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#troubles du sommeil
psychologie24 · 30 days
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10 techniques psychologiques pour améliorer son sommeil
  Le sommeil est essentiel à notre santé physique et mentale. Il nous permet de récupérer de la journée, de consolider nos souvenirs et de réguler nos émotions. Cependant, de nombreuses personnes souffrent de troubles du sommeil, qui peuvent avoir un impact négatif sur leur qualité de vie. Cycle normal d’un bon sommeil Un cycle de sommeil normal dure environ 90 minutes et se compose de quatre…
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sosehpad · 3 months
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Le sommeil des seniors : un indicateur crucial de santé et de longévité
🛌💤 Le sommeil des seniors, clé de la longévité ! 🧓👵 Découvrez pourquoi bien dormir est vital après 65 ans et comment améliorer la qualité du sommeil. #SantéSeniors #BienDormir #Longévité
Le sommeil, souvent négligé, joue un rôle vital dans notre santé globale. Chez les personnes âgées, son importance est encore plus marquée. Des études récentes révèlent un lien étroit entre la qualité du sommeil et l’espérance de vie des seniors. Ce constat soulève des questions cruciales sur la prise en charge du sommeil dans le vieillissement. Quels sont les enjeux ? Comment améliorer le…
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journaldunegargouille · 7 months
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24 Février 2024
Je ressors de crises d'intolérances assez importantes ayant étés accompagnées de candidoses.
Les douleurs à l'omoplate et autour du bras sont même devenues de moins en moins supportables. Cependant depuis un moment j'ai remarqué que certains trucs aident.
Le curcuma mitige les nuits infernales et réduit la toxicité de l'acide glutamique sur les neurones, réduisant donc mes paralysies du sommeil.
Le zinc (citrate) m'aide à retrouver odorat, les sensations, le goût et améliore la récupération musculaire. Il aide aussi à faire en sorte que le glutamate ne me fusille pas le cerveau non plus. Zinc et curcuma ont donc un effet bénéfique sur mes nuits.
L'oignon aide un peu aussi contre les candidoses (quercetine) et le lait de coco fait de même grâce à un acide spécial (caprylique) qu'il contient.
Le gingembre empêche les grosses réactions gastriques (inhibe les mastocytes) mais il n'est pas une solution pour tricher sur les aliments, je dois m'en souvenir... Il a également un effet sur la candidose et aide à lutter contre.
Ce n'est pas énorme mais le fait que la plupart de ces choses fonctionnent me réjouis un peu.
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fitnessmith · 8 months
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Calculer vos cycles de sommeil - manque de sommeil et prise de poids - sommeil profond
NOUVEAU 👉 Si vous voulez rester à la pointe sur le sommeil ( avec calculateur de cycle de sommeil ) c'est par ici. Le lien est en bio @fitnessmith également.
Imaginez ceci : Vous vous réveillez après une nuit de sommeil complète, mais au lieu de vous sentir frais et dispos, vous êtes accablé par l’apathie, la mollesse, ou la léthargie. Vous avez dormi huit heures, vous étiez au lit avant minuit, mais vous vous sentez épuisé au réveil. Ça vous parle ? Si oui, vous n’êtes pas seul. Comme un Français sur deux, vous souffrez peut-être d’un trouble du…
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yoga-renaissance · 1 year
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Quand la dopamine transforme le plaisir en souffrance
Vous est-il déjà arrivé de binge-watcher une série télé, de vous perdre dans les méandres de votre fil d’actualité sur les réseaux sociaux, ou de dévorer une tablette de chocolat en 5 minutes pour échapper aux soucis du quotidien et au stress ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul ! En fait, nous sommes tous soumis à l’influence de la dopamine, ce neurotransmetteur puissant qui joue un rôle…
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kachmedcom · 2 years
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Dormez-vous plus ou moins de 5h par nuit
Saviez-vous que dès l'âge de 50 ans, dormir moins de 5 heures par nuit dégrade fortement votre santé.
En effet, dormir moins de 5 heures par nuit vous expose à une dégradation de votre santé*. Les experts recommandent 7 à 8 heures de sommeil par nuit pour un adulte. Mais descendre sous la barre des 5 heures par nuit dès l'âge de 40 ans va favoriser le développement des maladies chroniques chez l'adulte.
Les personnes de 50 ans et plus qui dorment moins de 5 heures par nuit ont 30 % de chances supplémentaires de développer au moins 2 maladies chroniques par rapport à celles qui dorment entre 7 et 8 heures par nuit ! Ce risque augmente même à 40 % chez les plus de 70 ans.
Inversement, dormir plus de 8 heures par jour provoque le même effet, une augmentation du risque de maladies chroniques car votre sommeil est considéré comme de moins bonne qualité si vous dormez plus de 8 heures par jour.
Découvrez comment dormir mieux et avoir un bon sommeil
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sinvulkt · 1 month
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Edmond se tournait et se retournait sur la pauvre paille qui lui servait de lit depuis les longues années qu’il habitait le cachot. Il avait perdu le compte des jours quelques temps après sa captivité, mais cela devait faire plusieurs années, n’est-ce-pas ?
Une nouvelle crampe lui crispa le dos, et il changea encore de position dans le vain espoir de dénouer le nœud qui s’y était formé. La douleur ne partait pas, et le sommeil ne vint pas, alors, abandonnant l’idée de dormir, Edmond se leva et se mit à marcher en cercle.
Depuis quelques jours, une sensation de brûlure pulsait entre ses omoplates. Au départ, le dérangement n’était que très faible, la sensation à peine plus perturbante qu’une piqûre de moustique. Mais la situation avait petit à petit empiré, et désormais sa peau le démangeait terriblement. Edmond se serait bien gratté d'avantage, mais il en avait déjà irrité la zone douloureuse jusqu’au sang, et la moindre touche aggravait le sentiment de brûlure qui grouillait sous sa peau.
Il se résolut d’en parler au porte clé qui venait lui apporter sa soupe.
Ce dernier, mis au courant de l’étrange maladie qui frappait le prisonnier et soucieux de ne pas voir sa mort prélevée à sa paye, s'empressa de signaler à Edmond de se déshabiller.
“Je ne vois rien,” dit le geôlier une fois qu’Edmond eut enlevé sa chemise pour révéler son dos nu.
“Regardez encore !” demanda Edmond, désespéré de trouver la source du mal qui le tourmentait tant.
Le geôlier se pencha, lorgnant le dos du prisonnier. Les repas frugales de la prison d’If avaient rendu le prisonnier maigre, les os saillants, mais l’on pouvait encore apercevoir la silhouette des solides muscles qu’on les marins.
“Non, vraiment. Je ne vois rien.”
“Merci.” soupira le prisonnier en s’écartant tristement. 
Le geôlier n’avait aucune raison de se moquer de lui. Après tout, les portes-clés n’avaient que peu d’intérêt à le voir mort, emprisonné comme il était. C’était donc que l’homme disait la vérité, et que le mal qui déchirait le dos d’Edmond demeurait invisible.
Une fois son geôlier parti, promettant qu’il appellerait le docteur si les choses s’aggravaient, Edmond écarta sa soupe. Il n’avait pas faim. La douleur qui vrillait juste sous ses omoplates s'étendait maintenant sur toute la longueur de son torse, comme pour se moquer de sa faiblesse. Pis encore, une nausée montante rendait ses mains tremblantes et sa vue trouble. Même si son estomac avait été d’humeur, Edmond doutait qu’il eut pu porter la nourriture à sa bouche. 
Le reste de la journée s'échappa dans un flou nauséeux. Edmond était trop fatigué pour bouger, mais trop agité pour rester allongé. Il alternait donc entre les deux, plongé dans une vague brume cauchemardesque. Son cœur battait la chamade et son corps était secoué de frisson, sans que cela n’empêche la brûlure annexant son échine de le tourmenter. La fraîcheur de la nuit, loin de le soulager, empira encore son malheur.
Des vagues de crampes successives mettaient son dos à l'agonie, le laissant pantelant sur le sol froid et humide. Le moindre frottement était décuplé. Bientôt, Edmond ne supporta plus le tissu rêche de ses haillons, et avec un de ces regains d’énergies que la fièvre donne parfois, il s’empressa de les jeter au sol.
Edmond ne savais combien de temps il passa dans cet état intemporel que donne la maladie. Quelque chose de froid et gluant s’était mis à lui couler sur le dos, mais il n’avait plus la force de vérifier si ce n’était que de la sueur, ou bien du sang. Une sensation de douleur bien plus pénétrante que les autres le traversa, et Edmond ne put réprimer un hurlement.
Puis un second. 
Puis un troisième. 
C’était comme si une valve fermée s’était soudainement ouverte, libérant l'expression de toute la souffrance qui le secouait et lui coupait le souffle. Edmond se recroquevilla sur le sol, front a terre, tirant désespérément sur ses cheveux pour échapper à la torture qui le dechirait de l’intérieur. Des pas accoururent, mais perdu dans la fièvre et la douleur, Edmond ne les entendit pas.
“Mais bon sang, que se passe t-il ?!”
On le secoua, sans pouvoir provoquer plus que des gémissements. Puis, les doigts charnus qui l'avaient malmené le quittèrent. Il y eut une pause, puis d’autres cris; qui cette fois ne venaient pas de lui; puis une main contre son épaule alors qu’il tentait de se retourner pour frotter la zone brûlante au sol délicieusement froid.
“Ne bougez pas.” 
Edmond s’accorda très bien de cet ordre. Maintenant que la personne le disait, se retourner semblait en effet une bien mauvaise idée. Et puis, le sol était trop froid. Il préférait bien plus la main chaude qui était restée posée près de son cou. Une seconde vint se poser sur son front. Elle s’en éloigna presque aussitôt, et Edmond regretta la fraîcheur qui l’avait brièvement envahi à son contact.
“Mais c’est qu’il a de la fièvre, ce pauvre garçon.” Le geôlier leva la voix. “Appelez un médecin !”
Le cri, trop fort pour les sens surmené d’Edmond, lui fit l’impression d’un ballon qui éclatait dans son crâne. Ses gémissements reprirent de plus belle.
“Que se passe-t-il?” Une nouvelle voix lui transperça les tympans.
“Le prisonnier est souffrant.”
“Ça, je l’entend bien qu’il est souffrant. Cela fait une demi-heure qu’il nous casse les oreilles. Mais avez-vous une idée du mal?”
“Non. Ce matin, il parlait encore.”
Le flot de parole fut bientôt enseveli sous la vague de fièvre qui l'envahit comme un nouvel accès de crampe, tel une cruelle lance brûlante qui le perça de toute part. Sa gorge était rauque à force de crier, et le son ne sortait que par accoups étranglés. 
“Allons, allons.”
Les porte-clés, bien embêtés, tentèrent tant bien que mal d’aider lorsque ce dernier se releva sur ses coudes pour tousser. Ils ne réussissent qu'à le perturber davantage. 
Edmond voulait fuir toutes ces mains inconnues, bien trop moites, bien trop épaisses pour être celles qu’il cherchait. Il se languissait de la douceur du toucher de Mercedes contre sa peau. De lointains souvenirs remontaient le long de ses pensées confuses, prenant le pas sur les voix bien réelles qui l'entouraient.’
“C’est le milieu de la nuit. Ne peut-il pas tenir jusqu’au matin ?” l’une d’entre elle grommela. “C’est la prison, ici, pas l’hôpital.”
Une douleur, au moins dix fois plus terrible que toutes les autres, foudroya Edmond. Un cri final s’échappa de sa gorge desséchée. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que sa peau se déchirait, mettant à nu la structure osseuse de ses omoplates et de sa colonne vertébrale. Que tout le sang de son corps se déversait le long de cette plaie sanglante, le laissant vide, sans vie.
Aussi vite qu’elle était apparue, la tortueuse agonie s’en alla, ne laissant derrière elle que les traces lancinantes d’un écho. Edmond était trop faible pour remarquer le silence qui pesa soudain entre les deux geôliers.
Le premier se tourna vers le second.
“Dites au médecin que c’est pour un ange. Il viendra.”
Le monde semblait bien lourd à présent, sans l’aiguille de la misère pour le garder éveillé. Les paupières d'Edmond se fermèrent au rythme des pas qui s’éloignent. Exténué, à bout de souffle, il ne réfléchit pas deux fois au répit qui s’offrait à lui et se laissa tomber dans le clément oubli de l’inconscience.
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e642 · 8 months
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Je suis vraiment fatiguée. Je sais pas si c'est plus physique que mental. La semaine je me sens pas particulièrement mal, juste vide et seule. Et quand je le vois, juste triste et seule. En fait, je sais pas trop ce que j'attends, des comportements que j'aimerais qu'il ait sûrement. Et quand je vois le décalage, je ressens de la déception comme si les gens changeaient. Voire même du mépris de constater qu'ils changent pas. Mais ce que je vis le plus mal, c'est les insomnies et autres troubles du sommeil. C'est une torture de disposer d'autant de temps mais de ne pas réussir à dormir. Tout serait plus simple si je dormais. Je me souviens avoir eu dans ma vie qu'une seule période d'hypersomnie, aussi triste que ce soit, je donnerais beaucoup pour en avoir une autre. Enterrer ma présence et le temps qui passe dans des heures et des heures de sommeil. C'était bon. Je ne peinais pas à dormir, je dormais juste. Là je pourrais m'arracher les cheveux même les yeux tellement je suis frustrée. Pourquoi les autres dorment et pas moi ? J'ai pris conscience de ce luxe bien trop tard et j'ai l'impression de le payer. Je cogite à des trucs si ridicules et insolvables, je comprends pas qu'à chaque nuit je puisse prendre les mêmes sujets d'inquiétude/angoisse, me dire à nouveau les mêmes choses, et arriver aux mêmes dénouements sans jamais m'épuiser. Me taire. Accepter. Franchement, je sais pas ce que je fais, chaque petits regards lancés en arrière me donnent l'impression de ne pas suivre la bonne vie. C'est ça qui me rend malade toutes les nuits : passer consciencieusement à côté de moi.
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kilfeur · 3 months
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Du mal à dormir (Having trouble to sleep)
Elle se souvient de ses deux ans de traque, elle a eu du mal à trouver le sommeil. Toujours à rester en alerter, ne dormir qu'un seul oeil au cas où quelqu'un s'approche d'elle durant son sommeil. Ses deux ans seule, trouver Stella a été une source de réconfort, lui permettant de tenir le coup. Pourtant quand elle lève les yeux vers le ciel, elle pense à Callum et à Ezran. Ils lui manquent terriblement, elle aimerait tant les revoir ! Mais elle doit retrouver Viren, il le faut, elle a besoin de réponses concernant sa famille. Pendant ces deux ans, cette quête de le traquer, finit par devenir une obsession. Ce n'est qu'une fois, qu'elle est arrivée à Port Racaille après avoir agressé un mage noire, qu'elle en a assez ! Elle aura beau le chercher partout, elle pourra jamais le trouver !
Et puis qui lui dit qu'il est encore vivant ?! Il est tombé depuis la montagne de la flèche de tempête. Comment pourrait-t-il être encore vivant ?! Elle soupire et est retourné à Katolis, chez elle ! Les retrouvailles ont été mouvementés et compliqués et ça le frustrait un peu, elle semble comprendre mais ne semble pas vouloir jusqu'à quel point elle avait blessé celui qu'elle aime. Ezran était content de la revoir, Soren ne semble pas comprendre pourquoi elle agit ainsi. Or ce n'est que plus tard, qu'elle finit par comprendre et qu'elle sent qu'elle peut devenir plus forte non pas toute seule mais ensemble.
Un soir, elle se réveille, il fait encore nuit mais étonnamment, elle a jamais aussi bien dormi. Elle regarde à côté d'elle, Callum dort paisiblement dans son lit. Elle lui sourit avant de caresser tendrement ses cheveux et se rendormir. Elle peut enfin dormir car enfin depuis longtemps, elle se sent en sécurité.
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She remembers her two years of tracking, finding it hard to sleep. Always on the alert, sleeping with one eye open in case anyone came near her while she was asleep. Her two years alone, finding Stella has been a source of comfort, keeping her going. Yet when she looks up to the sky, she thinks of Callum and Ezran. She misses them terribly and would love to see them again! But she must find Viren, she has to, she needs answers about her family. During these two years, this quest to track him down becomes an obsession. It's not until she arrives in Port Racaille after assaulting a dark mage that she's had enough! No matter how hard she looks, she'll never find him!
And who's to say he's still alive?! He fell from the mountain of the storm spire. How could he still be alive?! She sighed and returned home to Katolis! The reunion had been hectic and complicated and it frustrated her a little, she seemed to understand but didn't seem to want how much she'd hurt the one she loved. Ezran was happy to see her again, Soren doesn't seem to understand why she's acting this way. But it's only later that she finally understands and feels that she can become stronger, not alone, but together.
One evening, she wakes up; it's still dark, but surprisingly, she's slept better than ever. She looks beside her, Callum sleeping peacefully in his bed. She smiles at him before tenderly stroking his hair and drifting back to sleep. At last she can sleep, because at last, after a long time, she feels safe.
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Une personne en fin de vie présente de nombreux signes. Tout d’abord, sa condition physique se dégrade de façon progressive ou rapide. La personne malade perd du poids, car elle perd toute envie de manger et de boire. Lorsque la fin est proche, elle cesse de s’alimenter et de s’hydrater. Les signes sont aussi observés au niveau de la respiration. En effet, le rythme respiratoire change et la personne en fin de vie fait de l’apnée, c’est-à-dire qu’elle ne respire pas pendant un moment. Certains patients sont confus et agités, tandis que d’autres perdent connaissance ou conscience de son entourage. Lorsque la mort est proche, la majorité des malades deviennent calmes, notamment à cause de la fatigue et parfois se perdent dans leurs pensées et communiquent moins. Dans les dernières heures de la fin, ils délirent beaucoup. L’agonie, quant à elle, ne dépasse pas généralement les 24 heures. Elle se caractérise par un coma relatif où le patient a du mal à être éveillé. La personne devient moins agitée durant le sommeil, sa respiration ralentit et devient plus calme avec notamment des pauses au fur et à mesure que la mort approche. Elle présente le râle agonique, un bruit causé par les sécrétions au niveau des voies respiratoires. Le corps refroidit progressivement, en commençant par les pieds, les mains et le nez. Des marbrures apparaissent au niveau des genoux, des convulsions et des secousses musculaires, de la fièvre ou encore des troubles de la déglutition se manifestent
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Verrais tu mon esprit errer près de toi?
Entendrais tu mes murmures si je t'appelais de l'au delà ?
Serais je plus précieuse à tes yeux,
Si tu pouvais toucher uniquement le marbre de ma tombe?
Et si seule la mort révélait ma véritable beauté ?
Pourrais tu faire ce choix ?
D'aimer celle que tu n' étreindrais pas?
Peut être que tout serait mieux...
Si mon âme s'accrochait à ton ombre...
Auprès de toi pour l'éternité...
Je t'attendrais de l'autre côté du miroir...
Fidèle à ton sommeil chaque soir...
Te rejoindre dans tes songes...
Détruire chaque mensonge...
M'épanouir dans cet espoir...
Oublier les battements de ton coeur devenu trop noir...
Plus rien qui nous ronge...
Plus d'eaux troubles où je plonge...
Le silence est une promesse...
Un rêve que je caresse...
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mmepastel · 9 months
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Quelle découverte !
Toujours pas remise de ma lecture de Gorge d’Or, roman finlandais de cette dernière rentrée littéraire, je cherchais un livre qui puisse lui ressembler, au moins un peu… ça m’a conduite, par ricochets divers, à la découverte de cet écrivain norvégien, né à la fin du XIXe et mort en 1970. Tarjei Vesaas. Un inconnu total pour moi… quoique.. j’avais lu dans Télérama une critique au sujet de ce qui est considéré comme son chef-d’œuvre : Les oiseaux, nouvellement traduit aux éditions Cambourakis.
Alors. Le palais de glace n’a rien à voir avec Gorge d’Or. Mais c’est une merveille. Une lecture qui ressemble à une expérience entre veille et sommeil. Les commentateurs l’identifient comme un conte symboliste, ça me paraît pertinent. Cela ressemble à un conte énigmatique qui parle d’enfants, mais ne leur serait pas vraiment destiné. Ou peut-être que si, s’ils lisent avec les yeux fermés (façon de parler), avec leurs rêves accessibles, sans attendre d’action tonitruante, en écoutant leurs émotions les plus incompréhensibles.
Vous avez le résumé de la nouvelle traduction de l’édition la plus récente. Ce n’est pas celle que j’ai lue, j’ai lu le livre dans l’édition GF, plus ancienne. Je ne peux juger de l’amélioration apportée ou non par Jean-Baptiste Coursaud, mais je serais curieuse de lire cette autre version.
Ce que je peux dire pour l’instant, c’est que le style de l’auteur est très simple. Il progresse dans son récit par petites touches, petites phrases plutôt courtes, qui ne sont pas complexes mais qui sont bien souvent énigmatiques. Il semble vouloir rendre compte des émotions successives et étranges que les petites filles éprouvent l’une pour l’autre, puis à l’égard de quelque chose qui les dépasse, ou bien qui les submerge.
L’attention à la nature est admirable. On passe de l’automne au printemps, du début de la formation de ce palais de glace (une cascade gelée) à son effondrement. Siss, l’une des deux fillettes, passe de l’innocence à la tristesse puis à la tentation nouvelle d’une vie autre qui coïncide au printemps où un garçon la trouble, mais elle ne veut pas trahir son amie avec laquelle elle a passé un pacte impérieux.
Je ne vais pas enfermer ce récit dans mon interprétation, mais je me contenterai de lancer quelques pistes. Les deux fillettes qui s’adorent évoque pour moi quelque chose de tout à fait concret, la dévotion enfantine que l’on peut avoir en amitié ne me paraît pas du tout saugrenue. Elle peut aussi revêtir une dimension symbolique puisque les deux fillettes sont apparemment opposées. On peut se demander si la perte de lune par l’autre ne correspond pas au passage de l’enfance à l’adolescence, qui va de pair avec l’envie de réconfort en même temps qu’un malaise soudain vis à vis des parents.
Peu importe, ce sont des fils, des chemins, tracés dans la neige, des lueurs qui vibrent à travers les parois du palais de glace, si beau, si mystérieux ; un refuge, un danger, un lieu de rêve, un secret, un tombeau. Au lecteur de se laisser prendre par la main par le narrateur qui pose des questions et des bouts de réponses comme des cailloux scintillants dans son récit, au lecteur de les ramasser en fonction de la résonance qu’ils créent en lui. La dimension onirique est si présente qu’elle fait du récit un texte qui résiste à l’analyse, ce qui permet sûrement de survivre aux années, et font de lui un joyau qui est célèbre en Norvège, et qui se fraie apparemment enfin un chemin jusqu’à nous. Une lecture marquante.
PS : c’est chouette de le lire fin décembre, dans un monde qui manque singulièrement d’enchantement. Une lecture qui m’a rappelé Michel Tournier ou Karen Blixen.
PS 2 : j’ai mis la 1ère de couverture de l’édition anglaise de Pinguin Books parce que je la trouvais belle.
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Esclaves du poignet : les notifications incessantes des wearables
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Les montres et bracelets connectés, vantés pour leur praticité et leur capacité à nous connecter en permanence, sont devenus des extensions de nous-mêmes. Mais cette connectivité omniprésente a un revers de la médaille : les notifications incessantes qui envahissent notre quotidien, transformant nos poignets en véritables sources d'anxiété.
Le piège des notifications
Les notifications, initialement conçues pour nous informer d'événements importants, sont devenues une véritable nuisance. Chaque bip, chaque vibration, chaque message qui s'affiche sur notre écran nous arrache à nos occupations, fragmentant notre attention et nous empêchant de nous concentrer sur les tâches en cours. Cette sollicitation permanente peut engendrer un stress important et nuire à notre productivité.
Les conséquences de l'hyperconnectivité
Le syndrome de la FOMO : La peur de manquer quelque chose (Fear Of Missing Out) est exacerbée par les notifications constantes. Nous avons l'impression de devoir être constamment disponibles et connectés pour ne rien rater.
Le trouble du déficit de l'attention : L'exposition prolongée à un flux continu de notifications peut contribuer à altérer notre capacité à nous concentrer et à maintenir notre attention sur une tâche donnée.
Le stress et l'anxiété : Les notifications, surtout celles liées aux réseaux sociaux ou aux e-mails professionnels, peuvent générer un sentiment de pression et d'urgence qui favorise l'apparition de stress et d'anxiété.
Les troubles du sommeil : L'utilisation des wearables avant de se coucher, avec leurs écrans lumineux et leurs notifications, peut perturber le cycle du sommeil et entraîner des difficultés à s'endormir.
Comment retrouver le contrôle ?
Désactiver les notifications non essentielles : Il est essentiel de trier les notifications et de désactiver celles qui ne sont pas urgentes.
Définir des plages horaires sans notifications : Il est important de se créer des moments de déconnexion complète, par exemple pendant les repas ou avant de dormir.
Utiliser les modes "Ne pas déranger" : La plupart des wearables proposent des modes qui permettent de couper les notifications pendant un certain temps.
Réduire le temps d'écran : Il est conseillé de limiter le temps passé sur les écrans, en particulier avant de se coucher.
Les montres et bracelets connectés offrent de nombreux avantages, mais il est important de ne pas se laisser envahir par les notifications. En prenant conscience des conséquences de l'hyperconnectivité et en adoptant des comportements plus sains, il est possible de retrouver un équilibre entre le monde numérique et la vie réelle.
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mylilacsblog · 4 months
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3h00 du matin, w mazel ma r9adt
Une autre nuit blanche..je ne sais pas comment je vais faire avec ces troubles de sommeil..!
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uniqueivresse · 7 months
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* Suite affaire 2017 *
Aujourd'hui un hôpital a appellé chez mes parents pour dire que j'étais attendue à 14h40 pour une expertise due aux troubles du sommeil que j'ai eu lors de 2016.
Or, je n'ai jamais reçu cette convocation. Et qui plus ait je suis majeure et partie depuis plus de 2 ans de chez mes parents ?
Je suis non seulement énervée, car rien ne suit correctement (même pas les adresses), et en plus, cela me met dans une situation inconfortable au niveau de la justice. Je suis sidérée.
Enfin je suis attristée de voir qu'on me redemande après plus de 7 ans, encore une expertise qui ait aujourd'hui neurologique. 7 ans après ??!
Je me suis reconstruite depuis 7 ans. Que cherchent ils après 7 années ?? Je vais devoir dormir à l'hôpital branché à des capteurs. 7 ans ...
Il aurait fallut faire ça en 2017 pas en 2024...
Plus de 7 ans de combat. Je suis épuisée avec cette affaire..
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jezatalks · 10 months
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Fierté n°2 de la journée (du déjeuner).
J'ai été dans un restaurant de soba caché au 1er étage d'une rue parallèle à l'allée commerçante.
La madame qui m'a servie (60 ans je dirais?) n'a PAS À UN SEUL INSTANT essayé de me parler en anglais. J'ai réussi à me dépatouiller et elle est venue me voir à quelques reprises pour me demander si j'aimais mon plat.
J'ai pas compris tout le vocabulaire (notamment pour compter mes pièces haha) mais je suis contente d'avoir réussi à m'exprimer. :)
Je ne sais pas si ce sont mes traits et teint asiatiques qui font ça. Même si ma morphologie est à l'opposé de la "japonaise moyenne". Ou si c'est ma prononciation qui est globalement correcte. Comme j'entendais beaucoup parler qui les japonais préfèrent parler en anglais cassé même si tu t'exprimes en jap juste parce que tu es étranger. En tout cas, ça me rassure et me motive dans mon apprentissage !!! :)
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J'ai aussi pris sur moi au niveau des tempuras de légumes car la moitié sont des légumes dont j'ai un trouble de l'alimentation (légumes oranges /patates douces/citrouilles etc).
Mais de 1) j'avais la dalle. Mon petit déjeuner remontait à 5h plus tôt.
De 2) j'ai marché 13km en 5h sous 26°C
De 3) j'étais vraiment pas loin de faire un malaise avec la chaleur et le manque de sommeil. Donc il me fallait reprendre des forces.
De 4) chaque tempura se mangeait en max 3 bouchées. Donc vraiment mon max avant que je capte assez le goût et l'envie de vomir monter. Donc au final c'est passé (sauf la carotte là j'ai forcé et avalé vite).
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