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#Histoire de Bordeaux
mdameninie · 11 months
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Un weekend à Bordeaux
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empirearchives · 8 months
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Napoleon and Universities
From University of Bordeaux — Our History page, updated 28/06/2022
“In 1793, the University of Bordeaux disappeared like all French universities following a decision of the Convention (Parliament that governed France from September 1792 to October 1795 during the French Revolution) which saw in these corporations a remnant of the Ancien Régime.”
“Napoleon Bonaparte restored the concept of the university in 1806. In Bordeaux, the Faculty of Theology was recreated in 1808 and those of Letters and Sciences in 1838.”
[bold in original]
———
In original French:
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Source: Université de Bordeaux — Notre histoire
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marie-swriting · 4 months
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Perte De Temps | Plus Maintenant - Jake "Hangman" Seresin
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Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu arrives enfin à oublier Jake, mais maintenant, c'est lui qui n'arrive pas à t'enlever de sa tête.
Warnings : Jake est un connard, angst, consommation d'alcool (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé !), fin triste (pour Jake), dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Chanson qui m'a inspiré : Feather par Sabrina Carpenter
Alors que tu es en train d’appliquer du fard à paupières, la musique de ton téléphone se coupe pour laisser place à ta sonnerie. Tu baisses les yeux et découvres un nom que tu ne pensais plus voir apparaître sur ton écran : celui de Jake. Jake interrompant ta vie n’est malheureusement pas quelque chose d'inhabituel, tu te rappelles bien de la dernière fois que c’est arrivé. 
C’était il y a environ cinq mois. Tu étais dans une situation similaire, tu étais en train de te préparer pour sortir quand Jake t’a appelé et étant encore désespérément amoureuse de lui, tu as décroché en moins d’une seconde. Au début, tu as essayé d’être forte, ne voulant pas lui céder aussi facilement, cependant Jake est un beau parleur, il a su trouver les mots justes pour te faire tomber dans ses bras à nouveau. Au téléphone, Jake était désespéré de te retrouver, d’être l’homme que tu méritais. Il t’a dit tout ce que tu rêvais d’entendre et tu l’as cru. Tu aurais dû te douter que ce n’était que du vent. Jake et toi êtes retournés ensemble pendant deux semaines avant qu’il ne t’abandonne, mais pas en te plaquant par appel téléphonique, non, cette fois, il t’a ghosté. À ce moment-là, c’était la deuxième fois qui le faisait, autant dire que tu as fini par retenir ta leçon. Tu as tout fait pour oublier Jake et te focaliser sur toi et ta carrière dans la Navy. Et tu peux affirmer sans te tromper que tu as réussi. 
En effet, alors que ton téléphone continue de sonner, le nom de Jake te narguant, tu décides de raccrocher. Toutefois, tu ne t’arrêtes pas là. Tu déverrouilles ton téléphone et tu bloques Jake avant de supprimer son contact. En appuyant sur “supprimer ce contact”, tu sens un poids s’enlever de tes épaules. Ton histoire avec Jake est officiellement dans le passé. Tu n’as pas craqué et tu as supprimé la dernière chose qui te reliait à lui. Fière de toi, tu reposes ton téléphone, relances ta musique et tu continues de te maquiller. 
Une fois prête, tu te rends au bar à une vingtaine de minutes de chez toi. Tu retrouves tes amies qui se sont aussi mises sur leur trente-et-un. Vous commandez quelques boissons puis vous vous racontez les derniers potins. Pour la première fois depuis longtemps, tu arrives à passer une soirée avec tes amies sans être déprimée à cause de Jake. Tu rigoles, tu bois, tu danses et tu t’amuses comme tu ne l’avais pas fait depuis longtemps. Tu es tellement dans ta bulle que tu n’entends pas la porte du bar s’ouvrir. Jake et Javy entrent dans le bar, habillés de leur kaki. Jake entend ton rire tout de suite même si tu es à l’opposé de lui. Il te regarde avec tendresse alors que tu continues de t’esclaffer avec tes amies. Jake doit avouer qu’il n’a pas choisi ce bar par hasard. Il sait que tu viens souvent ici avec tes amies et n’ayant pas eu de réponses à ses coups de fils, il avait un petit espoir de te retrouver ici. Il veut te parler, régler les choses et ce soir a l’air d’être le moment parfait. Jake informe Javy qu’il doit s’occuper de quelque chose et qu’il le rejoindra après. Accoudé contre le comptoir, Jake commande une bière pour lui et un verre de bordeaux pour toi - il sait que c’est ton vin préféré tout comme c’est aussi le sien, c’était un de vos nombreux points communs. Pendant qu’il se dirige vers ta table, il sort son meilleur sourire en coin. Avec tes amies, vous buvez cul sec votre shot quand Jake est devant vous.
-Je vous paye une autre tournée de shots, les filles, ça me fait plaisir. 
En entendant la voix de Jake, ton sourire tombe et tes yeux lui lancent des éclairs. 
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je voulais t’offrir ce verre, dit-il en le posant devant toi. 
-Non, je veux dire qu’est-ce que tu me veux, Jake ? Tu me stalkes ou quoi ?
-Attends, c’est lui Jake ? demande une de tes amies en le regardant de haut en bas.
-Tu as parlé de moi ? Seulement en bien, j’espère, déclare Jake avec un clin d'œil.
-Wow, tu rigolais pas quand tu parlais de son égo surdimensionné, réplique une autre de tes amies en lançant un regard appuyé aux autres femmes.
-Ce n’est pas de ma faute si je suis le meilleur. Mais, passons, je ne suis pas là pour parler de mes exploits, j’aurais aimé te parler, Y/N.
-Et j’ai hâte de pas te parler donc au revoir.
-Y/N, s’il te plait.
-Je suis venue ici avec mes amies, pas pour être avec un ex collant, rétorques-tu alors que Jake essaie de faire bonne figure. 
-Je veux juste faire amende honorable, tu le mérites.
-Pour que tu puisses me remettre dans ton lit avant de me jeter comme une vieille chaussette à nouveau ? Je crois pas, non, alors reprends ton verre de vin et pars, réponds-tu sèchement et tu entends tes amies te soutenir.
-D’accord, je te laisse tranquille, mais tu peux garder le verre, je sais que c’est ton vin préféré, offre-t-il avec un sourire fier.
-Ça ne l’est pas, en fait. C’est ton vin préféré, je faisais semblant d’aimer pour toi. Hors de ma vue, finis-tu en lui redonnant son verre.
Suite à ta réplique, Jake repars avec le vin, sa bière et son sourire en coin afin de cacher son égo blessé. Il ne s’attendait pas à ce que tu le remballes à ce point. Il n’est pas idiot, il savait que tu ne retomberais pas dans ses bras comme la première fois, mais tu n’avais jamais employé ce ton sec contre lui auparavant. Jake pose le verre de vin sur le comptoir avant de retrouver Javy qui ne peut s’empêcher de rigoler ayant regardé la scène au loin. 
Le reste de la soirée se résume à Jake t’admirant au loin t’amuser alors que sa présence ne te préoccupe pas le moins du monde. Jake essaie de trouver une solution pour que tu l’écoutes. Contrairement aux autrefois où il n’était pas trop sûr de lui et de votre relation, cette fois, il veut faire les choses biens, il veut être l’homme que tu veux être. Il sait que tu ne le croiras pas facilement, mais il a bon espoir d’y arriver s’il trouve les bons mots. Javy lui conseille de lâcher l’affaire, voyant très bien que tu es passée à autre chose, mais Jake est têtu. 
A un moment pendant la soirée, tu te rends aux toilettes et alors que tu es en train de te laver les mains, la porte s’ouvre sur Jake. Tu soupires, mais tu ne lui donnes pas plus d’attention.
-Je t’ai appelé ce soir, plusieurs fois, commence-t-il plus humblement que la première fois.
-Je sais.
-Ah bon ? Comme tu n’as pas répondu, je pensais que…
-J’ai ignoré l’appel et au cas où tu voudrais essayer de m’appeler à nouveau dans le futur, ça ne sert à rien, je t’ai bloqué, l’interromps-tu en le regardant dans les yeux. 
-Ok, je comprends pourquoi, je le mérite, j’ai été un connard avec toi.
-C’est le moins qu’on puisse dire. J’ai tout donné pour toi et toi, tu m’as juste donné des peines de cœur. 
-Je sais et je veux arranger les choses. Je n’ai pas été réglo avec toi en rompant sans avoir de bonnes raisons et après en revenant dans ta vie juste pour te laisser seule à nouveau. Je n’aurais pas dû faire ça. Je pense que j’avais peur de m’engager, mais plus maintenant. Cette fois, je te le promets, je serai quelqu’un de meilleur, je serai l’homme que tu mérites, je saurai m’engager avec toi, affirme-t-il, te faisant rire jaune. 
-Comme la dernière fois ? Et la fois d’avant ?
-Non, cette fois je le pense et je veux le faire. Je vais le faire. Tu me manques et tu ne peux pas t’imaginer à quel point je m’en veux. J’aurais dû réaliser que j’étais chanceux de faire partie de ta vie et ne pas gâcher ce qu’on avait. J’ai perdu la seule bonne relation que j’ai jamais eue juste parce que j’ai été trop con. 
-Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Toutes mes condoléances pour ta perte, mais c’est trop tard, Jake, répliques-tu, complètement agacée. Tu as eu ta chance, tu as eu trop de chances même. C’est toujours pareil avec toi. Je suis toujours la femme de tes rêves et après quand ça devient sérieux, tu prends tes jambes à ton cou. Tu n’arrêtes pas de me de m’envoyer des signaux contradictoires et j’en ai ma claque.  
Dans ta voix, la colère et la douleur se mélangent et le sentiment de culpabilité de Jake s’agrandit. 
-Cette fois, je te promets que c’est différent, je ne te briserai pas le cœur. Je t’aime et je te veux dans ma vie, je veux faire partie de ta vie. 
-Il y a un moment de ma vie où ce genre de discours auraient fonctionné et tu le sais très bien car tu en as abusé à de nombreuses reprises et à chaque fois, je retombais dans tes bras, car j'espérais désespérément que tu aies changé, mais ça n’a jamais été le cas, accuses-tu en le pointant du doigt. J’ai essayé, je suis restée attachée à toi plus longtemps que je n’aurais dû. Tu hantais chacune de mes pensées au point où je n’arrêtais pas d’imaginer des scénarios où tu serais devenu un homme meilleur et c’est pour ça qu’à chaque fois que tu me donnais ne serait-ce qu’une légère impression que tu étais devenu l’homme que j’avais imaginé, je retombais dans tes bras. Tu me rendais folle tellement, tu occupais mon esprit, mais plus maintenant. Avant, j’aurais répondu à ton coup de fil en une seconde. Avant, j’aurais lâché mes amies pour toi. Avant, j’aurais passé ma soirée à me demander ce que tu faisais la soirée. Maintenant, ce n’est plus le cas et mon Dieu, ça fait tellement du bien de ne plus penser à où est-ce que tu pourrais être, à ne plus lâcher les personnes qui comptent pour moi, à ne plus désespérément attendre un signe de vie de toi. J’ai perdu trop de temps pour toi et je ne le ferai plus jamais. Tu n’as pas idée à quel point je me sens plus légère depuis que tu as quitté ma tête. Je t’ai enfin coupé de ma vie et je me sens tellement mieux. Alors, non, Jake, tu ne peux pas refaire partie de ma vie. Peu importe si tu es sincère ce soir quand tu dis que tu veux changer, que tu veux être un homme meilleur, personnellement, je ne veux pas voir ça. Et puis, si tu dois devenir quelqu’un de meilleur, fais-le pour toi. Si tu le fais pour quelqu’un d’autre, ça sera toujours temporaire. Tu dois changer car tu veux changer pour toi-même, pas pour plaire à une femme. En tout cas, j’espère que notre histoire te servira de leçon, que tu ne prendras plus pour acquis la femme en face de toi et que tu garderas en tête qu’à un moment, elle en pourra en avoir marre de tes conneries et qu’elle te laissera comme je le fais. Tout ça pour dire, assure toi d’avoir arrangé tous tes problèmes d’engagement avant de trouver une nouvelle femme, comme ça, tu ne feras pas ce que tu sais faire de mieux, la laisser en plan. Arrête d’être Hangman et devient Jake.
Jake reste planté là pendant qu’il tente de digérer ce que tu viens de lui dire, comprenant qu’il a ruiné toutes ses chances avec toi. De ton côté, tu n’attends pas une seconde de plus et tu sors des toilettes, claquant la porte derrière toi et en abandonnant également Jake.
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nordleuchten · 2 years
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24 Days of La Fayette: December 1st - Edmund Brice
Edmund Brice was on of La Fayette’s earliest aide-de-camps but not among the most famous ones. He is however one of the men that we still have the Acts of Embarkation of. In France at the time there were strict laws regarding religion. Huguenots (who, in very simple terms, were not Catholic) were prohibited from leaving the country. To enforce this law, every French person who wanted to leave France had to attest their Catholicism. Edmund Brice was one of La Fayette’s fellow travellers on La Victoire and therefor had to go through the same process. These Acts contain a lot of mistakes, sometimes because the clerk misspelled or misinterpreted information and sometimes because members of the expedition made misleading statements on purpose to obscure their identity. One of this may be the reasons why Edmund Brice’s name is written as “Leonard Price” on his Act of Embarkation.
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Archives départementales de la Gironde, Histoire maritime (1640-1889), Certificats de catholicité (1713-1787), 1777-1784 (07/29/2022).
Brice was a native of Annapolis, Maryland and the French papers tell us, that he was of average height for a man at the time (Moyenne taille). His hair colour was recorded as a dark blond (cheveux chatains). There is a small portraiture that survived of Brice.
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Idzerda Stanley J. et al., editors, Lafayette in the Age of the American Revolution: Selected Letters and Papers, 1776–1790, Volume 1, December 7, 1776–March 30, 1778, Cornell University Press, 1977, p. 50.
His age on March 21, 1777, the date of his Embarkation, is noted as 22 but that is wrong as well. Brice was born in 1751 (therefore being 26, not 22) and died in 1784 at the age of 33.
Brice had travelled to Europe to study art and painting and there he met La Fayette. In a letter from March 16, 1777 to John Hancock, Silas Deane wrote about Brice in the following terms:
I send you for your entertainment, by Mr. Brice, a young gentleman of Maryland, whom I think deserving your notice, as a worthy sensible young man, the London papers, in which you will perceive the character I have the honor of bearing in England, and that I have fled, &c. &c., which causes diversion here.
Idzerda Stanley J. et al., editors, Lafayette in the Age of the American Revolution: Selected Letters and Papers, 1776–1790, Volume 1, December 7, 1776–March 30, 1778, Cornell University Press, 1977, p. 33-34.
Brice left Paris on March 18 for Bordeaux where he arrived in time to embark onboard La Victoire on March 21. Given that he was American and was fluent in England, it is quite easy to imagine that La Fayette enjoyed his company during the crossing of the Atlantic. He wrote on April 19, 1777 in a letter to William Carmichael:
Thank you very much for having given me Mr. Brice. I like him very much, and he is popular with everyone. We shall always be together, as you seem to have desired.
Idzerda Stanley J. et al., editors, Lafayette in the Age of the American Revolution: Selected Letters and Papers, 1776–1790, Volume 1, December 7, 1776–March 30, 1778, Cornell University Press, 1977, p. 50.
After landing off the coast of Charleston, Brice was among the six officers that travelled with La Fayette and the Baron de Kalb to Charleston and from there to Philadelphia. While travelling, Brice functioned as a guide, although he was not familiar the area.
The Marquis's aide-de-camp took it upon himself to serve as our guide, even though he had no knowledge of that part of the country.
Memoirs of the Chevalier Dubuysson in Idzerda Stanley J. et al., editors, Lafayette in the Age of the American Revolution: Selected Letters and Papers, 1776–1790, Volume 1, December 7, 1776–March 30, 1778, Cornell University Press, 1977, p. 73-87.
In Philadelphia, La Fayette applied through John Hancock to George Washington to make Edmund Brice and three other man his aide-de-camps. These permissions were in the end granted although Washington was at first not that happy. Brice was commissioned a Major in 1777 and in October 1778 he was made a brevet lieutenant colonel by the Continental Congress. His promotion was noted in a letter from Henry Laurens to George Washington from October 30, 1778:
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“To George Washington from Henry Laurens, 30 October 1778,” Founders Online, National Archives, [Original source: The Papers of George Washington, Revolutionary War Series, vol. 17, 15 September–31 October 1778, ed. Philander D. Chase. Charlottesville: University of Virginia Press, 2008, pp. 647–649.] (07/29/2022)
On October 16, 1778 La Fayette had written Congress to praise the actions of a soldier under his command and to ask Congress for promotions for his aide-de-camps. The letter was read in Congress on October 27, 1778 and resolutions were passed. The soldier that had distinguished himself (and had lost an arm in action) was awarded a livelong pension of 30 Dollar per month. Congress granted La Fayette’s American aide-de-camps, Brice and Neville, a promotion but not his French aide-de-camps. That in turn promoted La Fayette to write another letter on behalf of his French aide-de-camps to Congress on October 27, 1778.
Brice worked closely with La Fayette and often functioned as a liaison-officer between La Fayette and the Board of War or the Continental Congress (and in that aspect especially Henry Laurens). There are many instances where La Fayette writes that a certain letter will be or was delivered by Brice. Brice also once delivered a considerable number of congressional pamphlets from York Town to Washington’s headquarters. During the Battle of Gloucester, Brice’s horse was wounded. It also seems as if Brice was quite good when it came to decipher difficult handwritings. Henry Laurens wrote to La Fayette on March 6, 1778:
I cannot, even with Mr. Brice's aid, decypher the name coupled with that of Monsr. "Failly."
Idzerda Stanley J. et al., editors, Lafayette in the Age of the American Revolution: Selected Letters and Papers, 1776–1790, Volume 1, December 7, 1776–March 30, 1778, Cornell University Press, 1977, p. 336-338.
Brice had stayed some time with Laurens after delivering some papers to him and left on March 6, 1778. Brice also managed financial affairs, at one point affirming the receipt of 6000 Dollar in the name of the Marquis de La Fayette. At one point he also bought an enslaved man for La Fayette for the price of 180 Pounds on August 4, 1777.
It seems as if Brice quitted his post as La Fayette’s aide-de-camp after receiving his new commission on October 27, 1778.
Edmund Brice was the youngest child of his family. His older brother James Brice served in the War as well. He was first a Captain in the city militia and later a Lieutenant in the county militia. His services would earn him the honorary title of Colonel later on. I believe that Edmund married Harriet Woodward (born in 1762 and died in 1840) and they had a son, James Edmund Brice, together. Harriet remarried Alexander Murray after Brice’s death. The Brice’s were a very prominent family in Maryland at the time and it is sometimes difficult, especially with regard to biographical information, to know witch “Mr Brice” is talked about.
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struckbythestars · 2 years
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Avec émotion et une pointe d'appréhension, voici le premier chapitre d'une histoire qui en contient encore pas mal.
XOXO, les autrices.
PS : cette histoire n'est pas qu'une comédie...
Attention... On s'est un peu laisser aller en terme de langage grossier
Les personnages ne nous appartiennent pas nous les empruntons seulement
Chapitre 1 :
Maraudeurs' Rapsody
Il existe un mot au Danemark qui, en quelques syllabes décrit cette sensation confortable et chaude, cette ambiance douce et calme que l’on ressent lorsqu’on regarde des flammes tournoyer dans une cheminée. Hyggelig. Il n’y a pas meilleur mot pour décrire l’atmosphère particulière qui règne dans la Salle commune des Gryffondor en ce début de soirée du mois d’Octobre 1975.
Le silence de cette pièce teintée de rouge et empli de tapisserie médiévale n’était perturbée que par les pièces d’échecs qui s’entrechoquaient, les pages de livres qui se tournaient et quelques éclats de rires discrets. Mais cette harmonie fut rapidement brisée lorsque le portrait de la Grosse Dame s’ouvrit brusquement.
-     C’était génial, James ! Vous avez entendu sa voix ? Une vrai chanteuse d’opérette !, cria un garçon assez petit et potelé, l’air émerveillé par les 3 autres personne qu’il suivait au petit trot.
           Le premier garçon en tête du cortège, les cheveux noirs courts et pourtant  broussailleux, les yeux noisettes partiellement caché derrière des lunettes rectangulaires, souriait d’un air fier et revanchard en prenant place dans son fauteuil habituel face à la cheminée. James fut rapidement suivi par son meilleur ami, Sirius, ténébreux charmeur aux yeux gris insondables cachés derrières des boucles d'ébène. Le garçon à l’allure élancée et élégante d’un parfait aristocrate, chose qu’il refusait catégoriquement d’être, prit donc place dans le fauteuil faisant face à James, une table basse en bois rustique les séparants. Sirius portait d’un sourire en coin satisfait se rappelant de ce qu’ils venait de faire et pensant à leur prochain coup. Peter, le jeune garçon potelé s’assit à même le sol sur l’épais tapis bordeaux, dos à la cheminée.
-     Tout le mérite revient à Rem’, c’est lui qui à trouver le sortilège, répondit James à Peter alors que le dénommé Remus prenait place dans le canapé.
           Lui aussi souriait. Non pas parce qu’il trouvait que le sort que James avait jeté à Severus était drôle. Mais bien parce qu’il appréciait voir ses amis heureux. Il leur était reconnaissant d’être là. Il donnerait sa vie pour les trois personnes en face de lui, juste parce que sans eux, il n’aurait pas donner cher de la sienne. Grand et élancé, Remus avait l’apparence de la force tranquille du groupe, profondément gentil et presque gentleman, il était considéré par beaucoup comme « l’ami parfait » si bien auprès des filles qu’auprès des garçons. Mais il ne fallait pas se fier aux air tendre et à la dégaine détendue du jeune homme, un rapide coup d’oeil à son visage autrefois innocent prouvait qu’il devait avoir vécu des choses pas forcement très réjouissantes. En effet, trois grosses cicatrices blanches le parcouraient, partant de la tempe pour s'arrêter au menton, elles étaient cachées derrière des cheveux châtain mais bien présentes. De plus, derrière ses yeux noisettes qui prenaient parfois des reflets miels, les plus attentifs pouvait y déceler un profond mal être.
-     Peu importe ! Vous avez vu sa tête quand il a ouvert la bouche et qu’il a voulu parler ?, relança Peter.
-     Un vrai Soprano !, dit Sirius d’une voix aigüe. Comme si ses boules n’était pas encore descendues.
-     Es tu sur qu’elles sont descendues un jour ?, demanda James d’un air réellement intéressé par la question.
-     En possède-t-il réellement ?, répliqua le brun en face de lui se penchant en avant dans un air de réflexion profonde.
           James se pencha lui aussi en avant, plissant les yeux, et secouant distraitement la tête.
-     Hmm, dit il en se caressant le menton. Il faudra vérifier ça.
-     Pouvez-vous, s’il-vous-plait, arrêtez de parler des boules de Rogue au beau milieu de cette pièce ?, les interrompit Remus en reposant le livre qu’il venait d’ouvrir, outré par cette conversation.
           Relevant la tête vers ses amis, il vit alors Peter, une expression horrifié sur le visage, Sirius se mordant la lèvre inférieur dans une tentative de se retenir de rire mélangé à une expression de compassion alors que ses yeux se posaient sur James qui lui était rapidement devenu blême, les yeux fixés derrière Remus.
-     Evans …, souffla-t-il.
           Remus fit volte face pour voir que sa meilleure amie se tenait les bras croisés, les joues rouge de colère derrière le canapé.
Remus se demanda alors si elle avait assisté à toute la conversation. Il eu rapidement la réponse.
-     Waow Potter, je pensais que tu avait déjà touché le fond. Je le reconnais, je m’étais trompée. Black et toi êtes tellement immature que s’en est désolant, dit elle en les dévisageant d’un regard émeraude plus que méprisant.  Remus, j’étais venue voir si tu veux venir faire le devoir d’arithmencie avec moi à la bibliothèque.
           Ce dernier hocha la tête, ne sachant pas trop quoi répondre d’autre et se leva. James, lui, n’avait toujours pas bouger.
-     Maintenant, pour répondre à ta question, reprit Lily. Oui, il en a et je suis persuadée qu’elles sont plus imposantes que les tiennes, fini-t-elle en se dirigeant sans un regard en arrière vers la sortie de la salle.
           Remus jeta un regard à ses amis avant de partir au pas de course derrière la Gryffondor passablement énervée.
-     Ce qui est sûr, c’est que elle, elle en a. Souffla Sirius avant de se prendre un cousin en pleine tête.
           Alors que James commençait à se morfondre du fait que Lily le déteste, Remus l'avait rejoint dans le couloir. Lily était une Gryffondor de la même année, une vraie lionne dans l’âme, chaleureuse et attentive avec ceux qu’elle aime mais mordrait ceux qui entraient en désaccord avec elle. Elle avait de longs cheveux roux qui accentuaient les tâches de rousseurs sur sa peau pâle et avait des yeux verts à couper le souffle tant il semblait être leur propre source de lumière. Il va sans dire que James Potter avait eu un coup de coeur pour la jeune fille dès leur entrée à Poudlard, un coup de foudre se plaisait il à croire. Cependant, il n’en était pas de même pour la jeune femme.
-     Tu sais …
-     N’essaie pas de le défendre Remus. Il est immature et arrogant. Severus ne mérite pas cela.
-     Il nous le rend bien, marmonna Lupin.
-     Peut être. Mais vous êtes quatre et il est seul.
           Remus ne répondit rien alors qu’ils venaient d’arriver à la bibliothèque. Ils travaillèrent sur leur devoir durant les deux heures suivantes avant de devoir partir pour le couvre-feu.
Remus aida Lily à ranger ses affaires et ils se dirigèrent parmi les rayonnages vers la sortie. C’est au détour d’une allée, que Lily vit passer une ombre noire. Elle donna son sac à Remus et commença à courir.
-     Severus ?, cria-t-elle pour le faire arrêter.
           Ce dernier, le corps maigre, la peau pâle accentué par le noir corbeau de ses cheveux lui arrivant aux épaules, s’arrêta dans une allée, loin de Lily. Il la fixa de ses prunelles noires qui semblaient être des puits sans fond quelques instant alors que Remus arrivait à la hauteur de Lily. Les trois étudiants se regardèrent sans un mot. Severus semblait furieux, Lily le regardait avec incompréhension et Remus baissa la tête. Quelques secondes plus tard, Rogue repartait dans un mouvement de cape, disparaissant dans l’ombre des couloirs de pierres.
-     Que lui avez vous fait ?, demanda Lily à Remus.
-     Un sortilège qui lui fait parler avec une voix d’opéra, répondit Remus peu fier de lui.
-     Un simple Finite aurait du lui permettre de mettre fin au sort.
           Voyant la grimace désolée de son ami, Lily l’interrogea du regard. Remus souffla et reprit la parole.
-     Pas si Sirius à indiqué à James comment empêcher qu’il le fasse avant un certain temps.
           Lily regarda le ciel, maudissant les noms de Potter et Black avant de regardait Remus.
-     Combien de temps ?  demanda-t-elle. Remus ? rajouta-t-elle voyant que le Lycanthrope ne semblait pas vouloir lui répondre.
           Face aux yeux verts brillant d’une lueur féroce, Remus se passa une main dans les cheveux, il savait qu’elle ne le lâcherait pas tant qu’elle n’aurait pas toute les réponses à ses questions.
-     3 jours, fini-t-il par avouer.
           Lily souffla une nouvelle fois et se dirigea d’un pas soutenue, traduisant son ras-le-bol, vers la tour des Gryffondor.
———
-     J’essayerai la feinte de Porskoff et …
           James ne termina pas sa phrase alors qu’il fut foudroyé par le regard de Lily qui venait d’arriver dans la tour. Elle traversa la pièce sans un mot avant de rejoindre le dortoir des filles.
-     Si tu reste comme ça, je pense tu vas gober des mouches, James, le prévint Sirius alors que Potter était resté la bouche ouverte regardant dans le vide.
           James ignora Sirius, se levant rapidement vers Remus qui venait lui aussi de faire son apparition.
-     Rem ! As-tu plaidé ma cause ? demanda le garçon aux lunettes en se jetant presque sur Lupin.
-     Crois-moi j’ai essayé. Mais Lily est ce qu’elle est. Bornée, en l'occurrence.
-     Je suis foutu, conclue James en se laissant choir sur le fauteuil le plus proche.
-     C’est moi la DramaQueen, ici. Donc tu te lève et t’essaies de remonter dans sa haute estime, répliqua Sirius en abandonnant son livre de quidditch.
-     Sirius à raison, il faut que tu arrête ta guerre avec Rogue, ça te cause préjudice, essaya de le résonner Remus. 
-     Alors, j’allais plutôt dire : Il faut trouver un moyen pour que Lily ne soit plus au courant des blagues que l’on fait à Monsieur Je-suis-une-bougie-Rogue, reprit Sirius le plus sérieusement du monde alors que les épaules de Remus s’affaissèrent. 
-     Monsieur Je-suis-une-bougie ? demanda Peter faisant remarquer sa présence.
-     Bah, oui avec son teint cireux c’est du pareil au même, il manque plus que la flamme sur la tête. Merlin ! Faut qu’on enflamme la tête de ce petit merdeux et l’illusion sera parfaite !
           Ce fut au tour de Lupin de se laisser tomber dans un canapé alors que les yeux de ses trois amis brillaient déjà d’impatience.
Le groupe resta à parler plus ou moins calmement dans la salle commune de tout et de rien mais surtout de plan pour aider James à conquérir Lily, de quidditch et de futur farce à faire à Rogue. Ce fut lorsque le dernier groupe de Gryffondor en dehors de notre quatruor quitta la pièce que les quatre garçons se rapprochèrent les uns des autres et commencèrent à parler à voix basse. 
-     Bien. Lunard, la pleine lune est dans 9 jours, comment te sens-tu ? demanda Sirius en posant la main sur l’épaule du Loup-garou.
-     Ça va, Sirius. C’est dans 3 jours que ça va se faire ressentir, tu le sais bien.
-     Oui. Mais je voulais être sûr, répondit Sirius avec aplomb.
           Remus baissa la tête, gêné par les paroles de son ami.
-     Bien ! Maintenant que cela est réglé. Peter. Tu en est où ? demanda James.
           Ce dernier, se contenta d’ouvrir la bouche, permettant aux personnes autour de lui de voir la feuille de mandragore qui y reposé sagement. Sirius ne pu caché son expression de dégout. Voir la muqueuse buccale de Peter n’était pas vraiment sa tasse de thé. 
-     Parfait. Je viendrai avec toi l’enterrer lors de la prochaine pleine Lune. Continua James. Pendant ce temps là, Patmol tu sera chargé de faire attention à ce que Lunard ne nous chasse pas.
-     Aucun problème. J’ai de moins en moins de mal à me transformer maintenant. Et toi, toujours en attente d’un orage ?
-     Oui. C’est pas juste. Toi, une semaine après y’en a eu un. Moi ça fait déjà 3 semaines, se plaignit James.
           En effet, depuis le début de leur troisième année, James, Sirius et Peter avaient le projet de devenir des animagi pour soutenir Remus, loup garou depuis sa petite enfance, lors de ses transformations. Sirius avait réussi cet exploit l’année précédente après 2 ans d’essai. Il encourageait désormais James mais surtout Peter qui avait plus de mal, ne serai-ce que pour finir la première étape. James n’avait pas vraiment de chance, il avait réussi à réaliser sa potion l’année précédente mais l’orage étant arrivé durant l’été, en ce début d’année, il avait recommencé le processus du début. Actuellement, sa potion était en train de reposer dans le parc de Poudlard à l’abri des regard attendant patiemment le prochain orage.
-     Je vous remercie les gars, lâcha Remus ému d’avoir des amis comme eux. Pour ce qui est de la carte, il faut encore le faire pour les cachots puis améliorer les sortilèges qui l’entourent. Elle sera bientôt prête.
           Sur ces plus ou moins sages paroles, le quatuor rejoint son dortoir, se laissant aller à leurs songes tombant lentement dans les bras de Morphée.
———
           C’est les premières notes d’un petit groupe de rock moldu nommé Queen qui avait réveillait notre quatuor le lendemain matin. 3 d’entre eux avaient encore la tête dans les chaussettes alors que le dernier se déhanchait debout sur son lit, sa brosse à dent lui servant de micro.
-     Y’ai Twouvé !!! s’exclama Sirius alors qu’une bonne parti de son dentifrice dégoulina de son menton jusqu’au drap.
           Lupin abandonna alors l’idée de réaliser correctement son noeud de cravate. Il n’était déjà pas doué pour cela mais ce matin là, il n’y arrivait vraiment pas. Peter, lui, cherchait ses livres de cours disséminés dans le dortoir et James finissait de se coiffer.
-     Et en français, ça donne quoi ? demanda James qui n’avait pas comprit.
           Sirius traversa alors le dortoir pour cracher dans le lavabo, faisant un clin d’oeil à son propre reflet au passage. Il se rinça rapidement la bouche, vérifia une dernière fois ses boucles et revint dans la chambre arrêtant son gramophone duquel sortait les dernières notes de Killer queen.
-     Mes chers Maraudeurs. Dans 6 jours à lieu la fête d’Halloween. Et j’ai trouvé nos costumes parfait, expliqua-t-il pour attirer l’attention de ses compères. Peter, tu seras Roger Taylor, le petit blond de pile électrique. James, John Deacon, le brun aux doigts de fée. Et toi, Lunard, tu es bien sur le grand et discret Brian May. Quand à moi, dit il en remontant sur son lit, prenant une pause théâtrale. Je serai Freddie. Ensemble, nous serons Queen !
-     Et tu veux qu’on donne une représentation aussi ? demanda Remus d’une voix pleine d’ironie.
-     Par Merlin ! Quel brillante idée. Comme toujours Lunard. Nous jouerons Killer Queen au milieu de la grande salle.
-     Tu es bien conscient que nous ne sommes pas musicien, fit remarquer James qui n’était pas emballé par l’idée.
-     Non, mon cher, nous sommes magicien, lui répondit Sirius en lui faisant un clin d’oeil.
———
La grande salle était bondée en cette matinée, les élèves de toutes maisons et de tout âge si étaient rassemblé pour prendre leur petit-déjeuner mais aussi pour écouter les annonces de leur Directeur, Albus Dumbledore. Lily était assise à côté de Remus lui même à côté des autres Maraudeur, écoutant Sirius parler sans relâche de leur futurs costumes d’Haloween. En face de Lily, se trouvait sa meilleure amie, Mary Macdonald. Elles étaient devenue amie dès leur première année, alors que Mary, maladroite dans l’âme, avait renversé son encrier sur Lily le premier cours, de leur première journée. Mary était un peu plus grande que Lily et avait de longs cheveux cendrés ondulés et de grand yeux bleu ciel. Après cet incident, elles ne s’étaient plus jamais quittée. Pas loin d’elle, il y avait Franck Londubat, grand garçon aux cheveux presque rasés châtain, le regard marron plongé dans celui noisette d’une élève de Poufsouffle à la table d’à côté, Alice Fortescue, une petite brunette, cheveux coupés en carré court et une frange. Ces deux là étaient fou amoureux l’un de l’autre. Personne ne savait depuis quand exactement mais la légende racontait qu’ils s’étaient rencontré dans le train et que le coup de foudre avait été si intense qu’à leur arrivé à Poudlard, ils avaient déjà échangé leur premier baiser. Bien sur, leur histoire connaissait des hauts et des bas mais ils revenait toujours l’un vers l’autre tôt ou tard comme deux aimants.
D’un seul coup, toutes les conversations de la salle, alors que le tintement d’une cuillère contre un verre résonnait encore.
Toutes les têtes se tournèrent alors vers la table professorale où Albus Dumbledore venait de se lever.
-     Bonjour à tous. Pardonnez moi d’interrompre un moment aussi crucial que le petit-déjeuner. Halloween arrivant à grand pas, il serait peut être temps de vous annoncez qu’une sortie pré-au-lard est prévue pout tout le monde, ce weekend. Cette sortie à un but. Trouvez le meilleur costume à présenter lors du concours de meilleur costume qui aura lieu le 31 au soir, ici même. Une affiche comprenant toutes les catégories de ce concours sera affiché dans le couloirs dans le courant de la semaine. Soyez inventif, surprenez nous. Bon appétit.
Il eu un brouhaha assourdissant dans l’ensemble de la salle ( enfin sauf chez les Serpentard), chacun s’imaginaient déjà dans le meilleur costume qui puisse exister, mais le plus heureux de tous à cet instant précis était Sirius.
On ne parla plus que de cette fête durant le reste de la semaine. La sortie pré-au-lard avait été un calvaire, tout poudlard avait débarqué dans les quelques magasins de vêtements, costumes et farces et attrapes. Beaucoup de personne n’avait pas trouvé leur bonheur et à la fin de la journée, les rayons métamorphose des librairies avaient été dévalisées.
En effet, les catégories avaient été rendue public quelques jours auparavant.
 
Cela avait été affiché en grand sur les portes de la grande salle et n’avait eu pour conséquences que de faire grandir l’envie d’arriver à cette fête car chaque gagnant de catégorie gagné quelque chose. Allant un abonnement illimité aux bonbons au citrons de chez HoneyDukes, à des points pour la coupe des maisons en passant par une chouette et même un balais volant ( et pas le premier prix)
———
C’était l’effervescence au château, et particulièrement dans le dortoir des filles de Gryffondor, des vêtements volaient partout et le maquillage tant recherché se trouvait généralement sous les couches de tulles de tissus et de dentelle.
Lily s’évertuait à nouer ses cheveux en deux nattes de chaque côtés de sa tête, elle portait une robe assez monacale verte foncé avec un tablier blanc par dessus, des grosses chaussette et des vielles chaussures en cuir. Elle s’était transformé en l’héroïne de son livre moldu préféré, Anne Shirley. Elle esquissa un faible sourire à son reflet dans le miroir, pensant à Severus. C’est elle qui lui avait fait découvrir le livre lorsqu’ils n’étaient alors que des enfants. Ce souvenir lui serra le coeur quelques instants, ils étaient devenu si distant l’un envers l’autre et elle se rendait compte que son ami lui manquait. Elle ne comprenait plus son attitude depuis la rentrée, ni même depuis le début de leur première année vrai dire, mais cette année en particulier il était encore plus distant, sûrement à cause de l’été précédent.
-     Quelqu’un aurait vu mon serre-tête ? S’écria une voix derrière Lily.
-     La dernière fois que je l’ai vu, il était à côté de la tiare de Mary ! Répondit elle en regardant Alice, déguisée en… Alice, se débattre dans un enchevêtrement de jupons. 
-     MARY ! Cria alors Alice.
S’est alors que le porte de la salle de bain s’ouvrit dans un grand fracas. Mary Mcdonald venait d’en sortir.
-     J’AI FAIT UNE TÂCHE ! Cria-t-elle sous les regards effarés d’Alice et Lily qui avaient stoppé tout mouvement. 
Elles avaient les yeux fixés sur la longue trace de fond de teint sur la robe blanche immaculée de Mary.
           Lily fut la première à réagir, cherchant sans relâche sa baguette dans le capharnaüm qu’était le dortoir. Elle fini par la trouvé et lança un evanesco pour faire disparaitre la tâche.  Au même moment, Alice mit la main sur son serre tête avec un nœud noir sur le dessus.
           Elle avait changé son carré brun en une longue chevelure blonde tenue en arrière par le fameux serre-tête. Elle portait une robe bleue bouffante à manche courte et tout comme Lily, un tablier blanc sur le dessus. Leurs costumes étaient assez similaire mais la différences était quand même flagrante et elles étaient toutes les deux très reconnaissable.
           Mary, quand à elle, avait porté son dévolu sur le costume de Galadriel, une elfe d’un livre fantastique d’un certain Tolkien. Elle porté donc une longue robe blanche avec des manches qui trainaient presque sur le sol, sa taille de guêpe était cintrée par une fine ceinture dorée accordée à son diadème doré et argenté qui tombait quelque peu sur son front. Elle n’avait pas presque pas touché à ses cheveux, les gardant cendré et mais les faisant ondulés en cascade jusqu’au bas de son dos. Elle s’était très légèrement maquillé, surtout pour blanchir un peu son teint et le perfectionner. Comme cela, elle semblait tout droit sortit d’un autre monde.
           Enfin prête, les trois amies décidèrent de se rendre enfin à la fête. Sur le chemin, elles croisèrent des vampires, des monstres en tout genre, des héros de films Moldu comme James Bond, des chanteurs et chanteuses, des choses insolites tel qu’un garçon de troisième année de Poufsouffle déguisé en Grappe de Raisin, mais elles croisèrent aussi tout un groupe de Septième année de différentes maison déguisé en professeur. Elles n’eurent aucun ma à reconnaitre McGonagall, Sulghorn ou même Dumbledore.
           Les tables de la grande salle avaient étaient déplacées en un carré qui permettait d’avoir une grande piste de danse au milieu de la salle. Il y avait certaines décoration à la manière moldue mais le cadre du château donné déjà à la pièce un ambiance particulière. Il y avait des gens dans tout les coins parlant, dansant sur la musique mise par Flitwick, rigolant, mangeant le buffet qu’il y avait sur les différentes tables.
Les trois filles commencèrent par prendre place à une table, regardant autour d’elles les différents costumes.
           Elles virent un époustouflant costume de Scarlett O’Hara dans sa robe de velours verte que portait une cinquième année de Serdaigle. Un costume assez perturbant d’un Homard ou toute l’équipe de quiditch de Serpentard déguisée en équipe de quidditch de Serpentard. L’originalité à l’état pur.
           Les jurys du concours, composé de Dumbledore, Bibine et Mcgonagall déambulaient dans la salle, étudiant les costumes et demandant des précisions lorsque cela était nécessaire. Minerva n’était pas déguisée, Bibine arborait un discret déguisement de gang de Londre et Albus, sans grande surprise, avait opter pour un déguisement assez citronné. Il était en effet déguiser en un immense citron.
-     Où sont les garçons ? Demanda Mary surprise de ne pas avoir croisé les maraudeurs.
-     D’après Franck, ils auraient préparé quelque chose de gros. Expliqua Alice. Il parait qu’ils sont restés enfermés dans leur dortoir toute la semaine et personne ne sait ce qu’ils y ont fait.
-     J’ai hâte qu’ils arrivent alors ! S’exclama Mary.
-     Il me semble avoir entendu une liaison de trop, ma chère Mary. Ne voulais tu pas dire, j’ai hâte qu’IL arrive ? Lui demanda Lily d’une voix pleine de sous-entendu.
           Mary lui tira la langue dans un geste enfantin mais Lily ne l’a regardait déjà plus. Elle avait les yeux fixés sur l’entrée de la salle où Rogue venait d’apparaître. Pantalon noir en jean retroussé, chemine à col mao blanc cassé à fines rayures bleues marine, pull sans manche en laine marron un peu vieilli, cheveux plaqués en arrière sous un béret beige. Elle n’avait pas imaginer qu’il puisse venir déguiser. Encore moins qu’il vienne déguiser en Lui. Gilbert Blythe.
           Depuis qu’il était apparu, leur regard ne s’était pas lâché et sans même s’en rendre compte, Lily s’était levée et marché droit vers lui. Severus ne bougea pas. Trop décontenancé par le costume de Lily. Au fond de lui, il avait voulu rendre hommage à leurs livre d’enfance, il n’avait pas pensé une seule seconde, qu’elle puisse faire de même.
-     Gilbert hein !? Lui dit Lily lorsqu’elle arriva près de lui.
           Elle ne savait pas pourquoi elle venait de lui adresser la parole, après tout, il l’évitait depuis le début de l’année.
-     C’est vraiment parce que j’avais que ça sous la main pour cette stupide soirée.
           Lily tiqua. Severus se maudit. Pourquoi avait il lâché ça ? C’était faux ! Il s’était surpris à choisir son déguisement avec soin alors qu’au fond de lui, il espérait que cela engage la conversation avec Lily.
-     Eh bien, en tout cas c’est réussi… Répondit Lily cachant son amertume. Passe une bonne… (Soirée) s’apprêtait elle à dire en partant alors qu’elle fut interrompu.
-     Bonsoir jeunes gens !, s’exclama Dumbledore. Pourriez vous nous dire, l’origine de vos costume ! S’extasia-t-il en les observant de la tête au pied.
-     Euh… Anne Shirley, du livre Anne of Green Gables. Répondit Lily alors que Dumbledore n’avait aucune idée de ce dont elle parlait.
-     Et vous, jeune homme ? Demanda l’homme au costume de Citron.
-     Gilbert Blythe de…
-     Anne of Green Gables ! Fini Madame Bibine avec un grand sourire. Bien sûr ! C’est très réussi comme costume de couple ! Toutes mes félicitations !  
           Sur ces mots, les trois jurys s’éloignèrent, laissant Lily aussi rouge que les couleurs de sa maison et Severus se triturant les mains seul signe du malaise qui l’habitait. Lily bafouilla quelques mots incompréhensible aux oreilles de Severus et s’éloigna rapidement sans un regard en arrière.  
-     Ton costume fait sensation Rogue
-     La ferme Black. Va te trouvez une Scarlett pour la soirée au lieu de me les brisées. Répliqua Severus en prenant la direction de la sortie, il avait grand besoin de fumer.
           Regulus Black, cheveux tirés en arrière, fine moustache, costume 3 pièces dans les tons gris et noir sans oublier le foulard noir à motif blanc était en effet, déguiser en nul autre que Rhett Butler. Ce costume lui collait à peau, affirmant son image de tombeur auprès des filles de Poudlard.
          Désormais seul à la porte, il laissa son regard ombrageux dérivé sur les personnes face à lui cherchant une cible. Robe verte de velour, cheveux chatain, grande, regard azur mesquin. Une Scarlett O’Hara dans toute sa splendeur.
-     Rem ! T’as pas vu mon micro ? S’exclama Sirius en panique.
-     Tu peux pas faire attention à tes affaires pour une fois Black !, répondit Remus d’un ton abrupte  
           Le silence se fit dans le dortoir des Gryffondors. James venait d’arrêter de toucher à ses cheveux, Peter avait les yeux grand ouvert et Sirius s’était figé au milieu de la pièce, le regard fixé sur Remus.
-     Désolé… reprit ce dernier. Je suis un peu sur les nerfs, tu sais…
-     Oui, c’est bon t’inquiète, c’est rien., lâcha précipitamment Sirius
           Il y eu un moment de silence avant que James ne reprenne les choses en mains, invitant tout le petit groupe à enfin se joindre à la soirée.
           Dans la salle, les jurys avaient commencé à remettre des prix. Celui du déguisement le plus original avait été décerné à une élève de deuxième de poufsouffle qui était venue déguisée en téléviseur moldu. Le plus beau avait été décerné à une fille de serdaigle, une certaine Dorcas Meadowes, déguisée dans un impressionnant costume de Morgane, elle était sublime, avec un côté réservé, mystérieux mais en même tant, on pouvait presque sentir la puissance et la magie noire dans le costume. Le costume le plus drôle avait été pour l’élève déguiser Hot dog. Le trophée du meilleur costume de groupe avait bien entendu était remis aux élèves s’étant déguiser en Professeurs.
-     Bien, félicitation ! Nous allons désormais passé au meilleurs dégui….
           Lily n’écoutait plus, le regard dans le vide, elle pensait à son altercation avec Severus, comment leur relation avait à ce point changé ? Pourquoi agissait il ainsi comme si plus rien ne l’atteignait ?
-     Lily ? LILY ?
           La rousse sentit une main s’abattre sur son bras, Mary était en train de la secoué en appelant son prénom. Lily reprit conscience de la réalité alors que Mary la poussait vers l’estrade des remises de prix.
           Elle se tenait là, debout devant tout le monde, ne sachant pas pourquoi, elle observé Dumbledore lui tendre un abonnement à vie aux bonbons aux citrons de HoneyDukes sans vraiment comprendre pourquoi elle avait gagné.
-     Rapprochez vous ! C’est pour la photos ! S’exclama Bibine avec un appareil sorcier en main.
Lily tourna la tête curieuse alors que Bibine désignait quelqu’un à ses côtés. Elle ne pu pas cacher sa stupeur lorsque ses yeux verts rencontrèrent les prunelles onyx de Rogue.
Elle sentit une main se poser contre sa taille alors que sans s’en rendre compte elle souriait à l’objectif. La photo prise, Severus poussa Lily à descendre l’estrade, il la rattrapa alors qu’elle s’apprêtait à rejoindre ses amies.
-     Lily ?
           Par réflexe elle se retourna.
-     Tout va bien ? Demanda-t-il d’une voix étonnamment douce
-     Oui, y’a aucun problème. Dit elle en regardant autour d’elle cherchant une porte de sortie.
           Comment pouvait elle lui dire qu’elle ne savait plus qui il était, qu’il avait changé depuis leur première année et encore plus depuis cet été. Comment lui dire que ce changement dans leur amitié lui brisait le coeur, lui qui avait été son premier ami, le seul à la comprendre quand elle en avait le plus besoin, le seul qui lui vouait un soutient sans faille. Le seul envers qui elle avait eu pleinement confiance, jusqu’à ce jour où le choixpeau avait crié « Serpentard ». Elle n’avait pas voulu le voir au début, ce changement lent, presque doux, de sa personnalité, elle l’avait ignoré ces dernière vacances mais Severus n’était définitivement plus celui qu’elle avait connu, et cela lui donnait envie de pleurer, de le supplier de redevenir ce garçon solitaire, gentil et parfois drôle qu’elle avait rencontré. Comment lui dire ça ?
           Severus quand à lui regardé le regard perdu de Lily, cette lueur de tristesse dans ses yeux incroyables. À cet instant, planté au milieu de la grande salle, il aurait tout voulu lui dire. Lui dire qu’il l’aimait comme un fou depuis le premier jour, qu’il aurait aimait resté en été, dans cette campagne avec elle, et ne plus repartir, la prendre dans ses bras, lui dire que même si il avait changé, ouvert les yeux, elle restait toujours la même et ses sentiments n’avait pas changé et ne changerait jamais.
-     Lily, il faut que je te dises… Commença-t-il sans vraiment s’en rendre compte.
           Elle le regardait désormais dans les yeux, toujours dans le vague perdue dans ses pensées. Severus se pencha lentement, perdant le sens de la réalité, se rapprochant d’elle centimètres par centimètres. Il n’entendit pas un grand bruit venant de l’entrée de la salle. La seule chose qu’il entendit fut un exclamation venant de la voix de Lily alors qu’elle avait tourné la tête et s’était précipiter vers le bruit. « Potter ? » Avait elle crié, laissant Severus interloqué, choqué au milieu de la salle, une monstrueuse colère s’immisçant dans ses entrailles.
-     C’était triste à voir. Déclara une voix derrière lui reconnaissable entre toute.
Severus fit volte face, dévisageant Regulus qui le dévisageait en retour.
-     Pourquoi ton foulard est en cendre ? Demanda Severus préférant changer de conversation.
           Il vit alors Regulus baisait les yeux sur son costume, un rictus sur les lèvres.
-     Disons que ma Scarlett était en peu plus féroce que ce que je m’attendait.
-     Tu l’as baisé ? Demanda Severus les sourcils froncés.
-     C’est pas faute d’avoir essayé mais la McKinnon à préféré me mettre le feu avec son briquet pour me faire partir.
-     Oh, Black a donc comprit le sens du mot non ?
           Regulus eu un rictus explicite.
-     Tu ne vas donc pas lâcher l’affaire ?  Demanda Severus
-     C’est toi qui demande ça, Rogue ? Avec ta sang-de-bourbe ?, rétorqua Regulus alors que Severus s’évertuait à rester de marbre. Elle est canon, c’est vrai, mais pas assez pour passer au dessus du dégout qu’elle me procure. Cependant pour répondre à ta question, je dois avouer que McKinnon, n’est plus dans mes projets, j’ai en vue quelqu’un d’autre, dit-il en lançant un coup d’oeil derrière Severus.
           Severus ne se retourna même pas pour voir qui Regulus avait en tête et se dirigea rapidement vers la sortie de la salle suivant le chemin que Lily avait prit quelques instants plus tôt.
Il fut stopper dans sa fui…ses réflexions par une foule d’élèves dansant le rock. Severus fit alors attention à son environnement et leva les yeux du sol qu’il n’avait pas eu conscience de fixé.
           Face à lui se trouvait une scène de presque un mètre de hauteur en bois, et au dessus ? Son pire cauchemar. Potter, cheveux en bataille magiquement rallongé balançant la tête au rythme de rock, guitare entre les mains, chemise à motifs grotesque presque totalement ouverte  et pantalon bleu ciel patte d’éléphant. À ses cotés, Black en tenue encore plus moulant et excentrique chantait dans un micro qui avait une tige mais pas de pied. Severus se fit la réflexion que la moustache n’allait pas du tout à Black mais c’était hors de propos. Ses yeux se posèrent alors sur Lupin, grand dans son costume plus ou moins bien coupé alors que ses cheveux semblaient aussi soyeux et bouclé que ceux d’une femme. Il jouait de la base et honnêtement il regardait le sol trop gêné pour se rendre compte de la place qu'il occupait actuellement. Et puis il y avait Peter, caché derrière une batterie. Il tapait dans tout les sens et était étonnamment ou plutôt sorcellement en rythme. Severus n’aurait jamais pensé avoir cette vision, et il aurait préférait ne pas la voir mais elle n’était rien face à celle qu’il eu juste après avoir découvert les maraudeurs version Queen. Au premier rang, tout près de la scène, ses tresses rousses volantes autour d’elle, Lily criait, riait, dansait. Cette vision aurait pu être parfaite car elle était sublime mais c’est vers Black qu’elle tendait les bras, c’est le nom de Potter qu’elle cria lors d’un solo de guitare et c’est les Maraudeurs qu’elle acclamait.
           La chanson prit fin et tout le monde applaudit. Severus en profita pour s’en aller. Il avait besoin d’air.
-     Merci à tous ne nous avoir écouté ! Cria Sirius dans son micro alors que la foule devant lui, dont Albus et Minerva faisait partie, scandait pour en avoir une autre.
           Sirius tout sourire se retourna vers ses amis, tous hochèrent la tête plus ou moins convaincu et ils démarrèrent un nouveau morceau. Alors qu’il chantait et qu’il regardait son public, Sirius comprit. Cette sensation d’exaltation qui s’était emparée de lui, ce sentiment de joie de savoir qu’il produisait quelque chose avec ses amis, qu’ils étaient les stars de cette école, que tout le monde les acclamé. Il comprit. Il comprit qu’il voulait pouvoir ressentir cela dans sa vie, cette même sensation que devait ressentir James en marquant un but. Alors à la fin de la chanson alors que déjà plusieurs filles au premier rang lui faisait des clins d’oeil, il reprit le micro chauffant la salle pour les entendre crier, crier pour eux, les Maraudeurs, crier pour lui.
-     Bien, si cela vous a plu, je vous annonce, que nous lançons notre propre groupe !, il regarda vers le ciel étoilé de la grande salle quelques instant. ASTRONOMY !,cria-t-il d’un seul coup. Souvenez vous de nous ! Et à la fois prochaine !
           Sur ces mots, la salle se rempli d’un épais brouillard noire et lorsqu’il se dissipa, sous les cris de la foule, la scène et le groupe Astronomy s’était volatilisé.
-     C’était tout bonnement GÉ-NIAL !, cria Sirius dans le couloir un peu plus loin que la grande salle alors que les autres arrivaient avec leurs instruments volant derrière eux.
           James affirma, Peter aussi mais il avait mal à la tête, une cyballe était tombé sur lui lors du déménagement.
-     Attend attend Sirius, t’as dit quoi à la fin ? demanda Remus qui n’avait pas tout capter, trop concentré à jeter un sort nébuleux.
-     J’ai crée notre groupe ! ASTRONOMY !, cria Black.
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bonsoirs37 · 1 year
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Suite de la journée : le Bac n'a pas coulé, donc bien arrivé à Lamarque. Traversée avec 5 autres Pèlerins : une était en vadrouille juste pour 8 jours, l'animatrice marche Nordique faisait juste la traversée pour prendre un bus pour Bordeaux avec un RDV pour son ongle incarné, à voir si elle continue par la suite, Jean Michel s'arrête dans la famille a Margaux puis voiture pour Dax pour continuer (c'est pour éviter les Landes !!!), Et enfin Isabelle et Isabelle devaient aller jusqu'au bout mais un décès dans la famille a interrompu le voyage qui reprendra plus tard. Pour le parcours c'était pas mal avec un peu d'ombre, mais certaines zones encore humides surtout à la descente du Bac, ma coloc du jour Suzanne (je vais y revenir) est passée 1h00 avant moi et elle avait de l'eau jusqu'au genoux alors que moi j'ai réussi à passer sans trop mouiller mes chaussures. Je pense qu'il y a une histoire de marée. A 2 km de l'arrivée, j'ai dû faire appel à Google pour trouver le chemin, plus de balisage, je pense qu'à un moment j'étais dans mes pensées et j'ai raté quelque chose. Merci Google. Ce soir je loge chez les Soeurs miséricorde. Accueilli par Sœur Véronique dans un gîte où il y a tout ce qu'il faut, Suzanne et moi avons pris le dîner et petit déj en plus (en Donativo). Suzanne, 80 ans a une histoire particulière avec Compostelle : une amie de sa mère allait chaque année de Paris à Santiago en avion. Suzanne à l'âge de 20 ans est curieuse de connaître Santiago, elle part de lourdes (ou elle habitait) , donc 1963, en 2cv avec ces deux sœurs plus jeunes et bien-sûr avec l'accord des parents. Elle met 8 jours. Elle y retournera pour son voyage de noces toujours en voiture, mais un peu plus rapide. Par la suite elle le refera à pied avec son mari, puis plus récemment seul et enfin avec sa sœur au départ de Paris, avant la COVID jusqu'à Chartres, puis l'an dernier seule au départ de Vendôme et cette année au départ de Tours. Elle compte aller le plus loin possible... Mais arrêt à la frontière, côté Espagnol elle connait par coeur. A 80 Ans, Incroyable. Je suis admiratif, Respect. Donc ce soir en tête à tête avec Suzanne. Il faudrait quasiment passer une journée dans chaque étape pour visiter mais là, le chemin durerait minimum 4 mois . On dit que Compostelle est l'école de la frustration, il faut marcher et pas le temps de tout voir mais ce sera l'occasion, peut être, d'y revenir en vacances...
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artspaume · 11 months
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JASMINE GREGORY – Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus / Capc Musée d’art contemporain (FR)
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Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus
VEN 17 NOV 2023 – DIM 28 AVR 2024
Vernissage JEU 16 NOV 2023 19:00
Jasmine Gregory, artiste américaine vivant à Zurich, présente sa première exposition personnelle Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus en France au Capc Musée d’art contemporain de Bordeaux en collaboration avec le CCS. Jasmine Grégory propose dans le cadre de cette exposition de déconstruire son rapport à la peinture. Celle-ci apparaît dans différents états, pour multiplier les points de vue permettant d’aborder ce médium chargé d’histoire. La peinture est mise sous vitrine ; des jeux de lumière la font apparaitre et disparaitre ; elle s’étend sur les murs pour devenir architecture. Autant de gestes qui invitent à se déplacer pour regarder la peinture autrement.
Dans son travail, Jasmine Gregory cherche à aller à la marge de la peinture. Elle utilise des restes, des déchets, des rebuts de la peinture et les expose. La peinture ne s’arrête donc pas au cadre (ni de la toile, ni de l’exposition), elle s’étale et dégoute, déborde, sort de son espace pour mieux s’interroger sur son propre sort, sa propre finitude et sa propre mort. C’est dans ce monde d’après que l’artiste pense sa peinture. Au même titre que des figures pop comme Lana Del Rey sont fantasmées et iconisées, Jasmine Gregory s’interroge sur ce qu’il reste d’une icône quand elle n’est plus qu’une carcasse. Consciente de vivre à une époque qu’elle considère être les débris d’un monde déjà mort, elle envisage la peinture dans cette dimension critique –ce medium de l’Histoire de l’art par excellence, célébré, déclaré mort et ressuscité maintes fois. Usée, manipulée, inscrite dans une histoire patriarcale et capitaliste, il n’en reste au même titre qu’un souvenir mortifère qu’elle tord jusqu’à épuisement.
Au lieu d’accepter une situation qui semble inéluctable – la fin de l’art -, Jasmine Gregory parle la langue du collage, un assemblage étrange de références au capitalisme tardif (peintures reprenant des images publicitaires provenant du monde bancaire), afin de les transformer. La peinture est ici déconstruite sous différentes formes, théâtralisée dans certaines salles de l’exposition comme pour évoquer une tragédie, ou au contraire surexposée sous une lumière extrêmement blanche comme pour l’ausculter. Une peinture vide puis trop pleine, chargée de signes qu’elle efface aussitôt.
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Centre culturel suisse. On Tour à Bordeaux
Capc Musée d’art contemporain
7 rue Ferrere Bordeaux
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Le port de Bordeaux au XIXe siècle
SAMEDI 19 AOÛT 2023 (Billet 3 / 4)
JM avait pris l’affiche en photo et l’a bien sûr montrée à nos invités qui en ont été étonnés. Puis, puisqu’il était question de « pied », une unité de mesure qui n’existe plus, en France du moins, JM a dérivé, par association d’idée, sur la contenance des bouteilles de vin, 75cl et leur a posé la question : pourquoi les bouteilles de vin, dans le monde entier, font 75cl et non pas 1 litre, ce qui aurait pu sembler plus logique ?
Comme le raisonnement est un peu compliqué pour un non-matheux comme lui, il a pris son iPhone, s’est mis sur Google et leur a lu l’explication trouvée sur Wikipédia :
« POURQUOI LES BOUTEILLES FONT 75 CENTILITRES ?
Un peu d’histoire
Il faut savoir que la bouteille de vin a été standardisée au XIXème siècle.
Les idées reçues
La contenance est à 75 cl pour une raison pratique. Ce n’est ni parce que cela correspond à la capacité pulmonaire d’un souffleur de verre, ni pour des raisons de conservation, ni parce que la taille de cette bouteille est liée à la consommation moyenne lors d’un repas. Toutes ces raisons sont fausses !
La vraie raison : simplifier le commerce des bouteilles
Les bouteilles de vin ont été standardisées à 75 cl car à l’époque, les principaux clients des domaines viticoles français sont nos voisins anglais. Mais la différence de mesure entre les anglais et les français est un souci pour les échanges. Le système de mesure des anglais est le « gallon » ce qui équivaut précisément à 4,54609 litres. Les conversions d’une mesure à l’autre ne sont pas simples et il faut donc trouver une quantité commune.
Pour éviter trop de complication lors de la conversion, il a été convenu que 225 litres seraient transportés en barriques, ce qui équivaut en arrondissant à 50 « gallons ». Le but était d’avoir un chiffre rond. De plus, 225 litres correspondent à 300 bouteilles de 75 cl. Fixer la contenance à 75 cl était donc la solution pour faciliter les échanges avec les anglais et continuer les ventes en France. Proposer un autre volume aurait bien compliqué les choses !
La contenance de 75 cl a donc été standardisée pour faciliter la situation. 1 « gallon » valait donc 6 bouteilles. 
Aujourd’hui encore, le commerce des vins reste marqué par cette histoire car les caisses de bouteilles de vin sont majoritairement vendues par 6 ou par 12 ! »
NB Il existe 12 contenances de bouteilles (vin ou Champagne), de 18,7 cl à 30 litres, toutes des « multiples » de la contenance initiale de 75cl.
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mollat-bordeaux · 2 years
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🎁❄️🌲 #ideecadeaunoel : le très beau catalogue d’exposition du @museelouvre LES CHOSES (une histoire de la nature morte) @lienart_editions et Louvre éditions #leschoses #naturemorte #art #beauxarts #louvre #louvreeditions #librairie #mollat #bordeaux (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/ClvfSw8Di7_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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claudehenrion · 2 years
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Le petit lutin charmant s'en est allé…
  La nouvelle est tombée jeudi, sèche, glaciale comme seule peut et sait l'être une “brève” d'Agence : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”. Voilà. Un point, c'est tout : Il est mort. Pourquoi s'étaler, n'est-ce pas ? Ceux qui croient utile de verser une petite larme en parlant d'une chose aussi triste que “nous ne verrons plus jamais ce vrai jeune homme qui semblait éternel, ce gentil clown qui bondissait et rebondissait, si sympathique”… peuvent le faire, bien sûr. Mais ce n'est pas notre boulot : une Agence, c'est là pour  énoncer un truc aussi routinier que tous les autres : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”.
C'est étrange, cette manière qu'a le ciel de se vider brutalement : rien n'a changé, mais tout est différent. Ce Jeudi soir, venant juste de l'apprendre, je traversais Paris sur ma moto sous une pluie battante, zigzaguant dans les embouteillages, mouillé comme un explorateur des chutes de Niagara… et je pensais à Marcel Amont, en souriant sous la flotte : c'est lui que le ciel pleurait… NDLR - Comme je vous en ai parlé, un petit ‘’suivi’’, parce que “la vie continue” : j'allais à la Librairie Eyrolles pour la première d'une longue série de “signatures” de “Les Apprentis sorciers”, sujet de mon ‘’édito’’ il y a 48 heures, et qui bat tous les records de vente : jamais, dit Albin Michel, un livre scientifique n'a “fait” une telle explosion, qui met en furie ceux qui tirent à 350 ex … Et les vomissures a-scientifiques du pauvre Alain Fischer (je le cite, car il le mérite : ce soi-disant scientifique, qui se débine de toute confrontation –comme tous ceux qui font passer leur image avant les enjeux de cette bataille planétaire du Bien contre leur Mal– a osé écrire : “Je vous dirai pas qui, mais un ami m'a dit qu’elle…”) donnent envie de l'acheter : les français, maltraités, ulcérés, ont compris que le clan des “périmés” –ce qu'il est– ne peut, à jamais, plus rien leur proposer de bon. En plus, tout ce qu'il en dit prouve qu'il n’a même pas lu ce livre, comme Laurent Alexandre, un autre  ’‘has been’’ . Passons : ce n'est pas le sujet.
Le ciel, donc, pleurait. Pour lui ? Sans doute pas, car il n'y croyait pas trop, à tout ça, le ciel, ses occupants, des trucs compliqués : je n'ai pas réussi à le convaincre ! Il était juste un peu ironique, par fidélité filiale : il ne savait pas être méchant. Et à part ce dernier point, peut-être, rien, dans nos deux existences, n'aurait dû nous rapprocher, ni nos carrières, ni notre monde de référence, ni nos histoires telles qu'elles se sont déroulées, la sienne sans moi, bien sûr, la mienne “sans lui, quoi que…”. Son histoire ? Les médias vont vous la raconter, cent fois. Moi, j'ai envie d'effleurer pudiquement celle de notre amitié. Car le destin se moque de la logique des hommes et de leurs mauvaises “bonnes raisons” de ceci ou de ne pas cela…
Arrivé à Paris tout début octobre 1955, sortant de mon “bled” natal, je n'étais même pas un de ces lourds provinciaux dont les impairs faisaient les délices des habitués des “Rallyes”, qui se croyaient délurés et n’étaient qu’un peu plus blasés que les gens normaux : j'étais à l'étage inférieur, celui des Ploucs chroniques… et des noms comme “Marcel Amont” ne risquaient pas d'avoir une place dans mon petit panthéon personnel –alors assez “plein de vide”, je dois l'avouer. Un ami, étudiant à “Sup de Co”, m'a entraîné dans un petit boui-boui pas très loin de la place de la République où sa Promo’ fêtait quelque chose… Et là, j'ai eu un choc, devant un inconnu qui venait d'arriver de son Bordeaux natal, et qui, en plus, ne connaissait pas le seul bordelais que moi je connaissais : mon camarade de promo’ Philippe Joyaux, qui allait bientôt connaître une gloire littéraire méritée puis la faute politique (il fut un chantre ardent du “maoïsme mondain” des années 65-70) sous le nom de Philippe Sollers, avec son superbe roman “Une curieuse solitude” : son univers, à lui aussi, était à des lieues de celui de Marcel Amont… On s’est dit ‘’Au revoir’’....
Puis le temps a passé, trop vite et si lentement comme toujours. Lui m'avait tout naturellement oublié et moi je me souvenais de cette bombe de talent, de finesse et de drôlerie vraie. Je “suivais” sa carrière dans la presse, et je travaillais (guitare, piano et chant, comme toujours) chacun de ses succès… qui font toujours partie de mes “morceaux de bravoure”. Nos chemins se sont brièvement croisés deux ans plus tard, lorsque j'ai eu l'occasion de remplacer, pour quelques mois, “Schubert” (mais oui… Manque de pot, ce n'était pas Franz. Le “mien”, pianiste, n'était pas très connu mais s'était cassé le poignet : à moi de jouer !) comme accompagnateur de Jean-Claude Darnal, un chanteur “rive gauche”, ami de Marcel Amont. Rien à dire sur ces non-retrouvailles : il était devenu “Monsieur” Amont… et moi, j'étais resté un étudiant qui ���se faisait” un peu d'argent de poche en pianotant à travers le Quartier Latin… Il y a des âges où 5 ans d'écart pèsent lourd et créent une vraie différence.
Il a fallu un demi-siècle et l'aube des années 2000 pour que, par un hasard trop grand pour être dû… au hasard, ma Maman et Mme Laborde –la Maman de son adorable épouse Marlène– se cassent le même jour le col du fémur (chacune le sien, évidemment !), et aillent se faire rééduquer à la clinique “de la Porte Verte”, à Versailles… où nous nous sommes vus, revus, découverts, appréciés, trouvés… C'est là que j'ai découvert les mille et une richesses de cet archétype de “mec talentueux”. Je me suis mis à faire partie des habitués de sa belle maison de St Cloud, et je suis devenu un des utilisateurs patentés (et très tentés, en même temps) de son piano noir… où nous faisions des “quizz’’ : ’'Et celle-là, tu la connais ?” – un jour, il était arrivé tout content d'avoir “découvert” Connaissez-vous la Touraine, de Francis Linel. Manque de bol, je la connaissais, il en était tout déçu !).
Souvenirs : leur panique à tous deux (Marcel et Marlène) lorsque leur ravissante fille Romélie –comme sa grand-mère !– en vacances à Phuket, a été frappée par le tsunami du 26 décembre 2004, laissant ses pauvres parents sans aucune nouvelle pendant plusieurs jour alors que circulaient des images d'horreurs et de morts. Elle fut sauvée, ainsi que Alain Chabat, mais ils ont mis très longtemps à reprendre leur souffle… Ou encore, leur joie lorsque leur fils Mathias Miramont a “intégré” la même grande Ecole que moi –ce dont lui se foutait totalement, sa  vocation était ailleurs.
Et le temps passait, apparemment sans laisser de traces sur le corps sec et souple de cet ancien ‘’prof de gym’’ qui, à 90 ans bien sonnés, refaisait son “gag-exploit” consistant à marcher… se trouver arrêté par une chaise, continuer à marcher en montant d'abord sur l'assise, puis sur le dossier… La chaise se renversait sous son poids…  et lui continuait sa ‘’marche’’, sans le moindre changement de rythme ou d'allure… Je n'ai jamais osé essayer… et je mourrai en l'enviant d'avoir su faire ça !
Au revoir, cher “Mexicain basané”. Ou plutôt… A Dieu. Tu es dans ce ciel que tu voyais “Bleu, Blanc, Blond”, et tu sais, maintenant, s'il est occupé ou désertique… 
Ton ami Claude, qui te pleure…
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demenegmenten · 7 days
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Déménager à Bordeaux : un nouveau départ dans une ville dynamique
Bordeaux, souvent surnommée la « Perle d’Aquitaine », est une ville qui attire de plus en plus de nouveaux résidents grâce à son cadre de vie exceptionnel. Que vous veniez pour des raisons professionnelles, familiales ou pour changer d’environnement, déménager à Bordeaux représente une belle opportunité.
Pourquoi choisir Bordeaux ?
Bordeaux est une ville riche en histoire, avec son architecture emblématique, ses places animées et ses quais bordant la Garonne. Elle offre une qualité de vie exceptionnelle grâce à un climat doux, de vastes espaces verts et une proximité avec l’océan Atlantique. De plus, Bordeaux est bien desservie par les transports, notamment avec le TGV reliant Paris en seulement deux heures.
Les étapes à suivre pour un déménagement réussi
Déménager, surtout dans une grande ville comme Bordeaux, nécessite une bonne organisation. Voici quelques étapes clés pour réussir votre installation :
Recherche de logement : Le marché immobilier à Bordeaux est compétitif, surtout dans les quartiers prisés comme Chartrons ou Saint-Michel. Il est recommandé de commencer vos recherches bien à l’avance.
Planification du déménagement : Faites appel à des déménageurs professionnels pour faciliter le transport de vos affaires, surtout si vous déménagez de loin. Pensez à réserver en avance, surtout en période estivale.
Formalités administratives : N'oubliez pas de mettre à jour vos adresses administratives et de vous inscrire à la mairie pour pouvoir profiter des services locaux, comme la collecte des déchets ou les abonnements aux transports.
Les atouts de Bordeaux
La ville de Bordeaux se distingue par son dynamisme culturel. Entre ses nombreux musées, théâtres, et festivals, sans oublier les vignobles mondialement célèbres aux alentours, il y a toujours quelque chose à découvrir. Bordeaux est également une ville étudiante, avec plusieurs universités et écoles de renom, ce qui contribue à son atmosphère jeune et animée.
Conclusion
Déménager à Bordeaux, c’est s’offrir une nouvelle vie dans une ville pleine de charme et d’opportunités. Que ce soit pour le travail, les études ou un changement de rythme de vie, Bordeaux saura vous séduire par sa convivialité et son dynamisme.
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amantysjoaillerie · 21 days
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La gemmologie, science fascinante des pierres précieuses, dévoile les secrets cachés des gemmes, révélant leur histoire, leur composition et leur éclat unique. 
Les experts gemmologues de la Maison de joaillerie Amantys vous proposent chaque semaine à 18h une initiation à la science du diamant naturel.Gratuit et ouvert à tous, ce moment privilégié allie théorie et pratique.
• Paris | 5 rue de l’Échelle 75 001 
• Bordeaux | 4-6 Cours de l’Intendance 33 000
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thrifty99 · 26 days
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Explorez les monuments emblématiques de Paris avec Thrifty Car Rentals
La France est un pays aux paysages variés, riche en histoire et en splendeur culturelle. Que vous exploriez les rues animées de Paris, la campagne paisible ou les plages ensoleillées de la Côte d'Azur, Thrifty Car Rental est votre compagnon de voyage idéal. Offrant des services de location de voitures de premier ordre, Thrifty garantit que votre voyage à travers la France sera confortable, pratique et mémorable.
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Explorez Paris : La Ville Lumière
Commencez votre aventure à Paris, le cœur de la France et une ville réputée pour son art, sa mode et son histoire. Avec les services de location de voitures de Thrifty à Paris, vous pouvez naviguer facilement à travers les monuments emblématiques et les trésors cachés de la ville. Commencez votre visite à la Tour Eiffel, puis conduisez le long des Champs-Élysées jusqu'au majestueux Arc de Triomphe. Ne manquez pas le Musée du Louvre, qui abrite des milliers d'œuvres d'art, dont la célèbre Mona Lisa.
Promenez-vous dans les charmantes rues de Montmartre, visitez la magnifique basilique du Sacré-Cœur et profitez d'un pique-nique au Jardin du Luxembourg. Avec une voiture de location Thrifty, vous pouvez facilement vous déplacer entre ces attractions, profitant au maximum de votre temps dans cette ville enchanteresse.
Partez au-delà de Paris : Découvrez la beauté de la France
La France, ce n'est pas seulement Paris. Avec Thrifty Car Rental, vous avez la liberté d'explorer les nombreuses autres régions fascinantes du pays.
Normandie
À quelques heures de route de Paris, la Normandie offre des vues côtières spectaculaires, des monuments historiques et une cuisine délicieuse. Visitez les plages du Débarquement, le poignant cimetière américain et le pittoresque Mont-Saint-Michel, site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Vallée de la Loire
Connue comme le "Jardin de la France", la vallée de la Loire est célèbre pour ses châteaux à couper le souffle, ses beaux jardins et ses vignobles. Explorez le grand Château de Chambord, l'élégant Château de Chenonceau et dégustez des vins dans les nombreuses caves locales.
Provence
Dirigez-vous vers le sud pour découvrir la charmante région de Provence, où vous pourrez vivre l'expérience de la campagne française par excellence. Conduisez à travers les champs de lavande, visitez la ville historique d'Avignon avec son impressionnant Palais des Papes et profitez du paysage époustouflant des gorges du Verdon.
Côte d'Azur
Pour une touche de glamour, conduisez le long de la Côte d'Azur. Visitez la chic ville de Nice, explorez la vieille ville et la Promenade des Anglais, et faites un court trajet jusqu'à Monaco pour un aperçu du mode de vie luxueux. Ne manquez pas les belles villes côtières de Cannes et de Saint-Tropez, connues pour leurs plages magnifiques et leur vie nocturne animée.
Bordeaux
Réputée pour son vin, Bordeaux est une destination incontournable pour tout amateur de vin. Conduisez à travers les vignobles vallonnés, visitez des vignobles de classe mondiale et explorez le centre historique de la ville, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. L'architecture magnifique et la scène culinaire délicieuse font de Bordeaux une destination parfaite.
Commencez votre aventure française avec Thrifty
Embarquez pour un voyage inoubliable à travers la France avec Thrifty Car Rental. Découvrez la beauté de Paris, le charme de la campagne et l'attrait de la côte à votre propre rythme. Réservez votre voiture de location dès aujourd'hui et profitez de la liberté d'explorer tout ce que la France a à offrir. Prêt à commencer votre aventure ? Réservez maintenant avec Thrifty Car Rental et parcourez les merveilles de la France en toute facilité et confort.
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Girondins de Bordeaux : la relégation confirmée en National 2
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Le verdict est tombé. Ce vendredi matin, le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) a définitivement scellé le sort des Girondins de Bordeaux en rejetant leur ultime recours pour réintégrer le National 1. Le club, qui espérait un dernier geste de conciliation, devra finalement évoluer en National 2 pour la saison à venir. Cette décision marque la fin d'un long combat juridique mené par les dirigeants bordelais, un combat qui, malgré tous les efforts, n'aura pas suffi à inverser le cours des événements. Girondins de Bordeaux : relégation confirmée en appel Les ennuis des Girondins de Bordeaux ont commencé avec une décision de la commission fédérale de contrôle des clubs, qui avait prononcé la rétrogradation du club en National 2. Cette sanction administrative qui résulte de problèmes financiers, avait été confirmée en appel, plongeant le club dans l'incertitude. Face à cette situation, les Girondins de Bordeaux avaient saisi le CNOSF en dernier recours, espérant obtenir une conciliation qui leur aurait permis de rester en National 1. Mais cette démarche n’aura finalement abouti à rien de concret. Lire aussi : Bordeaux en National : les supporters du club sont tristes ! Le CNOSF ferme la porte à une conciliation Lors de l’audience de ce vendredi, le CNOSF a écouté les arguments des représentants bordelais. Aucune proposition de conciliation n’a été formulée par l'instance, laissant les Girondins sans autre alternative que de se préparer pour une saison en National 2. Cette décision est un coup dur pour le club, qui avait fondé ses derniers espoirs sur une intervention du CNOSF pour éviter la relégation. La confirmation de la relégation en National 2 par le CNOSF pour les Girondins de Bordeaux est un échec pour le club qui, malgré tous ses efforts, n’a pas réussi à faire valoir ses arguments devant les différentes instances sportives. Désormais, les Girondins de Bordeaux doivent faire face à une réalité cruelle : celle d'évoluer dans le quatrième niveau du football français. Un coup dur pour un club qui, il y a encore peu, disputait des rencontres en Ligue 1. Une nouvelle saison en National 2 pour les Girondins Avec cette décision, les Girondins de Bordeaux doivent désormais tourner la page de ce long feuilleton judiciaire et se concentrer sur la prochaine saison en National 2. Le défi est de taille : réussir à remonter au plus vite dans la hiérarchie du football français. Cette relégation pourrait également avoir des répercussions sur le plan sportif et financier, le club devant composer avec un budget revu à la baisse et un effectif potentiellement diminué. Les conséquences d’une relégation inattendue La rétrogradation en National 2 pourrait bien entraîner des départs parmi les joueurs cadres de l'équipe, certains chercheraient à poursuivre leur carrière à un niveau plus élevé. Le club devra faire face à une diminution des recettes, que ce soit en termes de droits télévisés, de sponsoring ou de billetterie. Une situation délicate qui exige des dirigeants bordelais qu'ils réagissent rapidement pour éviter que le club ne s'enlise encore davantage. Voir également : Qui est Albert Riera, le nouveau visage à la tête de Bordeaux ? L’heure est à la reconstruction Les Girondins de Bordeaux se trouvent à un tournant de leur histoire. Après avoir épuisé toutes les voies de recours, ils doivent désormais accepter leur place en National 2 et se concentrer sur la reconstruction de l'équipe. Il s'agit de rebondir rapidement pour retrouver au plus vite un niveau plus conforme à leur histoire et à leurs ambitions. Ce passage par le National 2 pourrait bien être l'occasion de repartir sur des bases saines et de renouer avec les succès d'antan. Mais pour cela, il faudra faire preuve de résilience, de rigueur et de détermination. Read the full article
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toutsurlevin · 1 month
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Un vin de la semaine dont il faut faire provision
Il est de ces vins délectables dont on se pourlèche les babines de satisfaction. Ce Bordeaux de l’appellation du Médoc est particulièrement savoureux dans ce millésime. Château Patache d’Aux, Médoc, 2016, Bordeaux, France Pour la petite histoire, une patache fait référence aux vaisseaux maritimes douaniers qui naviguaient dans l’estuaire de la Gironde au XVIIIe siècle, mais aussi aux diligences…
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coupdepoucefinancier · 2 months
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Dans Quel Vin Investir ? Conseils Et Astuces
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Beaucoup de passionnés se demandent dans quel vin investir pour diversifier leur portefeuille. Il relève très souvent d'un intérêt pour cet alcool, mais certains y voient simplement une manière d'améliorer leur rendement. Mais comment s'y prendre ? Quels vins choisir ? Voici nos conseils et astuces pour réussir votre investissement dans le vin.
Notre TOP 10 Des Meilleurs Domaines Pour Investir
Avant de commencer ce classement, il est important de rappeler que la côte d'un vin est très variable et qu'il nous est impossible de vous donner une liste qui tient compte du millésime. Au lieu de cela, nous préférons vous orienter vers des domaines qui parviennent à produire des vins délicieux, qui se valorisent avec le temps, mais dont il faudra se renseigner plus en détail. Pour une précision maximale, un expert œnologue peut vous conseiller dans quel vin investir pour obtenir le meilleur retour sur investissement. Car la côte d'un vin dépend de plusieurs facteurs: - Son Domaine (région, appellation, histoire du domaine) - Son millésime - Sa capacité de garde - Son appréciation par les experts et les critiques - Le nombre de cuvées produites (sa rareté) Cela étant dit, voici notre sélection des dix meilleurs domaines pour un investissement réussi : Château Haut-Bailly : Ce domaine à Bordeaux est réputé pour ses vins fins et complexes. Leurs potentiels de garde sont excellents.
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Château Cheval Blanc : Un autre domaine bordelais de prestige. Ses millésimes sont recherchés et offrent une très bonne valorisation.
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Château de la Tour : Ce domaine en Bourgogne produit de petites quantités, ce qui le rend très attractif pour les investisseurs.
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Clos des Papes : Ce domaine en Châteauneuf-du-Pape est connu pour sa qualité constante et à créer des vins avec une superbe capacité de vieillissement.
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Opus One : L'Exception du classement: ce vin californien est le fruit d'une collaboration entre les familles Rothschild et Mondavi. Il est très prisé sur le marché international.
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Château Pichon Baron : Produit des Pauillac qui combinent puissance et élégance. Ses millésimes récents sont particulièrement intéressants.
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Domaine Faiveley: Ce domaine produit la célèbre appellation Clos de Vougeot. Sa rareté en fait un choix judicieux.
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Domaine des Lambrays : Un terroir exceptionnel, combiné à une vinification précise et un savoir-faire ancestral qui produisent des vins élégants, complexes et équilibrés.
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Château Latour : Produit un des cinq premiers crus de Bordeaux. Sa réputation et sa qualité en font un investissement sûr.
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Château Mouton Rothschild : Produit un Premier Cru Classé réputé pour ses étiquettes artistiques et sa qualité exceptionnelle. Ses millésimes se valorisent bien.
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5 Exemples De Vins Qui Ont Connu Une Forte Croissance
- Château Lafite Rothschild 2008 : Ce vin a vu sa valeur augmenter considérablement après avoir reçu une excellente note de dégustation de la part de Robert Parker. En 2011, sa valeur a presque doublé. - Domaine de la Romanée-Conti, Romanée-Conti Grand Cru 1990 : C’est un des vins les plus recherchés au monde. Sa rareté et sa qualité exceptionnelle ont fait grimper sa valeur de manière impressionnante au fil des ans. - Petrus 1982 : Ce vin emblématique de Pomerol est un investissement solide. Sa valeur a considérablement augmenté depuis sa mise en marché grâce à sa qualité et sa rareté. - Screaming Eagle Cabernet Sauvignon 1992 : Ce vin californien est célèbre pour sa qualité et sa production limitée. Il a vu sa valeur exploser sur le marché secondaire. - Château Margaux 2009 : Ce millésime exceptionnel a été très bien noté par les critiques. Sa valeur a connu une hausse significative depuis sa sortie.
Pourquoi Choisir Du Vin Comme Investissement ?
Soutenir le Patrimoine Investir dans le vin, c'est aussi soutenir le patrimoine culturel et historique. Les grands crus sont souvent produits par des vignobles avec une longue tradition viticole. En achetant ces vins, nous contribuons à la préservation de ces domaines historiques. Se Diversifier La diversification est cruciale en matière d'investissement. Le vin offre une alternative aux actions, obligations et immobilier. Il permet de répartir les risques et de profiter de la croissance de différents secteurs. On Peut Boire Son Investissement !
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Contrairement à d'autres investissements, le vin peut être dégusté. En cas de besoin ou d'occasion spéciale, on peut décider de déboucher une bouteille précieuse. Cela apporte une dimension personnelle et tangible à l'investissement. Placement à Moyen et Long Terme Le vin est un investissement à moyen et long terme. En général, les vins prennent de la valeur avec le temps, notamment les grands crus. Il faut donc être patient et savoir attendre pour réaliser des gains significatifs. Un Rendement Intéressant Au cours des 20 dernières années, les prix moyens des Grands Crus et Vins d’Exception ont progressé entre 5 et 15 % par an. Ce rendement est plus qu'intéressant, surtout en comparaison avec d'autres types d'investissements traditionnels. Attention cependant à ne pas le garder trop longtemps.
Quels Sont Les Coûts Annexes à l'Achat d'une Bouteille de Vin?
Le Coût de la Conservation Lorsqu'on parle d'investir dans le vin, il ne suffit pas d'acheter une bouteille et d'attendre qu'elle prenne de la valeur. La conservation joue un rôle crucial. Et ici, on ne parle pas de compte bancaire: le vin doit être stocké dans des conditions optimales pour vieillir correctement. Cela implique une température constante, une humidité contrôlée, et une protection contre la lumière et les vibrations. Si vous n'avez pas une cave adaptée, il faudra envisager la location d'un espace de stockage professionnel. Les coûts peuvent varier, mais ils peuvent rapidement s'accumuler, surtout si vous détenez une collection importante.
Les Questions A Se Poser Avant de Se Demander Dans Quel Vin Investir
Quelles Régions Prendre? Toutes les régions viticoles ne se valent pas en termes d'investissement. Bordeaux et la Bourgogne sont des valeurs sûres, reconnues pour leurs grands crus. Les vins de ces régions sont souvent recherchés et peuvent offrir de bonnes plus-values. Cependant, d'autres régions comme la Champagne, la Vallée du Rhône ou même certaines régions italiennes et espagnoles gagnent en popularité. Ne misez pas seulement sur une seule région. Cherchez des opportunités dans des zones montantes, qui peuvent offrir des rendements intéressants à moyen et long terme. Quel Millésime ? Le millésime, ou l'année de production du vin, a une grande importance. Les conditions climatiques varient d'une année à l'autre, influençant la qualité du raisin et, par conséquent, du vin. Certains millésimes sont considérés comme exceptionnels et sont donc plus prisés des collectionneurs et des investisseurs. Renseignez-vous sur les millésimes recommandés par les experts. Un bon millésime dans une région réputée peut voir sa valeur augmenter significativement avec le temps. Vins Bio? Biodynamique? Naturel? Le marché des vins bio, biodynamiques et naturels est en pleine expansion à l'international. Ces vins sont produits selon des méthodes respectueuses de l'environnement et souvent avec moins de sulfites. La demande pour ces vins ne cesse de croître, notamment parmi les consommateurs soucieux de leur impact écologique. Cependant, tous les vins bio ou naturels ne sont pas des investissements sûrs. Il est important de bien connaître les producteurs et de suivre les tendances du marché. Certains domaines pionniers dans ces méthodes peuvent offrir de belles opportunités d'investissement. Quelles Sont Les Tendances Du Marché à Moyen et Long Terme ?
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Le marché du vin évolue: des régions autrefois méconnues peuvent gagner en popularité, tandis que d'autres peuvent voir leur cote baisser. Il est crucial de se tenir informé des tendances du marché. Les forums spécialisés regorgent de discussions qui se demandent dans quel vin investir pour maximiser leurs profits. L'Asie, notamment la Chine, est un marché en plein essor pour les vins de luxe. Suivre les grandes ventes aux enchères, lire les rapports des experts et observer les comportements des collectionneurs peuvent vous donner des indications précieuses sur les tendances à venir. Combien Faut-Il Investir Pour Espérer Faire Une Plus-Value ? Il n'y a pas de montant fixe pour investir dans le vin. Cependant, il est recommandé de commencer avec une somme suffisante pour diversifier votre portefeuille. Investir entre 5 000 et 10 000 euros peut être un bon point de départ. Cela vous permettra d'acquérir quelques bouteilles de qualité et de les conserver correctement. On rappelle que le vin, comme tout investissement, comporte des risques. Quelle Plus-Value Espérer ? La plus-value dépend de nombreux facteurs : la rareté du vin, la qualité du millésime, les conditions de conservation et les tendances du marché. En général, on peut espérer une plus-value de 5 à 15 % par an. Certains crus exceptionnels peuvent voir leur valeur doubler ou tripler en quelques années. Cependant, la patience est de mise. Le vin est un investissement à long terme. Il faut souvent attendre plusieurs années, voire décennies, pour réaliser une plus-value significative.
Les Différents Profils D'investisseurs De Vins
Il est important de définir votre profil d'investisseur avant de vous lancer dans le vin. En tant qu'investisseurs, nous pouvons être regroupés en trois grandes catégories : L'investisseur amateur : Vous aimez le vin et souhaitez constituer une cave pour votre consommation personnelle. Vous investissez dans des bouteilles que vous aimez, en espérant que leur valeur augmentera. Pas besoin de milliers d'euros pour commencer. N'importe qui peut se lancer avec quelques belles bouteilles à moins de 100 €. L'investisseur pragmatique : Vous recherchez un rendement financier. Vous êtes prêt à attendre plusieurs années pour vendre vos bouteilles à un prix plus élevé. Là, il faudra investir un peu plus que 500 €. L'investisseur passionné : Vous avez une connaissance approfondie des vins et du marché. Vous recherchez des bouteilles rares et précieuses, avec un fort potentiel de plus-value. Cela prend du temps de s'intéresser à ce type d'investissement, mais si vous êtes sur ce créneau, alors il y a de grandes chances pour que vous y preniez beaucoup de plaisir.
Une Fiscalité Comparable Aux Autres Investissements Financiers ?
Les vins sont considérés comme des biens meubles, ce qui signifie que leur revente est soumise à une taxation spécifique. En France, les plus-values sur la vente de vins sont taxées à hauteur de 36,2 % après une détention de 22 ans, avec un abattement progressif de 5 % par an au-delà de la deuxième année de détention. Pour les petits investisseurs, les ventes inférieures à 5000 euros sont exonérées d'impôt. Cela signifie que vous pouvez réaliser des profits intéressants sans avoir à vous soucier de la fiscalité, à condition de vendre par petites quantités.
Quelles Régions Sont Les Plus Intéressantes Pour Investir Dans Le Vin?
En dehors des domaines, il existe des régions traditionnelles qui sont reconnues dans le milieu de l'investissement. Acheter Des Vins Primeurs De Bordeaux Les vins primeurs de Bordeaux sont vendus avant même leur mise en bouteille. Ils sont souvent moins chers que les vins déjà mis en bouteille, ce qui offre un potentiel de gain intéressant. De plus, les vins de Bordeaux sont réputés pour leur capacité à bien vieillir. Acheter des primeurs est un pari sur la qualité future du vin. C'est une méthode prisée par les investisseurs avisés, car elle permet de sécuriser des vins recherchés à des prix compétitifs. Et parfois, on fait de vraies bonnes affaires, à moins de 100 € la bouteille. Acheter Des Vins De Bordeaux De Différents Millésimes Il est important de diversifier vos achats en fonction des millésimes. Certains millésimes sont plus recherchés que d'autres, ce qui influence leur prix sur le marché. Les millésimes exceptionnels, comme ceux de 1982, 2000, 2005 ou 2010, sont particulièrement prisés. Investir dans des millésimes variés permet de maximiser vos chances de plus-value. Acheter Des Vins De Bourgogne Et D’Autres Régions : Rhône, Provence, Vins Du Monde Ne limitez pas vos investissements aux seuls vins de Bordeaux. Les vins de Bourgogne, du Rhône, de Provence, ainsi que des régions viticoles du monde entier, offrent également de belles opportunités. La Bourgogne, par exemple, produit des vins extrêmement recherchés. Les vins de la région du Rhône, comme ceux de Châteauneuf-du-Pape, sont également très appréciés des connaisseurs. En dehors de la France, les vins italiens, espagnols, ou encore californiens, connaissent une popularité croissante. Investir dans des vins du monde diversifie votre portefeuille et peut offrir des rendements élevés.
" Je Sais Dans Quel Vin Investir... Et Le Millésime ? "
Le choix des millésimes est crucial pour un investissement rentable. Les grands millésimes proviennent généralement de grandes années où les conditions climatiques ont été exceptionnelles. Les années 2000, 2005, 2009, et 2010 en Bordeaux, par exemple, sont souvent citées pour leur qualité exceptionnelle. En fonction de la région, les bons millésimes ne seront pas forcément les mêmes. Et parfois, certains domaines peuvent bénéficier d'un micro climat, leur permettant d'avoir un superbe millésime, là où les autres domaines alentours n'auront qu'un millésime correct. Connaitre les terroirs vous donnera donc un avantage pour trouver des vins pépites. Les millésimes très anciens peuvent aussi être de bons investissements. Les années avant 2000, notamment 1982 et 1996 pour Bordeaux, ont toujours la cote.
Comment Rentabiliser Les Vins ?
Pour rentabiliser votre investissement dans le vin, il est essentiel de bien gérer sa cave et de savoir quand vendre. La conservation du vin joue un rôle crucial dans sa valorisation. Une cave bien tempérée, à l’abri de la lumière et des vibrations, est indispensable. Il faut aussi savoir que le moment de la vente est déterminant. Vendre trop tôt peut vous faire perdre de l’argent. Attendre le bon moment pour vendre, lorsque le vin atteint son apogée, peut multiplier votre mise de départ.
Où Acheter
L'Achat Des Vins En Primeur Que ce soit au marché des primeurs de Bordeaux ou directement au domaine, acheter des vins primeurs permet souvent d'obtenir des prix inférieurs à ceux pratiqués une fois le vin mis en bouteille et sur le marché. Chercher Les Bonnes Affaires Sur Les Sites D'Enchères Et De Petites Annonces Les sites d’enchères et de petites annonces en ligne peuvent être une mine d’or. Ils offrent parfois des opportunités intéressantes pour acheter des vins rares à des prix compétitifs. Attention toutefois aux contrefaçons et aux conditions de conservation des vins proposés. Les Caves D'Investissement
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Certaines entreprises proposent des services de caves d’investissement, comme Cavissima. Elles gèrent l’achat, la conservation et la revente de vins pour vous. Ces caves peuvent d'ailleurs vous faire des suggestions pour savoir dans quel vin investir, selon vos critères personnalisés. Cela peut être une bonne option si vous n'avez pas de cave adaptée ou si vous manquez de temps pour gérer votre collection. Les Groupements Fonciers Viticoles (GFV) Investir dans un GFV permet de devenir propriétaire de parts de vignobles. Vous bénéficiez alors d'une rentabilité basée sur la production de vin et éventuellement sur la valorisation du foncier. C'est une option intéressante pour diversifier son portefeuille tout en soutenant le patrimoine viticole. Le Crowdfunding Viticole Le crowdfunding viticole est une solution moderne pour investir dans le vin. En participant à des projets de financement participatif, vous pouvez investir dans des domaines viticoles et bénéficier de rendements en nature (bouteilles de vin) ou en numéraire. Les Fonds D'Investissement Les fonds d’investissement spécialisés dans le vin permettent de mutualiser les risques et de bénéficier de l’expertise de professionnels pour la sélection des vins. Read the full article
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