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#mots-croisés
chrisoury · 8 months
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Lors de mon séjour à la D.S.D.E.N.69
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broekhart · 1 year
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et les mots croisés thursday
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savantefolle · 2 years
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Croisée des mots le 30 novembre 2022
Croisée des mots le 30 novembre 2022
À peine revenue du Salon du livre de Montréal, déjà la Croisée des mots se profile! Ce mercredi 30 novembre, je lirai un extrait du Secret de Paloma, qui fut finaliste au Prix AAOF de littérature jeunesse. Et jaserai de mon processus d’écriture et des difficultés particulières de la SF. Je dois beaucoup au soutien de l’AAOF et de la bibliothèque publique de Toronto. Et à mes lecteurs-trices que…
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thebusylilbee · 5 months
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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blauesonnenblume · 17 days
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hier soir on est allés boire un verre dans un bar très cool très trendy, on a rencontré un mec qui nous a dit de venir avec lui surfer, donc ce matin réveil à 6am pour accompagner mon coloc surfer, moi j’ai marché sur la plage pendant 1 heure et demie j’ai regardé les oiseaux et j’ai caressé tous les chiens qui venaient me dire bonjour, j’étais dans un état d’extase totale
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à la fin de ma promenade j’ai croisé un groupe de vieilles dames adorables avec qui on a discuté et qui m’ont emmenée boire un café autour d’un feu, on a échangé nos numéros c’était trop bien
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bref cette matinée! je n’ai pas de mots. merci merci merci
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clhook · 5 months
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Un peu frustrée de pas pouvoir montrer mes créations à mes invités pour leur laisser la surprise donc je vous montre à vous : mes serviettes brodées qui serviront de marque place, mes mots croisés personnalisés sur une ardoise géante et mon étole en cours de tricotage
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Dans le creux de chaque être réside le désir d'être une lumière dans la vie des autres, une présence qui console, qui encourage et qui soutient.
Nous aspirons à être cet oasis de calme au milieu des tempêtes de la vie, un refuge sûr où chacun peut trouver un réconfort sincère.
Nous avons tous connu les flèches acérées des mots blessants, les blessures infligées par ceux qui ont croisé notre chemin.
Et pourtant, malgré ces épreuves, nous choisissons de ne pas perpétuer cette douleur.
Nous optons pour la compassion, la générosité et la gentillesse, sachant que ces gestes simples peuvent guérir des cœurs meurtris.
Nous comprenons que le plus grand des trésors réside dans la capacité à toucher les âmes des autres, à semer des graines d'amour et d'espoir dans le jardin de leur vie.
Nous ne cherchons pas la reconnaissance ou les louanges, mais simplement le bien-être des autres.
Pourtant, il est parfois douloureux de voir nos efforts ignorés ou minimisés lors de simples désaccords.
C'est comme si chaque acte de gentillesse était effacé d'un trait de plume, remplacé par un voile d'indifférence.
Malgré cela, nous persistons dans notre quête d'être des sources de lumière dans un monde parfois obscur.
Car au fond de nous, nous savons que chaque petit geste de bonté laisse une empreinte indélébile dans le cœur de ceux que nous croisons sur notre chemin.
Et c'est cela qui donne un sens à notre existence : être un phare de douceur et de compassion, même dans les moments les plus sombres.
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claudehenrion · 2 months
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Est-ce moi qui suis fou ?
La période actuelle dépasse sans doute, en intensité dans la folie, la ration ''normale'' à laquelle ont eu droit nos parents, nos aïeux, nos ancêtres. Oh ! Je sais que, pour celui qui le traverse, le problème du moment est ressenti comme étant ''le plus ceci ou cela'' jamais survenu depuis le début de l'aventure humaine sur terre. Il n'empêche : je pense que les historiens du futur –s'il en reste... et s'il y a un futur, après l'absurdité actuelle-- s'étonneront de l'inconscience, de la superficialité de la cécité et avec lesquelles nous évitons les problèmes, les défis, les menaces...
Depuis les absurdités, incongruités et utopies dystopiques post-1968, et ''à pleins pots'' depuis l'époque noire (bien que officiellement rouge !) de Hollande, que les bonnes raisons de se faire du souci ne n'ont pas manqué : la Gauche s'est attaquée, de plus en plus clairement et de plus en plus visiblement à tout ce qui marchait, le plus souvent bien, parfois pas trop mal... mais aussi ''pas bien'', ici ou là. –jusqu'au stade actuel de la provocation violentissime permanente et de l'affirmation en pleine lumière de ses mauvaises intentions, exclusivement ravageuses.
Le monde occidental avait patiemment érigé une civilisation ''pas croyable'', qui concrétisait l'un après l'autre tous les rêves qui avaient bercé, sous-tendu et conduit l'Humanité depuis sa création, et il gardait assez de forces en lui pour corriger les inévitables erreurs survenues le long de ce long chemin glorieux. Il offrait en permanence une palette jamais imaginée au cours des millénaires : un groupe humain offrait au reste du monde le meilleur de ses inventions et découvertes : dans le cadre de la seule religion qui était ouverte à toutes les croyances et n'exigeait aucune adhésion a ses rituels en échange des cadeaux offerts, notre merveilleuse civilisation, dite ''occidentale'' mais en vérité ''judéo-chrétienne'', offrait la totalité où peu s'en faut de tout ce qui pourrait être considéré comme ''les besoins fondamentaux, permanents, trans-générationnels et trans-nationaux de tout être humain libre de ses choix''.
A en juger par ce que l'on constate ces temps derniers –et sauf un retournement à 180 degrés, toujours possible mais assez improbable en l'état actuel des choses-- il semblerait bien que les forces (exclusivement négatives) du progressisme aient réussi à mettre en grand danger tout ce qui marchait, vraiment pas mal du tout, et qui était prometteur de jours encore meilleurs et de correction des ''à peu près'' qu'il fallait, c'est certain-- améliorer à la marge. Ces fossoyeurs du monde ancien et de la seule chance de ''bonheur'' jamais croisée par l'Humanité en recherche ont eu deux idées particulièrement perverses –et particulièrement efficaces : en premier, s'en prendre à la jeunesse, proie facile s'il en est... et ensuite faire perdre tous sens aux mots, devenus des bouts de chewing-gum à peine bons à triturer dans tous les sens... jusqu'à leur faire perdre le leur.
Nous pouvons contempler aujourd'hui, avec un effroi qui se rapproche de la terreur, les premiers résultats des ''avancées'' (qui ne sont que d'immenses reculs) de cette tentative de retour vers des époques et des civilisations où pas un seul des réels progrès que l'Occident a ouverts et offerts au reste du monde n'était disponible : nous retrouverons bientôt une espérance de vie se ''baladant'' entre 27 et 43 ans, les maladies toute-puissantes, une médecine qui se mélangeait à la magie (cf les mesures ridicules prises ''contre'' (?) le covid), plus aucune des aménités qui rendent nos vies si douces (malgré quelques petits grincements, ici ou là), des transports impossibles, le confort même pas concevable, l'analphabétisme de définition et la culture une exception, les ratés et malformations considérés ''de base'', le sort de chacun ressemblant fort au malheur de tous...
Or, quels que soient les chemins tordus que les thuriféraires de cette malédiction réapparue empruntent pour nous faire avaler leurs mensonges et leurs dystopies, il n'est honnêtement possible de trouver qu'un seul chemin pour aller de l'ombre épaisse à la lumière éclatante d'où ces oiseaux de malheur voudraient nous faire sortir : c'est la voie qu'a inventé l'Occident et qu'elle a proposé au monde entier. Le succès rencontré fut immense... même s'il fut parfois difficile à voir venir et délicat à identifier comme tel. Et le prix de ce succès littéralement unique dans l'histoire de l'Humanité (seul, dans l'Histoire, l'empire romain a pu engranger des succès vaguement comparables, mutatis mutandis... mais il est un peu le grand-père du nôtre) a été une jalousie mortelle et impardonnable venant de tous ceux qui, n'ayant rien à proposer, ont inventé le syndrome fou de ''la table rase'' célébré par les notes superbes (hélas !) de l'Internationale.
Force est de constater –pour le déplorer, mais ça ne sert à rien !-- que, à force d'endormir les occidentaux génération après génération, les authentiques criminels que sont nos soi-disant ''progressistes'' ont réussi à endormir toutes les consciences... rendues inconscientes par décérébration progressive. Un exemple ? La tribune d'honneur de la lamentable cérémonie d'ouverture vers tout sauf les jeux olympiques (qui, Dieu merci, sont jusqu'à cet instant un franc succès) était remplie de gens qui représentaient ce qu'ils étaient : des noirs pour l'Afrique, des arabes et assimilés pour le monde musulman, des asiatiques de diverses souches représentant chacun leur pays, fièrement et avec juste raison... Seule l'Europe avait honte d'être elle-même, le fait d'oser exhiber une couleur blanche et un vieux christianisme fondateur étant du plus mauvais effet.
Nos dirigeants, poursuivant leur rêve, notre cauchemar mortel, cherchent désespérément à passer le message mensonger suivant : notre continent, décidément gravement incontinent, rêve de faire croire au reste du monde (qui, pas fou, refuse de telles conneries) que nous ne sommes plus ni un ni des peuple(s), ni une race, ni une civilisation, ni une Histoire, ni une ou des culture(s). Ces dystopistes pathologiques ont inventé une série de ''concepts-abjects'', au terme desquels nous ne serions plus qu 'un assemblage a-sexué --donc sans futur, c'est-à-dire destiné à disparaître le plus vite possible-- de diversité-inclusion-égalité, caractérisé sans caractère par une interchangeabilité (sélective, selon leurs seuls critères impossibles). C'est un comble qui devrait être classé ''gros mot'' tant le concept est con...  
Déjà les universités américaines parlent de la France en disant ''Gay-land'', ce qui fait mal aux sinophones qui se souviennent que, en mandarin, nous étions il y a peu encore ''Fa-Guo'', le pays de la Loi... et que grâce à notre absence totale de diplomatie, nous ne sommes même plus nommés, en Chine. Seulement méprisés. Les autres pays savent que les fantasmes ukrainiens 'à la française'' ont ramené la totalité de nos forces aériennes opérationnelles à un total moyen de 3 (je répète : trois) Rafales opérationnels : juste de quoi abuser les braves gens le 14 juillet.
Nous, LA FRANCE, ne sommes plus rien, sur l'Echiquier mondial. Plus rien du tout... sauf un sujet de pitié et de moqueries.. Mais ce n'est pas encore assez, aux yeux des progressistes qui se jouent de nous, comme ils l'ont fait avecr les élections bananières du mois dernier, ou pour le covid, avant ça, et comme ils s'apprêtent à le refaire à la première menace inventée de fausse pandémie qu'il s'apprêtent a nous imposer le plus tôt possible ! Plus vite ils nous aurons néantisé, plus vite ils pourront installer leur dramatique absence d'idées, de solutions, de réponses... visibles en clair dans l'amphigouri de l'anti-programme de ce qu'est devenue la Gauche, qui se résume en 4 ou 5 mots : tout détruire... au nom du progrès !
Français, mes frères, ressaisissez-vous : il est temps encore. Mais, comme dit le bon peuple, ''ça ne durera pas aussi longtemps que les impôts !''
H-Cl.
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C’est sûr, L'Hôtel de la Poste c'est pas la Villa Florentine. Au zinc, y'a Robert, le taulier. Un gars pas méchant, mais une gueule toujours bougonne, comme s'il avait mâché du gravier au petit-déj. Un matin, alors que Lyon s’éveille sous le crachin, une dame débarque. Elle est sapée comme pour un bal, mais sa binette dit qu'elle n'est pas là pour danser. C’est le genre de fille qui n'a pas mordu dans le gâteau de la vie du côté de la crème. « Bonjour beau brun, je cherche la chambre 12. Paraît qu'elle a vue sur le grand théâtre du monde », lance-t-elle avec un regard qui claque comme un coup de feu dans une ruelle sombre. Robert la zieute avec des mirettes qui ont l'air de fouiller jusqu’au fond de son âme et lui répond sur un ton grimaçant : « La 12, ma belle, c'est tout un poème. Fais gaffe, par contre, y'a des souvenirs accrochés aux rideaux qui pourraient te filer le cafard. C'est pas Versailles, hein, faut pas rêver. Les araignées sont les seules locataires qui râlent pas sur le loyer. La dernière fois qu'on a vu de l'espoir ici, c'était dans les yeux d'un poivrot qui avait réussi à remonter dans sa chambre sans trébucher. » Elle esquisse un sourire qui dit qu'elle en a vu d'autres. Le bonhomme ajuste ses binocles comme s’il allait plonger dans le grand bain des mots croisés et ajoute : « Au deuxième, ma p'tite dame. Mais je te préviens, les murs ont parfois des oreilles et la moquette capte les confidences mieux qu'une appli d'espionnage installée sur un smartphone. » Un sourire malicieux aux lèvres, elle rétorque : « T’en fais pas, la discrétion, c’est mon fonds de commerce. » Puis elle grimpe l'escalier en colimaçon. Ses jambes dessinent des ombres qui dansent sur les marches usées. Le bois grince sous ses pas. Ça sonne comme la mélodie d'une chanson que personne n'écrira jamais. Robert lâche un soupir et se remet à compter les miettes de son existence en se disant que si les chambres de ce rafiot pouvaient parler, elles feraient la nique aux meilleures pipelettes du quartier.
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amerrante · 2 months
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Les journées sont bien plus ennuyeuses,
Que les nuits,
Que je passais avec toi.
Et nous n'avons pas été dessinés par les Dieux des créations,
Les créatures que nous sommes sont destinées à mourir,
Lentement,
Doucement,
Par la course de la vie.
Et chaque fois que j'ose penser à toi,
C'est chaud comme le feu.
C'est doux comme le miel.
C'est magique.
Quelle douceur ta voix,
Quelle chanson ton toucher.
Mais je te connaissais beaucoup trop bien,
Tu es de ces mélodies qui s'envolent dans le vent,
Qu'on cherche à jamais.
Alors pourquoi avoir croisé ma route,
Me voilà te suppliant de revenir,
Te voilà me maudissant à jamais,
Voilà où tu te trouves, le chemin de l'enfer, le cul de sac de l'Univers.
À jamais enfermé dans ma tête.
Caresse-moi de nouveau avec ta langue.
Touche-moi de nouveau avec tes mots.
Fais-moi danser, rêver par tes gestes.
Fais-moi tienne pour l'éternité...
Où es-tu passé ?
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ltalaynareor · 2 months
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Le chemin de la voyageuse
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La brise chaude de Jérusalem caressait les murs des remparts de la cité, tandis que la silhouette élégante d'Alix se faufilait dans les ruelles étroites. Le crépuscule avait enveloppé la ville de sa lumière dorée, et elle savait qu'elle ne pouvait plus reculer. Son destin l'attendait au palais du roi Baudouin et elle était déterminée à accomplir son destin.
Alix avait réussi à gagner la confiance des serviteurs du roi et à se frayer un chemin jusqu'à sa chambre. Lorsqu'elle posa les yeux sur le jeune monarque affaibli par la maladie, elle ressentit une profonde tristesse et une compassion infinie. Sans hésiter, elle mit en œuvre ses connaissances médicales modernes pour soulager les symptômes de Baudouin et apporter un souffle de vie à son corps meurtri.
Les jours passèrent, et Alix fut étonnée de la rapidité avec laquelle Baudouin se rétablissait sous ses soins diligents. Le roi lui accordait son entière confiance, ignorant la véritable origine de la mystérieuse guérisseuse qui avait rejoint son entourage.
Pourtant, un matin, Alix disparut sans laisser de trace, laissant Baudouin désespéré et tourmenté par son absence soudaine. Il chercha partout, fit interroger les villageois, les commerçants, les voyageurs, mais aucun ne semblait avoir vu ou entendu parler de la jeune femme qui avait apporté un rayon de lumière dans sa vie sombre.
C'est alors qu'il découvrit une lettre soigneusement pliée sur son lit, ne contenant que quelques mots : "Sois un grand roi". Intrigué et ému par ce message énigmatique, Baudouin comprit que la disparition d'Alix était peut-être un signe du destin, sa maladie avait disparu et désormais il devait régner. Il pouvait régner.
Et tandis que le soleil se levait sur Jérusalem, Baudouin IV se tint debout, l'esprit rempli de détermination et de gratitude envers la mystérieuse femme du 21e siècle qui avait croisé son chemin et lui avait offert une lueur d'espoir dans l'obscurité de son existence.
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dropboxofcuriosities · 4 months
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Quand tu te disposes à résoudre les mots croisés mais que le sommeil décide de jouer sa propre partie d'échecs, 1950s.
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ohdaylight · 5 months
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A propos des rp & des gens qu'on rencontre dessus
Je n'écris jamais de post perso ici, c'est une galerie avant tout mais aujourd'hui j'ai envie de poster un petit mot par rapport aux gens rencontrer par les forums RPG.
Je suis sur les forum depuis plus de 18 ans (j'réalise pas du tout) et j'ai croisé un bon nombre de personnes, certaines que je reverrai sûrement jamais, d'autres avec qui je suis encore en contact presque 10 ans plus tard. Certains sont devenus des amis, d'autres m'ont traumatisé ad vitam aeternam par leur comportement (harcèlement, insultes,... j'en passe - les risques d'internet je suppose) et d'autres sont juste des connaissances que je ne connais que par leur pseudo. C'est un monde parallèle au monde réel qui me fascine et où je suis heureuse (90% du temps) d'évoluer.
La raison pour laquelle je poste c'est parce que récemment je suis retombée sur des joueurs que j'ai eu le plaisir de fréquenter IRL (après les avoir connu sur des forums) et certains sont encore sur les forums, d'autres non mais grâce à ce hobby j'ai pu me faire des amis que j'ai plaisir à retrouver des années après. Une s'est mariée récemment (🎉), un autre va sortir un livre (🎊), une vit sa vie rêvée en Angleterre et l'autre se réinvente dans une nouvelle ville après des années à se chercher...
Dans ces moments je réalise qu'on a tous grandi, on était souvent jeunes quand on s'est "rencontré" en ligne, et depuis on a évolué et changé mais ça me fait plaisir de les voir comme dans un avant/après. Même si on a perdu contact entre temps, il y a toujours ce bonheur de voir des gens qui ont compté pour soi (parce qu'on jouait ensemble ou parce qu'on était devenus amis) et j'avais envie de partager un peu de positivité.
Donc voilà, un post sans vraiment de moral mais que j'avais envie d'écrire quelque part.
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bleucommemonstre · 1 month
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10 août 2024
Et l’autre jour je me suis encore faite draguer par un type lambda chelou et ça a été la goutte de trop. Malgré la super soirée et les rires de mes amis j’ai ressenti à nouveau la lourdeur de ma peau sur mon corps et je me suis mise à étouffer dans la fête. En rentrant sur la route après avoir dit au revoir à mes copains, mon masque n’a pas tenu et j’ai fondu en larmes, et le pire c’est que je ne savais même pas trop pourquoi. En arrivant à la coloc j’avais tellement pleurer que tout mon maquillage avait coulé sur mes joues alors je suis allée toquer à la porte de H, un de mes colocs, et sans rien lui dire j’ai fondu en larmes à nouveau dans ses bras. C’était beau de sa part car après m’avoir demandé une fois ce qui allait pas et avoir vu que je répondais pas il a pas insisté et m’a serrée plus fort. Plus tard cette nuit là je suis retournée me caler dans ses bras, toujours sans un mot. Le lendemain quand je l’ai croisé dans la cuisine on a tous les deux fait comme si rien ne s’était passé, mais je sais qu’il y pense, je le vois à sa manière de me regarder avec pitié et incompréhension. Bref cette nuit là j’ai envoyé un mail (sûrement la seule app où il y’a une chance pour qu’il ne m’ait pas bloquée) à mon ex M, un truc que j’ai vite regretté une fois sobre qui se terminais par « j’espère que ça va M, sincèrement. J’aimerais te voir heureux un jour, même de loin. » Au passage j’ai vu que son adresse était toujours dans mes vip mais je me suis pas résolue pour autant à l’enlever. J’ai vaguement dit à mes amis proches ce qu’il se passait et j’ai reçue des mots doux, le lendemain je suis partie visiter Albi avec des copains et E m’a surprise en anticipant ma gueule de bois/ le fait que j’avais pas le moral avec des kinder Bueno et une bouteille d’eau. J’aime mes amis. J’apprends aussi à aimer mon hypersensibilité dont il me faisait me sentir coupable, tout comme ma mère ou mes anciens amis toxiques. J’ai pas choisi de ressentir tout aussi fort mais au moins j’aime d’un amour unique et intense. Je ne vais pas m’excuser d’avoir un grand coeur, comme ça je fais de la place pour tout le monde (j’aurais besoin d’un videur d’ailleurs), de cette manière je donne un petit bout de moi dans chacune de mes relations et je trouve ça beau. Y’a plein de choses que je trouve belles en fait. 
Ps: je recherche un videur de cœur du coup, si intéressé je paie en larmes. 
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cruelviolence · 18 days
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Lettre à toi 💌
Je ne sais pas pourquoi tu es dans mes pensées mais je sais pas pourquoi tu es toujours dans mon cœur. Je parcours mes rêves et dans certains rêves je te vois. Peu importe où que tu sois, j’espère que tu es heureux en ce moment, que tu trouves ton bonheur. Certes je ne t’ai jamais croisé mais tu apparaît comme un flash.
J’espère qu’un jour je te rencontrerai, que nos âmes se rencontrent pour déclencher la flamme de nos corps. Je veux pouvoir t’embrasser lentement, te caresser et te regarder comme si je te voyais pour la première fois. Tu n’es seulement qu’un rêve mais apparemment les rêves peuvent se réaliser il faut juste patienter et attendre mon tour. Je n’ai jamais été l’amoureuse de quelqu’un jusqu’à que tu rentres dans mes pensées. Je préfère de ne pas m’attacher à toi pour ne pas me faire de faux scénarios. Si tu n’es pas un cœur à prendre en ce moment je le comprendrais car je ne suis pas celle qui tu attendais. Mais j’espère croiser ton chemin un jour et savoir si mon cœur avait raison. Je ne sais pas encore si c’est réciproque mais pour l’instant ce sont ces mots là.
Ce n’est juste des mots et pas des actions. Si seulement je pouvais voler ton cœur pour que tu m’appartienne comme une dernière pièce de puzzle. Il me manque une dernière pièce et c’est toi. Je ne sais pas pourquoi c’est toi, mais tu es l’élu de mon cœur. J’attendrais le jour où je croiserai ton chemin. Mais en ce moment ton cœur déjà pris donc il est temps que je t’efface dans mes pensées et que je continuerai ma route. Comme si tu n’existais pas, que tu es un inconnu pour moi. Elle doit être tellement chanceuse de t’avoir j’aimerais être à sa place, de me réveiller à tes côtés, de t’entendre ta voix tous les jours comme un remède magique. Je veux être elle mais il n’y aura plus personne qui sera moi. Je vais rester être moi et t’attendre peu importe les heures, les mois et les années j’attendrai le moment venu.
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cendres-et-volcans · 8 months
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Ce sont tes musiques que j'écoute, elles me parlent dans une langue que je ne comprends pas et racontent des histoires qui m'échappent forcément.
J'y ai posé nos mots et notre vécu, elles ont ton visage a présent, tes yeux barrés de mèches que je voulais écarter.
Le matin surtout, elles s'écoulent sous les brulances aquatiques ou tu me rejoins.
C'est la voix de l'opérateur qui nous relie, c'est un chassé croisé entre la réalité, les souvenirs et les projections. Ce que tu es, malgré l'absence,est la magnificience de ce que tu fus avec moi cette nuit de brouillard et de taxi.
Et moi je vis de cette image, dans l'incertitude d'un appel ou d'un message, je puise force et conviction dans le tintement de tes poignets
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