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[Virevoltés 2022] "Membre fantôme" - Bancale Compagnie
[Virevoltés 2022] “Membre fantôme” – Bancale Compagnie
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dazeofcoral · 22 days
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Cdg contre les membres fantômes.. qui se sauvent à chaque fois des MEDS
On parle toujours que le rp c'est pas une obligation. Non, ça ne l'est pas. On a droit en respectant les règles du forum et la demande d'activité de ce dernier d'être moins présent, moins actif, de poster une absence ou de prévenir qu'on sera au ralenti en privé ou sur le fo. Les gens qui font ce qu'il faut pour prévenir leurs partenaires rp, merci, parce que parfois on doit vous en dire des bêtises concernant votre activité mais vous prévenez et j'ai vraiment l'impression qu'on oublie à quel point c'est TOPISSIME de prévenir.
Mais pour ceux qui préviennent pas... Désolé mais à partir du moment ou on joue un personnage important pour d'autres personnages, qu'on a pleuré pour un lien love avec machin ou machin, prévenir d'une baisse d'activité ou d'une absence devient l'obligation dans le rp, surtout si c'est récurrent. À quel moment c'est devenu normal qu'on doit accepter que son partenaire rp principal donne pas signe de vie pendant 28 - 35 jours? Comme s'iel a disparu de la surface de la terre, plus d'activité sur le forum ou toute autre plateforme, discord, facebook.. On demande pas un compte rendu mais les membres fantômes il y en a partout, donc forcément quand on ne voit plus l'autre joueur se connecter ou répondre sur discord, on se demande ce qu'il se passe. Trop bon.ne, trop c*n.ne, je m'inquiète à chaque fois pour le bien-être de l'autre joueur. Est-ce qu'iel va bien, est-ce que quelque chose de grave s'est produit ? J'angoisse comme un.e vrai.e petit.e idiot.e parce que souvent j'imagine le pire irl, et pas du tout que la personne s'en bat les steaks du forum où iel est absent sans prévenir. Et puis ça débarque tranquille pour se sauver des MED sans même s'excuser ou donner une bonne excuse qui justifie de même pas avoir répondu sur discord (ça prend quoi, 10 secondes !). La claque ! On s'est inquiété pour rien mais limite ça passe ça peut arriver 1x, 2x. Et puis rebelote pour un mois ou + sans nouvelles après chaque sauvetage in extremis des MED. Alors on nous sort que le règlement du forum est respecté.. Oui. Okay. Mais... Les imprévus, ça arrive. Poster en une année le total de 8 réponses rp sur un forum où il faut une activité 1rp/mois, parce qu'on joue avec les règles et le système MED, c'est irrespectueux envers ses partenaires rp et j'ose même dire envers le forum, le staff, les autres membres. Faut bien se dire que s'il n'y a qu'un rp lancé ça nous fait quand même 8 réponses dans le sujet ça passe encore, mais souvent ces mêmes personnes ont plusieurs rp de lancé, donc sur une année un sujet avance de 2 réponses, c'est vraiment se foutre de la gueule des gens. Et que fait le staff? Rien. Le règlement est respecté donc ils ne peuvent rien faire. On ne leur en veut pas pour ça, ils ont un peu les mains liées.
Alors faut se rouler les manches et faire soi-même, même quand on déteste le conflit et qu'on a peur de demander que le lien avec son personnage cesse d'être parce qu'iel joue aux abonnés absents h24, 7j/7 jusqu'au MED. J'imagine ma propre tronche sans parler de mon ressenti si je me prends un message pareil alors même si c'est mérité, le faire à quelqu'un ça crève le coeur. Et quand c'est fait on se dit, c'est bon, on souffle. C'est triste mais quand on prend plus plaisir à répondre à deux réponses RP sur l'année, faut se rendre à l'évidence. Et qui passe pour la.e méchant.e aux yeux des autres membres du forum, voire du staff ? Pas la personne qui est jamais là, bien sûr que non. CDG salty parce que me prendre un mp d'un staffien pour me dire que j'ai pas le droit de dire à un autre joueur que je veux plus avoir mon lien PRINCIPAL avec sous prétexte que c'est dégueulasse d'annoncer ça comme ça et de pas vouloir en discuter (j'ai fais que ça, vouloir en parler, pendant 16 mois !), c'est la goutte qui fait déborder le vase. La personne est pas capable de me donner signe de vie pendant 5 semaines, 8 fois de suite, on me fait à peine un coucou en postant pour se sortir des MED mais dès que j'envoie sur discord que notre lien tombe à l'eau, ça va pleurer chez le staff ? La prochaine fois je me casse tout de suite du forum comme beaucoup le font quand les membres fantômes foutent en l'air leur plaisir de rp sur le dit forum. Attendre un an pour deux réponses dans un sujet ou on dépasse pas les 800 mots par rp c'est bon, on finira le sujet dans dix ans. Mais comme d'habitude le Staff veut pas prendre de parti sauf quand même un peu celui de la personne qui va se plaindre en premier, ça aussi ras le bol.
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contemporary-disquiet · 9 months
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VANESSA BEECROFT, Le membre fantôme, 2015
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anticbrvtalist · 7 months
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnétique de l’Angleterre » ! Où donc ai-je lu ces mots ? » (Léon Bloy)[1]
Nous ne croyons pas à la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congé à temps. Sans doute était-il fatigué de tituber dans un monde qui meurt. Dès la fin du siècle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratère foré par l’économie monde, plongeant à pic dans le tiède enfer du non-lieu global. Même Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho géographie, d’exposer aux non-initiés ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientôt plus rien à personne. Nous fûmes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sévit pas à l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a épuisé la valeur d’échange s’évapore, disparaît. Même les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiés, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chère Ann, ce Londres s’était tout entier évanoui ; et bientôt, ferait défaut jusqu’à l’humanité encore accessible à de tels souvenirs. Il aura vu le dôme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars désaffectés, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusé dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement écouté par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une désespérante tolérance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la cité des résurrections »[2]. Cette ville lui était à ce point devenue étrangère qu’il ne pouvait plus suivre à l’instinct les affluents de la Tamise, ces méandres aux propriétés magiques jadis cartographiées par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les rivières de Stamford brook et de Walbrook. Désormais incapable de soulever les strates de l’histoire immédiate, mais toujours possédé par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, à quarante ans, enterré vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la première tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-être Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il désirait, de toutes ses forces, différer l’avènement. Peut-être devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entière, allait devenir telle qu’elle figure dans la série Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIè, énonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achève, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poètes sont toujours les premiers à s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un précurseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tâtonne vers la sortie, cherche machinalement son âme comme on s’assure de la présence d’un membre fantôme. Le Brexit, bien sûr, ne résoudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant à l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot à la remorque des États-Unis, tourné vers l’ailleurs, le grand large, l’Océan Pacifique peut-être, pour une dernière aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre à se défaire du monde. Très jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « système », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidé de la société » : cette dernière, il sut la tenir à distance, cultivant l’art de la clandestinité, luttant constamment contre toute forme imposée ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignée d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vécut son homosexualité comme une malédiction, un défi, trop orgueilleux qu’il était pour quémander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplément de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularité draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dès 1984, à écarter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacés, passèrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de côté, la vie de John Balance fut esquive, dérobade radicale. De la société, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’appréhendé latéralement, surtout les êtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’âme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oublié. Cette approche oblique strictement observée, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-à-dire un bruit, un son, que l’on peut prélever, domestiquer, puis torturer à loisir avant de le restituer, méconnaissable, à la société épouvantée.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une étrange réputation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, évoquant à mots couverts auprès d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entièrement peinte en noir, les murs tapissés d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, où il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces étranges inclinations vinrent aux oreilles du cinéaste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rétracter, effrayé. Pourtant, à les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les présentent de noir vêtus, cheveux ras, encapuchonnés dans d’informes sweat shirts, soit la défroque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils étaient passés maîtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dès 1991, ils avaient déjà, par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expérience claustrophobique, se changea en caisse à stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayée de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un député tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes à l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensées, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dé-civilisation dont ils déplorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogénéité qu’ils possèdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dépit d’un mode de vie suicidaire, jalonné d’expérimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblée le pressentiment de l’avènement d’un monde unidimensionnel, hostile à toute intériorité. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment écho aux paroles d’un Barrès, qui, à l’apogée de son « culte du moi », au début du XXè  siècle, déclarait : « Les barbares veulent nous fondre en série ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom à la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de réversion, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quête de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait déjà les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tôt. L’histoire révèle à périodes régulières quelques jeunes gens suffisamment mécontents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible à rendre son secret. John Balance s’identifiait à René Crevel mais ce serait plutôt à Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poète égaré dans son inlassable quête d’« états de stupeur fixe ». (...)
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the-ninth-moon · 27 days
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(( 𝟿𝔱𝔥 𝔪𝔬𝔬𝔫 ))
Petit instant pub pour the ninth moon, un forum rpg med-fan aux diverses magies. 💜
9th moon, c'est quoi ? C'est une RPG jeu de rôle, c'est un univers complètement inventé en crossover entre différents univers med-fan, c'est des membres qui vous accueillent, les bras grands ouverts, c'est des boutiques et des trocs entre joueur⸱ses, c'est des cristals d'étain à réclamer, c'est un bestiaire de fou, c'est des personnages qui se font régulièrement croquer le cul par des monstres (mais en redemandent ???), c'est des liens qui se tissent tout seul, un discord smooth et tout doux, comme l'est la communauté, c'est des joueur⸱ses qui reviennent au RP et en quémandent encore et toujours.
(petit point statistiques après la suppression des fantômes) 9th moon, c'est aussi, et actuellement 41 comptes enregistrés, dont 1 Comte Vicar - le MDJ, 29 joueur⸱ses qui se régalent parmi nous, et 11 multicomptes. 9th moon, c'est aussi 2645 parchemins envoyés, parmi lesquels se cachent et se tissent dans les plumes 34 RPs démoniaques, 2 défis d'écriture en cours et 5 quêtes. 
9th moon, c'est enfin un lore à explorer à l'infini, qui s'étend sous les impulsions de ses membres, c'est un guidebook vachement pratique pour vous aider à vagabonder en ses méandres, c'est une navigation rapide afin de rendre tout cela plus malléable.
On vous attend, plein de pré-liens vous tendent les bras, des postes vacants cherchent preneur⸱ses. Je vous assure que vous ne regretterez pas votre aventure dans les ruelles d'Atalan. ✨
https://ninthmoon.forumactif.com/
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sous-le-saule · 9 months
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Au revoir
(Le musicien fantôme, épisode 8 et fin – parce que, contre toute attente et à ma grande surprise, j’ai réussi à terminer ce truc. Joie bonheur.)
C’est le moment de vérité. Jamais je ne me suis senti aussi nerveux de présenter une de mes compositions au public. Mais jamais non plus n’ai-je eu affaire à un auditoire si difficile. Une dizaine de sirènes se sont regroupées à bâbord, le visage fermé, après avoir calmé la tempête. Elles attendent sans un mot, dans la lumière de la lune montante, que l’équipage du Musicien fantôme entame son chant. Je sens les spectres fébriles, et même mon impassible grand-père montre des signes de nervosité. Je leur ai donné l’espoir que cette fois serait la bonne, et je n’ose imaginer ce qui se passerait en cas d’échec.
Je chasse cette éventualité de mon esprit. J’ai fait de mon mieux. Sans fausse modestie, cette pièce est mon chef-d’œuvre. Elle arracherait des larmes à une pierre. Quant aux paroles, si j’y ai ajouté une touche poétique, je suis resté le plus fidèle possible aux regrets exprimés par les spectres lors de nos conversations – je ne pouvais formuler d’authentiques excuses à leur place. Mon grand-père a écrit lui-même de longs passages dépeignant la grâce des sirènes, la beauté de leur chant et l’effroyable crime d’y avoir mis fin. Je dois dire qu’il n’a pas une mauvaise plume – et qu’il semblait sincère.
Je suis même parvenu à transformer cette bande de marins en un chœur plus qu’acceptable qui, à force de répétitions exigeantes, est capable d’une interprétation poignante, à défaut d’être toujours juste. Je ne pense pas que nous arriverions à un meilleur résultat avec plus de temps.
Alors, alea jacta est.
D’un geste, je donne le départ. Les premières notes montent dans l’air du soir, un peu tremblantes. Puis elles s’affirment, s’enchainent d’une façon si naturelle que c’en est presque magique et je ne peux m’empêcher, une fois de plus, de m’émerveiller face à cette transformation, quasi alchimique, des notes abstraitement agencées par mon cerveau en une émotion palpable. Concentré sur la direction du chœur, emporté par la musique, j’en oublie l’étrangeté de mes interprètes et la présence, en retrait, de l’équipage de l’Icare. J’en oublie même de me retourner pour scruter les réactions, pourtant capitales, de l’auditoire.
Ce n’est que lorsque le silence retombe, encore porteur de l’écho des dernières notes, que je me soucie enfin du verdict des sirènes.
Est-ce un rayon de lune qui fait briller leurs yeux, ou avons-nous réussi à les émouvoir ? Comme en réponse à ma question, une larme unique coule sur la joue d’une sirène au maintien solennel. Se tournant face à mon grand-père, elle incline lentement la tête dans un geste grave. A ce signal, toutes les sirènes disparaissent d’un même mouvement dans les profondeurs de l’océan, me laissant avec une douloureuse sensation de perte et l’impression de m’éveiller d’un rêve.
Les spectres poussent un long soupir, presque un gémissement, qui n’est pas sans évoquer le souffle glacé qui accompagne l’ouverture d’un tombeau. Je les vois pâlir et perdre leur consistance, ressemblant de plus en plus aux formes éthérées des récits de fantômes. La main sur le cœur, mon grand-père incline le buste vers moi, s’évaporant peu à peu dans la clarté lunaire, jusqu’à ce qu’il ne reste rien de lui.
Je reste planté là, à regarder longuement l’endroit où il se trouvait, jusqu’à ce qu’une main sur mon épaule me tire de mon engourdissement.
« Je ne connais pas grand-chose en matière de musique mais c’était quelque chose. » Esteban a les yeux rougis et, derrière lui, les membres de son équipage essuient furtivement des larmes. Je mentirais si je disais que je n’en retire pas une immense fierté.
Les privations de ces derniers jours, passés presque sans nourriture ni repos, ajoutées à la joie de retrouver Esteban après l’isolement que je me suis imposé pour conserver ma concentration, me laissent chancelant et je m’effondre lourdement dans ses bras. Il me guide précautionneusement jusqu’au bastingage où je m’appuie, pendant qu’il demande à l’un de ses hommes de me trouver quelque chose à manger.
- Tu devrais te reposer, dit Esteban en s’accoudant à mes côtés.
- Dans un moment.
Je veux admirer, aussi longtemps que je le peux, les flots sombres dans lesquels ont disparu les sirènes, les reflets de la lune sur les vagues maintenant apaisées, les étoiles qui brillent dans le firmament dégagé et pur. Nous restons un long moment dans un silence confortable, que je finis par briser :
- Je suis désolé pour ton bateau.
Il a un geste désabusé et semble s’absorber dans la contemplation de la voûte céleste, rétorquant d’un ton qui se veut léger :
- Je suppose qu’avec un nom pareil, il était destiné à se brûler les ailes tôt ou tard.
Ce n’est pas à moi qu’on peut cacher un tremblement dans la voix, si ténu soit-il. Je pose la main sur son avant-bras.
- Il semblerait que j’hérite de celui-ci et qu’il ait besoin d’un capitaine. Il est à toi. C’est le moins que je puisse faire, même si je sais qu’il ne remplacera pas l’Icare.
Il se tourne vers moi et cligne lentement des yeux, avant de me remercier d’un hochement de tête. Avec un léger haussement d’épaules, j’ajoute :
- Je ne sais même pas si c’est un bon navire. Je ne connais pas grand-chose en matière de bateaux.
Cela lui arrache un sourire en coin.
- J’ai eu plus que le temps de l’explorer ces derniers jours. C’est un bon bateau, oui. Même s’il a besoin d’un sérieux entretien. – Il s’étire. – Et d’un nouveau nom.
Il y réfléchit un moment avant de déclarer, catégorique :
- Il me semble qu’Orphée s’impose.
Je secoue la tête avec autant d’amusement que de tendresse. Il va falloir, sur le chemin du retour, que je l’interroge sur cette obsession pour la mythologie.
- Et tu ne crains pas que cela annonce une autre fin tragique ?
- Ah, il y a toujours une fin, plus ou moins tragique. Mais jusqu’à ce qu’elle survienne, ce nom me rappellera un autre musicien intrépide.
A son regard appuyé, je me sens rougir de plaisir.
- « Intrépide » ? Tu me prêtes beaucoup de crédit. Je n’ai cessé de trembler de terreur tout au long de cette aventure.
- Il n’y a pas de réelle aventure dont la peur serait absente, réplique-t-il simplement.
Je considère sa réponse un instant.
- Je ne sais pas si je suis taillé pour l’aventure, finis-je par soupirer. Regarde où ça a mené mon grand-père… et je t’ai fait perdre ton bateau…
Esteban me tapote l’épaule pour me rassurer.
- Je savais que je m’engageais dans une expédition risquée. Et tu as tenu ta part du marché. Je ne me suis pas ennuyé. Quant à moi, il me reste à respecter mon dernier engagement : te ramener à bon port. Je vais donner des ordres.
Il fait un pas vers l’arrière du navire et j’hésite à le retenir. Je voudrais lui dire… mais j’ai peur d’être ridicule. Peut-être a-t-il perçu mon hésitation car il se retourne, l’air incertain lui-même.
- Bien sûr… fait-il à mi-voix, comme s’il craignait de dire ces mots tout haut, si par hasard tu… enfin si tu voulais un peu plus de temps pour réfléchir à… hum… une éventuelle carrière d’aventurier… rien ne nous oblige à rentrer en droite ligne. On pourrait faire un détour…
Malgré l’obscurité, je pourrais jurer qu’il est en train de rougir. Adorable, définitivement adorable. Je souris.
- J’aimerais beaucoup.
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npcemi · 6 months
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Why do I do this to myself
So long story short instead of being bitter about being cheated out of learning french in the 7th grade for almost 20 years. I decided to just learn the damned language. I've been studying for 2-3ish months. So what does my dumb ass do? "Let's try to translate a chapter of one my fics" It's been 2 hours and I was able to do just under 200 words of the fic. This has been so damned difficult. Upside it has been a good learning experience and https://bonpatron.com/ has been what I'm hoping is a life saver when it comes to grammar. It explaining what rules I broke; though I'm assuming as with any spell checker it isn't perfect, but I think I can get by just fine for where I am at in learning. Any how i decided to pick
"The long road of how starting a fight with superman over clone parenting eventually lead to Danny Phantom become God"
So here are those 200ish words I hope aren't absolutely terrible.
Danielle "Dani avec une I" Phantom un clone de Danny Phantom. Elle déciderait de commencer un soutien groupe pour clones. Elle a eu expérimentée directement les difficultés le clone et elle a voulu créer un espace sûr ils pourraient venir ensemble et ils partagèrent expériences.
Mot vite propagé et bientôt ils étaient venus ensemble à un des Danny de maison sûr il avait prêté à Danielle. Elle a eu aussi aidé, donc chaque membre pourrait aller à chambre spécifique de proche centre communautaire. Danielle de père fantôme capacités et magique de maman Sam serait transformé la porte en temporaire portails ça seront, apporteront chaque membre au sûr maison.
 Le groupe arrives étions Linda Danvers, une clone de Super-girl, Conner Kent,un clone de Super-man et Jarro, un clone de Starro.
Danielle a eu accueillie tout le monde avec un sourire chaud. «Merci à tout pour être ici aujourd'hui. Je crée ce petit groupe alors nous pouvons partager notre histories et soutenons l'un autre. Être une clone pouvez difficiles. Je sais cela ainsi que n'importe qui, Commence par introduire notre-même. Je vais commencer.»
«je suis Danielle Phantom, mais tu peux appeler Dani. C'est Dani avec une I et je suis clone de Danny Phantom. j'ai été créé parce que quelque fruit loop décidé il avait voulu Danny en tant que fils et quand il avait obtenu pas, il crée-moi !
Alors, il avait essayé obtins moi à tuer Danny, lui mère et père. Évidemment ce ne travail pas et maintenant Danny et moi sur très bien termes !»
Now to go back and finish so I can move on with my night. Also any advice would be appreciated if you have it.
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aisakalegacy · 5 months
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Automne 1915, Hylewood, Canada (7/11)
Avec mes jeunes enfants, c’est une autre affaire : ils regardent ma jambe, ou plutôt mon absence de jambe, et me posent de nombreuses questions - sans méchanceté aucune, mais insistantes néanmoins. Marie, particulièrement, m’assaille. Elle m’a entendu parler à ma femme de mes douleurs liées au fait que j’éprouve un membre fantôme. Elle s’est persuadée qu’il s’agit de ma jambe, qui, détachée de mon corps, continuerait à se faire sentir. Elle s’est mise en tête de la retrouver et aussi me harcèle-t-elle de questions visant à déterminer sa localisation : les sensations sont-elles chaudes ou froides ? La douleur est-elle lancinante ou sourde ? Quelle partie de ma jambe me fait souffrir exactement ? Si cela était amusant les premiers temps, son insistance (et surtout, son obsession morbide) devient pesante.
[Transcription] Marie Le Bris : Papa !! Marie Le Bris : ? Marie Le Bris : ?? Marie Le Bris : Tu l’as mise où, ta jambe ? Eugénie Le Bris : Marie !! Jules Le Bris : Je l’ai oubliée en Belgique, mais j’étais pressé de te voir et ça ferait trop de chemin que de retourner la chercher.
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Je suis une poupée dont on casse les membres pour convenir au public. Je suis les mèches de cheveux qui se fracassent par terre en silence. Le pauvre chien qui fait de son mieux mais subit les remontrances. Je suis cette fontaine qui coule alors que plus personne ne boit. La lumière de la salle de bain qu’on oublie parfois. Je suis l’inutile, celle qui finira par s’éteindre, ne t’en fait pas. Celle qu’on oublie, proche et distante, gentille mais pas fragile, un juste équilibre qui rend futile. Je suis pas ta meilleure amie, ni ta pire ennemie. Je suis de passage, un fantôme, un livre sans page, une môme en rattrapage, dont on a déjà classé le dossier, sur laquelle on a déjà tourné la page
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purplebonestoughts · 1 month
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Délires
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Se réveiller, avoir les membres raides, un poids dans la poitrine, une douleur sourde de rouille, des rouages qui tournent mal. Tout tire, tout grince. Et puis, croiser nos parents, ne plus prendre la peine de leur dire bonjour parce qu'ils ne répondraient pas, de toute façon. On n'existe pas vraiment, pas pour de vrai. On n'est pas de réelles personnes. On peut nous ignorer, nous maltraiter et, parfois, je suis à peu près sûr qu'on ne nous voit même pas, qu'on ne nous perçoit même pas, qu'on a oublié jusqu'à notre existence. C'est comme d'être un objet, moins qu'un objet, une machine tantôt concrète, tantôt moins tangible qu'un hologramme, un fantôme misérable et, parfois, quand nos émotions débordent de notre coeur de métal rouillé, quand on hurle presque de douleur, on saisit alors que quelque chose ne va pas dans notre poitrine - une anormalité - qu'on se doit de l'ouvrir, de regarder ce qui ne va pas, de réparer. Qu'on doit se fendre en deux, écarter nos côtes et aller chercher dans nos entrailles de machines la cause de ces émotions qui n'ont rien à foutre là. On existe que si ça arrange bien les autres. Quand iels se sentent seul-e-s, on est là. Quand iels ont besoin d'un bouc-émissaire, on est là. À chaque fois qu'on voit une preuve qu'on n'existe que dans certains contextes, sous certaines conditions, voire pas du tout, je la note. Je ne sais pas si on délire ou pas. Après tout, il y a plusieurs conditions qui pourraient expliquer ces perceptions, pas vrai ? La dépersonnalisation et la dissociation, d'abord... mais aussi, pourquoi pas, l'identité de genre ou l'alter humanité. On se considère comme otherkin, mais à quel point est-ce qu'on a conscience de notre humanité ? Ça dépend franchement des moments. Et puis il y a ces moments où, pour le moindre signe d'hostilité de la part d'une personne, que ce soit réel ou perçu, notre psyché se déchire et il ne reste que la peur. C'est une sombre masse noire qui dégouline sur nos épaules et esserre notre poitrine de vieux métal rouillé. On ne peut plus penser correctement. On devient obsédé-e-s par l'idée que la personne est en train de chercher un moyen de nous nuire. Qu'elle va nous faire du mal, c'est sûr et certain. Si cette personne est dans le même habitat que nous, on est terrifié-e-s à l'idée qu'iel vienne nous agresser durant notre sommeil. Parfois, plutôt rarement depuis qu'on a des médicaments pour gérer ce genre de crises, on bloque notre porte en espérant que ça sera suffisant pour survivre. Et ça non plus, on ne sait pas si c'est un délire. Je ne sais pas non plus si on a une pensée désorganisée lors de ces crises. Je pense que c'est très possible, vu comme dès qu'on a une émotion un peu forte, qui nous échappe un peu, on peine à "attraper" nos pensées. On peine à s'exprimer parce qu'on ne parvient plus à structurer ce qu'on veut dire et c'est affreux parce que justement, dans ces moments-là, on a désespérément besoin d'être compris-e-s. Et ça n'arrive jamais parce que : 1 - Les personnes qui nous écoutent veulent rarement aider 2- Ça devient plus difficile de nous comprendre, vu qu'on n'arrive pas à s'exprimer et à organiser notre propos. Avant, quand on était en "crise émotionnelle", on avait un petit carnet dans lequel on jettait nos maux. Quand on se relisait, ça ne faisait même pas de sens pour nous.
En une phrase : On doute de notre diagnostic. C'est un peu dur, mais grâce à quelques-un-e-s de nos ami-e-s on l'accepte petit à petit. Il est sans doute fondé. Surtout que le psychiatre nous a bien précisé que, pour lui, on est dans une sorte d'entre deux entre l'autisme et le trouble schizoaffectif, ce qui pourrait expliquer les symptômes fluctuants et pas tout à fait nets. Et puis je suppose que les représentations que les médias font des schizophrénies nous affectent malgré nous. La vie n'est pas un stéréotype de cinéma ! Au moins, si on veut voir le bon côté des choses, ce diagnostic nous donne l'opportunité d'en apprendre plus sur nous même et c'est toujours ça de pris ! PS : Je suis vraiment reconnaissant qu'on ait des personnes qui en ont vraiment quelque chose à faire de notre existence. Ça compense pour toutes les fois où on se sent perdre en substance.
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emmarousil · 1 month
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Ma transidentité
Je me suis toujours beaucoup questionné sur mon genre. C'est pas facile de poser un mot là-dessus, n'est-ce pas ?
Je pense que le concept de genre ne devrait pas exister. C'est aussi simple que cela, le genre n'a pas de rapport avec le sexe biologique, et chaque individu est unique. Le genre, c'est juste un stéréotype. Les différents genres se multiplient pour s'éloigner de ces stéréotypes, deviennent compliqués, pour pouvoir désigner tout le monde, alors que c'est impossible. Même moi qui souhaite être respectueux envers tout le monde, je finis par m'emmêler les pinceaux. Chacun a une expérience identitaire unique. Il y a les traits de caractères pour définir ça, arrêtez de définir les gens par leur genre, c'est idiot.
Malgré cela, j'ai un genre. Je trouve que je correspond à ce genre, même si j'aurais préféré que le genre en général n'existe pas. Mais si on me le demande, je suis bien de genre masculin. Ma dysphorie de genre est en partie liée à cela, que j'ai un comportement masculin et que je suis né fille. Mes pronoms sont il/lui, et j'aimerais que l'on me traite comme un homme tant que le concept de genre existe.
Je m'en fiche très littéralement de la façon dont les personnes me voient et me parlent et cela ne me fait ni chaud ni froid d'être mégenré, excepté venant des personnes proches en qui j'ai totalement confiance (donc ma mère et ma sœur de cœur). Cependant je n'apprécie pas quand des personnes me mégenre "volontairement", ou à répétition en étant totalement au courant que je suis transgenre, car j'ai l'impression qu'on se fout de ma gueule, ce qui est malheureusement rarement juste une impression.
Cependant en dehors du genre, je ressent un profond mal-être physique, pas à cause du fait que je sois beau ou non, ou même trop maigre (même si j'ai longtemps trouvé que c'était le cas) mais à cause de ma poitrine. Ce n'est pas que je veux ressembler à un homme (même si cette idée me plaît) mais que juste grandir avec des caractéristiques physiques féminins m'insupporte au point d'avoir envie de vomir. Je veux faire des opérations dans ma transition principalement parce que mon corps, en dehors du contexte de mon genre, m'est insupportable. J'en suis presque à me demander si mon genre masculin est issu de ce mal-être physique plutôt que l'inverse. Pour le reste, les cheveux longs sont désagréables pas au point d'être insupportables, et mon sexe ne me dérange pas spécialement même si je préférerais être né garçon. Je sens mon corps entièrement masculin, comme quand je sens les "membres fantômes" de loup lorsque je shift car je suis wolf-hearted. Par contre dans le cas du shift, avoir un corps de loup n'est pas quelque chose que je souhaite voir réalisé sauf temporairement ou en rêve, alors qu'avoir un corps masculin est quelque chose que j'aurais aimé voir se réaliser réellement de façon définitive.
Il y a cependant un autre problème. Je ne comprend pas pourquoi j'ai ce mal-être par rapport à mon corps. Se sentir appartenir au genre masculin par rapport à son vécu et caractère ça je comprend. Mais le fait que je sois transgenre vient principalement de ce mal-être physique je ne le comprend absolument pas, et j'ai d'ailleurs longtemps rejeté ce mal-être.
Je trouve que ce mal-être physique et souhait d'avoir un corps masculin ne soit pas logique par rapport à mes croyances (j'ai pas de religion je vais m'expliquer), même si je dois bien me rendre à l'évidence que c'est ce que je ressent, je ne peux pas changer ça. En fait j'aime l'hypothèse des vies antérieures, même si je pense ne pas détenir la vérité et que personne ne puisse dire si les vies antérieures existent ou non. Cependant en partant du principe des vies antérieures à laquelle j'adhère, on peut s'incarner en toute forme de vie tant qu'elle est dans le cycle de notre planète (je vulgarise un peu car je n'ai pas les termes et je ne suis pas expert). Donc en animal que ce soit de sexe mâle ou femelle (en n'oubliant pas que l'humain est un animal, très con, mais c'est tout de même un animal). Donc le mal-être physique que j'ai n'a pas de sens… Ça m'embête et je ne suis jamais tombé sur quelqu'un qui en parle, qui pourrait m'apporter une réponse sur ce point. Ça n'empêche pas que je suis transgenre et que mon mal-être et la dysphorie de genre existent, je suis bien placé pour le savoir. Je suis du parti qu'il faut écouter ce qu'on ressent, même si on trouve que ça n'a pas vraiment de sens. On est pas obligé de tout savoir et expliquer, et je pense que c'est tant mieux dans la plupart des cas, même si dans ce cas c'est quand même très embêtant.
Juste ce pavé pour poser ça à l'écrit, et mettre ça en ordre dans ma tête aussi. Mais plus j'ai écrit ce texte, plus je me suis senti sûr de ce que je suis. Et ça, ça fait du bien.
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passionforwords · 2 months
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"Nous vivons dans un monde où l'on se cache pour faire l'amour... Mais la violence est faite à la pleine lumière du jour."
John Lennon
Samndi's Angers Tome 1
"Sa famille. Pour elle, Awan, Native de la tribu Houma, donnerait tout. Absolument tout. Quitte à s’en oublier. Quitte à vendre son âme au Diable.
Son Club. Pour lui, Madsen, membre des Sanmdi’s Angers, a axé sa vie selon trois lois fondamentales. Les frères. Le business. Son plaisir, toujours sans attaches. Quitte à en crever. Quitte à devenir le Diable.
« Je t’aurai. » Voilà la promesse qu’adolescent Madsen a fait à Awan. Celle de parvenir à ses fins avec la petite amie de son pote Jagger. Dix ans plus tard, le biker retrouve par hasard la jeune femme alors qu’il rentre à la Baraque, leur QG, après un round. Placée de force dans un snack de seconde zone afin d’épurer les dettes de son père, Awan s’apprête à être une fois de plus abusée lorsque les fantômes de son passé ressurgissent pour la secourir.
Sauf que les contes de fées n’existent pas au fin fond de la Louisiane. Pas quand votre sauveur est un salopard de motard brutal. Pas quand il s’appelle MadMadsen. Pas quand il vous libère pour mieux vous garder prisonnière.
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bujoredidea · 1 year
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J'ai découvert Jujutsu Kaisen part hasard sur le net comme ça, mais je dois dire que je connais depuis l'année dernière. Un des meilleurs animés du moment. L'histoire est prenante et les personnages sont attachants.
Souffrance, regrets, humiliation : dans certains cas, leur accumulation dans un même endroit provoque des malédictions souvent fatales. Nous suivons le quotidien de Yuji Itadori, lycéen et membre du club de spiritisme. Il ne croit pas aux fantômes, mais sa force physique hors du commun est un précieux atout pour les missions du groupe… jusqu’à ce que l’une d’elles tourne mal. En avalant une relique pour conjurer un sort, le voilà possédé par Ryomen Sukuna, le célèbre démon à deux visages. Condamné à mort par l’organisation des exorcistes, il doit trouver et ingérer tous les doigts de Sukuna afin d’être libre. Et pour ça, l’adolescent va s’initier à l’art occulte et mystérieux de l’exorcisme.
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wismer · 1 year
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Hello bonjour c'est pour l'ask game 👀 J'ai dû me retenir pour pas toutes te les poser oops
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
K: What’s the angstiest idea you’ve ever come up with?
V: If you could write the sequel (or prequel) to any fic out there not written by yourself, which would you choose?
J'ai déja répondu à K précédemment donc voilà V et F !
V: If you could write the sequel (or prequel) to any fic out there not written by yourself, which would you choose?
Oohh alors mon amour pour le lore des Vignobles Hantés Montazac Torez, et du fonctionnement des fantômes dans cet univers, me donne extrêmement envie d'écrire des chapitres de cette fic du POV de Dona, parce que je suis fascinée par tout ce qu'il pourrait traverser. Sinon j'ai fouillé dans mes bookmarks et honnêtement je trouve que la plupart des fics que j'apprécie sont très bien ficelées et se suffisent à elle même ? Que puis je dire vous êtes doués
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
:roy_mini:
Elle me met face à moi même cette question
Je pense vraiment pas que les dialogues soient un de mes points forts, mais pourtant j'aime beaucoup les écrire. Je dirais que globalement je suis contente de ceux de Lampyre, les différents membres de la LSPD ont des voix distinctes qui rebondissent bien les unes avec les autres.
Si vous voulez, en avant première pour Tumblr, je peux vous partager un dialogue que j'ai écrit il y a pas longtemps, que je suis même pas sûr de garder tel quel mais que j'aime beaucoup 👀
"Mais je SUIS dégueulasse, mon petit Kiddy. Toute la ville le sait ! Je fais exprès de me faire kidnapper, sans doute que j'aime ça ! Et apparemment, j'ai adopté des gosses juste pour gagner des élections que je n'ai même pas remportées ! Dégueulasse ! Peut être qu'il faudrait que tu restes pour protéger les Croûte de moi, en fait ! Je les ai déjà tabassés, qui sait, je pourrais le refaire ! Peut être que toute la ville devrait le savoir ! C'est Bernard Pichon qui va être content quand le Weasel News publiera que Donatien de Montazac frappe des enfants !"
"Bordel Donatien, ta gueule !"
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sous-le-saule · 9 months
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Tout au milieu des étoiles
(Le musicien fantôme, épisode 7 – parce que quand on commence quelque chose, il faut le finir, même s’il faut tordre les thèmes pour y parvenir.)
On m’arrache aux eaux sombres qui devaient me servir de tombeau. On me dépose lourdement sur un sol de bois. Un pont. Le pont du Musicien fantôme. Des marins inconnus se massent autour de moi et me dévisagent avec curiosité, tandis que je rends l’eau de mer que j’ai avalée. Ils ont quelque chose d’étrange que je ne parviens pas à cerner. Je ne comprends pas ce qui se passe. Désorienté, je cligne des yeux comme un hibou. La tempête rugit encore autour de nous mais elle n'atteint pas le pont, comme si le bateau constituait l’œil d’un cyclone. Mon esprit semble être resté dans les abysses. Je sens qu’une idée capitale m’échappe, jusqu’à ce qu’elle remonte comme une bulle à la surface, accompagnée d’une bouffée de panique. Où sont les autres ? Où est Esteban ?
Je désigne à l’inquiétant équipage les eaux en furie. « Il faut sauver mes amis ! Je vous en prie ! »
« Si nous les sauvons, accepteras-tu de nous aider ? »
Je cherche des yeux l’homme à qui appartient cette voix sépulcrale. Il s’avance, rompant le cercle de mes observateurs muets. La tête me tourne. Je connais ce visage, qui offre une ressemblance troublante avec le mien. C’est impossible. Je sais pertinemment que c’est impossible. Mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir pour l’instant.
« Je le promets. » Que puis-je dire d’autre ?
&&&
J’ai été tenu à l’écart le temps du sauvetage. Fermement mais avec courtoisie. J’ai reçu des vêtements secs, une couverture et un verre de rhum. Puis j’ai été autorisé à vérifier, de loin, que tous les hommes avaient été repêchés. Esteban est parmi eux. Je ne sais comment il va, je sais juste qu’il est en vie, et je devrai m’en contenter puisqu’un marin du Musicien fantôme me conduit, avec une opiniâtreté muette à laquelle je n’oserais désobéir, vers une cabine dont il ouvre la porte, m’intimant d’un geste l’ordre d’entrer.
A sa superficie et son luxe, je devine la cabine du capitaine, et je ne suis pas surpris d’y voir l’homme qui m’a arraché plus tôt la promesse de mon aide.
Entre-temps, j’ai remis mes idées en place et je l’interroge avant qu’il ait le temps d’ouvrir la bouche.
- Vous êtes mon grand-père, n’est-ce pas ? Il y a votre portrait sous un drap, dans le grenier du manoir familial.
Il acquiesce.
- Tout s’éclaire maintenant, dit-il. Je percevais ton existence – pardonne-moi, je ne peux l’exprimer plus clairement – mais je ne savais pas qui tu étais. Je me doutais qu’une telle connexion ne pouvait exister qu’avec un membre de ma famille, mais… ces dernières semaines, je t’ai senti approcher, de plus en plus, et quand je t’ai vu sur le pont… la ressemblance est frappante. Comment t’appelles-tu ?
- Giacomo.
- Sans surprise, ton père ne t’a pas donné mon prénom. J’imagine qu’il m’en voulait toujours d’être parti.
- Il ne parlait jamais de vous, en tout cas. Tout ce que j’ai réussi à lui arracher, c’est que vous étiez officier de marine et que vous étiez présumé mort en mer.
- La première partie est fausse, mais je suppose qu’« officier de marine » jette moins l’opprobre sur notre arbre généalogique qu’«  aventurier ». Quant à la seconde affirmation, elle est correcte, même si je la nuancerais quelque peu : je ne suis pas « présumé » mort en mer. Je me suis bel et bien noyé il y a dix-sept ans. Tout comme le reste de mon équipage.
Il me toise avec un sourire partagé entre moquerie et amertume.
- Tu es bien pâle, tout à coup. Que t’attendais-tu à trouver sur un navire fantôme, si ce n’est des spectres ?
- Vous n’en avez pas l’air, dis-je en maitrisant tant bien que mal le tremblement de mes mains.
- Nous ne sommes pas les formes éthérées que décrivent les récits mais, comme elles, nos âmes n’aspirent qu’à être libérées de cet état qui n’est ni la vie, ni la mort. Hélas, les sirènes en ont décidé autrement. J’aimerais pouvoir te dire que la punition est imméritée. Mais nous avons tué tant d’entre elles… A l’époque, j’étais aveuglé par l’excitation de la chasse et l’or facile. Sais-tu combien rapporte une écaille de sirène dans les cercles initiés ?
Des fantômes. Des sirènes. C’est trop à assimiler à la fois. Mes jambes se dérobent sous moi et je m’effondre sur un fauteuil. A la stupéfaction se mêle la déception. Voilà donc l’homme qui a incarné, dans mes rêveries d’enfant, le voyage, l’appel du large, la possibilité d’un autre destin…
- « Aventurier » est un terme encore trop flatteur pour vous décrire. Je dirais plutôt « braconnier ».
Il soupire.
- J’ai eu le temps de regretter. Crois-moi si je te dis que je comprends, à présent, le courroux des sirènes. Mais je ne parviens pas à les en convaincre.
Face à mon air interdit, il explique :
- Elles nous libéreront lorsque nous leur présenterons des excuses qu'elles estimeront acceptables.
- Je ne vois pas où est-
- Un chant. Ce sont des sirènes. Elles exigent donc un chant d’excuse, émouvant et exprimant sans le moindre doute la sincérité de nos regrets.
Je ne saisis toujours pas le problème et cela semble irriter mon grand-père, qui écarte les bras en s’exclamant :
- Ai-je l’air d’un musicien ? Cela fait dix-sept ans que j’essaie d’écrire ce foutu chant ! Rien n’est jamais assez bon pour elles. Il y a quelques années, je me suis mis à rêver de mélodies sur lesquelles je tentais laborieusement, à mon réveil, de plaquer des paroles d’excuses et que nous répétions ensuite sans relâche avant les soumettre aux sirènes. Toujours sans succès, hélas.
- Mais… C’étaient les miennes, n’est-ce pas ? C’étaient mes compositions !
- Tu as eu vent de cela ? s’étonne-t-il. Est-ce la raison de ta venue ? Oui. C’était les tiennes. J’ai mis un certain temps avant de comprendre qu’il y avait un lien entre ces airs et la présence que je ressentais dans mes rêves. Il fallait bien qu’ils viennent de quelque part. Je ne suis pas un artiste. Mais toi, oui. Il faut que tu m’aides. Que tu nous aides. Il faut que tu écrives ce chant.
Je sens la colère me monter au nez.
- Et pourquoi donc vous aiderais-je ? Vous avez utilisé ma musique pour attirer et couler d’innocents équipages !
Affichant une mine outrée, mon grand-père élève la voix à son tour :
- Nous n’attirons personne ! Nous ne faisons que répéter nos chants. Si des bateaux ont coulé, c’est parce qu’ils nous ont approchés de trop près. Comme tu as pu t’en rendre compte, mon navire est entouré d’une tempête incessante qui fait partie de la malédiction des sirènes, nous empêchant d’approcher des rivages et de toute embarcation susceptible de nous aider. Ce qui signifie, par ailleurs, que les hommes que tu m’as demandé de repêcher sont coincés sur ce navire avec nous, tout comme toi, jusqu’à ce que la malédiction soit levée.
Comme je m’apprête à répliquer, il m’arrête d’un geste autoritaire et ajoute, sur un ton dont l’apparence conciliante peine à masquer l’acidité :
- Mais je n’ai aucun doute que ma descendance accorde de l’importance à une parole donnée, et que tu tiendras à honorer ta promesse de nous aider, sans avoir besoin d’autre motivation…
&&&
Interrompant mes déambulations sur le pont, je soupire et lève les yeux vers le ciel. A la verticale des deux mâts, entre les circonvolutions instables des nuages qui encerclent le navire, se découpe un espace dégagé où brillent les étoiles. C’est le seul endroit où le regard peut se porter sans rencontrer les murs menaçants de la tempête. C’est comme si nous étions seuls au monde. Je n’ai aucune sympathie pour mon grand-père, mais je songe à ce que lui et son équipage ont dû ressentir pendant dix-sept ans. Et plus j’y pense, plus je ressens le poids de la responsabilité, comme tombé sur mes épaules depuis ce carré de ciel. Les âmes de l’équipage du Musicien fantôme. Les vies de l’équipage de l’Icare. Je ne suis pas sûr que mon art soit à la hauteur des exigences des sirènes.
Quelle ironie que là-haut, tout au milieu des étoiles, je puisse distinguer la constellation d’Orion. L'orgueilleux chasseur. C’est Esteban qui m’a appris à reconnaitre dans le ciel ce repère pour les navigateurs. Peut-être pourrais-je trouver mon inspiration dans ce mythe. Quelques notes me viennent… une ébauche de thème, avec laquelle mon esprit jongle quelques minutes. Ca, ce n’est pas mal. Pas mal du tout, même. Je me mets à la recherche de papier en me retroussant mentalement les manches.
Les sirènes veulent un chef-d’œuvre ? Giacomo Tremonti va leur en donner un !
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npcemi · 6 months
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This took three whole days to translate, IDK if I can keep doing this lol
Bonjour, je ne sais pas pourquoi j'ai écrit cette autre à torture moi-même. J'etudie Français depuis septembre de cette année. Donc, en gros deux et demi mois. Alors, c'est probable mal, mais je veux essayer. Merci à https://bonpatron.com/ avec espoir cette je n'ai pas gâché. Mais, désole si cette ne sens pas. Honnêtement tout conseil serait apprécié. Je veux apprendre.
Merci pour lisant 
Danielle "Dani avec une I" Phantom un clone de Danny Phantom. Elle déciderait de commencer un soutien groupe pour clones. Elle a eu expérimentée directement les difficultés le clone et elle a voulu créer un espace sûr ils pourraient venir ensemble et ils partagèrent expériences.
Mot vite propagé et bientôt ils étaient venus ensemble à un des Danny de maison sûr il avait prêté à Danielle. Elle a eu aussi aidé, donc chaque membre pourrait aller à chambre spécifique de proche centre communautaire. Danielle de père fantôme capacités et magique de maman Sam serait transformé la porte en temporaire portails ça seront, apporteront chaque membre au sûr maison. 
Le groupe arrives étions Linda Danvers, une clone de Super-girl, Conner Kent,un clone de Super-man et Jarro, un clone de Starro. Danielle a eu accueillie tout le monde avec un sourire chaud.
«Merci à tout pour être ici aujourd'hui. Je crée ce petit groupe alors nous pouvons partager notre histories et soutenons l'un autre. Être une clone pouvez difficiles. Je sais cela ainsi que n'importe qui, Commence par introduire notre-même. Je vais commencer.»
«je suis Danielle, mais tu peux appeler Dani. C'est Dani avec une I et je suis clone de Danny Phantom. j'ai été créé parce que quelque fruit loop décidé il avait voulu Danny en tant que fils et quand il avait obtenu pas, il crée-moi ! 
Alors, il avait essayé obtins moi à tuer Danny, lui mère et père. Évidemment ce ne travail pas, mais maintenant Danny et moi sur très bien termes !»
Jarro doucement flotte dans l'air, avant psychiquement parlerai. « Je suis Jarro, un clone de Starro. être un clone signifie toujours se battre stéréotypes et idée faussez. Tout le monde supposes je suis mal parce que mes origines, mais je travaille à eux prouver faux tout de jours.» 
Linda Davers élevèrent la main et parlèrent. « Je suis Linda un clone de Super-Girl. Étant une clone d'elle, me fait sentir comme si j'habite sur ombre d'elle. Ils attentaient pour moi correspondre l'elle héritage, mais j'apprends toujours qui suis-je.»
Linda reçu beaucoup hoche la tête, comme ils sympathisent avec elle dans habite dans ombre leur original. 
Elle pause un moment et à rassemble elle. « J'en suis pas définis par seulement est clone.» Conner pourrait comprendre comme Linda sent. Estomac de Conner sentais malade comme mots de Linda, rappeler il est relation avec Super-man.
« Merci, » Linda dites et sourire à réconfort de la Danielle.
Conner avait pris une haleine. Il a eu voix au mélange avec tristesse et colère. « Je-- j'appelle Conner, un clone de Superman. » il avait commencé parler :
« en lieu d'accepter et conseils, je suis rejeté» il regardai à autre yeux de clones.  Il le fait traitent pas moi comme un égal. Il voi moi comme ça a imitation imparfait. Une violation contre autonomie du corps. 
Il compare lui-même à moi, comment je ne suis pas comme lui. Je ne suis pas-lui ! Je suis-moi ! moi propre personne. Je veux il comprendra ça, c'est pas comme si je voulus être créé ! » il voix grande avec colère jusque il affalé dos vers la-ba. Il voix devenir défaits.
colère propage dans la chambre. Dani visage durci-
Dani dit fermement « Être traité comme ça mérite Personne»
« Conner, tu es plus que réplique. Tu avais propre force, tu avais propre valeur. Vous n'avez pas besoin validation de Superman à prouve ça.»
Linda Danvers dit, « Conner, tu es valeur c'est déterminé pas à avis de Superman. Honnêtement, des sons comme il a été le con à propos ça. »
Jarro a joint et dit « tu dois être traitent avec respectant comme serait personne à attendre » Yeux de Conner a brillé avec gratitude. « Merci à tout, vos mots et soutien plus signifie à moi que tu peux imagine !» 
Dani regarde Conner et offre « si vous voulez-Moi fait quelque chose à propos ça, je peux parler mon père. » Conner regarde Dani confusion dans lui yeux. Il demandai « tu peux faire quelque chose ? Comme quelle ? »
Dani sourires malicieusement, connais quel exactement elle intention, mais elle choisit mots avec précaution. Elle répondit « nous allons seulement dire ça mon père eut façons de traiter avec situations »
Linda, détection un caché désire, penché dans à dit. Elle murmure, « quoi tu serais pensée »
Dani a ri doucement avant de répondre. Avec elle voix presque au-dessus un doucement. « Je vais aller parler à mon père, il aura unique perspective. » 
Jarrro flotte plus fermer avec curiosité, « Qu'est-ce que disant toi ?» Dani a réponde « mon père, Danny Phantom a eu expérience avec être clone et n'aime pas quand clones sont traités mauvais-ment .»
Dani tête secoua silencieusement de ris, connais quelle c'est elle père parler avec Superman implique. Comme Dani a révélé elle secret, ils haletèrent rempli la chambre. Ils ont un mélanger du choqué et admiration sur le visage de Linda Conner et Jarro.
Linda était le premier parlé. « attendez, fais tu dis Danny Phantom en fait adopté vous ?»
Dani hoche la tête, un sourire chaud propagé à travers elle visage.
« Ouai, il a fait. Après, il a appris à propos moi, il a pris m'en comme lui propre. Danny a est une stupéfaction père à moi. Il donne amour et soutien comme tout autre parent.
Conner est choqué, «C'est incroyable -» il donne un petit sourire «-c'est inspirant, mes ça donnera d'espoir ça n'est tout pas clones avoir confronté être rejeté et traite mal. » le -comme moi- est allé non-dit.
Dani sourit « Exactement et je connais mon père peut parler quelque sens dans Superman ! »
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