Les plus beaux prénoms italiens
Les prénoms italiens sont connus pour leur sonorité mélodieuse, leur élégance et leur riche héritage culturel. Choisir les "plus beaux" prénoms italiens peut être subjectif, mais voici une sélection qui met en avant la diversité et la beauté de la nomenclature italienne.
Hommes
Alessandro: Ce prénom masculin, la version italienne d'Alexandre, évoque la force et l'histoire, rappelant Alexandre le Grand.
Lorenzo: Signifiant "laurel" en italien, Lorenzo a une connotation de sagesse et de victoire.
Matteo: Équivalent italien de Matthieu, ce prénom est populaire pour sa sonorité douce et classique.
Giovanni: La version italienne de Jean, Giovanni est intemporel et profondément ancré dans la culture italienne.
Luca: Court et dynamique, Luca est apprécié pour sa simplicité et son universalité.
Femmes
Sofia: Ce prénom, signifiant "sagesse", est aimé pour sa douceur et sa sophistication.
Giulia: La version italienne de Julie, Giulia est populaire pour sa féminité et son élégance.
Isabella: Signifiant "Dieu est mon serment", Isabella évoque la beauté classique et le charme.
Aurora: Signifiant "aube", Aurora est poétique et symbolise un nouveau commencement.
Chiara: Signifiant "claire" ou "lumineuse", Chiara est apprécié pour sa fraîcheur et sa légèreté.
Mixtes
Gabriele/Gabriella: Ces prénoms, versions masculines et féminines de Gabriel, sont réputés pour leur sonorité angélique et leur signification spirituelle.
Andrea: Bien que souvent masculin en Italie, Andrea est utilisé pour les deux sexes. Il est apprécié pour sa polyvalence et son charme.
Les prénoms italiens reflètent souvent des qualités telles que la beauté, l'histoire et la culture. Chaque prénom a sa propre histoire et sa propre signification, faisant de lui un choix unique pour les parents cherchant un nom avec du caractère et de la profondeur. Bien que cette liste ne soit pas exhaustive, elle offre un aperçu de la richesse des prénoms italiens et de leur beauté intemporelle.
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J'en avais parlé l'autre jour avec un article sur les prénoms des nouveaux-nés en France, le Grand Remplacement n'est pas visible en ce qui concerne les naissances en France en général, et pas non plus à Quimper comme le montre cet article.
Si pour le tableau général c'est extrêmement surprenant et contredit les stats de drépanocytose, pour une ville bretonne de taille moyenne c'est assez logique et également très rassurant, sauf pour les "créolisateurs" que ça fait enrager de voir un peuple conserver sa stabilité ethnique. Le créolisateur en chef, JLM, souhaite ce Remplacement par préférence sexuelle personnelle (voir ses relations conjugales et extra-conjugales croustillantes à souhait).
On note également que les mêmes (souvent très beaux) prénoms donnés nationalement se retrouvent à Quimper.
Pour finir, la "surprise" du maire quant à l'augmentation de mortalité, alors que depuis le corona et sa "solution" vaccinale la mortalité ne cesse de "surprendre" partout dans le monde, à tous niveaux. Des détails quant aux âges de décès seraient extrêmement utiles...
BP.
>>
"Voici le palmarès des prénoms des petites filles nées à Quimper :
Louise (21), Ambre (19), Alba (18), Mia ou Mya (18), Alice (15)
En 2021, Louise arrivait également en tête suivie de Jade, Juliette, Alba et Iris (ou Irys).
Chez les garçons : Raphaël ou Rafaël, Raphael (29),Ayden, Hayden, Aïden, Eden (23), Léo (21), Gabriel (20), Liam, Liyam, Lyam, Lyham (20).
En 2021, Raphaël était également le prénom le plus donné suivi de Malo, Ayden (ou Hayden, Aïden), Hygo (ou Ugo), Léon (ou Lého), Maël."
(...)
"En revanche, l’élu n’a pas d’explication sur la hausse de 10,59 % du nombre de décès: 1 525 (806 hommes et 718 hommes) contre 1 379 en 2021."
Article d’Actu-fr Bretagne : “Le top des prénoms donnés à Quimper en 2 022″
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Très random mais j'y pense parce qu'étant officiellement au chômage, je postule à des offres d'emploi et vraiment, sur mon CV, y a pas ma photo, juste mon prénom (pas Miriam, mon prénom de naissance, que j'utilise au quotidien) et mon nom de famille et vraiment mes parents, mes parents bien blancs hein, quand je suis née, au coeur du Val d'Oise, au fin fond du Vexin, ils se sont vraiment dits "On va lui donner un prénom arabe, ça passe crème" vraiment des visionnaires.
Et ils ont donné un prénom ultra français à ma petite sœur, genre français bourgeois catho de fou. Et un nom italo-russe (?) à la dernière, mais avec une orthographe unique parce que l'infirmière a fait une erreur en l'écrivant. Trois enfants, aucune cohérence, et le tout avec un nom de famille italien, mes parents sont vraiment les personnages principaux de leur ville de 3000 habitants.
Après, j'exagère un peu, mon prénom peut se retrouver dans d'autres langues, il a un côté multiculturel et je vois de plus en plus de meuf blanches le porter + je vais pas faire genre j'ai été discriminée à cause de mon prénom parce que vraiment pas du tout, mais très marrant le nombre de chauffeurs uber, même des élèves une fois !, qui m'ont dit "je croyais que vous étiez arabe" ah non gars, y a juste un couple de bobos dans les années 90 qui ont voulu délirer un peu.
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pour @ash--00
Nemo serra les dents contre la bulle d’air qui poussait contre ses lèvres dans une vaine tentative d’évasion. Ses poumons lui brûlaient, d’une brûlure lourde et pinçante qui augmentait pour chaque seconde qu’il passait loin de la surface. Il ignora les signaux d’alertes de plus en plus pressant de son corps pour se concentrer sur la vitre de la tourelle qui lui faisait face, et qu’il attaquait de lourds coups de hache. Il y était presque.
Trois soldats anglais le regardaient l’air béhat, choqué dans l’immobilité par sa témérité. Nemo leur aurait ri au nez s’il n’était pas aussi occupé à lutter contre l’eau qui entravait ses mouvements, et la poussée d’archimède qui s'efforçait de le renvoyer à la surface.
Un coup de plus.
La hache atterrit contre la vitre avec un coup sec. Les fissures déjà présentes se multiplièrent, formant un fascinant réseau de vers entrelacés. Le choc remonta en vibrant le long de ses bras, menaçant de le propulser loin du Dreadnought. Nemo s'accrocha à une des protubérances métalliques qui quadrillaient l'extérieur de la tourelle. Sa bouche s’ouvrit sous l’habitude, laissant échapper le peu d’air qu’elle contenait encore. La pression de ses poumons devenait insoutenable. Nemo serra les dents, crispa sa mâchoire, et leva de nouveau son bras.
Un coup de plus
La vitre éclata en morceaux.
L’eau se précipita vers le gouffre béant qui s’offrait soudainement à elle. Nemo vit l’un des soldats de la Compagnie crier, mais les mots exact ne l’atteignirent pas, tant le rugissement de l’eau noyant ses oreilles était assourdissant. Il s’accrocha à une des parties métalliques de la baie vitrée, mais ses doigts cédèrent sous la force du courant, et la mer l'entraîna à l’intérieur de la tourelle dans sa folie furieuse.
Par chance, sa main réussit à attraper un des bords de la vitre brisée. Nemo s’y accrocha de toutes ses forces alors que l'océan continuait de s’engouffrer par l’ouverture. La pression tumultueuse de l’eau qui s'aventurait en terre inexplorée lui broyait les os. Au moins réussit-il à attraper une gorgée d’air avant que l’eau ne remplisse entièrement la salle, mais il but la tasse en tentant d’en prendre une seconde. Son corps se plia dans un effort d’évacuer le liquide obstruant sa gorge, ses doigts se crispèrent, et le bord de la vitre si fragilisée par les coups de la hache qu’il avait abandonné aux bas fond, se fracassa à son tour.
Nemo se fit une nouvelle fois entraîné par le courant. Il avait l'impression d'être une bouteille lancée à la mer, mais dans un milieu si rocheux qu’il n’était qu’une question de temps avant que ses paroies n’éclate en morceau, et que son message ne s’évanouisse dans l'océan. Il se recroquevilla dans une tentative désespérée de laisser moins de prise à l’énergie qui le poussait. La position ne le sauva pas quand la vague qui le portait rencontra un mur, et s’y brisa nette. L’enceinte mécanique de la tourelle se fracassa contre sa tête, l’étourdissant lourdement. L’instant d’après, alors qu’il tournoyait comme perdu dans les flots, un barreau métallique vint s’écraser violemment contre sa nuque.
Nemo ne put jamais s’y accrocher. Sa bouche s’ouvrit sous le choque et l’eau salée s’y engouffra sans demander son reste. Un instant plus tard, de par le coup ou la noyade, il perdit connaissance
La main du capitaine Youngblood tira William par l’épaule vers l’échelle qui menait à l’écoutille, le sortant de sa torpeur. Alors même qu’il grimpait, l’eau se fracassant bruyament sous ses pieds, William ne pouvait pas s'empêcher de se retourner. La silhouette de Nemo face à lui, une hache dans sa main, était encore imprimée dans sa rétine.
Parce qu’il se retourna, William vit Nemo entraîné par le courant, s’accrochant désespérément à un des bords de l’ouverture qu’il avait lui-même creusé.
Parce qu’il se retourna, William vit la vitre se briser sous les doigts de son Nemesis, et le courant l'entraîner violemment dans la tourelle.
L’échelle vibra avec un bruit sourd quand le poids d’un corps entier s’y entrechoqua. William s'était arrêté, regardant fixement vers le bas. Les bras de Nemo étaient entremêlés aux premiers barreaux de l’échelle, mais il ne bougeait plus vraiment. L’eau lui recouvrait le visage, et les courants rugissants le ballottaient de droite à gauche, menaçant de l’envoyer valser entre les crocs broyeur du piège mortel en lequel les flots s’étaient transformés.
Nemo était vulnérable. Il était piégé, faible et probablement inconscient. Il était près, à moins d’un mètre du barreau auquel William s’était agrippé. Si près. En descendant sa botte, William était sûr de pouvoir le toucher.
William jeta un coup d'œil à ses environs. Le capitaine Youngblood, lui, avait continué sa route et passait déjà par l’écoutille. Bientôt, il remarquerait que William ne l’avait pas suivi. Au-delà des vitres brisées, une silhouette en scaphandre s'approchait, sans doute pour récupérer leur capitaine. William serra des dents. L’idée que quiconque tire Nemo du piège où il s’était lui-même enfermé fut suffisante pour prendre sa décision.
Nemo était à lui.
Sans y réfléchir à deux fois, il sauta de l’échelle pour se laisser glisser dans les eaux froides et tumultueuses qui remplissaient petit à petit la nacelle. Il garda sa paume plaquée contre les poteaux verticaux et, dès que l’océan menaça de l’emporter, s’y accrocha de toutes ses forces. Bientôt, il arriva au niveau du corps ballottant de Nemo. Un simple regard à la couleur livide du visage de son nemesis lui confirma qu’il était inconscient, et que laissé ou il était, ne tarderait pas à mourir.
Il passa son bras sous le torse de l’autre homme, raffermit sa prise sur l’échelle, et le hissa. Un grognement échappa ses lèvres quand l’air remplaça l'océan et que la gravité reprit tous ses droits. Un peu d’eau s’était infiltré au travers de sa gorge, le secouant de violentes quintes de toux. Trop conscient du niveau des flots qui montait, William se hâta de grimper aussi vite que l’on pourrait tout en portant le poids mort d’un homme. L'océan lui léchait alternativement ou les bottes, ou les mollets, ou même le bassin lorsqu’il s’arrêta un instant pour réajuster la position du corps lâche sur ses épaules. Le rugissement torrentiel des flots s’était tue, l’ouverture profondément noyée, pour laisser place au vrombissement plus inquiétant d’une salle qui se remplit lentement mais sûrement.
Le capitaine Youngblood avait enfin remarqué sa disparition, et se penchait désormais par l’écoutille pour le haler tout en tendant le bras vers lui.
“Dépêchez-vous !”
William ne le fit pas répéter. Il attrapa fermement la main offerte et poussa sur ses pieds de toutes ses forces pour se hisser avec son fardeau dans la sécurité du corridor. Il s’écroula alors au sol, à bout de souffle, se débarrassant du poids mort de Nemo comme on se débarrasse d’un sac à charbon une fois arrivé dans la salle des moteurs.
Vaguement, il entendit le capitaine Youngblood fermer l’écoutille d’un coup sec, isolant efficacement la fuite menaçante dans la coque du Dreadnought. La violence du bruit du métal qui frappe le métal fut le seul avertissement qu’il eut quant à la colère de l'officier avant que l’autre ne se précipita sur lui pour le soulever d’un coup sec, le presser contre le mur, les mains fermement serrées dans son col de son uniforme, et lui crier au visage."
“Vous voulez mourir ?!”
William pointa mollement Nemo du doigt en réponse.
“Prisonnier…” il croissa.
Sa gorge lui brûlait, rendant chaque syllabe aussi douloureuse qu’une traînée de papier de verre le long de sa trachée. Le capitaine Youngblood tourna la tête, observa un moment le visage inerte et pâle de Nemo, puis relâcha William, qui s'affaissa contre le mur dans un soupir hargneux.
William suivit d’un œil le capitaine Youngblood se diriger d’un pas ferme vers le corps pâle de Nemo, tout en aboyant de multiples ordres pour souder la brèche. Son némésis ne bougeait pas, sa poitrine immobile et son souffle éteint. William se demanda même s’il était déjà mort. Le capitaine Youngblood ne dût cependant pas avoir de telles hésitations car, aussitôt arrivé aux côtés de Nemo, il s’agenouilla et se pencha au-dessus de son visage en relevant son menton vers le haut, attentif au moindre signe de respiration. De toute évidence, il n’y en eut aucun, car Youngblood se mit à presser sa poitrine à intervalles rapide et régulier, pour ensuite écraser son nez de sa main gauche pour embrasser le prisonnier.
Il y eut de longues secondes de silence durant lesquelles William luttait pour respirer, les soldats s’activaient pour obéir aux ordres, et le capitaine Youngblood continuait ses mouvements précis tout en pressant alternativement le haut du torse de Nemo et lui insufflant de l’air par la bouche. Le corps restait mou sous ces ministrations. Puis, un tressaillement secoua le corps du noyé. L’instant d’après, il toussa, puis entrouvrit ses yeux devenus vitreux tout en avalant goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Il ne faudrait pas longtemps à Nemo pour reprendre pleine possession de ses moyens et, une fois conscient de la situation dans laquelle il se trouvait, lutter contre ses capteurs. Déjà, son regard perdu s’emplissait d’une lumière défiante, et ses doigts tressaillaient.
William s’était à peine relevé pour mettre fin à quelques idées d’escapades de son nemesis que le capitaine Youngblood l’avait déjà pris de court, Nemo piégé sous l’emprise d’une solide clé de bras, le visage plaqué contre le sol, alors que son corps était encore secoué par la toux qui s'efforçait de purger ses poumons. Il fit signe à deux soldats qui s'affairaient dans le couloir.
“Emportez le prisonnier dans sa cellule.”
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donc Théodore
déjà, rien que le fait qu'il est un blind prophet mais poussé au point de incapable-de-bouger prophet. Il lui est arrivé un horrible accident, et maintenant il a perdu presque toute son autonomie, il est obligé de rester enfermé seul dans une pièce aseptisée (même si dans la saison 3 on dirait que ça va déjà mieux x) ), personne ne sait qu'il est là hormis quelques uns, et la seule personne avec qui il a un contact externe libre c'est Neil (=> il contacte Mary dans la saison 1 mais comme Neil est lui aussi au courant de l'existence et l'importance de John, c'est possible qu'il ait simplement demandé à être mis en contact avec elle. même s'il est aussi possible qu'il est une communiqué sans que Neil le sache. dans tous les cas hormis ce moment il est toujours uniquement en communication avec Neil). Il se fait chier et doit se sentir seul, et il sait qu'il n'y a rien qui peut être fait donc il est coincé comme ça à jamais, à la merci de tout ceux qui savent où il est.
Puis, le fait que The Lord c'est son frère. Déjà le côté "ça craint mon frère est un super-vilain", mais aussi. il a dû voir son frère glisser vers la haine. Ça doit faire quelque chose quand-même de voir la personne avec qui tu as grandi, avec qui tu t'entendais sûrement, devenir une mauvaise personne.
Et comme ils sont frères, la backstory que The Lord donne sur son père est aussi une backstory pour Théodore. Si le père d'Ethan a été enfermé car un super-héros l'a trahi et depuis Ethan ne l'a plus jamais revu, alors le père de Théodore a été enfermé car un super-héros l'a trahi et depuis Théodore ne l'a plus jamais revu. L'un s'est dirigé vers le mal et en a souffert, l'autre s'est dirigé vers le bien et en a souffert.
Et puis Théodore est mort, mais pas dans un combat épique. Les dernières nouvelles qu'il a dû avoir sur son frère sont soit qu'il est mort, soit qu'il serait en train de perdre la tête.
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