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#Coupe du Monde de la Pâtisserie
chefkevinashton · 2 years
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This is the France's frozen lollipops in the recent Pastry World Cup in Lyon. France came 2nd in the contest Japan came 1st. I have a pinterest board dedicated to the Pastry World Cup, amazing photographs even if you are not into pastry.
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angellyslion · 2 years
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BioDad Bruce Wayne
Marinette est épuisée entre ses commandes, ses missions de déléguées de classe, préparer les cours de mademoiselle Bustier et ses activités parascolaires. Elle dort quelques heures par semaine.Le traitement de sa classe n'arrange pas sa situation entre les moqueries, les insultes et les coups bas. Elle ne veut plus faire d'effort pour eux. Elle a fini d'être la douce et gentille Marinette que tout le monde aime et connait. Plus de babysitting gratuit et à la dernière minute, plus de commission, plus de banderole d'encouragement et plus de pâtisserie provenant de la boulangerie de sa famille.
Marinette va finir son année scolaire. Il lui reste une dernière semaine avant qu'elle ne puisse quitter l'atmosphère toxique dans laquelle, elle est depuis deux ans.L'héroïne de Paris sera avec sa vraie famille. Elle n'aura plus besoin de cacher qui elle est.Comme à son habitude, elle est assise au fond de la classe esquissant sa tenue pour Clara pour son prochain clip vidéo.Depuis que Jagged, Clara, les Waynes, Oliver Queen et la famille Kent ont parlé de ses tenues incroyables sa notoriété est montée et elle est devenue MW. Bien entendue Lila prétendait sortir avec elle, au grand désespoir de Marinette et Chloé.
« Bonjour Mari-Bug, salut Chlo
- Bonjour Chlo ! Pourquoi es-tu de si bonne humeur en ce lundi matin ?
- Une petite surprise qui attend Lie-la.
- Qu'a tu préparé ? Cela ne me dit rien qui vaille !
- Ne t'en fais pas, tu vas adorer ce que j'ai en réserve. La fille du maire sourit d'un air malicieux.
- Étrangement Queenie, tu me fais peur !
- Tu me blesses Mari-Gold ! Je suis un petit ange !
- N...
- Bonjour tout le monde, intervient Miss Bustier coupant les deux filles dans leur conversation. J'ai besoin de votre attention quelques minutes. Nous recevons Monsieur Wayne ainsi que ses deux plus jeunes fils. Vous aurez le droit de leur poser des questions mais interdiction de filmer ou de prendre des photos.
- Si Bruce vient, c'est grâce à moi ! Vous savez qu'il me considère presque comme sa fille. Après tout je suis la meilleure amie de sa fille Martha et je sors avec son plus jeune fils Damian, ment une nouvelle fois Lila.
- Je pourrais avoir une interview Lila de comment tu les as rencontrés ? Tu pourras aussi les invités !
- Alya je pourrais t'accorder ton interview mais je ne suis pas sûre qui puisse se libérer !
- Retiens-moi Chloé, je vais la tuer ! Murmure la porteuse de la chance, n'ayant pas remarqué qu'une partie de sa famille est arrivée. Lila tu trompes MW ? La semaine dernière tu sortais avec lui ?
- Non, j'ai dit que je sortais avec MW avant qu'il ne devient célèbre. En plus j'ai aidé Batman à arrêter le Joker !
- Mademoiselle je vous prierai de ne pas mentir !
- Monsieur Wayne, je ne vous attends pas si tôt !
- Pourtant je vous ai prévenue que je passerai durant votre première heure de cours.
- Monsieur Wayne, vous êtes là pour voir Lila ?
- Qui ?
- La meilleure amie de votre fille qui est aussi la petite amie de votre fils Damian ? L'Italienne se fait toute petite.
- Désolé de vous décevoir mais la meilleure amie de ma fille est Chloé et mon fils sort avec Jon.
- Lila tu nous as menti ?
- Désolé ma maladie du mensonge a encore fait des siennes. J'ai dû aussi tout me mélanger. Avec mes problèmes de mémoire ce n'est pas facile de voir clair dans mes souvenirs.
- Ne t'excuse pas ma fille ce n'est pas grave. Ce n'est pas de ta faute.
- Mademoiselle Rossi, ce n'est pas bien de mentir, j'ai invité quelques amis pour vous poursuivre en justice pour mensonges et calomnies envers ma famille et intimidation et harcèlement envers ma fille et cela vaut pour toute la classe à l'exception de Chloé. Pour vous Mademoiselle Césaire, je vous conseillerai de supprimer votre blog !
- Quoi ? Mais pourquoi ?
- Vous avez répandu des rumeurs sur bon nombre de personnes et de plus vous n'avez pas vérifié vos sources.
- Je te dis que c'est ici ! provient une voix dans le couloir.
- Moi non ! La bleuette regarde son amie blonde d'un air perplexe reconnaissant la voix.
- Qu'as-tu fait Chlo ?
- J'ai peut-être sous-entendu que tu étais harcelée à cause d'une renarde et tout le monde a voulu aidera à se débarrasser de celle-ci. Même ta mère.
- Tu veux que tout Paris meure ?
- Non !
- J'avais raison !
- Jagged Stone et Clara Nightingale ! Vous êtes venus pour Lila ?
- Oui et c'est pour la poursuivre en justice !
- Elle a sauvé ton chaton d'un avion et tu as écrit une chanson sur elle !
- Césaire, Penny et moi sommes allergiques aux poils de chats. De plus je me demande qui laisserait une enfant sur le tarmac à moins que cela soit des incompétents. J'aurais été traité de pédophilie si j'avais composé cette chanson. De plus j'ai Fang avec moi depuis plus de vingt ans.
- Lila sur quoi tu as dit la vérité ?
- Je peux répondre à sa place, tout ce qu'elle a dit depuis le début ce sont des mensonges. Vous n'avez qu'à chercher sur internet. Déclare Marinette. La classe sort pour vérifier les faits pour remarquer que seule le lady blog apparaît.
- Marinette, je t'ai dit de prendre la grande route et de ne pas révéler les mensonges de Lila. Cela ne faisait de mal à personne !
- De mal n'a personne ? Tout le monde a raté des opportunités en or à cause de Lie-la. Alya a été radiée de toutes les écoles des journalismes et a été mise sur la liste noire. Rien que la semaine dernière, j'ai failli être akumatisée une dizaine de fois. Et à cause d'elle car j'ai essayé de les prévenir tout le monde m'a tourné le dos ! Elle m'a accusé de chose que je n'ai même pas faite ! J'ai été intimidée et harcelée par ceux que je pensais être mes amis. J'ai failli être virée car elle était jalouse ! J'en ai fini avec cette classe ! Papa, je rentre à la maison avec vous. Je ne resterai pas ici ! Chlo vient quand tu veux à la maison. Et Agrest je n'ai rien fait pour ton information c'est Chloé qui a organisé ceci et non moi. La prochaine fois avant d'accuser quelqu'un vérifie tes sources !
- Marinette tu n'as pas le droit de quitter la classe sans l'accord de tes parents. Et je suis ton professeur tu me dois le respect !
- D'une je vous respecterai quand vous serez juste, de deux j'ai arrêté d'être le bon exemple c'est à vous de le faire, de trois vous êtes virée pour votre incompétence comme Monsieur Damoclès et de quatre je ne fais plus partie de cette école. Et avant que j'oublie je suis Martha Wayne connu aussi sous le nom de MW !
Marinette quitte la classe suivie par sa famille sous les hurlements des autres.
- Merci pour l'aide, Clara j'ai fini ta robe ainsi que ta tenue pour ton clip tu veux les voir ?
- Bien sûr Mari ! L'adolescente lui tend son carnet. Elles sont super, je les adore !
- Merci Clara, je les commencerai à Gotham vu que j'aurai le temps !
Petit bonus
- Oui Chlo ?
- Suite à la bombe que tu as lâchée, madame Mendeleïev est notre nouvelle professeure. Tout le monde s'en prend à Lila et me harcèle pour avoir ton numéro de téléphone. Voyant cela madame Mendeleïev m'a permis de sortir et de retourner à l'hôtel. J'attends juste quelqu'un vienne me chercher ! Bien sûre j'ai tout filmé, je te le montrerai à l'hôtel. Bonne idée d'avoir demandé à Green Lanterne et Zatana d'ériger un mur magique pour éviter toute akumatisation à l'école, je pense que sans ça toute la classe aurait été akumatisée. Et Adrien a eu aussi le droit à des remontrances venant de la classe, il savait et n'a rien dit !
- Il a eu ce qu'il méritait !
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materiel-horeca · 3 months
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a sélection Americas de la Coupe du Monde de la Pâtisserie couronne l'Argentine !
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fafou-le-voyageur · 8 months
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Mercredi 24 Janvier :
Je me réveille vers 7h15 mais traîne une bonne demie heure de plus. Je descends avec mes affaires pour le petit déjeuner, miel, confiture, beurre de cacahouète, mon bolo levedo que je fais griller et me prépare du café.
Je prends mon temps, la TV allumée sur une comédie américaine. Ma voisine de la chambre d'à côté, Joana, me rejoint dans la cuisine.
On lance une machine de linge ensemble et on se dit qu'on mettra le tout à sécher en fin de cycle. D'ici là on ira faire un tour en ville.
On y part ensuite, un moment ensemble puis je pars de mon côté. Je m'arrête boire un café et une pâtisserie dans une padaria sur le boulevard pavé et prends un pain aux céréales tout rose pour mon sandwiche.
Je fais un détour par le musée de Horta, car il pleut maintenant. Il est sur tout un étage et contient une partie sur la religion, une autre sur le centenaire de la traversée de l'atlantique en avion.
Il y a aussi toute une partie sur le développement du télégraphe dont les lignes passaient par les Açores comme un point névralgique entre les Amériques et le reste du monde.
Dans le couloir il y a des vieux pianos, des accessoires optiques de navigation, des scaphandres.
Et une salle d'un artiste Açorien, Euclides Silveira da Rosa, de Faial qui a construit des maquettes à l'aide de la matière récupérée au cœur des branches de figuier. Il se compose de pièces commencées en 1936 et exécutées sur 10 ans, des bateaux, des paysages, des maisons, toutes avec un détail impressionnant.
Je rejoins ensuite Joana et lui propose qu'on loue une voiture ensemble au lieu de prendre un bus puis un taxi, le tout nous revenant bien moins cher à chacun.
On déjeune tranquille et le temps commence à s'améliorer tandis que notre lessive sèche à son aise dans le sèche linge.
Après un coup pour rien au terminal des bateaux (les bureaux des loueurs n'étaient pas ouvert), mais une vue dégagée pendant quelques minutes sur la Montanha Pico, on se rend dans une agence sur le boulevard.
On loue Simone n°3, une panda de quelques 80 000 km. Durant l'attente de la préparation de la voiture, la jeune fille de l'accueil nous montre la Webcam de la Caldeira, et nous conseille d'y aller en premier car c'est dégagé.
On suit son conseil et on file vers 14h30 à la Caldeira faisant quelques arrêts à différents Miradouros.
La route est sale dans la forêt, il a du faire orage dans la nuit. La vue sur la Caldeira est magnifique et le brouillard pas loin. On reste un peu là haut, profitant du grand air.
On prend ensuite une route bien défoncée en direction de Cedros, sur la côte nord. De là on se met à suivre la route côtière sans trop voir les fajas ou les plages car il y a des averses qui nous coupent la vue.
On s'avance vers la Ponta dos Capelinhos, cette partie d'île qui s'est ajoutée lors de l'éruption de 1957 à 1958, avec près de 8 mois sans discontinuer.
Le musée est déjà fermé, on y retournera demain. On prend tout de même des photos depuis le phare.
On reprend ensuite la route sur la côte sud cette fois s'arrêtant à de jolis points de vue. On finit notre boucle d'aujourd'hui sur la colline où j'étais hier soir et on a droit à un petit bout de soleil couchant derrière les nuages.
On s'arrête ensuite au Peter's Café Sport, et malgré l'heure, 18h30, on se prend une magnifique soupe de poisson, avec des vrais morceaux et des patates, bien épicée. Le tout pour seulement 3,5 euros.
La déco intérieure va avec son historique de bar de la marina (déjà 105 ans d'existence), avec des fanions signés, des autocollants, des annonces pour rechercher des équipages.
On se promet d'y retourner demain avant de rendre la voiture et prendre le bateau pour Pico.
On passe faire une course puis on rentre à la guesthouse. On récupère le linge sec et on lance une nouvelle fournée dans synthétiques.
Ensuite je bouquine en buvant du thé et je m'occupe du Blog. Je finis vers 22h et vais aller me coucher tôt, je suis bien fatigué ce soir.
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bloodychicks · 11 months
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DANS LES VEINES
Les fantômes du passé peuvent se montrer plus imposants qu’on ne le pense, on espère pouvoir s’en séparer avec le temps. Mais, il est là, accroché à votre épaule, tel un perroquet qui vous susurre vos erreurs ou un corbeau qui ne vous apporte que malheur. C’est le cas pour notre premier cas de figure, que l'on nommera A. Issue d’une classe pauvre, A erre dans les ruelles tel un spectre sans âme. Pourtant, il était autrefois d'une bonté sans pareil, mais aujourd’hui, la nourriture se fait rare et le fantôme du passé lourd sur ses épaules. A git dans un monde dans lequel tout ce qui pourrait sembler invraisemblable devient commun. Magie ? Sorcellerie ? Malédiction ? Peu importe, le fait est que tout le monde autour parait souffrir pour différentes raisons. C'est toujours « pourquoi moi et pas eux ? »
Une des plus grandes souffrances que ce monde a à nous offrir est la guerre. « Ce qu'il vous faut à vous les jeunes, c'est une bonne guerre », comme diraient ceux qui l'ont vécu. C’est dans cet environnement que nous retrouvons notre deuxième cas B (parce que l'alphabet est simple, suivons-le). B, un soldat lambda en fin de carrière, la cinquantaine, souhaitant prendre soin de sa famille, mais entre 1939 et 1945, il ne faisait pas bon d’être soldat, ironie ? Fort heureusement, la guerre touchait à sa fin et il allait enfin pouvoir retrouver son nid. B était fumeur dans l'âme, et ce, depuis l’adolescence. Il ne s'était jamais arrêté et ayant survécu à ce que la guerre peut proposer de pire, il se disait que quelques cigarettes n’auraient certainement pas raison de lui.
D'autre part, la vie nous montre aussi que les apparences sont souvent trompeuses. De petites habitudes peuvent devenir de vrais fléaux une fois que nous désirons nous en débarrasser. Imaginez vous être dans ce dernier cas, C. Jeune femme à la trentaine issue d’une riche famille, d’argent et uniquement d’argent. Seule la plupart du temps, vide d’affection, de bonheur et de tout ce dont un esprit a besoin pour être en bonne santé. C n’est pas épaisse, ne paye pas de mine, du fait aussi que la dépression la guette. Mais elle refuse de consommer toutes substances pouvant nuire à sa santé, elle trouve donc une alternative afin de combler son manque d’affection : la nourriture… les bons gâteaux de la pâtisserie du coin. Encore un bon coup de notre amie l'ironie.
Une chose est sûre, A n’aura pas de gâteaux à manger aujourd’hui, ni demain d’ailleurs. Son monde est désastreux, des gens brûlent, se noient, se battent, des sortilèges magiques frappent les rues sinueuses dans lesquelles il séjourne. Un tremblement de terre par-ci, une avalanche par là, des plantes géantes qui pourraient vous gober d’un simple croc, tel est le quotidien de cet homme. Il a accepté toutes les conditions du monde pour vivre le moment présent. Et que peut-il faire de plus ? Lui, un sans-abri ? Les conflits ne cesseront pas et B l’a bien compris. Sortant de la guerre, il ne voit plus le monde de la même façon, des douleurs fantômes refont surface. Tout pourrait lui sembler logique, vu les atrocités qu’il a endurées. La vue d'évènements invraisemblables pèse sur son esprit, il a besoin d’aide. Cette aide, il la trouve dans un remède peu convenable, mais plutôt efficace. C refuserait certainement cette idée, elle qui vit dans son monde soi-disant sans souci, continuant d’aller chercher son rayon de soleil dans la boutique d’en face. Ce n’est pas l’argent qui lui manque, elle peut se le permettre, dit-elle, mais son corps, lui, le peut-il ?
La question que l’on devrait également se poser pour B, qui a redécouvert le bonheur de ne plus avoir mal, d’oublier ses traumatismes, c'est à quel prix ? Les quantités augmentent, les effets aussi quoique… ressent-il vraiment quelque chose ? Autrement, les doses n'augmenteraient pas. Bientôt, sa famille ne le reconnaîtra plus. Son passé de soldat reprenait petit à petit le dessus et l’homme qui fut autrefois aimant devint la violence incarnée. Violence omniprésente dans les rues surnaturelles de A. Il se devait d’agir, il en avait marre de voir son monde souffrir. Il alla de rue en rue, aidant les personnes en difficultés afin de les sauver de la mort qui les attendait, son fantôme continuant de semer la désolation autour de lui. Comme dans le cœur de C, qui malgré les sucreries qu’elle ingère à longueur de journée, ne trouve pas ce qu’elle recherche. Chaque effort devenait impossible, se mouvoir était une épreuve, en même temps personne ne l'en empêche.
B essaie également d’échapper à son sort. Pour cela, il a dû retrouver une vieille amie qu’il avait laissée sur le bord de la route, sa cigarette. Il essaye de redevenir celui qu’il était autrefois, mais les habitudes deviennent de vrais fléaux quand on veut s’en défaire. C ne se rend pas compte de la dépendance qu’elle crée, elle qui se refuse toute substance pouvant altérer ses sens, devient peu à peu une esclave elle aussi. Esclave d’un fardeau trop lourd pour une seule grosse personne, il est impossible de sauver tout le monde. A se mit à crier aux passants de s’enfuir, le danger est trop grand, il ne faut pas rester là.
B se retrouvera rapidement avec deux addictions et C continuera de manger les sucreries que A rêvait de découvrir. A et B étaient dans des mondes turbulents que C pouvait entrevoir depuis son univers vide juste en regardant par la fenêtre et B voulait désespérément la paix que possédait C. Peu importe le point de vue, ils resteront insatisfaits. Quel que soit ce qu’ils auront à leurs côt��s, ils envieront la vie de l’autre, c’est le principe même de l’être humain.
Si maintenant nous sortons de leurs esprits troublés et que nous les observons d’un œil extérieur, que voyons-nous ? A était-il réellement dans un monde magique, ou bien simplement dans une ville tranquille tout à fait ordinaire ? B pensait-il vraiment pouvoir stopper son envie de cocaïne grâce aux cigarettes qu'il venait d'abandonner ? Et C ? Cette imbécile heureuse avait-elle concrètement réussi à ne pas sombrer dans l’addiction à une substance dangereuse ? Les trois étaient dans le flou, et les trois se mentaient à eux-mêmes, refusant d’accepter la vérité.
A était en hallucination permanente, il criait au danger dans des rues calmes et silencieuses. Les passants en avaient peur et lui demandaient de les laisser tranquilles. Cela faisait longtemps désormais que B n’avait pas été sobre, si bien qu’il n’avait même pas remarqué que sa femme et ses enfants avaient quitté le foyer il y a plusieurs années maintenant. Quant à C, son manque de force et la difficulté de ses mouvements étaient dus à son corps et à son obésité à présent morbide. Celle qui était maigrichonne autrefois est devenue le pire cauchemar des standards de beauté. Le diabète l’avait frappé depuis longtemps et la maladie ne cessait d'empirer.
Le protoxyde d'azote peut paraître anodin aux premiers abords, mais il renferme un terrible danger pour le cerveau humain. En effet, l’annihiler peut provoquer des troubles neurologiques pouvant aller jusqu’à l’hallucination, et ce, de façon irréversible. La cocaïne est une drogue dite dure, les effets sont très puissants et l’addiction est intense et jouissive. Une fois le nez dedans, il est pratiquement impossible d’en échapper. Quant au sucre, il s’agit sans doute de la drogue la plus fourbe qu’il soit. Disponible en libre-service et présent dans la majorité des aliments, il paraît totalement inoffensif, mais à forte dose révèle de terribles maladies.
Mais alors, quelle est la meilleure décision ? Choisir de suivre ses amis pour une fois en essayant ce jouet qui les amuse tant, à en perdre l’utilité de ses neurones de manière définitive ? Choisir de se soulager après la plus Grande Guerre que notre monde ait connue, et se retrouver avec deux addictions terribles à assumer, au point d’en perdre sa famille ? Où choisir de renoncer à la drogue, ironiquement en allant se réfugier dans le sucre et finir par contracter une maladie qui s'avérera fatale ? Les trois cas sont très différents, mais se rejoignent en tout point. Qui a eu raison et qui a eu tort ? Ça, c’est à vous d’en décider !
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materielhoreca · 1 year
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Le Choix du Materiel dans la Restauration Professionnelle : Clé de la Réussite Culinaire
Dans le monde de l’art culinaire, la réussite ne dépend pas seulement du talent et de la passion. Une cuisine bien équipée est le pilier de toute boulangerie, pâtisserie, boucherie, snack, pizzeria ou restaurant prospère. Le terme “materiel” fait référence à l’équipement et à la machinerie essentiels au fonctionnement de ces établissements. Dans cet article, nous explorerons l’importance du materiel dans les domaines de la boulangerie, de la pâtisserie, de la boucherie, des snacks, des pizzerias et de la cuisine en général, en mettant l’accent sur l’importance des équipements professionnels tels que les comptoirs et les vitrines.
Materiel Boulangerie : L’Épine Dorsale de Votre Boulangerie
Les boulangeries sont synonymes de l’arôme du pain frais. Pour créer ces délicieuses miches et viennoiseries, les boulangers comptent sur du materiel spécialisé. Le cœur de toute boulangerie est le four, et les fours de qualité professionnelle garantissent une qualité et une précision constantes dans la cuisson. Les mélangeurs à grande capacité, les armoires de fermentation et les laminoirs à pâte sont également essentiels pour rationaliser la production et maintenir une qualité constante.
Materiel Patisserie : L’Art de la Douceur
La pâtisserie est l’art de créer des desserts exquis et délicieux. Pour les pâtissiers, le choix du bon materiel est essentiel pour donner vie à leurs créations. Les fours à pâtisserie sont un élément clé, permettant une cuisson précise des gâteaux, des tartes et des pâtisseries. Les batteurs électriques, les moules spécialisés et les machines à glace sont également indispensables pour préparer des desserts impeccables.
Materiel Boucherie : L’Art de la Coupe
Les boucheries sont le lieu où la viande est découpée avec précision et préparée pour les clients. Le materiel de boucherie de qualité est essentiel pour garantir la sécurité alimentaire et la satisfaction des clients. Les scies à os, les hachoirs à viande, les trancheuses de charcuterie et les chambres froides sont des éléments incontournables pour les bouchers professionnels.
Materiel Snack : Rapidité et Efficacité
Les snacks sont connus pour leur rapidité et leur efficacité. Les friteuses, les grills, les appareils à paninis et les machines à milk-shakes sont autant d’exemples de materiel de snack essentiels pour préparer rapidement des repas délicieux.
Materiel Pizzeria : L’Art de la Pizza
La pizza est l’un des plats les plus appréciés dans le monde entier, et la pizzeria doit être bien équipée pour satisfaire les papilles exigeantes des clients. Les fours à pizza à haute température, les pétrins à pâte à pizza, les tables à pizza et les pelles à pizza sont des équipements indispensables pour créer des pizzas croustillantes et savoureuses.
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Materiel Cuisine : L’Équipement de Base
Dans le domaine de la cuisine en général, le choix du materiel est essentiel. Les cuisiniers professionnels ont besoin de cuisinières, de hottes de cuisine, de réfrigérateurs commerciaux et de plans de travail spacieux pour préparer des plats de qualité supérieure.
Materiel Cuisine Professionnelle : L’Excellence à son Meilleur
Pour les établissements de restauration professionnelle, le materiel de cuisine professionnel est une exigence. Les cuisines professionnelles sont équipées de fours à convection, de grills à charbon de bois, de machines à glace à haute capacité et de lave-vaisselle commerciaux pour répondre à la demande élevée des clients.
Comptoir Professionnel : L’Accueil de vos Clients
Les comptoirs professionnels jouent un rôle essentiel dans l’accueil des clients. Que ce soit dans une boulangerie, une pâtisserie, un snack ou un restaurant, un comptoir bien conçu offre un espace efficace pour la prise de commandes et sert souvent de vitrine pour les produits disponibles.
Vitrine Professionnelle : Mise en Valeur de vos Créations
Les vitrines professionnelles sont un élément clé pour présenter les produits alimentaires de manière attrayante. Que vous vendiez des gâteaux, des viandes ou des pizzas, une vitrine de qualité mettra en valeur vos créations et encouragera les clients à faire des achats.
En conclusion, le choix du materiel dans le domaine de la restauration professionnelle est un investissement essentiel pour la réussite de votre entreprise. Du four à pizza de la pizzeria au comptoir de la boulangerie, chaque élément contribue à la qualité des produits que vous offrez à vos clients. Investir dans du materiel de qualité professionnelle vous permettra de cuisiner avec précision, de gagner du temps et de garantir la satisfaction de vos clients, ce qui est la clé du succès dans le monde de la restauration.
URL: https://www.materielhoreca.com/
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MARDI 9 MAI 2023 (Billet 1 / 4)
Ils étaient une centaine de millions de curieux à travers le monde à assister au Couronnement de Charles III et de Camilla samedi dernier. Quel score en France ? La cérémonie était retransmise sur TF1, France 2, M6 et les chaînes d'information en continu. Selon les données Médiamétrie, près de 9 millions de Français ont suivi cette journée historique.
À titre de comparaison, la cérémonie d'obsèques de la reine Elizabeth II d'Angleterre avait réuni 7,5 millions de téléspectateurs en septembre 2022 sur l'ensemble des chaînes françaises. Les obsèques du mari de la reine, le prince Philip, avaient attiré 7 millions de téléspectateurs le 17 avril 2021. Plus de 8 millions de téléspectateurs étaient devant le mariage du prince Harry et de Meghan Markle le 19 mai 2018 contre 9 millions le 29 avril 2011 pour le mariage du prince William et de Kate Middleton.
Le record pour un événement autour de la monarchie britannique est détenu par les obsèques de Lady Diana, le 6 septembre 1997, qui avaient été regardées en France par 10,1 millions de téléspectateurs en moyenne, et seulement sur TF1 et France 2, les chaînes info n'existant pas encore à l'époque. En 1953, le couronnement de la reine Elizabeth II avait été diffusé à la télévision française, quand l'Hexagone ne comptait que 59.971 récepteurs TV. Les curieux s'étaient rassemblés dans les rues ou chez leurs voisins équipés pour suivre cet événement, le premier de cette envergure à être diffusé en direct internationalement.
(Source : « lefigaro.fr »)
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Des millions de personnes, en France et dans le monde, ont donc regardé la Cérémonie du Couronnement du Roi Charles III et de la Reine Camilla. Mais autour de nous, le lendemain, les commentaires unanimes ont été : « c’était très long… beaucoup trop long ! ».
Par contre, nous avons été peut-être presque les seuls au monde à avoir enregistrer les 7-8 heures que France 2 a consacrées à l’événement.
Comme nous recevions samedi dans l’après-midi nos voisins pour un thé à la menthe et des pâtisseries rapportées du Maroc (voir le Blog de dimanche) et qu’il fallait mettre un peu d’ordre (et de propre) dans la maison, il n’était pas question que nous restions assis sur notre canapé à regarder la télé ! Et puis vous savez que nous voyons rarement la télé en direct. Alors, du coup, samedi soir, au moment de l’apéro et durant le dîner, tranquillement installés dans le Den, nous avons regardé notre enregistrement. Et grâce à la télécommande, nous avons pu ainsi sauter toutes les parties qui nous semblaient ennuyeuses… et NOUS NOUS SOMMES RÉGALÉS !
Nous avons même repris le lendemain matin le visionnage durant le petit déj. Quel bonheur d’appuyer sur PAUSE lorsqu’on va préparer l’apéro, lorsque Marina est allée s’occuper du dîner ou au moment de débarrasser, entre autres ! Franchement, ça change tout ! Un exemple parmi de nombreux autres : le sermon interminable de l’Archevêque… pfuiiiit… avance accélérée… et quelques secondes plus tard… pfuiiiit… 17 minutes ont défilé à toute vitesse et on a pu reprendre le cours de la cérémonie. Etc, etc…
Nous avons beaucoup apprécié le choix des Airs durant la Messe, l’orchestre dirigé par Elliot Gardiner et surtout le chœur, somptueux (enfants, ados et adultes), et les commentaires de Stéphane Bern et d’Adelaïde de Clermont Tonnerre.
Justement, après la sortie de la Cathédrale, lors de la (très) longue progression jusqu’au Palais de Buckingham, nous avons appris la coutume du « Plat du Couronnement ».
Après son couronnement, la Reine Elizabeth avait choisi du poulet avec une sauce à base de curry et pour celui de Charles, c’était un plat qu’il a voulu végétarien : une quiche aux épinards un peu particulière.
Marina, pour s’amuser (« L’ennui naquit un jour de l’uniformité… »), est allée chercher sa recette sur le Net. Celle de Cyril Lignac lui ayant semblé la mieux expliquée, c’est celle-ci qu’elle a choisie et nous l’avons mangée dimanche soir.
Vous la trouverez ci-dessous, suivie de quelques photos pour « immortaliser » cette « première ».
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Charles III : Cyril Lignac partage la recette de la quiche servie au Couronnement
À l’occasion du « grand déjeuner du Couronnement » (pique-niques organisés entre voisins un peu partout en Grande-Bretagne), qui se tient dimanche midi, les Britanniques sont invités à réaliser eux aussi la quiche aux épinards (« Coronation Quiche ») qui sera servie au Roi et à ses proches, selon la recette officielle, publiée sur le site de la famille royale britannique et réalisée par le chef royal Mark Flanagan.
Pour 6 personnes
Ingrédients :
1 pâte brisée
125 ml de lait entier
60 g de fèves cuites à l’eau
100 g de cheddar râpé
Sel fin et poivre du moulin
175 ml de crème entière
2 œufs
180 g de pousses d’épinards passés à la poêle
1 cuil. à soupe d’estragon haché
Recette :
Préchauffer le four à 190°C.
Foncer la pâte dans un moule à tarte beurré de 20 cm de diamètre, piquer le fond.
Préparer l’appareil de la quiche : dans un saladier, mélanger le lait et la crème, ajouter les œufs et l’estragon haché. Déposer dans le fond de la tarte le cheddar râpé, les feuilles d’épinards passés à la poêle et les fèves cuites bien étalés, verser l’appareil liquide, parsemer d’un peu de cheddar râpé.
Enfourner 25 minutes.
Vous pouvez servir votre tarte avec une salade verte assaisonnée d’une vinaigrette de votre choix.
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La « Royale quiche » faite par Marina était pas mal mais ce n’est pas sûr qu’elle la refasse. Par contre, nous avons trouvé l’idée amusante. Les goûts culinaires des Anglais, sans vouloir vexer personne… no comment !
A Londres…
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Et chez nous...
NB Les sets avec les petits pompons de couleur nous ont été offerts par nos amis Mostéfa et Fatiah.
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naoparis · 2 years
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【クープ・デュ・モンド・ドゥ・ラ・パティスリー Coupe du Monde de la Patisserie 2023】
【クープ・デュ・モンド・ドゥ・ラ・パティスリー Coupe du Monde de la Patisserie 2023】日本代表が優勝Le Japon remporte la Coupe du monde de pâtisserie【フランス】
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actu24hp · 2 years
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Le Japon remporte la Coupe du monde de la pâtisserie à Lyon
Par Le Figaro avec AFP Publié il y a 3 heures, Mis à jour il y a 29 minutes Il s’agit de la troisième victoire nippone depuis la création du concours en 1989. La France et l’Italie sont arrivées en deuxième et troisième positions. Le Japon a remporté samedi la Coupe du monde de la pâtisserie, devant la France et l’Italie, lors du Sirha, le grand rendez-vous des professionnels de la restauration…
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chefkevinashton · 2 years
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My interview in Chef & Restaurant Magazine
My interview in Chef & Restaurant Magazine
My interview with the UK pastry team was published in October’s 2022 copy of Chef and Restaurant magazine.  It was part of an eight page article on the upcoming Pastry World Cup that happens in Lyon, in January 2023. You can also see a flick through of the magazine on Instagram If you wished to read the whole interview you can read it here.
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alimentetasante · 2 years
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Comment s'alimenter le lendemain de repas de fête
Aujourd’hui,à l’approche des fêtes de fin d’année et pour ceux qui ont trop fêté les matchs de coupe du monde, je trouvais intéressant de traiter le sujet des lendemains de fêtes en alimentation ! Qui n'a jamais (ou connait quelqu'un) été courir à jeun le 1er janvier pour se donner bonne conscience après le réveillon et quasiment rien mangé ce jour-là ? Même moi je l'ai fait il fut un temps après ces repas beaucoup trop copieux !
La bonne conduite est de retrouver une alimentation saine et équilibrée avec les justes quantités nécessaires ! Pourquoi ?
Voici toutes les raisons :
➡️Nous l'avons vu pour l'hydratation, le corps ne stock pas l'eau que nous buvons, si vous buvez 4l un jour cela ne veut pas dire que le lendemain vous pourrez ne rien boire pour avoir vos 2l par jour, et bien pour les protéines c'est pareil. Chaque jour, je dirais meme plus toutes les 2-3h, le corps élimine le surplus de protéine via les reins et ne peut pas faire de stock. Hors les protéines sont indispensables au bon fonctionnement global de notre corps (pas que les muscles, certaines hormones par exemple) donc déjà, le lendemain de repas de fête, il est important de ne pas faire l'impasse sur la quantité nécessaire de protéine (qui dépend bien sur de votre poids, taille...) !
➡️ Deuxième point important, les glucides ! Si votre souhait est de perdre de poids (rappelez vous la différence entre perdre du poids et maigrir qui est très importante ! cf un de mes précédents post) le corps a besoin, pour bruler les graisses, de glucose ! Sans cela il ira piocher dans votre masse maigre pour avoir de l'énergie et vous perdrez donc plus de masse musculaire que de masse grasse ! Donc on évite de bannir les glucides le lendemain de fête mais on les sélectionne pour leur qualité (glucides à indice glycémique bas) et on réduit bien sur fortement la quantité. De plus, si vous souhaitez également compenser en pratiquant une activité physique rappelez vous que les glucides sont le substrat énergétique principal pour avoir de l'énergie ou encore pour que l'assimilation des protéines se fasse mieux dans notre corps. En revanche, on évite de les manger seuls, hors des repas (par exemple un fruit en collation) et mixés (jus de fruits, compotes) pour limiter l'impact glycémique de l'aliment.
* Troisième point important ! On boit beaucoup d'eau pour aider notre corps à éliminer !
* Et pour finir évidemment, on évitera l'alcool, les sucreries, pâtisseries, aliments transformés et on fait la part belle aux fruits et légumes pour les antioxydants, les vitamines, les minéraux et l'apport en eau !
Enfin, si vous décidez de faire un petit run à jeun, cela peut être une très bonne idée mais pensez à bien vous hydrater pendant l'effort, à prendre le temps de bien vous réveiller avant et à prendre un petit déjeuner sain ensuite (par exemple Skyr, kiwi et fruits rouges et noix avec un thé noir = protéines, glucides, oméga 3, vitamine C et antioxydant) Passez de bonnes fêtes !!
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faloulou · 2 years
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10 cadeaux d’anniversaire que vos enfants vont adorer
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Tout le monde aime un cadeau spécial pour son anniversaire : surtout nos enfants ! J’ai dressé une liste de 10 cadeaux mémorables que vous pouvez offrir à vos enfants le jour de leur anniversaire sans vous ruiner.
Fournitures artistiques : presque tous les enfants aiment les crayons, les marqueurs, les autocollants, les crayons de couleur, les stylos gel, les papiers spéciaux et les ciseaux, la craie de trottoir, les aquarelles, les tampons en caoutchouc faits maison, les instructions de calligraphie des livres “comment dessiner”, ou les instructions d’origami et le papier de couleur. Un cadeau de fournitures artistiques encourage non seulement les jeunes à utiliser leur imagination, mais il peut être un régal supplémentaire lorsque vous passez du temps avec eux à les utiliser.
Les livres sont toujours d’excellents cadeaux pour tous les âges : on trouve des livres musicaux ou grinçants pour les plus petits, des nouvelles pour les maternelles, des livres d’aventures pour les 9–11 ans, etc. : il y en a pour tous les goûts. Vous pouvez également acheter des livres sur les intérêts de votre enfant, des livres sur les carrières, etc.
Un film classique, qui ne se démode jamais, idéal lorsque des amis viennent, ou le jour où ils s’ennuient et que rien d’autre ne pourrait les aider.
Pour les garçons plus âgés, une trousse à outils serait formidable : leur donne l’occasion de travailler côte à côte avec papa et peut-être d’apprendre une compétence de vie.
Pour les filles plus âgées, les perles pourraient signifier des heures de plaisir. Achetez une variété de couleurs et de formes et regardez votre petite princesse profiter d’heures de bonheur.
Au gourmand, donnez un rouleau de pâte à biscuits au sucre de l’épicerie, ainsi que quelques emporte-pièces et un rouleau à pâtisserie. Encore une fois, ce serait très amusant à faire pour le petit et à partager avec ses amis et sa famille.
Pour les amoureux de la nature, un kit de jardinage avec quelques petits pots remplis de terreau, quelques graines et un arrosoir en plastique peut donner d’innombrables heures de plaisir, tout en prenant soin des plantes et en les regardant pousser.
Un appareil photo jetable ajoutera un coup de fouet à la fête. Si votre budget le permet, ajoutez un petit album photo et vous créerez instantanément de merveilleux souvenirs de cet anniversaire.
Un panier amusant : trouvez un panier bon marché ou un autre récipient, peut-être un seau pour les enfants, et remplissez-le d’objets amusants et bon marché. Par exemple, du silly putty, un pistolet à eau, un jeu de cartes, de la craie de trottoir, etc. Pour les garçons, vous pouvez ajouter des petites voitures et pour les filles, ajoutez des accessoires pour les cheveux. Terminez-le avec des bonbons ou un distributeur de pez et vous avez un cadeau amusant. Si vous trouvez de petites choses amusantes que la plupart des enfants trouvent intéressantes, prenez-en un tas afin d’avoir à tout moment une réserve d’articles à mélanger et assortir pour un anniversaire.
Les enfants recherchent l’attention des personnes importantes dans leur vie (maman, papa, grand-parent, tante, frère aîné). Offrez du temps à cet enfant spécial : une journée avec vous avec un déjeuner, un film et/ou des achats pour le cadeau de son choix.
Outil miracle pour des enfants et parents épanouis Ce guide simple et efficace est destiné à toutes les personnes qui veulent : Comprendre leur enfant- Etre plus efficace dans leur quotidien avec leur enfant- Encourager l’épanouissement de leur
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Prankster Darling, George Weasey x Female OC
1991-1992 : Le Chupacabra (Partie 1)
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❀ George et Fred l'avaient rencontrée en troisième année et l'avaient tout de suite prise sous leurs ailes. Ils l'appelaient le chupacabra et sa réputation de bagarreuse était légendaire à Poudlard. George, quant à lui, n'avait jamais vu Théodora Tonks autrement que comme le garçon manqué en colère qu'elle était.
Un fameux été 1994, Théodora change du tout au tout et est bien décidée à réclamer le cœur de George Weasley.
/!\ Cette œuvre ne m'appartient pas en totalité. La plupart des personnages (et quelques évènements) qui apparaîtront dans cette fiction sont issus de l'univers du Monde des Sorciers, créés par JK Rowling. /!\
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La fraîcheur de l'hiver s'installait doucement sur le château de Poudlard. Dans le ciel noir, les chouettes et les hiboux peinaient à trouver leurs chemins parmi les nuages d'encre. Théodora dévalait la colline en direction de la petite cabane accueillante d'Hagrid. Ce dernier lui avait demandé de passer pour qu'elle rencontre le nouveau botruc dont il s'occupait. De là où elle se trouvait, elle parvenait à sentir le parfum alléchant de ses biscuits rochers. Elle se frotta les mains à la perspective de bientôt pouvoir fourrer les fameux gâteaux dans sa bouche. Théodora semblait être la seule à Poudlard à apprécier la pâtisserie du garde-chasse. Elle avait immanquablement des goûts douteux en matière de cuisine.
Elle se trouvait à quelques mètres quand elle entendit les éclats de voix qui émanaient de la lisière de la forêt. Elle plissa les yeux pour ajuster sa vision. Théodora reconnut aussitôt la tête blonde pale de Drago Malefoy, encadré par les carrures imposantes de Crabbe et Goyle, ses fidèles acolytes. Elle tendit l'oreille tout en poursuivant sa route. Malefoy semblait aboyer des insultes sur quelqu'un. Les injures fusaient en un flot ininterrompu de lave ardente. De temps en temps, il marquait une pause pour laisser le temps à Crabbe et Goyle d'assimiler ce qu'il disait. Ces deux derniers s'écroulaient de rire, applaudissant comme des primates devant un spectacle de clowns. 
Théodora s'arrêta pour voir à qui il s'adressait. Son regard tomba alors sur les visages identiques de Fred et George Weasley. Les jumeaux dardaient Malefoy d'un œil brillant, retenus chacun par un Lee Jordan et une Angelina Johnson essoufflés. Un sourire triomphal s'étalait sur le visage du Serpentard qui reprit de plus belle. L'on pouvait lui reprocher bien des choses mais il fallait reconnaître que sa pugnacité n'avait pas d'égal à Poudlard. Théodora se réfugia derrière un arbre pour les observer sans être vue. 
-...une honte pour les sorciers du monde entier,sifflait la voix trainante de Malefoy. Pas étonnant que vous vous comportiez de la sorte. Moi aussi, je me rebellerai contre le règlement si j'habitais dans un tel trou à rats. Je me demande comment fait leur mère pour passer la porte quand on sait qu'elle est aussi imposante que ce balourd d'Hagrid !
Crabbe et Goyle s'esclaffèrent une nouvelle fois. Les visages des jumeaux se durcissaient sous les paroles de Malefoy. Théodora fut aussitôt submergée par une vague de compassion envers eux deux. Les médisances de Malefoy n'épargnaient personne ; elle en avait elle-même fait les frais en son premier jour d'école, le lendemain de la cérémonie des répartitions. Elle avait subi ses attaques sans rien dire et s'était contentée de serrer les poings en se détournant. Cependant, le voir se défouler ainsi sur les frères Weasley avec une telle véhémence la remplissait de rage, sentiment auquel elle était souvent sujette depuis quelques temps.
- Mon père dit que le père Weas-moche n'en a plus pour longtemps au ministère.  Apparemment, on s'est finalement rendu compte de sa médiocrité. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'on l'expédie avec un bon coup de pied au...
Théodora ressentit une douleur cuisante sur ses phalanges, les mêmes qui venaient de frapper Drago Malefoy à la mâchoire. Ce dernier s'étala sur le sol, faisant se soulever les mottes de terre. Il leva des yeux surpris sur Théodora qui se tenait au-dessus de lui, le visage toujours déformé par la fureur. Sa lèvre inférieure étaient fendue et un mince filet de sang souillait sa cravate rayée de vert et argent. Il esquissa un sourire douloureux.
- Va jouer ailleurs Malefoy !
- Tiens tiens, on a réveillé la bête, pouffa-t-il en se relevant. T'es le dragon de garde des Weas-moche maintenant ?
Ces derniers semblèrent s'être calmés après l'arrivée de Théodora. Ils parvinrent à se défaire des poignes de Lee et d'Angelina. Théodora les entendait respirer derrière elle. La tension était palpable. Elle sentait leur colère fendre l'air alors qu'ils continuaient d'observer Malefoy.
Il épousseta les pans de sa robe. Une lueur s'alluma au fond de son regard gris ; visiblement, l'idée de molester Théodora à son tour lui donnait une grande satisfaction. Il avait l'air d'un chien venant de débusquer un rat dans les buissons. Son visage trahissait sa malveillance. 
- Comment oses-tu poser la main sur moi, infâme sang-mêlé ?
Théodora frémit. Les yeux de Malefoy se posèrent sur ses poings serrés. Il jubilait. Derrière lui, Crabbe et Goyle s'agitaient, curieux de connaître la suite des évènements. Théodora n'avait pas peur d'eux ; en revanche, elle redoutait les paroles acerbes de Malefoy. Qu'il s'attaque à elle était une chose, qu'il s'attaque à sa famille et à ses parents en particulier, en était une autre.
- Tu sais ce qu'on chuchote au sujet de ta mère, Tonks ?
Les oreilles de Théodora bourdonnaient. Elle savait parfaitement ce que pensait les Malefoy du style de vie de sa mère. Elle savait également que les sentiments qu'ils entretenaient à l'égard d'Andromeda Tonks n'avaient rien de tendre.
Théodora ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase et laissa sa colère exploser. Elle s'élança vers Malefoy et levant sa jambe, asséna un coup de genou dans l'abdomen du garçon qui se plia en deux sous l'effet de la douleur. Sa figure se colora d'une belle couleur pourpre. Elle brandit alors, son poing évitant de justesse la main potelée de Goyle qui cherchait son bras pour le retenir. Elle sentit le nez en pointe de Drago se briser sous la puissance de son coup. Le bruit de son os qui cédait envoya une décharge délicieuse le long de son épine dorsale. Crabbe et Goyle s'affolèrent en voyant le sang gicler. Ils prirent Drago chacun par un bras pour l'entraîner vers le château. 
Les quatre autres n'avaient toujours pas bougé, la bouche béante. Le cœur de Théodora bondit dans sa poitrine. L'idée qu'elle ait pu infliger la douleur à Malefoy, même infime fût-elle, la délectait. Le bruissement léger du feuillage au-dessus de sa tête suffit à couvrir le murmure de sa respiration haletante. Elle entendit vaguement les clameurs admiratives provenant du petit groupe de Gryffondors mais préféra se retrancher dans sa solitude. Elle se para d'un sourire et reprit la direction de la cabane d'Hagrid, les pensées déjà tournées vers les biscuits-rochers. 
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On vint chercher Théodora dans son dortoir quelques heures plus tard. Elle cessa de brosser les poils de Plumeau, son chat, pour suivre la préfète de sa maison. Sur le chemin, elles n'échangèrent aucun mot mais Théodora n'eut aucun mal à deviner leur destination.
Côte à côte, elles descendirent une volée de marches et traversèrent un long couloir sinistre, seulement éclairé par la lumière de torches murales. La préfète la conduisait au bureau du professeur Rogue où l'attendait également le professeur Chourave.  La professeure de Botanique posa sur elle un regard bienveillant quand elle entra dans la pièce à la lueur tamisée.
 Le bureau du professeur Rogue était de nature assez  austère et son plafond voûté lui donnait un air de donjon. Des étagères sur lesquels luisaient des centaines de bocaux couraient le long de chaque mur. 
La préfète prit congé après avoir soufflé un "bonne chance" à Théodora. Retrouvée seule avec les deux professeurs, elle se maudit elle-même d'avoir cultivé sa fâcheuse tendance à perdre son sang-froid. 
- Mademoiselle Tonks, savez-vous pourquoi vous avez été appelée dans ce bureau ?demanda le professeur Chourave.
Elle contourna le bureau en bois de frêne du professeur Rogue pour se retrouver face à  Théodora qui haussa nonchalamment les épaules. Les talons de ses bottes de cuir martelaient le sol dallé d'une manière sinistre.
- Je suppose que Malefoy s'est plaint à mon sujet...
- Monsieur Malefoy affirme que vous l'auriez agressé, plus tôt dans l'après-midi. Est-ce vrai ?
- Enfin professeure, vous avez entendu comme moi les témoignages des Messieurs Crabbe et Goyle ! intervint le professeur Rogue.
Il releva légèrement le menton pour toiser Théodora par dessus son nez crochu.  
- Je préfère écouter la version de mademoiselle Tonks avant d'établir les faits.
- Les faits,répliqua sèchement le professeur Rogue, chère professeure Chourave, se sont déroulés comme suit. Le jeune Malefoy se promenait à la lisière de la forêt en compagnie de ses camarades de classe quand mademoiselle Tonks l'a agressé.
- Il s'en est pris aux frères Weasley, il fallait bien que quelqu'un riposte !se défendit Théodora en dardant sur Rogue un regard plein de défi.
- N'avez-vous pas jugé utile de faire appel à un professeur au lieu de rendre justice vous-même ?
Théodora se contenta de baisser les yeux, préférant se murer dans le silence. Elle avait beau jouer les dures, le regard glacé du professeur de potions l'intimidait. Elle croisa les mains derrière son dos pour les empêcher de trembler mais se redressa pour faire croire à ses interlocuteurs qu'elle n'avait pas perdu sa contenance. Elle entendit nettement le professeur Chourave pousser un soupir.
- Le règlement de l'école interdit les duels à la baguette magique mais les jeux de mains sont tout autant sévèrement punis.
La ton de sa voix fit frissonner Théodora qui n'avait pas l'habitude d'entendre le professeur s'exprimer si durement. 
- J'enlève cinquante points à Poufsouffle, reprit-elle.
Théodora étouffa sa plainte en mordant sa lèvre avec force. Elle pensa à la lettre qui tomberait bientôt entre les mains de ses parents, celle qui relaterait ses dernières frasques. Elle sentit un frisson d'effroi caresser son échine lorsqu'elle imagina leurs mines déçues. Ils l'avaient prévenue maintes fois de se faire toute petite, d'éviter les ennuis et surtout les bagarres. Mais Théodora avait toujours eu du mal à taire ses pulsions. Elle s'exprimait avec ses poings et n'hésitait pas à cogner si elle en ressentait le besoin. C'était sa façon bien à elle de rendre justice. Rogue grimaça et grogna doucement en croisant les bras sur sa poitrine, faisant onduler les pans de sa robe et lui donnant l'allure lugubre d'un corbeau.
- Seulement cinquante points ? Je vous rappelle qu'à l'heure même où nous parlons,  le jeune Malefoy se trouve à l'infirmerie, souffrant le martyr.
Le professeur Chourave leva un regard surpris vers lui.
- Qu'êtes-vous en train de suggérer ?
Le professeur Rogue esquissa l'ombre d'un demi-sourire, le seul geste de bonheur qu'il fût capable de réaliser.
- Je propose qu'on enlève cent points à mademoiselle Tonks, une sanction que j'estime plus que clémente.
Le professeur Chourave secoua énergiquement la tête en signe de dénégation.
- J'enlève cinquante points à Poufsouffle et Théodora Tonks sera également de corvée dans les serres pendant un mois.
Elle se tourna alors vers Théodora dont le cou s'enflammait d'embarras. 
- Vous arracherez les mauvaises herbes et vous occuperez de mes plantes. Je vous enverrai un hibou pour vous présenter plus amplement les termes de cette punition.
A côte d'elle, le professeur Rogue grinçait des dents, visiblement peu satisfait de la sentence prononcée. 
- Vous pouvez disposer.
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Thédora reçut un hibou au cours de la semaine suivante, la sommant de se rendre aux serres de Botanique le vendredi après-midi après les cours. Elle s'y rendit en traînant des pieds. Quand elle entra dans la serre numéro quatre, une bouffée de chaleur la frappa de plein fouet et colla à sa peau comme une ventouse. Le professeur Chourave était là, penchée sur un bubobulb dont elle extrayait le pus avec une douceur infinie. Elle n'avait pas semblé remarquer l'arrivée de Théodora qui toussota pour attirer son attention. 
- Ah bonjour mademoiselle Tonks !chantonna-t-elle en scellant un flacon de pus.
Elle paraissait étonnamment joyeuse compte tenu des récents évènements qui les avaient toutes les deux poussées à se réunir dans cette serre, un vendredi après-midi ensoleillé.
- J'espère que vous avez apporté vos gants de protection.
Théodora acquiesça vivement en tapotant la poche intérieure de sa robe, là où elle avait casé ses gants.
- Comme je vous l'ai expliqué dans la lettre que je vous ai envoyée, vous serez de corvée tous les vendredi pendant un mois et au-delà si besoin est. 
Elle retira ses gants en peau de dragon et les rangea dans l'armoire derrière elle. Théodora réalisa que c'était la première fois qu'elle voyait le professeur sans ses protections. Ses yeux tombèrent sur ses doigts fins, sur l'anneau brillant qui ornait son majeur. Avait-elle une vie en dehors de l'enceinte du château ? Avait-elle quelqu'un de spécial qui l'attendait à l'extérieur ? Le professeur surpris son regard. Elle ne tenta pas de cacher ses mains, comme Théodora s'y était attendue. Elle lui sourit et des rides se dessinèrent autour de ses yeux. 
- Inutile de vous dire que j'ai été très surprise d'apprendre ce qui s'était passé entre vous et monsieur Malefoy.
Le visage de Théodora s'assombrit.
- Surprise parce que j'ai réalisé que je m'étais trompée à votre sujet. Jusqu'à présent, je vous croyais différente de votre sœur mais maintenant, je sais que vous êtes aussi prompt à l'indiscipline que Nymphadora.
Elle rit doucement, suscitant un sourire sur les lèvres de Théodora.
- Je ne risque pas de m'ennuyer avec vous.
Son rire s'évanouit. Le professeur Chourave retrouva son sérieux.
- Vos raisons étaient louables, c'est pourquoi je ne ressens pas le besoin d'être sévère avec vous. De plus, vous êtes une très bonne élève et vous avez montré un réel talent pour ma matière. Je ne doute pas que vous traiterez mes plantes avec respect et soin. Peut-être vous découvrirez-vous une vocation dans cette branche, qui sait ?
Elle lança un clin d'oeil en direction de Théodora et ajouta :
- J'ai pris le soin de dresser une liste des tâches à accomplir que vous trouverez sur mon bureau. Je reste disponible si jamais vous veniez à être en difficulté. 
Théodora la remercia et le professeur quitta la serre en sifflotant joyeusement. Retrouvée seule, la jeune sorcière se dirigea vers le bureau. Elle parcourut d'un œil vif la liste du professeur Chourave et poussa un soupir en comptant le nombre de corvées à effectuer. Loin de se laisser abattre, elle rassembla ses cheveux en une queue de cheval et attrapa un balai et une pelle. Elle entreprit de nettoyer les tables maculées d'engrais. Elle rangea les produits contre les limaces sur les étagères, recompta les cache-oreilles, arrosa les plantes, rempota les pots. Elle travaillait en fredonnant, se trouvant ravie de pouvoir accomplir toutes ces tâches. Théodora se rendit vite compte que sa punition n'en était pas vraiment une. Elle se sentait apaisée au milieu de toutes ces plantes. Même la chaleur étouffante de la serre ne semblait plus la déranger. Les heures s'étiraient mais Théodora se complaisait à aller et venir dans la serre, redoutant le moment où elle devrait raccrocher ses gants et retrouver le brouhaha de sa salle commune. Il y avait encore tant à faire !
Munie d'une pince et de ses gants en peau de dragon, Théodora s'approcha d'un figuier abyssinien. C'était la première fois qu'elle en voyait un d'aussi près. La plante n'était pas au programme de première année mais elle avait lu assez de livres de botanique pour savoir  exactement comment s'y prendre avec elle ; visiblement, le professeur Chourave avait assez confiance en elle pour lui laisser la responsabilité d'une plante aussi capricieuse. Elle taillait en silence, les sourcils arqués, concentrée sur ses gestes. 
- Pas mal ta punition ! 
Théodora sursauta et laissa échapper un petit cri aigu. Elle se tourna vers la voix qui l'avait interpelée. Les jumeaux Weasley lui souriaient à l'autre bout de la serre. 
- Pourquoi on n'est jamais de corvée dans les serres ?s'enquit l'un d'eux en grognant. 
- C'est comme s'ils faisaient exprès de nous tenir éloignés des plus grandes sources de divertissement,commenta l'autre.
Ils secouèrent la tête avec un air faussement consterné et s'approchèrent de Théodora d'une démarche bondissante.
- Qu'est-ce que vous faîtes ici ?
- Avec George, on s'est rendu compte qu'on ne t'avait pas remercié pour ce que tu avais fait pour nous.
- Nous ne sommes pas facilement impressionnés mais je dois avouer que ton crochet du droit était incroyable.
Ledit George mima le coup de poing que Théodora avait asséné à Malefoy. Son frère grimaça et s'affala sur le sol de la serre, dans une parfaite imitation du serpentard. Ils éclatèrent de rire, se tenant le ventre. Théodora était trop stupéfaite pour parler. Ils l'avaient rejointe volontairement ; ils s'étaient donc renseignés pour savoir où elle se trouvait. Ils étaient là pour elle, pour lui exprimer leur gratitude. Elle sentit une boule de chaleur se former dans sa poitrine. 
Théodora les regarda tour à tour. Elle n'avait jamais eu l'occasion de leur parler et ne les connaissait que de nom. Elle savait qu'ils étaient assez populaires dans l'école, connus pour être des farceurs impénitents, au cœur de tous les évènements à Poudlard. Qu'on les apprécie ou non, personne ne pouvait s'empêcher de les admirer, de rechercher leur compagnie et d'applaudir leurs méfaits. 
Plus vieux qu'elle de deux ans, les jumeaux entamaient leur troisième année à Poudlard. Théodora les avait remarqués dès le premier jour du mois de septembre alors qu'elle se faufilait sur les quais pour rejoindre le Poudlard Express. L'un d'eux câlinait une tarentule géante sous les regards excités de son frère et de Lee Jordan, heureux de leur présenter son animal de compagnie. Curieuse, elle s'était demandée si une telle compagnie était autorisée à l'école. Dès lors, elle n'avait jamais cessé de s'intéresser à eux, toujours au premier rang chaque fois que leurs farces troublaient les couloirs du château.
Les jumeaux avaient retrouvé leur calme et l'observaient en silence.
- Tu as encore du pain sur la planche on dirait.
Théodora haussa les épaules.
- Pas vraiment, il ne me reste qu'à choyer quelques plantes et passer la serpillère et j'aurais fini en un rien de temps.
- D'accord,firent-ils en chœur.
Ils attrapèrent une serpillère chacun.
- On va te donner un coup de main.
- Non non non, ne vous en donnez pas la peine. C'est ma punition.
- Punition que tu dois effectuer après nous être venue en aide. On te doit une fière chandelle, alors laisse-nous au moins te rendre la pareille.
- Vous n'êtes pas obligés.
Le jumeau qui venait de parler leva les yeux au ciel. Il se dirigea vers un coin de la serre et posa la serpillère à terre, prêt à frotter, aussitôt imité par son frère. Celui-ci prit la parole :
- Au fait, moi c'est Fred et lui c'est George.
- Je m'appelle Théodora Tonks.
Les visages de Fred et George s'illuminèrent.
- Attends ! T'es la petite sœur de Tonks ?
Théodora esquissa un sourire gêné. Jusqu'à présent, lorsqu'elle mentionnait être la petite soeur de Nymphadora Tonks, les gens la dévisageaient avec un regard noir avant de se plaindre avec passion des méfaits de la métamorphomage. Elle soupira.
- Je tiens à m'excuser de sa part pour tout ce que...
George l'interrompit, les yeux brillants et désinvoltes.
- Tu plaisantes,s'écria-t-il. Cette fille est un génie de la farce, une de nos meilleures rencontres à l'école. Son esprit facétieux ne sera jamais oublié, nous lui devons tant.
Il posa la main sur son cœur et leva les yeux vers le plafond avec un air solennel. Théodora ne put s'empêcher de sourire. Il émanait de lui quelque chose d'étrange ; une lumière radieuse et bienveillante. 
- Tu es une métamorphomage toi aussi ?s'enquit George. Comme ta sœur ? 
Théodora perdit son sourire. Elle leur tourna le dos, faisant mine de s'intéresser au figuier abyssinien. 
- Je n'ai malheureusement pas hérité de son talent.
Elle les entendit alors s'activer derrière elle. Théodora leur en fut reconnaissante de ne pas s'attarder sur le sujet. Les jumeaux s'appliquaient dans leurs tâches mais cette attitude sérieuse s'évanouit aussitôt quand George glissa dans l'eau laissée derrière par la serpillère de son frère. Celui-ci partit dans un grand éclat de rire, bientôt rejoint par Théodora. George se releva en pestant mais ne parvint pas à cacher le sourire qui étirait ses propres lèvres. Il jeta une poignée de bouse sur Fred qui s'étala par terre sans s'arrêter de rire pour autant. 
Théodora eut tout le loisir de les observer discrètement et remarqua plusieurs traits chez l'un qui le distinguaient de l'autre. Le visage de Fred paraissait légèrement plus rond que celui de George et ce dernier était légèrement plus grand. Un petit grain de beauté saillait le cou de George, petit détail introuvable chez son jumeau. Leurs regards ne pouvaient pas non plus être plus différents. Bien que tous deux étincelaient de malice, celui de George était tinté d'un velours plus doux, plus chaleureux. 
- On t'intrigue ?
George la considérait lui aussi. Théodora se détourna en rougissant et retourna à ses plantes. 
- Je suis juste étonnée de vous voir si appliqués. Vous donnez souvent l'impression d'être chaotiques de nature.
Fred ricana.
- Rassure-toi on l'est. Disons que nous savons rester sage quand la situation l'impose.
Il y eut plusieurs autres imprévus, durant lesquels Fred se fit mordre par un plant de snargalouf. Il paniqua et prétendit que la plante l'avait mordu avec tant de force qu'il faudrait sûrement lui amputer le doigt. George l'accusa de dramatiser et ils passèrent le reste du temps à se chamailler et en quelques minutes, la quantité de corvées avait sensiblement augmenté. Théodora en fut quelque peu ennuyée mais elle y voyait également l'opportunité de passer plus de temps avec les jumeaux. Ils se confondirent en excuses et promirent de tout nettoyer en quatrième vitesse.
Epuisée et affamée, Théodora s'arrêta pour consulter sa montre et réalisa avec amertume que le professeur Chourave ne lui avait pas précisé l'heure de la fin de sa retenue. Elle se débarrassa de ses gants et les fourra dans la poche de sa jupe.
- Je vous serai éternellement reconnaissante pour votre aide. 
Fred et George qui s'étaient accordé une pause étaient allongés sous une table. Ils tournèrent vers elle des visages usés. 
- Encore une fois, nous n'avons fait que te rendre la pareille pour ce que tu as fait pour nous dans la forêt.
- Même si on aurait pu faire autant de dégâts,ajouta Fred. Pas avec nos poings, bien entendu.
- Une farce soigneusement préparée peut aussi faire office de vengeance parfaite.
Théodora sourit. Elle devina sans mal ce qu'ils avaient en tête et espérait bien avoir raison.
- Vous compter piéger Malefoy ?
Les jumeaux haussèrent les épaules, un air malicieux passa furtivement sur leurs visages.
- Nous préférons garder cela secret pour le moment.
- Pour garder l'effet de surprise.
Ils complétaient la phrase de l'autre. Théodora n'était pas étrangère au phénomène de gémellité mais elle se trouvait toujours fascinée devant l'étrange lien qui unissait les doubles. Leur synchronicité ne manquait jamais de l'amuser. Elle poussa un cri d'excitation.
- Comment ? Vous allez remplacer son shampoing par de la teinture ? Piéger son chaudron pour que celui-ci explose en cours de Potions ? Ensorceler sa plume pour transformer toutes ses dissertations en chansons grivoises ? Remplir ses chaussettes de veracrasses ? Lui envoyer des lettres d'amour en lui faisant croire que c'est Rusard qui les a écrites ?
Les jumeaux riaient, visiblement surpris de témoigner de tant d'espièglerie de sa part. Plus Théodora parlait, plus les idées fusaient dans sa tête. Elle avait toujours adoré les farces. Quand on grandit avec une sœur comme Nymphadora Tonks, la malice et la facétie devient une partie importante de votre vie. 
Petite et pas encore en âge d'étudier à Poudlard, à chaque vacance d'été, elle attendait le retour de sa sœur de l'école  avec impatience pour entendre toutes les fabuleuses aventures qu'elle avait vécues avec son amie Tulipe Karasu. Nymphadora ne manquait jamais alors de lui rapporter des produits de chez Zonko et les deux sœurs s'amusaient à les tester sur leurs parents ; ceux-ci faisaient d'abord mine de les réprimander mais finissaient toujours par s'écrouler de rire avec elles.
- Est-ce que je peux y participer ? S'il vous plaît, ajouta-t-elle face à leur étonnement.
Les jumeaux firent une moue appréciatrice.
- George, est-ce que tu penses à la même chose que moi ?
- Que Théodora devrait rejoindre notre trio chaotique ?proposa George d'un ton excité.
- Il nous faut un quatrième cerveau et elle a l'air plutôt futée.
- Moi, j'apprécie ses talents de bagarreuse. Elle a l'apparence fragile d'une licorne mais elle est aussi féroce qu'un chupacabra.
Ils échangèrent une poignée de main avant de passer chacun un bras autour des épaules de Théodora. L'odeur de la bouse de dragon restée accroché sur la chemise de Fred la fit grimacer.
- Théodora Tonks, je suis fière de t'annoncer qu'à partir d'aujourd'hui tu rejoins officiellement la cour des Grands.
Théodora demeura interdite. George resserra son étreinte et le halo de lumière qui l'entourait lui et son jumeau sembla s'étendre pour envelopper la jeune sorcière. Elle sortit de la serre à leurs côtés et quand les têtes se tournèrent vers ce nouveau trio, elle sut que sa vie était sur le point de changer à tout jamais.
- Bienvenue, petit chupacabra.
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th3lost4uthor · 2 years
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Au Lotus Pourpre - Acte 2
“Et après ça… ? Après ?!
- Rien ! Comme je viens de te l’expliquer ! » S’impatienta Ligi. « C’est incompréhensible...
- Pas une seule petite passe ? Pas une caresse ?... Pas même un bisou de rien du tout ?!
- Il a dit qu’il venait « au sujet de sa femme », pas « à cause » d’elle ! » Elle roula les yeux d’exaspération. « Et « un bisous » : sérieusement ? Rappelle-moi ton âge ainsi que ton ancienneté, Mia ? »
           De l’autre côté de la table, où parchemins anciens venaient rivaliser avec pâtisseries craquantes et perles rares, une femme à la taille de guêpe mais hanches voluptueuses se trémoussa d’indignement dans une chemise de nuit azur.
 « Mais enfin ! Comment peut-on résister ainsi à tes charmes ?
- Il ne voulait pas coucher, je te dis ! On a passé toute la nuit à parler de son épouse : sa famille, ses obligations, ses loisirs, ses fréquentations, ses aliments favoris… J’ai même eu le droit à une description détaillée de sa garde-robe !!
- … Même les dessous ?
- Valorie et fils, troisième adresse dans la rue des tailleurs : en soie jaune de préférence ou avec dentelle, rubans de satin uniquement…
- Par la Déesse… » Une main rondelette se porta à des lèvres peintes en rouge. « Il doit vraiment l’aimer… Ce n’est pas n’importe quel homme, qui plus est de la Haute, qui s’investirait autant dans les affaires de sa dame !
- Tss, amoureux ? Désespéré, oui. Que la Déesse nous en protège, comme tu dis… »
             La prénommée Mia écarta le cynisme de son amie d’un geste dramatique, en profitant pour chiper un autre moelleux à l’orange. Après avoir avalé la friandise en une bouchée et débarrassé son décolleté des miettes amassées, elle reprit, l’air moqueur :
 « Ne me fais pas croire que toi aussi tu n’aimerais pas que l’un des clients ne tombe sous ta coupe, Ligi ; toutes les filles d’ici en rêve : un médaillon, une mèche de cheveux, et hop ! Fini le Lotus ! 
- Tu lis trop de romans, Mia... » L’autre réarrangea quelques feuilles à l’écriture serrée mais nette. «...et pas assez tes cours d’étiquette : tu ne m’avais pas dit que tu souhaitais passer la qualification pourpre avant la fin de l’année ? »
             Un long soupir se fit entendre, menaçant le corset de perdre de son étreinte…
 « Tout le monde n’est pas aussi studieuse que toi, tu sais !
- Et tout le monde n’est pas aussi paresseuse que tu ne l’es…
- Fayotte.
- Pimbêche.
- Mégère.
- Salope. »
             Un moment passa. Les deux femmes se regardèrent droit dans les yeux. Au loin, on put entendre des oiseaux s’envoler... Elles pouffèrent de rire à l’unisson.
 « Toute de même… » Reprit Mia entre deux inspirations sifflantes. « Pourquoi est-ce qu’il a voulu te voir toi, ce Seigneur Yuei, hé ? Tu n’es pas la seule pourpre ici, et il aurait peut-être trouvé -sans offense- meilleurs conseils auprès de Kat, voire de Sonie, qui sont plus anciennes !
- Apparemment, son épouse aurait à peu près mon âge : il pense que mon point de vue de… » Ligi prit un air faussement supérieur et agita ses doigts dans les airs pour former des guillemets. « ... jeune femme introduite à l’art de la séduction serait un atout dans notre échange.
- Ha ! S’il savait !» S’étouffa presque sa comparse. « C’est sûr que la seule chose à laquelle, et même par laquelle, nous sommes introduites, c’est bien la « séduction » de ces messieurs !
- T’es con parfois, bordel… » Ricanna Ligi.
- J’y travaille, Madame je-perds-mes-nuits-à-aider-les fadas-gratuitement ! »
             La plaisanterie aurait pu s’arrêter là. Les deux femmes se seraient remises à l’ouvrage, l’une à la lecture, l’autre la broderie, mais le regard baissé et le pincement des lèvres de son amie firent ressurgir l’actrice-née. Mia frappa sur la table, faisant valser quelques écheveaux au passage, écarquilla les yeux d’une manière comique, et…
 « Nooon… Ne me dis pas qu’il… ? Pas après avoir réservé une nuit entière avec l’une des fleurs les plus réputées de la capitale pour lui tout seul ?! »
             Ligi eut du mal à réprimer un sourire gêné, et dévoila une petite bourse de cuir de l’une de ses manches. Elle l’ouvrit : une petite pile de pièces d’or, frappées du sceau impérial, vint trouver place sur le champ de bataille qu’était déjà la surface de bois poli.
 « Par… Par la Déesse… C’est… 
- Je te l’ai dit. » Ligi soupira en récupérant son bien. « Totalement désespéré.
- T-tout de même ! Cinq Plumes d’or ?! Comme ça, en une nuit, et pourquoi je vous prie ? » Elle tendit ses bras vers le ciel, comme pour en invoquer une réponse. « Pour parler sous-vêtements !!
- Hey, pssst ! Ne parle pas si fort ! Si la vieille apprend que j’ai reçu un pourboire pareil, ma main à couper qu’elle voudra se tailler une part ! Et pas une petite si tu vois ce que je veux dire…
- Pardon, pardon … ! » Regards inquiets, murmures. « Mais… Cinq Plumes d’or… ? C’est l’équivalent d-de quoi… ? Trois semaines ? Un mois ?
- Et encore, si jamais tu tombes sur de gros poissons… Et que tu acceptes d’ouvrir les cuisses régulièrement. » Énième soupir.
« Et il va revenir en plus ?!
- J’ai rendez-vous pour la semaine prochaine. » 
             La dame de compagnie à la robe bleutée se laissa tomber dans son fauteuil, ne prêtant pas même attention au chat qui s’enfuit en feulant pour le dérangement.
 « Je suis désolée, Ligi, mais il est pas désespéré ton Seigneur… Il est fou à lier ! »
.
.
.
Je sais que ce que je vous demande peut paraître étrange, voire déraisonné, seulement, je…
Elle vient de quitter ses proches, son univers, et tout cela parce que
son père a pensé que notre union pourrait renforcer
le statut de nos familles… Et elle !
Elle… Elle est si…
Jeune.
Je ne veux pas qu’elle souffre de notre mariage, vous comprenez… ?
Je veux l’aimer, et…
Je voudrai qu’elle aussi…
.
.
.
« Peut-être bien, Mia… Peut-être bien… »
  ~ Fin de l’Acte 2
  ______o.).O.(.o______
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kaantt · 3 years
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34 pour Bohort et Léodagan ?
Le roi de Carmélide descendit les petites marches qui permettaient de se rendre dans les cuisines de Kaamelott. Il poussa un soupir fatigué, le prince de Gaunes lui avait demandé de le rejoindre dans cette pièce après le déjeuner qu'il devait partager avec son gendre et le reste de sa famille. Il était ravi de pouvoir passer du temps avec son compagnon mais il redoutait l'activité que celui-ci allait lui proposer.
« Vous êtes là Bohort ? Demanda le roi de Carmélide.
-Oui seigneur Léodagan ! Je suis là. »
Le prince de Gaunes était installé devant une des tables. Le bois de celle-ci était recouvert de farine. Bohort était en train d’étaler une pâte jaunâtre dans la farine, la pliant et la repliant pour la rendre plus fine et souple. Ses mains élégantes étaient couvertes de poudre blanche. Il tourna son visage vers le seigneur Léodagan et lui adressa un sourire radieux. Celui-ci s'approcha de son compagnon et lui demanda d'une voix curieuse :
« Qu'est-ce que vous cuisinez ?
-Une tarte ! »
La bouche du roi de Carmélide se tordit dans une moue dégoutée. Il n'aimait pas particulièrement les tartes. Du moins il n'aimait les tartes de sa femmes. Enfin, les tartes de sa femme... Il n'était pas certain que ces choses méritaient réellement le nom de tartes. Le seigneur Bohort observa la mine de son amant avec inquiétude.
« La chose n'a pas l'air de vous plaire seigneur Léodagan... N'aimez-vous pas les tartes ? Bégaya Bohort d'une petite voix tremblante.
-Si elles sont comme celles de ma femme non. »
Bohort retint un léger rire affectueux. Il avait goûté une fois les tartes de Dame Séli et, effectivement, dans ses souvenirs elles n'étaient pas particulièrement savoureuses. Il posa tendrement sa main sur l'épaule de son amant et déclara d'une voix douce :
« Je peux vous assurer que mes tartes n'ont rien à voir avec celles de Dame Séli ! La recette me vient de ma mère et elle n'a jamais déçu personne. Tout le monde aime cette recette de tarte. »
Le seigneur Léodagan haussa légèrement ses épaules. Il voulait bien croire le seigneur Bohort mais il gardait ses craintes quant au goût de la tarte qu'ils allaient confectionner. Il réfléchissait, se demandant s'il allait aider ou non le seigneur Bohort pour faire de la pâtisserie. Pendant ce temps, ce dernier avait repris la confection de son dessert. Il coupait ses fraises soigneusement en deux. Après quelques instants passés dans le silence, Bohort se retourna vers le roi de Carmélide.
« Vous ne voulez pas m'aider à la faire je suppose... »
Le prince de Gaunes tenait une petite fraise dans sa main droite. Cette vision arracha un sourire attendri au seigneur Léodagan. Il lui demanda une nouvelle fois :
« Vous me promettez qu'elle n'a rien à voir avec les tartes de ma femme ?
-Je vous le jure seigneur Léodagan.
-Bon dans ce cas j'accepte. »
Le roi de Carmélide vint s'installer aux côtés du prince de Gaunes, attrapa un couteau et se mit à couper les fraises avec son compagnon. Une fois que toutes les fraises furent coupées, ils commencèrent à les disposer sur la pâte à tarte. Le roi de Carmélide balançait presque les fraises fraîchement coupées dans le plat.
« Vous voulez bien essayer de disposer les fraises un peu plus- Tenta timidement Bohort.
-Un peu plus quoi ? Elles vous reviennent pas mes fraises ? Grogna le roi de Carmélide.
-Elles sont très bien ! Mais pouvez-vous les poser sur la pâte avec un peu plus de délicatesse ? »
Léodagan poussa un grognement rageur mais ne protesta pas plus que cela. Il se mit à disposer avec soin les fraises sur la pâte à tarte sous le sourire affectueux de son compagnon. Ils placèrent la tarte dans le four et attendirent un long moment. Quand la cuisson fut achevée Bohort s'empressa d'aller la récupérer. Il apparut aux côtés du roi de Carmélide, la tarte aux fraises entre ses mains.
« Vous voulez prendre une part de tarte ? »
Le roi de Carmélide lança un petit coup d’œil au plat que le prince tenait entre ses mains. La tarte semblait parfaitement parfaitement comestible.
« S'il-vous-plaît. » Répondit le seigneur Léodagan.
Bohort lui adressa un sourire rassuré avant de poser son plat sur la table de bois massif. Il coupa deux parts de tarte et en tendit une au roi. Celui-ci mordit prudemment dans le dessert.
« Alors ? Demanda le prince de Gaunes, inquiet.
-Elle est très bonne. »
Le sourire du prince de Gaunes s'agrandit en entendant les mots rassurants du roi de Carmélide. Celui-ci posa sa main libre sur celle du chevalier plus jeune et murmura :
« Merci Bohort. »
Celui-ci tourna sa main sous celle du roi de Carmélide, leurs paumes chaudes se rencontrèrent. Les joues du roi de Carmélide rosirent légèrement. Leurs doigts étaient liés tendrement.
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materielhoreca · 1 year
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Développement du paysage des équipements CHR en France
Le secteur de l’hôtellerie est florissant et diversifié en France, qui est connue pour sa longue tradition culinaire. L’industrie des CHR (Cafés, Hôtels et Restaurants) est essentielle car elle répond à un large éventail de préférences. Les entreprises CHR s’appuient sur une variété d’outils spécialisés pour maintenir des opérations efficaces et fournir des services de haute qualité. L’équipement des CHR en France est examiné en détail dans cet article.
Société française CHR Concept
Le monde multidimensionnel des cafés, hôtels et restaurants est représenté en France par le concept CHR. Non seulement ces lieux sont réputés pour leurs prouesses culinaires, mais aussi pour leur atmosphère accueillante, leur excellent service et leurs expériences distinctives.
Les entreprises du secteur CHR ont besoin d’une gamme d’outils adaptés à leurs besoins particuliers pour expérimenter. Les équipements de snacking en France ont besoin d’équipements tels que des grils à grande vitesse, des friteuses, des chauffe-plats et des systèmes de réfrigération commerciaux pour bien fonctionner.
Equipements Collectifs en France
Pour socialiser, se détendre et travailler, les espaces communautaires, tels que les cafés et les coffee shops, sont des lieux de rencontre essentiels. Ces lieux doivent être méticuleusement équipés de meubles, d’unités réfrigérées, de machines à expresso, de cafetières et d’autres appareils. Ils créent un environnement accueillant.
Des fonctionnalités telles que la connectivité Wi-Fi, des sièges réglables et ergonomiques et des bornes de recharge sont disponibles. Cela permet de répondre aux besoins des nomades numériques et des professionnels à la recherche de bureaux temporaires.
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Agro-alimentaire et fournitures de snacking en France
Le rythme de vie rapide est en partie responsable de la popularité croissante des fast-foods et des snacks en France. CHR concept en France réalise des investissements en équipements spécialisés.
Ils répondent aux attentes des clients à la recherche de solutions rapides, pratiques et gourmandes. L’équipement de restauration rapide comprend des presses à panini, des crêpières et des rouleaux à hot-dog pour faire de bonnes collations sur la route.
Équipement pour pizza
Dans le secteur CHR, la pizza, délice éternel en France, a une place à part. L’art de fabriquer la pizza nécessite des équipements spécialisés, que ce soit dans les pizzerias classiques ou les établissements chics de pizza à la tranche. Certains des équipements de pizza comprennent des coupe-pizza, des tables de préparation, des laminoirs à pâte et des fours pour faire des pizzas. Qu’il s’agisse de pizzas napolitaines classiques, à croûte mince ou profondes, le choix de l’équipement variera.
Équipement de boulangerie
Les boulangeries françaises sont réputées pour leur délicieuse sélection de pâtisseries, de viennoiseries et de pain. Les boulangeries ont besoin d’une variété d’outils spécialisés pour préparer ces délicieuses spécialités. Il s’agit notamment des laminoirs à pâtisserie, des armoires de fermentation, des fours, des pétrins et des diviseurs de pâte. Le choix de l’équipement est essentiel pour établir une uniformité de qualité, de texture et de saveur tout en assurant une production efficace.
Conclusion
L’excellence de ses produits, l’ambiance qu’il génère et l’efficacité de ses opérations. C’est ce qui fait le succès du secteur CHR en France. Les espaces communautaires, les restaurants de restauration rapide, les casse-croûte, les pizzerias et les boulangeries ont des besoins particuliers en équipement. Les entreprises CHR en France investissent dans ces équipements pour répondre à ces besoins et offrir à leurs clients une excellente expérience. Le paysage des équipements CHR s’adapte en permanence aux nouvelles tendances et technologies.
URL : https://www.materielhoreca.com/
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