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#robe enfant
4nuttyaddict · 7 months
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Robe d'été en coton noire pour fille (taille 6/8ans). Le vêtement se règle à l'aide d'une ceinture. Lien boutique: https://www.ungrandmarche.fr/boutiques/p/vetements-filles/robe-oceane-ceinture-reglable-enfant/4621785
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arphang · 5 months
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LES QUINCEAÑERAS DE RACHEL A LA HAVANE A CUBA
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sabinerondissime · 11 days
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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Advent Calendar 2023, Day X and XVII: Tenues d'hiver pour enfants
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SURPRISE!
I told you it would be worth the wait!
I know there are few dates where I've been behind. But I thank you for your patience. Working 13 hours a day six days a week on top of being super sick, and then staying up into the late hours to make sure posts went out has been quite a lot for me. But things are coming!
I'm finally able to release the gifts that were due the last two Sundays (Dec 10 and 17th)! There were last minute drama's for each of them, but they are now fit and ready to go!
A huge thank you once again to @historicalfictionsims for her help in converting the dress from an adult frame to a child frame. Many may remember the dress in my previous advent calendar, as it was worn on one of my deco sims, but the dress was too broken and I didn't have any knowledge of how to fix it at the time. So with her help I was able to finally make this dress functional! And of course a huge thank you to @buzzardly28 as well for helping with all the clipping issues! We did it! <3
Robe d'hiver d'Odile
A conversion of @batsfromwesteros Elisabeth Winter Dress from Adult to Child
100 Swatches
Suitable for Children
Tenue d'hiver d'Eugène
A Frankenmesh edit of a top from @historicalsimslife Bodacious Boy's Suit and bottoms from @peebsplays skeleton suit
100 Swatches
Suitable for Children
My TOU:
Do NOT claim as yours.
Do NOT put edits behind paywalls/early access.
Do NOT reupload my content.
Recolours are allowed, so long as you do not include the mesh and give credit where credit is due!
If you feel so kind, please tag me if you use them! Would love to see your sims! (@theroyalthornoliachronicles)!
Download (Always Free!)
Patreon | SFS | Curseforge (Odile) | Curseforge (Eugène)
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elodiecsu · 7 months
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Ce matin nous déjeunons après avoir déposer les enfants.
Puis canapé ou je m’allonge en mettant mes pieds sur tes jambes, tu es assis .
Tu masse pieds , jambes, cuisses, mes seins.
Te voilà sur moi , entre mes cuisses, ta bouche sur mon cou , une protubérance presse mon entrejambe.
Tu enlèves ton sweat-shirt, sors mes seins de mon soutif et les lèches.
Tes fesses sont précieuses dans mes mains et mon bassin gigote contre ton pantalon.
Tu sors ta verge par ta braguette, je n’ai pas le temp de la saisir que tu ecarte mon body et remonte ma robe .
Un missionnaire de père et mère s’en suit puis affaler , jambe sur tes épaules, ta verge est maintenant une queue large qui me fait couiner comme une amante .
Cette queue devient une bite affamée qui s’engouffre dans mon petit trou en me rappelant que tu dois te vider, telle est ton devoir de féconder.
Tu m’embrasse, referme ta braguette , ta verge et toi doivent aller en ville .
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chic-a-gigot · 6 months
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La Mode illustrée, no. 11, 13 mars 1870, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel, 28, r. Nve. des Pts. Champs. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe de faye bleue de teinte moyenne, garnie sur son bord inférieur d'un volant plissé à la grecque ayant 20 centimètres de largeur et dont la tête de 3 centimètres est marquée par un biais de velours bleu. Corsage ouvert en châle avec revers de velours; manches justes à grands parements de velours. Ceinture de velours.
Enfant d'un an à quinze mois. Robe de piqué blanc garnie d'entre-deux en grosse guipure blanche, posé sur du ruban rouge en deux rangées sur le bord inférieur, en pattes sur le corsage décolleté. Ceinture et souliers rouges.
Robe de foulard nuance mode, à fines rayures noires. Cette robe ronde est garnie d'un haut volant (35 centimètres de largeur) surmonté d'un bouillonné; tunique pareille, bordée seulement d'un bouillonné dont la largeur est de 4 centimètres. Cette tunique, dont les lés sont séparés de chaque côté sous le bras, est drapée à l'aide de nœuds faits avec du ruban rouge; corsage ouvert sans manches, en même étoffe que la robe. Guimpe montante en mousseline blanche avec manches longues; ceinture rouge. Mêmes nœuds d'épaule; ruban de velours rouge au cou. Les lés de derrière de la tunique bouffent beaucoup en ce qu'ils ont été coupés plus longs que ceux des côtés.
Medium-colored blue faye dress, trimmed on its lower edge with a Greek-style pleated flounce 20 centimeters wide and whose 3-centimeter head is marked with a blue velvet bias. Open shawl bodice with velvet lapel; fair sleeves with large velvet facings. Velvet belt.
Child from one year to fifteen months. White pique dress trimmed with large white guipure inserts, placed on red ribbon in two rows on the lower edge, in tabs on the neckline bodice. Red belt and shoes.
Fashionable foulard dress with fine black stripes. This round dress is trimmed with a ruffled top (35 centimeters wide) topped with a bubble wrap; similar tunic, bordered only by a bubble, the width of which is 4 centimeters. This tunic, whose strips are separated on each side under the arm, is draped with knots made with red ribbon; sleeveless open bodice, in the same fabric as the dress. High white chiffon wimple with long sleeves; red belt. Same shoulder knots; red velvet ribbon at the neck. The back strips of the tunic have a lot of puff in that they have been cut longer than those on the sides.
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selidren · 6 days
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
3/3
J'aurai du également vous le dire au début de ma lettre, mais il se trouve que je vais sans doute organiser mon mariage sous peu. Oui, je sais bien que je suis encore très jeunes, mais je suis aussi très amoureuse de Jean. Et si cela peut me faire échapper à un mariage arrangé par ma grand-mère (oui c'est d'un autre temps, mais elle en est tout à fait capable, d'ailleurs, elle est elle-même d'un autre temps), je ne vois pas où serait le mal. Après tout, comme me l'a répété mon père lors de mon anniversaire, c'est à présent à mon tour de produire le prochain maillon de la chaîne : un héritier. Grand-Mère lui a drôlement bien appris sa leçon. Serais-je la même un jour ? A sermonner mon fils ou ma fille pour qu'il ait des enfants au plus vite ? Je ne l'espère pas, d'ici là je prie pour que les temps aient changé.
J'attends avec impatience de vos nouvelles.
Noé
Transcription :
Jean « Tu es magnifique ! Cette coupe te va bien mieux qu’à Cléo ! »
Arsinoé « Tu trouves ? Quand j’ai vu les mèches par terre, j’ai presque été prise de vertiges. J’ai regretté, mais trop tard. »
Jean « Ne regrette pas, c’est inutile. Ton visage est vraiment mis en valeur. »
Arsinoé « Je n’en peux plus d’attendre la fin de ces rencontres clandestines dans l’obscurité. »
Jean « Et sous la pluie pour couronner le tout ! »
Arsinoé « Pour te voir, j’affronterai les pires tempêtes ! Qui se préoccupe de quelques gouttes franchement ? »
Jean « Moi. Tes robes toutes neuves vont être trempées, et tu risques de tomber malade de plus. Et puis je vois d’ici que tu frissonnes. »
Arsinoé « Alors tiens moi chaud ! »
Arsinoé « Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté la Butte au Chêne. On ne voit bien moins qu’avant, et la paie était pourtant meilleure. »
Jean « J’avoue que fréquenter la patronne est plutôt avantageux pour ma fiche de paie, mais ça me mettait trop mal à l’aise vis-à-vis des gars. Et puis, je n’ai pas envie de bénéficier d’un traitement de faveur, je ne le mérite vraiment pas. Non, crois moi. C’est mieux de travailler à l’épicerie. »
Arsinoé « Kleber est un ami de mon frère, tu le sais ? »
Jean « Vous avez des amis partout Noé ! En tous cas, il me fait trimer comme un galérien, mon argent est bien mérité. »
Arsinoé « Et de toute façon, quand nous serons mariés, tu travailleras avec moi à diriger l’entreprise. »
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francepittoresque · 1 month
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13 août 1826 : mort du médecin René-Théophile-Hyacinthe Laennec, inventeur du stéthoscope ➽ http://bit.ly/Rene-Theophile-Laennec Né le 17 février 1781 à Quimper d’une famille appartenant à la noblesse de robe, il avait pour père un avocat frivole et intrigant, qui rimait des vers galants et réussit à vivre quatre-vingts années en coquetant avec tous les régimes politiques, se désintéressant complètement de ses enfants
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4nuttyaddict · 1 year
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Robe océane en coton accompagnée de sa ceinture réglable. Lien boutique: https://madeinchezvous.com/boutique/robe-oceane-ceinture-reglable-enfant/
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swedesinstockholm · 1 month
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28 juillet
je me suis forcée à sortir pour aller au vide-grenier au maybachufer parce que j. m'a demandé quel était mon plan pour la journée et je voulais pas dire rien. même si j'avais pas envie de dépenser de l'argent et que de toute façon j'ai pas de place pour ranger mes habits dans ma petite chambre. la moitié de mes affaires sont toujours dans ma valise et ce qu'il me faut c'est pas des habits mais une planche pour pour m'en servir comme étagère pour poser les habits que j'ai déjà.
je suis allée me promener après et je me sentais vide. j'avais faim, donc je me sentais encore plus vide. je me sentais fantomatique. j'étais un fantôme qui marchait sans but en suivant des gens au hasard, notant des bribes de leurs conversations mais rien de bien intéressant. au bout d'un moment j'ai décidé de juste avancer tout droit. c'était moche, tout était moche et sale et délabré. je me suis rendu compte que depuis que j'étais ici j'avais pas vu de gens chics. des bourges avec des habits bien coupés, des gens en costume, des gens riches. les gens que j'avais l'habitude de croiser au luxembourg quand je sortais de la maison. ici je vois que des pauvres ou alors des jeunes qui sont probablement des enfants de bourges mais qui sont habillés comme des pauvres. mon environnement ici c'est des restaurants turcs avec des photos de plats sur les devantures, des bars à chicha qui sentent la réglisse avec des hommes vautrés dans leurs fauteuils, des squares glauques jonchés de bouteilles en verre, des graffitis, des odeurs de pisse, des graffitis, des objets en tout genre qui trainent sur le trottoir (l'autre jour j'ai vu un tampon ensanglanté) eux aussi recouverts de graffitis (pas le tampon), des sans-abris qui s'excusent d'être là et des détraqués qui rôdent. j'aime bien sentir l'odeur de réglisse quand je passe devant les bars à chicha, même si n. dit que ça sent pas du tout la réglisse. et j'aime bien être constamment surprise par ce que je vais trouver au prochain coin de rue. mais un de ces jours je vais aller me promener dans les rues de mitte chez les bourges avec les magasins élégants, même si j'y rentre pas, juste pour le réconfort. c'est pas dans l'air du temps d'aimer les riches mais j'aime le luxe c'est comme ça je suis indécrottable.
depuis que j'ai eu ma révélation là devant la téléréalité lesbienne dans le bar et que j'ai compris que j'arriverais sans doute jamais à lâcher prise sans aide thérapeutique je me demande ce que je fais ici de nouveau. étant donné qu'un de mes buts en venant à berlin c'était de goûter à la fête, même si j'osais à peine me l'avouer tellement ça me semblait ambitieux. maintenant ça me semble encore plus utopique et je me sens un peu découragée.
29 juillet
je dois changer quelques chose à mes journées. elles sont pas équilibrées. je passe trop de temps à procrastiner. je veux faire trop de choses en même temps et à la fin j'avance dans rien. au rythme où je vais je vais mettre mille ans à finir mon livre. je dois aussi arrêter de sortir sans but. aujourd'hui je suis partie à mitte et prenzlauerberg mais c'était pas un but assez précis. j'ai fait du lèche-vitrine (ça existe encore ce mot?) dans la alte schönhauser strasse et je me suis rappelé de la fois où j'avais essayé une robe marimekko dans un des magasins blancs minimalistes avec des habits aux coupes épurées. je suis passée devant le magasin ace & tate où j'avais essayé des lunettes roses transparentes pour tenter de compenser mes nouveaux cheveux courts que j'aimais pas. près du berliner dom au bord de l'eau où j'avais eu une conversation stressante au téléphone avec maman l'été avant de déménager à paris parce que j'avais toujours pas commencé à chercher des apparts. devant un chantier que j'avais pris en photo en 2016 et qui n'est plus un chantier. devant le café où j'allais tous les soirs en haut de la kastanienallee pour pleurer sur miriam dans mon journal. le tout petit cinéma où j'étais allée voir le doc sur audre lorde. le rosenthaler platz où on avait mangé dans un resto indien avec robert l'américain qui m'avait dit de lire norwegian wood de murakami you know like the beatles song mais non je connaissais pas. le rosenthaler platz où six ans plus tard j'ai failli m'effondrer sur le trottoir en hurlant parce que je me sentais seule et que j'avais besoin qu'on fasse attention à moi. aujourd'hui ça allait. j'avais mangé avant de partir et je suis rentrée avant d'avoir l'impression de disparaitre. je suis passée chez lidl et je me suis fait un énorme plat de linguine aux courgettes-mozza. hier soir j'ai mangé des chips et du chocolat. à chaque fois que je passe à côté de gens qui mangent en terrasse je me demande ce qu'ils font pour gagner de l'argent.
30 juillet
j'ai recommencé à poster mon journal sur tumblr. j'attendais la fin du mois pour m'y remettre. je l'attendais avec impatience, comme s'il me tardait de raconter la suite de l'histoire à mon tout petit lectorat fidèle. comme si c'était vraiment une histoire. ou comme si j'étais une youtubeuse mais sans arrière-pensée et qui s'adresse à personne à part à elle-même. ce soir je suis allée voir une performance dans un studio d'artistes dans une arrière-cour à kottbusser tor. j'avais demandé à n. de m'accompagner et elle voulait absolument que j'aille parler à la performeuse à la fin pour lui dire que moi aussi je faisais de la performance pour essayer de gratter des contacts mais évidemment j'ai pas osé. elle m'a dit remember in berlin you're someone who talks to people! mais j'ai dit it doesn't work like that. je peux pas devenir quelqu'un d'autre en claquant des doigts. elle a dit alcohol helps et j'ai dit but i don't drink et je me suis sentie comme une cause perdue. lara tu fais vraiment tout à l'envers. finalement c'est elle qui est allée lui parler et moi j'ai rien dit parce que j'avais rien à dire.
j'ai moyennement aimé la performance. je savais que j'allais moyennement aimer rien qu'en lisant le texte de présentation qui sonnait creux avec tous ses concepts à la mode qui veulent rien dire là, mais je lui ai laissé le bénéfice du doute. on m'a fait poser mes chaussures et manger un bonbon au gingembre ignoble, n. m'a dit pourquoi tu l'as pas recraché? et ça m'était pas venu à l'esprit. j'ai bien aimé la partie où l'artiste a fait lire un texte intitulé the curse of the undercurrent à une participante et c'était une liste de mots en under- comme underkissed, undertouched, underloved et plein d'autres mais évidemment c'est ceux-là qui m'ont interpellée et puis quelqu'un d'autre a lu le spell of the undercurrent qui était l'antidote et c'était juste une répétition du mot understanding. elle a demandé à plusieurs personnes de l'enregistrer avec leur téléphone et puis de jouer tous les enregistrements en même temps mais pas synchronisés. j'ai trouvé ça cool, mais c'est tout. j'ai rien compris à ce qu'elle voulait dire à la fin. j'ai dit à n. que j'étais plus intéressée par les trucs moins artsy et plus divertissants, avec une histoire plus facilement discernable, de la musique, des trucs concrets.
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pitite-xena · 2 months
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Love love love
L'autre soir, ma grand mère était en train de retoucher mes robes pour le mariage de ma cousine. Pendant ce temps mon chéri lisait une histoire aux enfants.
Il en était à cette page :
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Quand je suis descendue pour lui montrer le résultat. Déjà j'ai vu son regard, je me suis sentie comme ça
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Et là il dit : "Vous savez quoi les enfants, moi aussi j'ai trouvé ma brique"
Excusez moi, je fonds d'amour et je reviens 🥰🥰🥰
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gavroche-le-moineau · 7 months
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L’air de la misère / The air of misery
We're at this part in Les Mis Letters so here is my translation and annotations of one of Fantine's songs on the Original Concept Album, "L'air de la misère." The tune of this song would get used in the final musical as Éponine's "On My Own."
You can find a PDF of the translation here: L'air de la misère
youtube
[Fantine] J’avais des si jolis défauts j’étais rêveuse, j’étais coquette un peu naïve, mais pas trop pour ne jamais perdre la tête et je me faisais fête¹ d’un chant d’oiseau, d’un jour nouveau Je n’ai plus qu’une robe grise qui sert aussi de couverture quand le vent glacé de l’hiver tourne la nuit dans ma masure et plus beaucoup d’honneur de dignité au fond du cœur
[Fantine] I had such pretty flaws I was a dreamer, I was a coquette A little naive, but not too much So as to never lose my head And I used to look forward¹ to a bird’s song, to a new day I have no more than one grey dress That also serves as a blanket When the icy winter wind Swirls around my hovel at night And not much honor left Or dignity at the bottom of my heart
NOTE 1. “je me faisais fête” – While “se faire une fête de” means “to look forward to,” I think it’s important to point out that within this phrase is “faire fête,” meaning to celebrate, literally to have a party.
La misère n’est mère de personne² la misère est pourtant sœur des hommes mais personne sur terre n’en veut pour fille comme bâtarde née dans un cachot de la Bastille La misère enfante la détresse bien des vices et toutes les faiblesses³ la misère lâche la bête en l’homme et la mésange alors en chienne errante se transforme⁴
Misery is the mother of no one² Misery is nevertheless a sister of men But no one on this earth wants her for a daughter Like a bastard born in a dungeon of the Bastille Misery gives birth to distress Plenty of weaknesses and all frailties³ Misery lets loose the beast in man And the chickadee transforms into a stray dog⁴
NOTES 2. “La misère n’est mère de personne” – It is important to keep in mind throughout this song that “misery” in French is feminine, so it is referred to as a mother, sister, daughter, etc.
3. “des vices… des faiblesses” – “Vices” could just as well be translated as “vices” and “faiblesses” as “weaknesses / feebleness.” I simply chose the two English words that I thought sounded best.
4. “la mésange alors en chienne errante se transforme” – Remember again that misery is feminine, so in this phrase we have “la mésange,” which is a small cute bird (family Paridae which includes tits, titmice, and chickadees) with a feminine noun, and the noun for dog here is also feminine. In English the word for a female dog, a bitch, has strong negative connotations whereas the word used here, “chienne” can simply mean a female dog, so I chose to translate it as “dog.”
Il faut qu’on se sente survivre dans un enfant qu’on a fait vivre⁵ et qu’en sa source d’innocence on noie notre désespérance⁶ pour ne pas mettre fin à cette vie sans lendemain [Refrain]
You need to feel you are surviving In a child you brought to life⁵ And in whose source of innocence We drown our hopelessness⁶ So as not to put an end To this life with no tomorrow [Chorus]
NOTES 5. “survivre ... vivre” – I want to highlight the chosen words here. “Vivre” means “to live” so it’s easy to recognize it in the word “survivre” (to survive) and the phrase “faire vivre” (to bring to life / to give birth to). In addition, while I translated these lines using the pronoun “you,” in French the pronoun is “one.”
6. “source d’innocence … on noie” – Here, the word “source” is exactly equivalent to the English, but should evoke the meaning “the source of river / spring / of water” due to the next line which refers to drowning in this source. In this sentence, the literal French is again “one drowns” (which can also be translated as “you” or the royal “we”), however “notre désespérance” explicitly uses the word “our” for “our hopelessness.”
I've always thought it was interesting that Fantine got two songs in the Original Concept Album- this one, in addition to "J'avais rêvé d'une autre vie" which is the direct equivalent to "I Dreamed a Dream." In order, L'air de la misère comes before she sells her hair, while I Dreamed a Dream comes after and ends with reference to her sex work, and what would become the song "Lovely Ladies."
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gogmstuff · 1 year
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Some more 1780s big hair fashion -
Top left  ca. 1780 Robe à la française (location ?). From fripperiesandfobs.tumblr.com-page/2 1548X1146.
Top right  ca. 1780 Robe à l'anglaise (Museo de la Moda - Santiago, Chile). From 18thcenturylove.tumblr.com-tagged-robe+a+l'anglaise-page-2 1678X1250.
Second row  ca. 1780 Four views of robe à la Polonaise (Metropolitan Museum of Art - New York City, New York, USA). From their Web site 2893X1315.
Third row  ca. 1780 Robe à la Polonaise (Metropolitan Museum of Art - New York City, New York, USA). From their Web site 900X1200.
Fourth row  1781 The Tea Garden by ? (British Museum - London, UK). From their Web site 3968X5518.
Fifth row  1781 (probable exh' date) Adélaïde Genet, Madame Auguié (1758-1794), sister of Mme. Campan by Anne Vallayer-Coster (Sotheby's - 8Jul09 auction Lot 41). From their Web site; fixed spots w Pshop 3428X4290.
Sixth row  1781 Ernestine Fredérique, Princess de Croy by Élisabeth-Louise Vigée-Lebrun (Nationalmuseum - Stockholm, Sweden). From Wikimedia 1067X1349.
Seventh row  1783 Madame Charles Mitoire, née Christine-Geneviève Bron (1760-1842), avec ses enfants by Adélaïde Labille-Guiard (Getty Museum - Los Angeles, California, USA). From their Web site; fixed spots & edges w Pshop 2332X2965
Eighth row  ca. 1785 Princesse de Lamballe by French school (location ?). From servimg.com-view-18669219-6356 812X973.
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tormentedfeelings · 5 months
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✨ Illustration Noah & Allie - The Notebook ✨
Lorsque j'ai découvert la nouvelle chanson de Taylor Swift "But Daddy i love him", j'ai tout de suite penser a eux et j'ai eu envie de les redessiner. J'espère que vous apprécierez. Mon style semble être différent en quelques mois 💜
"Maintenant je cours avec ma robe déboutonnée
Criant, "Mais, papa, je l'aime"
Je porte son enfant
Non, ce n'est pas le cas, mais vous devriez voir vos visages
Je lui dis d'accélérer à travers les clôtures
Non, je ne reviens pas à la raison
Je sais que c'est fou
Mais c'est lui que je veux"
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les-cris-des-fendues · 2 months
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Ph. La bouquiniste
Une bible pour moi, toute annotée, emplie de drôlerie et d'impertinence, à une époque révolue ou la femme commençait à sortir tous les "dossiers"... Dans le même registre mais plus littéraire et perso je dirais, "Parole de femme" d'Annie Leclerc, un autre texte liturgique rendu à la femme et à l'homme de la femme par une femme...
FLORILÈGE:
"Pour comprendre Freud, chaussez des testicules en guise de lunettes", disait un surréaliste à André Breton. Tout le drame de la femme est là : Freud la regarde du haut de ses testicules, elle n'est pour lui qu'un homme castré et qui en a la douloureuse conscience.
*
Pour la médecine, c'est le professeur Charcot qui déclare en remettant son diplôme à Caroline Schultze : « Voilà donc les femmes médecins maintenant ! Ces prétentions sont exorbitantes car elles sont contraires à la nature même des choses, comme elles sont contraires à l'esthétique. »
N'est-il pas touchant de voir comme, de Freud à Charcot en passant par Coubertin, c'est toujours au nom de notre beauté qu'on nous ramène à la niche !
*
Pour eux, la fente, c'est le Diable : velue sous la robe, elle est ouverte à l'ordure et charrie le sang menstruel qui est l'"horreur informe de la violence". Très vieux langage qu'un style parfois admirable ne suffit pas à justifier. Le désir se réduit au goût pour ce qui est sale, dégradant et destructeur, donc pour la mort. Nous progressons là en terrain connu et sous la houlette du "Divin Marquis", qui eut au moins le mérite de manifester ouvertement "le plus monstrueux mépris de la femme qui ait jamais fondé une philosophie".
*
"L'homme tire sa dignité et sa sécurité de son emploi. La femme doit l'une et l'autre au mariage." Jean Foyer, ministre de la Justice, février 1973. C'est clair mon petit ? Que tu sois entrée première à Polytechnique, Anne-marie Chopinet, que tu sois sortie major de l'E.N.A., Françoise Chandernagor, que tu aies reçu la croix de guerre, Jeanne Mathez, que vous ayez gravi à votre tour un peu plus de 8 000 mètres, petites Japonaises du Manaslu, que vous ayez élevé seules vos enfants dans les difficultés matérielles et la désapprobation morale, vous autres les abandonnées ou les filles mères volontaires, que vous soyez mortes pour vos idées, Flora Tristan, Olympe de Gouges ou Rosa Luxembourg, que tu aies été une physicienne accomplie, Marie Curie, alors que tu n'avais pas le droit de vote, tout cela et bien d'autres actes héroïques ou obscurs ne vous vaudra ni dignité ni sécurité. C'est un ministre qui l'a dit. Non pas au Moyen-Age. Pas au XIXe non plus, vous n'y êtes pas. En 1973. Il s'adressait à vous et à moi pour nous redire après tant d'autres que tout valeur pour la femme ne peut procéder que de l'homme.
(Ceci vous parle? kamala par exemple qui vient de s'adjoindre un gros nounours masculin pour rassurer la populace effrayée par cette Gorgone...)
Etc, etc, etc, etc, etc......
Mes belles Dames, si vous avez des filles et des garçons en âge de se questionner sérieusement sur la condition qui a été faite aux femmes, c'est un beau présent que vous leur ferez que ce livre, ainsi qu'à l'humanité future. Plus rigolo et percutant, à mon goût que le deuxième sexe de tata Momone.
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cafes-et-friandises · 5 months
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┃ Retour dans le temps
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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Xiao
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ ­ ­ 𝚁𝙴𝙰𝙳𝙴𝚁 ▹ ♀ Féminin
─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ ­ Little Xiao | ♥ Romance | ♥ Rougeur en excès | ♥ Tendresse | ☆ Happy Ending
─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S
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Note ­ ­ ▹ Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : ❝ Retour dans le passé ❞, je me suis décidée à modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problèmes avec le déroulement et la fin. Résultat, c'est un grow up de 1,6k de mots à 3.8k, j'espère que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ! ❞
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─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas réellement sûre de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispé s'était installé sur tes lèvres, alors que ton regard ne pouvait s'empêcher de disparaître sur la petite forme s'accrochant désespérément à sa jambe. Si la journée t'avait semblée classique, elle avait vite changée alors même que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiosité. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lèvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te répéter, essayant visiblement de comprendre, elle-même, ces mots rapportés par Souffle-Nuage.
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─ ­ ­ ­ « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant à cause de certains esprits, d'après Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'étant pas épanché sur le sujet. « Elle est restée assez évasive à ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractère, je ne suis pas sûre qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
─ ­ ­ ­ « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues légèrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans détour. C'était peu dire si ton cœur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complément prisonnière de ce petit être adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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─ ­ ­ ­ « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lèvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment être à la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois répété que : " Tu étais trop maladroite pour te protéger ". Suite à sa déclaration, il s'était fait un point d'honneur à te protéger, comme si tu étais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagé, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mécontent transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placées sur le haut de sa tête, te dévisageant comme si tu étais devenue une créature étrange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus même y voir naître une certaine affection.
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─ ­ ­ ­ « Je vous le confis, (T/P). Faîtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractère. »
─ ­ ­ ­ « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais à la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas sûre qu'il vo-... »
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Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se décrocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, était en réalité un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas délicatement tes lèvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. Léger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton étreinte. Ses bras s'enroulèrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gêne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutôt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
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─ ­ ­ ­ « Nous serons à l'étage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
─ ­ ­ ­ « Sans problème. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurée d'avoir trouvé une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout à l'heure (T/P). »
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D'un signe de tête pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entée de l'auberge. Mal à l'aise à cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hâte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hâte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, étrangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'était à peine si d'ordinaire, il t'épargnait ne serait qu'un coup d'œil. Même si son aura n'était pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait légèrement à te détailler sans rien dire.
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─ ­ ­ ­ « (T/P). »
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Il avait marmonné ton prénom sans même s'en apercevoir, comme s'il cherchait à comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que très faiblement, un petit sursaut te traversa l'échine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posèrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tête semblait réfléchir à toute allure, ne s'attendant clairement pas à recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prénom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas réponse à te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
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─ ­ ­ ­ « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
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Même si sa timidité te paressait très claire, tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter au vu de sa petite main fermement accrochée au-dessus de son cœur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire à sa situation ? Et si Souffle-nuage n'était pas au courant ? Légèrement stressée, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bâtiment. À peine arrivée, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'après devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait à la fois mal à l'aise et étrangement perdu, ce qui était plutôt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ? »
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Muré dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'épargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir à votre première rencontre, mais cela n'allait pas te décourager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais déjà fait parler ou apparaître devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prêtait une oreille attentive. Malgré toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lèvres tandis que tes doigts passèrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. Détournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
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─ ­ ­ ­ « C'est ici que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remémorant sans peine cette première rencontre, elle était gravée dans tes souvenirs. « Tu étais aussi froid que la glace et bien trop méfiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, à ce moment-là, même si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dérangé, je t'ai trouvé magnifique. » Te remémoras-tu avec un petit rire, ayant facilement capté l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvé vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
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Ton regard était si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'années. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brûlait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomètres de terres avant d'exploser littéralement de gênes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu à tes lèvres écoutant sagement tes divagations.
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─ ­ ­ ­ « Ce jour-là, je ne regrette pas de t'avoir rencontré. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cœur battait rapidement, alors que tes joues se colorèrent très légèrement de rosé. « Mon sens sixième sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lâcherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas à t'arrêter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
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À la fin de ta confession, bien que ce soit à mini-Xiao et non à l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brûlait de rouge. Il ne comprenait pas, à son âge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutôt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps réagissait comme ça. Il sentait son visage brûler, son cœur battre dans ses tempes alors qu'il semblait à deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, même si ça lui faisait mal, il se sentait bien et étrangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'étaient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois à son haut. Son regard perdu sur le parquet en chêne de l'auberge, il ne remarqua pas l'état de panique dans lequel il t'avait plongé, trop assourdit par ses propres battements de cœur erratique, pas encore habituer à son ouïe de Yaksha.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser délicatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
─ ­ ­ ­ « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer légèrement en rencontrant l'inquiétude présente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
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Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer légèrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissèrent de ses joues, légèrement rassurée, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-être. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un réel bonheur. Son visage rayonnait, il était bien différent de son lui habituel composé voir indifférent, il était rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lèvres se courbaient très légèrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il être aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'à l'imaginer, tu sentais ton cœur fondre devant ce petit être adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tête la première sur les genoux du mini-Xiao.
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─ ­ ­ ­ « Je suis soulagée. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empêcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
─ ­ ­ ­ « Désolée (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincère en détournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. » 
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Même s'il était bien différent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou réflexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'était rafraîchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cœur tout en parlant, ton esprit ne put s'empêcher de s'emballer pour faire écho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses précédentes qui te répondaient à ton souhait. Même si tu essayais d'oublier l'idée, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'étirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
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─ ­ ­ ­ « Il te met mal à l'aise ? »
─ ­ ­ ­ « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression étrangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des câlins ou me porte. J'aime aussi écouté (T/P) parler. »
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Ne devras-tu pas l'arrêter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas où Xiao se souviendrait de ce moment et pour préserver ses pensées. Mais ton cœur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. Même s'il était un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus âgé, il était impossible qu'un bambin puisse développer une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a à peine dix minutes. Le choix était compliqué, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir à ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. Adossée contre le mur extérieur de l'auberge, tu regardas d'un œil tendre le petit garçon manger, enfin dévorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflèrent comme celles des hamsters. Il était bien trop craquant pour ton pauvre petit cœur.
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─ ­ ­ ­ « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'étouffer. Ne t'inquiète pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
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À quel point pouvait-il être adorable ? N'y tenant plus, tes lèvres se posèrent sur sa joue, absolument conquise par le petit être innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se défaire de ton emprise, appréciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lèvres sur ses joues. Comment était-il arrivé à s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains étaient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement à sa situation, ses souvenirs remontant petit à petit à la surface. Pas encore noyé dans la gêne, pas réellement conscient de la quantité de baisers déposés sur ses petites joues, il se laissait faire.
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─ ­ ­ ­ « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dévorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
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Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire résonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal à s'imprimer, mais dès qu'elles le furent, tout son corps brûla de gêne, il s'était complètement raidi dans ton étreinte. Cet homme voulait disparaître. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment réagir. Il était mortifié. Il voulait partir et en même temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le câlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait à nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait déjà. Alors pour une fois, pouvait-il céder à son désir égoïste ? Avec son corps dans cet état, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. Même si sa rigidité et sa loyauté au souverain de la roche l'appelaient à faire son devoir, son souhait, son désir, mortel d'être tenue entre tes bras prenaient le pas.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime tellement Xiao. »
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C'était une confession naïve et imprudente à faire à un Yaksha, c'était ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cœur raisonné dans tout son corps. Même s'il se sentait légèrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sûrement ces sentiments à son lui enfant, mais il en était quand même heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit à petit. Il se sentait étrangement lourd. Est-ce à cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. Apaisé, par le sommeil et ton cœur battant contre son sommeil, il se laissa bâiller à s'en décrocher la mâchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
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─ ­ ­ ­ « Il faut croire, que tu sois en modèle réduit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'œil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
─ ­ ­ ­ « Merci. Je t'aime. »
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C'était un murmure. Un murmure qui aurait dû être inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cœur comme un fou. Avais-tu rêvé ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. Déposant l'assiette de côté, tu t'étais résignée, déplaçant ton regard sur le côté pour s'égarer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux désordonnés de l'enfant. Petit à petit Morphée t'entraîna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraîche que des heures plutôt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea précautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hésitait à caresser tendrement à ta joue. Il avait peur de te réveiller. Est-ce une erreur de t'avoir répondu ? Était-ce son erreur de t'aimer ? Les humains étaient éphémères... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours été idéaliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'était une faiblesse, pour elle, il pouvait être la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait à en faire l'expérience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime, (T/P). »
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Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, même si dormait. Sa main gantée glissa tendrement sur ta joue, elle était hésitante, de peur de te réveiller. Pourtant, ça fait déjà quelques bonnes minutes que tu étais réveillée. Aussi délicat qu'il le voulait, il était impossible que tu ne te réveilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnés d'un délicat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
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─ ­ ­ ­ « Moi aussi, Xiao. » Lui répondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosées. « Tu repars ? »
─ ­ ­ ­ « Je... Oui. »
─ ­ ­ ­ « D'accord... J'attendrai. »
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Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y céder. Tu étais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'à ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chérirait à travers les âges. Celle qu'il attendrait à son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait désormais un endroit où rentrer. Celle qu'il protégerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lèvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il était rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaître dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit léger, avec qu'un désir : rentrer.
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