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#école Sacré-Cœur
bookinette · 8 months
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Moi, qui suis-je ?
Bonjour à tous,
Me voilà enfin ! Eh oui, j’ai pris la décision de me lancer dans cette belle aventure. Étant une perfectionniste (un côté assumé, mais non accepté), j’ai mis du temps à me décider. Vous le remarquerez sans doute, mais je ne suis pas la meilleure pour m’exprimer, car je cherche souvent mes mots, mais je me suis dit : « pourquoi pas ». Pourquoi ne pas me lancer et voir ce que ça peut donner ? Après tout, je le fais pour moi et si vous embarquez dans mon aventure alors c’est encore mieux !
Avant d’aller plus loin, je devrais vous expliquer quel genre de blogue je vais lancer doucement. Vous êtes curieux ? Non ? Pas grave, je vais quand même vous en parler à travers une brève description de moi-même et la raison d’être de « Bookinette ». Je me prénomme Valérie, j’ai présentement dans la trentaine et je suis technicienne en documentation dans une école secondaire. Qu’est-ce que ça mange en hiver, me direz-vous ? Eh bien, cela ressemble un peut à être bibliothécaire, mais sans le titre et le BAC qui va avec. Cependant, j’ai la charge d’une bibliothèque scolaire. Je fais les achats, la préparation matérielle, mais surtout, la promotion et l’animation de la lecture. Ces deux tâches reviennent à conseiller des livres aux élèves, mais aussi mettre l’accent sur certains. Cela m’a pris du temps avant de savoir quoi faire de ma vie, mais étant une passionnée de lecture, j’ai finalement décidé d’aller faire mes études pour pouvoir un jour travailler avec les livres. MISSION ACCOMPLIE ! Maintenant, je peux partager ma passion des livres et faire de nouvelles découvertes.
La raison derrière le nom « Bookinette » est assez simple. Comme dit plus haut, étant une passionnée de lecture, j'ai souvent le nez dans les bouquins (Book) et comme je porte des lunettes et bien je me suis dit que ça serait un joli surnom. Bon, j'avoue c'est assez enfantin, mais ça m'est égale. Je suis une personne jeune de cœur et d'esprit, alors voilà une autre raison d'être de se petit surnom
Avant, je lisais beaucoup, voire un ou deux livres par semaine. Avec les études, j’ai perdu un peu de ce feu sacré, mais en écrivant ce blogue, j’aimerais retrouver la passion qui m’animait et recommencer à lire autant qu’avant. L’emploi que j’occupe me permet de découvrir de nouveaux romans et si je veux pouvoir les conseiller aux élèves, je dois les avoir lus. Voilà une bonne raison de m’installer confortablement dans mon divan, sous une couverture avec un bon livre dans les mains.
Dans tous les cas, j’espère que ce blogue vous apportera autant de plaisir à lire que moi ! J’espère vous faire découvrir de petites perles !
Au plaisir ♥
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thebusylilbee · 11 months
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"Que peut-il y avoir de plus dévastateur pour une mère, pour un père, que la perte d’un enfant ? Tant d’espoirs partis en fumée, tant de rêves transformés en cauchemars, tant de projets engloutis. Nul ne peut vraiment mesurer cette tragédie s’il ne l’a pas vécue. Et chaque parent tremble à l’idée de recevoir un appel téléphonique l’informant d’un tel drame. Cette calamité peut résulter d’une maladie, on ne peut blâmer alors que le « destin » ; d’un accident, on peut accuser le chauffard, s’il est responsable ; d’un acte « terroriste », qui frappe ici une école, ailleurs un supermarché, là un simple passant. Qui blâmer alors ? Le terroriste, naturellement, qui d’autre ?
Et pourtant… Nous sommes le 4 septembre 1997, rue Ben-Yéhouda, en plein centre de Jérusalem. Trois kamikazes du Hamas se font exploser, tuant cinq personnes, dont une jeune fille de 14 ans prénommée Smadar, sortie de chez elle pour acheter un livre. Elle porte un nom prestigieux en Israël. Son grand-père, le général Mattityahou Peler, a été l’un des artisans de la victoire de juin 1967, avant de devenir une « colombe » et l’un des protagonistes de ce que l’on a appelé les « conversations de Paris », premières rencontres secrètes entre des responsables de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et des Israéliens « sionistes ». En cette année 1997, M. Benyamin Netanyahou était déjà premier ministre et avait promis de détruire l’accord d’Oslo signé en 1993, ce qu’il réussira à faire. Il connaît aussi la mère de Smadar, Nourit, une camarade d’école et une amie de jeunesse. Quand il l’appelle pour lui présenter ses condoléances, elle lui rétorque : « Bibi qu’as-tu fait ? », le tenant pour responsable de la mort de sa fille (1).
« Pour moi, il n’y a pas de différence entre le terroriste qui a tué ma fille et le soldat israélien qui, en plein bouclage des territoires, n’a pas laissé une Palestinienne enceinte franchir un barrage pour se rendre à l’hôpital, si bien qu’elle a finalement perdu son enfant. Je suis persuadée que si les Palestiniens nous avaient traités comme “nous” les traitons, “nous” aurions semé chez eux une terreur cent fois pire. » Dans son texte, Nourit termine en qualifiant M. Netanyahou d’« homme du passé » ; elle s’est malheureusement trompée puisqu’il demeure le visage de la politique israélienne. Malgré les critiques qui le visaient depuis des mois en raison de son projet de réforme de la justice, la grande majorité de la société s’est regroupée derrière lui pour justifier la politique criminelle — selon le droit international — qu’il mène à Gaza (lire « Fragile union sacrée en Israël »). Dans les décombres fumants de cette enclave grandit la prochaine génération de combattants palestiniens, plus déterminée que la précédente, le cœur rempli de rage et d’une inextinguible haine.
L’action des commandos-suicides des années 1990 et 2000 comme l’assaut du 7 octobre du Hamas allié aux autres organisations palestiniennes sont constitutifs d’un crime de guerre, comme le sont le blocus et les bombardements de Gaza. Ils posent une nouvelle fois la question du terrorisme et de sa définition. C’est un exercice laborieux tant les groupes rassemblés sous la rubrique « terrorisme » sont hétérogènes (2). Peut-on ranger sous le même label la milice américaine d’extrême droite qui a commis l’attentat d’Oklahoma City, le 19 avril 1995, Al-Qaida, l’Armée républicaine irlandaise (IRA) ou encore le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ? Cette incrimination implique de considérer ces mouvements comme l’incarnation du Mal absolu, avec qui tout compromis est impossible et contre laquelle la seule stratégie serait l’éradication pour assurer la victoire du Bien. Pourtant, l’histoire a souvent prouvé, que ce soit en Irlande ou en Algérie, que les « terroristes d’hier » sont les dirigeants de demain.
Quand des journalistes somment quiconque intervient sur Gaza de dénoncer le Hamas comme « organisation terroriste » (lire Clara Menais, « En direct des chaînes d’information en continu »), ils oublient que cette désignation, entérinée principalement par l’Union européenne et les États-Unis, n’est adoptée ni par les Nations unies, ni par de nombreux États qui maintiennent des canaux de communication avec cette organisation. Même Israël a, pendant des années, entretenu des contacts avec elle et autorisé le Qatar à convoyer des centaines de millions de dollars vers Gaza en espérant ainsi « acheter » le mouvement. Peut-on croire qu’une formation qui a recueilli environ 44 % des suffrages parmi les Palestiniens lors des élections législatives de 2006 peut être purement et simplement éradiquée ?
L’inscription du Hamas sur la liste des organisations terroristes par l’Union européenne au début des années 2000 à la suite de la seconde Intifada avait suscité bien des débats. La France, convaincue qu’il valait mieux pouvoir échanger avec le mouvement islamiste, souhaitait le dissocier des Brigades Izz Al-Din Al-Qassam, qui figuraient déjà sur la liste, comme les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa avaient été distinguées du Fatah, la principale branche de l’OLP. Paris a finalement cédé à la pression de ses partenaires mais rejette toujours l’inscription du Hezbollah sur cette liste, le mouvement étant un parti politique présent au Parlement libanais et un acteur majeur de la politique intérieure du pays du Cèdre (3).
Le cas du PKK condense les contradictions des politiques occidentales. Il figure sur les listes des organisations terroristes établies par l’Europe et les États-Unis, et il est ainsi possible d’être inculpé d’apologie du terrorisme si on le soutient verbalement. Pourtant, en 2014-2015, les Occidentaux lui ont transféré des armes pour arrêter l’offensive de l’Organisation de l’État islamique (OEI) en Irak et défendre la ville syrienne de Kobané avec un héroïsme qui fut largement salué à travers le monde (4).
On peut tomber d’accord sur le fait qu’il existe des « actes terroristes », ceux qui visent ou qui touchent principalement des civils. Cette méthode de lutte a été utilisée par nombre de mouvements de libération, à une échelle plus ou moins grande selon les circonstances. Avant de s’en indigner, il faut rappeler qu’ils affrontaient des armées modernes, dotées d’avions, de chars, de missiles, dans un combat totalement inégal. Et que la terreur quotidienne, invisible pour les colonisateurs, parfois exterminatrice, frappait depuis des décennies les populations sous occupation, créant colère, frustration et rage.
« Il est facile de ne pas remarquer la terreur, notait l’écrivain Manès Sperber. Elle se cache sous l’indifférence de ceux qui ne sont pas concernés, c’est-à-dire l’écrasante majorité (5).  » Il parlait de la terreur fasciste dans l’Europe des années 1930, mais la terreur coloniale restait encore plus invisible pour l’écrasante majorité des populations des pays colonisateurs, qui s’étonnaient de la « barbarie » en retour des colonisés.
La lutte sud-africaine ne se réduit pas à un « pacifisme » bien intentionné
Le terrorisme n’a pas occupé la même place dans tous les mouvements de libération et certains ont réussi à en limiter l’usage. Le cas sud-africain est exemplaire, même si sa lutte ne se réduit pas, comme beaucoup le croient en Occident, à un « pacifisme » bien intentionné. Le Congrès national africain (ANC) a aussi utilisé la violence et, de manière ponctuelle, le terrorisme. Les conditions de sa lutte ont facilité un choix de modération. L’ANC disposait d’alliés solides à l’échelle internationale, engagés concrètement avec lui dans son combat. Il pouvait compter sur le soutien de l’URSS et de ses pays affiliés, d’un mouvement des non-alignés déterminé et du puissant mouvement de boycott en Occident — que personne ne songeait à criminaliser et qui ébranla l’apartheid et les soutiens du capitalisme sud-africain. Enfin, l’intervention militaire cubaine en Angola, et notamment la bataille de Cuito Cuanavale en janvier 1988, quand l’armée de Fidel Castro porta un coup fatal à la machine de guerre de Pretoria, constitua, selon Nelson Mandela, « un tournant dans la libération de notre continent et de mon peuple (6)  ». Dans ce contexte, il était possible d’éviter le recours au terrorisme. Au contraire, aujourd’hui, ce sont les Palestiniens qui sont abandonnés à leur sort, y compris par plusieurs gouvernements arabes (lire Hasni Abidi et Angélique Mounier-Kuhn, « Riyad - Tel-Aviv, coup de frein à la normalisation »), et c’est Israël qui dispose du soutien inconditionnel des Occidentaux. La position de ces derniers ne sera même pas affectée par l’arrivée au pouvoir à Tel-Aviv de ministres fascistes, « suprémacistes juifs » (7).
Pour comprendre les dilemmes propres à l’OLP et à ses composantes, il faut revenir sur la lutte palestinienne qui a suivi l’occupation de 1967. Après une période d’euphorie marquée par l’extension de l’action des fedayin (combattants) palestiniens, ceux-ci furent expulsés de Jordanie en 1970-1971 (8), tandis que s’affermissait le contrôle israélien sur les territoires occupés. C’est alors l’existence même de la lutte palestinienne qui était en danger et avec elle tout espoir de libération. On assista ainsi à une multiplication d’actions violentes transnationales, avec la création de l’organisation Septembre noir, qui s’illustra dans la prise d’otages d’une partie de la délégation israélienne aux Jeux olympiques de Munich de 1972. Comme l’expliquera Abou Iyad, ancien numéro deux de l’OLP, « l’organisation a agi en auxiliaire de la résistance, à un moment où cette dernière n’était pas en mesure d’assumer pleinement ses tâches militaires et politiques. (…) Ses membres traduisaient bien les profonds sentiments de frustration et d’indignation qui animaient tout le peuple palestinien face aux tueries de Jordanie et aux complicités qui les ont rendues possibles (9)  ». Parallèlement, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), dirigé par le Palestinien chrétien Georges Habache, multipliait les détournements d’avion et organisa, avec l’Armée rouge japonaise, l’attaque contre l’aéroport de Lod (Tel-Aviv) le 30 mai 1972.
Qu’est-ce qui amena l’OLP à arrêter ses « opérations extérieures » ? D’abord une reconnaissance croissante des pays non alignés et des pays socialistes, ce qui lui permit d’accéder à une légitimité internationale et se traduisit par l’invitation de Yasser Arafat à l’Organisation des Nations unies (ONU) en 1974. Elle commença à être associée au jeu diplomatique et ouvrit ses premières représentations officielles en Europe, notamment à Paris en 1974. La France, qui condamnait évidemment le terrorisme, joua un rôle majeur pour persuader ses partenaires que la clé de la solution du conflit était la fin de l’occupation israélienne et qu’elle passait par la reconnaissance du droit des Palestiniens à l’autodétermination ainsi que par la négociation avec l’OLP (déclaration européenne de Venise de 1980). À l’époque, le premier ministre israélien Menahem Begin accusa les Européens de vouloir le forcer à négocier avec le Fatah, dont « les textes résonnent comme le Mein Kampf de Hitler ». Un parallèle que reprend M. Netanyahou pour stigmatiser le Hamas. Cette avancée européenne ouvrit une fenêtre diplomatique et amorça un processus politique. Un court moment, les Palestiniens purent espérer concrétiser leur rêve d’un État, et ils parièrent sur la paix.
Des combattants criant « Ceci c’est pour mon fils ! »
Il n’est pas question ici de refaire l’histoire de l’échec du processus d’Oslo, mais il est incontestable qu’il joua un rôle dans la victoire électorale de 2006 du Hamas. Ce qui va, pendant des décennies, continuer à nourrir la violence, c’est la situation concrète des Palestiniens, l’extension de la colonisation, la répression de toute activité politique, l’emprisonnement de masse et la violation systématique du droit international. En Cisjordanie, où l’activité du Hamas est réduite, l’action israélienne est-elle plus « modérée » ?
Israël applique cette maxime d’un expert allemand de la fin du XIXe siècle : « Le droit international ne devient plus que des phrases si l’on veut également en appliquer ses principes aux peuples barbares. Pour punir une tribu nègre, il faut brûler ses villages, on n’accomplira rien sans faire d’exemples de la sorte (10).  » Cette terreur, souvent invisible pour les Occidentaux, qui ne s’émeuvent que quand meurent des Israéliens, est le sort quotidien des Palestiniens. Elle est marquée dans leur chair. Des vidéos circulant après le 7 octobre ont montré des combattants criant « Ceci c’est pour mon fils ! [que vous avez tué]  », « Ceci c’est pour mon père ! [que vous avez tué]  » (11).
[...]"
Alain Gresh - Directeur du journal en ligne Orient XXI, coauteur (avec Hélène Aldeguer) d’Un chant d’amour. Israël-Palestine, une histoire française, Libertalia, Montreuil, 2023 (nouvelle édition mise à jour).
(1) Lire Nourit Peled-Elhanan, « Bibi qu’as-tu fait ? », Le Monde diplomatique, octobre 1997.
(2) Lire l’éditorial de Dominique Vidal dans Manière de voir, n° 140, « Vous avez dit terrorisme ? », avril-mai 2015.
(3) Nathalie Janne d’Othée, « Liste des organisations terroristes. Quand l’Union européenne s’emmêle », Orient XXI, 10 janvier 2022.
(4) Lire Dora Serwud, « Les héros de Kobané », dans Manière de voir, n° 169, « 1920-2020, le combat kurde », février-mars 2020.
(5) Manès Sperber, Et le buisson devint cendre, Odile Jacob, Paris, 1990.
(6) Lire « L’Évangile selon Mandela », Le Monde diplomatique, juillet 2010.
(7) Lire Charles Enderlin, « Israël, le coup d’État identitaire », Le Monde diplomatique, février 2023.
(8) Lire « Mémoire d’un septembre noir », Le Monde diplomatique, septembre 2020.
(9) Abou Iyad, Palestinien sans patrie (entretiens avec Éric Rouleau), Fayolle, Paris, 1978.
(10) Sven Lindqvist, Exterminez toutes ces brutes !, Le Serpent à plumes, Paris, 1999.
(11) Ramzy Baroud, « A day to remember : How “Al-Quds Flood” altered the relationship between Palestine and Israel forever », The Palestine Chronicle, 10 octobre 2023.
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atelierdelegu · 1 year
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Zocalo, Josue y Selene, retrouvailles
Zocalo
Oaxaca, Zocalo. La place au cœur de plusieurs grandes villes au Mexique. Celle de Oaxaca dégage quelque chose de saisissant, c’est une place vivante, bouillonnante à presque toute heure. Les gens s’y arrêtent, attendent, partagent des moments en famille. Les cireurs de pompes sont sur la place en grand nombre. On se demande comment il peut y avoir autant de personnes voulant se faire cirer les pompes. Le soleil éclaire les édifices qui encerclent la place. Sous les alcôves, les terrasses s’installent. Les passants disparaissent de la lumière fragmentée des arcades.
Les habitants des villages zapothèques descendent des villages aux alentours. Le commerce se met en marche. Des confections artisanales, des babioles importées, des clopes vendues le plus souvent par des gamins à coté de quelques confiseries. Une vieille dame me propose de me lire la main. Je refuse soupçonnant l’attrape touriste. La méfiance des grandes phrases fumeuses sur mon destin. Les présages sombres qui m’enfermeraient dans un profond désarroi. Un dessin, une clope, le regard posé sur un sujet: les visages charismatiques des femmes âgées, les postures recroquevillées des vieux endormis sous leur sombreros. Je dois retourner à la maison de Josue et Selene, mes peintres amoureux du corps, de la sensualité, et des blagues. Je commence une résidence artistique avec eux ainsi qu’un mural dans une école d’un village voisin.
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Josue y Selene
C’est une rencontre improvisée de deux peintres qui se dédient à l’art. Dans la maison de leur amie Laura, un peu en dehors de la grande ville, je les retrouve pour des exercices de peinture.
En abordant la peinture avec eux, je reviens à quelque chose de primitif que j’accueille en moi comme sacré et insaisissable car vertigineusement difficile à appréhender. Je redécouvre ce rapport à l’image sensoriel, un rapport corporel, physique, impulsif, débridé. Une chose que l’on connait mieux lorsqu’on est enfant. Les jours s’écoulent et ce seront finalement plus de trois semaines passées en leur compagnie. A dessiner les corps, des courbes sensuelles, à la recherche d’une écriture plastique, dynamique, pour traduire en peinture les visages de mes compagnons d’atelier, les nus, les représentations de sculptures et de masques que j’initie. Apprendre avec Josué l’utilisation des couleurs, utiliser les traces, utiliser la peinture. Utiliser tous les membres de la main au buste, comme une danse, un ballet plastique.
Peinture libre. Les peintures que Josue et Selene créent, leur pratique de l’art est dynamique dans l’affranchissement constant des règles. Depuis ses 12 ans, Josue explore la matière, les possibilités qu’offfrent chaque outil, appréhende ce qui se pose sous ses yeux par l’émotionnnel. Il recherche constamment à défier figurer aux frontières parfois de l’abstraction. Il me disait : « Aqui el orden es el chaos. » Ici l’ordre c’est le chaos.
Mon exploration plastique de la peinture est jalonné par ces découvertes des ruines préhispaniques, de longues déambulations dans les rues en quadrillage de Oaxaca, tantôt tranquilles, tantôt fourmillantes d’un tourisme à l’affût de coffee shop à l’européenne, aux boutiques luxueuses.
Je passe de longues heures à arpenter les rues, fasciné par les fresques murales de Xochimilco, les cascades pétrifiés qui sont à quelques heures de la ville. Les villages d’artisans dont il reste principalement quelques showrooms présentant les plus beaux tapis, et les plus belles étoffes.
Je sais qu’au terme de cette résidence artistique m’attend un événement d’euphorie inimaginable.
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Retrouvailles
Des portes ouvertes sur le travail effectué avec Josué et Selene, pendant près de trois semaines. C’est ce qui m’attend ce soir.
C’est aussi un jour particulier qui semble si irréel.
Le camion poubelle n’est toujours pas passé. Pourtant la cloche qui l’annonce se fait entendre à quelques blocs d’ici. Je décide de sortir pour voir si je l’aperçoit au coin de la rue. Pas de camion poubelle en vue.
Sur le trottoir d’en face, un homme assis, une guitare posée contre le mur, une dégaine de brésilien au Mexique, une boucle d’oreille chargée, un air un peu perdu. Valentin !
Il est arrivé hier avec Hortense dans la ville de Oaxaca. Je retrouve mes amis ici au Mexique pour partager les prochaines semaines avec eux.
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ivoire-tv5 · 2 years
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Sénégal : des s3xtapes des élèves de cette grande école fuitent sur la toile
Sénégal : des s3xtapes des élèves de cette grande école fuitent sur la toile
Depuis quelques heures, des vidéos obscènes de certains élèves font le tour des réseaux sociaux. Dans ces vidéos, l’on pouvait voir des élèves, dont l’un portant l’uniforme du collège Sacré-Cœur, au Sénégal, en plein ébats sexuels Sur la vidéo, une adolescente quasiment nue fait une fellation à son ami pendant qu’un autre garçon filmait la scène. En plus de cela, on peut également voir la…
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yoga-du-sud · 2 years
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Comment je suis devenue une guerrière (enfin j’essaie)
Par Céline Nicolas, notre prof de méditation à Yoga du Sud.
Voilà maintenant 6 ans que je pratique la méditation et, cet été, le hasard a placé sur ma route le descriptif d’une retraite intitulée « La voie sacrée du guerrier ». Le fameux descriptif proposait une réflexion sur la peur et une autre vision du courage ; il évoquait également la dimension sacrée du quotidien. Là je me suis dit « c’est ce qu’il me faut ! ».
Méditer confronte en effet à ce qu’on voudrait bien laisser caché au fond de nous et qu’est-ce que vivre le moment présent si ce n’est finalement introduire du sacré dans les actes quotidiens ?
Plus facile à dire qu’à faire…
Arrivée dans un éco-lieu charmant, j’ai découvert que cette voie sacrée du guerrier était en réalité le titre d’un ouvrage de Chögyam Trungpa. Je n’avais pas la moindre idée de qui il pouvait s’agir !
Je découvre que c’est un maître tibétain du XXè siècle qui a vécu en Occident (aux USA et en Angleterre) et fondé une école de méditation. Il a cherché à concilier Orient et Occident.
Conclusion : ce livre et donc ce stage ne sont pas totalement laïques comme la méditation de pleine conscience de Jon Kabat-Zinn. Voilà à quoi me mène la lecture en diagonale des descriptifs de retraite !
Notre guide -Georges Lançon- enseignant MBSR est lui-même bouddhiste et ne s’en cache pas. Dans quoi me suis-je embarquée ? Vais-je finir bouddhiste à la fin du séjour ?
La retraite fait alterner de nombreux moments de méditation avec un enseignement qui s’avère finalement -au moins à un premier niveau- compatible avec une vie laïque. OUF !
Que nous propose Trungpa ?
Comment construire un courage moderne ? Que signifie vivre avec courage ?
Au-delà du sens le plus commun du mot qui renvoie à la bravoure, aux qualités physiques face aux dangers, à la lutte, nous pouvons envisager cette qualité comme au retour au sens initial du mot : la disposition du cœur conçu comme organe noble, comme foyer de la vie intérieure.
Dans Shambala, la voie sacrée du guerrier une spiritualité adaptée aux Occidentaux.il s’interroge sur la façon de lier l’expérience de tous les jours et le sentiment du sacré ? Comment vivre authentiquement sur le chemin du courage en transcendant la peur ?
Le mot est lancé : le courage n’est pas la négation de la peur mais au contraire la reconnaissance de la peur, des peurs en soi. Le courage n’est pas la fuite dans un ailleurs idéal (autre job, autre ville, autre pays …) mais dans le fait d’endosser pleinement la vie et les obstacles -petits ou grands- qu’elle dresse sur notre chemin.
S’accepter vulnérable, faible, imparfait permet d’accueillir et d’accepter ses peurs. Les peurs diffuses, enfouies qui viennent du tréfonds de notre être nous effraient et nous les fuyons dans la fermeture, le déni, les divertissements.
Peur du ridicule, de ne pas être normal.e, peur du manque, du changement, de la maladie, de la mort, de la solitude, peur de pas être aimé.e, d’être rejeté.e et par-dessus tout, peur de la peu et peur de soi. La Liste est infinie. Tous nous sommes perclu.es de souffrances liées à ces peurs. Nous nous blottissons dans un cocon le plus douillet possible sans voir que nous nous enfermons, que nous nous rétrecissons.
Comment faire ? Quel est l’art du guerrier ?
Comment accéder à Shambala, le royaume intérieur en chacun de nous, la cité idéale ? Comment quitter le cocon de confort, de schémas tous faits, d’habitude pour se mettre sur la route vers Shambala ?
Ce moyen est la méditation assise.
Elle permet de prendre conscience de ses peurs, de les accueillir, les rencontrer. Rencontrer les douleurs corporelles, les émotions, les pensées et se des-identifier :
« Je ne suis pas cette colère, il y a quelque chose en moi qui peut l’observer ». Je peux, lorsque le malaise émerge, laisser cette peur venir, travailler avec elle et non la balayer en me verrouillant ou me laissant dans l’hyperactivité. 
Je peux m’autoriser en douceur, avec tendresse envers moi-même à avoir mal. Je peux être curieux de ce monde en moi, m’autoriser à des explorations intimes, intérieures.
Je peux chercher à repérer des schémas qui me brident, qui canalisent mes peurs.
Sur cette voie on peut un jour enfourcher le cheval qui symbolise un esprit libre, courageux.
Mais la route est encore longue…
 
Céline Nicolas :
Je suis instructrice PEACE et PAUSE au sein de l’AMLE, (Association pour la Méditation Laïque à l’Ecole),  j’ai fait le cycle MBSR et je fais découvrir aux futurs professeurs de yoga la méditation laïque.
 Vous pouvez trouver les méditations de Céline dans son Youtube https://www.youtube.com/@mediteravecceline7731
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paulysson1 · 7 months
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L'Onde
Ce n'est pas une ôde mais une rôde,
De savoir ce que cela faisait d'être un bambin,
D'avancer en groupe pour se sentir serein.
Sur le sentier amenant au puits qui nous fournit la droiture de la grâce du pansement,
Oublier ce qui est gênant,
Et avancer, aller de l'avant.
L'Onde,
Sacré caractère,
Je dirais que ces Dieu et ses chimères,
Ils nous inondes,
Et ce n'est pas une mince à faire de vivre avec l'invisible.
Il arrive parfois que cela nous divise au lieu de nous rapprocher,
Ce n'est pas un drame,
Rien n'est métastasé.
Chapitre compliqué du livre de ma vie,
Mais ce n'est pas le pire et aujourd'hui j'ai l'expérience afin de surmonter l'obstacle et la difficulté,
La Vie est une école qui nous colle en nous laissant s'éloigner d'elle,
Ce n'est pas si espiègle,
De souhaiter à ses apprentis de voler de leur propres ailes.
et puis je pense à elle,
à ne pas la quitter pour ne pas la blesser,
ni elle, ni moi.
et comment te dire que je peux t'épauler,
te donner le bon refrain,
de vouer d'Amour que veulent ce qui en ont la faim.
Dans les bas-fonds de l'existence je recréer l'essence qui anime et casque chaque être.
Protection individuelle mais précaire qui nous rappelle que nous sommes fragiles.
Pourquoi ne pas s'accompagner ?
Cela fais des siècles que c'est le cas,
Qu'à chaque naissance nous nous retrouvons et avançons ensemble jusqu'à la conclusion,
Volé par les papillons,
Ce soir je reste et demain je te quitte,
Non pas de notre relation mais de ceux qui en ont la clé,
Je les envies,
Moi aussi je veux créer.
Et torrent de feu lorsque tu me forge avec l'alliage d'un acier oxydé.
L'Onde, elle, m'abonde,
Me faire sentir puissant au cœur d'une bataille qui ne m'appartient pas,
D'une guerre qui est déjà commencé et finit avant même que la bataille n'atteigne mon cœur.
Et lorsque que mon cerveau ne sera plus irrigué par le sang que pompe mon cœur,
Un dernier effort, une caresse, qui m'effleure,
Comme un doux baiser emplit de pensées et de sauvegardes mentale du fait que l'on existe plus à par au travers de ce qui vive encore.
P.amis
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lescientifique · 2 years
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L'AGP décerne 30 plaques d'honneur à des personnalités d'Haïti et du monde en 2022
L’AGP décerne 30 plaques d’honneur à des personnalités d’Haïti et du monde en 2022
Dans le cadre d’une cérémonie d’hommage organisée par l’Autorité de Gestion du Parc (AGP), ce vendredi 29 juillet 2022, au plus important patrimoine culturel d’Haïti, « Parc National Historique Citadelle/Sans-Souci/Ramiers (PNH-CSSR) », classé également par l’UNESCO comme patrimoine de l’humanité, l’Autorité de Gestion du Parc (AGP) découlant du Comité Interministériel de Gestion (CIG) présidé…
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↑↑ Ambre, Camille, Clémence, Clémentine, Clovis
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pollonegro666 · 3 years
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2020/10/09
Aprovechamos que había una boda dentro de la iglesia para hacer una foto al coche de los novios y poder ver, desde fuera, la decoración del altar mayor. Las otras fotos son más detalles de distintas partes de la iglesia. Después encontramos otra torre de campanario como las que hemos visto en Reino Unido y Francia; es la Iglesia del Sagrado Corazón de Jesús, de estilo neogótico y construída en 1886. Pasamos a visitar a unos primos de nuestros amiguitos de IG y nos mandaron recuerdos para ellos. También descubrimos el edificio de un colegio público construido en 1887 en estilo historicista, con dominio del hormigón, el hierro y el cristal.
We took advantage of the fact that there was a wedding inside the church to take a photo of the couple's car and be able to see, from the outside, the decoration of the main altar. The other photos are more details of different parts of the church. Then we find another bell tower like the ones we have seen in the UK and France; It is the Church of the Sacred Heart of Jesus, neo-gothic in style and built in 1886. We went to visit some cousins of our IG friends and they sent us memories for them. We also discover the building of a public school built in 1887 in the historicist style, with mastery of concrete, iron and glass.
Google Translation into French:
Nous avons profité du fait qu'il y avait un mariage à l'intérieur de l'église pour prendre une photo de la voiture du couple et pouvoir voir, de l'extérieur, la décoration du maître-autel. Les autres photos sont plus de détails sur les différentes parties de l'église. Ensuite, nous trouvons un autre clocher comme ceux que nous avons vus au Royaume-Uni et en France ; Il s'agit de l'église du Sacré-Cœur de Jésus, de style néo-gothique et construite en 1886. Nous sommes allés rendre visite à des cousins de nos amis IG et ils nous ont envoyé des souvenirs pour eux. On découvre également le bâtiment d'une école publique construite en 1887 dans le style historiciste, avec une maîtrise du béton, du fer et du verre.
Google Translation into German:
Wir nutzten die Tatsache, dass in der Kirche eine Hochzeit stattfand, um ein Foto vom Auto des Paares zu machen und von außen die Dekoration des Hochaltars zu sehen. Die anderen Fotos sind mehr Details der verschiedenen Teile der Kirche. Dann finden wir einen anderen Kirchturm, wie wir ihn in Großbritannien und Frankreich gesehen haben; Dies ist die Herz-Jesu-Kirche im neugotischen Stil, die 1886 erbaut wurde. Wir besuchten einige Cousins ​​​​ unserer IG-Freunde und sie schickten uns einige Souvenirs für sie. Wir entdecken auch das Gebäude einer öffentlichen Schule aus dem Jahr 1887 im historistischen Stil mit einer Beherrschung von Beton, Eisen und Glas.
Google Translation into Hebrew:
ניצלנו את העובדה שנערכה חתונה בכנסייה לצילום מכוניתם של בני הזוג ולראות את עיטור המזבח הגבוה מבחוץ. התמונות האחרות הן פרטים נוספים על חלקי הכנסייה השונים. ואז אנו מוצאים עוד צריח, כפי שראינו בבריטניה ובצרפת; זוהי הכנסייה בסגנון ניאו-גותי של לב הקדוש של ישו שנבנתה בשנת 1886. ביקרנו בכמה מבני הדודים של חברי IG שלנו והם שלחו לנו כמה מזכרות עבורם. אנו גם מגלים בניית בית ספר ציבורי משנת 1887 בסגנון היסטוריסטי עם שליטה בבטון, ברזל וזכוכית.
Google Translation into Hindu:
हमने इस तथ्य का लाभ उठाया कि जोड़े की कार की तस्वीर लेने और बाहर से ऊंची वेदी की सजावट देखने के लिए चर्च में एक शादी हो रही थी। अन्य तस्वीरें चर्च के विभिन्न हिस्सों के अधिक विवरण हैं। फिर हम एक और मीनार पाते हैं, जैसा कि हमने ग्रेट ब्रिटेन और फ्रांस में देखा है; यह नियो-गॉथिक शैली का चर्च ऑफ द सेक्रेड हार्ट ऑफ जीसस है जिसे 1886 में बनाया गया था। हम अपने कुछ IG मित्रों के चचेरे भाइयों से मिलने गए और उन्होंने हमें उनके लिए कुछ स्मृति चिन्ह भेजे। हम कंक्रीट, लोहे और कांच की महारत के साथ ऐतिहासिक शैली में 1887 से एक पब्लिक स्कूल की इमारत की खोज भी करते हैं।
Google Translation into Russian:
Мы воспользовались тем, что в церкви проходило венчание, чтобы сфотографировать машину пары и увидеть украшение главного алтаря снаружи. На других фотографиях представлены более подробные изображения различных частей церкви. Затем мы находим еще один шпиль, как мы видели в Великобритани�� и Франции; Это церковь Святого Сердца Иисуса в неоготическом стиле, построенная в 1886 году. Мы посетили некоторых двоюродных братьев наших друзей из IG, и они прислали нам для них сувениры. Мы также открываем для себя здание государственной школы 1887 года в стиле историзма с мастерством изготовления бетона, железа и стекла.
Google Translation into Japanese:
教会で結婚式が行われていることを利用して、夫婦の車の写真を撮り、高い祭壇の装飾を外から見ました。 他の写真は、教会のさまざまな部分の詳細です。 次に、イギリスとフランスで見たように、別の尖塔を見つけます。 これは、1886年に建てられたイエスの聖心のネオゴシック様式の教会です。 IGの友達のいとこを訪ねて、お土産を送ってくれました。 また、1887年から、コンクリート、鉄、ガラスを習得した歴史主義様式の公立学校の建物を発見しました。
Google Translation into Korean:
우리는 결혼식이 교회에서 진행되고 있다는 사실을 이용하여 부부의 자동차 사진을 찍고 외부에서 높은 제단 장식을 보았습니다. 다른 사진은 교회의 다른 부분에 대한 자세한 내용입니다. 그런 다음 우리는 영국과 프랑스에서 본 것처럼 또 다른 첨탑을 찾습니다. 1886년에 지어진 네오 고딕 양식의 예수성심성당입니다. 우리는 IG 친구의 사촌을 방문했고 그들은 우리에게 기념품을 보냈습니다. 우리는 또한 콘크리트, 철 및 유리를 능숙하게 다루는 역사주의 스타일의 1887년 공립학교 건물을 발견합니다.
Google Translation into Arabic:
استفدنا من حقيقة إقامة حفل زفاف في الكنيسة لالتقاط صورة لسيارة الزوجين ورؤية زخرفة المذبح العالي من الخارج. الصور الأخرى هي تفاصيل أكثر لأجزاء مختلفة من الكنيسة. ثم نجد برجًا آخر ، كما رأينا في بريطانيا العظمى وفرنسا ؛ هذه هي كنيسة قلب يسوع الأقدس المصممة على الطراز القوطي الجديد والتي بنيت عام 1886. قمنا بزيارة بعض أقارب أصدقاء IG وأرسلوا لنا بعض الهدايا التذكارية لهم. نكتشف أيضًا بناء مدرسة عامة من عام 1887 على الطراز التاريخي مع إتقان الخرسانة والحديد والزجاج.
Google Translation into Portuguese:
Aproveitamos o fato de haver um casamento dentro da igreja para tirar uma foto do carro do casal e poder ver, de fora, a decoração do altar-mor. As demais fotos são mais detalhes de diferentes partes da igreja. Em seguida, encontramos outra torre sineira como as que vimos no Reino Unido e na França; É a Igreja do Sagrado Coração de Jesus, de estilo neogótico e construída em 1886. Fomos visitar alguns primos dos nossos amigos do IG e eles nos enviaram memórias para eles. Descobrimos também a construção de uma escola pública construída em 1887 em estilo historicista, com domínio do concreto, ferro e vidro.
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Questions bizarres qui en disent beaucoup
de @tr33-g1rl
mugs de café, tasses de thé, verres de vin, bouteilles d'eau ou canettes de soda ?
barres chocolatée ou sucettes ?
chewing-gum ou barbe à papa ?
Comment te decrivaient tes enseignants d'école élémentaire ?
Préfères-tu boire le soda à la canette, dans une bouteille, un gobelet plastique ou un verre ?
pastel, bobo, garçon manqué, BCBG, gothique, grunge, habillé, ou sportif ?
écouteurs ou casque audio ?
films ou séries ?
senteur préférée en été ?
Le jeu auquel tu étais lea meilleur.e en eps ?
Qu'est-ce que tu prends comme petit-déjeuner en général ?
Nom de ta playlist préférée ?
Lanière ou porte-clefs ?
Bonbon non chocolaté préféré ?
Livre lu pour l'école préféré ?
Position assise la plus confortable ?
Paire de chaussures la plus souvent portée ?
Météo idéale ?
Position pour dormir ?
Support préféré pour écrire ? (ex: dans un carnet, sur ton ordinateur, carnet de croquis, post-it, etc.)
Obsession de ton enfance ?
Ton modèle ?
Habitudes étranges ?
Cristal préféré ?
La première chanson que tu te rappelles avoir entendue ?
Activité préférée pour les temps chauds ?
Activité préférées pour les temps froids ?
5 chansons qui te décrivent ?
Meilleur moyen de se lier avec toi ?
Endroits que tu trouves sacrés ?
Quelle tenue tu portes pour botter des culs et prendre des noms ?
Top 5 des vins préférés ?
La phrase la plus utilisée sur ton portable ?
Pubs bloquées dans ta tête ?
Heure moyenne d'endormissement ?
Quel est le mème que tu te rappelles avoir vu en premier ?
Valise ou sac de sport ?
Limonade ou thé ?
Tarte au citron meringué ou cake au citron ?
La chose la plus bizarre qui se soit passée dans ton école ?
La dernière personne à qui tu as envoyé un texto ?
Poches de vestes ou poches de pantalons ?
sweat à capuche, veste en cuir, cardigan, veste en jean, ou blouson d'aviateur ?
Parfum de savon préférée ?
Quel genre : science-fiction, fantasy, ou super-héros ?
Tenue la plus confortable pour dormir ?
Genre de fromage préféré ?
Si tu étais un fruit, quel genre de fruit serais-tu ?
Selon quel dicton ou citation vis-tu ?
Qu'est-ce qui t'as fait rire le plus fort ?
Stress du moment ?
Police d'écriture préférée?
État de tes mains actuel ?
Qu'as-tu appris de ton premier job ?
Conte de fée préféré ?
Tradition préférée?
Les trois plus grands obstacles que tu as surmontés ?
4 de tes talents qui font ta fierté ?
Si tu étais un personnage de jeu vidéo, quelle serait ton expression ?
Si tu étais un personnage d'anime, dans quelle sorte d'anime voudrais-tu être ?
Phrase préférée entendue dans un livre/film/série tv/etc. ?
7 personnages dans lesquels tu te reconnais ?
5 chansons qu'on entendrait dans ton club ?
Site Web préféré de ton enfance ?
Des cicatrices permanentes ?
Fleur(s) préférées ?
Tes porte-bonheurs ?
Pire goût de boisson ou nourriture à laquelle tu aies goûtée ?
un fun fact que tu ne te rappelles pas comment tu l'as appris ?
gaucher.ère ou droitier.ère ?
Motif que tu aimes le moins ?
Pire matière scolaire ?
Combo de goûts bizarre préféré ?
Sur une échelle de 1 à 10, à quel niveau de douleur dois-tu être pour prendre un ibuprofène ou paracétamol ?
Quand as-tu perdu ta première dent ?
Sous quelle forme préfères-tu manger les patates ?
Meilleur plante à faire pousser sur une colline ?
Café dans une station essence ou sushis au supermarché ?
Qu’est-ce qui a la meilleure apparence, ta photo d’identité à l’école ou ta photo de permis de conduire ?
tons terreux ou pierres précieuses ?
Lucioles ou mouches à feu ?
PC ou console ?
Ecrire ou dessiner ?
Podcasts ou débats radiophoniques ?
Barbie ou polly pocket ?
Contes de fée ou mythologie ?
Cookies ou cupcakes ?
Plus grande peur ?
Plus grand voeu ?
Qui fais-tu passer avant tous les autres ?
Erreure la plus chanceuse ?
Boîtes ou sacs ?
Lampes, plafonniers, lumière naturelle ou guirlandes lumineuses ?
Diminutifs ?
Saison préférée ?
Appli préférée sur le téléphone ?
Fond d’écran ?
Combien de numéros de téléphones as-tu appris par cœur ? Combien sont enregistrés sur ton téléphone ?
Période historique préférée ?
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SAMEDI 27 JUIN 2020 – (Billet 1 / 3)
Nous connaissant, parisiens et grands amateurs de cinéma, vous pensez bien que nous ne pouvions pas rater la réouverture lundi des cinémas.
Nous aurions peut-être préféré qu’à Beaugrenelle soit proposé un choix plus important. Car entre les films déjà sortis mais que nous n’avions pas eu envie de voir à l’époque, ou que nous avions déjà vus, ou des dessins animés pour enfants, il n’y avait finalement qu’une nouveauté, « Les filles de joie », mais qui ne nous intéressait pas du tout.
Du coup, un peu/presque « à reculons », nous sommes allés voir « La bonne épouse ». Après un petit quart d’heure d’adaptation (tous les metteurs en scène n’ont pas le talent de Jean-Pierre Jeunet pour créer des univers « décalés » comme par exemple « Délicatessen », « La cité des enfants perdus » ou « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain »… et les rendre crédibles dès les premières minutes), on finit par apprécier l’intrigue plus « cocasse » que « caricaturale ». Grâce au talent de tous les comédiens et principalement aux 3 héroïnes, on suit alors sans déplaisir les péripéties de la directrice (Juliette Binoche est épatante !), confrontée à de grosses difficultés de trésorerie. On sourit souvent, on rit parfois… et au bout d’un moment, on ne voit plus le temps passer… signe que c’est gagné, le film est réussi !
Nous vous joignons un article (voir ci-dessous) qui donne un avis très proche du nôtre.
C’est un film que nous vous recommandons (faut juste avoir un peu de fantaisie) et lui donnons tous les deux : ♥♥♥♥ sur 5. Objectivement notre avis avoisinerait plus les ♥♥♥,5 mais ce jour-là nous avions vraiment envie d’être positifs. Nous lui avons accordé un demi ♥ supplémentaire à cause des 3 mois de privation, de Juliette Binoche, de Yolande Moreau (énorme, qui danse seule en chemise de nuit, dans sa chambre, en écoutant à tue-tête « Tombe la neige » d’Adamo) et de tous les plans où l’on voit Sœur Marie-Thérèse interprétée par Noémie Lvosky.
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« LA BONNE EPOUSE »
Réalisateur : Martin Provost
Acteurs : Juliette Binoche, Yolande Moreau, Noémie Lvovsky, Edouard Baer, François Berléand…
 Durée : 1h49mn
 Date de (re)sortie : 22 juin 2020
Un trio de choc et une bonne dose de dérision accompagnent ce retour au cœur de ces années « sixties » réputées légères et insouciantes mais où toutes les femmes rêvaient d’émancipation sans oser y croire.
Le pitch : Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?
La critique : Il fut une époque, pas si lointaine, où la France était réellement le pays des droits de l’homme... mais un peu moins celui des droits de la femme. Ce n’est qu’en 1965 que les Françaises obtiennent le droit d’exercer une activité professionnelle ou d’ouvrir un compte bancaire, sans l’autorisation de leur mari. Dans ce contexte passablement rigide fleurit pléthore d’écoles ménagères où l’on enseigne les sept piliers indispensables, pour faire des jeunes filles l’élite des ménagères, le rêve de leurs futurs époux. En optant pour la malice et la légèreté, Martin Provost, comme il l’a déjà fait avec, entre autres, « Séraphine », rend un hommage chaleureux aux femmes qui, par leur courage et leur vitalité, parviennent à s’échapper du carcan dans lequel leur appartenance au sexe dit faible les maintient.
Aidée de sa belle-sœur, une vieille fille qui rêve du grand amour (Yolande Moreau), et d’une nonne (Noémie Lvovsky) au caractère bien trempé, l’élégante Paulette (Juliette Binoche) dirige d’une main de fer son établissement. En revanche, elle ne s’est jamais penchée sur les comptes de sa petite entreprise. L’argent, c’est réservé aux hommes. Elle découvre pourtant, à la mort de son mari (François Berléand), que celui-ci n’était qu’un piètre gestionnaire qui ne lui laisse que des dettes. Ce qui s’annonce comme une catastrophe se révèle être un sacré propulseur d’énergie, d’autant qu’en ces prémices de mai 68 souffle un vent de liberté.
De situations cocasses en dialogues pétillants, « La bonne épouse » suit son cheminement de comédie mutine et gentiment désuète, que l’évocation des célébrités du moment (d’Adamo à Anne-Marie Peysson, en passant par Joe Dassin, Ménie Grégoire ou Guy Lux) enrichit d’une tendre nostalgie. Si le trait est grossi à plaisir, c’est pour mieux souligner les paradoxes d’une époque aussi joyeuse que sexiste. On ne résiste pas à la bonne humeur et à l’enthousiasme que dégage ce trio de femmes, doublé d’un trio d’actrices épatantes.
A l’heure où le féminisme penche dangereusement vers l’intégrisme, on se surprend à sourire de l’innocence d’une époque qui a cru que l’abolition du conservatisme suffirait à accorder aux femmes libération et épanouissement.
(Source : « avoir-alire.com »)
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NB Le masque dans les cinémas n’est obligatoire que lorsque vous vous déplacez. Une fois assis à votre place, vous pouvez l’enlever. Les sièges à votre droite et à votre gauche ne sont pas vendus.
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vikydewitte · 4 years
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C’est une déesse de la forêt qui se révèle à vous aujourd’hui et vous n’êtes pas prêt d’oublier son visage et sa voix majestueuse. Originaire de Sainte-Martine au Québec, Viky de Witte sort « ÉTERNELLE », son nouvel EP 5 titres. Formée dès l’âge de 9 ans à la musique, Viky de Witte a participé à tous les concours de chant de la belle province. En 2004, sa première apparition scénique lui permettra de sortir gagnante, à seulement 13 ans, d’ « Étoiles en spectacle », la propulsant en première partie des artistes Claude Dubois et Daniel Bélanger sur la scène Loto-Québec lors des Régates de Valleyfield devant 10 000 personnes ! Une route toute tracée qui la conduira deux ans plus tard à faire la première partie de Richard Desjardins avec ses propres compositions dans la salle de spectacle « Le Vieux Sainte-Martine ».
Passionnée par la vidéo et le septième art, Viky de Witte choisira de faire ses études en cinéma au Cégep André-Laurendeau de Montréal, tout en se perfectionnant au chant, à l’écriture et au solfège dans la prestigieuse école privé Prochant créée par France Frenette. Avec le temps, divers projets lui feront traverser l’Atlantique pour finalement déposer ses valises en France.
En phase avec le féminin sacré, « ANTIGONE » est le premier extrait de ce nouvel opus basé sur les cycles de la nature et de la femme dans toute sa beauté. Cet EP aux accents de soft rock a été enregistré, mixé et masterisé en France au Studio Nobilis par Dominique de Witte, producteur musical et ingénieur du son formé au Trebas Institute de Montréal auprès de Michael E. Delaney (Rock Voisine, Maurane...) et de Nelson Vipond (Harmonium, Jean Leloup…).
La musique de Viky de Witte est organique et sa voix chaude et sensuelle nous transporte là où le cœur balance, entre la Terre et la Lune. Les textes sont peaufinés et l’interprétation y est vibrante et atmosphérique. Une ambiance immersive qui vous dévoilera toute la force et la délicatesse d’une auteur-compositeur-interprète éternelle.
Ce nouveau single est disponible sur POSTEDECOUTE.CA, Deezer et Spotify, sans oublier les autres plateformes légales de téléchargement.
https://www.postedecoute.ca/fr/singles/antigone.html
SITE OFFICIEL :
https://www.facebook.com/viky.de.witte.officiel
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ericmie · 4 years
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Eric Mie - La Gueule Ouverte
Si j’écris, encore et toujours, des chansons rouges coco et noirs anar, ce n’est pas de ma faute, madame, mais celle de la société ! Et pis aussi celle de Brassens, Ferré, Renaud, Béranger, Bruant, Tachan et Font qui m'ont influencé et ont chanté des chansons antitout et utopistes bien avant moi. Moi, voyez-vous, je suis pure comme du cristal de Baccarat, qui pourrait cependant trancher le cou de bien des hypocrites. Mais comme je suis également pacifiste, déserteur et un peu lâche aussi, je ne le fais pas. Je vous respecte et passe mon chemin. Mais permettez-moi de rester antimilitariste, antinucléaire, anticalotin et anticapitaliste. Et de cacher, derrière mon sourire de politesse, mon dégoût puéril des flics, des juges, des militaires, des curés de tout bord (même ceux du dogme Laïcard), des chasseurs, des pollueurs, des huissiers, des bourgeois, de la valeur travail et de la justice d’état. Et de haïr les prisons, les frontières, les religions, les dogmes, le fric, la patrie, les écoles publiques comme les écoles privées et les élections. Car, au fond du fond, je suis un adolescent borné qui hait ce pays haineux de sales cons, moches et méchants avec des cravates rouges ou bien bleus et la Marseillaise est une chanson de merde que je conchie. Je rêve tellement d’un monde plus fou et joyeux à l’heure où l’on se contente toujours du moins pire.  Le moins pire... Toujours le moins pire...  47 ans de moins pire... Mais, moi, je voulais du mieux. Je rêvais du mieux. Du beaucoup mieux même... évidemment qu'il faut le moins pire... Mais, à l’heure où les moins pires sont de pire en pire, je préfère faire un pas de côté et écrire, une nouvelle fois, une chanson utopiste et revancharde bien caché dans mon antre. C’est ce que je fis le 8 Juillet 2012 à Buding. J’ai écris cette chanson très très vite. Par contre pour la musique et le titre ce fût un long chemin laborieux. Au départ cette chanson s’appelait « Sur nos ruines ». Mais je n’aimais pas. Puis « ça ira » mais ça existait déjà. C’est en retombant sur ce vieux journal écologiste et politique fondé en novembre 1972 par Pierre Fournier, pacifiste convaincu et journaliste à Charlie Hebdo, que le titre fût comme une évidence. Ce journal dénonçait déjà les multinationales, la malbouffe, les manipulations médiatiques et inventait la décroissance bien avant que ça devienne un véritable mouvement. Ça me plait de faire un clin d’œil à « La Gueule Ouverte » aujourd’hui. Pour la musique, j’en ai proposé trois différentes à Maël mais on n’était jamais convaincu. Un jour, il a fabriqué un rythme sur son ordinateur, et collé dessus une ligne de basse. C’est sur cette structure que j’ai inventé la mélodie retenue. Mais le travail n’était pas terminé. Je ne sais pourquoi mais c’est la chanson qui nous a le plus donné de mal au niveau du mixage. On bloquait toujours dessus. Et, pour tout vous avouer, même aujourd’hui quand j’écoute l’album « Chute Libre » dans son intégralité, je trouve qu’il y encore quelque chose qui cloche. Lors d’un moment de blocage sur cette chanson, je vois, posée contre le mur, une flûte harmonique. Cette flûte se caractérise par l'absence de trous pour les doigts. C’est l’instrument fétiche des bergers des pays scandinaves. Un seul doigt joue en bouchant ou débouchant l'extrémité de la flûte. On joue donc sur deux notes différentes et le flûtiste peut obtenir les premières harmoniques en augmentant la pression de son souffle. Les notes principalement utilisées sont comprises entre la deuxième et la 4e octave. On obtient alors une gamme dite "harmonique". Pendant que Maël se cassait la tête à trouver une solution sur le morceau, je m’amuse donc à jouer de cette flûte. Maël se retourne vers moi. Je pensais qu’il allait me dire : « tu ne veux pas arrêter ton boucan là, j’essaye de travailler ! ». Mais non. Il a un large sourire. Il me propose de m’enregistrer. Et voilà comment cette flûte se retrouve sur cette chanson. Elle est surprenante mais marche bien dessus. A noter la présence de l’amie Colette Losange dans la citation sartrienne au début du morceau. Ça aussi c’est une sacrée histoire car on a enregistré sa voix dans les beaux quartiers de Paris. Elle s’amusait à gueuler : « « La quantité de merde qu'il y a dans le cœur d'un bourgeois » sous les regards médusés des passants BCBG. Un bon moment. A noter aussi les vocalises très inspirées de la talentueuse Lisa Louize à la fin du morceau. Merci encore mille fois à elle.
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claudehenrion · 5 years
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Jusqu'où ?
 La France est abîmée, esquintée, vulnérable, affaiblie, à la merci de ses ennemis, déclarés ou non… mais qui sont connus, identifiés et régulièrement les mêmes, année après année… L'immigration massive dont elle est la victime depuis une trentaine d'années et l'islamisation qui l'a accompagnée (ou suivie, si l'on préfère) sont, parmi d'autres mais en bonne place, au cœur des problèmes du moment. Des esprits malfaisants, dupes de leurs mensonges ou pas, veulent ne voir là que des “fantasmes d'extrême droite” : “l'immigration est une chance pour la France !”. Mais curieusement, on entend moins ces deux contre-vérités.. Que s'est-il passé ?
  Les mêmes éditorialistes (majoritairement de gauche, cela va sans dire), les mêmes intellectuels sans colonne vertébrale, ou des maîtres à penser-de-traviole nous expliquent aujourd'hui (mais sans reconnaître qu'ils ont toujours eu tort sur toutes leurs “prévisions-sic” antérieures), que “oui, dans le fond, il y a peut-être un peu beaucoup d'arrivants indésirables”, et que “la richesse annoncée ne l'était que dans certaines circonstances”… Mais, ajoutent-ils bien vite, “on n'a pas le choix : on est bien obligés de l'accepter”, au nom de grands principes prétendument dits humanistes qu'ils ont totalement déformés avant de les utiliser contre ce pour quoi ils avaient été imaginés : il y a loin,  de “humaniste” à “humanitaire’‘ ! Et au fond... c'est principalement la Grèce qui reçoit les vagues successives, et elle est loin… même si le dictateur fou qui règne sur la Turquie rouvre les vannes et submerge tout… comme il l'avait prévu depuis longtemps… (et nous avec lui, hélas !)
  Les mêmes qui sont vent debout contre la théorie dite ’'du grand remplacement” (qui est, vous vous en doutiez, d'extrême droite donc fasciste, complotiste et “fake-niouzeuse”), avaient applaudi des deux mains lors de la signature, le 10 décembre 2018 (à l'insu du peuple français, pourtant première victime de cette arnaque) d'un “Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”, dit “Pacte de Marrakech”, sous l'égide de l'ONU, cette coûteuse officine perverse qui a fait du multiculturalisme, de la mondialisation et de la diversification son “credo”, sa bible et sa mission sacrée, et dont un autre texte appelle explicitement les “migrations de remplacement” (NDLR : ce texte, disponible sur le Net, à l'en-tête de la “Division de la Population des Nations Unies, Département des Affaires Economiques et Sociales”, est intitulé “LES MIGRATIONS DE REMPLACEMENT : UNE SOLUTION AU DÉCLIN ET AU VIEILLISSEMENT DES POPULATIONS ?”. Renaud Camus avait donc vu juste : “Migrations” et “Remplacement” vont dans la même phrase !)
  En allant plus loin, on découvre que toute une école de “pensée” (?) repose sur le faux principe que les hommes, puisqu'ils sont tous égaux, se valent tous, et ne sont donc pas liés à une terre, à une histoire, à des ancêtres, à des traditions, des mœurs, des us et des coutumes ou à une religion –sauf l'islam qui a droit à un traitement à part. “Migrateurs” plutôt que “migrants”, les hommes seraient donc “remplaçables” (les modalités onusiennes les rendent même “interchangeables”). Par conséquent, si un “village” (la France, la Belgique, ou… n'importe quel autre) se dépeuple, il faut et il suffit de le repeupler, avec des africains (au hasard !), en  comblant le vide, “un pour un”. Et lorsqu'on découvrira, un peu plus tard, que les arrivants ne se comportent en rien comme des français ou des belges mais comme… des africains (ce qui n'est une surprise que pour les apprentis-démiurges acéphales)… le mal est fait : les “plus pires” se comportent en terrain conquis et imposent aux autochtones leurs mœurs, leurs modes,  leur religion et leur loi (la terrible “Charia'a” !)… et les “moins pires” et les autres regardent passivement et applaudissent in petto. Les naïfs avaient rêvé d'un “côte à côte” et ils découvrent un “face à face” (dixit le socialiste macronien Gérard Collomb, pour une fois lucide).
  Décidément, tout se passe comme si nous étions durablement entrés dans l'ère du mensonge qui devient vérité lorsqu'il est répété ad nauseam et qu'il est réputé voler au secours des “damnés de la terre”… quels qu'ils soient  (NDLR : cette notion variable dépend de la subjectivité de celui qui l'invoque… Une preuve de plus de l'entrisme de l'islam, où mentir à l'adversaire est une pratique admise, la  'Taqqîya’’ (sourate 3:28). Chi'ite autant que sunnite, cela consiste à dissimuler ou à nier jusqu'à sa  foi, si nécessaire...). Peut-on déduire de cela que l'immigration telle que nous la constatons et telle que nous en supportons (de plus en plus mal) les conséquences souvent pénibles, aurait été voulue, préméditée et soigneusement organisée dans le dos des européens  –et des français ? Car comment expliquer autrement la signature en douce du Pacte de Marrakech, catastrophique à terme ?
  Notre République, qui se décrit comme laïque, applique sa “tolérance intolérante” de façon tatillonne avec les chrétiens, mais de manière infiniment plus “cool” lorsqu'il s'agit de l'Islam, systématiquement présenté comme “une religion d’amour, de tolérance et de paix” par ceux qui n'en savent rien… Mais en ces jours où des centaines d’églises sont profanées dans l’indifférence (mais une tranche de jambon mangée près d’une mosquée provoque l’indignation des vivre-ensemblistes et une allusion pavlovienne “dézeurlesplusombredenotrhistoire”), on trouve de plus en plus d'indices qui veulent nuire à une France que certains, à gauche, rêvent de voir basculer de son état post-catholique actuel vers un mouvement pré-islamique.
  Philippe de Villiers, sagement, avertissait qu’à chaque fois que l’islam s’est installé quelque part, ça s’est toujours mal terminé… Et s'il est le dernier à oser encore tenir de tels propos, comment ne pas penser à la ’’prophétie’’ d’Albert Camus :  “Chaque fois qu'une voix libre s'essayera à dire simplement ce qu'elle pense, une armée de chiens de garde, de tout poil et de toute couleur, aboiera furieusement pour couvrir son écho”. Réveillons-nous : nous y sommes !
H-Cl.
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ontarionewsnorth · 7 years
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CSCNO Schools in ALgoma to Welcome Incoming Kindergarten Students
#CSCNO Schools in #Algoma to Welcome Incoming KindergartenStudents @Wawa_Ontario @Twp_Dub @VisitChapleau @AFOCSC #HornepayneON @ElfOntario @Francoontarienn
ALGOMA DISTRICT, ON – In the coming weeks, Conseil scolaire catholique du Nouvel-Ontario (CSCNO) French Catholic elementary schools in the Algoma district will be offering a warm welcome to children who are starting kindergarten in September 2017 as well as their parents/guardians. All families having registered their children in a French language Catholic school are invited to the “Bienvenue à…
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ekman · 5 years
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25 mai 2019 — Comme pour s’assurer qu’elle n’aurait aucune chance de survivre à son suicide après s’être laissée embarquer dans deux guerres fratricides, l’Europe décida de mettre en place les conditions auto-génocidaires de sa disparition définitive. L’ouverture des frontières à une immigration de peuplement à compter des années 60 et 70 inaugura le plus vertigineux holocauste démographique qui puisse être. Cette réalité historique, contestée d’une façon aussi virulente qu’hystérique par les universalistes de tout crin (ultra-libéraux, chrétiens, marxistes et juifs de toute obédience…), s’impose aujourd’hui depuis les métropoles jusque dans les campagnes. Il suffit de parcourir les territoires d’Europe occidentale pour croiser dans les bourgs et les villages de France, de Belgique, d’Allemagne ou d’Italie une bonne proportion de Maghrébins, d’Africains sub-sahariens ou d’Eurasiens flanqués de leur(s) femme(s), presque toujours voilée(s). À l’abord des écoles, les groupes de gosses se pigmentent progressivement, mais inexorablement. L’Europe sombre en glou-glous discrets dans une soupe ethno-culturelle parfaitement incompatible avec sa nature et son histoire. L’indifférence générale rend possible l’expansion fatale des populations allogènes et de leur sous-culture ghettoïsante. L’affadissement des mœurs indigènes, la disparition de toute morale collective et de toute valeur immatérielle, la fin voulue et consentie du fait religieux autant que la détestation du sacré, ont créé les conditions de cette indifférence coupable. Plus que l’angélisme des universalistes bêlants, la décérébration des masses par la fin de l’enseignement de l’Histoire et de la philosophie, l’avènement de la culture des loisirs et la frénésie consumériste, expliquent le vide qui s’est formé autour des questions identitaires. Ne plus savoir qui l’on est revient à ne plus pouvoir s’imaginer un avenir. On se contente d’être dans la bulle du présent, petite bulle faite de promesses jamais tenues, de plaisirs fugaces qui s’achètent en un clic et s’oublient aussi vite. L’homo occidentalis a vécu. Sa disparition, plus qu’inéluctable, est devenue nécessaire. Un rafistolage serait vain et peu viable. Seuls ceux qui auront à cœur de sauvegarder l’héritage génétique et intellectuel de ce bijou d’humanité seront en mesure, dans le siècle à venir, d’assurer les préparatifs d’une complète reconquista. J.-M. M.
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