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#merci à eux de nous avoir fait rire et pleurer!
spockette11a2b · 5 months
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Je me sens vide.
C’est bizarre, tu te dis ce n’est que des youtubers, tu ne les as jamais rencontré, et puis ce n’est pas comme si ils arrêtaient tout. Et pourtant, ça me touche beaucoup cette annonce. Voilà Vilebrequin c’est fini!
Peut-être que c’est la soudaineté de l’annonce qui me donne cette impression d’abandon. Une semaine ils prennent un rond point à 130 et celle d’après, ils disent au revoir. Comme ça, sans préavis, sans indication au préalable.
Je ne leur en veux pas, ce n’est pas une critique. En vrai, je comprends leurs décisions. J’ai toujours détesté les séries qui ne savent pas s’arrêter à temps (looking at you spn).
Et honnêtement, après le 1er gp et le mondial de l’auto ça s’est vu que Sylvain était à bout. Surtout dans la vidéo où ils ont fait voler la voiture. J’avoue que je ne sais pas si cette vidéo a été tournée avant ou après le gp, mais ça m’a vraiment marqué de voir Sylvain dans cet état où tu sentais qu’il tirait sur la corde.
Ce qui me manque aussi avec cette annonce, c’est la réaction des gens. Je m’attendais a un peu plus de bruit du côté d’autres youtubeurs mais à part Etienne Moustache, j’ai rien vu passer pour les saluer. Ok ils sont pas mort et ils s’arrêtent pas d’être présent sur les réseaux, mais quand même, ça manque de réaction envers Vilebrequin en tant que soi.
Après comme j’ai toujours beaucoup été dans des fandoms actifs où dès qu’il se passe quelque chose on en entend parler pendant 3 jours, c’est plus dur d’accepter la chose quand je vois pas de réaction d’autres personnes…
Bref tout ça pour dire, qu’ils auront été une hyper fixation pendant presque 2 ans (bien que je les regardais avant mais je suis devenue vraiment fan qu’il y a 2 ans) et que maintenant il n’y aura plus rien. J’ai du mal à m’y faire. Ça m’a bien mis un coup sur la tête. Comme une rupture qu’on voit pas venir ou comme arriver à la fin totalement inattendu d’un bon livre, il y a cette espèce de dépression « post bonne chose », à laquelle il faut un peu de temps avant de pouvoir s’y faire. Là c’est pareil, je vais avoir besoin de temps pour digérer la nouvelle et pouvoir passer à autre chose…
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christophe76460 · 6 months
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04-136 Gentillesses sur ses camarades de classes !
https://soundcloud.com/jlgaillard/gentillesses-sur-ses-camarades-de-classes
Parmi tous mes élèves, Henri était mon préféré. C'était un enfant bien spécial, très espiègle mais cela le rendait encore plus aimable. En revanche, c'était un bavard invétéré. Si souvent je lui avais dit qu'il ne devait pas parler sans ma permission mais il répondait toujours, avec une sincérité désarmante :
« Merci de me corriger. Je vais faire un effort ».
Un jour, perdant mon contrôle à son égard, et ce, devant toute la classe, je lui mis sur la bouche un morceau de papier collant. Je le lui avais promis s'il parlait encore et je dus m'exécuter.
Quand je le regardai de nouveau, il me fit un clin d'œil. Je ne pus m'empêcher de rire et du coup je lui retirai son bâillon devant les acclamations de toute la classe. Et de nouveau je l'entendis me dire:
« Merci pour la correction, Madame, je vais faire un effort ».
Je quittai Henri pendant quelques années car on m'avait demandé de faire la géographie aux élèves de classe supérieure. Finalement, je le retrouvai dans ma classe, toujours aussi espiègle et agréable.
Un jour, je sentis les élèves très tendus à cause d'un travail trop intensif et je compris qu'il fallait leur permettre de se détendre avant de continuer.
Je leur demandai alors d'écrire sur une feuille la liste des élèves de la classe et de noter en face de chaque nom ce qu'il pouvait dire de plus gentil sur chacun.
Quand ils eurent fini, je pris une feuille pour chaque élève et je copiai dessus tout ce que les autres élèves avaient dit à son sujet. Et je donnai à chacun sa feuille. Une atmosphère de détente se fit sentir dans la classe. Et on pouvait entendre ici et là des exclamations : « ça alors, c'est incroyable ! » ou « je ne pensais pas qu'on m'aimait autant ! » Puis le travail reprit et la liste sembla oubliée.
Quelques années plus tard, mon père me dit un soir de façon très sombre :
- Tu te souviens d'Henri Lefèvre. Ses parents ont téléphoné hier. La nouvelle va t'attrister car ils m'ont annoncé la mort d'Henri. Il a été tué dans un accident de voiture. On l'enterre demain. Ses parents aimeraient que tu sois là.
Je le vis une dernière fois dans le cercueil. Toujours aussi beau. Il avait l'air paisible.
Tous ses amis et anciens camarades de classe étaient là aussi. Une personne s'approcha alors de moi et me demanda:
- Il me semble que vous étiez son professeur de géographie. Henri nous a souvent parlé de vous.
Après l'enterrement, nous fûmes invités chez les parents d'Henri. La plupart de ses anciens camarades étaient là aussi. Le père d'Henri sortit de sa poche une vieille feuille de papier usée, et me dit:
- Cette feuille était dans les papiers d'Henri quand il a eu l'accident. Savez-vous de quoi il s'agit ?
Bien sûr que je savais. J'avais tout de suite reconnu ces appréciations que j'avais écrites moi-même des années auparavant. Elles contenaient toutes les gentillesses que les autres élèves avaient écrites sur lui.
Sa mère me dit :
- C'est merveilleux que vous ayez fait cela. Il avait été très touché. La preuve, il a toujours gardé ces feuilles avec lui.
Et, à ma grande surprise, tous les anciens élèves présents vinrent me voir pour me dire qu'ils avaient eux aussi gardé cette liste avec eux, l'un dans son bureau, l'autre dans ses papiers importants, etc. L'un d'entre eux me montra même cette feuille tirée de sa poche en me disant :
« Elle ne me quitte jamais »
Je n'ai rien pu dire et je me suis mise à pleurer.
Il y a des choses qu'on fait dans la vie sans être conscient de leur importance, et qui peuvent avoir un tel impact sur ceux qui sont autour de nous...
#spécial #élève #vie #conscient #importance #impact #autour #pleurer #feuille #papier #poche #tirer #quitter #ancien #surprise #présent #voir #garder #liste #preuve #appréciation #approcher #bureau #accident #noter
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lundi 14 octobre
salle B205, j’ai 1/3 du groupe Irlande de 13h à 14h (cette fois je ne suis pas à Lodève)
les élèves ont l’air sympa, ils disent bonjour, ils ont l’air vivant·e·s, ils ont des cheveux et des yeux qui le prouvent
on écoute la carte postale sonore que je leur ai fabriqué, à la fin personne ne veut commenter, mais j’en ai vu plusieur·e·s qui ont failli applaudir quand la bande-son s’est terminée
je leur lis une lettre où je leur explique que j’ai passé beaucoup de temps à essayer de préparer cet atelier sans le préparer, puisque ce n’est pas un atelier
je leur explique le rêve de la rencontre telle qu’imaginée sur le papier, que ce ne soit pas l’intervenant·e adulte qui apporte l’idée ou le savoir ou le projet
mais que ce soit quelque chose qui vienne naturellement, avec le temps et les échanges
c’est ça, la tentative de rencontre
passer du temps ensemble, s’apprivoiser, rire et parler et écouter, pleurer des fois peut-être, s’engueuler des fois peut-être - passer du temps quoi
et que la forme de la rencontre émerge doucement
pour l’instant c’est moi qui leur écris, mais les choses se feront petit à petit, je suis confiante parce qu’ils sont vivant·e·s et que le groupe a déjà l’air d’être un groupe, et pas un tas d’individus épars
bon, aujourd’hui je leur ai amené des bonbons, 5 sortes, ils doivent choisir collectivement quel paquet on va manger
il y a des tagadas, des dragibus, des oeufs, des bananes et des qui-piquent
au début ils ne comprennent pas, ils lèvent tous le doigt pour choisir chacun pour soi
je leur dis que non, que ce n’est pas ce que je propose
ils doivent se débrouiller pour choisir collectivement le paquet qui sera mangé par le groupe tout entier
c’est assez rapidement la cohue, pendant qu’une fille essaie de parler, une autre se lève et va au tableau, elle chope un marqueur et commence à faire des colonnes
d’autres filles font le tour de la classe pour un espèce de premier sondage sauvage des âmes, elles viennent me dire que les oeufs et les bananes sont éliminés d’office
quelqu’un est un peu déçu par le rejet massif des bananes, mais pas assez pour rouvrir le débat collectif, la personne hausse les épaules et retourne vers le tableau
les jeunes ne s’écoutent pas trop entre eux, une fille restée assise dit que c’est bon, qu’on va pas passer 3h à se prendre la tête pour choisir un paquet de bonbons
il y a discussion pour savoir comment on compte les voix, puisque c’est visiblement un vote à main levée qui se met en place
faut-il comptabiliser les bonbons que les gens n’aiment pas ? ou les bonbons que les gens aiment ? 
on commence par la solution 1 (voir schéma ci-dessous)
c’est les qui-piquent qui gagnent, avec seulement 3 personnes qui n’en veulent pas
par acquis de conscience, je demande quand même qu’on vérifie via la solution 2
on compte les doigts levés ; ça fait autant de personnes qui aiment les dragibus que les qui-piquent 
(les tagadas perdent haut-la-main, de toute évidence c’est dépassé, et je me prends un petit coup de vieux)
on ouvre donc les qui-piquent, et pendant ce temps je demande à ceux et celles qui n’ont pas participé pourquoi ils ne l’ont pas fait
je ne sais plus trop comment, mais lors de cette discussion émerge l’idée que ça aurait peut-être été plus simple que je choisisse pour eux
voire que je choisisse pour eux sans leur dire que le choix existait, et que j’avais 4 autres paquets dans mon sac
par exemple, si j’avais donné d’emblée les bananes que personne n’aime, ils se seraient dit que c’était déjà ça, ils les aurait mangés quand même - ils auraient même peut-être été contents
sans savoir qu’ils étaient passés à côté des qui-piquent
et c’est vrai que ça aurait plus rapide, plus simple, et également plus économique pour moi
après tout, j’aurais économisé 4 paquets de bonbons
je sens que certains de la classe (surtout certaines, en vérité) comprennent le parallèle avec la question politique, ou en tous cas s’y intéressent
qui dirige et comment, et choisit quels bonbons vont manger tous les autres
et que si le chef t’offre des bananes, tu dis merci et tu te tais, parce que c’est toujours ça de pris, et que de toute façon tu ne sais même pas que tu aurais pu avoir mieux
et ce qu’on ignore ne peut pas nous rendre triste, donc....
on en parle dans un bordel relatif, jusqu’à ce quelqu’un propose de clôre le débat, parce qu’on a une liste à faire et que ça va bientôt sonner
quand Mme G. revient elle rit
elle dit que j’achète les élèves avec des bonbons
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philippinesvsusa · 6 years
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12ème weekend et 11ème semaine de cours
Samedi, j’ai passé la journée à la répétition de théâtre de 9 à 20 heures pour répéter les changements de costumes. Dimanche, le temps était à nouveau beau et le soleil était splendide. J'ai passé l'après midi dans le jardin à lire. 📖📚
Lundi, marquait le début de la semaine du spectacle! Normalement, je n'avais pas école mais j'ai eu répétition de théâtre toute la journée. Nous avons travaillé les changements de maquillages. Pour les statues, mon visage est couvert de gris et j'ai passé des heures à nettoyer ça. 🎭 Après j'étais sensée mettre du fond de teint et accentuer les traits de mon visage mais j'ai pas eu le temps et j'ai galéré. Oups … J'ai même failli laisser mon maquillage de statue avec mon costume de banquier. 👨‍💼 Aussi, ce jour là, on a reçu les tshirts.
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Mardi, j'ai manqué l'entraînement et j'ai fait pareil toute la semaine… Que voulez-vous, la chaleur de mon lit était trop comfortable. 🛏 En espagnol, toute la semaine a été consacrée à Halloween et le jour ds morts. Dans la soirée, nous avons eu répétition. Du coup, je n'ai pas été au life group. Et en rentrant ce soir-là, mes parents etant encore au dîner, j'etais dans un maison noir. Et en voulant aller dans ma chambre j'ai hurler et sauter en voyant un énorme cafard. Comme une couillonne, j'ai envoyé un message à ma maman d'acceuil qui m'a dit être en route pour me sauver et j'ai attendu en regardant la bestiole. Jusqu' au moment où elle à bouger et j'ai commencer à courir pendant qu'elle me suivait. Épique! Finalement j'ai lancé une scandale et mon papa d'acceuil l'a tué. Ouf. Ce soir là j'ai inspecté mon lit trois fois. 🐜
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Bernard le cafard dans la lumière de mon flash de téléphone
Mercredi, dernière répétition de théâtre avant le grand saut! Nous avons échangé à nouveux des cadeaux en théâtre. J'ai reçu des m&m's et un stick à lèvre parfum caffé.☕ Pour ma part, j'ai donné une carte et des chips. Ce jour là, 31 Octobre, c'était Halloween mais à cause de cette répétition tardive je n'ai pas célébrer l'événement.🎃👻👿 Ma famille d'acceuil était à une fête organisée par l'église avec hot dogs, concours de tarte, bonbons et fillms. 🍬🍭🎂 😭 J'avais également été invitée à aller à la “maison hantée” mais j'ai du décliner. Quoi qu'il en soit, cet Halloween a été décevant pour de nombreux enfants car une petite tempête s'est abattue sur la ville et pluie et grêle ont dissuadé enfants et parents de faire le tour de maisons. Je m'excuse mille fois pour ne pas avoir pris de photo mais durant Le mois dernier de toutes les décorations de cette fête. Entre faux cimetières où les morts prennent vie, sorcière cachée dans les arbre et immense araignée ou chats gonflbles bougeant mécaniquement, le musée des horreurs avait pris vie dans la ville. Ce jour là, je n'ai peut-être pas eu Halloween mais j'ai reçu une merveilleuse lettre de Belgique. Merci papy, mamy !
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Le lendemain, une fois à l'école à 7h30, nous avons commencé les maquillages pour une représentation destinée aux classes de “sophomore”. Le maquillage de statue prend du temps et je me bagarre avec les différents tubes. En raison du manque de temps, nous n'avons joué que l'acte 1 mais les rires, l’émerveillement et les acclamations étaient présents. Je ne sais pas si je vous ai jamais dit. Dans le spectacle, je fais parti des ensemble et je n'ai donc pas de rôle propre mais je danse et cgante pour meubler la scène. J’ai donc 4 costumes différents et maquillages. Pour tout vous dire je ne fais que le maquillage de statue car je n'aime pas les autres produits, mais chuttttt. 💄👝 l'un des moments les plus chouette sur scène est quand les statues prennent vie car le public explose d’émerveillement. Ensuite, nous avons eu une dernière répétition durant laquelle je me suis endormie. Oups, oui j'ai loupé ma scène. Et enfin l’avant première! J'étais fatiguée mais tout de même heureuse. Oh je ne connais toujours pas les paroles des chansons du coup je chante “ watermelon, watermelon, watermelon”. ( Ca veut dire pastèque, lol)
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Vendredi, nous avons colorier un calavera en Espagnol. En art, nous avons commencé un projet d'une bouteille peinte avec une célèbre oeuvre d'art. En histoire, fait rigolo une des étudiante avait une poupée qui ne cessait de pleurer. Pour vous placez dans le contexte, il y a un cours de développement enfantin à l'école et tout les etudiants qui le suivent doivent s'occuper de poupées. Ils doivent les emmener en cours, cgez eux, à la messe, les nourir, les changer et les calmer quand ils pleurent. C'est plutôt comique et inhabituel pour moi. 👶👶👶 Dans la soirée, j'ai voulu faire des Piroski, recette russe, mais la pâte n'a jamais levée. Du coup au lieu d'en avoir une trentaine, j'en ai eu à peine dix. Ouinnnnnn. Mes parents d'acceuil ont dit que c'etait tout de même bon et qu'on reessaiyerait.
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Ce weekend va être charger car il reste encore 4 spectacles!
Bisous 😘
Emilie
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lcupiote · 6 years
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Eclipse - A story by Jack
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Elle n’aimait pas le monde.
C’est comme ça qu’on aurait pu décrire Luna aux premiers abords. Froide, distante, elle ne se mêlait jamais aux autres élèves du lycée ; mais elle m’a un jour avoué qu’elle avait juste peur de tout le monde. Peur d’être rejetée, mal comprise.
En fait, Luna avait peur du monde.
Elle était simple, Luna. Elle savait ce qu’elle n’aimait pas, ce qu’elle aimait. On savait ce qu’elle ressentait quand elle fronçait les sourcils ou qu’elle faisait cette petite moue avec ses lèvres roses qu’elle pinçait régulièrement. Ses yeux – mon Dieu ses yeux. Ils étaient d’un bleu si sombre qu’on les aurait cru noirs. Ils pouvaient vous engloutir tout entier, si vous restiez fixé sur eux trop longtemps. Mais ça n’arrivait pas souvent, parce qu’elle était toujours la première à baisser le regard par peur d’être trop audacieuse.
Ce qui m’a frappé quand je l’ai rencontrée la première fois – enfin, la seconde, puisque je l’avais déjà vue en classe – dans la salle d’arts plastiques, c’était ses dessins. Pas qu’elle dessinait horriblement mal ; elle était d’ailleurs super douée et imaginative. Non, ce qui m’a perturbé, c’était l’absence d’expression des personnages qu’elle dessinait. Les rares qui possédaient des visages terminés portaient toute cette étrange neutralité, comme si peu importait toutes les aventures qui leur arrivaient, comme si, malgré leurs corps et leur genre différents, ils étaient tous les mêmes. Je pensais, j’étais convaincu, que c’était normal ; que par ce biais-là, elle voulait exprimer quelque chose. Ce n’est qu’en apprenant à la connaître que j’ai su la vérité.
Luna ne savait dessiner ni les visages, ni les expressions.
Il a fallu un moment pour qu’elle daigne m’adresser un mot. Ma technique, c’était simplement de faire le pitre et de m’installer à côté d’elle en cours. Un jour comme ça, j’ai du trop l’agacer et elle m’a crié de changer de place. En plein cours de philosophie. Celui qu’elle détestait le plus. Au final, on a tous les deux réussis à obtenir une heure de colle un mercredi après-midi durant lequel elle me décrocha des regards qui auraient pu me tuer si elle avait eu des rayons-lasers en guise d’iris. Ça m’a fait rire. Au moins, elle me remarquait : chose dont je n’étais pas sûr auparavant.
Un mois plus tard, en cours d’arts plastiques, je lui ai demandé pourquoi elle ne terminait pas ses personnages. Elle m’a répondu : « Occupes-toi de ce qui te regarde, » mais elle n’est pas allée plus loin. Elle aurait pu me frapper. Mais elle ne l’a pas fait. Durant ce même cours, elle m’a simplement expliqué comment fonctionnait les proportions d’un corps, comme une poésie qu’elle avait apprise par cœur de son cahier de CE1. Je me suis demandé où elle avait appris tout ça et quand j’ai formulé ma question à haute-voix, elle m’a répondu « sur Internet, » avant de reprendre son activité première. Et puis je me suis rendu compte qu’elle m’avait parlé. Non pas en s’énervant. Non pas en fronçant les sourcils. Non pas en donnant l’impression de vouloir m’étrangler. Juste…
D’égal à égal.
Il a fallu quelques semaines avant que finalement, on fasse autre chose que dessiner. Après l’art, on est allés prendre un café dans un petit bar à dix minutes à pieds du lycée. J’ai payé – je suis un gentleman – malgré ses réticences et elle a choisi la table la plus au fond du bar possible. Comme si elle voulait qu’on ne nous remarque pas. Dans tous les cas, je l’ai suivi et nous nous sommes installés. Elle a siroté son chocolat chaud sans un mot, le regard fuyant et j’ai compris qu’elle était intimidée par l’endroit, par la situation. Alors bien sûr, j’ai commencé à faire le pitre. Ça à détendu un peu la tension, mais sans grand succès.
Alors on a parlé de dessin. Elle s’y connaissait bien plus que moi, c’était le seul sujet que je m’autorisais à toucher et surtout, le seul sur lequel elle s’ouvrait quasi-instantanément. Elle avait déjà attrapé un crayon pour gribouiller son monde sur la serviette du bar, pour me montrer ce qu’elle voulait me dire. J’ai trouvé ça marrant et attendrissant. On s’est séparés et elle avait l’air beaucoup plus décontractée qu’avant.
On a continué à parler. Le dessin, le dessin, le dessin. Toujours. On n’osait pas aller plus loin. Parfois, on parlait de mangas, de styles qu’elle préférait. En philo’, je l’aidais à se cacher, ou à comprendre ce que la professeur essayait désespérément de nous faire comprendre. Les auteurs, les textes, tout ça, on voyait bien qu’elle n’en avait rien à faire. Du moment que la prof’ la laissait tranquille, elle était OK. Moi, je la regardais. C’est à ce moment-là que j’ai compris qu’on n’apprend jamais plus qu’en observant les gens faire ce qu’ils aiment. Et Luna, j’adorais la regarder.
Bref. Un jour, en cours d’art, j’ai eu une idée un peu idiote. Il fallait qu’on fasse un truc à deux pour la fin de l’année, qui serait exposé dans le hall du lycée. Une sorte de petite exposition, juste pour nous, parce qu’on savait que très peu étaient les élèves qui prendraient le temps d’observer notre travail. Mais on ressentait quand même une certaine fierté. Luna, elle, n’aimait pas vraiment exposer ses dessins, puisqu’elle ne les finissait jamais. Ou parce que ça attirerait l’attention sur elle. Enfin, je lui ai proposé qu’on fasse un truc un peu fou. Un manga ensemble. On travaillerait sur l’histoire ensemble, elle aurait la charge des personnages et moi, des visages, pour les différencier. Ironiquement, c’était moi qui était le plus doué pour les visages, parce que c’était le truc que je foirais le moins dans un dessin. J’imagine qu’à force de pratiquer uniquement les visages, j’étais devenu doué.
Elle a accepté. Je crois que c’est vraiment ce jour-là que tout a vraiment commencé.
On se retrouvait après les cours pour parler. On allait toujours dans le même café. On commandait toujours la même chose. On écrivait toujours dans le même carnet. Elle relevait toujours ses longs cheveux noirs en une queue de cheval épaisse, en laissant quelques mèches retomber le long de son visage. En cours de philosophie, on écrivait aussi. En fait, dès qu’on parlait, on parlait de notre projet commun. Et à chaque fois, ça dessinait un sourire sur son visage. Je pense qu’elle adorait ça, parce que ça donnait un minimum de sens à sa présence ici, dans cette classe, avec moi. Où à sa vie en général.
Enfin, on a avancé tellement vite qu’en deux semaines on avait toute l’histoire. Courte, mais le début de ce qu’on jugeait une œuvre d’art. En deux semaines de plus, et après plusieurs essais qu’elle jugeait ratés, on avait nos personnages.
La première planche nous a rapproché encore plus. Elle m’avait invité chez elle parce que ses parents étaient sortis et que, bien sûr, ils ne savaient rien de tout ça. Elle m’a confié qu’elle les aimait profondément mais qu’elle ne savait pas comment leur parler. Et j’ai sentis combien ça lui pesait. Elle s’en voulait de ne pas pouvoir leur parler comme quand elle était petite, alors elle se réfugiait dans le dessin, et que la plupart de ses dessins s’adressaient à eux. Bien sûr, elle ne les donnait jamais, mais je pense qu’ils sont heureux aujourd’hui de les avoir.
La voir aussi fragile, elle qui voulait tellement être forte, j’ai trouvé ça touchant. Je pense que je peux décemment avouer que c’est ce jour-là que je suis réellement tombé amoureux d’elle.
Nous avons continué à dessiner, ensemble, mais je n’ai jamais avoué que je l’aimais. J’ai continué à la regarder quand elle dessinait, à la taquiner pour la voir rire, et surtout, j’ai continué à tomber encore plus amoureux d’elle. Quand j’étais seul à la maison et que mes parents se hurlaient dessus, j’espérais secrètement qu’elle vienne me trouver. Un jour, je suis allé chez elle parce que justement, je ne pouvais plus supporter ça. Quand elle m’a vu pleurer, elle a paniqué et elle m’a pris dans ses bras. Elle se moquait de ce que pouvait demander ses parents : elle savait que j’avais besoin d’elle. Je l’avais tant soutenue qu’enfin elle pouvait me rendre la pareille. Ce jour-là, une fois que j’ai fini mon histoire, elle m’a sourit et m’a dit :
« Toi et moi, on est comme le Soleil et la Lune. Toi tu es le Soleil parce que tu brilles tout le temps, et moi la Lune parce que je me cache, et on a tous les deux des faces que personnes ne voit. »
Aujourd’hui, je peux dire que nous étions une éclipse. Pour deux raisons. La première parce qu’effectivement, elle était la Lune et moi le Soleil. Et la seconde, parce que nous n’avons été réunis qu’un an. Nous étions une éclipse.
Alors… En mémoire de la personne qu’à été Luna. Je voudrais que vous vous attardiez tous sur les œuvres exposées ici, dans le hall du lycée. Vous ne l’avez peut être jamais connue, mais c’était une personne exceptionnelle. J’espère qu’elle se sent bien, là où elle se trouve. Merci pour votre écoute. C’était Jack. Le Soleil Jack.
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break-the-soul · 3 years
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CHAPITRE 16
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Et la boucle a recommencé ce 11 Avril. Maudit soit à jamais ce jour. Tout est à recommencer, mais cette fois, j'ai une nouvelle information... Jimin, je sais où est Jimin, même si je n'en suis pas sûr à cent pour cent, je suis certain que mon instinct a raison et que je l'ai bien vu ce jour là, à l'hôpital. Mais que fout-il là bas ? J'en sais foutre rien, mais je le découvrirai en temps voulu.
11 Avril. Année 22. 21h.
Je viens de déposer Jungkook auprès d' Hoseok et de Namjoon. Mais n'ai pas énormément de temps. Je dois me dépêcher. Je dois retarder l'incendie de Yoongi pour me permettre d'arriver avant son déclenchement. Mais comment faire ? L'appeler ? Mais je n'ai plus son numéro. Putain ! Je tape sur le volant alors que j'attends que le feu passe au vert. Je soupire en me frottant la tempe gauche avant de voir une façade qui me donne une idée.
Mais bien sur ! Je me rappelle que Taehyung m'a avoué dans une précédente boucle que Yoongi était venu le voir pour son anniversaire. Il doit surement avoir son numéro. Et je ne l'ai pas vu au restaurant d'Hoseok lorsque j'ai déposé Jungkook. Il doit être à l'épicerie. Dès que le feu passe au vert, j'appuie sur l'accélérateur et roule jusqu'au parking de la supérette. Quel fut mon soulagement quand j'ai vu que Taehyung était encore là. Je sors de la voiture et m'élance en direction de la supérette et j'entre, déclenchant la surprise de Taehyung. Je m'approche de lui, abordant mon plus grand sourire naturel alors qu'il sautille presque de me revoir. Je m'accoude à la caisse où il est installé et je profite que personne ne soit là pour lancer la discussion, je dois arriver a mon but rapidement, sans paraitre louche.
« _ Taehyung-ah ! Tu es toujours au poste à ce que je vois ! Lançais-je dans un rire franc et amusé
_ J'ignorais que tu étais revenu en vie Jin-hyung, quand es-tu revenu ?
_ Oh hier pour tout t'avouer, d'ailleurs, j'ai revu Hoseok, Jungkook et Namjoon aujourd'hui.
_ C'est vrai ? tu les as revu ?
_ Hm hm, souriais-je en hochant la tête, tu as des nouvelles de Jimin et de Yoongi ? »
Son visage s'assombrit dès que je prononce ces deux noms. Il m'explique que personne n'a de nouvelle de Jimin depuis sa disparition au lycée, il ne répond plus à personne et personne ne sait où il habite mais qu'ils ont cherché partout, sans succès. Quant à Yoongi, Taehyung m'avoue avoir été sec avec lui lors de sa visite pour son anniversaire, mais qu'il ne l'a pas vraiment revu, il sait juste qu'il a un appartement dans un vieux quartier de la ville. C'est ma chance ! je dois la saisir. Alors naturellement je lui lance.
« _ Et si on invitait Yoongi a se joindre à nous ? On pourrait tous se retrouver au restaurant d'Hoseok, je vous invite pour fêter mon retour...
_ Euh...et bien..., Taehyung se gratte l'arrière de la tête avant que je le coupe.
_ Allez ! Appelle le !
_ Hm...D'accord Hyung... accepte finalement Taehyung après quelques secondes d'hésitation »
Taehyung sort son téléphone et compose le numéro de Yoongi. Premier appel manqué. Taehyung fronce les sourcils et relance un appel, se disant qu'il était peut être occupé ou qu'il dormait peut être.
BIP BIP BIP BIP BIP.
Ce n'est qu'au bout de 5 sonneries, longues et interminables, que l'appel abouti enfin.
« _ Allo... Lance une voix grave, à peine audible et compréhensible
_ Hyung... lance timidement Taehyung, c'est moi...Taehyung...»
Taehyung se tourne vers moi, il met le haut parleur et parle de nouveau en prononçant le prénom de son ami. La réponse au bout du fil n'était qu'une suite de propos incompréhensible. Est-il....ivre... ? Je murmure à Taehyung mon analyse, il semble être de mon avis, on se regarde avant que Taehyung ne demande d'une voix clair à Yoongi où se trouve ce dernier. Taehyung doit répéter plusieurs fois la question avec insistance avant d'avoir une réponse.
Il est dans un bar, à environ un kilomètre de son appartement. Je réagis tout de suite, je dis a Taehyung que je vais le chercher, je rajoute qu'il doit le garder au bout du fil autant que possible. Afin que je puisse arriver avant qu'il ne reparte chez lui.
Je m'en vais en courant, presque de la supérette, sautant dans ma voiture avant de chercher l'itinéraire le plus rapide pour aller au bar avant de finalement ressortir de ma voiture, me rendant compte que j'irai plus vite à pied qu'en voiture. Je claque la porte de ma voiture et je me mets à courir en direction du bar. Comme si ma vie en dépendant, rectification, ma vie en étant, notre vie à tous en dépend, je ne dois pas échouer.
Je cours, autant que mes jambes et mes poumons me le permettent. Putain, où se trouve ce maudit bar ? J'étais sur qu'il était dans cette rue là. Je tourne finalement au coin d'une rue et la façade lumineuse du bar recherché apparait enfin sous mes yeux. Dieu merci ! Je vais pour pénétrer à l'intérieur quand j'entre dans une violente collision avec quelqu'un qui s'apprêtait à sortir du bar. Ce n'est que le grognement de l'individu qui me fait réaliser que je venais d'entrer en collision avec un Yoongi tellement ivre qui tient à peine de bout et qui titube à chaque pas.
« _ Yoongi...
_ Hy...hyung ? »
Yoongi bredouille, de surprise. Il ne s'attendait pas du tout à me voir débarquer ainsi, devant lui. Que dois-je faire ? le ramener chez lui au risque qu'il déclenche l'incendie ? ou bien l'emmener chez moi, et discuter avec lui afin de comprendre comment il a pu en arriver là. Lui le gars si fort à l'époque du lycée, qui avait un rêve si prometteur.
J'opte finalement pour la seconde option. J'enroule un bras autour de lui pour l'aider à marcher jusqu'à ma voiture, où nous nous sommes installés et où nous avons longuement discuté de ce qui a brisé sa vie.
***
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Taehyung, 15 décembre. Année 13
Maman m'a autorisé à venir à l'épicerie avec eux aujourd'hui, car je n'avais pas école pour m'occuper, elle m'a donné un cahier vierge et quelques crayons de couleur. J'étais fou de joie, être à l'épicerie avec mes parents était toujours une bonne expérience. Je devenais toujours leur petit assistant, et j'aimais beaucoup certains clients de l'épicerie car certaines ajummas avaient pris l'habitude de m'offrir des bonbons quand elles me voyaient ; elles savaient quels étaient mes préférés.
D'ailleurs, Papa m'a appelé pour me demander d'aller chercher quelque chose dans l'arrière boutique, un colis surement. J'ai fouillé quelques minutes avant de trouver ce que je cherchais et de fièrement le prendre dans mes bras. Il était plutôt petit et léger alors je n'ai pas eu de mal a le soulever et le transporter. Quand je suis sorti de l'arrière boutique, il régnait un silence mortuaire. Je n'y ai pas fais attention sur le coup.
Mais tout à tout, j'ai entendu une voix grave résonner dans l'épicerie je me suis avancé, caché dans un rayon, le petit colis dans les mains. J'ai vu deux personnes en blouson noir, portant une capuche, de dos. J'ai seulement vu mes parents blancs d'effroi, les mains levés face à l'arme levée de l'un des deux individus au blouson.
«_ VAS TE CACHER ! »
C'était la voix de ma mère qui a résonné dans l'épicerie alors qu'elle s'est rendu compte de ma présence derrière ces personnes dont je ne pouvais pas voir le visage. J'ai sursauté à cet éclat de voix et je suis parti en courant alors qu'un premier coup de feu retenti, le colis au sol. Je me suis mis à pleurer alors que je forçais sur mes jambes pour accélérer. J'ai réussi à atteindre l'arrière boutique, j'ai refermé la porte et activé le verrou alors que quelqu'un commençait à s'acharner sur la poignée. J'ai reculé contre le mur de la réserve, puis en entendant encore des coups de feu, je me suis caché derrière une grosse pile de caisse contenant des bouteilles de soju. Je me suis recroquevillé de toutes mes forces en fermant les yeux, cachant ma tête dans mes bras. Puis le trou noir.
Quand mes yeux se sont ouverts de nouveau, j'étais enroulé dans une couverture de survie, dans les bras de ma sœur. Mon esprit était loin, je fixais l'invisible au loin, alors que ma sœur était entrain de pleurer en me disant mille et une choses que je ne comprenais pas. Je voulais crier, mais ma gorge était nouée, je voulais pleurer, mais mes yeux étaient asséchés.
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hisazuki · 7 years
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Toshokan Sensou Love & War Bessatsu Hen - Index 22
Toshokan Sensou Love & War Bessatsu Hen - Index 22 raws
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ENGLISH
*The happiest day on Earth*
*Today is The Happy Wedding!*
Toshokan Sensou Love & War Bessatsuhen - Index 22
FRANÇAIS
*Le jour le plus heureux sur Terre*
*Aujourd’hui, c’est l’Happy Wedding!*
Toshokan Sensou Love & War Bessatsuhen - Index 22
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*I’ve been chasing after his back all this time,*
*and he finally turned to face me.*
*The days we spent sharing plenty of smiles and tears are so dear to me...*
*J’ai suivi son ombre tout ce temps,*
*et il s’est enfin retourné pour me faire face.*
*Ces moments où nous avons partagé tant de sourires et de larmes me sont tellement précieux...*
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*And today,*
*I...*
Parents: Hello. It’s nice to see you again for this occasion.
Doujou papa: Our families will be linked now.
Doujou mama: Let’s get along. We’ll be counting on you.
Toshiko: Yes, we’ll be counting on you too.
*Iku’s brothers x3*
*Eldest brother*
*Aaah... Iku’s finally [getting settled]*
Brother: Dad, dad...
*whisper*
*Et aujourd’hui,*
*je...*
Parents: Bonjour. Quelle joie de vous retrouver pour ce grand jour.
Papa Doujou: Nos familles vont être unies désormais.
Maman Doujou: J’espère que nous nous entendrons bien. Nous comptons sur vous
Toshiko: Oui, nous aussi nous comptons sur vous.
*Les frères d’Iku x3*
*Frère aîné*
*Aaah... Iku [se case] enfin*
Frère: Dis, papa...
*chuchote*
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Brother: Does mom really agree with this marriage?
Katsuhiro: Toshiko was never against it from the start. Atsushi-kun seems a reliable man.
Katsuhiro: It’s just...
Katsuhiro: She has a hard time accepting they’re both fighters on the front lines.
Shizuka: Come on, brother!
Shizuka: Iku-chan’s done with all the preparations. You should go and see her!
Doujou: I know. Don’t run.
Frère: Maman est vraiment ok avec ce marriage ?
Katsuhiro: Toshiko n’a jamais été contre. Atsushi-kun semble être quelqu’un sur qui on puisse compter.
Katsuhiro: C’est juste que...
Katsuhiro: Elle a un peu de mal à accepter qu’ils soient tous les deux combattants en première ligne.
Shizuka: Allez, grand frère !
Shizuka: Iku-chan en a fini avec tous ses préparatifs. Tu devrais aller la voir !
Doujou: Je sais. Ne cours pas.
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Doujou: Good grief!
Brothers: Oh, Atsushi-kun! You look dashing.
*The brothers are all super tall.*
Doujou: Thank you.
Brothers: Take good care of our sister.
Toshiko: *bows* ...
Doujou: Bon sang !
Frères: Oh, Atsushi-kun ! Tu es très élégant.
*Les frères sont tous très grands.*
Doujou: Merci.
Frères: Prends bien soin de notre sœur.
Toshiko: *s’incline* ...
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*Phew*
Doujou: Iku, can I come in?
Iku: Yes, go ahead.
*And today, I...*
*Fiouu*
Doujou: Iku, je peux entrer ?
Iku: Oui, vas-y.
*Et aujourd’hui, je...*
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*...will marry this man.*
Iku: Atsushi-san!
Iku: How- How do I look? Am I a bit prettier?
Iku: I feel awkward... *glances* You look wonderful, Atsushi-san. ...Am I...
*...vais devenir sa femme.*
Iku: Atsushi-san !
Iku: De- De quoi j’ai l’air ? Est-ce que je parais un peu plus jolie ?
Iku: Je me sens terriblement gênée... *regard furtif* Tu es superbe, Atsushi-san. ...Suis-je...
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Iku: ...so ugly that you’re at a loss for words...?
Doujou: Idiot! How did you jump to that?!
Doujou: Don’t you know already?
Doujou: I’m completely under your spell.
Doujou: I’m a lucky fellow...
Iku: ...
Iku: ...tellement moche que ça te laisse coi ?
Doujou: Idiote ! Comment t’en es venue là ?!
Doujou: Tu le sais bien, non ?
Doujou: Je suis complètement sous ton charme.
Doujou: Et je me trouve vraiment chanceux...
Iku: ...
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Iku: Right back at you!
Iku: Je te retourne le compliment !
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*All those happy memories...*
*And you were always...*
*...in them.*
*Dans chaque moment de bonheur...*
*tu étais...*
*...toujours là.*
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Priest: In sickness and in health, in joy and in pain,
Priest: in riches and in poverty, do you swear to love, respect, comfort, help and honor each other till death do you part?
Doujou: I swear.
Iku: I swear.
Priest: Then please proceed to the exchange of rings.
Prêtre: Jurez-vous de vous aimer, de vous respecter,
Prêtre: de vous soutenir, de vous aider et de vous chérir l’un l’autre dans la santé comme la maladie, dans le bonheur comme dans l’adversité, dans la richesse comme dans la pauvreté, et cela jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
Doujou: Je le jure.
Iku: Je le jure.
Prêtre: Alors procédez à l’échange des alliances.
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No text / Pas de texte
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Priest: You may kiss the bride.
*And you will...*
Prêtre: Vous pouvez embrasser la mariée.
*Et tu continueras...*
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*...keep being in them everyday from now on.*
Shibasaki: Aaaah... That was so nice! *And the photos were perfect.*
Tezuka: Didn’t you seem on the verge of crying at some point? *smirk*
Shibasaki: What?!
Tezuka: ...No, nothing...
Komaki: They kept very quiet during the ceremony, but I wonder how they’ll behave at the reception...
*...à être présent dans chacun d’entre eux au quotidien.*
Shibasaki: Aaaah... C’était magnifique ! *Et les photos sont parfaites.*
Tezuka: On aurait dit que tu allais pleurer à un moment, non ? *nyark*
Shibasaki: Comment?!
Tezuka: ...Non, rien...
Komaki: Ils se sont tus pendant toute la durée de la cérémonie, mais je me demande comment ils vont se comporter à la réception...
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Komaki: Our dear superiors...
Iku: Phew...
Iku: I was already nervous to death during the ceremony, but now comes the reception!
Iku: Will I be alright? I hope I won’t step on the hem of my dress and fall.
Doujou: The atmosphere should be less tense than during the ceremony. There’s nothing to worry about.
Iku: But...
Doujou: And...
Doujou: *Ahem!*
Doujou: ...I’ll be there with you.
Iku: Atsushi-san... *kyuun*
Host: The bride and groom will now enter the room.
Author notes: I’m so happy I got to draw this wedding chapter. I had a lot of fun drawing it. It looks like it’s the very last chapter, but it’s not (lol). I’m counting on you for the next one!
Komaki: Nos chers supérieurs...
Iku: Fiou...
Iku: Déjà que j’étais tendue à mort pour la cérémonie, maintenant c’est la réception !
Iku: Est-ce que ça va aller ? J’espère que je ne tomberai pas en marchant sur ma robe.
Doujou: L’atmosphère devrait être plus détendue qu’à la cérémonie. Il n’y a pas de raison de s’inquiéter.
Iku: Mais...
Doujou: Et puis...
Doujou: *Ahem !*
Doujou: ...Je serai là à tes côtés.
Iku: Atsushi-san... *kyuun*
Hôte: Le marié et la mariée vont maintenant entrer dans la salle.
Mot de l’auteur: Je suis très heureuse d’avoir pu dessiner ce chapitre avec le mariage. Je me suis beaucoup amusée à le dessiner. On dirait que c’est le tout dernier chapitre de la série, mais ce n’est pas le cas (lol). Je compte sur vous pour le prochain !
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Host: Please greet them with a round of applause!
Man (Shindou? Not Genda cause he’s not married): Yo, prince!
Hôte: Accueillez-les par des applaudissements, s’il vous plaît !
Homme (Shindou ? Pas Genda en tout cas car il n’est pas marié): Yo, prince !
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Iku & Doujou: !!!
*chatter*
*Moving on without a moment’s delay*
*A real pro*
Host: Oooh, what a great interruption! Describing Atsushi-san, the groom, as a prince is fitting indeed!
Host: Actually, Iku-san was still a high school student when they met...
*clap clap clap*
Host: Iku-san joined the library corps because she admired the “prince” she met at a bookstore...
Host: And as it turns out, that prince... is the very man standing next to her now, Atsushi-san!
Iku & Doujou: !!!
*murmures*
*Elle enchaîne direct*
*Une vraie pro*
Hôte: Oooh, cette interruption arrive à point nommé ! Qualifier Atsushi-san, le marié, de prince est tout à fait à propos !
Hôte: En fait, Iku-san était encore lycéenne lorsqu’ils se sont rencontrés...
*clap clap clap*
Hôte: Iku-san a rejoint le groupe d’intervention des bibliothèques car elle admirait le “prince” qu’elle avait rencontré dans une librairie...
Hôte: Et il se trouve que ce prince... est justement l’homme qui se tient en ce moment à ses côtés, Atsushi-san !
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Host: How romantic! ♥ Yes! It wouldn’t be an exaggeration to say fate brought those two together.
Iku: *Uwaaaaah!!*
*clap clap clap*
Voice: Woohoo! ♥ 
Iku: *Aaaah... Atsushi-san is eyeing death threats at the task force table...*
Genda: *Ahahahahaha!*
Iku: Ah, Atsushi-san, your face!
Iku: We’ve got other guests...
Iku: *I must keep it together!*
Doujou: Mh... y-you’re right. *Sorry...*
Komaki: Well, well... Now they’ve had it. *My stomach hurts*
Shibasaki: *pretends to cough to hide her laughter*
Tezuka: Officer first class...
Hôte: Comme c’est romantique ! ♥ Oui ! Ce ne serait pas trop de dire que c’est le destin qui les a réuni.
Iku: *Uwaaaaah !!*
*clap clap clap*
Voix: Woohoo ! ♥
Iku: *Aaaah... Atsushi-san adresse des regards mortels à la table de la force de défense...*
Genda: *Ahahahahaha !*
Iku: Ah, Atsushi-san, ton visage !
Iku: Nous avons d’autres invités...
Iku: *Je dois garder la tête froide !*
Doujou: Mh... T-tu as raison. *Désolé...*
Komaki: Eh bien... Ils se sont bien fait avoir. *J’ai mal au ventre*
Shibasaki: *fait semblant de tousser pour cacher son fou rire*
Tezuka: Officier 1ère classe...
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Katsuhiro: It’s a lively reception.
Voice: Whoo! Prince!
Toshiko: ...
Katsuhiro: Toshiko?
*Thus...*
*the banquet where every attendant later said “the groom’s expression was as hard as concrete but it was a great reception”...*
*...proceeded...*
Orikuchi: Okay, I’ll take pictures. Smile!
Katsuhiro: C’est une réception animée.
Voix: Whoo ! Prince !
Toshiko: ...
Katsuhiro: Toshiko ?
*Ainsi...*
*le banquet dont chaque invité dit plus tard que “l’expression du marié était figée comme du béton mais c’était une magnifique réception”...*
*...se poursuivit...*
Orikuchi: Ok, je vais prendre des photos. Souriez !
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Orikuchi: Bridegroom, stop frowning!
*...proceeded without mishaps.*
Iku: *Touma-sensei!*
Voice: Whoo! With this color you look even more like a prince!
Doujou: *Death glance*
Orikuchi: Si le marié pouvait arrêter de froncer les sourcils !
*...se poursuivit sans anicroche.*
Iku: *Touma-sensei !*
Voix: Whoo ! On dirait encore plus un prince avec ces vêtements !
Doujou: *Regard meurtrier*
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Doujou: ... *Phew...*
Doujou: ... *Fiouuu...*
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Doujou: It’s finally over...
Iku: I... I’m sorry for the prince thing and everything...
Doujou: No, it’s not your fault...
Toshiko: Atsushi-san.
Doujou: Mother-in-law.
Toshiko: So you were the library officer Iku met when she was high school...
Toshiko: I had no idea...
Doujou: ...I’m sorry.
Doujou: C’est enfin terminé...
Iku: Je... Je suis désolé pour le “prince” et tout...
Doujou: Non, ce n’est pas de ta faute...
Toshiko: Atsushi-san.
Doujou: Belle-maman.
Toshiko: Alors c’était toi le bibliothécaire qu’Iku a rencontré quand elle était au lycée...
Toshiko: Je n’en savais rien...
Doujou: ...Je suis désolé.
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Doujou: It’s my fault Iku-san chose this occupation...
Toshiko: This is so wonderful! Why didn’t you tell me about it sooner?!
Toshiko: She fell in love with the prince she admired and married him! *This is great! Oooh! So romantic! What should I do?!*
Katsuhiro: Iku, Atsushi-kun... Mother is...
Katsuhiro: She’s become uncontrollably excited ever since she learned the truth... *I’m a bit tired just standing next to her...*
Doujou: C’est ma faute si Iku-san a choisi ce métier...
Toshiko: C’est merveilleux ! Pourquoi ne me l’avez-vous pas dit plus tôt ?!
Toshiko: Elle est tombée amoureuse du prince qu’elle admirait et elle l’a épousé ! *C’est génial ! Oooh ! C'est tellement romantique ! Qu’est-ce que je vais faire ?!*
Katsuhiro: Iku, Atsushi-kun... Maman est...
Katsuhiro: Elle est extatique depuis qu’elle connaît la vérité... *Je suis fatigué rien que d’être à côté d’elle...*
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Toshiko: Atsushi-san!
Toshiko: Once again, please take good care of Iku!
Doujou: ...
Doujou: I will.
Katsuhiro: *Come on, let’s sit over there for a while.*
Toshiko: *Aaah, it’s so beautiful...*
Iku: ...
Iku: This means...
Toshiko: Atsushi-san !
Toshiko: Encore une fois, prends bien soin d’Iku !
Doujou: ...
Doujou: Oui.
Katsuhiro: *Allez, allons nous asseoir là-bas un peu.*
Toshiko: *Aaah, c’est magnifique...*
Iku: ...
Iku: Ça veut dire que...
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Iku: ...all’s well that ends well, right? Atsushi-san!
Doujou: ...
Iku: We’ll have to thank our superiors for this.
Doujou: I absolutely forbid you to.
*And that was how...*
*...our new life began...*
Doujou: Are we done carrying all the boxes in?
Iku: ...tout est bien qui fini bien, n’est-ce pas ? Atsushi-san !
Doujou: ...
Iku: Nous devrons en remercier nos supérieurs.
Doujou: Je te l’interdis.
*Et c’est ainsi...*
*...que notre nouvelle vie commença...*
Doujou: Il y a encore des cartons à ramener ?
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Iku: Yes! *Let’s take a break!*
Iku: It was easier than I thought. Thankfully the single dorms aren’t far.
Iku: And we’re still whithin base grounds.
Iku: *Shibasaki’s close by.*
Doujou: Well, we’ll tidy everything up during our free time...
Doujou: But first, how about planning and dividing up the housework, dear wife?
Iku: Non ! *Faisons une pause !*
Iku: C’était plus facile que je ne le pensais. Heureusement que le dortoir des célibataires n’est pas loin.
Iku: Et puis nous sommes toujours à l’intérieur de la base.
Iku: *Shibasaki est toute proche.*
Doujou: Bah, on finira de tout ranger petit à petit durant nos pauses et nos congés...
Doujou: Mais d’abord, que dirais-tu de nous répartir les tâches ménagères, ma très chère femme ?
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Iku: Okay!
*...with casual days.*
Sign: Doujou Atsushi & Iku
Iku: D’accord !
*...avec un quotidien ordinaire.*
Panneau: Doujou Atsushi & Iku
Hisa’s thoughts on the chapter:
Toshiko is a Doujou fangirl like the rest of us rofl XD
I realized Doujou’s parents and Iku’s brothers still don’t have names :-( The japanese wikipedia page doesn’t have that information either so I guess they were never given names by the original novelist and shall forever remain nameless...
This chapter is how the first bessatsu novel ends. The 2nd novel begins with Ogata’s past story, so maybe it’ll be less interesting to you for a while but after that we *should* have more Shibasaki & Tezuka.
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agovie-blog · 7 years
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19 août 2011 un lit, un whisky et des larmes
Il y a six ans jour pour jour on c est embrassé pour la première fois, enfin faut dire qu on a jamais été d'accord sur la date, pour toi c était le 18 et pour moi le 20, du coup on a décidé que ce serais le 19. Il faut dire que notre histoire à commencé presque aussi tragiquement qu'elle a terminé, enfin si on peux dire. La première fois que je t ai vu c était le 1er avril 2011, tu débarquais pour faire ta saison avec nous, et donc pour bien commencer on a pris une cuite ensemble, tu étais réservé et moi très spontanée. Tu t ai demandé si tu étais pas tombé chez les fous, et tu avais bien raison. Et moi je me suis dit " le mec va péter le plombs il va pas tenir la saison il est bien trop calme " à cette époque j étais en coloc avec deux mecs, leurs copines, mon copain et sa fille. C était un joyeux bordel, ma relation de couple à cette époque était quelques peu hors du commun mais je l aimais et rien ni personne aurait pu faire en sorte que je le quitte, tu me voyais comme une soumise, sans arrêt trompé et qui accpetait tout, mais quelqu un qui arrivait à gérer entre son boulot 7/7 , son couple avec un mec qui bossait nuit et jour ,sa fille, la vie de coloc et l infidélité de son mec. Au travail entre toi et moi c était la guerre, tu étais chef de cuisine et moi barmaid sauf que nos caractères étaient fort, les disputes étaient fréquentes. Tu aimais ton travail et le connaissait bien et pareil pour moi. Mais quand on se retrouvais à la coupure et le soir après le boulot on rigolait beaucoup, comme moi tu savais faire la différence entre le travail et l extérieur, on a su faire la part des choses, et chaque fois qu on a bossé ensemble ça été le cas. On a toujours su mettre les choses à plat et chacun mettre de l eau dans son vin. Le temps avancais tu ne cessais de me dire " quitte le il te fais du mal " et je te répondai " je le quitterai le jour où tu me verra verser une larme à cause de lui cela voudra dire que je ne suis pas heureuse " ,je n ai jamais versé de larme, j étais heureuse. Ouai il lui est arrivé de me tromper et alors ? Je le savais, mais je savais aussi qu' il m aimait, peu de gens comprennent ça mais c est comme ca. Toi et moi on est devenu pote, complètement opposé, mais on c'était trouve des points communs, et surtout qu est ce qu on riait. Tous nos collègue nous soupçonnait d être ensemble en cachette, et même mon copain était devenu tres suspicieux. Et pourtant rien ne se passait. Puis un après midi mon copain m a quitté pour une autre, un coup de foudre qui lui tomba dessus. ,Ouai pour la première fois j ai pleuré mais peut on en vouloir à quelqu un qui a un coup de foudre ? La réponse est non, c est toujours emmerdant, décevant, tout ce que tu veux mais c est comme ca. Ce soir là, j ai décidé de pas prendre de cuite , j ai décidé de rester à la maison dans mon lit à pleurer en pilou pilou, et mater des films de meufs où les histoires sont toujours pire que les tiennent mais qui se finissent toujours bien, tu sais le genre de film où au début tu es rassuré parce que tu te dis " finalement moi ça va c est pas si grave " et à la fin tu dis " putain mais y a que dans les films ça, en vrai quand tu te fais largué c est fini et puis c est tout " mais toi tu as pas cet ennorme pot de glace à sortir du frigo et manger à la cuillère et pourtant tu en rêve toi aussi de ce pot de glace parce que si dans les films ça remonte le moral pourquoi pas en vrai ? Bref ... J étais dans ce lit et là tu es arrivé pour me voir, tu avais bien 3g dans le gosier, puis tu m a fait rire, tu m a fait du bien. Je t ai proposé de rester dormir avec moi car j avais besoin de rire. Tu as dormi là ce soir là et puis dans la nuit toi le mec timide d ailleurs je croyais que tu étais gay, tu m a embrassé. J ai rien compris à ce qui se passait mais j ai laissé faire, et ça c est arrêté là. Juste un baiser mignon et on c est endormi. Le lendemain on c est pas parlé avant le travail, je pensais que tu étais si bourré que tu avais tout oublié, j ai pas osé venir te parler de ce qui c était passé. Toi non plus. Mais comme j ai des colocs pas très discret ils ont pas hésité à en parler eux. Du coup tu n avais rien oublié. Et le soir tu es revenu dormir dans mon lit puis tous les soir en faites, on pensais que c était juste pour la saison et après tu retournerai vivre chez toi et moi chez moi et on se verrai plus et j étais pas amoureuse de toi. Fin de saison, on se dit adieu, aurevoir....on sais pas trop en faites. 1 mois plus tard on s envoi des sms, on décide de se revoir un weekend et en faites le week-end a été long puisque j ai quitté la coloc et j ai déménagé chez toi. J ai vécu 6 années avec toi, magiques ! J ai été heureuse, malheureuse, j ai ri, j ai pleuré, j ai aimé mais jamais detesté. On a eu plus de galere que la plupart des couples, on nous a souvent demandé comment on se supportait l un l autre, bah on s aimait c est tout, et c était pas flagrant mais nous on le savait on aurait tout fait l un pour l autre et je crois qu on l a fait d ailleurs. Six ans déjà et il ne y aura pas une année de plus ni même un jour mais dans mon cœur et dans ma tête c est pour toujours. Merci pour toutes ces années avec toi, merci de m avoir soutenu dans mon combat pour ma santé, merci d être reste même si j ai pas réussi à te faire d enfants, merci de m avoir fait rire quand j avais envi de pleurer , merci de m avoir apporté ta culture, merci de m avoir fait rêver , d avoir été là chaque jour et chaque minutes où j avais juste besoin de tes bras, de ta voix de te voir. Milles merci mon amour.
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wowties · 7 years
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Les mains bleues - Chapitre 1
i ​iiiiiiiii ​iiiiiiiiiiiiiii Anansa appuya si fort sur la touche H du clavier qu’elle lui resta au bout de l’index. Il secoua alors violemment sa main droite pour s’en défaire comme si elle était un de ces scorpions que l’on trouvait fréquemment dans le désert voisin de Danakil. Finalement la touche finit dans l’œil brun de son ami, qui l’avait frisé jusqu’alors, au regard du spectacle qui s’était offert à lui. Il n’eut pour toute réponse qu’une interjection douloureuse en forme de « Aie ». - Oui, je sais, « Hi », ça s’écrit « Hi », mais le H s’est fait la malle. - Dans mon œil, Anansa, dans mon œil ! Tu ne t’excuses jamais ? Ça fait un mal de chien. - Pardon, H, lui répondit-il. Je peux t’appeler H maintenant ? - Non. H se frotta l’œil gauche qui commença machinalement à pleurer. - Les touches sont aussi dégueu que mes chiottes. S’il gonfle demain, va voir Abu, il te filera quelque chose. H émit un petit gémissement qu’Anansa traduisit par un « merci du conseil », obnubilé qu’il était par l’écran d’ordinateur aux couleurs vaguement jaunies qui lui faisait face. Ils étaient tous les deux assis derrière un bureau isolé par des cartons placés là pour feindre l’intimité dans ce qui semblait être un cyber café de fortune. La pièce était plus sombre que la nuit qui veillait dehors. Ses mains dansaient sur le clavier, curieuse chorégraphie fragilisée chaque fois qu’une touche plus fatiguée que l’autre lui résistait. Il semblait bien parvenir à ses fins, alors que sa bouche dessinait peu à peu, un léger sourire. - Pas elle, pas lui, oh non pas lui ! Pas eux… Attends, elle, peut-être. - Anansa, on va se faire prendre. - H ! Ne fais pas ton rabat-joie, t’es pas content de découvrir le monde avec moi ? - Tu parles d’un site de voyeurs qui s’appelle Chatroulette. Je n’imaginais pas le monde comme une succession de types seuls, ou de sexe en érection. - T’es naïf ! Le monde se résume à deux choses : la solitude et le sexe. H rit tout à coup. Anansa était ce qui ressemblait le plus à un meilleur ami : c’était tout autant un personnage à Asmara, une personnalité discrète mais appréciée, hacker de son état, et de fait un atout autant qu’une menace pour le pays. H le regarda avait un regard tendre l’espace d’un instant, et prit l’initiative de toucher à la webcam qui était posée sur l’écran : il ajusta l’objectif pour que leurs visages juvéniles apparaissent plus clairement aux yeux de fameux autochtones lubriques et solitaires de ce monde qu’ils découvraient. Ils avaient 17 ans, et l’air de s’en rendre assez peu compte. H était beau. Même l’œil gauche à moitié clos, et le visage crispé par l’angoisse d’être pris la main dans le sac, il était beau. Anansa, les deux yeux pourtant grands ouverts, et le visage curieux, n’avait pas vraiment cela pour lui mais il s’en fichait pas mal. - Tu dois leur dire d’où on vient ? demanda H. - Où on est, tu veux dire ? Personne ne connaît l’Erythrée, et il ne faudrait pas leur faire croire qu’on s’y amuse. On dira qu’on est en Afrique, puisque de toute façon, la plupart pensent que c’est un pays. - Tu n’as beaucoup de foi en ce plupart. - On vit en Erythrée, H. Soudain, leurs yeux s’ouvrirent plus grands encore que l’écran 15 pouces : des seins, rebondis et généreux, s’affichèrent dans la petite vignette en haut à gauche de l’écran. Le pays indiquait que la jeune femme venait de France, mais elle avait sciemment orienté sa caméra pour qu’on ne voie rien de son visage. Son corps était là, nu, et sa poitrine soupirait. Il n’y avait d’excitant que l’idée même de voir des seins pour les deux garçons, car elle ne faisait rien d’autre que les exposer aux regards des moins regardant. Cela leur suffisait. H rompit le silence qui s’était paré de quelques hormones odorantes : - On dit quoi ? On doit montrer quelque chose ? - H, elle voit nos visages et elle ne nous a pas éjecté de la conversation. C’est bon signe. - Je ne suis pas sûr de vouloir que tu voies mon - - H ! Ça va ! On ne fait que parler, coupa Anansa. H était inquiet, c’était la première fois qu’il assistait à ce spectacle, et la première fois qu’il faisait une chose aussi illégale que d’aller sur internet - l’internet qui n’était pas autorisé. Il ne connaissait pas vraiment cet endroit, situé en plein centre d’Asmara, non loin du Fiat Tagliero : c’était le repère d’amis d’Anansa. H aimait l’idée que les noms de la ville et de son ami sonnaient si confusément de la même manière : voilà bien une preuve qu’ils étaient indissociables. Il y a un an et demi de cela, ils avaient installé dans les caves d’une vieille résidence un réseau informatique qui allait aider les familles qui souhaitaient désespérément avoir des nouvelles de leurs enfants qui avaient fui. Cela avait coûté énormément d’argent, mais ils ne faisaient payer la connexion qu’aux plus riches. Cela étant, tous étaient égaux face au silence qui leur était requis. Il ne restait qu’un an à H et Anansa avant de commencer le service militaire, un an avant de fuir ou d’être enrôlés dans l’armée, et mourir. Quant aux choses légères qu’il était possible d’expérimenter, ils avaient tous les deux consciences qu’il valait mieux le faire tout à coup, maintenant. H cherchait de l’insouciance auprès d’Anansa, mais pas de cette insouciance adolescente, volubile et irréfléchie, ils cherchaient de l’insouciance consciente, fabriquée, partagée avec ceux qui n’oublieront pas que ce qu’ils ne sont pas dans un pays libre, et qu’ils pourront mourir demain de l’avoir oublié. H trouvait bien ridicule d’en venir à estimer que la masturbation était devenue une preuve de courage. Il savait aussi qu’il fallait de l’argent pour payer les passeurs, et qu’il ne quitterait sa mère pour rien au monde. Quoi qu’il en soit, elle n’avait pas l’argent, et lui non plus, et il ne lui restait bien qu’un peu de courage et les érections adolescentes. - Elle a de beaux seins, tu ne trouves pas ? - Oui oui, répondit timidement H. Anansa s’arrêta d’écrire. - Qu’est ce qui se passe ? - Rien… c’est juste que… Tu te rappelles de Salim ? - Ton pote Salim, celui du garage ? - Oui. Il est au Soudan, il a besoin d’argent pour faire le voyage. - Pourquoi tu me dis ça maintenant ? demanda Anansa. Je n’ai rien, tu sais bien, je ne pourrai pas l’aider. - Parce que si tu pars, si je pars, je veux qu’on parte ensemble, annonça-t-il calmement. - H… - Arrête de m’appeler comme ça ! - Ecoute il n’est pas question qu’on parte, mais oui, si tu veux. Tu veux qu’on scelle notre pacte comment ? Et non on ne se masturbe pas ensemble. L’éclat de rire de H se résonna à nouveau, étouffé mollement par les bouts de cartons gris qui les entouraient. Anansa montra fièrement sa main droite à son ami, embrassa sa propre paume et la posa sur la joue de H, qui répondit avec le même geste. C’était scellé. ​Anansa prit en main à nouveau la souris, la paume humide, et reprit la discussion avec la Française qui avait écrit en anglais, après avoir été le témoin de cet étrange pacte : « Vous êtes gays ? ». Anansa s’empressa de répondre que non, et qu’il pouvait lui montrer. Elle ne s’embarrassa que d’un « LOL », et sorti du cadre un moment. Les deux s’inquiétèrent. Peut-être avait-elle une envie particulière de voir deux garçons s’embrasser pour elle ? Un téléphone sonna, il appartenait à H. Il jeta un coup d’œil au numéro qui était apparu : son visage devint blême. Anansa le remarqua aussitôt. - C’est eux ? - C’est eux. Je dois répondre. H décrocha, et s’éloigna assez pour ne pas qu’Anansa entende quelque chose. Ce dernier écrivit à la jeune fille : « Reste, je ferai ce que tu veux. Mon ami va devoir partir, je n’ai pas envie d’être seul. » H revint quelques secondes plus tard. - Alors ? demanda Anansa. - Alors je dois y aller. - Evidemment. H vit le message laissé à la française, il savait qu’il l’avait fait exprès. Il leva les yeux vers Anansa, et lâcha une seule larme, qui n’était cette fois pas née de l’impact farouche d’une touche d’un clavier collant et obsolète. Il prit le temps de choisir ses mots : - Je n’ai pas le choix An’. Je n’ai pas le choix et tu le sais. Tu veux qu’il nous arrive quoi ? Tu veux qu’il arrive quoi à ma mère ? C’est le seul moyen pour qu’ils ne tuent personne. Je suis sûr qu’ils savent pour cet endroit et ils laissent faire parce que je leur suis utile. Je sais ce qu’ils attendent de moi, et je suis sûr que je peux arranger les choses, je suis sûr que je peux les empêcher. Je vais régler ça, à ma manière, sans heurt, sans prison, sans mort. Je te le promets. Fais-moi confiance, fais-moi confiance An’. - Ce n’est pas en toi que je n’ai pas confiance. N’essaie pas de jouer au Prophète, ça n’a réussi à personne, pas même au Prophète lui-même ! répondit Anansa, froid. A ces mots, H posa ses lèvres sur la paume de sa main droite, et toucha le visage de son ami, comme le geste timide d’un au revoir coupable. Alors qu’il allait quitter la pièce, il lança dans un sourire : - Je ne me prends pas pour le Prophète, je me prends pour H. Anansa était triste. La française, revenue face caméra, le visage et toujours nue, le remarqua et demanda : - Tout va bien ? - Oui. Je vais bien. J’ai juste peur. On a vite peur ici. - C’est où ici ? - En Afrique. - Où en Afrique ? - L’Afrique. - Je connais l’Afrique. Enfin, je connais des réfugiés, ici. Comment t’appelles-tu ? - Anansa. Et toi ? - Emma. - Enchanté Emma, c’est un joli prénom. Il demanda à voir son visage, mais elle refusa. Elle expliqua que ce n’était pas une question d’anonymat, mais une question d’imagination, et qu’il était plus facile d’imaginer des seins qu’un visage et c’était la raison pour laquelle elle ne voulait pas le montrer : elle voulait forcer les conteurs à se révéler parce que les meilleures histoires sont tirées de gens qui n’imaginent pas qu’ils imaginent. Elle ajouta aussi qu’elle aurait aimé écrire une thèse là-dessus mais que peut-être il se faisait tard et qu’elle était juste fatiguée. Anansa pensa que c’était une drôle d’idée, et il lui répondit sérieusement en essayant de qualifier son visage, celui qu’il imaginait, esquissait des traits assez vagues pour ne pas faire d’impaire, c’était creux, plat et ça semblait durer des heures. Anansa n’avait jamais été doué pour draguer ou imaginer des visages. Emma termina sa description par un « Mets-toi nu. » qui excita Anansa plus que de raison. Il regarda autour de lui, se leva pour aller fermer la porte, alluma une lumière au fond, et déboutonna son jean. Il se rassit, ne voulut pas enlever son polo par pudeur – ce qui ne l’empêcha pas de retirer son jean aussi sec. Alors qu’elle se caressait paresseusement les seins, il retira son caleçon, prêt à se toucher quand la pièce s’éclaira tout à coup. Du moins une lumière bleue puissante passat sous la porte, ce qui le fit tomber de sa chaise. Son ordinateur s’éteignit, ainsi que sa lampe : le courant était coupé. Il remit son caleçon et son jean, et s’empressa d’ouvrir la porte. Il connaissait cette lumière, elle n’était pas hostile, mais elle n’augurait rien de bon. Derrière la porte, c’était l’immeuble qui était éclairé de bleu, et derrière l’immeuble, tout autour de l’immeuble c’était la rue et le quartier qui étaient éclairés de bleu. ​ Dans toute la ville d’Asmara, une lumière bleue envahit les rues, de la Cathédrale, à l’Université, jusqu’à l’aéroport, de Denden Street à Sematat venue, les grandes artères de la ville étaient devenues des nuits américaines. C’était comme si l’air et le vent portaient cette couleur et peignaient les visages, les maisons et les routes. L’impression d’étrangeté était telle que la Petite Rome paraissait encore plus belle et plus bipolaire aussi : là où les jolis cafés à expresso et les fiers et inspirés immeubles bâtis par les colons italiens étaient sublimés, les visages des prisonniers dans les allées plus sombres et le regard des geôliers derrières les murs à peines éclairés étaient enlaidis de ce bleu qui ne révélait rien d’autre que la vérité. Anansa se tenait dans la rue, vacillant et ridicule, là, adossé à l’immeuble qui cachait le cyber café. Il essayait de capter les regards pleins de questions des badauds, d’écouter et de comprendre les conversations alentours, tout en essayant de deviner d’où venait l’épicentre de cette explosion de lumière. Il se surprit à se toucher machinalement la joue : il sut en un éclair bleuté qu’il ne reverrait plus H.
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aborddelimpala · 7 years
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#SPNSea Jared et Jensen Main Panel Récap
Les garçons parlent de leurs enfants. Jensen plaisante : 3 est un nombre magique. Jared parle du fait d'être père d'une petite fille. Jensen le pointe du doigt et rigole.
Ils finissent de tourner la saison 12 le mercredi 26 avril. Des choses sympa sont à venir. Ils ont lu les scripts de la finale (en 2 parties) Jared a été surpris. Les garçons sont encore surpris par les scénaristes même après 12 ans.
A Jared : Quel après-shampoing tu utilises ? Jensen se lève et fait semblant de payé la fan pour la question. Jared : J'ai passé des années a juste utiliser ce que j'avais à disposition. Mon secret, c'est l'après-shampoing “bonnet”. Jensen en rajoute : utilises-tu de l'après-shampoing a chaque fois que tu te laves les cheveux ? Jared : Je réfléchis ! J'utilise le shampoing et l'après-shampoing de l'hôtel. Jensen : Et voilà !
Conseil pour les gens qui n'arrêtent pas de tout rater. Jensen : tu arrêtes. Jared : Tu ne peux pas arrêter. Nous allons tous commettre des erreurs. Il a discuté avec son psy de sa peur de faire mal avec ses enfants. Le psy lui a répondu que de toute façon il allait faire des choses mal. Le truc c'est de s'en rendre compte, de comprendre pourquoi et comment et surtout se pardonner à soi-même. Jensen : Avant de se pardonner à soi-même, il est important d'apprendre de ses erreurs.
Saison finale préférée à tourner ? Jared : le dernier épisode d'une saison est très difficile à tourner car il est épuisant et c'est l'un des plus important de l'année. Jensen parle du final de la saison 1, quand l'impala se fait percuter avec les 3 Winchester à l'intérieur. A l'époque ils ne savaient pas s'ils allaient être renouvelés. C'était difficile de dire au revoir à leurs personnages et ne pas savoir. Aujourd'hui ils savent et ils sont prêts (merci la saison 13) Jensen demande à Jared quelle saison finale a été la plus dure à tourner pour lui ? La saison 8. Jensen : je vais parler pour nous deux et dire le finale de la saison 12, que nous n'avons pas encore filmé mais qui va être très difficile. Jared : Est-ce que certain d'entre vous veulent venir avec nous voir le final de la série? Jensen veut collecter de l'argent pour une œuvre de charité en organisant une diffusion avec les fans.
Une fan a entendu que pendant une scène ou Jared/Sam meurt dans les bras de Dean, Jensen a continué de pleurer et tenir Jared après l'arrêt de la caméra. Est-ce que c'est vrai? Oui. Jared : on est attaché à Sam et Dean autant que vous l'êtes. Nous voulons être surs de leur donner les émotions qu'ils méritent. Jensen raconte que même si l'esprit sait que cela n'est pas réel, le corps lui ne le sait pas. Les scènes très émouvantes ou traumatisantes ont forcément un effet. Sur le public et aussi sur eux quand ils lisent le script. Ils s'en servent quand ils filment la scène. Ce sont leurs vraies émotions et pas juste celles de leur personnage. C'est parfois difficile de s'arrêter. On peut pas juste demander à son corps de tout stopper. Jared à Jensen : La scène la plus difficile émotionnellement pour Dean/Jensen? Quand Dean parle de l'enfer à Sam. Jensen a mis du temps à sortir de l'état d'esprit de Dean. Pour Jared, la scène avec Dean dans l'épisode Croatoan. Il n'arrivait pas à s'arrêter de pleurer.
A propos de JDM et son rôle de Negan dans Walking Dead ? Ils sont fiers. Jensen : Nous connaissons tous les 2 très bien Jeff et c'est vraiment un homme très gentil et beau. Il a joué les durs à cuire super bien. Il est très talentueux. Ses fils sont très fiers. Les garçons se moquent des zombies de Walking Dead et font une imitation sur scène. Jensen parle de la scène où Negan tue des membres du groupe de Rick. Jared crie Spoiler !!!!
A propos de la SPNFamily, ils ont commencé à se sentir en famille après avoir démarré les conventions. Jensen a réalisé il y a des années qu'il ne s'agissait pas juste d'acteurs ou de gens sur scène mais de personnes réunies autour d'un thème commun, leur amour pour la série et ses personnages. Jared approuve. C'est ce qu'il aime pendant les conventions. Ce n'est pas juste pour eux. Les fans sont entre amis, ils traînent ensemble. Il adore entendre que des fans sont devenus amis après s'être rencontrés en convention. Cela lui réchauffe le coeur.
Quelqu'un leur dit que Richard fait un snapchat du panel, ou plutôt un “dickchat”. Les garçons sont morts de rire.
Film préféré de Disney ? Jared répond pour Jensen : La petite sirène. Jared : Le Roi Lion. Il a fait une dissertation la dessus au lycée, les archétypes des histoires dans des films tels que Star Wars, le Roi lion... Jensen : n'importe quel film que ma fille adore. Le truc bien c'est que ça change toute les semaines. En ce moment c'est "Tous en scène" Et parmi toutes les chansons du film, elle chante seulement ma chanson rock de Ash. Il a juste a lui taper sur le pied pour qu'elle se mette à chanter. Si je devais en choisir un, je prendrais Aladdin parce que ... Il chante le thème principal à Jared.
Est-ce que Jared et Jensen ou Sam et Dean pourraient envisager de perdre leur humanité pour le pouvoir, comme les anges ou les démons ? Jared : non. Jensen : pareil. Un des thèmes que Jared adore est l'imperfection. Il adore montrer le combat des être humains, ce qu'ils doivent endurer pour rester humain. Il n'échangerait ces imperfections pour rien au monde.
Qui ramèneraient-ils d'entre les morts dans la série ? Jared : Ruby. Jensen : John.
Mouvement de danse favori ? Les garçons dansent sur scène.
Question à propos de la promo de la saison 1 en Angleterre "Scary just got Sexy“ Jared : ça faisait peur et c'était sexy. Ils ont filmé à Vancouver avec un petit budget. Il n'y avait pas d'effet spéciaux et du sang sortait effectivement des murs. La première fois Jensen ne s'est pas écarté assez vite et ils ont du nettoyer sa veste.
A propos de l’évolution de leurs personnages. Jensen explique qu'il est facile pour eux d'apporter des changements à leurs personnages car il savent ce qu'ils ont traversé, ils l'ont joué devant la caméra. Les personnages ne changent pas vraiment, ils gagnent en sagesse et en expérience mais ils savent qui ils sont au fond d'eux-mêmes et dans la série. Jared ajoute qu'ils vont bientôt repartir en tournage et filmer pendant 14-16 heures pour une scène de 2 minutes à l'écran. Alors ils vivent l'instant présent. Ils s'encouragent, se soutiennent. La plupart des scénaristes sont nouveaux. Un bon scénariste va regarder Jared et Jensen et écrire les personnages en tenant compte de la sensibilité que les garçons leur apportent.
Conseils aux jeunes acteurs. Jared : joue. Au théâtre avec tes potes et balance le sur youtube. Raconte une histoire, amuse le public, n'oublie pas pourquoi tu joues. Jensen parle de Speilberg qui a démarré avec la caméra 8mm de son père pour créer des histoires qu'il adorait. Faites le avec votre téléphone, partagez le. Le travail amène le travail. Jared : qui que vous soyez, vous avez une histoire à raconter. Trouvez-là et racontez là. Comme Jared et Jensen le font avec Sam et Dean.
Ce qu'ils préfèrent en tant que parent ? Jensen : Plein de choses. Comme prendre ma fille de 3 ans endormie et la monter dans son lit. Nous avons visité l'aquarium de Dallas récemment. JJ s'est endormie dans mes bras pendant la visite. Je l'ai porté pendant les 2 kilomètres de retour à l'hôtel. Son père a voulu prendre le relais mais non, j’ai gèré. Jared aime les petites choses aussi. Lui et Jensen ont eu quelques expériences très sympa, ils ont rencontré beaucoup de monde, voyagé. En 34 ans il a eu énormément de chance mais c'est dans la nature humaine d'être blasé et genre "c'est juste la vie". Avec les enfants, il peut redécouvrir les choses pour les première fois, quand les enfants adorent quelque chose. Avoir un nouvel enfant est merveilleux. Il apprend autant de ses enfants que ces enfants apprennent de lui.
Dernière question : Comment se sent on quand on fait partie d'une famille ? Jared : cela le rend humble, respectueux. Sentir cette connexion avec quelqu'un. Cela me rappelle de voir le meilleur dans les gens et en moi-même. Des petits actes de gentillesse. C'est une bénédiction. Jensen: oui humilité est un bon mot pour le décrire. Et aussi responsabilité. Je pourrais être égoïste et vivre pour moi. Mais je ne peux pas faire ça car j'ai des enfants. Ma vie n'est plus seulement la mienne. Je la partage avec beaucoup de gens. Cela entretien mon inspiration.
A la fin du panel, Richard enregistre un snapchat avec les garçons.
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culturegayfr · 7 years
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V.D. Prin, romancière sentimentale
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CG : Bonjour V.D. PRIN, pouvez-vous vous présenter en un seul Tweet ?
VDP : Je suis une femme (dans la petite cinquantaine), 49 ans, ce n’est pas 50. Je suis mariée depuis 25 ans et nous avons trois enfants. J’habite et je travaille sur la région parisienne.
CG : Comment vous est venue votre passion pour l’écriture ?
VDP : Cela m’est venu d’un ras-le-bol. Je me suis prise de passion pour la romance M/M (homme/homme) il y a cinq ans maintenant. Mais je trouvais qu’il n’y avait pas assez de publications (ici, je parle de romance, pas de roman ! Nous sommes bien d’accord ?). De plus, j’étais novice en ce qui concernait internet, Facebook, les forums et tout ça. Je ne savais pas que des auteurs publiaient sur des sites genres fictions presse ou autres. À la maison, nous avons eu notre premier ordinateur il y a dix ans peut-être et internet une année plus tard (parce que mes fils râlaient de ne pas pouvoir jouer à leurs jeux). Vous allez pleurer, mais je me croyais l’une des seules à aimer la romance M/M et je me sentais triste et frustrée. (Je vois, vous pleurez… Câlin !!!) J’ai pensé à toutes ces femmes, comme moi (qui se croyaient seules, abandonnées) et qui en avait assez de la romance M/F, (avec la jeune fille toute timide et l’homme fort qui allait la sortir de sa vie banale) et qui avaient découvert le M/M, mais qui s’impatientaient de ne pas avoir plus de publications. Alors, j’ai pris mon IPAD, et j’ai tapé. Ma première histoire « Ben et Alex : un amour inattendu » n’est pas la plus aboutie, mais elle a été certainement celle où je me suis posée le moins de questions. Quand je l’ai publiée sur Amazon (et si vous saviez le temps que cela m’a demandé... Non ! Ne pleurez pas ! Je m’en suis bien sortie finalement) j’ai pensé que je ne vendrais pas un seul exemplaire. Mon mari, mes garçons étaient prêts à s’inscrire sur Amazon juste pour me l’acheter afin que j’aie au moins trois ventes. Ils n’ont pas eu besoin ! La première journée de publication, j’en avais déjà vendu 10. Et ensuite, j’ai continué avec plus ou moins de succès, mais je suis amoureuse de « mes hommes » et je ne saurais vivre sans ! Vous pleurez encore ? Vous êtes une vraie fontaine, monsieur l’intervieweur… je vous promets que je suis très heureuse ainsi (Re-Câlin !!)
CG : Vos romans sont souvent sentimentaux, croyez-vous toujours au prince charmant ?
VDP : Non ! Je crois en l’amour ! Je sais (pas que je l’ai vécu moi-même, parce que très heureuse en ménage) que l’amour, peut-être, parfois compliqué, dur, et pas toujours ce bel étendard rose que prônent nos chanteurs et poètes. Mais je sais aussi que pour des personnes comme moi, qui sont sensibles et qui espèrent toujours une fin heureuse, quand elles se plongent dans un roman sentimental c’est pour oublier leur quotidien. Je sais que beaucoup de personnes critiquent les éditions Harlequin (vous allez comprendre pourquoi je fais référence à eux), mais si elles ont autant de succès c’est bien pour une raison. Sur Amazon ou ailleurs, on a souvent critiqué mes histoires, justement parce qu’elles étaient trop « Harlequin ». J’en suis fière parce que je sais que, quelque part, j’apporte un moment de détente, d’amour, et de bonheur à mes lecteurs. Je préfère me concentrer sur les personnes qui me disent « j’ai aimé, vous avez embelli ma journée » que sur les autres qui me disent « ce roman est pas mal (ou nul suivant le cas), on dirait un Harlequin ».
CG : Quels sont les ingrédients d’une histoire d’amour que vous aimez, en tant que lectrice ?
VDP : Je veux des personnages forts. Du drame, et de la vie. J’ai horreur des tromperies à tout va. Je veux de l’amour, du sexe… eh oui, j’avoue ça titille ma libido. Une fin heureuse.
CG : Vous avez une communauté de lecteurs. Vous font-ils part d’idées, de suggestions, ou ont-ils des attentes particulières ?
VPD : Oh, oui ! Le prochain que je vais sortir (ou qui sera sorti suivant la date de publication de l’interview) a été complètement tiré de l’imagination de l’une de mes lectrices pour les deux personnages principaux. Vous avez le temps que je vous narre l’histoire ? Donc voilà ! Béatrice, un matin, me contacte en MP (message privé sur Facebook) et me demande de regarder sa page. Elle avait publié environ deux pages d’un roman qu’elle avait commencé à écrire. Je lis et je la recontacte rapidement pour lui demander d’enlever ce qu’elle venait de mettre. Le petit texte avait beaucoup trop de fautes et de phrases mal formulées. Les gens sur Facebook ne sont pas toujours tendres et Béatrice est une jeune femme sensible. Je ne voulais pas qu’elle se fasse huer. Je lui ai demandé de me donner son texte et j’ai fait la correction en ajoutant des éléments qui me semblaient indispensables pour la bonne compréhension. Je lui renvoie et… voilà que je n’avais plus de nouvelles. Cela a duré quelques heures, et je me suis dit que je l’avais vexée et qu’elle ne voulait plus me parler. J’ignorais qu’elle était au Canada donc nous n’avions pas les mêmes horaires. Elle me recontacte quelque temps plus tard, et me demande, au vu des corrections que j’avais faites, si je voulais bien écrire cette histoire à sa place. Sur le coup, j’ai dit oui, pour lui faire plaisir, mais, franchement, je ne savais pas comment faire. Ces deux personnages n’étaient pas sortis de mon imagination, je n’accrochais pas vraiment et jamais je ne me serais risquée à faire un historique se passant au moyen âge. Mais comme j’avais accepté, je me suis lancée. Pour être honnête, j’ai eu du mal. Ce n’est qu’à partir du sixième ou septième chapitre que je me suis vraiment approprié Jacques et Keir. Ensuite, l’histoire a coulé toute seule. Je l’ai fait lire à Béatrice, qui est absolument ravie de voir « ses deux hommes » prendre vie sous mes doigts. Je dois dire que j’ai appris à les aimer et que je suis fière d’eux. J’ai plusieurs lectrices tests à qui je fais lire mes histoires une fois terminées et qui me donnent leurs avis. J’ai également mes bêtas lectrices. Elles lisent, corrigent les fautes (parce que j’en fais beaucoup), les erreurs de syntaxes, me montrent les incohérences et les passages trop flous. Entre le moment où j’ai fini une histoire et sa publication, il peut bien se passer deux bons mois. Pour « Jacques et Keir », cela fait déjà deux mois que je l’ai terminé et j’en suis toujours à la phase correction. Je les remercie toutes les cinq : Katia, ma Belge, souvent la première à avoir mon nouveau manuscrit entre ses mains, Lynda qui là-bas dans son Algérie natale doit parfois me maudire (je t’aime aussi), Emmanuelle (intraitable Manue, qui ne laisse rien passer), Yvette toujours douce, mais qui traque la moindre faute avec obstination, et enfin Aurore, qui fait une relecture générale pour traquer les dernières coquilles (je suis contente, pour mes dernières parutions elle n’en a quasiment trouvé aucune). Vous pensez que c’est trop ? Je suis auto publiée, je n’ai pas de maison d’édition derrière moi, mais, à elles cinq, elles font le travail d’un éditeur. (Pour ceux et celles qui connaissent, je pense que vous serez d’accord.) Et puis, j’ai mes amies Facebook, sur lesquelles je peux me reposer quand je suis en manque d’inspiration (merci Angélique). Je leur laisse un message pour leur parler de mes soucis et à la fin, j’ai le déclic… et c’est reparti. Dans tous les cas, mes lectrices, bêtas lectrices veulent une fin heureuse même si mes « hommes » souffrent durant l’histoire. Et honnêtement, je ne saurais leur offrir autre chose. Je les veux heureux dans leur tête et en amour.
CG : Vous semblez très prolifique, avec plus d’une vingtaine de romans en ligne ? Comment faites-vous pour tenir ce rythme ?
VDP : Une vingtaine en presque quatre ans ! Je ne sais pas si c’est beaucoup, mais, ce que je sais, c’est que lorsque je suis prise par « mes hommes », je ne peux plus les lâcher. Il faut que je sois honnête, j’ai la chance de travailler pour un patron sympa. Je suis bouchère, et je ne fais que servir. Quand il n’y a personne à la boutique, je m’amuse derrière avec « mes hommes ». Parce que je pense qu’il faut que cela reste un plaisir d’écrire, sinon, autant arrêter. D’ailleurs, le jour où je trouverais cela trop pénible, je cesserais. Donc, je dirais qu’il n’y a pas de rythme, mais de la passion !
CG : Quels conseils donneriez-vous à un jeune gay qui voudrait se lancer dans l’écriture de son premier roman ?
VDP : Il faut qu’il ait ses personnages bien dans sa tête et qu’il les aime (j’adore les miens). Il faut qu’il s’entoure de personnes qui l’aideront, pour la relecture et qu’il soit ouvert à toute critique. Parce que, parfois, les critiques font mal. Je ne parle pas des critiques que l’on appelle constructives, celles qui vous permettent d’évoluer ; je parle de celles qui ne sont écrites que pour vous donner l’impression que vous êtes la plus nulle de la terre. J’adorais quand Lena, une amie Facebook, faisait des chroniques. Elle disait toujours ce qu’elle avait aimé et ce qu’elle avait moins supporté, mais toujours avec une gentillesse et un respect que je n’ai pas forcément retrouvé depuis qu’elle a arrêté. Ensuite, il lui faut du courage… quand je me suis lancée, je ne réalisais pas qu’il en fallait. Tant mieux ou tant pis, suivant les gens… Et puis, qui ne risque rien n’a rien, n’est-ce pas ? Alors, je lui dirais Go !
CG : De tous vos romans, lequel est votre préféré ? Pourquoi ?
VDP : C’est difficile comme question, parce que je les aime tous. Je ne parle pas de la trame de l’histoire, mais de « mes hommes ». C’est comme demander à une maman lequel de ses enfants elle préfère. Je suis maman de trois enfants et je les aime tous les trois avec passion. Celui qui m’a le plus touché, c’est Hugo dans « Hugo et Arnaud : la puissance de l’amour ». Celui qui m’a fait le plus pleurer c’est Akim dans « Akim et Arthur : à la fin de la danse ». Celui qui m’a fait le plus rire, c’est Rémi dans « Rémi et Xavier : mon patron et moi ». Je pourrais continuer comme ça longtemps, mais j’ai peur de vous faire perdre patience.
CG : Si vous partiez sur une île déserte et que vous n’aviez droit qu’à trois livres, lesquels emporteriez-vous ?
VDP : Sans réfléchir pour le premier : à la croisée de nos chemins, de Cardeno. Le premier roman M/M que j’ai lu, et que j’ai adoré. Le second : les âmes vagabondes de Stephenie Meyer. Le troisième : je pourrais vous donner un titre très intello genre Balzac, Hugo… mais non. Je choisirais une BD, un Astérix… lequel… bonne question. J’ai le droit d’en prendre deux ou trois ? Un roman est plus long qu’une BD !
CG : Si vous deviez donner un nom à votre autobiographie ?
VDP : J’espère que jamais je n’aurais d’autobiographie… mon Dieu ! L’auteur n’aurait rien à se mettre sous la dent. Je suis complètement normale, et le lecteur s’ennuierait comme un rat mort si un jour il en écrivait une. 
CG : Merci beaucoup
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le-jour-ou-blog1 · 6 years
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Hey! En deuspi! (Je suis une feignasse quand il s'agit d'écrire un article) Je suis partie de Wellington pour Opotiki, pour bosser dans le picking de kiwi. L'acccomodation était cool. Proprio adorable, gens super cools, loyer pas cher, douche chaude et FEU DE CAMP LE SOIR. Bref, le paradis. MAIS, (il ya toujours un mais) le job était pourri à souhaits. Le picking (cueillette de kiwi et mode travail à vitesse 3000 kiwis/heure) c'est cool, c'est rigolo, on s'amuse bien, mais le soir t'as tellement mal à des muscles que tu ne pensais même pas possèder que tu n'en dors pas la nuit. (Ceux qui me diront que c'est qu'au début, qu'après ça va, je vous mets au défi de le faire. Si vous y arrivez, je vous offrirai mon respect éternel et une tablette de chocolat.) Et puis, il a fait pas beau. Et pluie = pas de kiwi à cueillir (pas que je rêvais d'y retourner hein). Du coup, tout le groupe de potes que je me suis fait, a décidé de mettre les voiles et roues pour Tokoroa. Et moi, quitte à pas travailler, autant que ce soit en bonne compagnie! Alors on a fait un joli cortège de voitures. (Tous derièreuh, tous derièhèreuh… et moi… de… vant…) on est arrivés dans un camping trop chelou. Pas cher, mais qui ne valait pas son prix quand même. J'ai pas testé la douche, j'ai eu peur de ressortir plus crade ou avec le tétanos. (Bon, j'avoue, c'est aussi que niveau douche, quand t'es sur la route, bah on s'en tape, personne ne vient te sentir les aisselles. Qui d'ailleurs ne sont pas non plus épilées parce que t'as pas envi) On y reste 2 jours. La météo est pourrie. Pas de coins de rassemblement abrité dans le camp pour être à la cool avec les autres. Le moral est mauvais parce que finalement c'est rien qu'un échec de plus. La France se fait manquer. Bref, le blues. (Le blues ça veut dire que je t'aimeuh) Et puis là, un mec qu'on appellera Edmond, qui était dans le groupe aussi, me dit qu'il a un bon plan boulot et qu'il y a deux places! Donc moi qui avait lâché l'affaire, je me dis que tant qu'à faire, autant me sortir les doigts de là où ils étaient et bosser. Donc je lui dis que ça me dit, que j'y vais avec lui et que du coup, il n'a pas besoin de faire du stop, puisque je le prends dans ma voiture. Lui, ultra content. Moi, ultra contente et motivée à bosser. (au passage, Edmond avait l'air adorable. Genre de gars à l'écoute, calme et réflèchit. Mais au passage, j'ai un instinct de mierdas) (tu vas voir, je me fais niquer dans la suite de l'histoire)  Dernier soir avec le groupe, on passe une chouette soirée. Au petit matin, on se rejoint pour se faire rembourser les nuits qu'on avait prépayé. Et là vous savez ce que me dit le Edmond, je vous le donne en mille! Il a parlé avec sa roommate, Emily, une américaine (un amour cette fille, au passage (Mais on verra si c'est encore un coup de mon instinct pourri qui me joue de sacrés tours le coquin!)) et qu'elle est dans une merde fénoménale, elle a besoin d'un job en urgence (au passage aussi, elle était à ce moment là en place dans un job). Et vu qu'elle est bonnasse (je suppose que telle est la raison, certaines personnes pensent avec la mauvaise partie du corps), il lui a dit qu'elle pouvait venir bosser. (Je vous rappel qu'il a 2 jobs dans le récit!) Et il me dit quoi?! “tu trouveras un autre boulot, c'est sûr” HAHAHHAHAHAHAHHA! Hein? BHWAHAHAHAHAHAHA! Trop drôle. J'en pleurs de rire. J'essuie mes lunettes. (Au passage aussi, aucun rapport, sauf, pleurer, sécréter des trucs et morve et tout, j'utilise des mouchoirs en tissu. Voilà c'était une info gratuite. Comme ça, sous le manteau.) Revenons à nos moutons : QUOI? WHAT? QUÉ? L'arnaque en plein jour! Et là, je me suis dit : “Maintenant, il va falloir résister ma côcôtte. Tu cède pas. Ce mec t'a promis un job, tu l'auras. Tu l'auras ton vent qui tourne.” Du coup j'ai dit non. Et on est passés à autre chose. (pas pour longtemps) (Au cours d'une conversation avec l'américaine un peut plus tard, il a dit que j'étais je cite : “têtue” (merci, je le prends comme un compliment, moi qui cède à tout pour un rien dans ce genre de situations) je crois que quand je rencontre les gens je ne me méfie pas et j'accorde ma confiance immédiatement. Enfait non, j'en suis sûre.) Revenons à nos agneaux. Entre temps, un Australien qu'on appellera Will (c'est son nom) que je n'aprécie pas plus que ça à cause de son humour un peu déplacé (j'ai compris maintenant qu'il est juste maladroit et enfait très gentil) nous demande de l'emmener lui aussi à Hastings. Donc 2 voitures, Emily a la sienne et moi le van. Edmond   veut aller avec elle parce qu'il veut absolument conduire. (il l'a eu dans le uc parce qu'elle ne l'a pas laissé. Hahaha) Et moi qui ne voulais pas me retrouver avec Will je me vois dans l'obligation de l'y emmener. (vous commencez à cerner le personnage d'Edmond? Je vous ferai un topo sur mes conclusions) 3 heures de route grosso-modo après, on arrive  à Hastings, on s'arrête au fast food (sans citer de nom) pour choper du wifi et retrouver l'adresse exacte de la packhouse. Le Edmond en remet une couche :“Elle est dans la merde, elle n'a pas un rond, elle est sans logement, elle a un beau cul, je dois la sauver, je suis le sauveur, toi t'es le boss à buter pour sauver ma princesse, je la baiserai à la fin. Et en plus je pourrais la mater tous les jours parce qu'on bossera ensemble elle et moi.” (En gros, dans les grandes lignes.) J'ai un petit sentiment de culpabilité sur le coup quand même, mais je lâche pas. Qu'elle soit plus méritante, peut être, et encore. Mais par principe, tu ne propose pas un bon plan à quelqu'un pour ensuite le déproposer et le servir à un autre sur un plateau. Il me dit qu'elle peut rester dans le job plus longtemps, que moi je peux trouver un autre job sur hastings et blablabla. (pour vous mettre dans le contexte, on est en hiver, les job c'est comme du pétrol ici, tout le monde en veut mais seulement les plus chanceux en trouvent par hasard ou par bon plan.) J'échange rapidement avec Emily a qui je dis qu'elle peut au pire prendre ma place quand je pars. C'est seulement dans 3 semaines. On s'entraide mais on arrête d'enculer les honnêtes gens. Elle complétement d'accord avec ce que je lui dis et complétement dans l'empathie sans peut être comprendre l'enculade d'Edmond. (Tous nos échanges se font en français, parce que s'engueuler en français c'est plus simple mais malheureusement les autres ne voient pas le bordel et la vraie nature de ce sacré petit chenapan)  On quitte le fast food pour la packhouse. J'avais encore en tête “résistance” en lettre de sang. “On n'est pas des vendus nous, on se laissera pas faire. Tu veux la guerre, t'auras la guerre.” En partant il a dû dire un truc comme “de toutes façons, on y va tous et puis au pure on verra et puis on leur dira combien de temps on reste et ils choisirons qui ils prennent.” (Hahaha, we’ll see) On se gare sur le parking et avant d'entrer dans les locaux, il en remet une couche. “Si ya pas assez de place pour nous 4, tu sais, elle a vraiment besoin de bosser, elle est dans la merde, t'avais dit au début que tu cherchais pas spécialement de travail, t'es têtue nanana…” je lui tiens tête mais il insiste, me fait culpabiliser. Moi, colère plus culpabilité égale larmes. Je fonds en larme. Lui dis que je passe une semaine de merde, mon oncle est mort, que j'ai tout sauf envi d'être dans ce merdier en ce moment. J'ai pas eu bcp de chances avec les jobs en NZ et que pour une fois le vent allais surement tourner. Que j'avais pas envi de vivre de l'argent de mes parents dans une vie que MOI j'avais choisi, pas eux. Et qu'il était indispensable que je me débrouille par moi même.“ Je lui ai vomi ça à la gueule et étrangement, quand les gens voient que vous souffrez et que vous ne l'avez pas montré avant, que vous l'avez gardé pour vous et que tout d'un coup ça explose parce que trop, c'est trop, étrangement, ils vous regardent différemment. Et dans leurs yeux apparait la pitié. Il a ouvert ses bras. M'a dit "viens là, je suis désolé, je ne savais pas, si tu nous dis pas ces choses la, comment tu veux qu'on sache?” Je l'ai esquivé. Il a bien fallut. J'avais pas besoin de son calin et il était hors de question que j'éponge sa culpabilité à lui, si tenté qu'il en eût ressenti une. Je lui ai dit que ma vie ne changeait absolument rien à ce qu'il se passait à ce moment là. Que tu ne dois pas passer ta vie à comparer tes malheurs avec ceux des autres pour voir qui est le plus à plaindre et qui mérite le plus un petit peu de chance. Que la situation c'était que lui retournait sa veste, qu'il mavait utilisée comme taxi pour se rendre à son job à 250km. Donc lui, déni total, il ne se rend pas compte de sa connerie et maintenant qu'il a compris que je ne me laisserai pas avoir par la pitié ou l'empathie, il recommence à être culpabilisateur. Me dit que c'est beau dis donc de faire une scène sur le pas de la porte du job. Qu'on ferait mieux d'y aller et qu'on verra. Genre grand désamorceur de situation. Le mec est terroriste ET négociateur de la BRI. Je ferai un tout autre article pour décrire le job. Mais en bref, on y va on est tous pris. Chemin pour se rendre à l'accomodation, j'ai Will et Edmond dans ma voiture. (Emily est partie rejoindre des potes déjà logés qqpart) on se rend chez la logeuse qui n'a finalement pas de place pour nous mais qui se met en quatre pour trouver des solutions pas cher et sympas pour nous. Elle appel un autre kiwi qu'elle a rencontré quelques jours plus tôt et qui a un logement pour les gens qui bossent dans la région. En chemin pour y aller on discute dans la voiture (ma bonté reprend le dessus et je décide de pardonner. Surtout que cohabiter et travailler avec une mauvais ambiance, non merci) (conne, conne, conne, me direz-vous, et vous n'auriez pas tord) il me dit un truc du genre “t'es quelqu'un qui réfléchit beaucoup non? Tout le temps et sur tout?” Et s'en est suivi une psychanalyse et un jugement avec à l'appuie un bouquin du genre “comment profiter de l'instant présent” moi, j'ai activé le mode et de temps en temps je lui disais, oui, ok, d'accord. Mais c'était crédible (7 ans de théâtre) Et là, sans comprendre pourquoi, il s'ennerve tout seul, dit qu'il n'a pas envi de parler avec moi, qu'il est ennervé. Il se tait et puis rajoute qu'il est fatigué, qu'il n'aime pas son attitude et qu'il me parlera quand il ne sera plus comme ça. (Gars, j'attends toujours que tu ne sois plus comme ça et enfait, j'ai arrêté d'attendre) Bref, aujourd'hui, on a un job, un logement (que j'adore) mais je ne veux pas vivre avec ce genrre de personne. L'aura est négative. En plus on s'était à peu près mis d'accord pour que je les emmène bosser Will et lui. Donc impossible de changer de baraque dans l'instant. Je leur ai donné jusqu'à mercredi pour trouver une solution et ne plus dépendre de moi. J'ai eu raison? J'ai eu tord? J'aurai du lui mettre une enculade? Je ne sais pas. J'essaye de tendre vers la paix. Ne pas haïr, ne pas médir, ne pas faire de mal et toujours aider. Mais certainent personnent méritent-elles autant de bienveillance? J'aimerai dire que oui, jusqu'à la limite où ça en devient à tes dépends. Chacun mérite le pardon sans mériter l'approbation. Mais la vengeance n'est pas envisageable. Edmond est un manipulateur et sûrement un pervers narcissique. Depuis qu'on vit ensemble (nous sommes 4 dans la maison avec Will et Gabriel (argentin)) il est très cassant quand je lui parle. Mais quand c'est lui qui me parle il n'est que miel et politesse. J'aime cette maison, je commence à apprendre l'espagnol. Mais quand une maison est faite de murs, un foyer est fait de ceux qui la peuplent. Ce n'est pas mon foyer quand il est là. Alors je vais partir. Je vais continuer de faire confiances aux gens que je rencontre. Car la méfiance m'aurait empêché de vivre bon nombre de moments riches et importants.
Merci de me lire. Bisous! Angèle
Ps: son bouquin a quand même l'air cool. Personne n'est tout mal ou tout bien. (Hier il a fait ma vaisselle) Pss : Je commence le boulot lundi 18. Je suis dans mon dernier mois avant l'Australie. Psssssst: Le vent a tourné, j'ai retrouvé le sourire, la confiance et la sérénité. Tour va bien aller. Psssssssiiiiiiit: autant pour moi... ce n'était pas un article en deuspi
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maanae · 7 years
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I approve of your bond
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(je ne connais pas l’artiste du fanart mais crédit à iel ! Si jamais quelqu’un sait, n’hésitez surtout pas à me le dire, je rajouterais :3)
Acnologia plaqua un Igneel inerte au sol sous les yeux horrifiés des membres de la guilde qui avait rejoint le lieu où Natsu et Gray affrontaient Mard Geer. Alors que le Roi Dragon allait achever le Roi des Dragons de Feu de son hurlement titanesque, Lucy fit la chose la plus stupide qui lui ait jamais traversé l'esprit : elle fit claquer son fouet « Rivière d'Etoiles » autour du cou du dragon du Chaos et tira de toutes ses forces dessus pour l'empêcher de baisser la tête vers Igneel. Elle tremblait de tous ses membres sous l'effort et savait pertinemment qu'elle ne tiendrait pas plus d'une seconde et demie. « Les gars ! De l'aide ! » Instantanément elle sentit une immense carrure s'élever derrière elle et deux mains gigantesques se refermèrent sur les siennes autour de la poignée du fouet. Elfman Strauss à la rescousse ! Pourtant, même la puissance de cette force de la nature ne pouvait retenir un dragon très longtemps, surtout dans un état aussi lamentable et après de multiples combats. Aussi ne fut-elle pas si surprise de voir Gajeel saisir le fouet devant la poignée pour tirer avec eux pendant que Levy cherchait un enchantement qui leur permettrait de tenir. A vrai dire, elle n'en eut même pas le temps : Igneel se redressa brusquement et plongea ses dents dans la gorge offerte d'Acnologia et l'arracha avec une violence inouïe. Lucy fut soudainement prise de nausée et les autres s'étaient figés, ébahis devant ce retournement de situation absolument pas prévu. Voyant qu'ils ne semblaient pas vouloir bouger, la constellationniste se risqua à parler, le cœur au bord des lèvres : « Vous pouvez lâcher maintenant, merci. » Ils s'exécutèrent machinalement et Lucy grimaça en lâchant son fouet, pliant et dépliant ses doigts plusieurs fois. Elle appréciait l'aide mais encore un peu et Elfman les lui écrasait pour de bon. Elle fit un bond quand elle entendit Elfman hurler : « Le papa de Natsu c'est un homme ! » Elle sourit quelque peu avant de s'écrouler au sol. L'adrénaline redescendait doucement et avec elle la force nécessaire pour tenir debout. Elle n'en pouvait définitivement plus. Elle entendit Lisanna corriger son frère avec un rire tout en cherchant Natsu du regard. Son cœur savait bondi de joie en voyant que Mard Geer avait été vaincu avant de serrer d'inquiétude : où était-il, comment allait-il ? Là ! Il était allongé par terre et elle ne voyait aucun mouvement. Son cœur manqua un battement et elle tenta de se relever tant bien que mal, bandant sa volonté pour aller voir comment allait son partenaire, ignorant les tremblements de ses jambes et la sensation qu'elles soient en plomb. Elle trébucha et manqua de tomber mais un bras fin lui saisit la taille et la maintint résolument debout. « Attends, je vais t'aider. » Lucy tourna la tête pour offrir un sourire à Lisanna qui le lui rendit. La blanche soutint la blonde pour l'amener aux côtés de leur ami qui n'avait toujours pas bougé. La constellationniste s'assit doucement avec l'aide de son amie qui s'esquiva ensuite rapidement pour rejoindre sa sœur qui avait aidée Juvia à aller voir Gray. Un même sourire étirait les lèvres des deux sœurs qui se firent un clin d'œil qui passa inaperçue au milieu des retrouvailles. Lucy, elle, avait mis une petite tape sur l'épaule de Natsu quand elle avait vu qu'il avait les yeux fermés. « Hey Natsu ! C'n'est pas le moment de dormir ! » Utiliser l'humour pour masquer l'inquiétude qui lui serrait le cœur, voilà ce qu'elle faisait, ce qu'elle avait toujours fait. Et ça fonctionnait plutôt bien jusqu'à maintenant. Mais quand elle vit qu'il n'avait pas bougé, elle fronça les sourcils et lui secoua le bras aussi fort qu'elle put – vu ce qui restait de ses forces ce n'était pas grand-chose ceci dit – en haussant légèrement la voix. « Natsu, réveilles-toi ! » Elle le vit ouvrir un œil avec son large sourire et poussa un soupir de soulagement avant de le taper sur la tête doucement. « Tu m'as fait peur idiot ! —Fallait pas ! Je l'ai massacré ce sale type ! répondit joyeusement Natsu, toujours allongé. » Elle éclata de rire, ce son s'élevant jusque dans les étoiles comme pour célébrer son bonheur d'être en vie avec ceux qu'elle aimait. Les yeux de Natsu brillèrent d'affection quand il l'entendit et ne put que se joindre à elle en se relevant légèrement avec difficulté. Tous ceux qui entendirent ces rires se tournèrent vers eux et des sourires fleurirent ici et là devant leur spectacle. Un duo de partenaires, d'amis, un couple peut-être, leur relation était indéfinie aux yeux des autres mais ils s'en fichaient des autres, ils étaient heureux. Heureux d'être en vie et heureux d'être ensemble malgré les ennemis toujours plus forts. Ils avaient promis à une ancienne amie de protéger le futur après tout. Et puis leurs rires s'éteignirent progressivement et ils se regardèrent, se sourirent et tournèrent la tête dans un bel ensemble vers un petit chat bleu qui venait d'apparaître en hurlant le nom de ses meilleurs amis. « NATSUU ! LUCY ! —Yo Happy ! » Il courut vers eux sur ses petites pattes, trop épuisé pour voler, et se jeta dans les bras de l'un avant de s'installer contre la poitrine de l'autre, heureux de les avoir retrouvés. Des pas sourds ébranlèrent alors le sol et ils se redressèrent tous d'un coup, comme dans un sursaut de leur force épuisée. Une immense tête de dragon s'incrusta entre eux, leur faisant relâcher la pression. Natsu posa une main tremblante sur le museau de son père qui le bouscula légèrement, comme joueur, ce qui rompit une résistance chez le jeune mage qui étreignit sa tête comme il put étant donné la différence de taille. Lucy sourit tendrement, attendrie par leurs retrouvailles. Elle aurait bien aimé se lever pour les laisser entre eux mais elle était absolument incapable du moindre mouvement. Elle saisit une clef dorée bien particulière dans sa petite pochette et la contempla, la vue brouillée par les larmes. Et elle... elle avait perdu une amie très chère. Happy posa les pattes sur sa main et lui fit un sourire réconfortant qu'elle lui rendit tremblant. Puis une grande main se posa sur la sienne et les pattes d'Happy, cachant la clef brisée. Lucy leva son regard humide vers Natsu qui lui serra la main avec un regard grave. Elle sut tout de suite qu'il avait compris qu'elle se sentait abandonnée et sa phrase suivante le lui confirma. « On est là, Luce. » Elle hocha la tête doucement et renifla avant de lui offrir un sourire rayonnant. « Et puis Aquarius ne supporterait pas que je pleurniche n'est-ce pas ? —Aye ! Elle se serait énervée et nous aurait tous balayé dans une immense vague ! s'exclama Happy en ouvrant grand ses pattes qu'il avait libérées de l'étreinte de Natsu. » Lucy rit légèrement et hocha la tête, résolue à ne plus pleurer pour son amie qu'elle se promettait de revoir un jour. Qui savait si elle n'aurait pas l'occasion de gagner la clef de remplacement après tout ? Un grondement sourd la fit sursauter avec Happy alors que Natsu fronçait les sourcils vers son père en beuglant, comme à son habitude : « Qu'est-ce qui te fais rire toi !? » Lucy eut la fugace impression qu'Igneel arborait le même sourire que Mira quand elle imaginait mille et un plans à deux joyaux pour « aider les couples à se former ». Ce qui n'était pas pour la rassurer outre mesure. Elle écarquilla les yeux quand il commença à... la renifler !? « Ta partenaire humaine sent vraiment bon Natsu. J'approuve ton choix. » Une chaleur cuisante monta à ses joues qu'elle devinait être rouge écarlate. C'était quoi cette réflexion ? Et c'était elle que Natsu traitait de bizarre après ? « Qu-Quoi ? » Natsu lâcha un énorme rire en mettant ses bras sur son ventre, bien vite imité par Happy qui ne se privait pas de lâcher des petites piques pour son amie alors que Lucy les regardait bouche bée. « Ta tête, Lucy ! » Elle cligna des yeux deux ou trois fois avant que ses neurones connectent à nouveau et qu'elle ne soupire légèrement. Tel père tel fils n'est-ce pas ? Pour s'amuser, elle fit mine de s'énerver après Natsu et essaya de le taper sans grande conviction. Lui riait trop pour réellement se défendre sans pouvoir s'arrêter non plus. Le dragon à l'origine de la scène riait doucement, un regard protecteur posé sur les jeunes gens qui s'amusaient, redevenant des adolescents sans pression hors norme. Ce fut finalement Happy qui eut le dernier mot de l'histoire en roucoulant la phrase qui avait le don de tous les mettre mal à l'aise : « Ils s'aiiiiment ! » Natsu détourna le regard, gêné, les joues roses, sous le regard intéressé de son père et Lucy, tout aussi rougissante, attrapa vivement le petit chat qui avait tenté de s'échapper pour lui tirer les joues pour le punir de sa plaisanterie.
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lescomeres-blog · 7 years
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I Just Called to Say I Love You!
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En cette magnifique semaine rouge coeur à la cannelle de la fête de l’amour (qui selon moi ne devrait pas avoir de journée particulière parce que you know, on s’aime tous les jours et ce n’est pas qu’à la St-Valentin qu’on devrait se le montrer) j’aimerais quand même te dire “Je t’aime”.
T : Je t’aime mon copain, mon Yan Simon. J’aime que tu fasses de ma vie un arc-en-ciel dont les deux bouts surplombent des mégas marmites de p’tits coeurs en or. J’me sens bien avec toi. J’me sens heureuse, belle, amoureuse, enfant. J’me sens aimée surtout. Merci de m’avoir fait croire que j’en vaux la peine. C’pas mêlant, je t’aime tellement que ça me dérangerait même pas de partager mes verres de lait avec toi si t’aimais ça. Je veux te dire que je les aime d’amour profond tes beaux yeux verts/bruns avec des ptits picots jaunes. J’aime chacune de tes taches de rousseur, mais plus particulièrement celles sur tes omoplates. J’aime ta petite barbe rousse/rouge comme les arbres en automne. J’suis bien avec toi. J’me sens toute petite pis ça fait du bien.
J’veux te dire “je t’aime” à toi mon fils aussi. Parce que c’est toi mon humain préféré, parce que je me sens complète quand t’es là. T’es un beau 4 pieds de plein bonheur rayonnant dans ma vie. J’aime ta folie, ta curiosité, tes yeux bleus et tes cheveux rebelles. Tu me rappelles chaque jour que j’ai mis au monde l’enfant parfait quand tu fais la baboune. Hihi. Tu me fais rire, des fois, pleurer. Merci pour cette montagne russe d’émotions mon p’tit coeur.
Je dis je t'aime à tous mes amis chers aussi. Mes belles copines avec qui je partage une amitié solide depuis au moins 12 ans. Celles avec qui j'ai vécu beaucoup de moments précieux, triper, boire un p'tit peu trop, pleurer de rire et parfois de peine, avoir des enfants, continuer nous-mêmes à être des enfants, se supporter mentalement, monétairement. Avec vous, c'est clairement pour le meilleur, pour le pire et pour toujours.
A : J’aimerais ça dire «je t’aime» à tout le monde autour de moi qui rendent ma vie plus belle, à tous ceux qui créent, avec moi, des beaux moments. Des moments qui remplissent mon petit coeur de belles émotions et qui me rendent un peu émue (quoique je le suis assez facilement haha). Des moments que j’ai envie de prendre en photo avec ma petite caméra instax. Parce que Dieu sait que je la sors juste dans les occasions spéciales, avec des personnes spéciales. Les personnes qui se retrouvent sur mes petites photos, je les aime tellement, et je suis choyée de les avoir dans ma vie. Je le sais, et je le prends pas pour acquis, je vous jure. Je leur dis déjà que je les aime, mais j’aimerais juste réitérer que je tiens vraiment beaucoup à eux et qu’ils sont très importants pour moi. <3  
Et pour toi cher lecteur qui se surprend à être un peu jaloux de tous ces je t'aime qui ne te sont pas adressés, on aimerait te dire ceci : met toé en couple, fais des enfants pis fais-toé des amis si t'en veux des "je t'aime"! Mais non, on rigole. On t'aime toi aussi. Nous sommes heureuses que tu lises nos shit pis que t'attendes patiemment qu'on en poste d'autres. Oui toi, le lecteur qui like ce qu'on fait, qui donne un thumbs up à notre page et qui partage le tout "à bonne franquette" sans rien demander en échange. Oui, on t'aime !
Bonne St-Valentin les p'tits chouchous!
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