur amoureux qui débouche ensuite sur son volume gémellaire, hanté par le deuil – et l’on songerait qu’ici, les photogrammes exhalaient, à défaut du plus beau, du moins le monument funéraire le plus juste qui soit. « Dans quel roman te crois-tu ? », lance Gilberte (la bien nommée) à Alexandre, au début du film, alors que la volubilité irréelle de ce dernier fonctionne déjà à plein régime. Alexandre, en effet, parle comme coule la prose, artificielle, syntaxiquement cassante, généreuse uniquement en feux d’artifices blessants. Le cinéma lui offre la voix de Jean-Pierre Léaud, ses tonalités d’innocence perverse, de naïveté étudiée, de détachement anxieux, de sociabilité paranoïaque. Ses paroles sont la véritable trame de sa personnalité – à côté desquelles son apparence physique ou vestimentaire (le profil d’oiseau mélancolique et obtus, les cheveux longs, les lunettes teintées, les foulards interminables) n’est qu’une concession faite à la réalité des corps, comme le snobisme (qui adore rôder dans l’ombre mouvante du dandy) aime à en circonscrire dans la matière, ici baignée dans un noir et blanc qui se défie de son époque. Ce sont ces paroles qui auraient dû convaincre Gilberte, mais n’ont fait que la confirmer dans sa part d’univers, d’un stérile doucereux, dont elle ne resurgira plus que comme fantôme de supermarché – avec à son coté, un mari incarné par Eustache lui-même, spectre silencieux, trop conscient d’avoir placé son autoportrait dans le seul recoin dont il se sentait digne face à ce que ses propres mots parvenaient à bâtir comme beauté noire : le rayon des fruits et légumes.
Ce n’est pas un film bavard (reproche habituel), mais un film prolixe, profus, où parmi les bruits de la ville (Paris, encore capable de faire sourdre de ses entrailles pompidoliennes un parfum balzacien), bruits enregistrés comme jamais, ne cessent de défiler comme à la parade leurs adversaires de toujours, les mots. Et que ceux-ci soient employés le plus souvent comme des armes impropres, fait justement partie du jeu misérable qu’Eustache feint de célébrer pour mieux le dénoncer. Alexandre utilise le vouvoiement : c’est à la fois une marque de distanciation, une flèche de séduction, et une moquerie du langage à double-fond – de manière totalement française, son discours fleuve, son discours marathon, a moins pour but d’exprimer une opinion, que d’exciser un peu de « réalité » du monde des humains, à l’aide des tenailles du langage, pour en obtenir la maîtrise passagère. Sur ce point, Alexandre est fidèle à l’adage védique, qui affirme que « les mètres sont le bétail des dieux », autrement dit, que chaque syllabe poétique est une armure vivante et divine en soi, une protection changeante et complexe, contre ce qui dans le processus sacrificiel peut blesser celui qui s’en approche. De la même manière, les mots sont pour Alexandre un double de ses foulards imposants qu’il transporte autour de son cou comme des gonfalons prétentieux : mètre gayatri ou trishtub, peu importe, il lui importe avant tout de découvrir, parmi les mots qui s’enchaînent, celui qui sera capable d’enfermer, de blesser, de retenir l’autre dans un cercle invisible, qui serait celui d’un microscopique gothul où quelques femmes, de son point de vue ses femmes, danseraient sa propre solitude. Ainsi l’histoire du tampax, qui doit aussitôt devenir un récit entré à son répertoire (comme celui de la Comédie-Française) – exhibé, digéré, poli telle une pépite d’or du Yukon, exploitable ensuite en société. Ainsi ces vieilles chansons de Frehel ou d’autres chansonniers du tournant du dernier siècle, dinosaures archaïques transportés dans les loges de la modernité cinématographique, mais qui au-delà de leur mélancolie intrinsèque, sont avant tout des transports de mots surarticulés, scandés, nourris d’une émotion que l’homme contemporain souhaiterait faire renaître sincère en soi (et bien sûr, il n’y parvient pas). Sans le savoir, Alexandre prouve que le divin réside désormais dans la chansonnette pour bal des pompiers. Une fois que le pouvoir des femmes unies l’aura défait, que le maquillage l’aura fait rejoindre leur camp dévirilisé, ce ne sera plus l’heure de la démonstration séductrice, mais celle du repliement mélancolique – et le classique, funèbre, sans mots, aura eu raison du populaire.
S’il l’avait connue, Alexandre aurait longuement rêvassé sur la légende de Krisna et des gopi, les seize mille gardiennes de troupeaux qui le vénéraient et tissaient autour de lui des jeux érotiques sans fin. Tout l’équilibre de la relation entre Krisna et ces jeunes filles résidait dans la balance infinie qui régit le svakiya (lien légitime, conjugal) et le parakiya (lien illégitime, adultérin). Alexandre crache d’emblée sur le svakiya parce qu’il l’associe au retour à l’ordre bourgeois qui suit la remise au pas de la société après mai 68. La complicité mentale avec son meilleur ami (qui est en réalité son parfait double dandy hautain, son frère jumeau, mais privé, lui, de toute déchirure psychique) repose sur la croyance hypocrite que le parakiya, la recherche inassouvie de l’unique parmi l’infinie multiplicité féminine, est le seul contrepoids du svakiya auquel en vérité il aspire (car sinon, pourquoi encore et toujours Gilberte, pourquoi, au-delà des questions d’argent, encore et toujours Marie ?). Mais l’écueil majeur du svakiya, autour duquel le film navigue comme s’il s’agissait d’un vaste et sanglant récit de corails ne faisant qu’affleurer la surface, demeure bel et bien la procréation, l’engendrement, le renouvellement des générations au-delà du plaisir égoïste. Quand Alexandre confesse face caméra une histoire qui finit par parler d’avortement, il s’empresse de remettre ses lunettes teintées, qui sont l’équivalent d’un masque : la faille, à charge pour nous de le comprendre, n’est pas celle d’un deuil, mais d’une mauvaise conscience, qui se hâte d’aller se blotir derrière les dandy paraphernalia. Les mots sont cette fois érigés en muraille de Chine, mais avec la mystérieuse Veronika, ils ont rencontré un adversaire de taille, maniant exactement la même arme, mais avec une précision bien différente. « Baiser » : Veronika aime les mots crus, c’est sa philosophie à coups de marteaux – déchirer les bandelettes ductiles du langage avec des lames aiguisées sur le fer de la vie, la vraie, dépouillée de son fantasme, ramenée à l’essentiel d’une humanité qui frôle, dans l’exaltation du sexe, l’animalité. Elle ne cesse de réclamer une promenade au « bord de l’eau » : c’est une créature liquide, plus Mélusine foudroyante que nymphe désirable, jouant de ses cheveux coiffés en bandeaux lisses et inflexibles, puis une fois défaits, tentaculaires et gorgonesques. Ses propres blessures ramènent celles d’Alexandre au stade de l’enfantillage : une puérilité ivre d’elle-même, qui se croyait le dieu de sa parole, et qui se découvre une rivale, à la mentalité aussi acérée qu’Athéna et aussi imprévisible qu’une ménade. Le grand exploit de Veronika est l’instant suprême où elle obtient, enfin, le silence. Ses propres mots ont pris leur victime, le jeune homme trop sûr de ses dégoûts et de ses névroses, à la gorge, et lorsqu’elle démolit sa grandiloquence et sa vanité, elle ne laisse plus, derrière elle, qu’un petit animal piteux et blessé, auquel ont été retirés ses jouets syllabiques, et qui se découvre nu dans une obscurité psychique sordide. Le grand monologue de Veronika, si justement célèbre, qui réussit à unir dans sa confession à la fois le gloria de l’amour et le sanctus des larmes, est un chant profondément personnel, arc-bouté contre toutes les dissimulations, qui réduit à néant tout le vaste échafaudage néoromantique qu’Alexandre avait disposé autour de sa personne. C’est une tempête de désir et de désespoir qui, dans la stase d’un plan unique, ravage tout et s’octroie ainsi la royauté de tout le récit. Et la révélation que Veronika est enceinte, détruira ainsi chez Alexandre les dernières illusions, le rendra à son caractère d’infamie, d’infériorité, de mendicité amoureuse qui était véritablement le sien. Impuissance face à la divinité qui l’a terrassé – qui a obtenu, comme dans tant de hyérogamies grecques, un peu de sperme pour générer du futur – et qui, comme premier acte de serviteur, lui fait recueillir son vomi.
C’est sur cette note de souillure, de chaos et d’humiliation qu’Eustache conclut les quatre heures de son roman, pardon, de son film. Peu auparavant, on avait pu voir Alexandre, soudain muet, se mettre à écrire quelque chose, sur un coin de table, sur un bout de papier. Et c’était la première fois qu’on le voyait, depuis le début de cette longue histoire, réaliser quelque chose qui soit de l’ordre de l’esprit. Ce quelque chose, malgré une moquerie de femme, il restera à jamais invisible, on ne saura jamais ce qu’il contenait, ce qu’il parvenait soudain à exprimer, en mots cette fois non parlés, mais écrits. C’est le résidu irréductible de cette expérience – son mystère d’Eleusis, le seul auquel nous ne pouvions pas être conviés.
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marie-swriting · 1 year
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Stranger Things Masterlist [FR]
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❤️Romantique/💜Amitié/💙Adelphe/💚Parents
Robin Buckley
❤️Je T'aime, Putain
Avant Robin, tu n'avais jamais eu de béguin pour une fille donc tu essayes de comprendre ce que tu ressens même si tu veux Robin avec toi. Vous vous êtes mises d'accord pour vous voir sans rendre les choses officielles, mais tes sentiments grandissent de jour en jour.
❤️Tu Vois Vraiment Rien
Tu as le béguin pour Robin et tu tentes de le lui faire comprendre. Malheureusement, elle ne comprend pas le message facilement.
❤��Une Nouvelle Leçon
Tu ré-emménages à Hawkins après plusieurs années loin de ta meilleur amie et premier bisou, Robin Buckley.
❤️Toute Votre Vie
Depuis que tu sors avec Robin, tu deviens de plus en plus distante avec tes amies and tout le monde a l'impression que tu changes beaucoup, même Robin qui commence à penser qu'elle ruine peut-être ta vie.
❤️Sentiments Romantiques, Pour Moi ?
Tu as un crush sur Robin tout comme elle, mais aucune de vous ne sent prête à faire le premier pas, ayant trop peur de perdre l'autre. Heureusement pour vous, vos meilleurs amis, Steve et Chrissy, veulent vous donner un coup de main.
❤️L'embrasser
Trois fois où tu as eu envie d'embrasser Robin mais tu ne l'as pas fait et une fois où tu l'as fait.
❤️Plus De Temps Avec Toi
Tu rencontres Robin à une soirée.
Chrissy Cunningham
❤️Être Mon Petit Ami
Tu es la meilleure amie de Chrissy donc tu l'aides dans ses problèmes de couple avec Jason, même si tu le béguin pour elle.
❤️Peu Importe La Douleur
Tu as le béguin pour Chrissy, mais elle a un rendez-vous avec Jason Carver.
❤️Pour Toujours [1/2]
Tu profites de tes vacances d'été avec Chrissy mais plus septembre se rapproche, plus ça devient compliqué de voir Chrissy alors que tout ce que tu veux faire, c'est lui dire "je t'aime" pour la première fois.
❤️Pour Toujours | Jamais [2/2]
Six ans plus tard, tu retrouves Chrissy à Lover's Lake.
❤️Toujours Rester Ensemble
Ton ancienne meilleure amie, Chrissy, t'aide à entrer dans l'équipe des Cheerleaders.
Eddie Munson
❤️Une Mauvaise Influence
Tu es une cheerleader et sors avec Eddie Munson. Quand vous vous êtes mis ensemble, tu n'as pas voulu le dire, car tu ne voulais pas entendre les commentaires de tout le monde. Mais maintenant, tu es prête à montrer le garçon que tu aimes, peu importe ce qu'ils peuvent dire.
❤️Vous Retrouver
Tu es de retour à Hawkins après avoir passé plusieurs mois loin de ton petit ami, Eddie à cause de l'Université.
❤️Te Choisir, Toi
Tu reviens à Hawkins et tombes sur Eddie Munson, le garçon que tu aimais.
❤️La Traînée D'Hawkins | Et Le Taré [2/2]
Après des mois de solitude à cause de ta réputation détruite, Eddie Munson est là pour toi.
Steve Harrington
💙Ce N'est Pas Ton Job
Tu sombres de plus en plus dans une spirale infernale, espérant que tes parents te remarquent, mais seulement ton frère, Steve, semble s'inquiéter pour toi, comme d'habitude
❤️La Traînée D'Hawkins [1/2]
Tu subis les conséquences pour être sortie avec Steve Harrington.
Stranger Things Masterlist [EN]
Masterlist Principale
EN Masterlist
Album One Shot Masterlist
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Previously, in the HPI rewatch...)
Et c'est reparti pour la dégringolade, vous le sentez ce cœur brisé qui arrive à grands pas ?
Mais d'abord un peu de Gilles qui souffre, comme un présage de ce qui va m'arriver dans cet épisode
Et franchement chapeau à Cypriane et Noé pour avoir réussi à maintenir une vraie dispute pendant toute la durée du petit déj, toute cette scène est l’incarnation du chaos
"Oh putain ! J'avais exactement la même, ado !" ENFIN j'ai réussi à comprendre ce que braille Morgane par-dessus le vrombissement de la mobylette 🥳
J'adore, Morgane qui demande à Karadec s'il a changé de parfum parce qu'elle sent une odeur chelou, et lui qui pense clairement qu'elle est encore en train de le cuisiner sur sa conquête (ce qu'elle va faire cinq minutes après, hein) et qui la rembarre direct
Gilles qui tousse de la fumée c'est vraiment trop drôle
"Et sexuellement, ça matche ?" 😆😆
"Vous et moi on est juste collègues, en fait" mec y'a deux épisodes t'étais prêt à démissionner pour elle, te fous pas de ma gueule... 😏
"Ah donc vous avez pas encore..." "Pas encore quoi ?" "Bah ken !" "Vous croyez vraiment que c'est le moment de parler de ça ?" "Excusez-moi de m'intéresser" Je suis désolée je suis obligée de copier l’intégralité de ce dialogue parce que littéralement chaque réplique me termine, EXCUSEZ-MOI DE M’INTÉRESSER, mais qui dit ça en parlant de la vie sexuelle de ses collègues ?? 😂
“Vous savez que Karadec a une meuf ?" Adam qui ferme les yeux en mode oh no, here we go, et la réaction de Gilles, voilà, c’est pour ça que je regarde HPI, moi. Pour le malaise.
"J'ai passé la moitié de ma vie à faire des sittings anticapitalistes" ...et l'autre moitié à faire du shopping du coup ?
"Quitte à passer toutes nos journées ensemble, on pourrait au moins se raconter des trucs" bichette elle veut tellement qu'ils soient amis I'm gonna fling myself off a cliff 😰
Morgane qui se marre quand Adam se fait attaquer par le chien, "bah, défendez-vous" mais elle a vraiment aucun respect 😅
Les ragots dans cette équipe, c'est quelque chose, quand-même
"Sylviane, elle est avec Gérard des services généraux" "Et alors ?" Merci Gilles
Diego de la BRI... 🤭
"Il dormirait pas dans la baignoire" -> Je rêve où Morgane veut se taper absolument tout le monde dans cette série... Karadec, Bonnemain, Diego... Et après ça nous fait croire que ça aime pas les flics... 😏
Toute la scène des "il a niqué" je crois que c'est ma scène préférée de toute la série en fait
"Ça va ?" "Ouais, et vous ?" 🔥🙊
Daphné en PLS qui est incapable de répondre sur l'état des recherches 🤣🤣🤣
"Ouh purée ça fait du bien... Hein, ça fait du bien. Nan ?" Putain mais chaque réplique de Morgane est un sous-entendu sexuel j’en peux plus 🥵 
[Et sans transition ou presque parce que si, si, il s’est passé des trucs entre temps, mais rien qui méritait un commentaire dans ce rewatch]
"Vous êtes contente ?" 😭😭😭
Non mais le regard de Morgane à ce moment là ça me détruit, ça tient plus du SOS que de la joie à ce stade, je-- 😭😭😭
Et puis leur gêne, là, quand elle commence à dire et pourquoi je serais pas contente, comme si elle le suppliait de lui donner une raison de pas l’être, something something si tu reviens j’annule tout et NON j’ai pas honte
Et lui qui perd complètement le fil non mais c’est pas du tout ce que je voulais dire alors que SI, c’était ce qu’il voulait dire, enfin peut-être, j’en sais rien, lui non plus
"Je trouve que vous faites un couple formidable avec Ludo"
I'm crying
"Si vous êtes heureuse moi je suis heureux"
S E N D   H E L P
Et le montage qui m'achève avec la musique de Morgane & Karadec, j'ai plus les mots là 😢
La manière dont elle se retourne en partant... Le fait que c'est littéralement un échange d'une minute avec Adam qui lui fait reconsidérer tous les choix qu'elle a fait et qui in fine est la cause de son pétage de câble... CET HOMME LUI A DEMANDÉ SI ELLE ÉTAIT HEUREUSE AND THAT'S ALL IT TOOK FOR HER TO REALIZE SHE WAS NOT OHMYGOD 😭😭😭
Des envies de crever
Vous imaginez le tournage de la scène du pétage de plomb de Morgane ? Les riverains qui se mettent à la fenêtre en entendant les klaxon et les gens qui gueulent et qui tombent sur Audrey Fleurot ?
"Vous m'expliquez ?" "J'suis obligée ?" 🥹🥹🥹 
Il accepte tellement facilement de ne pas insister I need a minute 🫠
Mais leurs regards, là, j'en peux pluuuuuuuuuus
Le regard énamouré d'Adam quand Morgane fait son show au bar d'impro... On ne dirait pas, mais cet homme est actuellement en couple avec quelqu'un d'autre. Ça vous en bouche un coin, hein ? Bah à moi aussi
"Elle est où Morgane, au fait ?" "Pfff, ouh là là aucune idée" Mouais, tu serais pas encore en train de la couvrir, toi ? 😏
"Si ça se trouve elle est enceinte" "Gilles, ils ont couché ensemble hier soir, c'est physiologiquement impossible" 🤣🤣🤣
J'attire votre attention sur le fait que ça, c'est censé être l'écran de téléphone de MORGANE. Ludo s'appelle Morgane dans son répertoire, je... Comment ça se passe, ils n’ont qu’un seul téléphone au rayon accessoires et ils se le refilent tous ? 🤦‍♀️
Tumblr media
"Donc vous couchez pas ensemble ?" Le malaise est sans limite 😅😅😅
Les regards de Gilles quand il comprend la vérité sont à se plier de rire
Et Céline qui en remet une couche à la fin sur sa voiture de patrouille, mais le dysfonctionnement dans ce commissariat 🙊
Oui je ne fais que retarder l'inévitable
Non je veux pas en parler
Laissez-moi sortir !!!
Morgane qui renifle *avant* d'entrer pour cacher à tout le monde qu'elle a probablement pleuré toute seule dans sa voiture, kill me now 😩
"Moi des doutes j'en ai jamais eu" 💔
La façon dont elle est au bord des larmes quand Gilles rentre mais qu'elle fait tout pour pas le montrer 😭
Et ses petits "oui..." en réponse à Gilles qui veulent juste dire "nan ça va pas DU TOUT" ughhhhhhhh
Des fois je me rappelle qu'Audrey Fleurot est une bonne actrice et je souffre
Encore une fois, on notera le parallèle du fait que ça se passe EN MÊME TEMPS qu'Adam qui part remettre le couvert avec Roxane 😰😰😰
Bichette, sa vie part en couille pendant qu'Adam reconstruit la sienne alors qu'il lui a dit SI VOUS ÊTES HEUREUSE MOI JE SUIS HEUREUX
Et moi je fais une DÉPRESSION
Bonne soirée
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cellobis · 7 months
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Dedans le feu, dehors la glace
Vu du dedans
fenêtr' carrée
de la cuisine
quatr' carreaux noirs
des tas d'points blancs
bien scintillants
il neige il neige
Vu du dehors
quatr' carreaux clairs
plein de lumière
des gens qui rient
des gens qui boivent
le chat qui miaule
le chien qui dort
faut vous chauffer
quand vient l'hiver
tout froid dehors
Je n'ai pas d'piaule
frappe au carreau
j'ai froid j'ai faim
mon frère est mort
putain de sort
tombé du train
tombé dans l'eau
rien sur la peau.
Les migrants c’est
comme les oiseaux
Ils traversent
la mer le vent
l’air et le sable
ils vivent dehors
affrontent le gel
les piqûres de l’hiver.
Faisons la révolution
notre nouvelle France
elle aime pas ça
ou les migrants
ou les oiseaux
ou les abeilles
bref, somme toute
toutes les belles
simples merveilles
Cell
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mariaamnt · 1 year
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Je voudrais que quelqu’un rentre dans ma vie et là renverse de part en part, qu’elle fasse trembler les meubles, voler les assiettes, que les draps se tordent comme des voiliers en pleine tempête. Je voudrais qu’on soit deux et puis toute seule en même temps, qu’on fasse équipe pour tout, partout, tout le temps que les gens parlent de nous en disant :
« Eux », « Eux.. la », les indissociables, les amoureux, les relous qui passent leurs temps a se dire « je t’aime » avec les yeux. Je voudrais qu’ont passe nos nuits à faire l’amour et nos journées à se raconter nos soirées, je voudrais qu’on le fasse dehors, au cinéma, dans l’ascenseur. Je voudrais connaître sa peau par cœur, qu’il soit la carte et le voyage, qu’il soit le ciel puis le paysage.
Je voudrais qu’on se disent « pour toujours » et que « pour toujours veuille dire jusqu’à la fin », qu’il n’existe plus d’horaires, ni de fuseaux, que la seule horloge qui compte soit celle qui palpite sous nos os et que si même un jour ça crée une sacrée putain de triste histoire, on se sépare, qu’on soit foutrement heureux d’avoir vécu l’éternité à deux.
Je voudrais que le temps s’arrête, je veux m’endormir avec lui dans mes bras et me réveiller dans les siens. Je veux qu’on rie de tout de rien et qu’à chaque fou rire, je retombe amoureuse.
Je veux qu’on se pardonne les erreurs, les maladresses et les faux pas, qu’on dise « Peu importe ce que tu feras, je sais que tu le feras pour moi pour me retrouver » pour me saisir, me réveiller, pour me crier « Je t’aime », « J’ai peur », « Tu me manques », pour ne pas se perdre. » Même si il arrive parfois que pour ne pas se perdre il faille s’égarer.
Je voudrais qu’on fasse nos courses comme des enfants puis qu’on finissent par commander, qu’on danse des slows dans le salon, qu’il me marche sur les pieds, je voudrais que les voisins ralent à grands coups de manche à balais, je veux qu’on ai nos classiques, nos blagues privées, nos musiques, des trucs qui rendent jaloux tous les potes en soirées. Je voudrais qu’on soit se couple insupportable qui s’embrasse dans la rue puis dans le métro et même les escaliers.
Je voudrais qu’on se regarde dormir, passer des heures a l’effleurer a lui dire qu’il est beau.
Je voudrais qu’il m’attende à la gare parce que c’est triste une gare sans lui.
Je voudrais qu’on passe notre temps à se murmurer des choses, comme si c’étaient des secrets, comme si ça nous appartenait, comme si le monde ne le savait pas.
Je voudrais qu’il me tienne par le bras quand on s’en va marcher et que rien que ça suffise à me faire mouiller, qu’on parle de tout, que l’on se connaisse par cœur, que son histoire je l’aime comme on aime un roman, je veux qu’à chaque fois que je le vois je me dise… « Putain.. Je pourrais mourir. J’ai tout vécu. Vraiment. »
Je voudrais qu’il m’inspire, qu’il soit ma muse et mon modele, je voudrais qu’il soit dans toutes les phrases ou j’emploie « il » et qu’à chaque foutu poème je ne fasse que bégayer sa beauté. Je voudrais qu’on s’aime, qu’un jour on ai des gamins qui nous ressemblent. Parce que les enfants, c’est de l’amour qui ne se sépare pas, c’est de l’amour après l’amour. C’est tout. Les enfants c’est l’union réussie de deux corps qui échouent.
Je voudrais qu’il soit mon mari, mon copain, mon mec, mon amoureux, mon meilleur ami, mon partenaire, mon complice, mon âme sœur, ma raison, mon relecteur aussi, ma rose, mon armure. Je voudrais qu’il soit ma maison et je voudrais être tout ça pour lui aussi. Puis même séparé que ça sonne toujours un peu vrai. Que si un jour on se croise dans la rue, redevenus deux inconnus, on puisse se dire dans un sourire muet : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. »
.Félix Radu~
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perduedansmatete · 1 year
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mes oreilles sont re re re re percées j'ai dit que c'était la dernière fois et qu'il fallait qu'il me foute des gros coups de pression s'il me voyait sans boucles d'oreilles, on a marché 19 putains de kilomètres en errant dans paris de crêpe en crêpe de milkshake en milkshake et de chien en chien avec lequel tokyo voulait devenir copain, on a retrouvé une nouvelle copine (j'espère... j'ai déjà prévu de l'amadouer en lui faisant un collier de sa couleur préférée mouahaha elle veut trop) pour lui filer des cartouches de clopes et au final on a continué de gambader sous le soleil avec elle, on a bu des skoll en observant les canards juste après que je me sois pris une capsule dans la gueule, on a aussi découvert que tokyo avait peur desdits canards puis on a laissé notre copine avec son date qu'on aime bien aussi, en se baladant on a repris une nouvelle crêpe en faisant des pinky promises avant de refaire 15 allés retours pour racheter des bières et les meilleures pizzas du coin on s'est posé devant sa péniche préférée on est devenus potes avec son proprio et maintenant il espère pouvoir faire des before sur sa péniche plutôt que devant, on a aussi voulu sauver une abeille en lui donnant un peu d'eau sucrée mais un gars l'a écrasé c'était horrible mais sinon on a beaucoup rigolé, c'était calme et agréable, des fois je me suis sentie un peu down car l'intuition toujours je sens souvent que c'est la fin des choses alors que pas forcément mais là je sens un changement de forme mais ce n'est pas encore déterminé néanmoins je crois que si c'est le cas la chute sera douce puisqu'on sera toujours liés d'une manière toute aussi agréable puis il m'a encore offert des ferrero rochers car j'en suis folle et qu'il sait que je bouffe rien en ce moment, dans le métro qui m'a fait rater le dernier bus il m'a dit qu'il aurait voulu que je dorme chez lui au final mais qu'il avait en même temps besoin d'être seul et qu'il ne comprenait pas la dichotomie de ce besoin lui paraissant extérieur à lui et de son envie, il m'a dit que les antidépresseurs le rendaient bizarre et qu'il se comprenait plus trop qu'il avait peur que je prenne mal le fait de ne pas dormir chez lui alors que non petit cœur je comprends totalement, puis qu'il était stressé que je passe une mauvaise journée alors que j'ai vécu ma best life mais il m'a répété qu'il voyait toujours dans mon regard qu'il y avait quelque chose de triste et ça je lui avais dit avant de partir que oui il y avait bien quelque chose car je suis toujours maussade comme lui mais qu'il était trop fort pour me rendre tout soleil, sinon avant on avait parlé de libido et purée je crois que rien que pour ça je devrais me mettre aux antidépresseurs je sais que ça commence à le soûler un peu mais je ne dirais pas non à une baisse drastique de la mienne j'ai l'impression que ça réglerait tellement de problèmes mais je crois que c'est pas la raison principale pour laquelle il faudrait même si je fais quand même des liens dans ma tête mais il est trop tard pour les écrire et j'ai oublié ma pensée cohérente du long trajet retour à pieds enfin bref j'ai passé une bonne journée qui vient de se terminer par un échange de messages trop gentils et mimis je suis remplie d'amour
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lisaalmeida · 1 year
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Moi quand je te parle de beauté, je ne te parle pas de son joli petit cul moulé dans un jean Levi's, ni de ses lèvres pulpeuses, ni de ses grands yeux pétillants. Putain. Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu aimes tout d'elle. Ses défauts. Les pires. Le goût de ses larmes quand rien ne va plus. Puis un sourire. Qui dure. Qui dure, parce que tu as ta main posée sur sa peau brûlante. Parce que les jours passent trop vite quand elle est là et que tu ne veux plus la quitter. Que tu ne peux plus lâcher sa main. Et que sans elle, chaque minute est inutile. Ce n'est pas un jeu. Pas de la merde. C'est dangereux. Tu vois. Moi. C'est ça dont je te parle.
M. Lévy
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swedesinstockholm · 2 months
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2 juillet
dernier matin seule dans la maison, maman est en vacances demain. j'aurais du mettre me réveil à huit heures et profiter de chaque seconde. hier maman m'a dit que j'en avais assez profité non? oui, mais mes matins seule à la maison sont ce que j'ai eu de plus précieux, de plus sacré ces dix dernières années, et je les aime comme au premier jour, quand j'avais quatorze ans et que je séchais les cours pour rentrer. une vie entière ne suffirait pas pour profiter des matins tranquilles à la maison. cette nuit j'ai rêvé que je me réveillais dans la même chambre que n. et ses deux colocs, je dormais dans un lit superposé et un des deux colocs dormait au dessus de moi et quand il grimpait sur l'échelle tout le lit se mettait à trembler. on dormait à l'intérieur d'une espèce de grand sac de couchage relevé par dessus la tête pour protéger son intimité et je regardais par le trou du sac de couchage au dessus de ma tête et je me disais que malgré tout, il valait mieux ça que de rentrer à la maison. hier n. m'a écrit que si j'étais encore là dans un an on pourrait participer aux 48h neukölln et j'avais envie de lui répondre que oui je serais là parce que de toute façon je peux pas être ici. pas le choix. je lui ai dit i'm going batshit crazy here et elle m'a dit qu'elle était encore plus contente que je vienne alors. c'est la deuxième fois qu'elle me sauve la vie en un an. la première fois c'était de r. cette fois c'est de maman.
je suis retombée sur le post de l'article sur grey gardens et dans les commentaires tout le monde s'indignait de la lecture complètement erronée et romantisée du film par la journaliste et j'avais un peu honte de m'être laissée avoir par sa vision de l'histoire, parce que je l'ai vu ce film et il est terrifiant. la mère de little edie est un monstre qui veut pas que sa fille aille vivre sa vie à new york, little edie qui rêve d'amour et de devenir une star à broadway mais elle est prisonnière de sa mère dans leur manoir qui tombe en ruines, isolées du reste du monde. depuis que j'ai vu ce film mon pire cauchemar c'est de finir comme little edie et sa mère, même si on habite pas dans un manoir délabré et que maman n'est pas folle. parfois maman m'apparait comme un monstre auquel je dois échapper. le dimanche dans la forêt quand je l'entends derrière moi qui me rattrape parce qu'elle court et moi je marche, ça devient littéral. je suis remplie de colère contre elle. j'ai tellement de colère à l'intérieur de moi que ça me fait peur. je vois probablement que la pointe de l'iceberg en plus.
hier on a fait une séance de yoga à la maison avec a. et dès le début quand elle nous a fait faire des micro mouvements avec les pieds j'ai senti les larmes me monter aux yeux et je me suis dit oh putain le trauma, je l'avais oublié celui-là. enfin bof pas trop, mais ça faisait un moment qu'il s'était plus manifesté à travers le corps. j'ai pensé à la phrase your body is a library of pain, perfectly filed. j'ai senti que mon corps contenait un océan de douleur. je contiens un océan de douleur et de colère. c'est-à-dire une tempête. avec des vagues scélérates. mais c'est un océan intérieur comme dans voyage au centre de la terre, un océan souterrain dont rien ne parait à l'extérieur, sauf parfois des larmes, comme des gouttelettes d'eau de mer qui suinteraient à travers la croûte terrestre. à la fin a. a posé la paume de sa main chaude sur mon dos pour que je sente comment ma cage thoracique était plus grande d'un côté que de l'autre et j'ai de nouveau eu envie de pleurer. je lui ai dit que je voulais trouver un truc de thérapie par le mouvement à berlin mais j'ai trop peur d'exploser.
bon finalement c'est pas plus mal que ce soit la fin de mes journées seules à la maison parce que j'ai encore éclaté en sanglots au milieu de l'après-midi comme ça sans prévenir. je pleurais comme kate winslet, avec mes sanglots de désespérée. c'était théâtral et pathétique et j'ai du regarder un épisode de curb your enthusiasm en mangeant du chocolat pour me calmer parce que j'étais trop déprimée pour continuer à travailler. le TEMPS qu'il me vole depuis un an ce mec, c'est vertigineux, c'est criminel, je pourrais le poursuivre en justice, et ce serait même pas la première fois qu'il se retrouverait au tribunal. je me demande s'il a parlé de moi à son psy, par rapport à son complexe de connard, et si son psy lui a conseillé de me laisser tranquille pendant quelques temps, pour me laisser le temps de me sevrer et de guérir proprement. l'autre hypothèse, plus probable: il est trop occupé par la personne avec qui il discutait sur whatsapp l'autre jour pendant que je lui envoyais des passages de heart of a dog et je suis tout simplement passée au second plan.
hier a. m'a dit que je devais faire du core strengthening pour renforcer ma colonne vertébrale et développer mes abdos pour qu'ils aident à la soutenir. peut être que si je fais ça je me laisserai moins aplatir par les gens. j'ai toujours eu l'impression que mon maintien bancal était lié à mon estime de moi bancale. j'ai vu qu'il allait faire 33 degrés à berlin la semaine prochaine. j'ai peur de me retrouver clouée à l'appart étalée sur mon lit sans pouvoir bouger avec les jambes lourdes et la tête qui fourmille satané réchauffement climatique il va me foutre en l'air tous mes plans de réinvention de moi-même. peut être que dans un premier temps je pourrai me concentrer sur l'écriture. me concentrer dessus pleinement je veux dire. et puis je sortirai le soir. c'est bien aussi. c'est très bien même, vu que ça avance pas trop trop ces derniers temps.
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touchlikethesun · 1 year
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VOUS POUVEZ JAMAIS COMPRENDRE À QUEL POINT J'ADORE REGULUS BLACK !!!!!!! JAMAIS JAMAIS JAMAIS !!!!!!! DEPUIS QUE JE LE CONNAIS PAS UN JOUR SE PASSE SANS QUE JE PENSE À LUI - PAS UNE SEULE PUTAIN DE JOUR - IL EST TOUT CE QUI IMPORTE DANS LA VIE POUR MOI - UN ENFANT MALTRAITÉ, UN ENFANT QUI AU FOND DE LUI-MÊME VEUT SEULEMENT QU'ON L'AIME - REFOULÉ CAR ON LUI A DIT QUE LA SEULE FAÇON D’ÊTRE ACCEPTÉ D’ÊTRE EN SÉCURITÉ C'EST D’ÊTRE TOUT CE QU'ON TE DIT ET JAMAIS SOI-MÊME - IL AIME DES CHOSES DOUCES MAIS IL SE PRIVE DE TOUT ÇA SE PRETENDANT D’ÊTRE PLUS SAGE ET IL CRÈVE DE SOLITUDE - C’ÉTAIT IMPOSSIBLE QU'IL NE SOIT RIEN D'AUTRE QUE LE MORCEAU MANQUANT DE MON ÂME !!!
J E L ' A D O R E.
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skelethrash · 8 months
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TON NOM
C'est marrant quand on parle de toi j'ai encore ce genre de réflexe heureux parfois. Une surprise plus qu'un choc, un souvenir plus qu'une joie,
Ce truc que tu ressens tout au fond de toi, comme si tes rouages avaient une conscience propre et profonde. C'est bête je sais.
Ou alors quand ton oreille choppes un mot en l'air dans une conversation étrangère, qu'il sonne un peu trop comme une chanson familière.
Moi, suffit d'un son trop violent ou trop tordu pour que tout ce mette à dérailler là dedans.
La poésie, l'amour, les contes de fées, les âmes maltraitées, les fleurs, les souffles, les condamnés, les âmes dérobées.
Si c'est en six lettres que tu t'es créé, il en faudrait des milliers pour exprimer tout ce que j'ai pu rejetter.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour vain, I pour illusoire et K pour kouteau.
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Je dois t'avouer que je sais pas vraiment ce que j'raconte, la musique, d'habitude c'est moi qui l'écoute.
L'amour m'a rendu plume et ta fait ancre, sans toi je ne suis que passager du vent, sans trace de mon passage.
Faut dire que je sais pas aligner deux mots, j'ai juste un sacré culot de poser tout ça ici où un simple courant d'air peut guider.
Tu savais si bien dire, même quand t'écrivais les trucs les plus moches et blessant tu le rendait beau.
Aurevoir, c'est finis, merci d'être resté, ça va jamais s'améliorer, je t'aime, un jour, ne regrette pas, ne t'acharnes pas.
C'est peut être en six lettres que tu t'es créé, mais c'est en des milliers que je t'aimais, et pour l'éternité.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
T pour «Trop tard», O pour «Oxymore» et R «Reste encore un peu»
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Si tu savais à quel point je les ai détestés c'est six putain de lettres, me demande pas pourquoi j'ai jamais su la raison.
Ptêtre un mauvais jour, le blues post concert qui te fout la rage de pas avoir assez profité dla scène.
Maintenant je les aime, regardes, j'en écrit des chansons maintenant, ironic je sais.
Et même que j'en savoure chaque syllabes lorsqu'elles s'assemblent pour passer entre mes lèvres lors d'une conversation familière qui sonne un peu trop comme une chanson étrangère.
Kanné, I want you, I love you so, trop beau. Boys don't cry, true love waits, infirmière, quand je les écoute je sais pas si je veux t'embrasser ou me foutre en l'air.
Quand j'entends ton nom c'est comme être déporté dans ma propre tête, là où même les plus courageux n'irons pas en quête.
Puis à quoi bon tout ce qu'il me reste c'est ton nom alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour «Vas voir ailleurs si j'y suis», I pour «Il en restera plus rien», K pour «Kasse toi d'la».
T pour «T'es vraiment qu'un enculé», O pour «Ok, c'est bon j'ai compris», R pour «Reste loins de moi j'ten supplis»
V-I-K-T-O-R
V pour «Viens dans mes bras, juste ceux-là, juste pour cette fois», I pour «Impression de mourir à chaque instant quand t'es pas là», K pour «Kramé au troisième degrés»
T pour «Tu me manques tellement», O pour «Oui, je t'aime mon amour.», R pour «Reviens quand tu veux.»
Il est beau ton nom, Viktor.
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