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#changer de métier
maviebuissonniere · 11 months
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De salarié à web-entrepreneur : la reconversion professionnelle vers la liberté 🗽
S’épanouir dans son travail, trouver du sens à ce que l’on fait, être maître de son temps : tout cela est désormais à portée de main, grâce à la révolution numérique et à ceux qui osent une reconversion professionnelle. Fini le temps où l’on restait enchaîné à un bureau, à compter les heures jusqu’à la fin de la journée. La révolution numérique a élargi l’horizon des possibles, faisant de…
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girafeduvexin · 9 months
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90% certaine d'avoir, en plus d'un TDAH, une dysgraphie (difficultés à écrire à la main) et une dyscalculie (difficultés avec les chiffres) et imaginez à quel point c'est DUR de corriger des copies dans ces conditions.
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luc3 · 21 days
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The King's game.
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Je rentre de nouveau dans la phase où je devrais écrire parce qu'il se passe trop de choses mais quelle galère de les écrire, la récolte est toujours un peu comme un bûcher dément, avec des femmes autour qui dansent et qui hurlent et elles sont elles-mêmes en feu elles brûlent tous les livres tous les hommes toutes les récoltes, elles brûlent tout en hurlant de joie, voilà ce que c'est la récolte pour moi, une entreprise divine et démentielle, un travail de titan, la main de Gargantua qui s'abat sur la terre, une digue qui lâche, des flots impétueux, le dernier mouvement avant la Grande Nuit. Et justement il se passe tellement de choses que mes bavardages habituels sont coupés dans leur élan je n'ai plus même la place de bavarder alors ici je me force mais sinon c'est tirages d'oracle compulsifs et utterance. Je reçois l'esprit divin, car tous les esprits sont divins oui, et j'écris je prépare je danse je ramasse je récolte mais ce n'est jamais vraiment la récolte exactement attendue ni celle espérée ni celle escompté. Merci. Je suis surtout vraiment bousculée d'inspiration, de grâces, de chuchotements, de murmures dans les murs, de rires étouffés, même de coups de pieds dans l'œil (cette nuit alors que je rêvais que je nageais avec des hommes poissons magnifiques dans un immense océan vert émeraude et lumineux, oh oui ramène moi nager avec les hommes poissons, tant pis pour les coups de pieds dans l'œil), je recommence à trouver des cartes par terre, un 8 de carreau il y a 2 semaines (journée merdique comme on peut s'en douter), puis avant-hier le Roi de Carreau, roulé dans le caniveau, juste pour moi petit Roi viens viens. Je lis des trucs trop intéressants, l'intuition est bonne et fiable c'est encore moi qui ne suis pas assez bonne ni fiable mais je m'améliore, il faut juste cent fois sur le métier remettre, etc, je fuse d'idées, de feu, de frénésie, je surchauffe (littéralement et mon acupuncturist ne parvient pas à faire changer ce phénomène, qui est quand même très compliqué en période de canicule mais très intéressant quand l'automne est installé), je sens la grande sarabande de l'équinoxe qui jaillit au loin et qui vibre déjà dans mes tripes comme une danse sacrée, bref il y a trop de trucs alors ici c'est très très difficile
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aisakalegacy · 3 days
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Été 1925, Hylewood, Canada (4/4)
Je relis ce que tu m’écris sur ta reprise de l’entreprise familiale. Tu me dis que tu n’es pas prête. Ton oncle ne s’est-il pas assuré que tu connaisses toutes les ficelles du métier ? Il travaille pour vos vignobles depuis son enfance. Avec une telle carrière, c’est attendu qu’il souhaite se mettre en retrait. Tu parles de ton oncle avec beaucoup d’admiration, tu sais que tu peux te fier à ses jugements. Et s’il juge que tu es prête, étant donné sa connaissance aiguë du métier, c’est que tu l’es sûrement. La question de ta capacité étant écartée, demande-toi : est-ce réellement ce que tu veux faire ? Maman me dit que vous êtes riches. Avec votre fortune, tu serais sûrement en mesure de payer quelqu’un pour gérer vos affaires à ta place. Le vrai bénéfice de la fortune, c’est qu’elle donne le choix. En fin de compte, ta grand-mère, ton oncle, tout le monde te donne l’impression que ce choix, tu ne l’as pas. Mais tu l’as. Ton père a fait le choix de refuser cette vie pour suivre ses passions. Tu m’écris l’envie que tu ressens quand tu vois toute ta famille, tes frères et tes sœurs, suivre leur voies et leurs désirs. Mais, si je peux me permettre… Et toi, Noé ? Que souhaites-tu ?
Tu écris que tu ne sais pas ce que cela veut dire que d’être adulte. En vérité, cela ne veut rien dire du tout. Être adulte, c’est la plus subtile des hypocrisies. On nous le présente comme le triomphe de la maturité, du contrôle, comme l’abdication de tout ce qui rend la vie délectable, comme la complaisance dans la morne discipline du quotidien et de la respectabilité. Ça serait plier son esprit aux conventions, brider ses désirs, étouffer ses rêves sous les impératifs du devoir, les sacrifier sur l’autel de la sagesse factice. On nous parle de responsabilité, mais quel mot effroyablement ennuyeux ! Mon père n’a jamais tenu une responsabilité de sa vie ; il s’enthousiasme à l’idée de l’Égypte comme ma petite sœur s’enthousiasme des cônes de neige de la foire ; doit-on dire qu’il n’est pas adulte ?
Je crois, Noé, que tu te poses tellement de question sur ce qui pourrait être, que tu en oublies de vivre. En cela, je suis plus enfant que toi. Quand je pêche le doré jaune, les deux pieds dans la rivière, je ne pense plus aux cargos, et aux contrats et aux chèques à encaisser. Je pense à ma ligne et je pense au soleil sur ma peau. C’est probablement ce que tu ressens quand tu es avec ton Jean. Puis je retourne à mes cargos de charbon, mais je ne suis pas angoissé. Je sais que je ne ferai pas cela toute ma vie, et je me sens tranquille. Toi, Noé, tu es tellement accaparée par tout cela que tu en oublies de vivre. Ça t’obsède, ça te poursuit partout, et dès que tu trouves un échappatoire, tu te précipites dedans pour ne pas te confronter à cette question que tout le monde semble - avec la plus grande bienveillance - t’empêcher de te poser : que souhaites-tu faire de ta vie ? Je te la pose, mais je n’attends aucune réponse. D’ailleurs, tu n’en auras peut-être aucune avant des années. On est jeunes, on a le temps de se tromper et de changer d’avis. Regarde, cette année, notre ancienne bonne, Mlle Carreau, a démissionné parce qu’elle a été recrutée pour le tournage d’un film. Elle a notre âge. Elle s’est rendue compte que cette vie ne lui plaisait pas, et elle en a changé.
Réponds-moi vite. Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
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solhrafn · 2 months
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Salut, je te suis sur Tumblr et j’aimerais savoir : est-ce que photographe est ton métier, est-ce que tu en vis ? Comment as-tu appris ? Et que penses-tu de l’IA en tant que photographe ?
Hello! Beaucoup de questions, cool! J'ai presque toujours été photographe de manière complémentaire, à côté d'un temps plein ou d'un mi-temps. Ca n'a été mon activité principale que pour une période très courte (moins d'un an) et il y a longtemps. Mais j'ai fait des contrats de manière régulière entre 2007 et 2023 (portraits, concerts, mariages et autres évènements).
J'ai arrêté suite à un changement de loi sur le travail artistique en Belgique qui rend les choses plus compliquées et moins intéressantes financièrement. Je ne cours donc plus derrière les contrats et je ne ferai les démarches administratives que si l'on me propose quelque chose comme un mariage je pense. Le reste (sessions de portraits et évènements) je les fais bénévolement maintenant, mais c'est moi qui les choisis, c'est un confort.
J'ai appris tout seul d'abord avec les appareils photos numériques et argentiques de la famille (début des 2000s). Puis j'ai fait une formation de technicien en photographie en cours du soir entre 2006 et 2009 (à l'époque le métier de photographe était protégé, il fallait un diplôme pour pouvoir se mettre à son compte, mais le digital commençait à changer les choses ce qui a entrainé l'abrogation de cette protection de la profession en 2007).
J'ai un côté très auto-didacte dans ma relation au perfectionnement mais j'aime beaucoup les formations également pour donner les impulsions et les connections avec les gens. Il y a également des compétences qui sont compliquées à acquérir seul, dans ce cas-ci cette formation travaillait encore beaucoup l'argentique, car c'était la période de transition de l'analogique au digital et elle était professionalisante.
Concernant l'IA, je ne suis pas très inquiêt. Dans la retouche c'est un outil qui existe depuis longtemps, notamment dans photoshop, certains outils prédictifs pour retirer des petites imperfections existent déjà depuis des années. Ils sont simplement devenus plus performants. Dans le cadre de la retouche photo, c'est un nouvel outil qui s'ajoute à d'autres. Il ne fonctionne pas de manière infaillible et il faudra toujours une main derrière pour l'utiliser.
Et de manière générale, l'IA ne remplacera pas la photographie. C'est juste une nouvelle façon de faire de l'image. La manière de créer une image en photographie est si particulière (avec la lumière) que je ne vois pas l'IA comme étant une menace pour la pratique en général.
Pas une menace pour la pratique, mais peut-être que certains aspects du métier seront amenés à changer voire à disparaître.
Les peintres portraitistes ont vu leurs commandes s'écrouler lors de l'essor de la photographie il y a 150 ans. Toute les activités organisées autour du cheval comme moyen de transport ont disparu quasiment du jour au lendemain avec l'avènement de la voiture.
Ce type de boulversement, c'est la norme.
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swedesinstockholm · 3 months
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21 mai
hier à l'église c. donnait des petites explications sur la genèse de ses textes et à un moment il a mentionné sa "dépression" en la mettant entre guillemets. il a dit "ce que vous appelez ici dépression" et il en parlait comme quelque chose de bénéfique, comme d'une brève période noire de sa vie pendant laquelle il a touché le fond mais qui lui a permis de la changer complètement et de se décider à se consacrer entièrement à ce qu'il voulait vraiment faire. comme ces gens qui ont eu une illumination pendant la période du covid. il a vu la lumière. la dépression lui a apporté quelque chose, lui a montré quelque chose, c'était un chemin nécessaire, comme virgile qui descend aux enfers, ou dante, je sais plus. c'est comme ann cvetkovich qui parle de la dépression comme d'un savoir caché, d'une expérience qui a du sens, c'est une exploration. mais moi je pense que ça c'est une version très privilégiée de la dépression et que ça concerne pas les gens qui ont grandi avec. la dépression c'est une exploration de rien du tout pour moi, à part de moi-même peut être, et encore je suis tellement dissociée que j'ai l'impression que tout ce que je sais de moi est faussé. peut être que la dépression a permis à c. de se trouver et de changer radicalement sa vie mais moi elle m'empêche juste de la vivre. elle fait que ça. ou alors je suis trop débile pour comprendre son message.
on a aussi assisté à une lecture de jean portante, un poète luxembourgeois que j'avais découvert dans la bibliothèque de raffaella, c. s'était mis sur le premier banc et on était juste devant lui comme des groupies littéraires mais j'ai passé la moitié de sa lecture enfouie dans des réflexions sur mon livre en me disant que je devais mettre plus de poésie dedans. j'y travaille tous les jours. je reste disciplinée. dans heroines kate zambreno se demande si y a une différence entre être dépressive et être totalement immergée dans l'écriture d'un livre. passer ses journées à écrire ou à non écrire sans sortir de chez soi. c. m'a dit que c'était en entendant jean portante dire que quand on écrivait il fallait le faire à fond ou pas du tout qu'il avait eu un déclic et qu'il avait décidé de faire plus que ça. je lui ai dit que moi je pouvais pas, que ça me rendait folle et que ça finissait par m'en dégoûter. qu'il me fallait autre chose pour contrebalancer. mais quoi?
à la chorale samedi on m'a posé la question fatidique avant que j'aie réussi à échapper à la conversation (j'avais déjà commencé à mettre ma veste pendant qu'elles parlaient du stage à la cour européenne de justice de tonia la fille qui finit première de tout ce qu'elle entreprend, mais j'ai pas été assez rapide) et quand j'ai dit que j'écrivais elle m'ont parlé d'un type de la chorale qui a non seulement déjà publié plusieurs livres mais en plus il travaille au putain de parlement européen et il fait partie d'un ensemble de jazz. elle m'a dit que ça devait sûrement être dur d'en faire son métier et j'ai dit que c'était pas mon métier et que je donnais des cours de luxembourgeois en mentant sur mon nombre d'élèves, ce qui m'a amenée à mentir sur les attentes de mes élèves fictifs, l'adaptation de mes méthodes d'enseignement, etc, alors qu'en vrai ma méthode d'enseignement c'est de demander à mon élève de me raconter toute la biographie de taylor swift et puis de débattre sur quel est son meilleur album (1989 obvs). c'était son dernier cours hier matin, j'étais presque un peu triste en lui disant au revoir. je me demande si je lui ai vraiment appris quelque chose.
hier matin la conversation a tourné vers son copain et les dynamiques déprimantes du couple hétérosexuel et je l'écoutais avec horreur me raconter son quotidien de cuisine ménage rangement lessives courses etc pendant que son copain laisse trainer ses chaussettes sales partout (ce n'est donc pas qu'un cliché?) et qu'il sait même pas faire cuire des pâtes. des PÂTES. elle m'a dit qu'elle leur préparait des repas pour la semaine le weekend et qu'une fois elle avait fait des pâtes sans sauce et que quand il avait ouvert le couvercle de son tupperware il avait dit et la sauce? je lui ai dit qu'à sa place je le laisserais dans sa merde et elle a dit non mais c'est pas sympa, et puis toutes ses copines c'est pareil. je savais plus quoi dire pour rester polie. et en même temps je suis une sale hypocrite parce que j'ai zéro tolérance pour les rôles de genre mais dans mon couple avec maman c'est moi l'enfant roi et c'est elle qui fait les courses et qui repasse mes pantalons. mais j'estime que c'est pas pareil. moi je fais la cuisine et parfois je fais même des machines.
28 mai
j'ai essayé de m'enregistrer en lisant mes nouveaux poèmes-radio mais j'aime pas et je sais pas quoi envoyer à r. je fais une crise existentielle de la poésie. je suis pas poète, j'ai rien à lui proposer, il me prend pour une poétesse que je ne suis pas. dans sa tête j'avais plein de textes qui trainaient dans mon ordi prêts à l'emploi et moi aussi je croyais que j'avais plein de textes mais en fait non, j'en ai pas. tout ce que j'écris c'est mon journal. et encore. j'ai rien à dire. pourquoi il existe des papillons quand il existe des mouches? pourquoi les papillons ont des ailes immenses et colorées avec des motifs sophistiqués alors qu'il existe déjà les mouches, compactes basiques et fonctionnelles? elles me semblent beaucoup plus économiques. est-ce que j'écrirais de la poésie si c'était pas pour être publiée derrière ou faire des lectures? en cherchant dans mes archives je suis tombée sur mes tout premiers poèmes en anglais que j'avais écrit pendant le workshop de poésie de minerva en isande. je me suis filmée en train de les lire à voix haute et ça m'a donné envie d'écrire en anglais de nouveau, rien que pour le plaisir de les lire.
bon j'ai quand même passé l'après-midi sur la terrasse avec mon ordi sur les genoux pour essayer d'écrire un truc avec des bouts de phrases qui trainaient dans mes fichiers, même si ma nouvelle méthode préférée maintenant pour écrire des poèmes c'est d'écouter la radio ou la télé et de noter des mots et j'ai pas le droit d'utiliser d'autres mots que ceux que j'ai notés. c'est comme un jeu de construction. mais comme c'est un peu arbitraire, j'ai l'impression que c'est moins vrai, que c'est de la triche, et donc j'y tiens moins. c'est moins personnel, et donc moins important. j'arrête pas de voir des citations qui disent que la poésie c'est la vérité, mais j'ai pas l'impression que ma prose soit moins vraie, au contraire. c'est pour ça que je veux pas publier de recueil de poèmes mais un roman.
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megaverserpg · 3 months
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Particularités innées - métamorphomage
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HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Ce don est héréditaire mais pas systématique et se manifeste dès la naissance.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Les métamorphomages sont des sorcier·e·s ayant la capacité de changer d'apparence à volonté, sans s'aider de potions ou de sortilèges. La métamorphomagie touche l'ensemble du corps, de la pointe des cheveux jusqu'au bout des pieds, en passant par un changement d'âge et de genre. Il est également possible de s'affubler d'attributs animaux, comme un bec de canard, un museau de chat, des oreilles de chien. La transformation s'effectue par la visualisation de l'aspect recherché ; elle devient de plus en plus facile avec la pratique. Les vêtements et objets, quant à eux, ne se transforment pas il est donc nécessaire d'apprendre à les modifier en même temps que son apparence physique. Si la métamorphose est indolore, elle est néanmoins rendue plus ardue selon les modifications voulues. Il sera ainsi plus compliqué de changer drastiquement sa taille ou son âge que la couleur de ses yeux, puisque il nécessite de modifier son ossature ou de rajouter des rides artificielles. Plus la transformation est importante, plus il sera difficile de la conserver ; elle risquera également d'engendrer des douleurs articulaires. L'apprentissage de la métamorphomagie est longue et difficile ; elle passe notamment par la maîtrise des émotions. L'humeur change l'apparence, notamment la couleur des cheveux et des yeux (par exemple, rouge pour la colère). Il est donc primordial pour un·e métamorphomage d'apprendre à dompter ses sentiments. L'imitation est une étape incontournable, il n'est pas rare de les voir observer leurs pairs afin de s'en imprégner, reproduire ce qu'iels voient, en passant par l'intonation de la voix jusqu'au plus petits tics d'expression. Iels prennent très vite conscience de chaque partie de leur corps comme d'une entité à part entière, qui peut donc subir des changements distincts les uns des autres.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Très recherché·e·s par le gouvernement, les métamorphomages sont soumis·e·s à un recensement de la part du ministère de la magie, qui aime à les orienter vers des métiers où leur talent sera utilisé pour la bonne cause. Il n'est notamment pas rare de les voir devenir aurors. Les relations envers les autres sorcier·e·s sont généralement compliquées, si bien souvent iels font rire leurs pairs, iels provoquent également de la méfiance ; qui connaît dans son entourage un·e métamorphomage ne peut se fier à tout le monde, encore moins raconter ses secrets sans s'assurer de la véritable identité de son interlocuteur·ice.
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perdrelacellule · 1 year
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Du coup le plan c'est réfléchir à peut-être changer de corps de métier parce que je suis dégoûtée du commerce, essayer de pas déprimer, profiter de mon temps libre pour aller au studio de danse un maximum (I want to be sad AND hot you know what I mean) et r e s p i r e r
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adamads · 5 months
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Pause sandwich !
Je suis récemment revenue sur une histoire que j’avais commencé il y a quelques années avec l’idée de la poursuivre (d’ailleurs c’est en bonne voie). En parallèle je suis tombée sur une vidéo de trucs et astuces de colorisation et j’ai eu envie de tenter un peu un autre processus pour changer. 
La rencontre de ces deux anecdotes, la voici :) 
Paven Muiri, née Maxkhen. 
Devenue malgré elle une habitante de Khasin, un petit village isolé aux confins du plateau de Seg Su’yul, Paven voit les jours passer en regardant de loin la guerre fratricide décimer son peuple sur le continent monagarm. 
Sans talent particulier, elle se sent impuissante, réduite à participer à l’effort de guerre sans pouvoir plus s’impliquer. Ses jours sont rythmés par les corvées de blanchisserie et d’approvisionnement aux camps de formations alentour, ainsi que par quelques maigres études. 
Paven rêve du jour où elle sera en âge de s’émanciper pour devenir reporter, ou journaliste, ou aventurière, ou n’importe quel métier qui lui permette de voyager. Elle veut parcourir le continent et se rendre compte elle-même des réalités du monde dans lequel elle vit, car le portrait qu’on lui en a dépeint manque sérieusement de relief à son son goût.   
En attendant, elle ronge son frein, prisonnière selon elle d’un quotidien morne et sans intérêt. 
Et c’est en rêvant d’un avenir affranchi de l’ombre des pics jumeaux de Khasin qu'elle tombe un jour nez à nez avec un jeune garçon étrange. Sorti de nul part, et vêtu de haillons, il ne sait pas ni où il est ni d’où il vient. Il ignore tout, jusqu’à son propre nom. Et il porte à sa ceinture un journal écrit dans une langue perdue qu’il refuse même d’ouvrir. 
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epopoiia-leblog · 6 months
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Un sens à trouver
Il était une fois une mère qui s’inquiétait. Elle venait de rentrer du dernier défilé de la fashion week où tout avait été encore une fois merveilleux. Des looks époustouflants, des décors enchanteresses, des mises en scène spectaculaires, les couturiers s’étaient encore surpassés. Elle n’avait qu’une hâte : rédiger sa célèbre chronique qui revenait comme chaque année sur l’évènement. Elle adorait son métier. Quand on était passionné de mode comme elle, c’était une véritable chance de pouvoir assister à de tels spectacles. Mais, en même temps, depuis qu’elle était devenue mère, elle sentait que sa vision des choses était en train de changer. Chaque soir, alors qu’elle berçait son bébé dans ses bras, cette question revenait : est-ce que ce qu’elle faisait avait vraiment du sens ? Au regard de l’état du monde de plus en plus critique, quel intérêt y avait-il à passer son temps à s’extasier sur quelques bouts de tissu ? Que penserait sa fille quand elle serait grande ? Que sa mère avait perdu son temps dans un univers de rêves et de paillettes pendant que le monde réel partait à la dérive ?
Alors que l’écran de son ordinateur attendait les premières lignes de son article, elle réalisa que, si elle n’avait peut-être pas le pouvoir de changer le monde, au moins pouvait-elle essayer d’insuffler un peu d’espoir et de courage à ceux qui en avaient besoin. Inspirée par le spectacle qu’elle venait de voir, elle écrivit alors un texte qui parla d’amour, de bienveillance et de solidarité mais surtout qui rappela l’importance du pouvoir émotionnel de l’art et de la créativité. Car, finalement, dans un monde qui en semblait de plus en plus dépourvu, trouver refuge dans la contemplation du beau n’était peut-être pas si insignifiant que ça.
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uniqueivresse · 1 year
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Un petit peu de news ici 📰
Je suis partie il y a une semaine en montagne pendant quelques jours pour un trek. J'ai adoré 🌼 Déconnecté complètement m'a fait énormément de bien ☀️
J'avais besoin d'une coupure pour réfléchir, me poser, prendre l'air, loin du quotidien et internet. Et quel bonheur !
Ce week end j'ai aussi revu ma famille. On a passé un bon moment, cela m'a apaisé bien qu'il y ait toujours de petites tensions. Mais je me rends compte aujourd'hui que la colère m'aveuglait, cette rage au fond de moi pour les choses dites qui m'ont profondément blessées. Aujourd'hui, à quoi bon ressacer tout cela ? À part me pourrir moi même la vie. Je ne pourrais pas changer les personnes, alors autant accepter que ça sera toujours comme cela 🌼
Sinon j'aimerais faire une reconversion professionnelle (oui ça fait longtemps que j'en parle mais j'aimerais être sûre de mon choix). Deux idées :
- être enseignante spécialisée ce qui induit de passer le concours le professeur des écoles (crpe) et un autre concours
- être sécouriste pisteuse en Montagne, ce qui demande de déménager, et de passer 4 modules
Se sont 2 métiers qui, l'un comme l'autre aide des personnes. Soit dans la santé et la sécurité, soit dans l'éducation.
Que faire pour bien faire ? Je ne serais dire. Mais je sais que quelque chose m'attend, de mieux je l'espère. 🌞
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mrlafont · 7 months
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Tristesse infinie de constater que je ne parviens toujours pas à surmonter certaines faiblesses. L'impression d'avoir colmaté les failles par lesquelles elles s'engouffrent, principalement l'alcool, les centres d'intérêts inutiles, mais je n'atteins pas la source du problème qui est un terrible manque de confiance en moi et une terrible inaptitude au bonheur. Je sais tout, pourtant je ne peux rien. Je sais tout, j'ai toutes les bonnes raisons de prendre confiance en moi, tout sauf le pouvoir de me changer moi-même, d'appliquer cette compréhension à mon esprit et mes sens. Rien à faire, je m'autodéprécie, je me compare, je me trouve ennuyeux, plat, je sens que je n'ai rien à dire, au fond je sais que je ne suis pas heureux. Moi qui revendique gaieté, légèreté, joie, rigolade first !, si je fais de tout cela des lignes de conduite absolues, si je suis sûr de ces choses, si je crois dur comme fer qu'elles contiennent tout ce qu'il faut pour être heureux dans la vie, je ne parviens pas totalement à les faire miennes. Je ne sais pas pour moi où est la joie, dans quoi est la joie. Je ne sais pas si c'est moi qui possède une tristesse fondamentale ou bien si les autres ignorent leur malheur, mais quelque chose en moi m'empêche d'éprouver une joie profonde, radieuse, totale. Mon âme est fêlée. Tout me semble pourriture et je n'arrive pas à être du côté du printemps des choses. Pourtant je sais bien que tout n'est qu'une question de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide, et que la vie sans cesse renouvelée semble être le but de ce duel perpétuel. Et pourtant mon cœur s'affole, se renfrogne, tombe dans l'estomac, et c'est la nausée, l'asphyxie, la bouche sèche d'angoisse. L'amour semble un duel où je ressors perdant encore une fois. J'essaye, pourtant, de garder la tête haute, la tête hors de l'eau, je prends sur moi, je sers les dents, je souris, mais c'est difficile. J'ai besoin de retrouver confiance en la vie, confiance en moi-même, besoin de trouver ma place, mon terrain de jeu où déployer et jouir de mes capacités à exister. Fatigue du métier, aussi, avec ce sentiment d'humiliation devant un labeur qui ne semble pas toujours avoir de sens, quand d'autres gagnent bien mieux leur vie en faisant un métier bien moins épuisant. Je l'ai choisi, certes. Je ne saurais pas quoi faire d'autre. Fatigue, bien évidement, de l'époque, de sa médiocrité. Cela je l'ai dit mille fois. En bref, le cœur du problème est que je n'arrive pas à me suffire moi-même, et de trouver vraiment des choses qui m'apportent une joie réelle. Bien sûr, l'idée de fonder une famille me plait, mais pour cela il faut avoir confiance en l'amour qui nous porte.
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bienvenuechezmoi · 10 months
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Ce que j'ai appris du haut de mes 25 ans. Si vous voulez une vie pas incroyable mais pas horrible non plus. Si vous voulez une vie sans grande joie mais sans grande peine je vous propose mon plan.
Ne vous lancez pas tête baissé dans les études. Faites en un peu pour vous prouver que vous pouvez le faire, que vous êtes une personne intelligente (vous l'êtes mais si vous avez besoin de le prouver faite le). Faite une pause, testez des travails, apprenez vos compétences en entreprises (social, face au stress, ect...). Trouvez un thème ou plusieurs themes qui vous intéresse. Comparez le théorique à la pratique. S'il faut changer d'étude il faut changer. S'il faut faire une pause faite une pause.
N'oubliez pas qu'être artiste c'est majoritairement être précaire.
N'oubliez pas qu'être indépendant c'est savoir gérer tous les thèmes d'une entreprise.
N'oubliez pas que les métiers manuels c'est des contraintes physiques et que la retraite c'est loin.
N'oubliez pas que je suis une doomer et que je suis persuadée que je serai toujours un peu moyenne. Des gens adorent leur boulot précaire, être leur propre patron et travailler avec leur mains malgré les douleurs. Chaque travail a son pot pourri, il faut savoir quel pot pourri on préfère.
J'ai foncé tête baissé. Je voulais prouver au monde que j'étais intelligente, je voulais prouver à mes parents que je n'étais pas l'enfant loupé, je voulais me prouver que j'étais cool et que je pouvais me faire des potes. Tout ça je l'ai fait, j'ai tout brulé. On fait le bilan 6 ans plus tard. Je suis passée de la phase très haute à la phase très basse.
Le bonne nouvelle est que le deuil de la vie imaginé est en route. Tous les jours tout me fait mal mais on ne recule pas.
Voilà, 25 ans et première vraie crise existentielle.
Je le dirai à ma psy. Elle me voit beaucoup en ce moment.
Bisous.
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raimeiha · 3 months
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Muramatsu Yua
22 ans || 13 février Mesure 1 mètre 60
Samouraï
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En dépit de son sexe et des discriminations possibles, Yua est une samouraï qui vit à la même période que le Shinsengumi. Nomade, elle passe son temps à voyager et ne reste que très peu de temps au même endroit, à moins que les conditions météorologiques ou qu'un travail soudain ne l'y oblige.
Dès sa plus tendre enfance, la demoiselle a démontré un intérêt pour les armes blanches, plutôt que pour les tâches ménagères et les métiers supposés seoir à la gente féminine de l'époque. Rejetée par ses parents qui ne voulaient pas d'une enfant “ratée” car elle avait déjà établi qu'elle ne deviendrait jamais mère, elle quitta son foyer familial très tôt et dut se débrouiller. Heureusement pour elle, elle fut recueillie par un maître de dojo qui accepta de tout lui apprendre.
Yua est très réservée et taciturne. Elle n'est pas très sociable et préfère faire route seule. Elle est aussi très polie et respectueuse, même avec ses adversaires. Elle a un sens de la justice propre à elle et est ouverte à toute proposition pour rejoindre une organisation, surtout si cela peut lui permettre d'atteindre son but.
La jeune femme a de longs cheveux ébènes qu'elle a l'habitude d'attacher en queue-de-cheval haute, avec une frange qui s'arrête au-dessus de ses yeux onyx.
Elle a pour habitude de revêtir un kimono bleu nuit adapté avec des tabis et un grand chapeau de paille qui couvre le haut de son visage. Elle porte aussi deux boucles d'oreilles, cadeaux de son père adoptif.
En raison de son statut de samouraï, elle a toujours deux katanas accrochés à sa hanche. Son maître et père adoptif lui a déjà raconté les prouesses de Tomoe Gozen, faisant de cette femme mythique son modèle. Elle est d'ailleurs à la recherche d'une lance pour parfaire son style de combat avec cette arme.
De temps en temps, elle opte pour le combat à double katanas.
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• Comme explicité dans sa présentation, Yua ne peut être jouée qu'à l'époque du Shinsengumi, soit dans le Japon des années 1860. • Les RP avec elle présenteront toujours de la violence et aborderont aussi le thème de la guerre. • Je ne suis pas historienne, mais je tente de rester fidèle à l'histoire de cette période en faisant quelques recherches pour faire intervenir des événements importants. • De petites adaptations peuvent être apportées après discussion.
• Recherches :
- Un membre d’une organisation reconnue par le shogun (Shinsengumi ou autre) → Une première rencontre lors d'une course poursuite. Yua est une rônin qu'il faut capturer à tout prix. Une impasse qui la stoppe dans sa fuite, un soupir, des bras levés, une capitulation. Une capture de la demoiselle recherchée, un premier dialogue tenté sur la route, un second lors de l'interrogatoire qui scellerait son sort. → Une arrivée dans les quartiers généraux de l'organisation très remarquée. Une femme qui se prosterne devant les supérieurs et demande à être acceptée, à être reconnue. Un souhait de se présenter, plus tard, comme une membre de ladite organisation face à ses détracteurs. Un échange de regards, un soupir. Une décision qui retombe sur vos épaules et celles de vos collègues présents.
- Un partenaire de route qui pourra la suivre dans ses décisions → Une première rencontre surprenante et marquant les esprits. Une mort échappée de peu par le sauvetage de Yua ou une aide apportée lors d'un combat contre des rônins. Un voyage entamé à deux qui fait naître une complicité. → Une première rencontre très gênante dans une auberge. Une erreur du gérant qui mène à se retrouver dans la chambre de Yua alors qu'elle est en train de se changer pour dormir. Une colère et une honte incontrôlées, une menace, un fou rire. C'est une belle relation qui promet de naître.
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swedesinstockholm · 8 months
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20 décembre
cet après-midi sur ig je suis tombée sur la story d'un mec de new york qui demandait si quelqu'un avait des formations de bibliothécaire à lui recommander parce qu'il voulait changer de métier (il gagne sa vie en codant mais il écrit aussi) et je me suis dit pourquoi je ferais pas ça moi aussi?? c'est pas comme si j'y avais jamais pensé, mais le fait que quelqu'un d'autre le fasse me rend la chose tout de suite plus enviable. je disais l'autre jour que quitte à faire un master je préfèrerais faire un truc qui m'intéresse vraiment, mais peut être que c'est pas le bon raisonnement, peut être que le bon raisonnement c'est celui de j.: faire un master de gestion en plus du master littéraire pour pouvoir gagner sa vie. je pourrais demander à robert pattinson ce qu'il a fait comme formation. il m'a ajoutée sur ig, il a publié un livre au seuil avec un nom russe dans le titre, il joue de la guitare et il a une copine qui prend des photos de poète rock crade garçon maigre torse nu avec une cigarette esthétique 2009.
25 décembre
j'ai envie de me concentrer sur les bonnes choses au lieu de me plaindre de ce noël de merde mais si je me plains pas ce sera pas la vérité (mais c'est quoi la vérité?) la vérité: j'ai mal à la nuque, il fait soleil et le soleil est écrasant et envahissant et hier dans la voiture je me sentais personnellement persécutée par sa présence IMPOSANTE monsieur le soleil sans gêne qui prend toute la place sans se soucier une seconde s'il en prend trop, s'il brille pas un peu TROP fort, il brillait sans répit, relentless, et je pensais au poème sur la limace que je suis en train d'écrire parce que la limace vit la nuit pour l'éviter, la limace sait que le soleil est dangereux, la limace préfère la lune, la limace est une lesbienne. mais ce matin les volets sont légèrement baissés et il baigne agréablement la maison.
hier soir j'ai pas arrêté de penser à r. comme si c'était mon copain. j'ai fait des selfies avec m. parce qu'elle voulait les envoyer à son copain et moi j'avais envie de lui envoyer la photo qu'on a faite devant les faux temples maya sur l'aire d'autoroute en mettant bisous du mexique mais j'avais peur de le prendre pour mon copain, alors je l'ai postée sur ig et puis je me suis dit merde j'espère que les gens vont pas vraiment croire que je suis en vacances au mexique et que je poste des photos de touriste de merde sans comprendre que je fais de l'Humour tm.
je viens d'entendre m. dire à son copain au téléphone qu'elle était contente d'avoir vu sa famille aujourd'hui et je me demande, est-ce que je suis contente d'avoir vu ma famille? un peu? j'oublie toujours à quel point t. est agréable malgré ses idées de droite ultra néolibérales. on a tous les deux dormi sur les canapés du salon cette nuit, ou non-dormi plutôt, même si lui s'est mis à ronfler au milieu de la nuit me laissant seule dans l'horreur avec mes hanches et ma nuque qui pulsaient de douleur sur le canapé de l'enfer infesté du virus de g. ce soir j'ai récupéré un lit de camp chez mamie mais lui il en a pas, survival of the fittest. même si c'est pas moi qui l'ai récupéré mais c'est maman et c. qui sont allées le chercher pendant que je postais sur ig avachie sur le canapé chez h. à midi j'étais avachie sur un fauteuil sur la terrasse en plein soleil en tshirt les yeux fermés, je me suis laissée envahir, de mon plein gré, j'étais consentante, et c'était bien. je portais mon jean noir trop grand mon sweat noir mes new balance et mes nouveaux cheveux en carré court et m. disait qu'il me manquait plus qu'un skate pour parfaire ma tenue. je suis toujours moche mais au moins je suis moche avec un bon style.
30 décembre
ça y est j'ai le covid parce que g. a zéro notion de savoir-vivre ni d'égard pour les autres et aussi j'ai dormi sur le canapé infesté parce que c. avait égaré le matelas gonflable mais quel enfer. pendant mon exil sur mon lit de camp rouillé dans le bureau bleu ciel j'ai reçu un message de g. mon fan numéro deux de la kulturfabrik qui me disait qu'il aimait beaucoup tout ce que je mettais sur instagram et qu'il aimerait bien qu'on se voie en janvier pour discuter de mes projets et puis il m'a envoyé le lien vers l'appel à candidature de la résidence pour être bien sûr que je l'aie vu et c'est pas ça qui va arranger ma delulu!!!!!! mais, quoiqu'il arrive, je suis invitée à faire des trucs à la kufa, j'ai un soutien, des gens s'intéressent à ce que je fais, j'ai du talent, je suis sur la bonne voie, je vais développer mes projets de musique et de performance, que j'aie cette résidence ou pas, tout va bien. j'étais tellement contente que je l'ai dit à r., je le lui ai dit à lui mais pas à f. avec qui j'étais aussi en conversation whatsapp. j'ai passé la soirée à réfléchir aux extraits de textes que je pourrais mettre dans mon dossier vu que tous ceux que j'avais mis g. les connait déjà, à part un, et maintenant que je sais qu'il fait partie du comité de sélection j'ai peur de l'ennuyer.
ce matin pendant que j'attendais maman partie à la boulangerie/pharmacie/boucherie en covid-comatant dans la voiture en plein soleil j'ai mis la playlist best of 2023 de g. (qui est aussi musicien) sur spotify et y avait un morceau d'alabaster deplume dedans et qui c'est qui joue avec alabaster deplume en live? R. non mais la vie. ce soir je me suis rappelé que j'avais pas encore fait ma liste annuelle des bonnes choses qui se sont passées dans l'année et j'ai demandé à maman quelles étaient ses trois choses préférées de cette année et elle savait pas quoi dire alors j'attendais qu'elle me pose la question en retour mais visiblement ça l'intéressait pas. mon top 3 clairement: perf à la bellone, chanter sur la scène du grand théâtre, r., même s'il est aussi la pire chose, mais je fais pas de liste des mauvaises choses. et j'ajoute cet après-midi allongée sur mes coussins comme sissi à madeire sur la canapé en plein soleil sur la terrasse pour soigner mon covid sous le ciel bleu de la mer, même si je la voyais pas la mer parce que je suis pas une impératrice, mais c'est pas grave c'était le paradis quand même.
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mamaasawriter · 11 months
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Quand la librairie se vide
Je respirer un grand coup puis vient
l'envie de faire des galipettes
sur la moquette mais elle n'a rien des
tapis des cours d'EPS c'est curieux ça
revient systématiquement
dès que vous n'êtes plus là
Peut-être que toutes vos histoires
ont besoin de sortir de mon corps
par une pirouette
pas très gracieuse
J'ai entendu l'autre jour
une conversation téléphonique
devant le rayon poésie
« Les Regrets de Du Bellay tu sais y'en a plusieurs
Y'en a un qui fait 354 pages et l'autre qui...
je fais pouf pouf ? Ok ça marche »
Et aussi devant le rayon manga,
Deux personnes se retrouvaient apparemment
après un long moment d'absence
« au fait j'ai
j'ai fait une dépression »
Vous me faites découvrir
de nouvelles formes de romantisme
en utilisant votre Pass Culture
pour offrir un livre de cul à votre date
En caisse, vous avez toustes ce toc
de regarder l'agenda en haut de la pile devant vous
de l'ouvrir une seconde de feuilleter le milieu
et moi je me demande
ce que vous avez bien eu le temps de voir
pendant que je tape le prix à payer
et pourquoi ce geste vous est commun
Vous dites aussi parfois
« C'est pour un.e ami.e
Iel fait une chimio
/ a le bras dans le plâtre
/ a fait 2 TS
/ vient de faire un AVC
/ fait une dépression et je m'inquiète 
/ vient de rejoindre la maison de repos
jusqu'à 96 ans elle était indépendante
elle voudrait une crise cardiaque on voudrait pas tous
une crise cardiaque ?
C'est pour moi
ce sera mon dernier voyage
/ j'ai besoin de me changer les idées
/ ça ne doit pas me faire penser à mon métier et je suis
/ infirmier psy
/ j'ai subi ça j'aimerais explorer
C'est pour ma petite fille
/ son père s'est donné la mort
/ elle se pose des questions sur son corps
/ ça ne se passe pas bien à l'école
Qu'est-ce que
je peux
offrir ?  »
Même si vous dites surtout
« Iel aime tout »
Laissez-moi vous dire
que personne n'aime tout
soyons lâche ensemble et dites-moi
que vous ne savez pas ce qu'iel lit
et je vous dirais que je n'ai pas tout lu
et on trouvera quelque chose quand même
Vous finissez par dire
« Merci
Bonne journée »
Vous commencez souvent par dire
« Qu'est-ce que ça sent bon ici
ça sent le livre neuf »
Non enfin pas que quand même
J'ai un nez depuis peu
certes
mais j'ai eu le temps de comprendre
qu'elle pue un peu la librairie
que la poussière et l'humidité prédominent
puis il y a les eaux de toilettes les parfums
les déos puis il y a notre sueur
puis il y a toutes vos histoires de la journée
puis enfin
celles qui dorment dans les livres
et moi je suis persuadée que c'est pas le livre qui fait la différence
pour l'odeur de la librairie
pour nos journées
pour la personne qui vous inquiète c'est
vous.
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