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#Il Grande Topo
reppyy · 5 months
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angelap3 · 6 months
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......STUPENDA 🤗...
Attraverso il buchino del muro il topolino guardava il contadino e la moglie che stavano aprendo un pacchetto. "Che cibo ci sarà?" - si chiedeva il topolino che rimase sconvolto nel vedere che era una trappola per topi.
Il topolino fece il giro della fattoria avvisando tutti: - "C'è una trappola per topi in casa! C'è una trappola per topi in casa!"
Il pollo alzò la testa e disse: "Signor Topo, capisco che è una cosa grave per te, ma non mi riguarda. Non mi preoccupa affatto." Il topolino andò dal maiale dicendogli, "C'è la trappola per topi in casa! C'è la trappola per topi in casa!
" Il maiale con empatia disse: -"mi dispiace molto, Signor Topo, ma non c'è nulla che io possa fare, eccetto pregare. Ti assicuro che sarai fra le mie preghiere." Il topolino allora andò dalla mucca: -"C'è una trappola per topi in casa! C'è una trappola per topi in casa!"
La mucca disse, "Ohh.. Sig. Topo, mi dispiace per te ma a me non disturba." Quindi, il topolino tornò in casa, con la testa bassa, molto scoraggiato, per affrontare da solo la fatidica trappola.
Durante la notte sentirono uno strano rumore che echeggiò per la casa, come quello di una trappola che afferra la sua preda. La moglie del contadino si alzò subito per vedere cosa avrebbe trovato nella trappola.
Nel buio, non vide che era un serpente velenoso con la coda bloccata nella trappola. Il serpente morsicò la moglie del contadino che dovette portarla d'urgenza all'ospedale, con la febbre alta.
Come molti sanno, nella cultura contadina, la febbre si cura con una zuppa di pollo fresco, quindi il contadino con il suo coltellone uscì nel pollaio per rifornirsi con l'ingrediente principale della zuppa.
La malattia della moglie però non passava e così tanti amici vennero a trovarla per starle vicino.
La casa era piena e per nutrire tutti, il contadino dovette macellare il maiale. Ben presto la moglie morì e tanta gente venne al suo funerale tanto che il contadino dovette macellare la mucca per offrire il pranzo a tutti. Il topolino dal buchino del muro guardò il tutto con grande tristezza.
La prossima volta che sentite che qualcuno sta affrontando un qualche problema e pensate che non vi riguardi, ricordate che quando uno di noi viene colpito, siamo tutti a rischio.
Siamo tutti coinvolti in questo viaggio chiamato vita.
Prendersi cura gli uni degli altri è un modo per incoraggiarci e sostenerci a vicenda.
"Quando senti suonare la campana
non chiederti per chi suona.
Essa suona anche per te".
.......
(Ernest Hemingway)
foto del web
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cecileguillard · 1 year
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En 2021, je réalisais un reportage au sein de la boulangerie Bio Les Bonnes Graines, située à Marseille. J'y rencontrais Romain, alors chef boulanger du labo, me livrant son expérience de passionné. La chronique est publiée cet automne dans la revue TOPO • 43 ! Foncez en magasin de presse, les couleurs apparaissent beaucoup trop saturées ici ! J'y rencontrai également une autre grande passionnée et amoureuse du beau et du très bon : Anne-Edwige. Avec son compagnon Laurent, ils créent en 2022 leur propre boulangerie entièrement bio, au levain et fermentation longue en Ardèche, à Saint-Péray : Maison Ergaster. Vous pouvez y découvrir un aperçu des coulisses sur ma page instagram ici et ici . Ils y font des miracles !
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memorycardviii · 23 days
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Coucou ! Je saute à pieds joints dans tes ask après avoir vu tes commandes ouvertes. Je te propose Noah Sebastian pour des avatars (imgbox(.)com/g/5Otm60V3Me). Je sais pas trop si t'as besoin d'un petit topo, mais juste au cas où. C'est un grand dadet, orange cat energy, qui se transforme une fois sur scène (il est chanteur d'un groupe de metalcore) en monstre de charisme. Passionné de films d'horreur, adrenaline junkie, qui dissimule ses traumas derrière une façade de mec que rien n'atteint.
Voilà, voilà ! Si l'inspiration est avec toi ça sera cool, mais sinon, tant pis 🥰
Une belle soirée à toi 🫶
Bad Omens, Noah, un chara/frontman dans un groupe de metalcore, faut pas me le dire deux fois hahaha, voici quatre avatars pour toi ! J'espère que ça te plaira, merci pour ta suggestion ! 🥰
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci « psychologisant » qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La perversion narcissique apparaît pour la première fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du « pervers narcissique », pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit topo sur la notion de perversion en psychanalyse:
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "LA Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion apparaît en définitive comme une tentative désespérée et nostalgique, profondément conservatrice, de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
http://graphorismes.tumblr.com/image/144498081873
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sa-filonzana · 6 months
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Trigun - Final Fantasy VII - Crossover
AU - Dimension Travel - Crack-ish
PART 1
In un futuro lontano lontano, solo un po’ più a destra dell’impossibile, Vash da Trigun Maximun e affini finisce nell'universo di Final Fantasy 7 come un Eldritchiana Plant Creatura, tutto piume bianche e d'oro, ali frattali e intersecate tra di loro, e capace di cambiare grandezza massa a volontà. Un vero cryptido in tutto e per tutto più che mai. 
Il suo nuovo aspetto, che ricorda tantissimo la forma che Vash prende quando perde il controllo, ha anche il suo immancabile orecchino e i suoi iconici occhiali ancora testardamente attaccati al naso, così come il suo braccio prostetico che però ora fa davvero parte del suo corpo e a cui un giorno verranno aggiunti degli incavi per incastrare la Materia.
Il suo nuovo aspetto, da vera entità ultraterrena, adesso, come in Trigun Stampede, può illuminarsi d’immenso, ovvero il suo corpo e i suoi occhi sono attraversati da striature di energia che illuminano di un fluorescente verde acqua quando Vash usa le sue abilità da Plant o prova forti emozioni che gli fanno anche sbocciare fiori e gerani rossi lungo il suo corpo.
Vash sta già vivendo da qualche tempo sul pianeta Gaia da qualche tempo quando incontra Sephiroth quando il giovane generale è in missione.
Per essere precisi Vash si stava ingozzando di Mako cristallizzato quando i due hanno il loro fatidico incontro. In effetti, a un certo punto, la Plant Creatura guarderà il Generale dritto negli occhi e molto deliberatamente mangerà una delle personali Materie del SOLDIER in faccia. Magari una anche che ha Masterizzato anche. E Vash farà tutto ciò con grande sfrontatezza.
Vash ha fame, e da quando è arrivato qui non ci ha messo molto a notare che mangiare il cristallizzato viscoso liquido lo sta rimettendo in forze.
Dopo la rocambolesca avventura che sarà il motivo del loro primo incontro, Sephiroth, per qualche motivo che non sarà mai capace di veramente spiegarsi, decide di rovesciare tutti i soprusi e abusi che aveva subito durante tutta la sua corta vita.
Vash finisce per consolarlo. Per poi traumatizzarlo mangiando della Materia.
Sephiroth decide di portarlo con sé a Midgar, ed è una lotta e mezza tenerlo lontano dalle sporche grinfie del Dipartimento di Scienze. Ma dopo Vash rende perfettamente chiaro che si rifiuta di diventare l’ennesima cavia da laboratorio per dei scienziati pazzi, il che risulta in un gioco di gatto e topo andato male visto che distrugge metà dei laboratori del piano mentre gli inutili assistenti tentano invano di catturarlo gli scienziati sono costretti ad alzare la bandiera bianca in arresa.
Uno dei fattori determinanti in ciò potrebbe essere che nella confusione creatasi un certo Professor Hojo potrebbe essere finito in ospedale con tutte le ossa rotte durante il tentativo fallito di catturare Vash. Più di una persona sarà felice alla notizia. E più di qualcuno brinderà a tarda sera in onore di Vash.
Nel tempo Vash si familiarizza con la Torre e i suoi abitanti, che lo trattano come una beneamata mascotte, perché Vash sa sempre come charme le persone con la sua gentilezza, non importa la forma che ha. E probabilmente il fatto che le sue gesta hanno mandato in ospedale il Professore Hojo in ospedale per diverso tempo aiuta.
Tuttavia, una delle cose di Midgar che metteva a disagio Vash era che qui nella città la Voce del Pianeta, il canto trascendentale che sentiva fin da quando era arrivato in questo nuovo Mondo è molto flebile in questa città.
Durante questo tempo incontra anche Genesis e Angel. Per dispetto, e dopo tutto ciò che ha dovuto passare nella vita a causa di suo fratello e tutti gli altri e non più disposto a farsi mettere i piedi in testa e ciò che aveva perso dovuto a ciò, mangia una delle materie di Genesis per il divertimento degli altri due First.
Vash, nei seguenti anni, farà ciò ogni volta che Genesis lo irrita abbastanza
Vash prende l'abitudine di seguire Sephiroth dappertutto dovuto a questo trauma,  anche quando è costretto ad andare a fare una visita di controllo al dipartimento di scienze
Vash in maniera ingegnosa comunica il suo nome a Sephiroth, delicato come una piuma glielo sussurra nella mente
Passa del tempo, la guerra con Wutai è nelle sue fasi finali quando Genesis viene ferito durante un allenamento.Vash si preoccupa quando la ferita si rifiuta di guarire, così segue di nascosto il Soldier First quando va a trovare il Professor Hollander e così scopre che il corpo di Genesis sta decadendo a causa degli esperimenti 
Vash va in shock e in uno stato di negazione. Il Plant creatura si è affezionata ai Soldiers, anche se Sephiroth è il suo preferito, e non è pronto a perderli dopo così poco tempo. Sono così giovani… 
Vash si rifiuta di perdere qualcun altro di importante per lui e usando i suoi poteri da Plant, dopo aver messo all’angolo Genesis nel suo appartamento e con gli altri due presenti anche, Vash va tutto incomprensibile e biblico e immenso e facendo venire un colpo a tutti e tre i SOLDIERS First. Uno dopo l’altro li guarisce iniettando la sua saliva nel loro sistema cardiovascolare. Usando essa come medium Vash pulisce, sistema e mette in ordine le stranezze che percepiva in loro fin da quando li ha incontrati la prima volta.
Li guarisce con un morso pieno di saliva, una saliva miracolosa quanto mortifera, dalle proprietà simili al siero miracoloso usato dagli assassini del Eye of Michel e il liquido dei bulbi dove vivono le sue sorelle Plant.
Il suo intervento fa sì che i First diventino dei veri ibridi a tutti gli effetti e non facilmente suscettibili all’influenza di Jenova e facile discesa nella follia. Le loro cellule evolvono.
Continua ->
-> Trigun x FF7 - Part 2
-> Trigun x FF7 - Part 3
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saayawolf · 11 days
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Non ti azzardare ad insegnare a mia figlia ad avere paura del bosco.
In questo modo è stato creato il timore della ricerca interiore.
Non voglio che mia figlia limiti il suo viaggio a luoghi aperti, luminosi, luoghi che sono facili da toccare e vedere.
Perché ho imparato che a volte la verità di ciò che siamo sta nelle ombre e in luoghi umidi in cui i funghi crescono e le piante crescono lateralmente e verso il basso e in nuovi modi, a casaccio alla ricerca di sole.
Il mio viaggio mi ha insegnato questo, che le donne entrano in questo mondo con una foresta – antica, frastagliata e saggia – una foresta annidata dentro la loro anima.
Così sì...puoi provare a spaventare mia figlia perchè rimanga fuori dalla foresta, ma ho l’intenzione di raccontarle la sua capacità di mettere radici e di rispettare le radici degli altri. Che queste sono le vene, il suo collegamento all’amore, al Divino, le radici dietro a se stessa.
Ho intenzione di insegnarle che le sue radici del cuore la ancorano, che il verde è il colore dell’amore.
Mia figlia saprà che le cose possono nascere e crescere selvagge dentro la sua anima-foresta: idee, pensieri, segreti, intuizioni, ma che esse possono morire in inverno, quando sono state rese libere e hanno avuto il loro tempo al sole.
Lei capirà che l’anima-foresta ha molti sentieri ombreggiati su cui la luce può scintillare e giocare brutti scherzi, ma che fare l’esperienza di andare nella direzione sbagliata una volta ogni tanto non è che un breve momento una volta che si è avviati sulla strada giusta.
Io insegnerò a mia figlia che la sua anima-foresta è lì per lei, per ritirarcisi, così che lei possa trovare la vera abbondanza, il vero nutrimento e la vera pace, che contiene il mistero per il senso della vita.
Le ombre sono lì per rendere ancora più emozionante il viaggio per scoprire il mistero.
Se mai arriverà un momento in cui mia figlia si sentirà abbattuta, io le farò vedere che nell’anima-foresta c’è sempre vita brulicante sotto la superficie. Come una civetta che insegue un topo al chiaro di luna, una parte di lei da qualche parte è sempre sveglia e vivace pacificamente nel silenzio; all’erta, che osserva, in attesa.
Quindi, non ti azzardare a insegnare a mia figlia a temere la foresta.
Sai quelle storie che parlano del lupo nel bosco? Io insegnerò a mia figlia che lei è il lupo – libera, primordiale e collegata alla luna.
Farò in modo che mia figlia sappia che lei è la donna saggia che vive nella sua stessa anima-foresta. Le dirò che la saggia è la vegliarda, la sua antenata, la sua saggezza, la luna nera in tutta la sua gloria.
Non vi è alcun mistero oscuro che può spaventare mia figlia perché ho intenzione di insegnarle che lei è al centro di quel mistero, che il suo potere divino femminile è il più grande mistero per tutti coloro che non lo comprendono. Quindi non ti azzardare ad insegnare alle nostre figlie a temere il bosco. Non piú.”
🪶 Ty Chambers
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patemi-pk · 11 months
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Allora, riuniamo qualche pensiero su "Rinascita" ("Il nemico del ragno" non è ancora nelle mie mani).
Iniziamo dai testi. Miglior Faraci pikappico dai tempi di "Fuoco Incrociato" (di cui condivide un po' di mood, IMHO; assieme all'altra storia verso la quale i riferimenti sono evidenti, tanto che nominarla sarebbe un po' spoiler). Con grande abilità giostra fra ironia, azione ed introspezione. A dispetto della sua consuetudine di impegnarsi in episodi "continuity-light" (a parte, forse, per "Zero Assoluto", che all'epoca nascondeva snodi di trame xerbiane rilevanti), qui ci oropone uno stand-alone che, però, non teme di confrontarsi con le trame recenti e si cala con scioltezza nelle situazioni che Pkne aveva generato. Certo, io sono della chiesa che ritiene le comparsate di un certo personaggio, dopo la sua introduzione, siano state sempre ridondanti, ma qui il revival si difende meglio che altrove. Un appunto che mi trovo a fare è il finale, un po' anticlimatico.
Per quanto riguarda Pastrovicchio, la sua evoluzione, nel corso degli anni, lo ha reso il disegnatore per eccellenza per quanto riguarda l'azione Disney. Ad ogni prova supera le aspettative.
Terzo nome che devo fare è quello di Stracchi, che abbiamo imparato a conoscere in questi anni. La sua opera sugella un comparto grafico spaziale. In questa storia si lascia un po' alle spalle i virtuosismi di alcune occasioni precedenti, per produrre quella che definirei come la sua prova più matura. I disegni di Pastrovicchio risplendono grazie ad una colorazione che coadiuva la narrazione, contribuendo a distribuire l'attenzione del lettore.
Insomma, la storia ha superato le mie aspettative. Ora aspetto di sapere come troveranno una conclusione le trame di sisti sul fuoriserie (forse per rivederlo sul Topo, se questa storia va bene, a dare una closure alla sua figlia fumettistica?).
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pataguja61 · 1 year
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PICCOLA STORIA DI PO
(Casa delle vacanze, luglio 2006)
La scoprimmo per caso, al limitare del bosco nascosta dall' erba, neppure tanto alta, ma abbastanza da rimanere nascosta.
Faceva caldo, era luglio inoltrato, insieme a Jadé eravamo scese dalla bicicletta per poter accedere più facilmente fra le sterpaglie. Appoggiata alla recinzione, nascosta dal verde dominante, una piccola lapide bianca, alta non più di 10 cm, riportava una data antecedente di pochi giorni e il nome del suo possessore: Po.
Chi poteva essere? Un cricetino? Un topo o una cavietta? Jadé avrebbe voluto saperlo, io dissi che sicuramente era un animaletto al quale qualcuno aveva voluto molto bene dato che si era preoccupato di mettere sulla tombina una lapide col suo nome. Forse anche la scelta del luogo, un bosco bellissimo, non era stato un caso, forse il desiderio più grande di Po sarebbe stato quello di scorazzare in libertà lì dentro e il suo proprietario aveva pensato di fargli un ultimo regalo.
Jadè mi ascoltava senza parlare, ma i giorni seguenti volle tornare a trovare il piccolo Po.
Per alcuni anni, sicuramente fino al 2012 la lapide rimase al suo posto, sempre più sommersa dall' erba e dalla sabbia trasportata dal vento. Poi un giorno non la trovammo più, qualcuno aveva ripulito il passaggio e gettato la piccola lapide.
Po invece è ancora lì e nei nostri ricordi.
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gregor-samsung · 2 years
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La fuga di Pulcinella
Pulcinella era la marionetta più irrequieta di tutto il vecchio teatrino. Aveva sempre da protestare, o perché all'ora della recita avrebbe preferito andare a spasso, o perché il burattinaio gli assegnava una parte buffa, mentre lui avrebbe preferito una parte drammatica. - Un giorno o l'altro, - egli confidava ad Arlecchino, - taglio la corda. E così fece, ma non fu di giorno. Una notte egli riuscì a impadronirsi di un paio di forbici dimenticate dal burattinaio, tagliò uno dopo l'altro i fili che gli legavano la testa, le mani e i piedi, e propose ad Arlecchino: - Vieni con me. Arlecchino non voleva saperne di separarsi da Colombina, ma Pulcinella non aveva intenzione di portarsi dietro anche quella smorfiosa, che in teatro gli aveva giocato centomila tiri. - Andrò da solo, - decise. Si gettò coraggiosamente a terra e via, gambe in spalla. «Che bellezza, - pensava correndo, - non sentirsi più tirare da tutte le parti da quei maledetti fili. Che bellezza mettere il piede proprio nel punto dove si vuole». Il mondo, per una marionetta solitaria, è grande e terribile, e abitato, specialmente di notte, da gatti feroci, pronti a scambiare qualsiasi cosa che fugge per un topo cui dare la caccia. Pulcinella riuscì a convincere i gatti che avevano a che fare con un vero artista, ma ad ogni buon conto si rifugiò in un giardino, si acquattò contro un muricciolo e si addormentò. Allo spuntare del sole si destò e aveva fame. Ma intorno a lui, a perdita d'occhio, non c'erano che garofani, tulipani, zinnie e ortensie. - Pazienza, - si disse Pulcinella e colto un garofano cominciò a mordicchiarne i petali con una certa diffidenza. Non era come mangiare una bistecca ai ferri o un filetto di pesce persico: i fiori hanno molto profumo e poco sapore. Ma a Pulcinella quello parve il sapore della libertà, e al secondo boccone era sicuro di non aver mai gustato cibo più delizioso. Decise di rimanere per sempre in quel giardino, e così fece. Dormiva al riparo di una grande magnolia le cui dure foglie non temevano pioggia né grandine e si nutriva di fiori: oggi un garofano, domani una rosa. Pulcinella sognava montagne di spaghetti e pianure di mozzarella, ma non si arrendeva. Era diventato secco secco, ma così profumato che qualche volta le api si posavano su di lui per suggere il nettare, e si allontanavano deluse solo dopo aver tentato invano di affondare il pungiglione nella sua testa di legno. Venne l'inverno, il giardino sfiorito aspettava la prima neve e la povera marionetta non aveva più nulla da mangiare. Non dite che avrebbe potuto riprendere il viaggio: le sue povere gambe di legno non lo avrebbero portato lontano. «Pazienza, - si disse Pulcinella, - morirò qui. Non è un brutto posto per morire. Inoltre, morirò libero: nessuno potrà più legare un filo alla mia testa, per farmi dire di sì o di no». La prima neve lo seppellì sotto una morbida coperta bianca. In primavera, proprio in quel punto, crebbe un garofano. Sottoterra, calmo e felice, Pulcinella pensava: «Ecco, sulla mia testa è cresciuto un fiore. C'è qualcuno più felice di me?» Ma non era morto, perché le marionette di legno non possono morire. È ancora là sotto e nessuna lo sa. Se sarete voi a trovarlo, non attaccategli un filo in testa: ai re e alle regine del teatrino quel filo non dà fastidio, ma lui non lo può proprio soffrire.
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Gianni Rodari, Favole al telefono, Einaudi (collana Gli struzzi n°14), 1973⁷; pp. 107-108. [Prima edizione: 1962]
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eleonorasimoncini · 4 months
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Penso alle notti delle donne: una vera ingiustizia le notti delle donne, le sole persone di una casa che hanno gli occhi come lampadine sempre accese, orecchie indagatrici, tese ad ascoltare la vita nelle tenebre. Il russare del marito, un brutto sogno del bambino, un topo che passa in soffitta con uno scricchiolio insolito, l’insonnia del figlio più grande. Tutto è nelle loro mani. Gli altri dormono tranquilli; loro vegliano. Sempre a disposizione, le guardiane della notte.
Marcela Serrano
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multiverseofseries · 4 months
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Mean Girls (2024)
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Cady Heron è un'adolescente semplice e genuina, cresciuta in Kenya dalla madre ricercatrice che l'ha istruita in casa. Ora finalmente Cady riesce a frequentare un normale liceo, ma non è il paradiso che immaginava, bensì un microcosmo popolato da cricche rivali: gli atleti, i nerd (o "matleti"), e soprattutto le Plastic, tre ragazze iper popolari capitanate dalla "predatrice dominante" Regina George. Inizialmente Cody viene accolta dalle Plastic, ma quando Regina si accorge che la nuova arrivata è attratta (e forse anche ricambiata) da Aaron, l'ex della "predatrice", parte al contrattacco. Alle sue azioni ostili rispondono Cady e i suoi due amici "sfigati", la ribelle Janis e il gay Damian, che imbastiscono una vendetta nei confronti di Regina. Ma l'ascesa di Cady nei ranghi del microcosmo liceale avrà il suo lato oscuro e coinvolgerà l'intera scolaresca in una battaglia per la popolarità che ha molto a che fare con l'insicurezza dell'età adolescente e che riguarda, o quantomeno ha riguardato, quasi tutti noi.
Questo Mean Girls è il remake, a distanza di vent'anni esatti, della commedia omonima del 2004, diventata un cult in tutto il mondo e già oggetto di un sequel, Mean Girls 2, nel 2011.
La sceneggiatura, come quella originale, è firmata dall'attrice e autrice comica Tina Fey, che riprende anche il ruolo della professoressa Norbury, e segue esattamente la stessa trama, aggiungendo però alcune novità: molti numeri cantanti e ballati, dato che, oltre che al film originale, questo Mean Girls attinge anche al musical di Broadway che ne è scaturito nel 2017; una maggiore attenzione all'inclusività, rendendo ad esempio Janis ispanico-hawaiana, Damian afroamericano, e la Plastic Karen angloindiana; rinominando la cricca delle ragazze popolari Plastics, appunto, invece di Barbie, alla luce del successo planetario del film di Greta Gerwig; aggiungendo alcune guest star nei ruoli chiave dell'allenatore Carr (Jon Hamm), della madre di Cady (Jenna Fischer) e di quella di Regina (Busy Philipps); e inserendo i social media e le nuove tecnologie nella fibra della sceneggiatura e della cinematografia.
Il problema è proprio quello di aver voluto rimettere mano a un cult movie senza aggiungere molto altro che questi accorgimenti, dei quali gli unici interessanti sono l'introduzione delle canzoni e dei balletti, ben interpretati e coreografati, e la scelta di affidare il ruolo di Regina, nel film originale incarnata memorabilmente da Rachel McAdams con la perfida delle piccolette ambiziose, dalla giunonica Reneé Rapp, già protagonista in questo ruolo nel musical teatrale, che conferisce al suo personaggio un'aura da bulla fisicamente minacciosa, e contrasta lo stereotipo della bella della scuola filiforme, lanciando un'implicita frecciata al body shaming.
Ma non basta ricalcare la trama e alcune battute iconiche del film originale per giustificare questo remake che sembra la copia sbiadita del suo predecessore, perché ne edulcora la cattiveria del titolo e trasforma un archetipo cinematografico in un adattamento che sembra pronto per il piccolo schermo (infatti era inizialmente previsto come contenuto per la piattaforma, solo dopo si è deciso di mostrarlo anche nelle sale cinematografiche). Anche l'inserimento nel cast di alcuni volti televisivi (ad esempio Bebe Wood nel ruolo della fragile Gretchen e Christopher Briney in quello di Aaron) denuncia una vocazione da visione domestica più che da grande schermo.
Peccato, perché il senso di un'operazione del genere poteva essere quello di rivoluzionare l'originale rendendolo più aderente alla contemporaneità, non solo con piccoli accorgimenti di superficie ma con una vera riscrittura che includesse tutte le ambiguità di quella political correctness che l'originale allegramente ignorava: qualcosa come la commedia Bottoms, che davvero ha cercato di capovolgere i topos del genere.
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princessofmistake · 6 months
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Esiste un mondo tutto particolare. Quello della solitudine. È un mondo senza confini, dove pure però non riesci a trovare nulla. Le tue cose, i tuoi pensieri sono dello stesso colore delle pareti intorno. Procedi cercando un’uscita inesistente andando a tentoni, le mani paurose rigide in avanti. Ma non tocchi mai nulla. Perché quel nero continuo e ossessivo che ti avvolge è il nero delle pareti della tua mente. Foderata come una scatola di cioccolatini. Mente impagliata. In quel mondo, gli altri non esistono. Non puoi vederli. Non puoi sentirli. Ma puoi pensarli. E il pensiero di Lele mi fa diventare pazzo. Una leggera impalpabile ossessione. Che diventa sempre più totalizzante, sempre più invadente. Fino a occupare tutta la capacità immaginativa del mio essere. Comincio a scendere degli scalini ripidi. Sono scalini infiniti, sanno di terra e muschio. Scalini neri, scivolosi, sconnessi, logorati. Portano all’inferno. L’ultimo scalino è il primo. All’inferno ci sono già. Raggiungimi nelle tenebre, angelo perverso. Sei condannato a restare qui per sempre anche tu, e io sarò allora il tuo torturatore, il tuo seviziatore personale dell’anima. Ho sete della tua anima, voglio masticarla pezzo a pezzo, lacerarla via come tu hai fatto della mia. Io ti odio, Emanuele. Di un odio secco, affilato, calmo, eterno. Ti entrerò nel cervello soffiandoti nell’orecchio. Quel topo che tanto temevi, sarò io. Roderò lento e inesorabile ogni parte della tua mente. Pasteggerò fino a esplodere, assaporando porzioni di ogni sezione, così che tu possa sempre renderti conto di quanto ti sta accadendo. Voglio far l’amore un’ultima volta con te. Voglio penetrarti mentre ti stringo le mani attorno alla gola. Una grande determinazione. Io ti eliminerò. Morirai. In te stesso.
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raffaeleitlodeo · 1 year
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L’ultima volta che ho incontrato Michela, prima che diventasse famosa, è stato nel 2001, eravamo al termine di un triennio in Azione Cattolica, che ci aveva visto lavorare insieme: lei come responsabile dei giovani della Sardegna, io come responsabile nazionale. "Che farai ora?", le chiesi. "Farò l'allevatrice di lumache", mi rispose. La salutai frastornato da un misto di nostalgia anticipata (pensavo infatti che difficilmente ci saremmo rivisti) e di rabbia (ma come è possibile - riflettevo - che una pesona di così grande talento non trovi altro spazio nel nostro paese che quello di allevare gasteropodi?).
Fortunatamente mi sbagliavo su entrambi i fronti: il talento di Michela è esploso rapidamente e io ho avuto la fortuna di continuare a frequentarla. Non credo che Michela abbia mai allevato lumache, di mestieri però ne ha fatti tanti: i più noti sono quelli di portiere di notte in un albergo e di venditrice attraverso un call center. C'è una costante però nelle diverse vite (la definizione è sua) che ha vissuto: quella di brillare e illuminare. Così quando lavorava in albergo ha incontrato Vinicio Capossela e insieme hanno registrato un brano a due voci, che spero un giorno avremo modo di ascoltare; il racconto dell'esperienza nel call center invece è diventato il suo primo grande successo letterario, quello che le ha aperto nuove e inaspettate vite: scrittrice, sceneggiatrice, saggista, attivista, candidata alla presidenza della regione Sardegna e tante altre ancora.
Quando le ricordavo quello che pensavo sarebbe stato il nostro ultimo dialogo, lei spiegava tutto con una metafora da campagna sarda: ho fatto la mossa del topo, quello che costretto in un angolo da una scopa, non avendo più vie di fuga, per evitare il colpo ferale, aggredisce. Ecco allora un'altra costante che ho trovato in Michela dagli anni giovanili ad oggi: la ribellione. Parola quest'ultima che però non va fraintesa. Michela sulla scena pubblica è stata troppo spesso interpretata come una barricadera, un'icona di posizioni ideologiche di un'area ben precisa. Un ritratto falso e semplicista questo, che non dice nulla di chi è stata Michela Murgia. Torno alla metafora del topo: Michela ha lottato per quelli che via via ha ritenuto fossero i più deboli, lo ha fatto con la forza delle sue parole, della sua prorompente personalità, a volte in maniera urticante, nella società come nella Chiesa, ma non è mai stata un'intellettuale da salotto. Le battaglie che ha sostenuto (al di là della valutazione di merito che ciascuno di noi può dare) le ha fatte sulla base di una ricerca, di uno studio, mai attraverso scorciatoie ideologiche. Michela si è esposta e ha pagato di persona. Michela ha detto parole dure non per odio verso qualcuno, né per compiacere circoletti intellettuali, Michela ha parlato in coscienza e consapevolezza, attirandosi per questo, oltre ad ammirazione, anche l'odio di molti. Circostanza per cui ha sofferto. Il sogno di traferirsi in Corea, coltivato negli ultimi anni, veniva proprio da questo: dalla sofferenza di essere insultata, magari mentre era in fila al supermercato, in ragione delle sue idee.
C'è poi un'altra dimensione meno conosciuta di lei che, per questo, vale la pena di raccontare: quella della fede. Michela ha studiato teologia, animata da quella che Ignazio chiamava la santa inquietudine. Michela ha polemizzato e fatto a botte con la religione, non con la fede che mai ha rinnegato. Michela è stata un'intellettuale credente che ha provato sempre, nella sua coscienza come nelle pagine scritte, a far dialogare la cultura e le istanze del nostro tempo con il Vangelo, con tutta la fatica e le incongruenze che questo comporta. Non spetta a nessuno giudicare il suo percorso, per quanto mi riguarda sento di ringraziarla anche per la testimonianza, profondamente evangelica, di come ha vissuto la malattia, per averci dimostrato, come ha scritto Chiara Valerio, che "i legami tra le persone sono più persistenti delle persone stesse" e per averci lasciato una delle più belle definizioni di Paradiso che mi sia toccato di ascoltare: "una comunione continua senza intervalli".
Gennaro Ferrara, Quella sete d'assoluto, "Avvenire", 12 agosto 2023
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frenchwitchdiary · 6 months
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La marelle : un jeu initiatique ?
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L’autre jour en me baladant en ville, j’ai croisé un jeu de la marelle peint au sol. Je n’en avais pas vu depuis mon enfance, où j’y jouais à la cour de récré.
Et puis ce jour là, des années après, une pensée m’a frappé : est-ce que le jeu de la marelle serait en fait une référence à l’arbre des Sephiroth de la Kabbale depuis le début ⁉️
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Sur ce modèle-ci, on peut diviser les différents Sephiroth en 4 parties, comme celles dans la pastille en bas sur l’image ci dessus.
L’arbre de la Kabbale peut être appréhendé sous 4 paliers : le monde de l’action (qui correspond au corps physique, malkuth/le royaume de la matière, c’est notre point de départ), le monde de la formation (qui correspond au cœur, iesod/hod/netsah), puis le monde de la création (correspondant à l’intellect, tipheret/geburah/hesed), et enfin le monde des émanations (l’âme, binah/hokmah/kether, l’ain soph aur, l’infini, l’absolu, enfin vous voyez le topo).
En cherchant d’autres « patterns » du jeu de la marelle, je suis retombé.e sur celui de mon enfance :
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Et l’association de chaque case à une séphira de la kabbale se révèle encore plus évidente sur ce schéma !
Même Daat, la séphira *cachée* dans laquelle toutes les autres sphères sont unies, y a sa place.
Cependant, une des curieuses différences entre l’arbre de la kabbale et notre jeu de la marelle est l’inversion des nombres :
Kether (la couronne) est sensée être la sphère 1, celle dont a émané toutes les autres, et Malkuth, la dernière, celle où nous sommes piégés dans la matière.
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La marelle nous offre au contraire Malkuth comme la case 1, car c’est notre point de départ. Il s’agit de remonter l’arbre des sephiroth en sens inverse, jusqu’à la source.
Mais au fait, d’où ça nous vient la marelle au juste ? 🤔
L’origine de ce jeu est ancienne et prends ses racines à divers endroits du globe : des traces furent retrouvées en Grande-Bretagne, en Égypte et Grèce antiques, sur le forum de Rome, jusqu’en Inde d’où elle semble prendre sa source. Elle est entre autre mentionnée dans les Dialogues de Bouddha, au Vème siècle avant J.C., et même en Chine vers 2357 avant notre ère, sous le nom de jeu du dragon.
Dans l’empire romain, on en fit un exercice militaire, afin d’entraîner les soldats au saut à cloche-pied en cas de blessure.
À l’origine, le dessin comprenait 7 cases (comme sur la première photo que j’ai partagé) et progressivement de nouvelles versions à 10 cases ont vu le jour. Je n’ai pas pu trouver d’explications ou de sources sur pourquoi le nombre de cases a évolué au fil du temps, mais les premiers écrits kabbalistiques remontent à l’an 1130, donc après l’invention de la marelle elle-même.
On pourrait alors questionner un potentiel syncrétisme entre les deux, qui expliquerait pourquoi son évolution colle si bien à la répartition des sephiroth de l’arbre de vie.
Le jeu apparaîtrait alors comme un moyen d’apprentissage hermétique, une première étape initiatique pour se familiariser avec les concepts plus profonds de la Kabbale. L’agilité physique et l’équilibre reflétant la discipline mentale nécessaire à cette remontée. La marelle nous montre aussi que le chemin ne peut se faire qu’en remontant les cases dans l’ordre : pas de raccourci possible pour réussir l’ascension, chaque case (ou sephiroth symbolique) marque une étape nécessaire.
Pour celleux qui font preuve d’attention, on peut identifier des restes d’un passé ésotérique très influent qui survivent un peu partout dans les petites choses de notre quotidien, dans ces couches subtiles qui forment le socle commun de notre culture.
Et vous, aviez-vous réalisé ce rapprochement entre les deux ? 😉
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ORAZIO, SATIRA II, 6 - Il topo di campagna ed il topo di città
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ORAZIO, SATIRA II, 6 - Il topo di campagna ed il topo di città
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“Cervio, il vicino, in mezzo a questi discorsi, si diverte a raccontare le favole della nonna, in base all’argomento. Se qualcuno, infatti, loda le ricchezze di Arellio, senza sapere quanto affaticano, comincia così:
‘ C’era una volta un topo di campagna, che aveva accolto un amico, un topo di città, nella sua disadorna tana, stando pronto ed attento alle richieste dell’amico, tentando di ammorbidirne le difficili esigenze con gesti ospitali. Perché farla lunga? non lesinava né ceci messi da parte né l’avena lunga, e, portandoli con la bocca gli diede uva secca e pezzetti prelibati di lardo, mirando a vincerne l’atteggiamento schizzinoso con una cena variegata, visto che appena toccava i cibi con dente superbo, ed intanto il padrone di casa, arrampicato su un cumulo di paglia mangiava farro e loglio, lasciando all’ospite i bocconi migliori.’ “.
Per quello che ne sappiamo, il primo a far parlare gli animali in un’opera letteraria del mondo classico, fu il poeta greco Esiodo (VIII secolo a. C.) con la favoletta dell’usignolo e lo sparviero. Alla fine dell’epoca arcaica, nell’età della crisi dei regimi aristocratici, soppiantati da quelli democratici, si diffonde una raccolta di favole con animali protagonisti, attribuite ad un certo Esopo. Molte delle sue favole si ritrovano nella letteratura latina, ad opera di Fedro, del tempo di Tiberio (I secolo d.C.): dati i tempi, era pericoloso parlare di personaggi reali, ed allora si fanno parlare gli animali, chiaramente umanizzati. Insomma, per arrivare a Disney, il cammino è stato lungo. Ma sentiamo Orazio/Cervio:
” ‘ Insomma alla fine il topo cittadino dice al campagnolo: – Amico mio, che gusto ci provi, a vivere con sofferenza nel dorso di un colle franato? Non ti piacerebbe anteporre al bosco la città degli uomini? Prendi la strada, dammi retta, accompagnami, dal momento che i terrestri vivono avendo avuto in sorte una vita destinata a cadere, e non esiste né per il grande né per il piccolo scampo alcuno alla morte. Perciò, caro mio, finché si può, cerca di vivere beato nel piacere, e non dimenticare di quanto breve tempo tu sia.-“.
Il poeta qui si è fatto semiserio: l’amara riflessione sull’esistenza umana e la sua brevità, con il corollario di vivere godendosi la vita, derivante dalla filosofia edonistica, ha un sapore di parodia, da una parte, perché messa in bocca ad un sorcio, ma dall’altra è inevitabile il suo trasferimento nella condizione umana. E’ una favola, attori sono due sorci, ma il loro pensare ed agire è evidentemente e tipicamente umano. E la vena parodistica è ancora più evidente nei passi seguenti, e la parodia è dedicata alla maniera epica di narrare. Vediamo:
‘ Queste parole impressionarono il sorcio campagnolo, ed allora saltò fuori agile dalla tana: ed ecco che la coppia percorre l’itinerario proposto, desiderosi di scalare le mura della città di notte. Ed ormai la notte occupava il centro dello spazio notturno, ed entrambi mettono i piedi in una casa sontuosa, in cui un drappo tinto di rossa porpora era smagliante sopra gli eburnei triclini, e molte porzioni erano avanzate da una sontuoso cena, che giacevano da ieri in ben costruiti canestri. Dunque sistemò il sorcio campagnolo su un drappo di porpora, e alla maniera di uno schiavo succinto si dà da fare qua e là, assaggiando tutto quello che porta, e quell’altro se ne sta sdraiato ed in abbandono e si gode quella svolta di vita, e per la bontà dei manicaretti ringrazia il compiaciuto commensale. Quando di botto un fracasso di porte che si spalancano li precipita giù dai triclini, ed entrambi nel panico a correre per tutta la sala, mezzo morti e con il cuore in gola, intanto che la l’alta casa risuona di cani molossi. Allora il topo campagnolo disse: – Questa vita non fa proprio per me. Stammi bene tu, io me ne torno nella mia tana modesta e selvatica, ma bene al sicuro dai pericoli. -‘ “.
Fine del racconto di Cervio e della satira di Orazio.
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