Tumgik
#donc voilà j'avais pas le choix quoi
gay-impressionist · 2 years
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alors il va falloir que ma passion pour les livres d'art s'arrête très bientôt parce qu'ils coûtent tous beaucoup trop cher
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tealviscaria · 8 months
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bonjour bonjour :D comment ça va ?
j'avais une petite question ✨🤸🏻‍♀️
c'est quoi ta chanson préférée d'Orelsan ?
voilà je m'en vais 🤸🏻‍♀️
Bonjour!! :D Ça va, et toi?
Oh là là, c'est une question difficile, ça. Je dirais que ça change selon mon humeur actuelle, même s'il y a des favorites qui ne changent pas.
D'abord, je voulais dire tout de suite "Tout va bien", parce qu'à chaque fois que je l'écoute je trouve la musique absolument incroyable. Mais je ne sais pas si ce serait pertinent en ce cas-là, étant donné que Stromae a probablement joué un grand rôle dans la conception du son. (La collaboration fait partie intégrante de toutes les chanson d'Orelsan, mais quand même j'aimerais choisir une qui soit plus "la sienne", si on peut le dire.) Et vu que dans cette chanson j'aime plus la musique que les paroles, il faudrait peut-être choisir une autre.
"Défaite de famille" me fait tellement rire, mais là encore, j'imagine que j'apprécie plus le clip (et vraiment je trouve que ses capacités d'acteur sont au top là) que la chanson elle-même, donc pas celle-là non plus :D
D'un point de vue nostalgique, je pourrais choisir "Basique", parce que c'est la première que j'ai écoutée. (Il est THÉORIQUEMENT possible que j'ai entendu "Logo dans le ciel" comme la toute première chanson, dans une vidéo de MisterJDay, mais je n'ai aucun moyen de vérifier laquelle était la vraie première écoute :D).
"Jour meilleur" est génial aussi. Je crois que c'est la première où j'ai essayé consciemment de mémoriser les paroles. (C'est bizarre que d'habitude j'ai une bonne mémoire pour les paroles, mais en fait je crois que je pourrais pas chanter une seule de ses chansons à 100% 😅)
Honorable mentions: Peur de l'échec, Finir mal, Bonne meuf, Excuses ou mensonges, Du propre, Rêve mieux (!!) et j'arrête avant que je liste toutes les chansons de Civilisation :D
*Drum roll* Bon. Je suis pas tout à fait convaincue de mon propre choix. Mais si je dois choisir UNE (1) seule, j'opte pour "Civilisation".
Ce n'est pas forcément celle que j'écoute le plus (j'en suis même sûre) mais un peu comme "Tout va bien", je me dis à chaque fois que je l'écoute "mais putain les paroles sont magnifiques".
- Dit Teal, d'un ton ferme mêlé d'admiration.
Et toi, quelle est la tienne? :D
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Previously, in the HPI rewatch...)
Et c'est reparti pour la dégringolade, vous le sentez ce cœur brisé qui arrive à grands pas ?
Mais d'abord un peu de Gilles qui souffre, comme un présage de ce qui va m'arriver dans cet épisode
Et franchement chapeau à Cypriane et Noé pour avoir réussi à maintenir une vraie dispute pendant toute la durée du petit déj, toute cette scène est l’incarnation du chaos
"Oh putain ! J'avais exactement la même, ado !" ENFIN j'ai réussi à comprendre ce que braille Morgane par-dessus le vrombissement de la mobylette 🥳
J'adore, Morgane qui demande à Karadec s'il a changé de parfum parce qu'elle sent une odeur chelou, et lui qui pense clairement qu'elle est encore en train de le cuisiner sur sa conquête (ce qu'elle va faire cinq minutes après, hein) et qui la rembarre direct
Gilles qui tousse de la fumée c'est vraiment trop drôle
"Et sexuellement, ça matche ?" 😆😆
"Vous et moi on est juste collègues, en fait" mec y'a deux épisodes t'étais prêt à démissionner pour elle, te fous pas de ma gueule... 😏
"Ah donc vous avez pas encore..." "Pas encore quoi ?" "Bah ken !" "Vous croyez vraiment que c'est le moment de parler de ça ?" "Excusez-moi de m'intéresser" Je suis désolée je suis obligée de copier l’intégralité de ce dialogue parce que littéralement chaque réplique me termine, EXCUSEZ-MOI DE M’INTÉRESSER, mais qui dit ça en parlant de la vie sexuelle de ses collègues ?? 😂
“Vous savez que Karadec a une meuf ?" Adam qui ferme les yeux en mode oh no, here we go, et la réaction de Gilles, voilà, c’est pour ça que je regarde HPI, moi. Pour le malaise.
"J'ai passé la moitié de ma vie à faire des sittings anticapitalistes" ...et l'autre moitié à faire du shopping du coup ?
"Quitte à passer toutes nos journées ensemble, on pourrait au moins se raconter des trucs" bichette elle veut tellement qu'ils soient amis I'm gonna fling myself off a cliff 😰
Morgane qui se marre quand Adam se fait attaquer par le chien, "bah, défendez-vous" mais elle a vraiment aucun respect 😅
Les ragots dans cette équipe, c'est quelque chose, quand-même
"Sylviane, elle est avec Gérard des services généraux" "Et alors ?" Merci Gilles
Diego de la BRI... 🤭
"Il dormirait pas dans la baignoire" -> Je rêve où Morgane veut se taper absolument tout le monde dans cette série... Karadec, Bonnemain, Diego... Et après ça nous fait croire que ça aime pas les flics... 😏
Toute la scène des "il a niqué" je crois que c'est ma scène préférée de toute la série en fait
"Ça va ?" "Ouais, et vous ?" 🔥🙊
Daphné en PLS qui est incapable de répondre sur l'état des recherches 🤣🤣🤣
"Ouh purée ça fait du bien... Hein, ça fait du bien. Nan ?" Putain mais chaque réplique de Morgane est un sous-entendu sexuel j’en peux plus 🥵 
[Et sans transition ou presque parce que si, si, il s’est passé des trucs entre temps, mais rien qui méritait un commentaire dans ce rewatch]
"Vous êtes contente ?" 😭😭😭
Non mais le regard de Morgane à ce moment là ça me détruit, ça tient plus du SOS que de la joie à ce stade, je-- 😭😭😭
Et puis leur gêne, là, quand elle commence à dire et pourquoi je serais pas contente, comme si elle le suppliait de lui donner une raison de pas l’être, something something si tu reviens j’annule tout et NON j’ai pas honte
Et lui qui perd complètement le fil non mais c’est pas du tout ce que je voulais dire alors que SI, c’était ce qu’il voulait dire, enfin peut-être, j’en sais rien, lui non plus
"Je trouve que vous faites un couple formidable avec Ludo"
I'm crying
"Si vous êtes heureuse moi je suis heureux"
S E N D   H E L P
Et le montage qui m'achève avec la musique de Morgane & Karadec, j'ai plus les mots là 😢
La manière dont elle se retourne en partant... Le fait que c'est littéralement un échange d'une minute avec Adam qui lui fait reconsidérer tous les choix qu'elle a fait et qui in fine est la cause de son pétage de câble... CET HOMME LUI A DEMANDÉ SI ELLE ÉTAIT HEUREUSE AND THAT'S ALL IT TOOK FOR HER TO REALIZE SHE WAS NOT OHMYGOD 😭😭😭
Des envies de crever
Vous imaginez le tournage de la scène du pétage de plomb de Morgane ? Les riverains qui se mettent à la fenêtre en entendant les klaxon et les gens qui gueulent et qui tombent sur Audrey Fleurot ?
"Vous m'expliquez ?" "J'suis obligée ?" 🥹🥹🥹 
Il accepte tellement facilement de ne pas insister I need a minute 🫠
Mais leurs regards, là, j'en peux pluuuuuuuuuus
Le regard énamouré d'Adam quand Morgane fait son show au bar d'impro... On ne dirait pas, mais cet homme est actuellement en couple avec quelqu'un d'autre. Ça vous en bouche un coin, hein ? Bah à moi aussi
"Elle est où Morgane, au fait ?" "Pfff, ouh là là aucune idée" Mouais, tu serais pas encore en train de la couvrir, toi ? 😏
"Si ça se trouve elle est enceinte" "Gilles, ils ont couché ensemble hier soir, c'est physiologiquement impossible" 🤣🤣🤣
J'attire votre attention sur le fait que ça, c'est censé être l'écran de téléphone de MORGANE. Ludo s'appelle Morgane dans son répertoire, je... Comment ça se passe, ils n’ont qu’un seul téléphone au rayon accessoires et ils se le refilent tous ? 🤦‍♀️
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"Donc vous couchez pas ensemble ?" Le malaise est sans limite 😅😅😅
Les regards de Gilles quand il comprend la vérité sont à se plier de rire
Et Céline qui en remet une couche à la fin sur sa voiture de patrouille, mais le dysfonctionnement dans ce commissariat 🙊
Oui je ne fais que retarder l'inévitable
Non je veux pas en parler
Laissez-moi sortir !!!
Morgane qui renifle *avant* d'entrer pour cacher à tout le monde qu'elle a probablement pleuré toute seule dans sa voiture, kill me now 😩
"Moi des doutes j'en ai jamais eu" 💔
La façon dont elle est au bord des larmes quand Gilles rentre mais qu'elle fait tout pour pas le montrer 😭
Et ses petits "oui..." en réponse à Gilles qui veulent juste dire "nan ça va pas DU TOUT" ughhhhhhhh
Des fois je me rappelle qu'Audrey Fleurot est une bonne actrice et je souffre
Encore une fois, on notera le parallèle du fait que ça se passe EN MÊME TEMPS qu'Adam qui part remettre le couvert avec Roxane 😰😰😰
Bichette, sa vie part en couille pendant qu'Adam reconstruit la sienne alors qu'il lui a dit SI VOUS ÊTES HEUREUSE MOI JE SUIS HEUREUX
Et moi je fais une DÉPRESSION
Bonne soirée
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femmedesannees2020 · 1 year
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Partie 1: Les racines
L'expérience sentimentale, sociale, psychique, familiale, déroutante que je vis depuis quelques mois me donnait envie d'écrire dessus. Une expérience si commune, banale même, partagée par la plupart des gens, et en même temps, une telle traversée du désert, me paraissait, depuis son commencement, un bon sujet pour m’essayer à l'écriture autobiographique. A l'écriture tout court d’ailleurs… Cette expérience, je vous la donne en mille (comme dit ma mère) : une rupture.. 😭
LA rupture! Celle qui fait mal. Rien à voir avec les petits ecueilles de la jeunesse, - en tout cas de la mienne, j'avais beaucoups de mal a m’engager sur ce terrain - les ruptures qui font, certes, mal à l’égo et pour lesquels on verse une petite larmes car on avait investi du temps et de l’énergie pour cette relation.
Non! Je parle de celle où on y croyait. Le grand amour, celui qui survivra à tout, qui leur montrera à tous... La rupture qui te laisse non pas le cœur en mille morceaux mais plutôt comme un plaie béante, avec un lambeau de chaire qui pandouille. Cette rupture, qui ressemble plus à une dégringolade qu'à une séparation.
Dégringolade, oui, voilà le bon mot pour exprimer ce que j’ai vécu. Mais comme je suis têtu, ou tenace - certains disent forte, comme ils sont gentils, d'autres disent conne - plutôt que de rester à terre j’ai tout tenté pour ne pas accepter la réalité. Je me suis bien débattu avec elle.
Il m’aura fallu 4 mois, quelques centaines d’euros de plus a mon budget réel, généreusement offert par ma famille, - l’argent ne fait pas le bonheur mais aide à soigner le malheur à mon avis - un long voyage en Espagne avec une de mes meilleures amies et quelques soirées à toucher le fond pour accepter cette réalité : ce qu’il y avait entre Axel et moi, c’était fini. 😭
C’est cette histoire que je voulais raconter, mais un tel chaos d’émotions et de pensées s’entrechoquant à l’intérieur d’un être, demande une plume experte et un esprit organisé. Et le malheur, on n'a pas trop envie de le partager.
Mais là je sais. Je vais tenter de commenter en “real-time”, comme une sorte de blog a la Sexe and the city, la re-rencontre avec Axel.
Depuis une semaine, l'idée de créer un nouveau genre de relation entre nous est née. Une relation libre autrement dit. Pas forcément libéré de la fidélité, mais libéré des carcans, des modèles, des injonctions. Vaste programme. En tout cas c’est intéressant.
Donc, plutôt que de raconter un épisode triste , commun et où j’ai pas vraiment été au plus haut de ma gloire, - 4 mois c’est long ou pas pour se remettre? - je veux parler de notre envie de tout envoyer promener pour réécrire les règles à notre avantage. Changer le monde quoi! Un petit peu quoi... Ça commence par changer mon monde intérieur je crois, et c’est en ça que c’est stimulant.
Intellectuellement cette idée me séduit directement. Ces derniers mois j’ai écouté pas mal d'émissions de radio sur le sujet du couple et de sa réinvention. Presque toutes menées par Ovidie.😅 Et ça faisait du bien d’apprendre que ce piège du couple qui finit par se faire du mal, dans lequel nous étions tombés, était partagé par beaucoup et pas seulement mon entourage. Des fois je me demandais si c'était pas nous le problème. Moi et mes amis biscornus. Mais j'en suis venue à penser que le problème venait plutôt du couple, selon le modèle actuel généralisé, issu d’une époque révolue, en total inadéquation avec les aspirations des personnes modernes aujourd'hui.
Mais... “pas intellectuellement”, j’avoue que ca me fait mal “je sais pas trop où”. Certainement là où il y a mes rêves de princesse et de prince charmant et de famille bruyante mais unie à la “Malcom”.
Ma fierté en prend un coup aussi. Un homme qui m’aime, enfin qui a “des sentiments” comme il dit prudemment, et qui ne veut pas tout laisser tomber, ses choix et son épanouissement pour moi… Ah quelle douleur!
Putain les rêves qu’on a dans la tête sont tenaces! C’est vrai que j’ai regarder beaucoup de films. Des bons et des moins bons. Le cinéma nous colle des modèles de vie lissés, pimper, inatteignables. Et même si je ne suis clairement pas la caricature de la midinette qui attend son homme pour exister et que j’ai les ressources culturelles pour qu’on s’attende de ma part à une femme indépendante, le fantasme d’un homme qui prendrait soin de moi car je serai une petite fleur fragile malgré ma grande gueule persiste en moi.
Le problème des fantasmes c’est que ça entre vite en collision avec la réalité. La réalité c’est que je ne supporte pas qu’on me dise ce que je dois faire même si c’est pour prendre soin de moi - le comble c’est que je suis une championne pour faire cette ingérance dans la vie des autres 😑- et que je suis pas si fragile que ça. (4 mois c’est long ou pas pour s’en remettre?).
Enfin bref, voilà mon premier billet sur ce blog. Je dévoile ici les racines de mes futurs réflexions et souffrances.
Le désir de sortir de cette rupture avec quelque chose en plus plutôt qu’en moins, l’envie candide de faire parti du changement, ces deux motivations seront les sujets que j’aborderais le prochains billet. (Il y a aussi le grand amour que je porte à Axel, mais l’amour ça fait pas tout).
😽
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Souvenirs d'Ugo
Ugo c'est un mec que j'ai rencontré par le site Wannonce. Rdv un soir à 22h, il m'avait donné une adresse vers le CHU de Mulhouse. Il avait les clefs d'un local... bref, de quoi émoustiller mes sens. Quelque chose qui sortait de l'ordinaire pour une fois... j'avais la photo de sa bite. Un métisse sans doute. Belle queue épilée. Juste ce que j'aime. En plus il m'avait bien chauffé par message... jupe obligatoire, pas de culotte et des bas.
J'adore les mecs exigeants qui savent ce qu'ils veulent!
Je ferais n'importe quoi dans ses conditions.
Me voilà donc en voiture en train de traverser Mulhouse sans culotte. J'étais très excitée juste en me voyant conduire en mini-jupe!
J'arrive à l'adresse indiquée. Des immeubles assez hauts... et pas de parking à proximité. Heureusement, pas trop de monde dehors.
J'ai toujours de l'appréhension à me promener seule. J'ai du mal à assumer, mais une fois que je suis lancée, ça va!
Je me gare donc assez loin et j'observe les alentours. Beaucoup de voitures stationnées, mais personne en vue.
Je sors avec mon sac à mains. Toujours personne!
Je garde la clef de ma voiture en main au cas où et je m'élance dans l'allée qui mène à l'entrée de l'immeuble indiquée par Ugo.
Je travaille ma démarche pour être là plus féminine possible. Je sens mon clito qui gigote sous ma jupe. Je garde la tête haute, les épaules en arrière et le marche sur une ligne imaginaire... j'ai peur de croiser quelqu'un, mais en même temps je me sens libre et belle. La peur et l'excitation. Ce mélange indescriptible qui me fait me sentir bien. L'extase!
Arrivée devant l'entrée la porte est entrouverte comme il me l'avait indiqué. Je rentre. Cette fois trop tard pour faire demi-tour!
Je commence à monter les escaliers. 3ème étage gauche. Je vais attention à ne pas faire de bruit avec mes talons tout en gardant une posture féminine. La tête haute. Toujours. Je monte lentement.
Un bruit de pas qui descend. Au moins deux personnes. Mon cœur se remet à battre violemment. Coup de stress. Pas le choix, je continue. Su je fais demi-tour en courant je risque de tomber et surtout de passer pour une conne...
J'assume. Il ne peut rien m'arriver.
Un couple descend.
Bonsoir...
Bonsoir!
Des jeunes. Ils ont à peine calculé que j'étais une travestie.
Cette rencontre me conforte. Les gens s'en fiche de me voir ainsi. Je ne fais de mal à personne. J'assume un peu mieux.
Arrivée au 3ème, la porte à gauche est entrouverte. Je rentre. Pénombre. Un mec s'approche.
Salut...
Salut.
Il est grand et a l'air sympa. Ouf!
Nous sommes dans une salle de musculation. Il a les clés et peut en disposer. Mais la salle est ouverte à d'autres personnes. Il me presse un peu. Je pose mes affaires. Il me passe déjà la main sous la jupe. Délicieuse sensation. Il m'embrasse à pleine bouche. Je n'ai même pas le temps de lui dire que je ne fais pas ça d'habitude.
Il ne me lâche pas. C'est plutôt agréable. Il me carresse les fesses en vérifiant que je n'ai pas de culotte!
Il adore et me complimente. Il m'embrasse à nouveau. Il me fouille avec sa langue.
... allez, suce moi maintenant!
Pendant qu'il m'embrassait j'avais eu le temps de lui carresser la bite. Il était bien dur!
Je me suis accroupie devant lui et je l'ai pris dans ma bouche... elle était propre, et sentait bon. Il venait de prendre une douche visiblement! Pourtant je ne suis pas contre une bite un peu crade, l'odeur m'excite beaucoup!
Je le suce bien profondément. Elle est grosse et douce. C'est bon de se sentir chienne. Cette situation m'excite énormément. Je le lèche, je l'avale, je le carresse...
Il me répéte qu'il est désolé et qu'on a pas trop le temps...
Je me mets à quatre pattes sur un tapis de gym. Le cul bien tendu et la jupe relevée!
Capote?
T'es clean?
Oui!
Sans
Il me pénétre doucement. Même pas besoin de lubrifiant. Il est épaté! Ma bave sur sa bite a suffit à lubrifier... il rentre plus profondément. Il me tient la croupe et commence ses va-et-vients. C'est délicieux de le sentir en moi. La situation m'excite. Peut-être plus que de me faire baiser! Juste être une chienne et exciter un mec me fait jouir!
Il commence à taper dur. J'encaisse. Entre mes jambes mon clito pendouille. Tout petit. Tout mou. Il ne sert vraiment à rien.
J'apprécie le moment. Il y va de plus en plus fort. Profondément. Puis il ralenti.
Il maintient toujours mes fesses fermement.
Tu aimes? Je lui demande.
J'adore, t'es trop bonne!
Je kiffe. Il kiffe. Nous kiffons.
Il ralenti à nouveau...
Je sors?
Non vas-y! Je suis ta pute...
Ok.
Il me burine une dernière fois puis il se contracte. Je l'imagine juter au fond de mon ventre. Visiblement il aime autant que moi!
Il reste un moment puis se retire...
Tu as un mouchoir?
Non attends, je te nettoie!
Je me retourne et remets sa bite dans ma bouche. J'aspire les dernières gouttes... et je le nettoie avec ma langue...
T'es vraiment une salope toi!
Oui trop...
Une fois bien nettoyé, il se rhabille correctement et s'excuse de partir vite!
C'est bien les mecs ça! Une fois vidés, il n'y a plus personne!
Il me remercie gentiment, bredouille quelques excuses et s'en va..
T'inquiète!.... en même temps je suis habitué à ça.
Je sens son jus couler de mes fesses quand je me relève... c'est vraiment trop excitant
J'ai son goût dans ma bouche... c'est crade en vrai... mais ça m'excite tellement. J'ai vraiment fait ma chienne de compétition et je suis heureuse. Sincèrement. Libre et heureuse. J'aimerais vivre toute ma vie comme ça..
Je ne m'essuie même pas. Ça m'excite d'avoir son jus qui coule le long de mes cuisses!
Je me rhabille. Je remets mon menton. Me recoiffe un peu et me remets du rouge à lèvres à l'aide de mon téléphone...
Je suis seule. Tout est calme.
Je sors sans me poser de questions. Ça y est j'assume définitivement d'être je que je suis... au moins le reste de la soirée!
Je sors et je descends l'escalier en pleine lumière. Je vois mon reflet dans les fenêtres. Je me trouve belle. J'assure en temps que salope!
Je descends doucement, c'est galère avec les talons. Quoiqu'il arrive, conserver une démarche digne et féminine. Ne pas céder à la facilité d'enlever les talons...
En bas, je reprends l'allée jusqu'à ma voiture... personne. Je m'accroupis le long du trottoir et je fais pipi comme une fille. C'est trop bon d'être une fille. D'être seule au cœur de la nuit. Je pousse un peu. Ça coule de mes fesses. Cette fois je m'essuie pour ne pas pourrir le siège de la voiture.
C'est très con, mais comme d'habitude après une séance de sexe, j'ai besoin de plus. Je suis complètement excitée. J'ai juste envie de m'exhiber et de me refaire un autre mec...
Lexiie
#travestie #mulhouse #lexiee #trav #trans #femboy #french
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andaloulover · 1 year
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1- Présentation et introduction
J'ai fini par me décider à démarrer un blog! L'idée me trottait dans la tête depuis un moment, mais là, tout à coup, à l'heure de la sieste, mon cerveau ne se mettait pas en pause, les premières idées concrètes et petites phrases ont commencé à défiler dans mon crane encombré ; il fallait que ça sorte ! Je dois dire que ça fermentait depuis quelques mois, et la création, c'est comme le bon vin, il faut lui laisser le temps, sauf que ce temps n'est pas défini, il est même très flou , indéterminé. Mais quand le vin est prêt, il faut le tirer, et donc c'est maintenant. J'ai donc quitté une sieste tentante et réparatrice, mais improductive, pour commencer à faire le tri dans mes idées, mes documents, et voilà, ça y est j'écris. Alors je vous vois venir, vous allez vous dire « mais quel enthousiasme débordant et enfantin, un blogueur de plus, bon je lirais tout à l'heure si je trouve le temps ». Seulement, c'est mon 1er blog, mes premières lignes, et il m'a fallu 54 ans pour démarrer ça et m'y mettre sérieusement. A l'adolescence, j'y avait bien pensé, en me disant que plus tard cela me rapporterait un peu d'argent en l'éditant, qui sait.... mais à cette époque, je n'avais pas forcément grand chose à raconter, une vie ordinaire, des occupations de mon jeune âge, bien anodines, et puis on m'avait dit qu'écrire un journal, c'était surtout un truc de fille. Comme quoi, les idées préconçues, formatées, peut-être qu'a l'époque, cette personne a brisé chez moi une grande carrière d'écrivain, et que si j'avais rencontré quelqu'un me disant « vas-y, écrit, c'est super », ma vie serait différente aujourd'hui, tant la vie est faite de rencontres et de choix bons ou mauvais, d'opportunités et d'actes manqués. Mais je n'entamerais pas un débat philosophique là-dessus, pas plus qu'une introspection sur ce que je n'ai pas fait, pas été, cela serait d'un ennui mortel et me ferai déjà perdre 85% des lecteurs (sur 2 ou 3 ça fait combien ? La moitié d'un, même pas ?) , Bref, j'ai un peu dévié, ça m'arrivera encore , mais j'essaierai d'indiquer clairement mes digressions par la suite. C'est quand même émouvant, et mon exaltation pour démarrer cette activité et coucher ces premiers mots vaudra bien un peu d'attention de votre part, du moins jusqu'à ce que vous soyez sûrs d'aimer le sujet et le style, ou pas. Pour être franc, sur le style, je pense écrire presque comme je parle, disons un peu mieux, mais sans filtre, enfin disons pas trop (Donc parfois familier, cru, comme le disait un certain chanteur, quand on est con..., jeune ou vieux. Et parfois j'ai besoin de le dire, vous êtes avertis). Ça sera donc d'abord la franchise et la simplicité, souvent comme je le pense. Mais vous me direz, quel sera le sujet ? Allez il est temps de balancer l'info, car en tant que dessinateur/graphiste/artiste amateur, ce blog sera plutôt centré sur mon rapport à l'image, en particulier depuis que j'ai plongé a corps perdu dans la création d'images faites par IA (ça y est, j'ai perdu la moitié des lecteurs au moins). Mais attention ! je ne suis pas dans la catégorie « presse-bouton », copie d'un prompt au hasard sur le net, on voit ce que ça donne, on passe à la suite ! Je montrerais donc des images dans ce blog, bien choisies, je vous raconterais leurs histoires, je ferais des digressions diverses autour.......
(A suivre)
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grompf3 · 2 years
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Journalisme et Twitter : quand l'Oiseau Bleu sert de point de départ à un article de fond
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Je vais vous parler de Charles Darwin, d'une université belge et d'une politicienne française. Et de comment un journal peut partir d'une polémique sur Twitter, dépasser l'aspect anecdotique et sensationnaliste, et en faire un article de fond.
Je vous avais raconté dans un précédent billet, un exemple inverse, et hélas typique je le crains : une polémique qui fait un petit buzz sur Twitter et un journal qui publie un article juste pour raconter qu'il y a eu une polémique, sans creuser, sans contexte, sans rien. Juste le buzz et la polémique. Une politicienne française, Sandrine Rousseau, avait donné une conférence à l'Université Catholique de Louvain. Et un petit extrait vidéo où elle parlait d'Histoire, de la Chasse aux Sorcières, en y racontant de la merde, avait suscité des réactions.
Et j'avais joué un rôle dans le déclenchement de cette petite polémique.
J'avais à l'époque abordé sur Twitter un autre passage, où il est encore question d'Histoire, et où, là aussi, Sandrine Rousseau raconte de la merde (si les mots "de la merde" vous dérangent, imaginez que j'en utilise d'autres : "du bullshit", "n'importe quoi", "des billeversées", "des foutaises", etc. Le choix ne manque pas)
Je vous laisse apprécier, c'est vraiment exceptionnel.
Darwin aurait inspiré la science du XVIIIe et XIXe s, alors qu'il est né en 1809 et n'a publié ses travaux qu'e dans la 2ème moitié du XIXe, qu'à partir de 1859. À cette date-là, il y a belle lurette que les économistes David Ricardo et Thomas Malthus sont morts; pourtant, selon Sandrine Rousseau, ils ont été influencés par les idées de Darwin. Bref, elle inverse tout, mélange tout (on sait que les idées de Thomas Malthus ont inspiré Darwin). Et il n'y a pas que ces inversions temporelles : les descriptions des théories des auteurs qu'elle cite sont totalement surréalistes. C'est particulièrement frappant pour Darwin, auquel elle ne comprend visiblement rien du tout (ce qu'elle raconte sur les mâles et les femelles dans la théorie de Darwin relève notamment du délire le plus absolu).
On aurait pu s'attendre à un minimum de culture générale chez une personne ayant pu mener des études supérieures. D'autant plus s'agissant d'une enseignante chercheuse en économie. Même si l'Histoire n'est pas son domaine de recherche, elle serait sensée disposer de quelques bases. Par ailleurs elle n'a été questionnée à l'improviste; ce que nous voyons là, c'est une conférence. Un discours préparé donc. Dans une université.
Une catastrophe.
Je publie donc alors quelques tweets, avec l'extrait vidéo (et une coquille sur une date...).
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Et les réactions se multiplient. Mes tweets sont partagés, commentés. L'extrait vidéo est repris dans d'autres tweets. Etc.
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Des semaines plus tard, un article de L'Express revient sur cette anecdote. Mais l'article ne se contente pas de nous raconter qu'il y a eu une polémique sur Twitter. Non. L'article part de cette polémique pour reparler de Charles Darwin, de la manière dont sa pensée a été déformée à de nombreuses reprises et pour redonner au lecteur un petit résumé de ce qu'a vraiment été l'apport de Darwin à la science.
L'article étant payant, je me contente de vous en donner un extrait :
Mais sur le fond, que dit le Britannique ? Que les organismes vivants sont en perpétuelle évolution grâce notamment au phénomène de sélection naturelle qui fait qu’au sein d’une même espèce, les individus les plus adaptés à leur milieu se reproduisent davantage que les autres. Et que toutes ces espèces – y compris l’homme – descendent d’un ou de plusieurs ancêtres communs. Voilà pour la doctrine. En détail, cela donne : d’abord, le terme de "sélection", il le tire de son observation des élevages : qu’il s’agisse d’une fleur ou d’un cheval, chaque génération est choisie en fonction de certains critères. Les espèces se laissent manipuler, donc sélectionner. Ensuite, il faut revenir au Beagle et aux pinçons des Galapagos : il y a un degré de différence entre chaque individu d’une même famille en fonction des conditions de vie. D’où la notion cardinale de "variabilité naturelle". De même, et c’est bien Darwin qui s’inspire de Malthus et non l’inverse, en dépit d’une hausse exponentielle, la population demeure naturellement stable ou, tout du moins, les espèces se reproduisent aussi longtemps qu’elles trouvent des ressources alimentaires et des conditions d’habitat optimales. Or aucune ne l’a emporté sur les autres de façon hégémonique. Les conditions environnementales et chimiques jouent donc un rôle majeur.
On aborde aussi, bien-sûr, celles et ceux qui ont plus ou moins dévoyé la pensée de Darwin, notamment ce qu'on a appelé le "Darwinisme Social".
Si nous parlons des relations entre Twitter et le journalisme, cet article est pour moi un cas assez intéressant. Nous dépassons la simple anecdote, nous ne nous limitons pas ici à simplement relever une énième "shitstorm" sur les réseaux sociaux. Nous partons d'une anecdote et nous nous retrouvons à creuser un sujet de fond.
Utilisateur parfois frénétique de Twitter, j'ai ces temps-ci une attitude très critique envers l'Oiseau Bleu. Il me paraissait intéressant de partager une sorte de contre-exemple, de montrer comment est-ce qu'on peut en tirer de la matière et ne pas se limiter au clash, au sensationnalisme et à l'immédiateté.
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seth-sieben · 2 months
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Hello hello, t'avais fair un post circa novembre 2023 qui parlait de ton parcours de diagnostic TSA, j'essaye de trouver comment faire des démarches pour me faire diag aussi mais entre les psy aux avis internet désastreux qui se plaignent du "surdiagnostic", ceux qui prennent que les enfants, et ceux qui sont à 400€ la demi-heure, j'ai un peu de mal à trouver,, Comment ça s'est passé pour toi ?
Salut salut !
Alors j'ai opté pour deux neuropsychologues qui sont à 400 ou 500€ la séance :c (400€ la demi-heure je suppose que c'est une exagération, sinon c'est quoi ces tarifs o.o)
D'abord je me suis un peu renseigné sur le CRA (Centre de Ressources Autisme) de ma région, mais ils avaient un délai de presque un an et vu que j'ai un profil "particulier" (déjà je suis un adulte et en plus je suis trans mdr) j'ai préféré m'épargner l'option. (Mais j'ai aussi la chance d'être dans une situation financière qui m'a permis de privilégier de choisir moi-même chez qui aller, plutôt que de devoir chercher au moins cher.)
Du coup la première neuropsy que j'ai vu pour un bilan général m'a été conseillée (entre autres noms) par la psychologue que je voyais à ce moment-là, et dans cette liste j'ai fait le tri selon les avis googles, ce que les gens m'inspiraient etc... (Et aussi le choix final c'est que son cabinet était le plus proche de chez moi haha.) Mais globalement j'étais en gros flippe jusqu'à commencer à discuter avec elle parce que je me sentais vraiment pas à l'abri, autant sur son rapport aux questions LGBT+ que sur son avis sur TSA/TDAH et si elle les pensait surdiagnostiqués. (A ce moment-là j'hésitais encore entre les deux, avec un penchant TSA quand même, j'étais pas trop serein à aborder le sujet disons haha.)
Ce bilan se fait en 2 fois 2 heures (certain.es le font en 1 fois 4 heures, mais ça a l'air un peu rude), suivi d'une restitution (2 à 4 semaines plus tard en général) et m'a coûté 400€.
Au final ça s'est bien passé, on a couvert les questions TDAH/TSA, et donc même si mon potentiel TDA ressort pas dégueu, le TSA semblait plus probable. De là elle m'a elle aussi fourni une liste de praticien.nes à contacter pour passer l'ADI/ADOS (qui se fait sur une demi-journée et va me coûter 480€). (Dans son cabinet ils tiennent une liste de leurs confrères et consœurs en fonction de leurs domaines d'expertises, et pour éviter d'envoyer des gens comme moi chez des personnes qui peuvent te sortir les bons vieux "Mais non t'es pas autiste, tu me regardes dans les yeux".)
J'ai posté mon message sur tumblr quelques semaines plus tard, parce qu'après avoir recoupé les deux listes qui m'avaient été données j'étais incapable de choisir une personne "à l'aveugle", donc j'avais besoin de renseignements haha. J'ai eu de la chance qu'une personne de tumblr sache me conseiller une des psys que j'avais retenue, donc maintenant j'attends mon rendez-vous en décembre. (J'ai beaucoup traîné avant de le prendre, puis elle avait une longue liste d'attente, puis j'ai un peu tardé avant de réserver un créneau donc j'ai eu les derniers disponibles.)
Entre temps je suis tombé sur Autistes Ensemble. Discord c'est pas trop ma came donc au final j'y ai trop peu mis les pieds pour pouvoir te dire ce que ça vaut, mais si t'es à l'aise avec ça, ça peut potentiellement te faire un point d'entrée pour trouver des personnes ou des ressources qui sauront mieux t'aiguiller.
Voilà, désolé j'ai pas des masses de ressources/infos intéressantes à te proposer parce que je suis trop solitaire pour m'approcher de communautés haha, et je me suis contenté de potasser tout ça entre temps. J'espère au moins que ça pourra t'aider un peu, et si tu as d'autres questions surtout n'hésite pas à me renvoyer un ano ou me contacter en MP si tu t'en sens à l'aise :)
En tout cas sur une dernière note personnelle pour conclure après un an de réflexion sur le sujet, je considère vraiment que faire ce premier bilan était une très bonne chose : sur le moment ça a été complexe de réfléchir à la question de l'autisme (ou de la neuroatypie en général) parce que ça remettait beaucoup, beaucoup de choses en question et certaines réflexions suite à ça ont pu être un peu douloureuses. Mais aujourd'hui, diagnostique ou pas, je suis à peu près certain d'être AuDHD (avec forte prévalence TSA) et même si ça ne m'impacte pas forcément au jour le jour, m'être renseigné sur ces sujets m'aide fréquemment à assumer des situations difficiles, à me décomplexer quand j'ai du mal à faire certaines choses qui sont des choses difficiles pour les personne autistes, ou simplement à accepter progressivement des comportements jugés extravagantes. (Ce dernier point étant parfois d'autant plus compliqué à appréhender que j'ai toujours assumé et entrenu avec plaisir une position de marginal, donc j'avais un genre de décalage interne.)
Un exemple que j'aime bien donner pour ça, c'est mes clefs : on m'a beaucoup charrié pour des rigidités du type "je dois toujours prendre les clefs vertes quand je sors". En conséquence, j'ai pris l'habitude de me forcer à prendre des clefs au hasard, à alterner, voire à ne surtout jamais prendre les vertes. Le simple fait de découvrir la notion de rigidité, comment ça marche, à quoi ça sert, quelles difficultés ça peut engendrer etc... m'a progressivement permis d'oser prendre les clefs vertes à chaque fois que je sors de chez moi (et plus encore : de dire aux autres qu'ils ne doivent jamais prendre les clefs vertes s'il est prévu que je parte avant qu'ils soient revenus).
Eh bien, de m'autoriser ce besoin, je me suis rendu compte que ça me rendait moins stressant de sortir de chez moi, qui me rendait moins stressant de, qui me rendait moins stressant... Bref, des tonnes de petites habitudes comme ça qui ont presque toutes eu un effet pelote de laine, de sorte à ce que mises bout à bout j'ai globalement une tranquillité d'esprit sur beaucoup de sujets que je n'avais jamais connu autrefois.
Je ne dis pas que tout est rose bien au contraire (typiquement la régression de certaines compétences, notamment sociales, avec le fait de "dé-masquer" c'est un truc que je vis très très mal), mais disons qu'au moins ça a répondu à des questions que j'avais arrêté de me poser, et c'est... reposant.
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vabazeri · 1 year
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Jour 9
J'avais vraiment besoin d'oxygène, il fallait vraiment que je trouve un moyen de respirer dans cet environnement 100% sous contrôle.
Mes choix sont peut être idiot mais c'est ce qui m'est venue à l'idée.
Déjà, la liberté de continué à parler à Hades. Certe, il fallait que je face attention à tout, supprimé les conversations, enlever les notifications etc... Ça me prenais la tête mais pas le choix
Reprendre des choses qui me tenait à cœur et que seul moi pouvais gérer. Un groupe de personne autour d'un même jeu vidéo que je tenais auparavant et que j'ai décidé de reprendre. Pas trop de choix là non plus vu que les quelques trucs qui me passionne il a clairement pris l'habitude d'être toujours sur mon dos.
Il fallait aussi que je gère cette putain d'agoraphobie, et j'allais me faire violence. Quoi de mieux que de fréquenté des endroits où la population ce masse par 10 aines et le faire sur des temps de plus en plus long. Certe, je serais épuisée à chaque fois mais peut être avec le temps je le serai de moins en moins...
Il fallait aussi que je trouve le moyen de sortir sans être accompagné, et ça, c'était le plus dur. Ce point là doit être vital, c'est le seul moyen pour que je me rendent à l'association et que je sorte de tout ça...
Mais le karma allait pas me laisser comme ça.
Alors que petit à petit j'arrivai à me défaire de ce putain de contrôle 24/24-7/7, Red à rien trouvé de mieux que ce pété la main... Eh puis bien hein, tellement bien que les médecins parle de l'opérer ce qui a le don de le faire flippé encore plus...
Eh merde.
Me voilà donc baby-sitter, infirmière et aide soignante. En bonus, je dois l'accompagner quasiment partout puisqu'il ne peu pas faire grand choses avec une mains directrice en moins...
Tumblr media
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oblolongue · 2 years
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juste thinking about la trilogie du Nexus VI
Je vais me permettre un petit rant en vrac sur le nexus vi (parce que je ne mettrais jamais de commentaire sur yt et peut-être que d'autres aimeront en discuter ici ?). [spoilers ahead pour le dernier épisode]
De la trilogie, c'est le dernier épisode qui m'a enfin cueilli, notamment à partir du moment où l'équipage infiltre le culte. Là, à partir de là, de mon point de vue, le rythme est enfin bon, le jeu est juste, la musique accompagne parfaitement, l'humour est pile poil (sur le "TRAÎTRES !" jusqu'au "OOUH" : masterclass, ça fonctionne à la perfection). Là, la mayonnaise à enfin pris de mon côté. (même le dialogue de la prêtresse : nickel. le coeur arraché comme dans du beurre : INCR OMG. le Capitaine posing like fallait bien que ça bug slexno c'est pas poss: absolument. And I could go on. J'adore cet épisode. Y avait pleins de choses dans les précédents mais là, ça culmine vraiment.)
Je démarre de là parce que jusqu'ici, je ne ressentais rien de particulier devant les épisodes. Pourquoi donc ? Outre les qualités techniques indéniables, je pense que c'est le rythme et le scénar qui m'ont posé problème. On sent que l'équipe se fait plaisir, qu'ils ont taffé de fou, qu'ils veulent montrer de quoi ils sont capables. Pour moi, c'est justement le problème. Ils veulent montrer de quoi ils sont capables. Alors OUI. Grand oui, c'est juste incr. Relâchez Toumix et éteignez ses ordis. (sans parler du taff de Lucie, ou de tourner des pubs exprès pour habiller des écrans qu'on voit 2 secondes ou le choix de lieux de tournage, etc). Mais cet effort est en décalage avec l'oeuvre qu'on nous propose. Leur niveau d'exigence est très très haut, et malgré moi, ça réhausse ma propre exigence. Comme si j'attendais un résultat impeccable d'une vidéo youtube. Alors que bon, mais regardez à quoi on a accès.
Donc. A mon sens, ça gagnerai à redescendre d'un cran pour retrouver de la subtilité. Tous les effets sont appuyés un max. Les maquillages, les poses, les effets dramatiques, le plan sur les cachetons qui les métamorphosent (oui les packshots) etc... Si tu es dans le délire pulp je suppose que tu suis. Vous me direz que c'est la patte Nexus VI depuis le début mais bizarrement ça ne me tiquait pas avant la trilogie. J'ai du mal à articuler pourquoi. Par exemple, entre "à poil dans les conduits", Pimp my ship ou Sayreel et la lune, on est clairement sur un délire qui s'accorde bien avec des effets appuyés. Mais dans la trilogie on ne peut pas être dans le même ton. A mon sens, le dyptique Cowboy Bebop était beaucoup plus juste. Le Capitaine insiste pour dire qu'ils ne se foutent pas notre gueule. Oui, ça se voit, ça serait même difficile de passer à côté.
Voilà. Tout ça pour me rendre compte que c'est ce "HE VOUS VOYEZ LE TAFF LA, ON A MIS LES MOYENS" qui me saute à la gueule et l'emporte sur la chronique ou le scénario qu'on nous propose. J'espère qu'ils arriveront à trouver un dosage plus juste lorsqu'ils vont remonter la trilogie pour en faire un moyen-métrage, parce qu'alors là on sera sur un truc exceptionnel. Ca parlera de soi-même, ça parle déjà de soi-même. Je pinaille. Bien-sûr que je pinaille.
Bon, je ne sais pas si mon propos est très clair. J'avais besoin de me poser deux secondes pour réfléchir à pourquoi les premiers épisodes de la trilogie ne m'avaient pas tant emballé, pas dans le raisonnable de la qualité mais dans les tripes. Ca fait plusieurs années que Nexus VI m'accompagne et leur évolution est juste dingue. Ce sont des fous furieux. Ce dernier épisode de la trilogie m'a vraiment intrigué sur l'univers du nexus vi et sur les développements possibles. Et puis ce thème qui ferme l'épisode m'a juste emporté sur quelque chose de plus grand. C'est émouvant d'en arriver là aujourd'hui.
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jyslw77 · 2 years
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Une falaise calcaire, habillée de lilas, d'aubépines, de rosiers muscats, d'hysopes, de marjolaine. Des cavernes qui servent de granges et d'étables ; des maisons et une route suspendues au niveau des sources ; une église au sommet ; de rudes gens, et qui vient longtemps ; de belles filles et de bonnes vieilles ; du bon sens, et une égalité patriarcale. C'est un paradis.
Je fus frappé, après quelque temps, de voir que les filles y étaient poltronnes. Non point les fillettes, mais les filles au-dessus de seize ans. Et de quoi avoir peur ? Il ne passe pas un visage inconnu en quatre ans, dans un pays écarté, l'on n'y voit ni vols ni crimes. Il s'agit donc de loups-garous, de revenants, ou de quelque chose comme cela ? Non plus. Ils n'ont point tant d'imagination, et, comme disait une vieille femme chargée de bois : « Les vivants sont à craindre, non les morts. » Après cela, quelque fille essoufflée vous contera peut-être des histoires de fantômes ou d'ombres. Méfiez-vous. Elle ment. Elle a peur des hommes, et voilà tout.
Elle ne le dira pas. Elle ne le dira jamais. Pourquoi ? A cause des querelles que cela ferait. Sans compter qu'on regarde toujours un peu de travers une fille qui est guettée par les hommes. Une mère de famille jalouse ne serait pas longtemps avant de dire que si l'on était pas si coquette le jour, on n'aurait pas si grand peur la nuit. Il faut dire aussi que la nuit est bonne pour les amoureux qui s'accordent ; et j'ai observé là ce que j'avais observé ailleurs, c'est qu'une fille, si elle veut voir l'amoureux de son choix, doit avoir au moins des égards pour ceux qu'elle n'a pas choisis.En somme elles ne disent rien ; elles n'avouent pas qu'elles ont peur. Et les gens sérieux disent : « Comment auraient-elles peur, habituées comme elles sont à se trouver le soir sur les chemins ? » Le fait est qu'il le faut bien, et dans ces nuits de campagne dont le citadin n'a même pas l'idée, lorsque passant entre deux bosquets et sous des nuages, la route est aussi noire que le buisson. Offrez-leur une escorte ; elles acceptent toujours ; souvent une ombre d'homme en embuscade donne à penser ; on finit par tout deviner.
Ainsi, après quinze ou seize ans de vie ingénue, les filles tombent dans un dur esclavage ; elles rusent contre les amoureux qu'elles n'aiment point, et qui sont plus forts qu'elles. Nul n'en dit rien. Cette guerre est muette ; les travaux, l'air vif, le mariage, les enfants, qui ont bientôt fané la fraîche jeunesse, apportent la paix. Mais quelle barbarie au fond des cœurs ! et comme une femme doit rire amèrement, au-dedans d'elle-même, quand elle nous entend discourir sur la liberté. Il est trop facilement admis que celui qui désire une femme a sur elle une espèce de droit. La femme se venge quand elle peut. Je crois que le suffrage accordé aux femmes est la seule déclaration de principe qui puisse quelque chose contre cette guerre nocturne et cette terreur muette.
Alain, Propos du 6 décembre 1910, Propos II
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sammyjomcl · 3 years
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Voilà la première partie de "Moments oubliés". Il s'agit de petits instants qui prennent place à différents moments de l'histoire. Ce sont des petites choses que j'aurais aimé voir sur le jeu. On commence avec un moment qui prend place pendant le dernier épisode de Campus Life et ensuite on retrouve Nath à la fin de Love Life. La seconde partie viendra plus tard. J'ai déjà du tout réécrire car j'avais perdu ma première version... j'écris sur mon tel donc il y a parfois des coquilles, j'en suis désolée. J'aurais peut-être pu étoffer un peu mais je pense que ca sera déjà pas mal. Si jamais vous avez le courage de me lire, n'hésitez pas à me faire un retour ici ou sur mon topic d'histoires du forum. J'ai très peu de retours sur mes dernières histoires, c'est un peu triste mais bon de tout façon ces moments oubliés vont signer la fin de mes écrits sur Nath. Bonne lecture!
Moments oubliés - 1ere partie
- Je n'ai pas besoin de ces livres pendant mon stage... je vais les laisser ici. D'ailleurs Blanche adore se coucher dessus. Je vais sûrement retrouver des poils blancs partout!
Je n'écoute qu'à moitié pendant qu'une tornade prend place dans mon appartement. Su' va laisser quelques affaires ici avant de partir dans moins de deux semaines pour son premier stage. Mais ce qui me soucie le plus, c'est lui annoncer mon choix de carrière. Je garde le secret depuis un petit moment...
- A ton avis Blanche, il pense à quoi ton maître depuis quelques jours?
- Huh?
Je suis sorti de mes pensées par cette remarque. J'essaie de trouver les mots justes pour lui dire... je retarde sans cesse l'échéance, ça devient pathétique.
- Nath, tu veux que j'aille préparer le repas?
- Ça peut attendre... je dois te parler.
- Tu es enfin prêt ? Je peux encore attendre un peu si tu as besoin d'encore un peu de temps.
Je sais qu'elle a bien vite remarqué que je tourne autour du pot depuis quelques temps. Je me dois d'être honnête. Elle vient s'asseoir près de moi. Ses doigts parcourent légèrement les miens. Je prends une grande inspiration.
- Inspecteur de police.
- Pardon?
- Je me suis inscrit à l'école de police. J'espère devenir un jour inspecteur.
- ... Inspecteur Carello ? La classe!
J'essaie de deviner ce qu'elle pense vraiment de cette information derrière le sourire qu'elle m'offre.
- Tu seras parfait Nath. Tu es un bosseur, je suis sûre que tu y arriveras vite. J'ai bien vu que tu avais été impressionné par l'inspecteur qui t'a aidé à te sortir de tes histoires. Tu es droit et juste, tu feras sûrement une bonne recrue. Et Agatha Christie sera sûrement fière de toi!
Je ne sais pas trop quoi dire. Son soutien est primordial et savoir qu'elle croit autant en moi n'a pas de prix. Je doute toujours de moi, j'ai tant pris les mauvaises décisions par le passé...
- Tu sais que... ça ne sera pas facile. Ça demande pas mal de boulot et ce n'est pas... sans risques. Dans mes livres, tout est plutôt simple après le dénouement final mais là ça sera pour de vrai.
- Je... je sais. Je me doute qu'il y aura des moments difficiles. Mais on fera de notre mieux. Et si c'est ce que tu veux, je serai là autant que possible.
- J'ai beaucoup parlé avec Éric et... il pense aussi que je peux trouver ma place dans cette voie. Il sera là pour m'épauler. Je lui dois beaucoup au final.
- Je pars en stage plus sereine... tu vas avoir beaucoup de travail aussi... on essaiera de se conformer à notre plan pour se voir certains week-ends et se parler dès que possible. J'ai déjà hâte d'être dans un an pour qu'on emménage ensemble. Et pour te voir en uniforme!
Elle m'embrasse et se lève.
- Je pense que Blanche va essayer de rentrer dans mes cartons de vêtements, je dois surveiller ça. Blanche, tu peux sortir, viens féliciter ton maître même s'il ne m'a demandée en mariage!
- Quoi?????
- Haha c'est juste que... tu étais si nerveux depuis quelques temps, je voyais bien que tu essayais de me parler et que tu hésitais. Ça me faisait un peu rire d'imaginer que tu te préparais à me poser la grande question, même si je savais qu'il s'agissait d'autre chose alors j'en ai parlé à Blanche! Je pense qu'elle aussi a un peu rigolé !
Elle me lance un clin d'œil et s'en va trouver Blanche en riant.
Si tu savais Su'... j'ai déjà pensé à te poser cette question. Nous nous sommes retrouvés et je sais que ma vie est à tes côtés. Il m'est apparut totalement normal d'envisager cette possibilité. Je n'aurais jamais cru ça possible il y a encore quelques mois. Mais j'apprends à faire les bons choix. J'ai au final seulement proposé que l'on vive ensemble. Ce n'est que la première étape. Nous sommes au début de notre vie à deux et quand le moment sera opportun, je te demanderai de m'épouser. Ça me laisse un bon moment pour préparer tout ça.
****
Je n'arrive pas à dormir. Je regarde Su' qui a fini par s'endormir. Après les douloureuses révélations sur les intentions de celui que je croyais être mon ami, nous avons tout mis de côté et passé une bonne partie de la nuit dans les bras l'un de l'autre. Après avoir passé quelques mois à seulement se croiser, ce moment ensemble était simplement divin.
Je me lève du lit pour me prendre à boire. J'ai presque envie de me faire un café mais bien vite je sens la colère revenir car rien que de penser café me fait penser à LUI. Et à ce rythme, j'aurai plus besoin d'un punching ball plutôt que d'un café.
Comment a-t-il pu tomber amoureux de ma compagne? Il s'attendait à quoi, à la séduire, emménager avec elle et me laisser là à les féliciter ? Après toutes ces années je pensais le connaître pas mal... je n'ai pourtant rien vu arriver. Comment j'ai pu passer à côté de ça? Je voyais bien qu'il n'était plus tellement affecté par sa rupture mais de là à imaginer qu'il avait des sentiments pour Su'... et merde, je vais devenir comme Castiel à imaginer qu'on ne peut faire confiance à personne.
J'ai presque envie de l'appeler maintenant au beau milieu de la nuit pour lui demander des explications. Mais je suis bien stupide au final... il essaie de refaire sa vie... il développe des sentiments pour quelqu'un... pourquoi penserait-il à moi ? Je suis peut-être trop naïf de me dire que parce que moi je ne pourrais pas faire ça à un ami, cela doit être réciproque.
Je sais que Su' a du succès, que les gens l'apprécient assez vite. C'est aussi important dans son travail. Et je sais qu'il n'est pas forcément facile de contrôler ses sentiments. Su' est bien arrivée dans ma vie de cette façon. Je ne m'attendais pas à avoir des sentiments pour elle au lycée vu ma situation familiale compliquée, je ne m'attachais à personne. Et pourtant je n'ai pas pu m'empêcher de poser mon regard sur elle dès que je la voyais.
Je sais que je réagis toujours excessivement quand il s'agit d'elle. Il ne s'est rien passé entre elle et Éric et c'est le plus important. Mais le goût de la trahison est trop fort pour être oublié. Je ne sais pas comment on va pouvoir continuer à travailler ensemble. Il faudra qu'on parle et advienne que pourra.
Je vais aller me recoucher. Mais je vois mon manteau et je soupire lourdement. Je prends une boîte dissimulée dans une de mes poches. Je l'ouvre et le diamant brille même dans la semi obscurité de la pièce. Ce petit voyage en amoureux aurait dû être bien différent. Je m'apprêtais à préparer un bon repas pour Su' puis nous aurions passé un moment devant la cheminée. J'aurais bien attendu le bon moment et... j'aurais enfin fait ma demande. Elle aurait déjà la bague au doigt si tout s'était passé comme prévu. Mon beau plan a pris l'eau.
Je me prépare à lui demander de m'épouser depuis longtemps. J'y ai pensé un bon nombre de fois. J'ai trouvé la bague que je voulais il y a déjà plus d'un an. Je me demandais si je devais attendre son anniversaire ou Noël ou la Saint Valentin, à la plage, au parc... mais comme cette année a été éprouvante, je voulais lui faire une surprise pour qu'elle se détende et qu'on se retrouve. C'était bien parti pour que tout se passe parfaitement.
Je referme la boîte et la range soigneusement. Bague ou pas, c'est moi qu'elle a choisi et pas lui. Ce n'est que partie remise.
****
Zut, j'étais perdu dans mes souvenirs et je n'ai pas écouté grand chose de la réunion. Heureusement que le chef ne m'a pas tellement porté d'attention.
- Pour finir, je vous annonce, non sans regret, que notre collègue Ward nous quitte pour un nouveau poste...
Ah, l'annonce officielle. Personne ne s'y attendait apparemment.
- Vous avez beaucoup apporté à ce commissariat Ward, votre équipe avec Carello fonctionnait très bien. Cette énergie commune va nous manquer.
- Je sais que Nathaniel saura continuer dans cette voie, il est totalement opérationnel. Et au moins on ne me grognera plus dessus quand je vide le distributeur de cafés !
Tout le monde rigole avant de se tourner vers moi. Ah, je n'avais pas envie de m'exprimer.
- Je sais ce que je dois à mon coéquipier et je suis prêt à mettre autant d'énergie dans les prochaines missions, sachant qu'il fera du bon travail de son côté dans ses nouvelles fonctions.
Simple, sobre et vrai. Ne m'en demandez pas plus. Heureusement, tout le monde commence à parler de fêter son départ, ce qui met fin à la réunion.
Un collègue m'appelle avant que je ne puisse m'éclipser.
- Nath tu es dispo quel soir pour le pot de départ?
- Choisissez une date et je me débrouillerai.
Je me débrouillerai pour ne pas être là.
- Et ta copine elle connaît bien Éric vu le nombre de cafés qu'il prend au Cosy Bear, elle peut venir aussi!
- ...
Bah tiens. Il est tellement doué qu'il me touche où ça fait mal sans même le savoir.
- Elle est très occupée. Je sais juste qu'elle passera par ici dire merci aux nombreux collègues qui ont participé à sa campagne de financement.
- Elle a sauvé le café, c'est super, j'aurais bien aimé être libre pour la soirée !
Une collègue entend la conversation et se jette sur moi.
- Ah oui je voulais te demander !Crowstorm a fait un concert au café n'est-ce pas? Tu as des photos Nathaniel ?
- Euh... une seule je crois...
- Tu peux me montrer s'il te plaît?
Manquait plus que ça... je sors mon téléphone et bien vite les collègues font défiler les quelques photos prises ce soir-là. Je tends la main pour reprendre mon appareil quand la collègue sursaute.
- Mais... c'est ta copine! Elle montre la bague qu'elle a à la main!
- Carello, me dis pas que tu...
Je ferme les yeux, conscient que je suis foutu. J'arrache mon téléphone de leurs mains. J'ai pris plusieurs photos de Su' avec sa bague. Son sourire brille autant que la pierre à son doigt. Je n'avais absolument pas envie que quelqu'un voit ça et je prévoyais d'annoncer la nouvelle bien plus tard. Evidemment tout le commissariat va être au courant dans l'heure.
- Je suis désolé mais j'ai quelques dossiers à ranger! Je ne veux pas que ça traîne!
- Comme ça tu pourras courir retrouver ta fiancée !
Je ne réponds pas et attrape deux cartons remplis de papiers avant de disparaître dans la salle des archives, laissant le brouhaha des commérages derrière moi.
Je n'ai au final que peu de rangement à faire avant de mettre ces cartons de côté. L'opération Shark appartient désormais au passé.
- Une bonne chose de faite, n'est-ce pas ?
- ...
J'imagine que je ne pouvais pas éviter Éric jusqu'à son départ. Devant mon mutisme, il poursuit.
- J'ai cru comprendre que c'est à moi de te féliciter.
- Ne te donne pas cette peine.
- Nath, je te souhaite sincèrement un très beau et heureux mariage, crois-le ou non.
- Je te crois mais ça ne change rien. Quand j'ai prévu cette demande, je prévoyais déjà que tu sois mon témoin. Au final tu ne feras plus partie de nos vies et tu ne seras même pas invité.
Il soupire.
- Tu sais qu'il ne s'est rien passé n'est-ce pas? Je n'aurais jamais pensé avoir des sentiments de ce genre. Je m'en suis aperçu un peu tard. Su' m'a remis à ma place en bonne et due forme. Le mal est fait, je le sais mais ce n'était pas du tout ce que je souhaitais.
Je hausse les épaules.
- T'as juste foutu en l'air notre équipe et le respect que j'avais pour toi. Rien de bien grave, pas vrai?
- Tu sais très bien que je te considérais comme mon petit frère. Je sais que je faisais un peu plus figure paternelle pour toi et j'aimerais juste que cette histoire te serve à réaliser que tu as encore d'anciennes plaies ouvertes. Tu es un bon gars et je pense vraiment que tu es un bon inspecteur. Mais n'oublie pas de mettre définitivement tes anciens démons au placard. Ce n'est pas parce que j'ai merdé que le monde entier te décevra. J'apprendrai moi aussi de tout ça.
- ...
- J'ai pris quelques jours pour préparer mon départ, je vais aller vider mon bureau.
- Au revoir Éric...
Je le regarde un instant et je pense que rien d'autre ne doit être dit. Nous sortons de la salle des archives et nous nous dirigeons chacun de notre côté, lui vers son bureau, moi vers la sortie du commissariat.
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Jeudi 24 juin 2021
Andy, Truman et les autres
Il fait un temps de novembre, c'est terrible. J'ai ressorti mon bon vieux sweat-shirt David Bowie, celui qui affiche une photo semblable à celle de la pochette de Heroes. Je crois me rappeler que le photographe qui a réalisé la photo de cette pochette est japonais. Par respect pour son travail, je me dois de le nommer, alors voilà, il s'agit de Masayoshi Sukita. Merci Google ! Bowie est beau comme un dieu ici. C'était vraiment un extraterrestre ! Si j'avais pu choisir mon physique, j'aurais choisi d'avoir celui de David Bowie. Hélas...
Si j'écris en ce moment même, c'est vraiment parce que je n'avais pas le choix. Une force surnaturelle m'a poussé à allumer mon ordinateur portable et à ouvrir la page du traitement de texte. Je ne saurais l'expliquer autrement. Parfois j'ai cette envie folle d'écrire, ou de saisir ma guitare et jouer, c'était d'ailleurs le cas il y a encore quelques heures. J'ai joué beaucoup aujourd'hui. En ce moment, j'aime chanter Holidays, de Michel Polnareff. Les accords sont si simples, pourquoi est-ce que je ne l'ai pas joué avant ? Pourquoi ai-je attendu l'an 2021 pour le faire ? Toujours est il que j'aime la chanter celle-ci, elle se chante très haut, j'aime bien chanter haut, c'est dans ma nature. Oh, je sais bien que je n'ai pas la voix de Polnareff mais lorsque je chante j'ai tendance à aller vers le haut comme ça.
Les journées sont longues ici à la campagne. Alors je lis beaucoup. En temps normal, je ne lis que la nuit dans mon lit mais là, l'ennui me pousse à lire beaucoup en journée. Il faut dire que j'ai de quoi faire, mon tas de livres grandi de jour en jour. J'ai terminé il y a peu la biographie de Andy Warhol que m'a offerte Justine. J'ai dévoré ce bouquin avec un appétit immense, comme on se jetterait sur un repas après avoir passé deux jours sans manger. Le monde de Warhol m'a totalement scotché, j'ai aimé passer ces quelques jours avec lui. Maintenant, je l'ai intégré en moi, Andy Warhol est devenu mon ami. C'est l'effet que j'attends d'une bonne biographie, lorsque je passe des jours, voir des semaines à lire la vie d'un artiste, alors je fini par avoir l'impression qu'il est un de mes proches. Une fois le livre terminé, j'éprouve une certaine frustration, en effet, j'aurais voulu que le livre dure plus longtemps. Alors pour prolonger le plaisir, j'ai acheté d'autres bouquins sur Andy Warhol. Enfin, ceux là sont plutôt des livres d'arts. J'ai fait une affaire particulièrement bonne l'autre nuit en tombant sur un ouvrage magnifique, sur internet, à un prix défiant toute concurrence. Un énorme pavé qui contient plus de 2000 photos et documents concernant la vie de Warhol. Le bouquin est trouvable à un prix relativement élevé un peu partout sur internet et moi je l'ai chopé à seulement 25 euros ! Un beau livre de plus dans ma collection qui devient d'année en année aussi magnifique qu'importante (au grand dam des déménageurs).
Donc, voilà, ces livres sur Andy Warhol auront vraiment marqués mon année 2021. Et puis, qu'est ce que je lis d'autre, en ce moment ? Il y a ce livre qui m'a été offert par l'adorable petite bruxelloise, intitulé Mr Gwyn, par Alessandro Baricco. C'est un livre plein de poésie, un récit assez spécial parce que j'ai l'impression de ne rien avoir lu de semblable avant. Je l'aurais bientôt terminé, je suis content de l'avoir entre les mains ! Merci Dilara (me liras tu ce soir?). Et puis il y a ce livre acheté à Paris dans une librairie anglaise : Then It Fell Apart, par Moby, qui est la suite de son ouvrage précédent, qui est un livre de souvenirs, bref, encore une autobiographie quoi, on ne se refait pas...
Et puis vient Truman Capote, la faute à Warhol : en effet, en lisant la biographie de ce dernier, j'ai appris qu'il admirait beaucoup Truman Capote qui était de quatre ans son aîné. Il l'aimait et l'admirait au point de quasiment le stalker, en l'attendant devant chez lui et en allant jusqu'à contacter sa mère. Capote ne répondit pas à ce moment là mais des années plus tard, Warhol devenu célèbre, il finit par fréquenter Capote et devenir son ami. Voilà, c'est comme ça que j'ai eu envie de me pencher sur lui. Je connaissais Capote depuis la sortie, du film hollywoodien dans lequel il est interprété par le génial Philipp Seymour Hoffman. Et ça faisait un moment que je songeais à me pencher sur son cas. Il faut dire que le bonhomme avait de quoi m'intéresser, c'était un sacré personnage : du genre comme je les aime, un peu excentrique, brillant, pas bien beau, homosexuel de surcroît, bref, un individu qui se distingue de la masse, tout ce que j'aime ! J'ai donc filé sur amazon et j'ai commandé Musique Pour Caméléons, un recueil de textes divers, le dernier sorti du vivant de Capote. Et puisque je ne suis jamais satisfait, j'ai aussi commandé sa biographie, chez Folio. J'ai vraiment hâte de la recevoir ! Et puis plus tard j'enchaînerais avec son chef d'oeuvre, De Sang Froid, dont je n'ai entendu que des louanges.
Hier soir, sur une app de rencontres, j'ai matché avec une femme, 40 ans, plutôt mignonne, qui m'a abordé en me disant qu'elle me trouvait vraiment charmant. « Tu es sérieuse ? », ,ai-je répondu, avec ma légendaire confiance en moi... Elle m'a écrit que oui, elle était sérieuse, s'en est suivie un début d'échange, qui me ravissait au plus haut point jusqu'à qu'elle aborde LE sujet tabou, à savoir « comment tu gagnes ta vie ? »... J'ai pris des pincettes et lui ai expliqué que je bénéficiais d'une allocation suite à quelques soucis d'ordre psychiques, mais que, « haha, rassure toi, je ne suis pas fou », et puis vous vous en doutez bien, à ce moment là elle a tout simplement annulé le match brutalement. Eh BAM, dans ma gueule. Oh, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, ce ne sera pas la dernière non plus, mais c'est un peu douloureux. Je ne m'y habitue pas.
Voilà, je crois que j'ai satisfait ma soif d'écriture pour ce soir. Et me vient, du coup, cette éternelle crainte d'écrire dans le vide, de ne pas être lu... Dites, vous me lisez encore n'est-ce pas ? J'espère que vous le faites sans ennui et si d'aventure vous y prenez une once de plaisir, alors je serais le plus heureux des écrivains amateurs !
Bande son : The Snake, Shane MacGowan and The Popes
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hopeforbetterdays9 · 3 years
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"Are you there ?"
Jeudi 12 septembre 2019. Je m'en rappelle comme si c'était hier. J'étais sur le chemin de l'entraînement puis je reçois un message sur WhatsApp d'un numéro inconnu. La PP ne m'évoque rien, il s'agit de fleurs. Le message "Va te faire foutre toi aussi" est surprenant et j'ai quelques secondes d'errances avant de comprendre qu'il s'agit de toi. Je t'explique que je l'ai sûrement bien mérité, tu surenchéris avec un "Connard, c'est sorti tout seul". Je me doute bien que c'est pas dit méchamment et qu'il s'agit là d'une reprise de contact de ta part.
Je ne sais vraiment pas quoi penser de ton retour. Vraiment je n'aurai jamais pensé que tu m'adresserais à nouveau la parole. Alors je te réponds brièvement. Tu remarques que j'avais supprimé ton numéro puis tu me demandes si je suis allé sur le site WikiHow. Tu veux aussi savoir où j'en suis au niveau de ma situation pro, car je t'avais évoqué mon souhait de reprendre les cours en alternance. Tu m'annonces par la même occasion que tu as fait le choix de reprendre une année de master en alternance et que tu as déjà ton entreprise, un hôtel où tu bossais par le passé. On se félicite mutuellement pour notre réussite puis je ne réponds pas à ton dernier message.
Franchement je ne sais pas du tout quelles sont tes intentions, la dernière fois j'avais été recalé de manière très sèche donc je me méfie de ton comeback. Tu reviens probablement pour des mauvaises raisons et je suis sur une bonne lancée que je ne souhaite pas gâcher car je sais que toi et moi ça s'est (trop) souvent mal fini. Peut-être que tu te sens seule et du coup tu me relances ou peut-être que ta précédente relation n'a pas fonctionné donc tu ressors ma carte en espérant que je retombe dedans tout de suite ? Je n'en sais rien, mais je préfère ne pas en rajouter et m'effacer. Je suis épanoui sur le moment, je ne veux pas repartir sur quelque chose qui m'apportera des ondes négatives.
Quatre jours plus tard, tu m'envoies un autre message. "Are you there ? Are you free ?". Tu veux me dire quelque chose mais tu ne sais pas comment l'amener. Tu m'annonces que tu t'es accrochée par le passé à des choses qui n'étaient pas forcément essentielles avec moi, que parfois je te manquais et que parfois tu ressentais l'envie de me revoir. J'essaye de rester impassible mais c'est vrai que la lecture de ces mots provoquent un tourbillon de sentiments en moi. Je ne sais vraiment plus quoi penser. Une partie de moi avait envie de lire ça de ta part un jour depuis longtemps alors que l'autre partie sonne l'alerte et me rappelle qu'il y a à peine deux mois, tu m'éjectais de ta vie comme un malpropre dans un mépris total. D'ailleurs je t'en fais part, je pensais encore il y a une semaine que tu me méprisais du plus profond de ton être. Ce à quoi tu réponds "Pas du tout N***. Bien au contraire". Je te dis qu'il me faut laisser un peu de temps afin que je réfléchisse et digère ce que je viens de lire.
Te connaissant, tu ne m'as pas dit tout cela pour rien et j'ai comme l'impression que tu vas chercher à ce qu'on se voit rapidement. En effet, c'est ce que tu me proposes le lendemain. Proposition d'aller boire un verre en terrasse que j'accepte. Nous sommes le vendredi 20 septembre 2019, il est presque 21h, l'été touche à sa fin pour laisser sa place à l'automne et ses splendides couchers de soleil, nous sommes à deux pas du canal Saint-Martin. Bien évidemment, je suis en retard pendant que tu es déjà à table à t'impatienter. Te voilà devant moi à nouveau, pour la première fois depuis quatre mois.
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Les 13 leçons retenues de Libérez votre cerveau, d’Idriss Aberkane
Après lecture de ce livre, voici les 13 leçons que j’aimerais partager :
1 - Duolingo est une super application d'apprentissage de langue
... que j'utilise désormais tous les jours.
2 - « Tout ce qui vous entoure et que vous appelez la vie a été fabriqué par des gens qui ne sont pas plus intelligents que vous, et vous pouvez le changer, vous pouvez l’influencer, vous pouvez construire vos propres objets que d’autres personnes utiliseront »
Cette citation de Steeve Jobs a été une véritable révélation pour moi.
Beaucoup de pression que je me mettais auparavant dans mon travail, pour satisfaire mes collègues et mes employeurs, dans ma vie familiale pour satisfaire mes parents et grands-parents, dans ma vie amicale, pour me conformer et être acceptée... tout cela a volé en éclat.
Tout à coup je me suis libérée d'un tas de croyances limitantes, que j'avais déjà repérées mais pas réussi à évacuer : avoir un bon salaire, tomber amoureuse, construire une famille, ne pas faire de vague, ne pas briller, plaire c'est mal, aimer la mode c’est irresponsable...
A un débat de famille qui commençait par "Mais l'Etat devrait..." ça m'a soudain frappé, il n'y a pas de personnalité "Etat", plus de roi, ni de "l'Etat c'est moi" personne à accuser ou à décapiter, juste une masse de personnes qui attendent un sauveur providentiel qui ne vient pas. Il n'y a que vous, nous, nos rêves et les choix que nous faisons.
Alors je me suis sentie forte et pleine de pouvoir, je me suis sentie capable de créer la vie de mes rêves. Mes envies, mes besoins et mes dégouts me sont apparus très clairement. Et une question : pourquoi attendre qu'on m'apporte ce que je veux quand je peux le créer ?
3 - A quiconque voudrait exceller, voilà mon conseil : ne JAMAIS rester à sa place
Pour moi qui déteste rester en place, la monotonie et le quotidien, c'est également une grande révélation. Enfin je m’y autorise : je refuse de rester à ma place.
J'ai décidé de partir à la découverte de mes envies, d'explorer de nouvelles cultures, de nouveaux hobbies... J'ai décidé de partir à l'assaut de mes rêves, de faire confiance à mon instinct.
4 - L'expérience réussie est collective
Face à une difficulté, je sollicite désormais les personnes autour de moi, non pas pour leur avis, mais pour leur expérience : qu'ont-elles fait ? qu'ont-elles décidé ? quelles ont été les conséquences bonnes et mauvaises ?
Apprendre des expériences des autres, c'est avancer plus vite car on ne reproduit pas les mêmes erreurs, ça pousse à l'inventivité, à essayer de faire autrement... partager c'est pousser au génie.
5 - Nous percevons que ce que notre cerveau décide que nous pouvons percevoir
Cette leçon est aussi une façon d'amener d'autres personnes à donner leur avis.
Même si l'on sait que seul son propre avis compte et pour rappel je ne demande pas aux autres de décider pour moi.
Mais sur le coup d'une forte émotion, d’un grand plaisir par exemple quand j'ai trouvé un nouvel appartement, j'ai demandé une contre visite avec une personne neutre, je lui ai demandé un avis objectif, sans que je lui dise quoi que ce soit.
Mon imagination m'emballe, elle me protège, mais elle m’a déjà joué des tours. Accepter la parole de l’autre c’est reconnaitre qu’il faut faire preuve d'humilité : nous savons, certes, mais nous ne savons pas tout et partager le savoir de l'expérience (et pas celui de la peur), c'est construire une échelle pour soi et pour les autres.
6 - Protégez vos nerfs, vous êtes les seuls à avoir des droits sur eux
J'ai beaucoup entendu "protège ton temps", «protège-toi», "tu donnes trop aux autres". Surtout qu'en temps qu'empathe, j'ai besoin d'un temps très important de récupération après un contact.
Cet élément a surtout été un rappel pour moi, mais entendre, ou lire en l'occurrence, que nous sommes seuls maîtres de nous-même et que nous ne devons rien à personne est toujours un rappel extrêmement important et positif.
Et en ces temps de Covid, je suis reconnaissante d'être aidée par le couvre-feu.
7 - Apprendre impliquer d'aimer
Faire ce que l'on aime vous fait avancer à pas de géant. Je le savais, mais je ne pensais pas que je pouvais influer sur cet élément. C'est désormais le cas, je prends le temps d'écouter mon cœur avant de faire quelque chose, de me demander "de quoi ai-je envie".
Cela vaut dans ma vie personnelle mais aussi dans mon travail. Car même si la plupart des gens retiennent que le mot travail vient de "torture", le plaisir n'est pas anti-professionnel. J'ai mis cette tactique en place presque immédiatement après l'avoir lue.
Devinez qui est trois fois plus efficace qu'avant ? Devinez qui va apprendre l'aquarelle ce soir ? Devinez qui est plus énergique quand elle rentre à la maison ?
8 - L'impuissance apprise
Saviez-vous que la petite voix qui vous dit que vous n'êtes pas capable ou que vous ne pouvez pas n'est pas née avec vous ?
L'impuissance nous est apprise par nos pairs, par l'école et par la société. Le regard des autres et leur jugement peuvent vous amener à renoncer à quelque chose sur une simple croyance. Une croyance qui va être nourrie par des échecs provoqués, des pièges que l'on vous tend dès le début de l'apprentissage.
J'ai donc réappris deux éléments :
N'écoutez personne, seulement vos envies;
Trouvez des méthodes qui vous parlent et qui vous donnent envie, même (surtout) si elles ne sont pas conventionnelles.
9 - Préserve-moi de juger quiconque avant d'avoir parcouru une lieue dans ses mocassins
Ceux qui ont essayé la pratique de la parole impeccable et la méthode PENSE le savent, casser le jugement automatique que l'on porte sur autrui nécessite beaucoup d'énergie : pour en prendre conscience d’abord, pour arrêter de le faire ensuite.
Mais cette petite phrase fait vibrer mes valeurs d'empathie et de force. Elle frappe par sa simplicité et son efficacité. Elle est devenue une de mes réponses préférées.
10 - Tiers temps
Voici un conseil datant de la Renaissance qui est en train de me sauver la vie :
1/3 de votre temps éveillé doit être passé avec vous-même
1/3 avec quelqu'un qui peut vous enseigner quelque chose
1/3 avec quelqu'un à qui vous pouvez enseigner à votre tour.
11 - L'économie est basée sur la frustration
J'aime bien les pubs. Petite, je ne voulais jamais qu'on zappe... et j'ai toujours trouvé qu'une publicité en disait plus sur la société qu'un débat politique.
La plupart des publicités m'ont aidé à nourrir mon imagination, à me sensibiliser à des musiques, à des styles, à des esthétiques. Elles m'aident à faire le tri dans ce qui me plait et ne me plait pas, dans ce qui me fait vibrer ou pas.
Quand une pub de voiture montre un surfeur, je me dis "ça fait longtemps que je n'ai pas surfé, j'ai envie de m'y remettre" mais je n'accorde aucun intérêt à la voiture.
Et bien il semblerait que ce n'est pas le cas de tout le monde, quand les gens voient la pub ils achètent la voiture pour "acheter" ce que représente le surfeur dans leur tête. Cela, évidement, ne satisfait pas du tout le véritable besoin, résultat : ils sont frustrés.
Or, une économie de la frustration, mène à de la violence, la violence mène à la catastrophe sociale. Oui, c’est le livre qui le dit, mais repensez donc à la fois où vous vous êtes refusé un muffin parce que vous étiez au régime et au fait que vous étiez irritable toute la journée après.
Imaginez que votre vie soit une succession de muffins refusés et d'achat de galettes de riz. Voilà. Il faut réaliser vos rêves maintenant.
12 - Faites preuve de (neuro) sagesse
Quand on vous demande votre avis sur une situation, un évènement ou une action et que vous ne savez pas quoi répondre, voici trois questions qui vous permettront de bien appréhender les choses :
Qui sert qui ?
Qui contraint qui ?
Qui meurt pour qui ?
Nous manquons souvent de recul, de concepts, d'idées, de rêves ou de raison d'être, alors apportez votre conscience. N'importe quelle machine peut manipuler des données, mais nous, nous sommes ce qui leur donnent un sens.
13 - 8 questions pour vous aider à prendre conscience de votre cerveau
Quelles sont les limites de ma cognition ?
Que peut-elle appréhender en une fois ou séquentiellement ?
Quelles séquences sont les plus efficaces ?
Quels angles de ma pensée sont douloureux ou pénibles ?
Quels sont les angles pénibles pour mon interlocuteur ?
Quelles positions sont le plus à même d’exaspérer son égo, son conditionnement et ses biais ?
A quel point ma pensée est ossifiée, pourquoi suis-je incapable de tel mouvement ?
Aurais-je pu avoir ces mouvements dans d’autres circonstances ou sont-ils intrinsèquement inaccessibles à mon esprit ?
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harsinoee · 4 years
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Lettre à Igor,
Lorsque je t'ai rencontré par trois fois, tu as joué avec moi le rôle hypocrite du bon Samaritain. Bien plus machiavélique que je ne l'imaginais. Toi, tu étais déjà tellement assuré d'élaborer toutes tes sournoiseries que tu allais me mitonner mois après mois. C'est toi le premier qui a posé le mot "arnaques" sur ce qu'il m'arrivait. Exaspéré, empathe même, en lisant tous mes documents. Tu faisais semblant de vouloir me sortir de cette prison pour juste me jeter dehors. Toi qui m'informa également que l'improbable vice-présidente de l'OPHLM, et adjointe au maire, échangeait du cash contre des appartements bien à l'abri au Maroc. Même la cour des comptes avait agité un foulard rouge s'inquiétant de tous ces dysfonctionnements. Je n'avais entendu que des rumeurs sur ces prétendues corruptions actives et toi, fonctionnaire de l'Etat, capitaine du vaisseau amiral de ces impostures DALO, que tu gères avec un fin sadisme, dis, tu m'as confié un secret de polichinelle pour que je ne vois pas tes esbroufes fouareuses. Tes infos semblaient vraies et tu jouais ton rôle de protecteur à la perfection, m'assurant me tirer des griffes de ces méchants voleurs.
Mais alors pourquoi as-tu mis ma vie en vrac? C'est quoi cette domination masculine punitive qui persiste en dehors de la loi dont tu étais pourtant le garant il y a longtemps.
Et moi pendant ce temps, naïve et confiante, je t'envoyais des photos de l'immeuble en construction. Tu m'as assuré devant une Mom transportée de joie, que rien ne s'opposait à avoir chacune un T3 dans cet ensemble neuf. A peine 153 € de loyer résiduel pour me rebooster. C’était le truc parfait, maman à côté et reprise du taff.
Mais non, de réunions en réunions inutiles et poussives les mois ont passé et tous mes DALO refusés, souvent pourchassée d’un affreux huissier. J’ai donné 11 000 € gratis. Alors stop !!
Tout ce petit monde l'avait promis toi, Mme V. de bailleur 66 et même avant le dircab adjoint qui lui aussi s'est bien moqué de moi. Confiante, j'y çroyais. Je voulais juste être près de ma maman malade qui a accepté cet appartement pour cette fausse promesse, que je sois près d’elle.
Jamais tu n'as répondu à mes nombreux courriers, j'étais étonnée mais je te trouvais des excuses. Puis j'ai compris que le fonctionnaire faux débonnaire dans ses vilains t-shirt d'adulescent se trouvait être la pire des ordures crasseuse malfaisante œuvrant dans mon dos par tes basses œuvres illicites sous le vernis réglementaire. Et payé, avec nos impôts svp pour placer des immondes tyrans harceleurs et menteurs. Même l'OPHLM recule mais on dirait que je suis punie d'avoir déposé plainte. Cet idiot egotique se met seul dans la mouise et entraîne toutom même toi. Jusqu'à me faire expulser? Alors si un policier choisit de ne pas respecter la loi dont il a la charge et ne respecte pas son code de déontologie, pourquoi soutenir l'infamie de toutes ses entourloupes? Tout ça par calcul pour me priver d'un droit inaliénable à vivre en sécurité sous un toit? Très actif dans sa cruauté malsaine, ton copain le policier s'était bien repu de mes pleurs et de ma frayeur quand il hurlait sur moi, quand il crachait toute sa rage haineuse des femmes sans que je puisse fuir loin de cette violence. Le monde s'était inversé pour la seconde fois. Sidération soutenue par le choc de l’esprit de leur pacte, me terroriser à vie. Tremblante de peur, j'étais enfermée avec ces deux psychotiques dont l’un me hurlait dessus. Je sentais combien il était mauvais et orgueilleux de me malmener devant le violeur. Il s'amusait de mon malheur avec une délectation non dissimulée. Hereux de ses violences psychologiques. Il m’a marqué à tout jamais au fer rouge.
Et ce type continue de recevoir des victimes oklm? Combien en a-t-il détruites? Combien d'années de sévices? D'humiliations?Combien de vies brisées? Combien d'autres passeront la porte de son bureau de tortionnaire? Alors, je veux continuer de dénoncer ces monstres. Et mettre en garde ceux.celles qui devront se retrouver face à ce tyran despotique. Le jour de la confrontation fut le pire moment de ma vie après celui du viol. Un second piège sans aucune aide extérieure pour me sortir de cet enfer. Près de 3 heures d'une maltraitance poussée à son paroxysme. Mon cœur cognait si fort. J'étais à leur merci compilant insinuations, accusations, incohérences, moquerie, dédain, dans une agressivité surjouée, déguelasse et gratuite. Et moi les yeux les plus souvent baissés avec le violeur placé en face de moi mal à l'aise se tortillant vissé sur sa chaise face à la caméra flambant neuve. J’avais si peur. Plus tard le défenseur des droits m'appris que cette vidéo était inexploitable. Surprenant non?
Les accueils ne changent guère d'après mon médecin. Il peut continuer tranquille de détruire des femmes tous les jours derrière sa pseudo expérience au service des personnes fragiles.
Mais je m'éloigne du sujet Igor. Un jour d'octobre, tu m'as reçu pour me signifier qu'une pu*ain de caméra de vidéosurveillance m'avait disqualifiée. C'est totalement illégal non? De quel droit les caméras de ma ville peuvent me filmer et utiliser ces images pour me priver d'un appartement? Ruser avec cette raison stupide pour m’inventer une vie amoureuse, c'est indéfendable devant un tribunal ! Avoir un grand fils prête à confusion certes, mais pour les tordus dans ton genre ce raccourci facile et illicite m'a valu un REFUS de DALO. N'as-tu pas fait là un parallèle avec l'affaire criminelle?????
Mais ce n'était qu'un début pour m'atomiser avec un 3eme NON, celui-ci du fait de ma saisine près du Juge de l'exécution pour obtenir des délais ! Qui m'explique? Moi, pas comprendre. Un écheveau de casses-têtes et surtout de la mauvaise foi édifiante. Le monde à l'envers, la nausée, la rage de tous ces mensonges. Tout ça pour me faire recommencer tout du début pour m’expulser.
Une fois que Mom à emménagé sans moi en mars, tu as du bien savourer cette énième abjection, toi le complice du pire. Comme la taciturne Mme V. du 66 qui a osé proposer à ma douce maman, la (vraie) maison d'Halloween à Cabestany en novembre dernier? Timing en plus. Mom voulait Perpignan et moi dans le même immeuble. Sont-ils-elles bêtes et méchant.e.s tout le temps? C'était une villa (plutôt un taudis) en ruine et malodorante avec vue obligatoire et plongeante sur un cimetière flippant de jour. Effrayée et déçue Mom a enguirlandé dame V. qui lui a enfin reproposé la résidence de départ, sans omettre de lui balancer une pique, ajoutant que Mom avait beaucoup de chance car l'appartement avait été refusé par un autre... N’oublie pas Igor, Mom est veuve d’un militaire gradé qui a défendu son drapeau. Encore une humiliation pour elle, mais pourquoi? Misérables que vous êtes. Hermeline Malherbe elle-meme s’y était engagé et voilà le boulot !
Mme V. a aussi nié m'avoir promis celui du second après m'avoir longuement expliqué les financements sociaux sur certains loyers expressément pensés pour mes ressources. Il y a 5 étages et m’a coupé pour me rétorquer qu’il n’y en avait que 3. Passons. Nicole vit au 5ème et à une vue magnifique.
Et depuis, on a continué cette folle entreprise sauf que le DALO réactivé était pour un RDC imposé par toi Igor, nul consentement possible, c'est toi qui n'a pas voulu tenir compte de mon refus en obligeant 3F à m'attribuer de force ce logement en dehors de Perpignan en violant tous mes droits. Et là, tu as encore foulé la loi au pied. Es-tu au-dessus du Droit? Qui es-tu pour bafouer les miens. Un moyen d’anéantir mon option logement social sinon le privé me demande 3 à 4 fois le prix du loyer en salaire et comme j’ai un handicap invisible, tu fais comme s’il n’existait pas. 0 priorité. Tu me veux au 115?
Pour finir, Mme V. m'a à nouveau vendu un appartement de rêve, les yeux perdus dans le vague me conseillant de vendre tous mes meubles car cet appartement était doté de rangements fonctionnels dans toutes les pièces, mais avec un bail imposé (et le consentement?) avec mon fils colocataire dans un secteur sensible. J'ai refusé, mon fils veut vivre sa vie et avoir son bail un jour.
J'ai longtemps attendu avant d'avoir le droit de voir ce petit bijou fort cher au cachet extraordinaire aux dires de mes deux interlocutrices trop souriantes pour être sincères (sans les yeux)... et très mythomanes. Quand je l’ai vu, ce fut l'apothéose de cet enfer. Mais ils avaient vite changé ce lino triste et projeter le crépis avec les pieds (je me suis crue dans une grotte). Il semblait vide depuis longtemps, resté dans son jus désuet depuis le décès de son historique occupante. Tout y était petit, sinistre, dégoûtant, et cerise sur le gâteau, une énorme antenne de mobile 5G en face du balcon sans soleil et vraiment trop cher pour son état. Surtout dans un lieu où les bastons entre voisins sont légions. Donc, mes seuls choix c'était la lande en RDC ou l'immonde appartement insalubre dans un lieu toxique qui ont sabré la fin (il)légale de mon faux DALO mensonger. Plus de droit parce je refuse de vivre dans des lieux inhabitables. Mais j'avais déjà contesté ce DALO qui sous ton écriture me dépeignait comme seule fautive de l'expusion et précisait surtout que mon loyer devait être conforme à mes maigres ressources longtemps captées par la CAF et mon bailleur (dont 9 ans de garage facturé dans le vide). Je me rappelle que j'avais déplu en 2018, harassée de colère par ce violeur repartit libre pour remettre ça (en juin il était sur plusieurs sites) et le traitement inhumain du policier. Les deux sont ultra violents et ils sont dans la nature. Comme le répétait le substitut qui a tout classé en 2018, (ce magistrat a été viré par son précédent tribunal (...), il était chargé de présider les réunions violences avec le CCIF (la blague), disant de moi en roulant les rrrrr : " elle ne lâchera pas cette emmerdeuse". Il avait bien raison ce macho putride du cortex et dédaigneux dont le travail est de décider du sort de centaines de personnes tous les jours. Je les plains de tout mon cœur. C'est lui également qui n'a trouvé rien à redire sur un procès verbal fallacieux dont la date des faits était (on respire lentement) "quelques temps après les faits "le CPP exige que le PV doit être dressé immédiatement". Un fusible en somme. C’était une enquête de flagrance vite refermée. Combien sommes-nous?
C'est donc ça la justice à Perpignan Mr Castaner, Mme Bellloubet ou Mr de Normandie? Le 8 juin 2018, j'écris pour raconter cette inimaginable confrontation qui m'a bloquée des mois entiers et le 12 juin un procès-verbal apparaît comme par magie à un mois près où je l'aurais appelé (par télépathie mais quand?) et décrite comme "arrogante et détachée des faits de viol". Il s’est cru fort parce que j'ai découvert cette pièce après le CSS et par accident en octobre.
Les dés sont jetés Igor. Tu as commis des fautes lourdes et impardonnables. Ton travail n'est pas de pousser les familles au suicide. De ce côté-là, tu excelles. Le préfet est sur le départ, tu le sais. J'espère que ton règne de lâche décérébré salissant ta mission de service public républicain et normalement honorable sera révolue et que ton.ta remplaçant.e n'utilisera plus jamais ces pratiques mafieuses. Ton idéologie, ta complicité et surtout ta veulerie pour aider à commettre le pire me révulsent.
Tu es chargé d’aider, pas de nous enfoncer la tête pour nous noyer. Toutes les commissions ont statué sur le montant du loyer et celui-ci dépasse les préconisations strictes. Ces boulettes me permettent légalement d'argumenter ces deux refus. J'espère que le Préfet me permettra de sortir de ce cauchemar qui dure depuis 1 an, non 2 ans avec le viol.
Je n'oublie pas que Mom est heureuse dans son nouveaux logis mais elle l'a accepté car Mme V. lui a assuré mordicus que j'y serai avec elle. Créer des problèmes où il n’y en a pas. Technique stupide, destructrice basée sur l'orgueil. Dommages et dégâts physiques permanents.
Les choses ne sont pas finies Igor. Un jour tu comprendras que chaque acte que tu as décidé pour bloquer mon accès à un relogement à renforcé ma détermination même si je craque souvent. Pense à toutes les larmes que tu nous fais verser.
Noies-toi dedans.
Tout aurait pu être différent. Plus personne n'entendrait parler de ma VDM. Je boirai des godets au soleil avec mes amis et je serai libre. Je t'aurais vite oublié pour me consacrer à mes projets et j'en ai. Mon travail me manque, mon fils est beaucoup affecté et mes chats sont tristes à cause du foutoir que toi et tes sbires, vous avez causé, je perds mes forces.
J'espère encore !
T'es vraiment moche Igor.
Alors change et fais ton boulot !!!!
H.
Ps : Toujours en recherche d'appartement 3 pièces à Perpignan.
Merci ❤️💕🦋
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