Tumgik
#mal au cou
coachantidouleur · 4 months
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Pourquoi ais-je une hernie discale cervicale ?
La hernie discale cervicale est une affection qui touche de nombreuses personnes, provoquant douleur, inconfort et, dans certains cas, des symptômes plus graves affectant la qualité de vie. Cet article va vous aider à mieux comprendre les causes de cette hernie, les symptômes divers et comment elle peut être traitée. Qu’est-ce qu’une hernie discale cervicale? Avant d’explorer les causes, il est…
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urween · 4 months
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
! warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
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Global
l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilisé depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk.  Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
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° x-men masterlist
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olympic-paris · 6 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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theungracefulpasterie · 3 months
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Second part of @imaushisimp 's request !
A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)
P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)
Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.
Dazai
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Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.
~~little timeskip~~
Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.
"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.
"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".
Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.
"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.
"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".
Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.
Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.
Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :
"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"
Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :
"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."
Tu lui souris et répondis :
"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."
Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.
"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :
"Chez moi ?~"
Il sourit sournoisement et répondit :
"J'ai cru que tu le demanderais pas~"
A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!
28 notes · View notes
insecateur · 1 year
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I'll be standing tall (La Maison-Dieu)
A 10 songs bilingual Sycamore/Lysandre playlist (in honor of Pokémon X&Y's 10th anniversary)
(Unfortunately, I don't use Spotify, so you'll have to make do with this YouTube playlist or look for the songs yourself. But do look under the read more for Lyrics Excerpts and all of that.)
Why a bilingual playlist? Well because I'm a bilingual guy, for a start, and because my experience with Pokémon X&Y in general and this ship in particular has always been bilingual as well (even trilingual, arguably.) I wanted to put together some of my favorite songs in English for them and introduce English-speaking fans to some of my favorite French songs for them, too. A lot of those songs are songs I've quoted, mentioned, or even used as inspiration for art and fic.
(Why is Augustine on the English side and Lysandre on the French side? Because I thought Lysandre would be offended at the idea of being on the English side while Augustine wouldn't care about it as much.)
SIDE A: ENGLISH
Sunburn by Muse
He burns like the sun And I can't look away And he'll burn our horizons Make no mistakes
This is the classic, quintessential PRFR song for me. Its only crime is that it's het, sung from the point of a view of a man singing about a woman. That pesky little detail cannot stop me, however.
Without You I'm Nothing by Placebo (feat David Bowie)
I'm unclean, a libertine And every time you vent your spleen I seem to lose the power of speech You're slipping slowly from my reach You grow me like an evergreen You've never seen the lonely me at all
Do I even need to say anything about this? I listen to this song when I need to make myself Suffer thinking about them. Oh to be unable to bring yourself to say something about your beloved friend's downward spiral...
Hardest of Hearts by Florence + the Machine
Darling heart, I loved you from the start But you'll never know what a fool I've been Darling heart, I loved you from the start But that's no excuse for the state I'm in
My friend sent me this song saying it was about them and they were RIGHT. Shout-out to my friend for that. I like how it can be alternating POV, too.
Changes by The Happy Fits
I try to run away but I find myself, again Stuck in the same place Who will I be today? I can't control the world or change it
This one was suggested by @jonphaedrus and I'm really happy I could have its contribution in here as well. This is very meaningful to me.
Celebrate by Metric
Even the darkest hour soon will be over My friend, it will be over
I couldn't not put a Metric song in there! It was tough finding the right one... But I thought putting a more optimistic spin would be nice, too. I actually associate this song with SLaWCS specifically as well, which is a nice touch.
SIDE B: FRENCH
Pâle Septembre by Camille
Mâle si tendre Au début de novembre Devint sourd aux avances de l'amour Mais quel mal me prit De m'éprendre de lui ?
Did you know? This song is the reason why I associate Lysandre with the Tower arcana. Or at least, it's what put the idea into my brain first. This one is also a quintessential PRFR song for me.
7 Vies by Kyo
La vue est magnifique Contemple-la tant que tu peux La lumière alcaline Le bien, l'ennemi du mieux Tant que le temps défile Tout doit se vivre à deux Je pratique le langage des signes Et celui du feu
I think I should be allowed to include some more vibes songs in there, although I'd argue this one fits them well. It's a bit abstract, but it fits.
Tout donner by Maître Gims
Tu es ma maladie Ma guérison quand tu l'décides Mes nuits s'illuminent J'en confonds le jour et la nuit
A desperate, self-destructive pining song... What else could a man want in this world. It's very tasty. I think about those lines way too often.
Aimer à mort by Louane
L'espoir qui joue, le feu, le froid Un souffle au cou, baiser de roi Pour nous reprendre, pour nous défendre Pour se comprendre chaque fois
Another intense but more optimistic one. I want to believe... I want them to believe as well...
Rouge Ardent by Axelle Red
As-tu trouvé, dans les feux, dans les flammes Ton idéal rouge ardent As-tu froid As-tu peur de l'aurore Tu disais "tout s'évapore" Tu as eu tort
It's a song about being in love with a failed idealist. And also the color red is there. What more can I say. (Also, this time it's originally a het song from the POV of a woman singing about a man, which ties it all neatly together, I think.)
Happy 10th anniversary to all my fellow shippers, young and old, new and ancient, whether you were in the trenches with me back in October 2013 on this webbed site or you joined us in 2021 with the Pokémon Masters revival, thank you for loving them always. Here's to loving them more and more in the future, and here's to the Pokémon X&Y remakes as they become clearer and clearer on the horizon. (And maybe we'll get a Legends game, too? Wouldn't that be something...)
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crimson-veil-rpg · 3 months
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ORGANISATIONS JOUABLES
Les idéaux rassemblent créatures surnaturelles comme êtres humains, rassurent et offrent une cause commune. Qui choisirez-vous de suivre dans la nuit ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque organisation fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu.
(tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation, secte, chasse, drogue, alcools)
NB : à savoir que les organisations seront dirigées par des PNJs, et donc non jouables.
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GREAT BRITAIN NIGHT WALKERS
Type : Organisation secrète gouvernementale   Domaine : Chasse de créatures hostiles, protection des êtres humains et du secret surnaturel Membres : exclusivement humains Signe distinctif : Un matricule autour du cou, une face avec des informations codées et un nombre à quatre chiffres, l'autre un croissant de lune Quartier Général : L'Howard Castle pour le QG principal, des QG secondaires dans tout le Royaume-Uni.
Humanité bienveillante embrigadée au sein d’un ordre ancestral qui prône la protection humaine et le secret du monde surnaturel. Chasseurs de bêtes hostiles et police du mystique afin de garantir l'harmonie et le bon fonctionnement du système. Les Walkers sont inévitablement embourbés dans une lignée familiale belliqueuse, on ne le devient pas sans posséder un proche du même sang, suivant un enseignement rigoureux. Leur rôle est également de faire disparaître les preuves de l’existence des créatures qui se tapissent aux ombres, priorité absolue.
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SPECTRAL HOWLERS
Type : Gang, mafia. Domaine : Combats clandestins, trafic de drogues et d’alcools. Membres : Créatures, principalement harpies et lycanthropes. Signe distinctif : Tatouage d'un S et d'un H entrelacés sur un éclair. Quartier Général : Sous-terrains cachés en ville.
Gang crasseux croupissant dans les sous-sols, ce sont les chiens qu’on y lâche clandestinement, poussant les bêtes à s’entretuer pour faire sensation. Voir la violence apaise la violence selon eux. Mains sales, ils n’en sont guère restés aux combats, demeurent magouilleurs pour les larcins en tous genres, mêlant conception et trafic d’alcools et de drogues assez puissantes pour les diverses espèces surnaturelles en mal d’euphorie.
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THE KILLING MOON CLUB
Type : Organisation secrète, secte. Domaine : Pouvoir aux créatures et endoctrinement d’êtres humains. Membres : Créatures et humain·es captif·ves Signe distinctif : Une chevalière gravée d'un sphinx tête de mort. Quartier Général : Les sous-sols privatisés du Grand Hotel.
Culte factice à la gloire d’une divinité abstraite, The Killing Moon Club cache seulement les ambitions d’un groupe de créatures surnaturelles, avide d’un jour assoir leur pouvoir ouvertement. Réputé dans toute l’Angleterre, les dirigeants du club font partie de l'élite surnaturelle. Ici, on tue, et les soirées mondaines sont de véritables boucheries. On y vient pour chercher une âme à arracher, s'assurer d'un service de nettoyage irréprochable. Secte aux allures de club huppé, les humains y perçoivent salvation et pensent faire face à des êtres divins. Hypnose et captivité entraine la dépendance, tandis que les bêtes y voient buffet à volonté.
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THE BLEAK OUTBREAK
Type : Organisation secrète, gang.   Domaine : Chasse et anéantissement des créatures, trafique de ressources surnaturelles. Membres : exclusivement humains. Signe distinctif : des clefs croisées tatouées sous la plante du pied droit. Quartier Général : les sous-sols du Whitby Museum.
Traqueurs de bêtes qui se sont donnés pour mission d'éradiquer la pestilence surnaturelle, en collectionner les trophées ou les revendre à prix d'or. Les créatures révulsent, peu importe leurs espèces, ne sont que manifestations du malin descendues sur terre pour mieux laisser répandre leur venin, des sbires d'un Lucifer venu punir l'espèce humaine sur terre. Alors ils arrachent les crocs vampiriques, les écailles de sirènes, les crânes de loups, les ailes de harpies ou feuilles de dryades sur leurs carcasses et en font commerce pour mieux financer leurs battues dans les landes.
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DAWNBRINGERS
Type : Ligue, association. Domaine : Protection du secret surnaturel, prônent l'harmonie des espèces, moyen de se nourrir alternatifs. Membres : exclusivement créatures. Signe distinctif : un contrat qu'ils doivent avoir sur eux lors des missions. Quartier Général : Le sous-sol de la Terror Tower, attraction hantée de la ville.
Ligue bienveillante prônant l'harmonie des espèces et la cohabitation terrestre. Le principal moteur est la protection du secret surnaturel et des plus faibles, évinçant les traces de toutes ombres chimériques. L'être humain vu comme un allié plutôt qu'une proie, préservé tel un compagnon de route. Les bêtes hostiles qui se joignent au groupe doivent montrer patte blanche, prouver leurs valeurs de part des moyens de se nourrir alternatifs.
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tosteur-gluteal · 4 months
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Slutty priest is homophobic (chaos ensues) - OMORI MLB AU x Priest!Nick au (French version)
This is a collaborative fic I've made with @theokusgallery! This does not contain any spoiler, and is in French (English version coming soon. Probably. maybe.) Trigger warnings! This fic contains queerphobic slurs, as Priest!Nick is very repressed. If this makes you uncomfortable, don't hesitate to avoid this post! With that out of the way, Bonne lecture!
Les carreaux de la Cathédrale se brisent en milles éclats. Ladybug, dans la hâte, ne remarqua pas la présence du prêtre: une alerte akuma avait été formulée trente minutes auparavant dans ce quartier, et selon le protocole, on avait fait évacuer les lieux pour la sécurité des citoyens. En l'occurrence, Ladybug avait décelé une activité suspecte au sein de la Cathédrale.
Le prêtre, caché sous les débris, regarda Ladybug depuis le sol. Il l'espionna alors que le jeune homme cherchait la source de la menace qui avait été formulée. Il attendit le bon moment pour sortir de sa cachette, l'attaquer, le tuer--
Et le moment vint.
Il sauta du sol, faisant tomber les débris autour de lui, et se lança vers Ladybug. Les ailes de chauve-souris qu'il avait dans le dos l'aidèrent à se propulser tandis que sa queue de démon s'agitait de bas en haut pour détourner les morceaux de vers qui auraient pu l'atteindre.
"Ce gosse, pensa Nick, il a le droit de faire ce qu'il veut, mais MOI…!"
Ladybug serrait les dents. Malgré son agilité, il éprouvait une grande difficulté à éviter les attaques du vilain. De plus, il lui fallait trouver un moment de répit pour communiquer son emplacement à son coéquipier.
"Très élégant, monsieur! Enfin bon, malheureusement, je ne pense pas qu'il soit approprié de porter ce genre de tenue en ce lieu sacré..!"
Ladybug sautait de pilier en pilier, forçant le vilain à lancer ses débris dessus.
"Oh pitié, rétorqua celui-ci, tout en ventilant son torse exposé de manière provocatrice; t'es très mal placé pour parler, travlo!"
Ladybug le regarda, interloqué, ne sachant quoi répondre, et Arsenic en profita pour tenter de lui asséner un coup de poing que Ladybug évita de justesse.
"Ladybug, tout va bien ?!"
Ladybug poussa un soupir de soulagement en entendant Catmint.
"C'est pas trop tôt ! Il t'en a fallu, du temps, qu'est-ce que tu faisais ?!"
"J'ai évacué tout le monde, répondit Catmint. C'est lui, l'akumatisé?"
"T'en vois souvent, des gens normaux avec des ailes, queues et cornes de démon, toi ?"
Catmint eut tout juste le temps d'éviter une attaque du "démon" avant que celui-ci ne fit volte-face et saisisse Ladybug par le col. Il plongea verse le sol, entraînant Ladybug avec lui, en le plaqua contre les dalles de l'église.
"Ça va, tu t'amuses bien à flirter avec ton pote, pédé?!"
Ladybug utilisait ses bras pour tenter d'échapper à la prise du vilain sur son cou.
"Tu m'as l'air…bien, bien frustré, mon gars-"
"Comment ne pas être frustré quand on voit que des gens de ton espèce se baladent librement, sans aucune crainte envers Dieu..!"
Avant qu'il puisse en rajouter une couche, Catmint libéra Ladybug de sa poigne d'un coup de pied bien visé.
"Combien de temps avant un Lucky Charm?" Catmint signait à Ladybug alors que tous deux s'étaient dispersés, en mouvement constant dans toute la Cathédrale.
"Cinq minutes. Gagne du temps."
Catmint hocha de la tête.
L'homme se releva, le regard fixé sur Ladybug. La haine dans ses yeux était claire, et Catmint décida de se lancer dans le combat plus intensément, puisque ce vilain semblait décidé à l'ignorer pour se concentrer sur Ladybug.
Il attrapa le bras d'Arsenic, et le jeta vers le mur de la cathédrale. Nick eut tout juste le temps de stopper son élan en utilisant ses ailes, mais avant qu'il ne puisse se jeter une fois de plus vers Ladybug, Catmint courut vers lui et saisit ses ailes pour l'immobiliser au sol.
Le vilain se débattit furieusement, criant vers Catmint, qui essayer tant bien que mal de garder le contrôle des ailes de l'homme.
"Allez, juste deux minutes de plus..!" pensa Catmint.
Arsenic se pencha violemment en avant, faisant voler Catmint, qui était derrière lui. Catmint se rattrapa et retomba sur ses pieds sans grande peine, s'élançant une fois de plus vers l'homme et lui portant un coup de poing dans le ventre qui repoussa le vilain. Arsenic attérit sur le sol, tenant son rosaire dans la main.
"C'est son rosaire…!"
"MAINTENANT !" cria Ladybug.
Catmint porta un coup de pied sur la main de l'homme qui tenait le rosaire. Celui-ci cria de douleur et lâcha le rosaire, laissant à Catmint le temps de le détruire.
L'akuma jaillit de la croix fendue; puis d'un saut contre le mur, il le captura en plein vol avec son yo-yo. Triomphant, il leva le poing dans les airs. "Je te libère du Mal!"
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saemi-the-writer · 9 months
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Douce Dame Jolie
Mon Secret Santa Kaamlott pour la charmante @zialinart :D
Sur AO3
Bonne lecture !!
La Reine avait seulement souhaité assister au festival de l’Imbolc en toute tranquillité, sans personne pour la pointer du doigt ou se mettre à dos l’espèce d’hystérique qui criait toujours « au bûcher » où que savait-elle d’autre ! Cela restait une fête Gaélique, et avec cette nouvelle religion qui prédominait au pays désormais, cela risquait d’être mal-vu si la Reine y était vue, aussi était-elle allée voir l’enchanteur de Kaamelott en toute discrétion, lui demandant s’il n’avait pas un sort, une potion ou autre chose qui pourrait l’aider. C’était apparemment son jour de chance, car Merlin venait de mettre la main sur un médaillon magique : il changerait la perception des gens qui voient la personne qui le porterait. En gros, elle serait méconnaissable aux yeux du monde sans avoir à se transformer. Afin de vérifier son efficacité, Guenièvre l’avait mit aussitôt autour de son cou et était sortie faire un aller-retour rapide. Elle avait croisé les sires Perceval et Karadoc, qui venaient demander un énième service à Merlin. Ils ne l’avaient pas reconnu, mais s’étaient montrés étonnamment courtois, acceptant de la laisser passer devant eux. Convaincue, la Reine avait remercié le magicien et gardé le bijou pour le festival du 1er février.
Guenièvre avait espéré que les offrandes faites ce soir-là l’aideraient à avoir enfin un enfant, puis elle avait voulu profiter du moment. Elle n’avait pas pu danser ou apprécier de ces airs musicaux depuis des années, Guenièvre s’était donc laissée entraîner. Et c’est là qu’elle l’avait croisé.
Arthur. Son mari. Qui avait marché droit vers elle.
…Guenièvre aurait peut-être dû réaliser que l’avis de Messires Perceval et Karadoc n’était pas des plus fiables !
C’est ce qu’elle s’était dit en voyant Arthur s’approcher d’elle, mais à son grand étonnement, il l’avait invité à danser. A la manière qu’il avait eu de s’adresser à elle, Guenièvre compris vite qu’il ne l’avait pas reconnu. Comme Merlin lui avait dit, la magie du médaillon l’avait empêché de la reconnaître.
Et ce fut comme un rêve, à la fois merveilleux et confus.
Qu’Arthur avait été charmant, qu’elle avait été touchée par de tels égards, cette délicatesse et ce regard tendre ! Guenièvre pouvait enfin mieux comprendre pourquoi tant de jeunes femmes avaient été séduites ! Cependant, une chose demeurait inexplicable : son apparence n’était pas censée être si différente de l’originale. Guenièvre ne s’était pas transformée en beauté Latine, comme le Roi les aimait, alors pourquoi ?
Pourquoi ?...
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Ce n’était pas la première fois qu’Arthur tombait sous le charme du regard d’une jolie dame, et il avait été plus d’une fois déçu de l’aboutissement de ces relations. Et pourtant, il ne pouvait s’empêcher d’espérer. Une partie de lui-même le réprimandait, lui reprochant de ne pas retenir la leçon, mais il l’ignora. Cette femme était différente de celles qui lui avaient tapé dans l’œil jusqu’alors. Elle ne ressemblait à aucune de ses maîtresses, que ce soit le type « Latin » ou le type de silhouette qui l’attirait le plus souvent.
Et ce n’était pas que physique. Lorsque leurs regards s’étaient croisés ce soir-là, ce n’était pas son corps qui avait frissonné, mais son cœur et peut-être même - oserait-il le dire – son âme. C’était comme s’il avait retrouvé quelque chose qu’il avait perdu. Une conviction profonde que cette femme, il l’aimait, et qu’elle l’aimait en retour. Même s’ils ne s’étaient croisés de manière fortuite que quelques fois depuis le mois de février. Après tout, bien des histoires d’amour affirment qu’il suffit d’un regard, au bon moment, au bon endroit, pour que deux êtres sachent qu’ils s’étaient trouvés.
Un bruissement attira son attention, et la Dame apparut. Elle lui sourit timidement, comme toujours, et s’avança vers lui.
“Vous êtes là.“ dit-elle simplement. “Je suis heureuse de vous revoir.“
Une grande douceur se dégageait d’elle et la grâce irradiait dans chacun de ses mouvements. Dans ces moments-là, Arthur trouvait qu’elle avait quelque chose d’irréel, comme si elle allait s’évaporer s’il l’effleurait. Mais il avait bien constaté, au cours de leurs discussions et promenades, qu’elle était bien humaine. Une légère maladresse, ses questions parfois insolites, sa façon de jouer avec le médaillon qu’elle portait lorsqu’elle était nerveuse ou gênée… Cela ne faisait que la rendre plus charmante. Elle était douce et candide, mais elle possédait également un sens de l’observation surprenant et quelques idées audacieuses.
“Je suis heureux de vous revoir aussi.“ lui sourit-il en retour.
Arthur se décala pour lui permettre de s’assoir à ses côtés, ce qu’elle fit avec un empressement qui lui fit chaud au cœur.
Même si leur discussion du jour resta relativement triviale, Arthur souhaita que cet instant dure éternellement. Sa Douce essayait d’écrire un poème, ou une chanson, et bien qu’elle mette du cœur à l’ouvrage, sa prose laissait à désirer ! La chanson « Douce Dame Jolie » semblait avoir été écrite pour elle, il regrettait ne pas l’avoir écrite et composée lui-même pour la lui offrir. Enfin, aurait-il été plus apte à l’aider ! Les deux rirent ensemble de leurs diverses tentatives, car Arthur lui-même ne trouvait pas toujours le mot juste. En revanche, leurs voix s’accordaient très bien.
Peut-être était-ce une douce illusion, mais Arthur avait l’impression, une fois encore, qu’il avait trouvé son âme sœur.
“Vous reverrai-je bientôt ?“ demanda-t-il alors qu’il s’apprêtait à rentrer, espérant qu’elle le retiendrait.
“Je l’espère !“
Si cela avait été quelqu’un d’autre, le Roi aurait douté de la sincérité de ces trois mots. Mais pas avec elle. L’émotion dans sa voix et ses yeux ne mentaient pas.
“Et votre nom ?“
Le visage de la douce dame s’imprégna de tristesse, elle regarda au loin un instant avant de secouer la tête. Il fut surpris de voir une pointe d’espièglerie dans son expression avant qu’elle ne dise :
“Anam Cara.“
Après cette déclaration, elle s’approcha de lui et déposa un baiser au coin de ses lèvres avant de filer. Arthur n’aurait pas pu lui courir après, de toute façon, il était complètement envoûté. Arthur avait enfin un nom, un indice.
Anam Cara.
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Les yeux de Guenièvre se remplirent des larmes alors qu’elle observait le médaillon entre ses mains. Elle caressa du pouce le petit âne au centre de la roue en se demandant, une nouvelle fois, si elle ne devrait pas s’arrêter là. Elle se faisait du mal.
Arthur était tellement plus chaleureux et patient avec elle quand elle portait ce médaillon, elle souhaitait de tout cœur que les choses soient toujours ainsi. C’étaient comme de doux rêves, mais le réveil devenait de plus en plus rude. A chaque repas partagé, les soirs où son époux venait la rejoindre dans leur couche, sa froideur et son exaspération la frappaient plus violemment qu’auparavant. Guenièvre et l’inconnue était une seule et même personne ! Elle n’agissait pas différemment avec ce médaillon, elle restait fidèle à elle-même ! Il semblait qu’Arthur lui en voulait pour quelque chose, qu’il ne lui avait pas pardonné et qu’il lui faisait continuellement payer… Mais quoi ?! Qu’avait-elle fait pour mériter un tel traitement ? Pourquoi Arthur méprisait-il « Guenièvre » mais adorait « l’inconnue » ?
La Reine essuya ses larmes d’un revers de main avec un soupir. Il était de toute façon impossible de revenir en arrière. Elle pouvait encore changer le cours de choses avant que cela ne dérape, mais… Guenièvre voulait profiter encore un peu de ces quelques doux échanges avec son époux. Ses yeux se posèrent sur le poème qu’elle tentait d’écrire et son cœur se serra à nouveau. Guenièvre aurait tant donné pour que son époux soit à ses côtés, pour l’aider comme il l’avait fait quelques jours plus tôt ! Alors qu’un énième soupir lui échappait des lèvres, elle entendit un reniflement dans son dos.
“C’est magnifique, Majesté !“ sanglota Bohort.
Guenièvre poussa un petit cri en se retournant, faisant sursauter et crier le chevalier en même temps.
“Seigneur Bohort ! Vous m’avez fait peur !“
“Pardonnez-moi, ma Reine, mais vous ne répondiez pas à mon appel ! Aussi me suis-je permis d’entrer !“
“Et de lire par-dessus mon épaule ?“ Guenièvre grommela dans sa barbe en se couchant à moitié sur son pupitre, pour cacher son travail inachevé. “Vous êtes bien gentil, mais à quoi bon me flatter comme ça ! Je ne suis vraiment pas douée…“
“Permettez, votre Altesse ! Je ne fais que dire la vérité !“ Bohort semblait presque offusqué qu’elle pense autrement. “Les derniers vers ont certes besoin d’être un peu retravaillés pour rimer, mais les sentiments qu’ils dégagent n’en sont pas amoindri dans l’émotion qu’ils dégagent !“
Guenièvre cligna des yeux, surprise.
“Vous trouvez ?“ demanda-t-elle, hésitante.
“Oh oui !“ sourit le chevalier, les mains jointes sur son cœur. “Je peux sentir tout l’amour et la langueur dans les mots que vous avez écrit !“
La Reine se redressa doucement pour jeter un coup d’œil à son ébauche. Elle pouvait croire le Seigneur Bohort, mais d’un autre côté, ce dernier avait toujours été très… sensible. Guenièvre n’était pas sure que tous en dirait autant.
“Serait-ce votre cadeau pour le Roi Arthur ?“ le sourire de Bohort s’élargit. “ Il est vrai que son anniversaire est le mois prochain !“
Guenièvre sentit la gêne l’envahir, elle avait failli oublié l’anniversaire de son époux ! Elle avait été tellement déçue les fois où son anniversaire à elle avait été oublié par ce dernier, elle ne pouvait pas se permettre de faire pareil !
“A vrai dire, non.“ Avoua-t-elle, jouant nerveusement avec sa longue tresse. “Mais j’essayais… j’espérais pouvoir lui dire d’une jolie façon ce que je ressentais pour lui.“
Elle n’osa pas regarder Bohort dans les yeux, aussi fut-elle surprise quand ce dernier lui proposa de l’aider.
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“Votre Altesse ?“
Arthur détourna son attention de Perceval, ravi d’avoir un léger répit au cours de longues explications (oui Perceval, les frondes jettent des cailloux, mais non, elles ne peuvent pas remplacer les catapultes !!). C’était Calogrenant.
“J’ai entendu dire que vous étiez à la recherche de quelqu’un ?“ lui demanda le Calédonien. “C’est urgent ?“
“Urgent non, important, pour moi personnellement. Rien de grave.“ précisa le Roi. “Pourquoi cette question ?“
“Ah, parce que j’avais cru entendre que le nom était Anam Cara.“ Calogrenant haussa les épaules. “Et si c’était le cas…“
“Vous la connaissez ?“ Arthur bondit de son siège. Les deux chevaliers sursautèrent et le regardèrent d’un air perplexe.
Calogrenant sembla plus que gêné, laissant un long « heuu… » résonner dans la pièce avant de reprendre.
“Navré, Sire. Mais Anam Cara n’est pas un nom.“ révéla-t-il, ce qui glaça le sang d’Arthur. “C’est du Gaélique ancien, ça veut dire âme sœur.“
Les jambes du Roi allait se dérober, de désespoir et de trahison, quand la voix de Perceval transperça, tel un rayon de soleil, la brume qui commençait à envahir son esprit.
“C’est joli ! ça veut donc dire qu’elle vous aime comme un frère de toute son âme, Sire !“
Perceval ne savait évidemment pas ce que signifiait le terme « âme sœur », mais la vérité de ses paroles réchauffèrent le cœur du Roi.
Son âme sœur.
Il aurait dû rire, ou s’énerver… Alors pourquoi ce sentiment d’euphorie ? Arthur sentit presque des ailes lui pousser alors qu’il laissait derrière lui les deux chevaliers, ne remarquant pas leur regard interloqué en l’entendant fredonner « Je vivroie liement ».
Alors qu’il se dirigeait vers le jardin, il croisa sa femme. Sans réfléchir, Arthur lui saisit la main et la fit tournoyer joyeusement. L’expression d’agréable surprise sur le visage de Guenièvre l’amusa, il lui offrit un dernier sourire avant de partir.
“A ce soir, mon amie.“
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“Moi aussi, je vous aime.“
La Dame tressaillit, puis un frisson lui parcourut tout le corps. Elle porta une main à ses lèvres et recula d’un pas.
“Mais vous… pourquoi ?!“
Arthur perdit son sourire. Ce n’était pas du tout la réaction à laquelle il s’était attendu.
“Je ne peux pas le croire !“ s’écria-t-elle en secouant la tête. “Comment pouvez-vous m’aimer ?“
“Comment ?“ souffla-t-il, perdu. “Mais il n’y a pas de raison particulièrement logique ! Et pourquoi ne pourrais-je pas vous aimer ?“
“Parce que je suis mariée ! Tout comme vous l’êtes ! Mais si vous, vous pouvez vous permettre de collectionner les conquêtes, pour moi, une seule amourette avec un autre est vu comme une trahison aux yeux de tous!“ vitupéra-t-elle, le pointant du doigt rageusement. “Et votre femme ? Avez-vous jamais pensé à ce qu’elle pouvait ressentir ?! Et si elle, elle voulait aller voir ailleurs, vous accepteriez de la laisser faire?“
En entendant le mot « mariée », il avait cru sentir le sol se dérober sous ses pieds, cette éternelle blessure le relança. Pourtant, les paroles suivantes le figèrent d’une plus grande stupeur.
“La seule raison pour laquelle vous me courtisez avec tant de passion, c’est parce que je ne suis pas Guenièvre ! Vous êtes exactement comme mon mari !“ continua-t-elle, ses yeux se remplissant de larmes. “ Du moment que ce n’est pas votre femme, elles méritent votre admiration et elles y passent toutes ! Je suis sure que vous ne savez rien d’elle ! Vous vous en fichez d’elle, mais elle doit bien rester sagement à sa place ! Comme si j’étais… comme si elle était une chaise ! Vous passez votre temps à vous languir dans votre coin, à jouer les bourreaux de cœurs pour vous consolez, ou vous prouvez à vous-même quelque chose ou je ne sais quoi ! Mais nous ne sommes pas des meubles à la con ! Nous aussi, on a le droit d’être respectées, d���êtres aimées pour qui on est vraiment !“
Son visage, habituellement si blanc, était à présent rouge et inondé de larmes. Elle s’arrêta, tentant de reprendre son souffle. Arthur tendit la main vers elle, souhaitant sécher ses pleurs, la rassurer… mais elle se retourna et prit ses jambes à son cou.
“Attendez !“ s’écria-t-il.
Il ne voulait pas la perdre ! Aussi confus et blessé soit-il par ses paroles lancinantes. Arthur s’élança à sa suite, mais elle avait disparu. Elle n’avait pas pu aller bien loin, peut-être s’était-elle cachée parmi les bosquets… Un reniflement attira son attention et il se hâte dans sa direction. Il cru reconnaître la silhouette de la jeune femme, et écarta les branches sur sa route. Arthur s’apprêtait à l’appeler quand il réalisa qui se cachait là.
Guenièvre. Son épouse.
Elle releva les yeux vers lui et fronça les sourcils. D’un air digne qu’il ne lui connaissait pas, elle se redressa.
“Ce soir, vous dormirez chez l’une de vos maîtresses.“ déclara-t-elle sèchement, le faisant tressaillir.
Après l’avoir foudroyé du regard une dernière fois, Guenièvre passa à côté de lui et se dirigea vers le château. Sans comprendre pourquoi, ni ce qu’il attendait, Arthur la regarda partir.
Pas une seule fois elle se retourna.
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Dire que le Roi était de mauvaise humeur au cours de la matinée et du déjeuner aurait été un euphémisme. Avec ce qu’il s’était passé la veille, il avait très mal dormi, et lorsque la Dame du Lac lui était apparu en pleine nuit lors de sa promenade nocturne, c’était pour lui lancer des piques incompréhensibles.
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair ! Pire, vous vous jetez sur les premières gourdes venues pour étancher votre soif !“
Arthur maugréa dans sa barbe avant de passer ses nerfs sur sa nourriture. Il leva les yeux vers sa femme, mais dès que leur regard se croisèrent, Guenièvre détourna la tête pour se resservir. Elle le battait encore froid, ce qui n’avait aucun sens non plus. Elle n’avait jamais fait de scènes au sujet de ses maîtresses auparavant !
“Aujourd’hui, j’ai fait de la tarte !“ annonça Séli, le tirant effroyablement de ses réflexions.
“Oh non ! Mais qu’est-ce qu’on vous a fait ?!“ rouspéta Léodagan.
“La barbe !“ répliqua-t-elle avec un regard noir pour son mari. “C’est Guenièvre qui m’en a demandé une ! Je ne pouvais pas refuser ça à ma fille !“
Arthur, Léodagan et Yvain tournèrent la tête en même temps vers la dénommée, plus abasourdis les uns que les autres. Guenièvre les ignora tandis que Séli présentait fièrement l’abomination qu’elle appelait « une tarte ».
“Elle a l’air très réussie, Mère !“ sourit la Reine, apparemment ravie. “Quels fruits avez-vous choisi, cette fois ?“
“Je voulais en faire une aux fraises, mais comme ce n’est pas la saison, j’ai fait un mélange de fruits !“
“Mais c’est un cauchemar !“ marmonna Léodagan, peu discret. “Ma fille, si vous vouliez une tarte de votre mère, c’est votre droit, mais vous n’étiez pas obligée de la partager avec nous !“
“Oh, mais je ne compte pas la partager !“ tous regardèrent Guenièvre interloqués, celle-ci saisit le plat et le tendit à Arthur. “C’est une petite attention pour mon mari !“
Il y eu comme un flottement dans la salle, Arthur fixa longuement la tarte en silence avant de relever les yeux sur son épouse.
“Vous m’en voulez à ce point ?“ finit-il par demander.
La question eut à peine franchi ses lèvres qu’il se prit la tarte en pleine figure.
“OUI !“
Guenièvre quitta la table et sortit en claquant la porte derrière elle. Lorsqu’Arthur réussit à retirer suffisamment de mélasse de ses yeux, le visage à la fois dépité et choqué de sa belle-mère ainsi que la tête de con (pour changer) que faisait Yvain lui apparurent. Il préféra ne rien dire et continua de se nettoyer le visage, il en oublia presque son beau-père, qui frappa dans ses mains avec un air ému.
“C’est ma fifille !“
D’un côté, Guenièvre savait qu’elle était déraisonnable, mais d’un autre, elle estimait qu’elle avait assez pris dans la figure. C’était bien son droit de lui en coller en retour, non ?
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“Marre d’encaisser sa mauvaise humeur et ses railleries, pendant que d’autres profitent de ses mots doux !“ grogna-t-elle en enroulant les parchemins de ses ébauches de poèmes. “C’est ça être une épouse ? Tous les mauvais côté du mari, ses crises, sa mauvaise odeur et tout le bataclan c’est pour ma pomme, et pour les maîtresses, c’est le beurre, l’argent du beurre et le sourire du crémier ? Ha ! Si j’avais su, j’aurais dit à mon père qu’il pouvait se brosser pour le mariage ! S’il y tenait tant, il n’avait qu’à l’épouser lui-même ! Non mais ho ! Pourquoi c’est à moi de gérer ces conneries ?!“
Elle termina sa pile par le poème qu’elle avait réussi à écrire avec l’aide d’Arthur et Bohort. La Reine saisit la boîte dans laquelle elle avait laissé le médaillon et se rendit d’un pas rageur au laboratoire de Merlin. Avec humeur, elle lui rendit le bijou et laissa la pile de parchemin sur son plan de travail, le remerciant plus sèchement qu’elle n’aurait voulu le faire. Ne voulant pas s’attarder plus que nécessaire, Guenièvre tourna les talons promptement et sortit.
“Mais qu’est-ce que voulez que je fasse de tout ça ?!“ cria l’enchanteur en désignant les parchemins alors qu’elle s’apprêtait à fermer la porte derrière elle.
“Donnez-les à manger aux chèvres ou mettez-les au feu ! Qu’est-ce que ça peut faire ?!“ rétorqua-t-elle. “Ce sera toujours mieux que de voir mon mari se torcher avec !!“
Elle entendit un vague « hein ?? » avant le claquement de la porte. Guenièvre pouvait déjà sentir la honte monter en elle, elle se sentait coupable de se défouler sur le pauvre Merlin qui lui avait pourtant rendu service. Toutefois, ces sentiments s’évaporèrent à la vue du Roi. Ce dernier la regardait d’un air qu’elle ne pouvait décrire, et qu’elle ne souhaitait de toute façon pas décrypter dans l’immédiat. Qu’il soit surpris, contrarié ou autre, elle s’en moquait éperdument ! Avec un mouvement de tête qu’elle avait vu sa mère faire de nombreuses fois, Guenièvre passa à côté de lui avec un « humpf ! » bien placé.
“Vous n’avez vraiment rien à me dire ?“
“Je ne crois pas, non.“
Guenièvre sursauta quand la main d’Arthur l’agrippa, la retenant avec force.
“Je peux savoir quelle mouche vous a piqué ?“
Oh ! Le mufle !!
“La mouche j’en-ai-marre-d’être-prise-pour-une-conne-maintenant-fichez-moi-la-paix !“ rétorqua-t-elle en essayant de se défaire de son emprise. “Ah, et au fait !“ Guenièvre rassembla toute sa hargne pour imiter du mieux qu’elle le pouvait sa mère lorsque celle-ci remettait son père à sa place, puis elle déclara : “Inutile de revenir dans ma couche cette semaine. Faites-moi de l’air !“
“Pardon ?!“ l’air atterré d’Arthur l’aurait fait rire dans d’autre circonstances, mais là, elle se délectait de lui avoir couper le sifflet. “Mais vous ne pouvez pas faire ça ! Vous allez verrouiller la porte de la chambre aussi, pendant que vous y êtes ?!“
“Maintenant que vous le dites…“
“Hé, dites !“ les interrompis Merlin d’un ton impatient. “Si vous pouviez me laisser en dehors de vos disputes de couple ! Et puis mon laboratoire n’est pas un dépotoir, alors reprenez-moi tout ça, j’vous prie !“
Guenièvre écarquilla les yeux avec horreur alors que l’enchanteur lui repassait tous les parchemins. L’un de ses poignets étant toujours serré dans la main de son époux, une partie d’entre eux lui échappèrent et tombèrent par terre, se déroulant au passage. Réussissant enfin à se dégager, elle se dépêcha de les ramasser. Mais sa hâte la rendait fébrile, ses mains tremblaient, ce qui ne l’aida pas dans sa tâche. Elle était tellement concentrée et affolée qu’elle n’entendait plus rien, elle voulait juste récupérer ces fichus peaux d’ânes sans qu’Arthur ne découvre ce qu’elle y avait écrit.
Ce n’est quand se redressant que Guenièvre réalisa qu’il était trop tard.
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Arthur avait attrapé au vol le premier parchemin qui avait volé vers lui, ne souhaitant pas se reprendre quoique ce soit de plus dans la figure aujourd’hui. Et en voyant sa femme s’activer pour tout ramasser, sa curiosité fut piquée. Guenièvre lui avait collé une tarte au déjeuner, au sens littéral du terme, il pouvait bien se permettre d’être curieux, non ?
Son sang ne fit qu’un tour en reconnaissant les mots inscrits.
Pourquoi ? Comment sa femme pouvait-elle… ?
Le poème avait deux strophes qu’il ne connaissait pas, mais c’était celui de sa Dame !
Arthur observa un instant Guenièvre, qui essayait tant bien que mal de rassembler les autres morceaux de vélin, puis se tourna vers Merlin. Il l’interpela et lui demanda ce qu’il se passait.
“A vous de me le dire !“ lui répondit-il en haussant les épaules. “Votre femme vient me rendre un médaillon que je lui avais prêté pour qu’elle puisse circuler incognito, et elle me refile tout son bazar au passage !“
“Quel médaillon ? Et puis pourquoi pour « circuler incognito » ?!“
“Un médaillon de métamorphose, elle voulait aller au festival de l’Imbolc sans être reconnue.“
C’était comme recevoir la réponse d’une énigme que l’on essayait de résoudre depuis des lustres. D’abord la stupéfaction, puis tout se met en place et la logique, l’évidence nous saute aux yeux et on se sent très con.
Arthur regarda Guenièvre et eut l’impression de la voir pour la première fois. Quand il plongea ses yeux dans les siens, il se demanda comment il n’avait pas pu la reconnaître. Ou plutôt : comment la douceur de son regard et sa beauté lui avaient-elles échappées pendant toutes ses années ?
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair !
Les paroles de la Dame du Lac prenaient tout leur sens à présent, aussi vexantes soient-elles.
“C’était vous !“
Avant qu’il ne puisse dire ou faire autre chose, Guenièvre souleva les pas de sa robe et détala. Pendant quelques secondes, Arthur revit Aconia puis l’inconnue partir semblablement.
“AH NON ! PAS CETTE FOIS !!“ cria-t-il en s’élançant à sa poursuite.
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“Bon, ben moi je retourne bosser.“ marmonna Merlin en faisant demi-tour, reconnaissant d’être resté célibataire.
Les histoires de couples, ce n’était vraiment pas son truc !
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Pour quelqu’un qui n’avait aucun entraînement et qui se trimballait avec une tenue aussi lourde et encombrante, Guenièvre courrait fichtrement vite ! Et elle n’arrêtait pas de zigzaguer et tourner autour de tout ce qui se trouvait sur leur chemin : arbre, buisson, rocher… Arthur peinait à la suivre.
“Mais arrêtez-vous !“ lui cria-t-il. “Je n’vais pas vous manger !!“
“C’est ce que vous dites !“ s’exclama-t-elle en retour, jetant un bref coup d’œil en sa direction.
Presque à bout de souffle, Arthur décida de tenter le tout pour le tout. Il accéléra et se jeta sur elle, la saisissant à la taille. Guenièvre glapit en perdant l’équilibre et les deux tombèrent, emportés par l’élan qu’il avait pris, ils roulèrent quelques instants. Allongés sur le côté, Arthur tenant sa femme par la taille et refusant de la lâcher, ils reprirent tant bien que mal leur souffle.
“Pourquoi vous ne m’avez rien dit ?“ au point où ils en étaient, autant poser la question maintenant !
“Pourquoi ? A votre avis ?“ souffla Guenièvre, les yeux embués de larmes. “Vous ne cessez de me traiter comme une casse-pied ! Alors pour une fois que vous étiez courtois envers moi, je voulais profiter du moment ! Et vous avez commencé à sortir le grand jeu, espèce de bourreau des cœurs ! Evidemment que je ne voulais pas que tout s’arrête trop vite !“
La honte envahit Arthur, il ne pouvait même pas la contredire. Ce serait mentir.
“Et vous, pourquoi vous me détestez autant ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?“
“Je ne vous déteste pas ! Jamais ! C’est juste que… c’est compliqué.“ soupira Arthur. “J’ai été stupide et aveugle, et j’ai passé ma colère sur vous parce que notre mariage a… disons « contribué » à perdre une femme que j’ai aimé, qui me hante encore à ce jour.“
“Et c’était plus simple de vous défouler sur moi que sur mon père, j’imagine.“ fit remarquer Guenièvre, un peu sèchement. “Ce sont mes parents qui ont exigé ce mariage, pas moi. J’ai juste eu de la chance de ne pas avoir d’amoureux quand c’est arrivé. Ni vous, ni mes propres parents ne m’ont laissé une chance. Que ce soit en tant qu’épouse ou que Reine, vous n’attendez rien de moi, je suis juste reléguée à rester dans un coin bien gentiment et faire la potiche.“
“C’est vrai. Vous avez raison.“ Arthur regarda une nouvelle fois son épouse dans les yeux, doucement, il porta une main à son visage et lui caressa le visage. “Je suis sincèrement désolé.“
“Je sais que je ne suis pas très brillante, mais… Est-ce que ça vous écorcherait d’être un peu plus gentil et patient avec moi ?“
���Euh, à ce sujet, pour ma défense, je me dois de préciser que j’ai affaires à des abrutis qui m’assomment avec leurs questions. Donc ce n’est pas qu’avec vous qu’il m’arrive d’être cinglant.“
“Pourquoi ne me laissez-vous pas vous aider alors ?“ demanda-t-elle. “Si cela ne peut vous soulagez ne serait-ce qu’un peu, je pourrais apprendre à gérer certaines affaires !“
Un court silence suivit cette affirmation. Arthur voulait bien donner une chance à Guenièvre, elle faisait preuve de bonne volonté et il avait découvert qu’avec de la patience et des encouragements, elle était bien plus ingénieuse qu’il ne l’avait cru. Elle serait bien capable de remplir son rôle de Reine. D’un autre côté, elle était inexpérimentée et vulnérable, certains ne feraient qu’une bouchée d’elle !
“Peut-être… peut-être que vous pourriez vous occuper de la prochaine séance de doléances avec les Seigneurs Lancelot et Bohort.“ proposa-t-il, ainsi elle serait bien accompagnée et protégée. “Si cela vous va-“
“Oui ! Je vous en prie !“
Guenièvre s’était redressée en joignant ses deux main, comme pour prier, et le regardait d’un air suppliant. Il pouvait difficilement lui refuser quoique ce soit ainsi.
“Très bien, accordé.“ Arthur se redressa à son tour, et fronça légèrement les sourcils. “Comment on en est venu à parler de ça, au fait ?“
Les deux se regardèrent en silence. Chacun remarqua dans quel état son conjoint se trouvait : couvert de terre, traces d’herbe ; les cheveux en pagaille et empli de brindilles. Guenièvre eut un rire bref avant de retirer une branche de la chevelure de son mari.
“Je vous aime, Arthur.“ affirma-t-elle. “Je ne pourrais jamais remplacer celle que vous avez perdu, et j’en suis désolée. Mais peut-être pourrions-nous… être au moins bons amis ?“
L’émotion serra le cœur d’Arthur, un peu plus, et les larmes lui seraient montés aux yeux.
“Je ne veux pas vous faire de fausse promesse.“ avoua-t-il. “Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, votre médaillon à lever le voile devant mes yeux lorsque je vous regardais. Il me faudra peut-être encore un peu de temps, mais je crois… Non, je sais que je pourrais vous aimer en retour.“
Malgré ce qu’il venait d’affirmer, ces mots furent comme un pacte. Un pacte qu’il scellèrent d’un baiser.
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“Je vous dis que le futur héritier est en route, cette fois-ci ! Vous avez bien vu dans quel état ils sont rentrés tous les deux ! Si ce n’est pas dû à des galipettes dans l’herbe, je veux bien être changée en chèvre !!“
“Chèvre ou pas, passez-moi la prochaine fournée ! Il faut que tout soit prêt pour demain matin !“
“Mais ça va ! Et pourquoi voulez-vous autant de tartes pour demain matin ? On va y passer la nuit !“
“Guenièvre participe à la séance de doléances, il faut qu’elle ait de quoi lancer sur les gros pécores qu’elle va recevoir !“
“………mais c’est moi qui vais vous en coller des tartes !! PIGNOUF !!!“
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sloubs · 2 years
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tw/ blood, death
Arrêtez de dire que Perceval va mourir dans Kaamelott, je refuse d'imaginer une scène finale où Perceval serait allongé au sol, blanc comme un linge, sa barbe et ses cheveux couverts de sang séché, tétanisé par la peur de mourir sans jamais avoir rendu son roi fier
Pourtant il viendrait de lui sauver la vie à son roi, il aurait pris son courage à deux mains et aurait sauté sans réfléchir sur l'ennemi pour le protéger, armé d'une épée ou de n'importe quel autre moyen pour asséner des coups et garder Arthur en sécurité. Il n'a jamais tué personne mais aurait tout fait pour vaincre son adversaire, parce qu'aucune vie ne vaut plus que celle de son roi, pas même la sienne. Un coup de lame mal esquivé lui aurait malgré tout scié la gorge, et il tomberait de sa hauteur sur la terre froide et humide. Il resterait prostré là, incapable de bouger, témoin malgré lui du flot incessant de sang qui s'écoulerait de sa blessure. Jamais il n'aurait vu autant de sang autour de lui, pas même quand son vieux père tuait le cochon à la ferme de son enfance, au Pays de Galles. Lentement, il commencerait à sentir ses jambes s'engourdir, jusqu'à ne plus les sentir du tout. Ses yeux bleus perçants regarderaient tout autour de lui d'un air paniqué, cherchant du regard un visage familier capable de le rassurer. Un long sifflement retentirait dans ses oreilles, sa vision se brouillerait progressivement, puis des voix étouffées lui feraient reprendre brièvement ses esprits. La main d'Arthur viendrait lourdement se poser sur son torse alors que lui même ne sentirait déjà plus ses doigts, et il tournerait la tête dans la douleur, pour regarder une dernière fois le visage de celui qu'il a toujours admiré.
"PERCEVAL ! PERCEVAL, REGARDEZ-MOI ! MAIS QU'EST-CE QUI VOUS A PRIS, ESPÈCE DE CINGLÉ ?!"
Arthur utiliserait la paume de sa main comme une compresse pour stopper l'hémorragie, sa peau caleuse plaquée contre les pulsations de son cou, d'où coulerait le sang encore tiède de son chevalier. Ce serait alors au tour d'Arthur de paniquer, en voyant Perceval perdre peu à peu l'étincelle innocente qui caractérise son regard, en voyant son visage devenir de plus en plus pâle. Lui qui a toujours réponse à tout, soudain ne répondrait plus de rien. Sa respiration se ferait haletante, la peur et le désarroi lui faisant perdre tous ses moyens.
"J'ai voulu- je voulais vous sauver, Sire..." chuchoterait difficilement Perceval. "...pour pas que vous soyez déçu de moi."
Arthur lâcherait alors un grognement inattendu, une douloureuse expiration mélangeant épuisement et sanglots retenus. Il se mordrait les lèvres comme pour s'empêcher de hurler.
"Vous m'avez jamais déçu, arrêtez vos conneries-" lui confierait-il d'une voix douce, enrouée par ses propres larmes. "Qu'est-ce qu'on s'était dit, Perceval ? Vous vous souvenez...?"
La gorge d'Arthur se serrerait, tandis que les doigts de Perceval chercheraient à s'accrocher à lui. Ses yeux cristallins s'écarquilleraient encore un peu plus et une mine apaisée viendrait soudainement effacer l'effroi sur son visage. Jusqu'à son dernier souffle Arthur aurait été à ses côtés. Il lui adresserait un sourire sans prononcer le moindre mot, repensant à toutes ces fois où son roi lui aurait accordé son temps et sa confiance, toutes les conversations qu'ils auraient partagé, toutes les phrases rassurantes qu'il lui aurait adressé.
"Écoutez-moi, on s'était mis d'accord, si j'étais en danger, vous deviez vous barrer ! Votre vie vaut pas moins que la mienne, Perceval !"
Chevauchant le corps quasi inerte de Perceval, Arthur comprendrait alors qu'il serait en train de le perdre. La mâchoire serrée, il lancerait un bref regard à sa main devenue entièrement rouge, presque brune tant le sang qu'il tenterait désespérément de retenir serait épais et abondant. Ses doigts crispés contre la jugulaire de son ami, il ne se retiendrait même plus de pleurer. Ses larmes viendraient s'écraser contre le métal froid de l'armure de Perceval, le suppliant de rester éveillé, de rester avec lui. Et tandis que l'adrénaline se propagerait dans chaque recoin de son corps, que son cœur serait sur le point de sortir de sa poitrine, les mains d'Arthur se mettraient soudainement à trembler. Sous sa paume, il ne sentirait presque plus de pouls.
"Ma vie, Sire-" murmurerait alors Perceval dans un dernier souffle, " ...Ma vie ne vaut rien si vous n'y êtes plus."
enfin bref voilà quoi vraiment j'ai pas du tout envie d'imaginer ça quoi
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coachantidouleur · 6 months
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Comment éviter le mal de dos - 8 habitudes imparables
Le mal de dos, et en particulier les hernies discales lombaires et cervicales, est un fléau moderne qui touche une grande partie de la population. La douleur résultante peut être extrêmement handicapante. Elle affecte la qualité de vie et la capacité à accomplir les activités quotidiennes et peut avoir un impact énorme sur la qualité de vie. Il faut donc éviter à tout prix d’en arriver…
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alexar60 · 1 year
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Sieste
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Bien qu’il fasse chaud, la fenêtre restait fermée. Elle entra sans faire de bruit. Elle me regarda allongé sur le lit. Elle préféra m’admirer plutôt que de parler. Pourtant, elle avait tellement de choses à dire.
Sentant sa présence, je levais soudainement la tête. Elle me souriait. Elle retira son jean déchiré et s’étendit à sa place dans le lit. Comme elle me tournait le dos, je me lovais à elle comme elle adorait qu’on fasse. Mes doigts caressèrent lentement son avant-bras afin de l’endormir. Et une fois qu’elle trouvait le sommeil, je posais ma main sur la sienne.
Nous dormîmes pendant quelques minutes. C’était une sieste que je ne peux oublier. Elle sentait bon. J’aimais dormir en humant le parfum de ses cheveux et de son cou.  J’adorais sentir son cœur battre. J’aimais entendre ses soupirs lorsqu’elle étirait son corps. J’aurais aimé entrer dans ses rêves et faire voyager nos âmes dans les plus beaux endroits de l’univers. 
Petit-à-petit sa respiration devint sifflante, on entendait qu’elle avait du mal à inspirer. Son corps bouillait. Elle avait chaud, elle suait terriblement. Je me levai délicatement. Je ne voulais pas la réveiller. J’aurais voulu lui dire un dernier au-revoir, mais ce n’était pas possible. Alors, je quittais le lit pour m’assoir près d’elle. Elle remuait la bouche. Ses lèvres devinrent brusquement blanches. Avec la sueur, sa peau blanchissait terriblement. Elle semblait marmonner. Je crus entendre mon prénom. Puis elle ferma la bouche et resta endormie. Une larme perla du coin des sons œil et tomba sur le drap. Elle se recroquevilla, elle avait froid.
Dehors, le soleil brillait énormément. Il faisait chaud mais je n’ouvrais toujours par la fenêtre. Quelques oiseaux piaillaient dans les arbres. Une voiture traversa la rue à toute vitesse. Elle freina soudainement. J’entendis quelques cris, puis le moteur de la voiture retentit et s’éloigna.
Je l’observais avec le regard d’un ami, d’un père et d’un amant à la fois. J’avais essayé de trouver une solution. J’avais essayé tous les remèdes, mais rien n’y fait. Je devais la laisser. Partir et ne plus revenir ! Cette sieste était l’occasion de le faire. J’approchai lentement avec attention. Je murmurais juste que je l’aime et que je l’aimerai toujours. Elle n’ouvrit pas les yeux. Sa respiration devint plus sifflante telle une malade à l’agonie. Elle ouvrit ses lèvres blanches, prononça encore mon prénom mais resta endormie.
Elle portait son haut rose  à bretelles. Je l’aimais bien, j’aimais la voir dedans. Mais à ce moment, mon regard focalisait surtout le pansement sur son épaule. Il était rouge, il suintait et avait besoin d’être changé. Cependant, je n’y touchais pas, par peur de la réveiller. Un autre pansement dépassait de son maillot. Cependant, il restait discret.
Je restais encore cinq minutes à admirer mon amie. Et tout-à-coup, elle expira un souffle long. Son corps ne semblait plus bouger. La sueur ne coulait plus sur son visage blanc. La peau de ses mains et de ses bras séchèrent à  vue d’œil. Il était temps que je parte. Dès lors, je sortis sans faire de bruit. Je descendis et quittai la maison en abandonnant ma belle-au-bois-dormant.
Dehors, la chaleur du soleil frappait le bitume et les maisons. C’était presque la canicule. Toutefois, je remarquai quelques personnes dans la rue. Un homme demeurait debout immobile devant la clôture d’un jardin. Il me tournait le dos et ne remarqua pas ma présence. Plus loin, Trois personnages, accroupis encerclaient un corps. Ils mangeaient à même les dents, la chair crue du cadavre putréfié.
J’avais tué cet homme. Il y a trois jours, il avait attaqué ma compagne. Elle était sortie en oubliant la première des consignes en regardant un chat grimper dans un arbre: « Ne jamais se faire distraire ». Elle n’a pas entendu le zombi approcher. Toutefois, elle réussit à se dégager et pendant qu’elle s’échappait, j’ai buté le mort-vivant à coup de fusil. Il avait réussi à la mordre à l’épaule et la hanche. Des blessures suffisantes pour la transformer.
Nous avons tout tenté, nous savions que ce jour arriverait. Elle a pris une dose incroyable de médicaments, elle a aussi avalé des mixtures dont les recettes sont disponibles sur internet. Mais rien n’y fait ! Il est écrit quelque-part, qu’elle deviendra l’un des leurs.
J’ai jeté un dernier coup d’œil à la fenêtre de notre chambre. Elle ne dormait plus. Elle était debout derrière le carreau. Son visage était méconnaissable, blanc presque vert. Ses yeux livides et sa bouche entre-ouverte desséché, confirmaient qu’il n’y avait plus rien à faire. Malgré ses yeux ouverts, elle ne regardait rien. Je suis monté dans ma voiture sans claquer la portière et j’ai démarré rapidement. Les zombis se sont mis à courir après moi, en vain.
Je suis parti rejoindre les enfants chez mon frère. Sa région n’est pas encore touchée par la contamination. Durant le trajet, j’ai pleuré. Je n’ai pas eu le courage de la tuer, j’ai préféré lui laisser une dernière sieste. Un autre s’en chargera.
Alex@r60 – août 2023
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olympic-paris · 11 days
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saga: Soumission & Domination 267
GP de France (suite)
Dimanche
Réveil difficile ! Je traine et suis le dernier à passer sous la douche ! J'enfile à toute vitesse un café très serré et engouffre un froissant tout en me faisant enfiler... ma combi par PH et Franck. Samir et Ammed nous accompagnent et, non pas dans leur tenues habituelles : short cuir moulant, mais en jeans et polos.
Notre groupe navigue le long du circuit et, en block, envahi, entre les différentes courses, les " magasins ". Après 2/3 bières, les essayages sont chauds ! Nous faisons le spectacle alors qu'avec PH, Franck, Phil et Luc, combis sur les hanches malgré le temps plus que moyen, nous nous retrouvons torses nus pour enfiler chacun une bonne demi douzaine de t-shirts. Les deux vendeurs sont tendus le temps que Marc les assure qu'ils ne risquent rien. Nous faisons les mannequins puis quelques minutes plus tard nous achetons toutes les pièces que nous avons essayées. Ils ne sont pas déçus !
Dans une autre " boutique ", c'est Cédric, Louis et Kamal qui font le show. Ils nous imitent et nous kiffons bien leur manège. Les vendeurs sont plus cools et en rajoutent. Faut dire qu'un bel attroupement s'est constitué devant. Ils nous font même une ristourne sur le total. En 9 t-shirt j'en laissais quand même pour plus de 350€ ! Plus tard dans l'après midi, C'est PH qui attire mon attention sur Kamal bloqué devant l'étal d'un marchand de cuirs. Son regard s'est fixé sur un blouson noir assez " mauvais garçon ". Je le vois instinctivement tâter ses poches puis ses épaules tomber. Il n'a pas encore intégré sa nouvelle situation chez moi et l'augmentation du pouvoir d'achat que cela entraine. Je passe mon bras sur son épaule et lui demande si c'est celui là qu'il veut. Il est surpris et balbutie qu'il est trop cher. C'est sûr que c'est pas sur le circuit qu'on fait les meilleures affaires. Sans le lâcher, j'attire l'attention d'un des deux jeunes vendeurs et lui demande le blouson dans la bonne taille. PH a le temps de convaincre Kamal d'accepter le cadeau avant qu'il ne revienne avec deux exemplaires. C'est le plus petit qui lui va. Je comprends, alors que le vendeur fini de l'aider à l'enfiler, pourquoi il avait kiffé ce modèle. Une lanière en Y passe entre ses jambes et une fois clipsée devant, évite que le dos soit dénudé quand il se couchera sur une moto comme mon premier véritable blouson que Marc m'avait acheté. Sans compter que ça fait ressortir son paquet avec évidence ! Le vendeur le remarque et sans façon caresse la bosse mise en avant puis recule près de moi pour nous laisser admirer. Il me glisse à l'oreille que j'ai là un beau p'tit mâle bien craquant. Je rigole et passe le bras autour du cou de PH et lui dis que c'est celui là mon mec, l'autre c'est un petit ami en apprentissage des choses de la vie. Le vendeur se démonte pas et me demande alors s'il peut lui aussi apporter sa pierre à l'édifice. Kamal qui nous a entendus, intervient alors et lui demande carrément ce que cela lui rapportera. Le vendeur me regarde un peu surpris. Je lui dis qu'ils n'ont qu'à s'arranger ensemble mais qu'en tout état de cause ce sera sous kpote. Ils s'isolent derrières deux portant au fond du stand.  Bien que discrets, il est évident que ça baise au fond du stand ! L'autre vendeur a bien du mal à se concentrer sur les autres clients. Il fiat quand même en sorte qu'ils ne s'enfoncent pas trop et les devance quand ils veulent voir un article du fond. Nous l'aidons en bloquant l'autre allée. Quand le vendeur ne peut retenir son " enthousiasme " lorsqu'il jouit, PH et moi en noyons l'expression par une quinte de toux.
Lors du passage en caisse, Kamal me dira qu'il avait négocié sa rondelle contre 20% du blouson. Le vendeur me le confirme et m'assure que c'était pas volé bien qu'il ne lui ait pas appris grand-chose ! Trop content, Kamal garde son nouveau cuir sur le dos et nous rejoignons les autres.
Il se fait bousculer, moquer alors qu'il parade entre nous. Comme Cédric et Louis le trouvent génial, Eric me demande où je l'ai acheté et nous rebroussons chemin. Le vendeur qui nous voit revenir s'avance vers nous interrogatif. Eric pousse alors Cédric et Louis devant nous et lui demande le même blouson pour ces deux là. Après discussion, ils l'auront avec 10% de remise mais sans intermède sexuel !
Nous prenons quand même le temps de regarder les courses. L'ambiance est chaude même si elle est très différente de celle des 24h moto. Personne ne fait de remarque sur nos façons de nous tenir (correctes quand même : bras autour du cou ou dans les reins).
Pas pressés, nous trainons sur le circuit alors que la masse des spectateurs en part. Nous sommes attablés devant des bières quand nous sommes abordés par 4 mecs d'environ 20/25ans qui nous demandent si nous restons sur place ce soir encore. Réponse positive de Marc. On discute des courses puis d'où nous sommes. Eux sont de Bordeaux. Y'en a un pour nous demande comment on a fait pour rester aussi " frais ". Marc leur dis que nous avons loué un gîte à deux pas d'ici. Ils n'en avaient pas eu l'idée et le regrettent vu le confort limité du couchage sous tente ! Celui qui me semble le plus jeune nous demande si nous serions suffisamment cool pour leur permettre de se laver chez nous. Eric nous regarde tous avant de leur faire remarquer que s'ils n'ont pas peur de se faire violer, c'est tout à fait possible. Celui qui nous avait posé la question l'assure que vu la brochette de beaux mecs que nous faisons, ils seraient " cons " de ne pas profiter de ça aussi. Au moins ça le mérite d'être clair ! La conversation devient tout de suite plus " amicale " et, finalement, nous décidons de rentrer au gîte. Allez savoir pourquoi un tel empressement.
Avec PH je les accompagne à leur tente. Nous comprenons mieux. Deux petites tentes deux places entourées de 2 ZX10R de 2012 et 2 R1 de la même année. Ph rigole devant les motos et explique qu'ils ne pouvaient plus me plaire avec ces modèles là. Ils font vite leurs sacs. Je leur dis de démonter aussi leurs tentes à moins qu'ils ne veuillent vraiment passer une nuit de plus dans l'humidité. PH ajoute que nous leur ferons une petite place sur les 20m² de lits du gîte. Ils ne relèvent pas mais plient aussitôt le reste du matériel.
Ils nous suivent jusqu'à nos propres motos. Ils admirent les nouveaux modèles et je leur dis de nous suivre. 10 mn plus tard nous les béquillons au milieu des autres.
Ils sont quand même surpris par l'ambiance. Les combi sont toutes accrochées et tout le monde déambule en slip ou shorty et même jock pour Cédric et Kamal. Marc leur dit de se mettre à l'aise et PH et moi montrons l'exemple en quittant nos combis. Ils quittent leurs cuirs. Effectivement les douches ne seront pas du luxe. J'emmène un couple avec moi et PH l'autre jusqu'aux salles de bain. Je suis le premier à les voir à poil. Plus que corrects ! Musclés suffisamment même si moins que moi, peu poilu et bien entretenus (torses et aisselles rasés, couilles idem et pubis tondu). Ils sont ravis des installations et se font tout beaux, je fais de même.
Propres et changés nous rejoignons le séjour. Les mecs remercient Eric et Marc alors que nous attaquons l'apéro. Ce dernier leur demande, en nous montrant tous, si la variété des mecs leurs convient. Y'en a deux qui rougissent grave alors que les deux autres éclatent de rire.  L'apéro s'éternise quand Kamal et Cédric attaquent les deux plus " mâles " de nos invités. Faut dire que depuis quelque temps déjà, ça bandait dur dans les slips ! C'est le signal de départ pour la dernière touze du WE. Marc attrape le plus jeune de nos invités et l'invite à se pencher sur son cas ou plutôt sur sa bite. Nous n'avons pas fait le mauvais choix. Ils sont chauds comme la braise et il ne faut pas longtemps pour qu'ils se retrouvent à poil comme nous tous.
Je ne laisse pas passer mon tour et m'octroi d'autorité, avec PH, le jeune que j'avais accompagné à la douche. Sa langue se bat bien avec la mienne et il me laisse pousser mes doigts dans son cul. PH m'aide bien en lui faisant une pipe dont je connais personnellement l'efficacité ! Quand je sens une langue contre mes doigts, je jette un oeil. C'est Louis que nous a envoyé Franck. Mes doigts remontent sur ses pecs et alors que je joue avec, j'ai le plaisir de l'entendre gémir.
Quand Louis me dis qu'il lui semble prêt, PH m'encapuchonne et je me glisse derrière notre invité pour l'honoré comme il faut. Avec moins de circonvolutions, je l'encule grave ! Bon et même Très Bon ! Un anneau bien serré entre deux fesses musclées je ne connais rien de mieux. PH installe Louis sous notre invité et profite de son cul. J'explore les capacités de ce nouveau trou. Il me prend bien en entier (mais je ne fait que 20 aussi !). Sa muqueuse colle bien à ma bite et sa rondelle me comprime bien. J'aime surtout quand il la serre avant que je ressorte mon gland totalement. Il apprécie quand je force pour entrer de nouveau et laisse échapper des grognements significatifs. Rythme de croisière, mes mains ancrées sur ses hanches, je jette un coup d'oeil autour de nous. J'aperçois 3 autres regroupements, chacun autour d'un des autres invités. Les gémissements vont bon train et dénotent des enculades efficaces. Avec PH nous échangeons nos " culs ". Dans le mouvement, notre invité prend l'initiative de se mettre en 69 avec Louis, ce dernier tout content de se faire pomper à son tour. C'est en se regardant dans les yeux avec PH que nous jutons après une bonne série de pénétrations profondes et parfois brutales. En dessous de nous, je vois qu'ils se sont bien recouverts avec leurs spermes respectifs.
Nous nous décollons les uns des autres. Deux autres " amalgames " se sont déliés aussi. Il ne reste que celui d'Eric et Marc avec le deuxième " jeune " du quatuor. Ce dernier semble inquiet à l'idée de laisser l'énorme bite noire lui perforer l'anneau. Nous nous approchons tous. Son mec lui dit qu'il n'aura pas l'occasion de rencontrer souvent un matériel pareil et qu'il devrait en profiter. Cédric se place devant lui et se laisse monter par Eric pour lui prouver que c'est possible. Kamal s'insinue et lui mange la rondelle pour la préparer alors que Phil ouvre son flacon de poppers pour aider.
Eric sort de Cédric et se kpote. Le p'tit mec est poussé à sur le dos, les jambes à la verticale et son mec se charge de le gazer au poppers. Tous, autour, nous l'encourageons. Son mec lui parle à l'oreille et le détend alors qu'Eric le défonce lentement mais sûrement. L'enculé halète, snif et pleure en même temps. Mon enculé ouvre de grands yeux devant l'exploit de son copain. Je lui glisse de bien regarder car après dîner c'est sûr que ce sera son tour. Il me regarde interloqué. Je lui dis qu'à par Marc, tous les autres se le sont déjà pris dans le cul et que nous n'en sommes pas morts. En attendant, son pote commence à prendre son pied. Sous nos encouragements et surtout sous l'effet du glissement du gland d'Eric contre sa prostate, il explose littéralement et c'est un véritable geyser qui sort de sa queue. Chaque coup de rein d'Eric propulse le jet un peu plus haut. Il sort pour ajouter son sperme et le pauvre mec se retrouve recouvert de grandes traines blanches.
Bousculades sous les douches. Les 4 invités ne sont pas les derniers dans la mêlée. Nous retournons à poil dans le séjour pour chercher nos sous vêtements. Ils sont surpris de la complicité qui règne entre nous tous. Ils le sont aussi par le diner que samir et Ammed ont rapidement mis en place. Nous discutons de tout et de rien. Ils nous remercient encore pour l'ébergement. Ils sont tous les 4 étudiants en médecine à Bordeaux. Les deux plus âgés sont en en 6ème année alors que les deux plus jeunes finissent leur 2ème (ils n'ont que 19ans). Ils sont en coupe depuis deux ans seulement quand ils les avaient repérés/attrapés parmi les autres. Les jeunes nous disent que c'est grâce à eux (les plus vieux) qu'ils ont eu leur première année du premier coup. A bordeaux, ils vivent tous les 4 ensembles en colocation. L'un des plus vieux nous invite à venir les voir quand nous voudrons mais hors période d'exams. Marc leur dit que de toutes les manières c'est aussi le cas de tous les jeunes présents.
Ils sont vraiment sympas et avec PH nous sommes très partants pour les revoir. Marc nous dis que nous aurions qu'à trouver un gite sur le bassin d'Arcachon début juillet. Ça nous ferait une pause sur la route de l'Espagne.
Lors du couchage, nouvelle surprise pour nos invités quand ils voient la chambre " baisodrome " que nous avions organisé.
Je glisse à celui que j'avais bien défoncé qu'il allait maintenant tester les dimensions hors normes d'Eric. Ce sera chose faite, non sans difficultés, quelque une heure plus tard, avec les encouragements de tous les autres, dont son mec !
Le lundi matin, après avoir remis en état le gîte, nous roulons ensemble jusqu'à Angers où nos routes se séparent.
Jardinier
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etoilementeuse · 25 days
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark 04 [traduction française]
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——La scène débute dans une salle de classe.
Yui : (On nous a donné tellement de devoirs aujourd’hui...)
(Je n’arrive pas à me concentrer à la maison, alors je vais rester un peu ici pour travailler.)
——Ayato arrive.
Ayato : Yo ! Viens, la planche à pain, on rentre.
Yui : Ayato-kun... Je t’ai demandé de ne plus m’appeler comme ça.
Ayato : Le problème, c’est que je me rappelle pas de ton prénom.
Par contre, quand je te regarde, “planche à pain”, ça me vient tout seul. Genre : planche-à-pain.
Yui : … … !
(I-Ils ne sont peut-être pas très gros, certes, mais tout de même...!)
C’est Yui, Komori Yui ! Rappelle-toi en, s’il te plaît...
Ayato : Bref, qu’est-ce que tu fais, de toute façon ?
Yui : (I-Il ne m’écoute même pas...)
… Tu ne vois pas ? Ce sont les devoirs qu’on nous a donné aujourd’hui.
Ayato : Tch, sérieux !? Personne ne fait ces trucs !
Yui : Tu es l’une des rares personnes à ne pas les faire !
Ayato : Sérieux, pourquoi tu les fais pas à la maison ? Allez, viens, on rentre.
Yui : Je ne peux pas me concentrer quand je suis à la maison à cause d’une certaine personne, alors je les fais ici.
Ayato : J’ai faim. Allez, rentrons pour que je puisse manger !
——Ayato lui vole son cahier.
Yui : H-Hey ! Rends-le moi !
Ayato : Pas moyen ! Je te le rendrai une fois à la maison.
Yui : (… Il n’est pas croyable !)
… Ah ! Une jolie fille avec une grosse poitrine vient de passer dans le couloir !
Ayato : Quoi !?
Yui : Je t’ai eu !
——Yui reprend son cahier des mains d’Ayato.
Ayato : Argh...! La peste !
Yui : Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même d’avoir été si crédule~!
(C’est toujours lui qui m’embête d’habitude, alors je peux bien lui rendre la pareille, non ?)
(Ça me donne un peu l’impression qu’on est des camarades de classe ordinaires.)
(… Ayato-kun, si tu n’avais pas été un vampire... Je me demande si on aurait pu bien s’entendre.)
Ayato : T’as du cran pour faire ce genre de choses au grand Ayato¹...
Yui : (Uhh... Il est en colère ? Malgré tout, je ne dois pas flancher !)
➛ Je n’ai pas peur ! (♥) Yui : M-Même si tu fais cette tête, tu ne me fais pas peur ! Ayato : Hmm ? Voyons voir ça. Yui : Huh...!? ——Ayato frappe ses mains sur le bureau. Ayato : Dans ce cas... Je vais devoir redoubler d’efforts pour te terroriser.
➛ Si tu veux rentrer, rentre seul ! Yui : Je ne partirai pas avant d’avoir fini. Si tu veux rentrer, rentre seul. Ayato : … … … … Yui : (J-Je l’ai dit, ça y est !) Ayato : Fait chier. Yui : Huh...!? —— Ayato frappe ses poings sur la table. Ayato : Je ne déteste pas les femmes qui ont du caractère... Mais celles qui vont trop loin m’insupportent. Yui : A-Attends... Ayato : Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus te rebeller.
Yui : Kya...!
—— Ayato défait le noeud de l’uniforme de Yui.
Yui : A-Ayato-kun !?
Ayato : Tu ne veux pas rentrer, j’ai compris. Je ne peux rien y faire.
Alors j'ai qu’à te mordre ici.
Yui : A-Attends ! Il y a encore des élèves ici...!
Ayato : Qu’est-ce que tu racontes ? Regarde, il n’y a que toi et moi ici.
Yui : I-Il y a des gens dans le couloirs... Ils pourraient nous voir...!
Ayato : C’est bien ! Ça rend les choses encore plus excitantes.
——Ayato mord Yui.
Yui : Ah...!
(J-Je ne dois surtout pas faire de bruit ! Quelqu’un pourrait entendre !)
Ayato : Haha... ton cou est sensible, hein ?
Yui : … !
Ayato : C’est ça, j’aime cette expression. Tu peux faire du bruit, ça m’est égal.
Yui : Ah... Nn...
Ayato : Hehe, hey, retire tes mains de là. Ne couvre pas ta bouche.
Yui : … C-C’est bon, j’ai compris, j’ai perdu ! Rentrons à la maison !
Ayato : Hm, trop tard.
Je me demande combien de temps tu peux tenir sans faire de bruit. Voyons voir !
——Ayato mord Yui de nouveau.
Yui : … … !
Ayato : [bruits de succion]
Yui : … Gh...
(J-J’ai vraiment mal... J’ai l’impression qu’il mord plus fort que d’habitude.)
Ayato : Haha, tu fais vraiment de ton mieux.
Yui : T-Tu n’en as pas déjà assez ?
Ayato : Haa ? Tu fais la courageuse maintenant ? Ça me donne encore plus envie d’entendre ta voix.
Yui : Kya...! M...Mm—!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (Ah, ma tête... J’ai la tête qui tourne...)
Ayato : [bruits de succion]
——Yui s’écroule.
Ayato : Mince. J’en ai trop bu ?
J’ai bien aimé cette situation. On devrait le refaire une prochaine fois.
Yui : (Mon corps est faible... Je ne peux plus bouger...)
Ayato : Bon, comme je suis repus, je vais rentrer. À plus, planche à pain !
Yui : Huh...!?
(Il va vraiment me laisser seule ici !?)
(C’est cruel...)
Ayato : En fait... J'ai pas vraiment envie que tu te fasses attaquer par un de ces vampires bas de gamme.
——Ayato se rapproche.
Yui : Hein...?
Ayato : Tu es ma proie. Ne vas pas tituber comme ça alors que tu saignes encore.
L’odeur de ton sang est dangereuse. On ne sait pas quel genre de personne il peut attirer.
Yui : (“Ne vas pas tituber comme ça”... À qui la faute ?)
Ayato : Je t’escorte personnellement jusqu’à la maison. Tu devrais te sentir honorée.
Yui : (C’est frustrant... Mais... Ce n’est pas si désagréable, pour une fois...)
(Je ne sais pas trop quel genre d’expression je devrais afficher...)
¹ Pour ceux qui n'ont pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme “Ayato-sama”. Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
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1340fatboy · 1 year
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Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
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dre-amin-g · 2 months
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Je l’ai trouvée devant ma porte
Un soir, que je rentrais chez moi
Partout, elle me fait escorte
Elle est revenue, elle est là
La renifleuse des amours mortes
Elle m'a suivie, pas à pas
La garce, que le Diable l'emporte
Elle est revenue, elle est là
Avec sa gueule de carême
Avec ses larges yeux cernés
Elle nous fait le coeur à la traîne
Elle nous fait le coeur à pleurer
Elle nous fait des matins blêmes
Et de longues nuits désolées
La garce ! Elle nous ferait même
L'hiver au plein coeur de l'été
Dans ta triste robe de moire
Avec tes cheveux mal peignés
T'as la mine du désespoir
Tu n'es pas belle à regarder
Allez, va t-en porter ailleurs
Ta triste gueule de l'ennui
Je n'ai pas le goût du malheur
Va t-en voir ailleurs si j'y suis
Je veux encore rouler des hanches
Je veux me saouler de printemps
Je veux m'en payer, des nuits blanches
A coeur qui bat, à coeur battant
Avant que sonne l'heure blême
Et jusqu'à mon souffle dernier
Je veux encore dire je t'aime
Et vouloir mourir d'aimer
Elle a dit Ouvre-moi ta porte
Je t'avais suivie pas à pas
Je sais que tes amours sont mortes
Je suis revenue, me voilà
Ils t'ont récité leurs poèmes
Tes beaux messieurs, tes beaux enfants
Tes faux Rimbaud, tes faux Verlaine
Eh ! bien, c'est fini, maintenant
Depuis, elle me fait des nuits blanches
Elle s'est pendue à mon cou
Elle s'est enroulée à mes hanches
Elle se couche à mes genoux
Partout, elle me fait escorte
Et elle me suit, pas à pas
Elle m'attend devant ma porte
Elle est revenue, elle est là
La solitude, la solitude
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 6
Bonjour à toutes et tous !!
Je sais j’ai tardé à poster ce nouveau chapitre mais grâce à @ladychoco je me suis mis un bon coup de pied aux fesses ! Et le voilà 😉
J’espère qu’il vous plaira, j’ai hâte de lire vos commentaires.
Bonne lecture.
Chapitre 6 : La Réalisation
Arthur Pendragon n’était pas connu pour être un homme patient. Que ce soit pour attendre des nouvelles de son ex-femme, ou pour tolérer le nombre incalculable d’abrutis étant venus demander sa main à Léodagan, c’était tout bonnement pareil. Le Roi de Bretagne avait les nerfs à vifs. Une semaine sans aucune nouvelle, pas une lettre pas un mot… Il pensait que Guenièvre aurait au moins pris la peine de rassurer ses parents… Cela dit, cela ne devrait pas le surprendre puisqu’elle ne les avait même pas informés de son départ. Alors, quand Angharad vint le voir pour lui dire qu’elle avait des nouvelles, il se dit qu’il était bien bête de ne pas avoir pensé à elle plus tôt.
_ Le seigneur Perceval m’a envoyé une lettre, dit-elle, la porte de la chambre du Roi juste ouverte.
_ Entrez !
_ Il dit qu’il se trouve chez la tante de Madame …
_ La sœur de Léodagan ?
_ Il semblerait… Le seigneur Perceval ne sait pas écrire, c’est l’oncle de Madame qui l’a aidé à la faire… Je doute que Madame soit au courant de cette initiative…
_ Vous avez sans doute raison… Elle sait que si elle révélait sa position, tous ces idiots qui frappent ici depuis quatre jours iraient directement la voir.
_ Et en quoi cela dérange Monsieur que Madame ait des prétendants ?
Arthur lança un regard noir à Angharad. La jeune femme avait toujours eu la langue bien pendue, il ne devrait pas en être surpris. Pour autant, il n’avait pas de conseil à recevoir d’une femme même pas foutue de faire comprendre ses sentiments à Perceval. Il préféra donc ignorer sa question et la congédia sans ménagement.
_ Monsieur devrait bien réfléchir… car s’il veut récupérer Madame, il ferait mieux de le faire pour les bonnes raisons et pas simplement parce que d’autres hommes se sont, eux, aperçus que Madame était digne d’être aimée et non trompée et humiliée à longueur de temps.
La servante prit alors ses jambes à son cou, n’attendant pas la réponse du roi. Elle savait qu’elle avait dépassé les bornes mais il fallait qu’il comprenne qu’il ne pouvait plus jouer comme il le faisait… S’il voulait vraiment refaire de Guenièvre sa reine, elle devait s’assurer que les choses seraient différentes pour sa maîtresse. Elle ne devait pas revenir si le Roi comptait ne rien changer à son comportement.
-o-
C’était difficile à admettre mais Angharad avait raison. Le Duc d’Armorique était venu rencontrer Léodagan afin de lui demander la main de Guenièvre. Un de plus ou un de moins, après tout quelle importance, son ex-beau-père les avaient pratiquement tous fait fuir. Seulement, cette fois, Léodagan avait reçu poliment le jeune homme d’environ trente ans. Grand, des cheveux châtains et des yeux verts, il aurait pu charmer n’importe quelle dame du royaume. Toutefois, ce n’était pas n’importe quelle dame du royaume qu’il voulait courtiser mais bel et bien l’ancienne Reine… et cela faisait du mal à Arthur de le reconnaître mais il était un parti tout à fait convenable. Le roi de Carmélide devait être du même avis car il avait reçu le prétendant avec une politesse qu’il ne lui connaissait pas… En effet, attiré par l’appât du gain et par l’idée d’emmerder royalement Arthur, Léodagan avait pris soin d’écouter attentivement la demande de ce duc bien sous tous rapports. Ne rester maintenant qu’à savoir où se cachait Guenièvre… Une information qu’Arthur décida finalement de garder pour lui…
Après tout, n’avait-il pas le droit de faire comme bon lui semblait ? Il était le Roi non d’un chien ! C’est alors qu’au détour d’un couloir désert, il entendit une conversation des plus instructives :
_ Elle est enfin partie, nous devons en tirer avantage ! chuchotait Démétra, face aux autres maîtresses du Roi.
_ On est bien d’accord mais maintenant que c’est fait qui serait en droit de prendre sa place ? demanda Aelys sur le même ton.
_ Nous avons œuvré pendant trop longtemps pour exacerber tous ses défauts auprès du Roi ! Il nous faut agir sans perdre de temps ! Pour ma part, je suis celle ayant été avec le Roi le plus longtemps donc je suis la mi…
_ Attendez un instant ! Pourquoi devriez-vous passer en priorité ?
_ C’est vrai ça ! Si vous étiez vraiment aussi forte que vous le prétendez le Roi n’aurait jamais pris d’autres maîtresses après tout ! s’exclama fermement Tumet, soutenant sa sœur.
_ Je ne vous permets pas ! Et puis, je n’en ai rien à faire de votre avis ! Je suis persuadée de gagner et puisque vous ne voulez pas l’admettre, lorsque je serais Reine j’aurais le pouvoir de me débarrasser de chacune d’entre vous !
_ Comme l’ancienne Reine vous voulez dire ? demanda sarcastiquement Azénor, sous le ricanement des autres pintades de mes deux.
_ Non pas comme l’ancienne Reine puisque nous avons fait tout ce que nous pouvions pour que jamais il ne la touche ! Nous avons eu de la chance qu’elle soit conne comme une chaise et que lui préfère notre compagnie à la sienne ! On a juste eu à maintenir la situation en l’état… Mais quand je serais Reine, je m’assurerai qu’il reste bien dans mon lit comme j’ai toujours su le faire malgré votre présence à toutes !
Sur ces dernières paroles, Démétra s’éloigna de ses « amies », passant juste à côté d’Arthur sans le voir…
_ Va falloir la jouer serrée… On ne peut pas la laisser faire…
_ Arthur aura toujours besoin de maîtresses, même si elle arrive à ses fins. Elle est bien trop sûre d’elle ! Rien ne dit qu’elle gagnera cette guerre…
_ J’ai entendu dire qu’Arthur voulait récupérer Guenièvre…
_ Pfff… Alors ça, je n’y crois pas une seule seconde ! Elle l’a toujours dégoûté ! Cela n’aurait aucun sens qu’il veuille la récupérer !
Tour à tour, elles acquiescèrent. Sachant pertinemment que, de toute manière, elles avaient tout fait pour entretenir ce dégoût. 
_ Et bien mesdames, que la meilleure gagne !
-o-
En retournant à sa chambre, Arthur était mortifié. Comment avait-il pu s’enticher de toutes ses hypocrites, sournoises et mesquines ? Des opportunistes, voilà tout ce qu’elles étaient ! Il savait que quand d’autres auraient mené la vie impossible à ses maîtresses, Guenièvre n’avait eu envers elles que de la bienveillance… Jamais elle n’avait mal parlé de ou à ses maîtresses… Elle aurait été en droit de le faire… Mais elle ne leur avait offert que de la gentillesse et en retour elle n’avait le droit qu’à leur hypocrisie et leurs moqueries…
Non, il ne pouvait pas tolérer cela. Il n’avait pas besoin de ça, d’elles dans sa vie. Elles se croyaient indispensables et irremplaçables. Il comptait bien leur montrer qu’il n’y avait qu’une seule personne dans ce cas : celle qui était déjà partie.
Angharad avait raison. S’il voulait récupérer sa femme, il fallait le faire pour les bonnes raisons et il devait procéder à certains changements afin de mériter son retour. Il devait tout d’abord se poser toutes les bonnes questions. La première : que voulait-il de Guenièvre à présent ? Sa présence, sa gentillesse, sa compréhension… Il y avait autre chose mais il n’était pas prêt… Était-il seulement capable de l’aimer…
La deuxième : était-il en mesure de renoncer à la promesse faite à Aconia ? Voulait-il faire évoluer sa relation avec Guenièvre et lui accorder enfin la seule chose qu’elle avait jamais voulu ? Aimerait-il avoir un héritier avec elle ?
Il se souvenait parfaitement des mots qu’elle avait prononcé avant de partir : « Je ne peux plus accepter d’être humiliée jour après jour, année après année en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. »
Les choses avaient-elles évoluées pour lui ? Était-il réellement sûr de pouvoir et vouloir changer son comportement ne serait-ce que vis-à-vis d’elle ?
Ses paroles résonnaient dans sa tête depuis plus de six jours maintenant : « J’ai besoin d’être aimée mais aussi d’aimer en retour ! ».
Il ne pouvait pas changer du jour au lendemain. Il le savait mais pouvait-il fournir des efforts et considérer cette femme pour ce qu’elle était : un trésor précieux et inestimable, la seule personne de tout ce foutu pays à n’avoir jamais voulu profiter de son statut et à avoir fait l’erreur de tomber amoureuse de l’homme et non du Roi qu’il est ?
La réalisation le frappa alors aussi soudainement qu’un éclair. La réponse à toutes ces questions était définitivement bien trop simple : Oui. Car elle en valait la peine. Elle méritait qu’il se batte pour elle comme il aurait toujours dû le faire dés le premier jour. Ce ne serait certainement pas facile. Il devrait se jeter corps et âme dans la bataille mais il était prêt. Il la voulait, la désirait mais surtout souhaitait l’aimer comme il aurait toujours dû l’aimer.
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Le lendemain, Arthur convoqua chacune de ses maîtresses dans la salle du trône. S’il voulait prouver sa détermination, autant commencer par cela. Il avait convié Léodagan, Séli, Bohort, Karadoc et Mévanwi à assister au spectacle qu’il allait donner, ceci dans un seul et unique but : faire comprendre à chacun que sa décision était sincère mais surtout irrévocable.
Démétra, Aélis, Azénor, Tumet et Azilis entrèrent ensemble dans la salle. Elles arboraient toutes un grand sourire qui ravie Arthur. En effet, afin de leur donner la leçon qu’elles méritaient, il avait fait en sorte que les personnes ayant été les prévenir leur fassent miroiter une nouvelle de la plus haute importance pour chacune d’entre elles.
_ Bien. Je pense qu’il est inutile de vous faire patienter plus longtemps. Je vous ai fait venir afin de vous annoncer une nouvelle de la plus haute importance. J’ai pris une grande décision.
Les cinq femmes le regardaient avec un immense intérêt et une impatience à peine contenue, tandis que les autres personnes conviées se demandaient dans quelle merde le Roi allait-il les mettre ce coup-ci.
_ Je souhaite ardemment que… Toutes les cinq… Vous vous cassiez d’ici en vitesse !
Dire qu’ils étaient surpris serait un doux euphémisme.
_ Mais Sire… Je ne compr…
_ Vous n’avez absolument pas besoin de comprendre Démétra ! J’ai simplement décidé que la comédie avait assez durée. Vous n’êtes pas à votre place ici. Vous ne l’avez jamais été et ne le serez jamais. Il est grand temps que je cesse de repousser la seule et unique femme digne de siéger à mes côtés. J’en profite pour demander solennellement au roi et à la reine de Carmélide la main de leur fille. Et pour que ce soit bien clair, si par malheur Guenièvre décide de refuser ma requête, ce dont elle aurait tout à fait le droit, je ne veux aucune autre femme. Ce sera Guenièvre de Carmélide ou personne. Je tiens à ce que tous soient au courant, je n’accepterai aucune autre proposition de mariage. Maintenant, je ne le répèterai pas une autre fois : cassez-vous et ne revenez pas !
Sous les regards médusés de toutes les personnes conviées, le Roi Arthur Pendragon se leva de son trône et sortit de la salle les laissant comme des glands. Les anciennes maîtresses n’en menaient pas large et se demandaient comment elles avaient pu en arriver là… Elles n’avaient pas vu venir ce retournement de situation. Personne ne l’avait vu, pas même Mévanwi qui tâchait de se faire aussi discrète que possible. Elle ne l’avait pas cru lorsqu’il disait vouloir récupérer sa femme… Elle allait certainement regretter la lettre qu’elle avait envoyée à peine deux jours auparavant…
Au moins, les choses étaient on ne peut plus claires.
Seule une servante s’étant cachée dans un renfoncement de la pièce esquissa un fin sourire. Angharad était enfin rassurée. Il avait enfin compris… Il restait maintenant à la convaincre elle…
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