Tumgik
#donner vie à ses rêves
maviebuissonniere · 9 months
Text
Carnaval d’articles autour du sujet “Oser changer de vie et donner vie à ses rêves” 🎡✨
Alors que nous entamons une nouvelle année, c’est le moment parfait pour se poser, réfléchir, rêver grand et donner vie à ses rêves ✨. Inspiré par notre slogan Ose l’Aventure & Donne Vie à ta Vie, nous sommes ravis de t’annoncer notre événement inter-blogueurs : “Oser changer de vie et donner vie à ses rêves”. Chez MA VIE BUISSONNIÈRE, nous croyons que chacun mérite de vivre une vie pleine de…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
Tumblr media
Rêves profonds avec le lotus bleu...
Le lotus bleu, une fleur très appréciée dans l'Égypte ancienne, est un psychoactif subtil qui induit des sentiments de tranquillité et d'euphorie, et peut donner à la vie éveillée la qualité de transe d'un rêve. Il peut également rendre notre vie onirique plus vivante et potentialiser notre capacité à faire des rêves lucides.
Les anciens Égyptiens considéraient le lotus bleu comme un sacrement sacré qui les reliait au divin par des états de conscience extatiques. Symboliquement, ils l'associaient au soleil, à la création et à la renaissance en raison de la façon dont la fleur se ferme et s'enfonce dans l'eau la nuit, et réapparaît pendant la journée. Le lotus bleu était également apprécié à des fins récréatives, comme en témoigne la façon dont les anciens Égyptiens le représentaient dans des scènes de fêtes orgiaques dans leur art.
Si vous avez du mal à trouver un sommeil réparateur, les effets méditatifs de cette fleur peuvent vous aider à trouver un sommeil plus nourrissant et plus heureux. Les utilisateurs ont signalé des rêves plus clairs et plus colorés, ainsi qu'une meilleure capacité à se souvenir de leurs rêves.
Il peut être infusé sous forme de thé, trempé dans du vin, fumé ou pris sous forme d'extrait, d'huile ou de teinture.
15 notes · View notes
Text
“La vie sans désir serait comme une mer calme et stagnante, dépourvue de saveur et de passion. Les désirs sont les moteurs qui nous poussent à agir, à nous surpasser et à atteindre nos objectifs. Ils donnent un sens à notre existence en nourrissant notre curiosité, notre créativité et notre ambition. Sans désir, la vie serait probablement monotone et dénuée de tout progrès ou accomplissement significatif. Les rêves ne se réaliseraient pas, les défis ne seraient pas relevés et les expériences enrichissantes resteraient inexplorées. En somme, le désir est essentiel pour donner du piquant à la vie humaine.„
~•~
“Life without desire would be like a calm, stagnant sea, devoid of flavor and passion. Desires are the engines that drive us to act, to excel and to achieve our goals. They give meaning to our existence by nourishing our curiosity, creativity and ambition. Without desire, life would probably be monotonous and devoid of any significant progress or achievement. Dreams wouldn't come true, challenges wouldn't be met and enriching experiences would remain unexplored. In short, desire is essential to spice up human life.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
|Posted for Art Signatures|
Tumblr media
Fine art photography : MAN RAY | “IRIS”
109 notes · View notes
crazy-hanji · 10 days
Text
Lucifer Morningstar est un Hypersensible
Tumblr media
Dépressif , père absent mais pas que , beaucoup n'apprécie pas la personnalité de ce roi des enfers un peu atypique et enfantin beaucoup attendez autre chose de lui . Qu'un petit gars mignon pas du tout intimidant mais il est juste à l'image qu'on dépeint de lui avant sa chute .Un Chérubin ange a l'apparence enfantine ( oui d'après mes nombreuses recherches il n'est pas un archanges et pas un séraphin dans la bible ) , dans Hazbin hôtel débordant de créativité et de fantasie prête à être donné au monde . Point qu'on donnent aux Hypersensible venant balayer le fait qu'il pourrait être autiste comme dirait dans certaine théorie . Les autistesont un goût pour rester dans les régles et ne seront jamais créatif spontanément . Même si les hypersensibles et les autistes partagent de nombreux point commun comme avoir de forte émotions et une mauvaise gestion c'est bien pour cela que les hypersensible peuvent être vue a tords comme autiste vu leurs réaction . Sa passion des canards tournant à l'obsession peut être un TOC ( Le trouble obsessionnel-compulsif demeure souvent une énigme pour ceux qui n'en sont pas directement touchés. C'est un trouble anxieux qui se caractérise par des pensées intrusives et indésirables (obsessions) entraînant des comportements répétitifs et ritualisés (compulsions). En gros la fabrications de ses canards en plastique pouvant être une manifestation de sa dépression .... Dépression qui le force à se reclure chez lui voulant le moins contact possible due à son mal être .Les Hypersensible ont aussi cette volonté pas pour les même raison mais juste que les contacts les mettent mal à l'aise et épuise .... L'hypersensibilité peut être juste la cause qui la mené à la dépression par le rejet des autres anges ...Voir ses rêves s'envoler ainsi que ses croyance étant condamné à voir que le mauvais chez les humains comme le dit si bien sa fille dans l'introduction quand elle conte la légende de ses parents
Il est certes absent pendant une bonne partie de la vie de sa fille PAS par choix mais par fatalité .L'hypersensibilité quand tu es dans un cadre favorable peut être un don ou une malédiction un vrai démon si tu es pas dans un cadre favorable pour apprendre à la dompter ...Indomptée d'autre chose peut s'y mêler comme la dépression ...Donc selon moins Lucifer aurait au moins deux démons son Hypersensibilité et Dépression ... Son cerveau ne pouvant que resasser les choses en boucles et souvent le négatif l'entraîne dans cette spirale infernal le rendant incapable et faisant s'éloigner tout ceux qu'il aime .
Et en quoi il serait à l'image du Lucifer de la bible , lui aussi voulait notre bien .Nous aimant d'un amour débordant mais encore une fois jugé comme étant un individu dangereux avec ses idées pour l'équilibre il finit chassé . Sauf que le Lucifer biblique donna une autre réponse que la dépression .Mais la colère , une rage débordante
Que ce soit répondre par de la tristesse ou la colère c'est deux réponses que les Hypersensibilité peuvent donner tout cela à cause du même sentiments d'injustice que les deux ont ressentis
J'ai été moi même diagnostiqué Hypersensible ou j'ai appris à enchainer mon démon car je suis bien entourée mais il fut une époque ou j'étais partie sur le même chemin que notre Luci pour ça que je me sens proche de lui ( Pour exemple mon Toc serait de me mordre la main dès que j'ai une émotions peut importe la quelle qui risque de me submerger c'est un pour me calmer .Selon moi la fabrication de canard en plastique à pour but que Lucifer se calme et redescent émotionnellement )
Depressed, an absent father, but not just that—many don't appreciate the personality of this somewhat atypical and childish King of Hell. A lot of people expected something different from him. A cute little guy, not intimidating at all, he is simply a reflection of how he was portrayed before his fall. A cherub, an angel with a childlike appearance (yes, according to my many studies, he is not an archangel or a seraphim in the Bible), in Hazbin Hotel overflowing with creativity and fantasy, ready to be given to the world. Points that are attributed to hypersensitive people dismissing the notion that he could be autistic, as stated in some theories. Autistic people tend to stick to rules and are rarely spontaneously creative. Even though hypersensitive people and autistic individuals share many similarities, like experiencing strong emotions and having poor emotional regulation, hypersensitive individuals can often be wrongly perceived as autistic due to their reactions. His obsession with ducks could be a form of OCD (Obsessive-Compulsive Disorder). OCD is often a mystery to those not directly affected. It is an anxiety disorder characterized by intrusive, unwanted thoughts (obsessions) leading to repetitive, ritualized behaviors (compulsions). In short, the creation of his rubber ducks could be a manifestation of his depression… Depression that forces him to isolate himself, seeking minimal contact due to his inner suffering. Hypersensitive individuals also tend to avoid contact, not for the same reasons, but because interactions make them uncomfortable and drain them. Hypersensitivity could be the very cause that led to his depression, possibly stemming from rejection by other angels. Watching his dreams and beliefs crumble, doomed to see only the worst in humans, as his daughter says so well in the introduction when she recounts the legend of her parents.
He was certainly absent for much of his daughter's life, not by choice but by fate. Hypersensitivity, when nurtured in a supportive environment, can be a gift or a curse—a true demon if you are not in the right setting to learn how to tame it. Untamed, other issues can arise, such as depression. So, in my opinion, Lucifer has at least two demons: hypersensitivity and depression. His mind, constantly ruminating on things, often focusing on the negative, traps him in this infernal spiral, making him incapable and pushing away everyone he loves.
And how is he like the Lucifer of the Bible? He, too, wanted our well-being. He loved us with an overwhelming affection, but once again, judged as a dangerous individual due to his ideas about balance, he was cast out. Except the biblical Lucifer responded not with depression, but with anger, with overflowing rage.
Whether responding with sadness or anger, both are reactions that hypersensitive people can have, all due to the same sense of injustice that both have experienced.
I myself was diagnosed as Hypersensitive or I learned to chain my demon because I am well surrounded but there was a time when I went on the same path as our Luci because of that I feel close to him
(For example, my OCD would be to bite my hand as soon as I have an emotion, no matter what it is, which risks overwhelming me. It's to calm me down. According to me, the purpose of making a rubber duck is to make Lucifer calm down. and come down emotionally)
12 notes · View notes
marie-swriting · 3 months
Text
Être Avec Toi - Kate Bishop
Tumblr media
Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée. 
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur. 
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie. 
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces. 
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force. 
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi. 
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement. 
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.   
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras. 
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète. 
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien. 
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre. 
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée. 
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.  
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse. 
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention. 
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner. 
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure. 
-Grâce à toi, je vais bien. 
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi ! 
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant : 
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux. 
-J’ai eu peur. 
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt. 
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole : 
-Kate, on doit en parler. 
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi. 
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ? 
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve. 
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment. 
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux. 
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée. 
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ? 
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue. 
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader. 
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
Marvel Masterlist
14 notes · View notes
judieccfinds · 3 months
Text
--Winnie Legacy--
Règles de base :
Codes de triches interdits, mods pour rajouter du gamepaly autorisés (voire même conseillé)
Aucune limite d’enfant par génération.
Vous pouvez choisir quel enfant deviendra l’héritier.
Chaque génération possède une couleur dominante. A vous de jauger selon vos envies (vêtements, décoration…)
Vous pouvez choisir la durée de vie.
Pour valider une génération, compléter l’aspiration, la carrière et les compétences.
GEN 1 (vert) :
La vie n’a pas toujours été tendre avec vous. Ballotté de foyer en foyer toute votre enfance durant, vous n’avez jamais eu la chance de vous épanouir dans une famille aimante.
A votre majorité, quand l’orphelinat ou vous avez grandi a décrété que vous étiez capable de vous prendre en main, ils vous ont mit à la porte… sans aucun bagage.
La seule chose qui vous a maintenu pendant tout ce temps, c’était la nature.
Dans votre dortoir, assis face à la fenêtre et observant le monde extérieur, vous vous étiez juré que si vous vous en sortiez vivant, vous vivrez dans une maison entourée par la nature, et donnerait amour et chaleur à vos enfants.
Alors quand vous vous êtes retrouvé dehors, vous n’aviez qu’un objectif : réaliser ce rêve.
Ville : Henford on Bagley
Aspiration : Botaniste indépendante
Traits de caractère : Adore la nature, généreuse, proche de sa famille.
Carrière : Jardinage
Compétences : Education, jardinage
Règles & objectifs (au début) :
Vous débutez sur un terrain vide à Willow Creek (votre ancien orphelinat s’y trouve)
Vous commencez la partie avec 0 simflouz
Avant de pouvoir quitter Willow Creek pour Henford on Bagley, vous devez avoir réuni la somme de 5 000 simflouz. Vous pouvez utiliser n’importe quelle méthode pour y parvenir (sauf triche).
Règles & objectifs (à Henford-on-Bagley) :
Vous vous installerez sur le terrain de votre choix, mais celui-ci doit contenir une maison plus ou moins délabrée ou vieillotte, que vous allez retaper par la suite. Pour vous installer sur le terrain, le code de triche “freerealestate on” est autorisé.
Une fois sur votre terrain, retirez 5 000 simflouz de votre budget. (vous pouvez le faire avec le code “money X”)
Vous activerez le défi de terrain vie simple
Vous devez posséder minimum 5 plantes d’une qualité excellente
Vous devez vous marier
(facultatif) Vous adopterez tous vos enfants, pas de grossesse ni de bébé éprouvette
GEN 2 (jaune) :
Vous avez grandi au milieu de la campagne d’Henford-on-Bagley, et avez supplié vos parents pour qu’ils adoptent un chien. Et pour cause : Depuis très jeune, vous êtes un amoureux des animaux.
Vous passiez votre temps à les dessiner, rêvant enfin de ce jour ou vous pourriez à votre tour donner tout votre amour à un animal.
En grandissant, cette passion s’est transformée en une véritable ambition de vie.
Tenir une clinique vétérinaire afin de redonner santé et vigueur à tout un tas d’animaux, c’était un projet qui vous animait.
Alors en quittant le cocon familial, vous prenez la décision d’ouvrir votre propre clinique.
Non loin de l’air marin, Brindelton Bay vous a semblé idéale pour lancer votre entreprise.
Et si votre futur âme sœur se trouvait parmi les clients de votre clinique ?
Ville : Brindelton Bay
Aspiration : Ami des animaux
Traits de caractère : Amoureux des chiens, adore les animaux, ambitieux
Carrière : Vétérinaire
Compétences : Dressage
Règles & objectifs :
Vous débutez sur le terrain de votre choix à Brindelton Bay
Vous activerez le défi de terrain vie simple
Vous devez adopter au moins un chien et un chat, si vous en voulez davantage, vous pouvez
Vous n’êtes pas obligés de vous marier
Vous pouvez avoir recours à n’importe quelle manière pour avoir des enfants (naturellement, adoption ou bébé éprouvette) mais vous aurez deux enfants maximum
GEN 3 (bleu) :
Vous avez été l’enfant surdoué de votre famille. Diplômé du baccalauréat en avance, et entré à la fac alors que vous étiez encore adolescent, vous faites la fierté de vos parents.
Vous avez visé le diplôme prestigieux d’histoire dans un seul but : Devenir militaire et vous engager dans l’armée.
Malgré vos rêves de grandeurs, vous gardez une petite place dans votre cœur à votre désir de devenir un jour parent, et espérez parvenir à lier une vie de famille et votre carrière très prenante.
Ville : Oasis Springs
Aspiration : Culturiste
Carrière : Militaire (Vous pouvez installer ce mod pour avoir une carrière militaire active ! (https://modsims4.fr/carrieres/carriere-militaire-active/)
Compétences : Fitness
Pendant l’adolescence de votre sim, vous devrez lui faire atteindre le niveau maximal dans deux compétences de votre choix (en plus de lui faire obtenir un A au lycée) afin qu’il puisse passer son baccalauréat en avance.
Sachez également que pour débloquer le cursus “histoire” à la fac, vous devez pratiquer les compétences logique, charisme et recherches et débats (sans pour autant avoir besoin de les compléter au maximum)
Règles & objectifs :
Vous débutez sur le terrain de votre choix à Oasis Springs, une fois votre diplôme d’histoire obtenu. Avant, vous pouvez vivre ou vous le désirez.
Vous devez vous marier
Vous aurez un enfant unique (naturellement, bébé éprouvette ou adoption)
GEN 4 (marron) :
Même si vos parents militaires ont fait de leur mieux, vous avez souffert de ne pas avoir vécu la même vie de famille que vos amis de l’école.
Oasis Springs ne vous convient plus, et depuis vos vacances passées à Chestnut Ridge pendant votre enfance, le monde équestre vous a attiré.
Vous désirez plus que tout au monde vous éloigner de l’armée qui vous a volé vos parents, et souhaitez participer à tous les concours équestres possibles et inimaginables.
Vos parents comprennent votre choix et vous soutiennent.
Si bien, qu’ils vous payent un terrain vaste ou vous pourrez vivre dignement votre passion pour les chevaux.
Ville : Chestnut Ridge
Aspiration : Cavalière de championnat
Carrière : Aucune (vous vivrez des concours hippiques et d’autres activités indépendantes si vous le souhaitez)
Compétences : Equitation
Règles & objectifs :
Vous débutez à Chestnut ridge, sur le terrain de votre choix
Le mariage n’est pas obligatoire
Le nombre d’enfant pour cette génération est illimité
14 notes · View notes
satinea · 5 months
Text
Vieillir, c'est chiant.
J’aurais pu dire :
vieillir, c’est désolant,
c’est insupportable,
c’est douloureux, c’est horrible,
c’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –
mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect »,
« En hommage respectueux »,
« Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.
J’ai failli la gifler....
Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.
J’ai pensé que… » Moi aussitôt :
«Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.
– Parce que j’ai les cheveux blancs?
– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-
- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?
–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?
– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages,
Ni aux spectacles, ni aux livres,
Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve.
La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant
soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge? Non, Mozart.
Les mots de ma vie de Bernard Pivot.
18 notes · View notes
lerefugedeluza · 6 months
Text
youtube
Parfois, j’ai l’impression que toute ma vie n’est qu’une succession d’échecs. J’ai 28 ans, beaucoup me disent que c’est encore jeune, mais moi ce que je vois, c’est que j’arrive à un moment où il est de moins en moins facile de réaliser ses rêves, tant on est de plus en plus embourbé dans ses problèmes d’adulte. Le texte de cet vidéo a été écrit à un moment où mon chagrin, ma colère et ma lassitude se sont toutes déversées sur moi, d’où son côté chaotique et désespéré, mais youtube me sert aussi de thérapie, et là j’avais besoin d’exprimer tout ça maintenant. J'espère que comme mes autres vidéos, celle-ci vous touchera, que me mots résonneront en vous et vous feront vous sentir moins seuls ♡ Bon courage à tous 🌻 (Merci de toujours me donner de la force en aimant, commentant et partageant mes vidéo !)
16 notes · View notes
iranondeaira · 2 months
Text
Tumblr media
« Aussi terrible que cela puisse être, je veux connaître la vérité, docteur. Est-ce qu'être humain est une maladie incurable ?
- Par Quino
Disons que « rien n’est plus long que la véritable naissance d’un être humain » et qu’une fois engagé sur le chemin il n’y a pas de retour possible …
D’aucuns diront " telle est la voie " , il n’y a juste aucune carte qui indique le chemin, la voie est cachée, "les morts la gardent " diront d’autres, ( désolé pour les réfs, je crois que "j’aime" amener l’autre sur des sentiers qu’il ne pense pas à emprunter … ) mais ces autres ne savent pas à quel point ils ne sont pas loin de toucher juste, ils ne savent pas qu’ils ne savent pas … après tout la composante à laquelle je fais allusion par " énigme " est dans son essence extrêmement difficile à saisir, tellement qu’on l’écarte consciencieusement je dirais même …
Vous pouvez en trouver des traces un peu partout … cela demande de s’aventurer … loin … Un certain R. Carter pourrait vous désigner d’un doigt lunaire un escalier qui descend, un café saupoudré d’épice à l’odeur de cannelle tendu par un colonel devenu vieux égaré dans un autre désert que le sien ( vous avez le choix du désert quoiqu’une ancienne légende laisse entendre à l’instar des océans qu’ils ne sont qu’une seule et même étendue de sable ) peut vous amener entre … Une grande armoire au fond d’un grenier, un échangeur d’une gare d’où partent de nombreuses traverses , un terrier, le pont d’un baleinier de l’ancien temps où d’un autre vaisseau , une vielle carte au trésor d’une île imaginaire d’une cité qui rêve … un petit théâtre parisien où ne se joue qu’une seule et même pièce d’un vieux rhinocéros ceci en attendant un certain G qui ne vous aidera pas en définitive et la pluie vous poussera peut-être à pousser la porte d’une vielle librairie ou un vieux libraire vous déconseillera un certain livre car " il n’est pas pour les enfants" … et sans savoir pourquoi vous " l’emprunterez " … en vous disant que vous le rapporterez car vous n’êtes pas un voleur quand bien même certaines choses se volent car personne ne peut vous les donner … vous essayerez de regarder entre l’encre et le papier telle cette histoire d’un perroquet qui se mirant dans un miroir chercha la troisième face … vous vous essayerez peut-être à une partie d’échec contre vous-même touchant par là même ce que les " quatre cavaliers " ( les principaux ) ont exploré sans cesse et dont ils n’ont fait que pousser la porte bien qu’ils aient ouvert la voie, vous pourrez même l’entendre entre les notes de musique d’une chanson car paraît-il que la musique donne à faire pénétrer dans les oreilles ce qui n’y est pas communément admis … du moins si vous prêtez l’oreille aux paroles ( Ne me quitte pas est beaucoup de choses mais en rien une chanson d’amour , la version de Barbara elle si ) …
ha oui et méfiez vous des mots 🎶 Les mots que vous employez n'étant plus "les mots"
Mais une sorte de conduit
À travers lequel les analphabètes se font bonne conscience… 🎶 ils se jouent de nous …
La vie est une énigme dirait une sorcière … et une réalité à vivre répondrait une autre … allons voir plus loin si vous le voulez bien pensera le marin …
D’aucuns vous diront que ça n’arrive que dans les films en oubliant ( mais ils ont oublié tellement de choses ) que les films sont une fenêtre ouverte sur … et qu’ils jouent eux-mêmes dans leur propre film sans savoir de quel côté ils sont , dans la salle où sur l’écran … tas de viandes parmi d’autres dans un troupeau parmi d’autres…
On vous parlera peut-être d’une salle des miroirs , de l’autre côté … je vais vous dévoiler un " secret " j’ai longtemps cru que c’était cet endroit qu’il fallait trouver … beaucoup le croient et je n’ai compris pourquoi que très récemment pourquoi on n’allait pas au-delà … au-delà est ce dont parlait un ermite aveugle dans un désert sur une planète de dunes … un lieu où paraît-il les femmes ne peuvent pas aller du moins est-ce les dires de sorcière qui tamisent les gens tels du matériel humain à polir … j’en ai discuté longtemps et souvent avec une de celles que je nomme les Sorcières en allusion hommage au surnom de ma mère donné par des confrères et collègues en références à cette histoire contée dans un grand livre et quelques films ( qu’elle ironie d’ailleurs qu’aujourd’hui ce livre revienne … quand on connaît les tenants et aboutissants… une tempête vient du désert … du plus profond de nous … ) j’en ai discuté souvent disais-je et j’ai fini par trouver pourquoi elles ne pouvaient pas ( du moins en partie) , il est difficile d’aller dans un endroit où vous êtes … la femme avec qui j’ai cette longue discussion depuis plusieurs années n’émettait aucune objection quant à cette " conclusion " oui il est difficile d’aller dans un endroit où vous êtes … Oui il y a un " lieu " où on n’aime pas regarder …
Et ce que ne disent pas ( Hormis si vous rencontrez un Stalker ) les contines les contes ou les légendes inachevées c’est qu’on n’en revient pas inchangé ni même indemne ( ou l’inverse ) … il y a toujours une pancarte avec une mise en garde " ne vous approchez pas du bord " " ne regardez pas en bas " …
Et très souvent dans les contes de fées " à la fin ils meurent tous " … c’est là que réside une des clés, celle qui vous amènera à rencontrer votre Ghola … et vous donnera à faire de vous avec ce que l’on a voulu faire de vous jusque-là …
4 notes · View notes
Text
Tumblr media
«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
11 notes · View notes
Text
Tumblr media
Les Messagers de la Bonté
Ruche occupée sans repos à la fabrication du miel, nous sommes engagés dans l'urgence de changer en bienveillance tout ce que nous traversons.
Ta main est celle qui a traîné une pierre pour finir un aqueduc, la main qui soigné une blessure sur un champ de bataille, la main qui a sauvé quelqu'un enfermé dans un temple qui était en feu, la main qui a tenu la tête gémissante d'un moribond.
Et c'est notre façon d'être gentil : aider les choses à grandir. L'arrosage des graines peut changer le monde, mais la chance d'arroser peut changer notre vie, puisque le noyau de la gratitude est de donner et de recevoir. Ce sont les vraies relations qui nous maintiennent en bonne santé.
Je vous encourage donc à créer votre propre pratique d'arrosage des graines. Je vous encourage à arroser la fleur dont vous rêver et que vous réveiller dans votre main. Je vous encourage à être là pour les autres afin que vous puissiez découvrir ensemble ce que signifie donner et recevoir.
Je vous encourage à raconter des histoires sur le don et la réception, en particulier aux jeunes, afin qu'ils puissent témoigner de leur gentillesse, tout en réparant le monde à leur tour.
Le seul code moral qui dure est celui de l'entraide. De la Bonté. Sous tous nos rêves et destinations, nous nous précipitons simplement les uns vers les autres lorsque nous tombons, de la même manière que les globules blancs se précipitent sur une blessure. C'est élémentaire.
La santé du monde et de nos coeurs dépend de ce simple réflexe d'arrêter ce que nous faisons et d'aider.
Mark Nepo
Quelle grandeur d'âme se devine dans ce texte, c'est divin !
J'offre toutes mes prières pour que la Bonté soit toujours en haute bienveillance et que les "Grands"si petits par leur esprit, puissent s'approprier ce texte pour un monde nouveau, meilleur, à faire ensemble !
12 notes · View notes
selidren · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Automne 1921 - Champs-les-Sims
9/10
Et il ne faut d'ailleurs pas oublier que cette femme a élevé des enfants remarquables pourvus d'une grande intelligence et très entreprenants. J'ai eu la chance de rencontrer Hélène, la cadette de la fratrie et dernière fille de Madame Eugénie, qui est entrée dans les ordres à vingt ans et qui s'est élevée au sommet de sa congrégation en moins de deux décennies. Elle ressemble à s'y méprendre à sa mère et il lui suffit de prononcer un mot pour comprendre que l'on a affaire à une femme brillante. De ce que j'en sais, Lucrèce était donc d'une volonté inébranlable, tout comme son frère jumeau Maximilien dont je pense que vous connaissez les mérites aussi bien que moi. Marc-Antoine ne tarit pas d'éloges à son sujet dans ses lettres, où il m'explique qu'il rêve de devenir comme lui. Constantin m'a confié qu'il n'approuve pas cette admiration sans bornes, mais qu'il ne veut pas non plus décevoir son fils en lui avouant que son grand-père était un homme à l'intelligence redoutable, mais aux tendances manipulatrices tout aussi redoutables. Je suis toujours ébahie de voir à quel point Constantin a fait facilement le deuil de son père alors que celui de sa mère n'est toujours pas possible. Maximilien Le Bris est sans doute celui de cette fratrie que je connais le mieux, que ce soit par Constantin et Adelphe, qui dressent de lui le portrait d'un patriarche d'une volonté de fer et ayant à coeur le bien de sa famille, mais qui pouvait se montrer également insensible et impitoyable.
Transcription :
Eugénie « Quand j’ai épousé André, j’étais jeune et pétrie d’amour, je n’avais même pas vingt ans. Il m’a fallut des années pour me rendre compte que cela était un mensonge et que seul mon argent l’intéressait. Puis sont venues mes filles. Lazarine est morte parce qu’elle n’a jamais pu mener la vie qu’elle voulait. Lucrèce… oh ma chère Lucrèce, je n’ai jamais su ce qui lui était arrivée, mais la maladie l’a enchaînée à nous à jamais. J’ai enfermée ma petite Daphné dans un mariage sans amour dont seul sa simplicité l’a préservée… Et je t’ai déjà parlé d’Hélène. Pour une femme, les choix sont limités, même de ce temps nouveau. Nous avions toutes des rêves, des aspirations, des envies de grandeur. Et combien de destin broyés que je ne t’ai pas narré... »
Arsinoé « Et Tante Rose ? »
Eugénie « J’ai eu tort de la brider, car elle seule a réussi à accomplir ce à quoi elle aspirait et pourtant… Depuis que son Zéphir est mort (paix à son âme), elle n’est plus que l’ombre d’elle même… Tes sœurs sont uniques, elles trouveront leur voie, mais elles s’engagent sur des chemins où je ne peux les seconder. Toi, tu pourras être la première à enfin compter et à briller en pleine lumière. »
Eugénie « Ecoute moi bien, je t’en prie. Tu as vu les efforts que j’ai déployé pour que tu puisse t’emparer de tout cela. Dès que je t’ai vue, je me suis jurée de te donner tout ce que tes tantes et tes grandes-tantes n’ont pas pu avoir. J’ai tout fait pour te préparer, je ferai encore tout ce que je peux pour t’aider à réaliser cet objectif. »
Arsinoé « Mais… et si je veux autre chose ? »
Eugénie « C’est de toi même que tu es allé te placer sous la tutelle d’Adelphe n’est-ce pas ? Il est donc assez évident de deviner ce que tu veux. »
Arsinoé « Comment pouviez vous en être sure ? »
Eugénie « Car toute mon éducation t’y a conduite. Et aujourd’hui, tu y es. Tout le monde ne cesse de me dire du bien de toi : tu es belle, brillante, investie et responsable. Je n’aurai pu rêver mieux. »
Arsinoé « Ce que vous me dites, c’est que tout était écrit à l’avance pour moi. Ou plutôt que vous avez écrit le roman de ma vie avant même que je sache parler ou marcher. Ai-je déjà eu le choix ? »
Eugénie « Tu as toujours eu le choix. Et grâce à moi, tu as fait les bons à chaque fois. »
6 notes · View notes
oviri7 · 3 months
Text
Tumblr media
« Tout, alors qu’il approchait de la mort, lui paraissait maintenant irréel. Quel était donc cet envoûtement qu’on avait appelé vivre? Perdu dans les vapeurs de souvenirs qui se confondaient imperceptiblement avec les formes mouvantes d’un monde qu’on ne pouvait étreindre, il disparaissait déjà en pensée, orphelin de sa substance, son être ne croyant plus en sa propre réalité. Les yeux embués, il demeurait silencieux, comme happé par la vision méduséenne d’une éternité qui retire son masque pour vous suspendre à son regard. Tout était fini à part l’énigme. Et tandis que l’oubli posait ses mains glacées sur son front pour lui donner son baptême de ténèbres, il lui semblait que tout n’avait été qu’un songe, que sa vie, aussi longue fût-elle, était passée comme un peigne glissant dans les cheveux du rêve. »
Ariya S.
3 notes · View notes
lisaalmeida · 1 year
Text
Vivre une vie libre
Quel que soit, au monde ta venue,
vis libre,
Profite de ses joies,
Rie et surtout,
Vibre.
Préfère mener ta vie en étant l’acteur,
Sinon tu la subis si t’en es spectateur.
Ose réaliser certains rêves d’enfant,
En ayant un regard curieux et innocent.
Il ne suffit pas de vouloir, pour " réussir ",
Ni, penser, croire, espérer, tu dois agir !
S’il t’arrive de donner, donne avec amour,
Sans rien espérer recevoir en retour.
Il se peut que tu aies des instants de peine,
Dans ce qu’il arrive que t’en aies
" la haine ",
Que tu trouves injuste ou,
Te sentes, trahi,
Abandonné ou, que tout te semble fini.
Dans ces moments là, entends
ce qui vibre en toi,
Quel que soit ce que tu ressens, tu "grandiras"
Car la vie est la somme d’expériences,
Que nous abordons avec nos "appétences !"
Rien n’est vraiment important,
ne l’oublie jamais,
Ou plutôt, c’est l’idée que l’on s’en fait
qui l’est !
Ce n’est qu’en lâchant toutes tes certitudes,
Certaines de tes croyances et habitudes,
En ayant, un regard objectif et posé,
Sur tes expériences présentes
et passées,
Que tu pourras enfin appréhender la vie,
En toute liberté à en être épanoui.
Vis ta vie et prends en soin,
c’est un bien précieux,
Il ne tient vraiment qu’a toi,
d’y être heureux !
Tumblr media
23 notes · View notes
cruelviolence · 2 months
Text
S’ouvrir me fait peur
J’ai peur de m’ouvrir mes sentiments pour toi
Et j’ai envie de me débloquer
Briser ce mur qui m’empêche de t’aimer
J’ai peur de tout foutre en l’air
L’amour n’a jamais été fait pour moi
C’est pour ça que j’ai du accepter de vivre avec ma solitude
Je n’arrive pas à aimer quelqu’un
Même moi je n’arrive même pas à m’aimer car j’ai perdue toute ma confiance
Alors je rêve de toi comme si tu m’avais accepté dans ta vie
J’ai toujours peur de m’ouvrir à quelqu’un
Car ce n’est pas facile d’avouer ses sentiments
L’amour existe chez les autres
Mais pas chez moi
Si tu savais j’aimerais apprendre à connaître l’amour pour la première fois
Connaître quand deux corps étrangers se rencontrent
Et se touchent peau contre peau
Pour déclencher la flamme
Entendre ton souffle et parcourir tes lèvres comme une addiction
Je veux t’appartenir et te donner mon cœur
Mais je ne penses pas y arriver
Car je suis toujours dans ma mélancolie
3 notes · View notes
falco-jeanny · 3 months
Text
Je sais ma vie
Je sais ma vie, je l’ai ratée Je sais ma vie, je l’ai gâchée Mais laisse-moi au moins ma chance La chance de tout recommencer La chance de pouvoir te donner Ce que tu attendais de moi
On se réveille un beau matin Et on n’a plus envie de rien On a perdu le goût de vivre Alors on voudrait en finir Y a des jours où on voudrait mourir Quand on est seul à tout jamais
Et je reste tout seul avec mes souvenirs Des photos, des objets qui me parlent de toi Si quelques fois la nuit j’arrive à m’endormir Je rêve de ton corps, je rêve encore à toi
{au Refrain}
Bien sûr, on veut changer de vie Et puis on veut changer de ville On cherche même une autre fille Une fille qui te ressemblera Qui fera l’amour comme toi Une fille qui m’aimera
Mais je me fous du monde entier Et je me fous des autres filles J’attendrai bien que tu reviennes Si tu ne reviens pas bientôt Je te jure, je me fait la peau Tiens voilà que je perds la tête
2 notes · View notes