Tumgik
#histoire originale
noveltale · 2 years
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Thought of writing a story. So... Here you go? It's about princesses :3
>:3 what? I won't tell anything else!
J'écris une p'tite histoire, 👀👀 si vous voulez y jetter un coup d'œil.
:333333 here. :3
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Vous voudriez bien me donner votre avis?
Ah and. It's written in french :'3
(but ya still have to read it @littlemoondarling . That's an order >:3 )
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jardindescontes · 2 days
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Cycle 1 - Les Glycines Pourpres
✴︎ Chapitre 1
MS MR - Dark Doo Wop
Les rayons de la lune éclairaient à eux seuls le paysage urbain parisien. Outre les lumière des néons et des lampadaires, il nʼy avait quʼeux pour percer lʼobscurité de cette nuit pour la rendre mystique et y dévoiler le jardin de l’énorme manoir d’inspiration normand de l’avenue Foch. Ses colombages contrastaient avec le béton et la pierre des ses voisSophie. C’était un quartier chic, un quartier que la matriarche du coven avait toujours connu. Et elles voulaient que ses filles en bénéficie aussi. Tout semblait calme, il ne fallait pas déranger cette quiétude. Hortense se baladait dans le petit cimetière du coven qui se trouvait dans un renfoncement au fond de ce jardin. Il se délimitait par quelques colonnes en ruines. Les stèles étaient naturellement fleuries de belles amarantes qui retombaient en cascade, fournissant un abri à la demeures des morts. La jeune femme encapuchonnée rendit un dernier hommage à ses aînées décédées avant de tourner les talons et se diriger vers l’entrée de l’espace vert. Là, son amie Sophie l’attendait sous une arche séparant l’intérieur du petit château et la promenade. 
— On y va ? Sophie invita son amie à la suivre.
Hortense garda le silence et emboita le pas de sa sœur jusqu’à arriver à sa hauteur. Les deux amies se rendirent dans la grande salle où elles retrouvèrent leurs semblables en âge de participer à cette réunion. Elles s’installèrent sur l’un des bancs pas encore bondé et regardèrent autour d’elles. Beaucoup d’entre elles, ainsi qu’Sophie, se demandaient quelle était la raison de cette convocation . La présence massive des Hespérides - chargées de la sécurité du coven - indiquait que la situation était grave et inquiétante. Hortense se sentait oppressée par cette ambiance particulière et le regard d’Sophie posé sur elle.
— Tu te sens bien Hortense ?
— C’est un peu stressant.
Et pas seulement. Hortense savait quelle était l’objet de cette assemblée. Quelques jours auparavant, elle fut convoquée par la supérieures des Hespérides : Camille. Hortense était une Limoniade : les guérisseuses du coven. Ce sont des sorcières spécialisées dans la botanique, la médecine par  les potions et les plantes qu’elles pouvaient contrôler. Dans la citadelle, elles étaient trois — Hortense, Marjorie et Laurène — et la Grande Hespéride demanda à toutes de venir. Les Limoniades se retrouvèrent dans une antichambre quand la porte s’ouvrit brusquement sur Camille et son bureau. Cette dernière les invita à entrer et referma aussitôt la porte derrière la dernière. 
— Je vais vous demander de faire preuve de la plus grande discrétion. Il ne faut pas que la nouvelle s’ébruite pour le moment car la matriarche ne veut pas inquiéter nos soeurs. Et nous ignorons comment vont évoluer les choses. 
Hortense, Marjorie et Laurène se regardèrent avec interrogation et hochèrent la tête en guise de réponse, toujours dans un silence des plus religieux. 
— Mona est malade ? Se risqua de demander Marjorie.
— Hélas. J’imagine que vous avez remarqué ses absences répétées cet été. 
— Oui. Son absence lors des des célébrations de Lughnasadh ne passa pas inaperçue, remarqua Laurène.
Camille hocha la tête.
— Au début, on pensait que c’était bénin mais son état se dégrada. Elle fut hospitalisée un temps pour écarter une atteinte somatique.
— C’était si flagrant que ça pour qu’elle passe directement à la médecine moderne ? S’étonna Laurène.
— Oui je sais, ce n’est pas quelque chose de très conventionnel notamment venant de Mona. Qu’elle me pardonne mais vue son âge avancé, elle voulait s’assurer que son corps ne la lâchait pas. Personnellement, je pensais à un empoisonnement mais aucune trace d’un quelconque poison dans son organisme.
— Au final ? Intervint Hortense.
— Ils ont trouvé une insuffisance rénale qu’ils ont traité lors du séjour et elle semblait tirée d’affaire mais de retour ici, son état s’est dégradé. On surveille tout et ses prises de sang sont plus ou moins normales … sauf sa fonction rénale.
Un long silence s’installa. Hortense fixa le vide et réfléchissait aux propos de sa consœur.
— Ce n’est pas improbable que ce soit un empoisonnement notamment s’il y a de la magie derrière, conclut Hortense.
— D’où votre présence ici, termina Camille.
— Et quels sont ses symptômes actuellement ? Interrogea Marjorie.
— Extrême pâleurs, des sueurs nocturnes, des nausées et des vomissement. Se rajoutent à ça maintenant une photosensibilité accrue, de violentes céphalées, faiblesse dans les jambes … 
Plus la liste s’allongeait, plus les Limoniades palissaient à leur tour.
— Ça fait beaucoup …, s’inquiéta Hortense.
— Nombreux sont les poisons et les plantes donnant un ou plusieurs de ces symptômes mais là … ça me dépasse.
— Tu peux toutes nous inclure Marjorie. Tu parlais de sueurs nocturnes mais avait-elle de la fièvre à ce moment ? Demanda Laurène.
— Pas à notre connaissance. 
— Bon, j’imagine qu’il nous faut la voir pour que nous puissions l’ausculter, conclue à son tour Hortense. 
À ces mots, Camille se leva et se dirigea vers une porte au fond de son bureau. Elle posa la main sur la poignet en récitant une incantation. D’un geste de la main, elle incita les trois Limoniades à venir la rejoindre. Ensemble, elles franchirent la porte pour se trouver instantanément dans les appartements de la Matriarche Mona. Les volets étaient fermés et ne laissait passer uniquement des filets de lumière. Au fond de son lit, Mona semblait à moitié endormie. Quand elle entendit ses petites soeurs arriver, elle ouvrit les yeux et essaya de se relever. Camille accéléra le pas pour vite arriver au chevet de celle qu’elle protège afin de l’aider à faire face. Hortense, Laurène et Marjorie s’avancèrent lentement et présentèrent leurs respects. Il leur fallut un temps avant que leurs yeux ne s’habituèrent à l’obscurité de la pièce. Quand elles purent distinguer plus clairement leur aînée, la stupeur les saisit. En effet, la pâleur marquée, ses yeux vitreux et le visage creuser par la fatigue indiquaient que Mona était au plus mal. Hortense sentit une bouffée de stress s’emparer de son corps, son estomac se noua et lui fit mal. Voir la fondatrice dans cet état donna un coup de massue sur les trois sorcières car Mona était le pilier centrale du coven depuis son élection. Une matriarche est élue par l’entièreté de la sororité et reste à sa tête jusqu’à la fin de sa vie. Cette femme marqua profondément Hortense, entre autre, car ce fut grâce à Mona qu’elle put trouver dans le coven une seconde famille. 
Par la suite, les filles commencèrent à l’examiner sous toutes les coutures sans que la matriarche n’ouvrit la bouche. En sortant de là, les jeunes sorcières s’échangèrent des regards et se disaient qu’il fallait travailler d’arrache pied pour trouver un remède au mal qui sévissait dans les entrailles de leur Mona. Hortense voulait partir sur la base du poison mais ce n’était pas un empoisonnement banal avec des plantes et des incantations magiques. Camille les rejoignit peu de temps après. 
— Alors, qu’en pensez-vous ?
— Difficile à dire. Ce n’est pas si simple, si les médecins n’ont rien trouvé …
— On va déjà se pencher sur ce que nous connaissons et traiter les différents symptômes. On va concocter différents remèdes mais certaines plantes mettront du temps à pousser malgré nos aptitudes, intervint Hortense.
— Même si nous n’avons pas de notion du temps, j’imagine qu’il nous en manque …, Camille semblait sceptique.
— Nous allons déjà traiter les symptômes. Mais il faudrait que l’ensemble de nos sœurs soient au courant, il est important qu’elle se sente soutenue dans ce genre d’épreuve, même si ça lui coûte qu’on la voit ainsi, continua Hortense
— Je vais lui en parler, j’espère la convaincre, finit Camille après avoir hocher la tête.
Cela lui prit plusieurs jours afin de convaincre Mona d’admettre que ses cadettes étaient en droit de connaître la situation et de rédiger une sorte de communiquer pour les rassurer. De plus, il avait été décidé de ne rien dire sur la possible intoxication car s’il y a envie de nuire, il ne fallait pas que ça se sache. Du moins, feindre l’ignorance était capitale pour mener l’enquête. Pendant ces quelques jours, Hortense et ses acolytes avait déjà commencé à travailler sur quelques remèdes pouvant soigner ses symptômes. Mais la durée d’effet était limitée, si elle ne les prenait pas régulièrement, sa santé déclinait aussitôt et si la situation continuait ainsi, Mona aurait une accoutumance au potion. En d’autre terme, plus rien n’aurait d’effets sur la matriarche. 
De retour à l’instant présent, Hortense observa Camille montant sur l’estrade et fit face à l’assemblée. Elle s’éclaircit la voix et commença à lire le message de Mona. Tout le monde commençait à s’agiter et des chuchotements s’élevèrent dans la salle. Camille invita ses soeurs à se calmer et les rassura comme elle le pouvait. Hortense se dandinait sur le banc ce qui interpella Sophie.
— Tu savais ce qu’il se passait avoue. 
Hortense se tourna vers elle et se sentait un peu soulager que Sophie découvrit seule le pot aux roses. 
— Ne m’en veux pas, on devait garder ça secret. On a été convoquée avec les filles et … c’est préoccupant.
Sophie se mit debout un instant et balaya l’immense pièce du regard.
— Je ne vois pas Marjorie.
— On se relaye … je t’expliquerai quand on sera dans un endroit plus tranquille. 
Sophie ne posa pas plus de questions et se doutait que la situation inquiétait pas mal Hortense. Cette dernière réalisait que quelque chose de louche se passait. Pour que Mona se retrouvait empoissonnée volontairement, quelqu’un voulait prendre sa place ? Était-ce une tentative des chasseurs ? Hortense balaya ces questions de son esprits car bien qu’elle aimerait avoir des réponses à ces questions, ce n’était pas son rôle d’enquêter et elle le laissait volontiers aux Hespérides.  Quelque temps plus tard, les sorcières se dispersèrent, encore secouer par l’annonce de Camille. Hortense et Sophie regagnèrent leur chambre afin de discuter de la situation et histoire d’être tranquille. 
Les deux amies pénétrèrent dans le couloir principal. Elles se faisaient aussi discrète que possible afin d’éviter à Hortense de répondre à des questions indiscrètes. Les sorcières se contentaient dʼun simple signe de tête en guise de salutation dès quʼelles croisaient le regard d’une de leur sœur. Ne pas attirer lʼattention était leur mot dʼordre jusquʼà ce quʼelles soient dans leur antre. Même si Hortense nʼétait pas du genre à faire parler dʼelle, cette nouvelle eut l’effet d’une bombe. Plus elle se fondait dans les murs, mieux cʼétait. L’ambiance du coven avait bien changé depuis cette réunion. La plupart de ses soeurs n’étaient pas plus crédules qu’une autre, elles trouvaient bien que quelque chose clochait. Pourquoi s’en prendre à Mona maintenant alors que la vie était si douce et respirait la tranquillité ? Les temps tranquille perduraient depuis quelques siècles maintenant bien que les femmes étaient toujours oppressées. Humaine, chasseuse, vampire, louve-garou ou sorcière, les hommes ne savaient pas vraiment faire la différence. Les chasseuses ne vivait que pour perdurer les lignées. Rares étaient ceux qui arrivaient à les croire toute aussi compétente qu’eux. Concernant les sorcières, les lycanthropes et les vampires, il suffisait de regarder l’Histoire et bon nombre d’humaSophie avaient payé la peur des hommes. À partir du moment où nous appartenons au « sexe faible », les différences ne sont pas qu’infimes et elles se transforment en ravin infranchissable. Mais Hortense s’estimait heureuse : elle vivait dans une ère de paix … mais pour combien de temps encore ?
Ressassant les derniers évènement en tête pour ne rien omettre à Sophie, elles regagnèrent leur chambre dans lʼaile ouest. Instinctivement elles se faufilèrent dans les couloirs, monta les escaliers en prenant soin de ne croiser personne. Cʼétait plus simple dʼéviter les regards dans le château quʼà lʼextérieur car il était plus difficile de se mettre à couvert. Une fois devant la porte de la chambre, Hortense jeta un coup dʼœil derrière elle. Sa main virevolta devant la serrure et un cliquetis se fit entendre. La porte sʼouvrit sur une chambre suffisamment spacieuse et haute de plafond pour deux jeunes étudiantes en magie. 
Des tapisseries épiques mettant en scène des chevaliers et dʼautres personnages fantaisistes recouvraient les murs pour garder la chaleur émanant de la cheminée. En face du foyer reposait un tapis persan au ton chaud sur lequel étaient déposés deux voltaires avec une petite table en bois de chêne entre les deux. Une lampe art nouveau trônait sur cette dernière. Entre cette cheminée et ces voltaires se trouvait une petite table basse dans le même bois noble où étaient exposés quelques livres et babioles les aidant pour lʼapprentissage de la magie : un petit chaudron, des fioles, un kit de potion, des ustensiles, un herbier, une vitrine pour les gemmes d’Sophie, etc. Non loin de ce petit coin tranquille, contre le mur et à côté de la grande fenêtre en vitrail donnant sur la ville, une imposante bibliothèque fait de chêne également, se dressait au fond de la chambre. Elle était remplie de livres et de carnets. De lʼautre côté du grand vitrail, des lits superposés épousant parfaitement le coin de la chambre, dont les draps étaient paré de végétation grimpante. Au dessus de la couette, une couverture patchwork était pliée. Une descente de lit toute molletonné accueillait les pieds des jeunes sorcières lors de leurs réveils très matinaux. Tout comme les autres meubles, la table de nuit était fait du même bois. Dessus se trouver une petite lampe de chevet champignon. Un tiroir fermé où se trouvait des effets personnels complétait le meuble. Au pied de ces lits douillets se trouvait un grand et large bureau sur lequel traînaient des fournitures de peinture, de dessin, de calligraphie, un nécessaire de création de bijou, des gemmes qui traînaient etc. Hortense avait un goût plutôt prononcer pour les arts et elle aimait sʼy retrouver. Cʼétait son échappatoire. Pour Sophie, elle était une Oréade. Ce sont les minéralogues du coven. Spécialisées dans la lithothérapie, elles étudient et notent les effets que les pierres peuvent avoir sur les sorcières. Elles fabriquent les talismans, chargent les pierres de protections et elle savent contrôler la roche. D’où la présence de gemmes un peu partout dans la chambre. Le bureau était plutôt commun. Rien de particulier en soit et il était fonctionnel : des tiroirs, du rangement, une lampe de bureau éclairant suffisamment les travaux des jeunes femmes quand elles sʼacharnaient dessus chacune leur tour. Hormis les tapisseries massives, quelques unes des œuvres d’Hortense était placardé sur le peu dʼespace libre. Sinon des épaisses ficelles et des guirlandes traversaient la chambre. Des bougies se trouvait ici et là, procurant une ambiance tamisée quand Hortense et Sophie méditaient. 
Les lattes de parquet brillaient grâce aux flammes dansantes du foyer. Cet endroit, la jeune femme lʼaimait bien. Cʼétait son cocon, sa bulle de protection. Ici, elle était tranquille, apaiser quand ça devenait tendu. Les filles s’installèrent l’une en face de l’autre. Hortense prit un grande inspiration et dévoila les récents évènements.
— Camille nous a convoqué pour nous parler de Mona. Tu sais déjà les grandes lignes : Mona est souffrante. Et bien que nous, Limoniades, sommes à son chevet pour lui prodiguer les soins nécessaires … l’état de notre Mère est grave.
Sophie fixait Hortense avec attention.
— Avant tout ça, elle a fait un séjour à l’hôpital, ils n’ont rien découvert hormis un affection des reins et le fait qu’elle vieillissait. Camille espérait un empoisonnement mais rien ne se vérifiait sur les prises de sang et avec les filles, on a affirmé cette hypothèse en soulignant que c’était peut-être induit par la magie. Ou du moins, si Mona avait avalé quelque chose, il aurait été ensorcelé mais bon. 
— Difficile de le détecter, en conclut Sophie, mais vous avez trouvé quelque chose ?
Hortense hocha lentement la tête. 
— C’est une bonne nouvelle alors ! S’exclame l’Oréade.
— Pas vraiment. On a découvert que son organisme recèle en réalité un nombre inimaginable de substances toxiques en tout genre. Elles peuvent être sécrétées par le corps ou d’un aliment ou plante nocive. On ne soigne que les symptômes et éventuellement l’intoxication mais son état ne s’améliore pas vraiment. On en finit pas.
Hortense se laissa tomber sur son lit. Les derniers détails contés pompa l’énergie de cette dernière qui repensait au bourbier que le cas de Mona était. Sophie réfléchissait et essayait de comprendre.
— Vous soignez Mona au fur et à mesure, ça ira mieux non ?
— Le problème c’est que son corps en est imbibé. Les poisons non identifié la tuent à petit feu. Ça avance à une vitesse fulgurante. Tu l’aurais vu Sophie, elle est dans un piteux état. Son corps la lâche complètement, il ne se bas même plus, il la tue. Et on ne sait pas combien de temps il lui reste. De plus, on manque de ressources.
Sophie soupira et comprit la gravité de la situation. Elle rejoignit Hortense sur son lit et posa une main sur son genou.
— Vous allez y arriver.
— Je l’espère.
Un long silence s’en suivit. Hortense regardait le plafond, se triturant les méninges, imaginant les pires des scénarios qu’elle ne voulait pas envisager. L’anxiété la gagnait de plus en plus au fil des jours et les nuits sont courtes. Sophie le remarqua et se dit qu’elle pouvait lui donner un coup de main. 
— Tu as dit qu’il te manquait des ressources … de quel genre ?
— D’ingrédients principalement … même si des ustensiles ne seraient pas de trop.
— Quoi comme ingrédient ?
— Un peu de tout. Nos plants ne sont pas encore mûr, on essaye de mettre à contribution l’entièreté de nos dons mais il y a une limite : notre énergie vitale n’est pas inépuisable. Le stock est en péril mais on a pas le temps de sortir et personne ne peut le faire à notre place.
— Il faudrait que tu demandes à Laurène et Marjorie d’assurer toutes les deux pour le moment. Je t’emmène en ville pour trouver ce qu’il te faut. 
Hortense se redressa sur ses coudes et gratifia son amie d’un sourire.
— Merci, ce contenta-t-elle de répondre.
Sophie lui fit un clin d’oeil en retour et se releva. Elle décida de confectionner un anneau serti d’une obsidienne aussi noire que les ténèbres. L’Oréade voulait en faire cadeau à Mona pour encourager sa guérison. Hortense décida de se coucher même si elle se doutait que le sommeil repartira aussitôt qu’il est venu. Le reste de la soirée se poursuivit dans le calme, la prière et la méditation. Toutes les sœurs priaient pour que leur mère spirituelles et de cœur se remette au plus vite. 
La nuit s’étendait sur l’entièreté de la capitale. Son effervescence atteignit son paroxysme en quelques heures mais les vitraux — adaptés au fil des époques — empêchaient les sons de parvenir à Hortense qui se trouvait là. La sorcière observait d’une des fenêtres du petit château posé à flanc de la colline Montmartre. De là, elle parvenait à distinguer une partie du jardin entouré de haut mur et derrière, l’avenue commerçante. Les néons des enseignes éclairaient son visage qui se perdait dans le vide. Elle n’avait plus sommeil, Morphée étant partit dans d’autres draps. Elle s’était éclipsée discrètement de la chambre pour ne pas réveiller Sophie. Elle marcha un peu au hasard dans les couloirs et se retrouva devant cette fenêtre. Comme un papillon hypnotisé par une source lumineuse, Hortense fut sûrement attiré par les lumières urbaSophie. Jusque là, l’endroit était silencieux et désert. Mais quand elle tendit un peu plus l’oreille, elle put distinguer des bruits de pas qui venaient dans sa direction. La jeune femme tourna la tête et tomba nez à nez avec Marjorie.
— Tu n’es pas couchée Hortense ?
— Je te renvoie la question, dit l’intéressée étonnée de voir sa sœur dans les couloirs à une heure aussi tardive.
Marjorie laissa échapper un petit rire et vint se placer à côté de sa semblable. Elles ne parlèrent pas tout de suite, le silence traduisait quelque chose qu’Hortense pensait saisir.
— Ça se présente si mal que ça ? Finit-elle par dire.
— Oui. Plutôt. J’ai terminé les derniers remèdes que l’on pouvait faire en attendant la maturation et le prochain ravitaillement. Ça va être de plus en plus compliqué car cela va nous demander beaucoup plus de temps et d’ingrédients or, nous manquons de tout. Si on ne trouve pas ce que Mona a …
— Je sais, je sais … coupa Hortense d’un ton grave.
Un autre silence s’en suivit mais il dura moins longtemps que le précédent. Hortense ne mit pas longtemps à chercher ses mots.
— J’irai en ville demain. Je trouverai ce qu’il manque pour nous donner justement plus de moyens à défaut de nous donner du temps. 
— Tu sais où tu vas trouver ce genre de denrée ? s’inquiéta Marjorie.
— Sophie a ses adresses. Elle me guidera.
Marjorie grimaça un court instant et fixa de nouveau le vitrail. 
— Soyez prudentes quand même. Les temps ont peut-être changé mais les rues ne sont pas spécialement sûres. 
— Allons, les humains ne sont pas si terribles que ça.
— Je ne parle pas que d’eux Hortense. Même si les mentalités ont évolué, les peuples et leurs dogmes restent inchangé. 
Hortense soupira. Vu de cet angle, la Limoniade n’avait pas tort. Les guerres entre les différents peuples ésotérique existaient toujours mais c’était comme une sorte de guerre froide. Les sorcières du coven sortaient peu. Non pas par interdiction mais elles n’avaient pas suffisamment confiance au monde qui s’étendait par delà les murs de la citadelle. La peur d’être catégorisée, méprisée et marginalisée les dictait. Cependant, Hortense ne pensait pas de cette façon et se terrer participait à cet isolement. Qu’on le veuille ou non, le mal était fait et il n’appartenait qu’à elles de donner le change. Mais elle le gardait pour elle car la plupart de ses soeurs pensaient comme Marjorie. Elle ne pouvait en parler qu’à Sophie qui, à côté de ses préoccupation du coven, suivait des cours dans l’école de joaillerie de Paris. Et ce, au grand damn de certaines. Cela dit, Hortense pouvait faire confiance à son amie qui connaissait la ville presque comme sa poche. Leur conversation prit fin après un échange de banalités et dans un dernier regard, Hortense observa sa collègue disparaitre dans la noirceur de la nuit. 
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miaqc1 · 2 days
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valienka · 8 months
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Chapitre 6
Le 6ème chapitre est disponible ! Lyvvi, guidée par ses amie, se lance sur le chemin de la survie. Mais parfois, une simple blessure permet de réaliser que la tâche sera bien plus ardue que prévue et que les mensonges sont bien ancré dans les esprits.
Il n’avait pas bougé durant son sommeil. Sa tête reposait toujours sur sa poitrine quand les rayons la réveillèrent, transperçant le feuillage les entourant. Les rugosités du tronc meurtrissant son dos ne la firent pas bouger. Lyvvi restait immobile à écouter la respiration régulière de l’elfe. Malgré sa position inconfortable, elle avait mieux dormi cette nuit que toutes celles précédentes. Elle…
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arthistoryanimalia · 2 years
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Today is also #WorldOstrichDay! Here's Picasso's ostrich:
Pablo Picasso (Spanish, 1881-1973) The Ostrich (L'Autruche) Plate XVI from Eaux-fortes originale pour des textes de Buffon (Histoire naturelle) 1936, published 1942 aquatint and drypoint from an illustrated book with thirty-one aquatints Dimensions: composition (irreg.): 10 7/16 x 8 9/16" (26.5 x 21.8 cm); page: 14 3/16 x 11 1/4" (36 x 28.5 cm) Publisher: Fabiani, Paris Printer: Lacourière, Paris Edition: 226 Museum of Modern Art, New York
Credit: The Louis E. Stern Collection, MoMA object number 976.1964.16 © 2023 Estate of Pablo Picasso / Artists Rights Society (ARS), New York [educational use]
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grii311 · 2 years
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Cendrâmes - Chapitre 1 - Le Glas (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1228135351-cendr%C3%A2mes-chapitre-1-le-glas?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=MarthCaulfield&wp_originator=pm24Cw7NFr3fvLPMGDaq8%2FiMgbOPWLfAKhQF%2FBhVhZXiYIT3oeTNAM3%2F%2Bv3tRjrGPDvpaqpbDR%2FT9pyB0bv9%2FOfR8bvZy2pP6b%2FlVpM012tvwatUqwsYB1g42BQnbPui La mort est venue pour Sen. les flammes ont ravagées son village, et il a brulé avec elles. Mais ses yeux se sont ouverts à nouveau sur les ruines calcinées de son ancienne vie, et à travers sa peine et sa douleur, seule sa rage le force à avancer et une seule idée hante son esprit : Trouver ceux qui sont responsables et les faire payer. Mais que lui arrivera-t-il après?
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alma37 · 2 years
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Did I ever tell you how much I am grateful for thesauruses?
In every language I write?
If they were human, I’ll ask one to marry me.
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valardynasty · 3 months
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Oropher Dynasty
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*Arthanïs et Evranï, histoire originale inventée.
OROPHER; Né durant les années des arbres, il fut l'un des Iathrim de la cour de Thingol et Melian. Il passa sa jeunesse à Doriath où il épousa Arthanïs, la mère de Thranduil. En 750 du second âge, il devient le roi du royaume des bois, le grand royaume des elfes sylvain de la forêt noir. Il perdit la vie durant la guerre de la dernière Alliance contre Sauron.
ARTHANÏS; Née durant les années des arbres, elle était l'une des dames de compagnie de la reine Maïa Melian à Doriath. Elle était connue pour ses savoirs en magie que lui avait transmis Melian. Elle épousa Oropher et eut une fils Thranduil. Elle perdit la vie pendant le saccage de Menegroth. Homonyme de Galadriel.
THRANDUIL; Né au cours du premier âge à Doriath, il est le fils d'Oropher et Arthanïs. Après la mort de son père, il devient roi du royaume des bois aux côtés de son épouse Evranï, avec qui il aura un fils Legolas. Son caractère se noircit au décès d'Evranï, il n'a d'ailleurs jamais vraiment surmonté sa perte.
EVRANÏ; Née peu de temps avant la chute de Gondolin, elle fait partie des rares survivants à s'être exilés aux bouches du Sirion. Elle abandonna les exilés et prit la route vers Doriath, peu avant sa chute. Elle y rencontra Thranduil qu'elle épousa. Elle devient à ses côtés, reine du royaume des bois et eut un fils, Legolas. Guerrière notable, elle perd la vie pendant une bataille à Gundabad.
LEGOLAS; Né durant le Second Âge, il est le fils de Thranduil et Evranï, prince du Royaume des bois. Il passe sa jeunesse avec Thranduil, attristé dès le plus jeune âge par la mort de sa mère, Evranï. Vêtu de vert et de marrons, il est un guerrier expert au maniement de l'arc, connu pour ses exploits durant la quête de l'anneau. A la fin de sa vie, il part pour Valinor en emmenant Gimli avec lui.
My OC x Création par Intelligence Artificielle.
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Marina Amiral est une artiste de photographie numérique qui, depuis quelques années, s'attache à donner de la couleur à de célèbres photos en noir et blanc, une technique qui semble faire revivre le passé, lui donner une nouvelle vitalité et transmettre un sentiment de proximité renouvelée entre le sujet et l'observateur. L'une des photographies qui l'a le plus frappée, parmi celles qu'elle a retouchées, est certainement celle de Czeslawa Kwoka, une jeune Polonaise de quatorze ans, qui a fini ses jours à Auschwitz en 1943.
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Czeslawa Kwoka a été déportée avec sa mère Katarzyna en décembre 1942 : la femme est morte le 18 février 1943, la jeune Czeslawa le 12 mars.
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"Donner de la couleur aux photos de Czeslawa a été très difficile... Regarder son visage pendant si longtemps en sachant ce qui lui est arrivé a été douloureux."
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Marina Amaral "Avec mon travail, je voulais donner à Czeslawa l'occasion de revenir en arrière et de "raconter" son histoire".
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"Parce que donner de la couleur à une photo en noir et blanc, c'est faciliter notre sens de l'identification. Cela signifie rendre plus réels les signes de la maltraitance que ces personnes portaient sur leur visage. L'homme qui a pris les photographies originales, Wilhelm Brasse, était lui-même prisonnier d'Auschwitz. C'est lui qui a raconté les circonstances dans lesquelles les photos de Czeslawa ont été prises : la jeune fille ne comprenait naturellement pas l'allemand et elle a donc été battue par une femme chargée de garder les prisonniers. Czeslawa était l'un des quelque 230 000 mineurs déportés vers le camp de concentration d'Auschwitz.
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On voit ici le portrait d'un orphelin de guerre à Londres 1945
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Enfants devant un char allemand
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Migrant Mother, la plus célèbre prise de vue de la photographe Dorothea Lange, avec Florence Owens Thompson et ses filles Ruby et Norma
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Les médecins du 5ème et 6ème commando amphibie des USA.
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mes-envies-de-culture · 4 months
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Netflix a annoncé le 31 mai 2024 la sortie de la seconde partie de la saison 1 de The Seven Deadly Sins : Four Knights of the Apocalypse avec 13 nouveaux épisodes.
Pour l’opening de cette deuxième partie nous aurons droit au titre Your Key du groupe Jpop 101, et c’est Mikansei de Zakinosuke qui s’occupera du générique de fin.
Pour rappel, Four Knights of the Apocalypse narre les aventures de Percival. Ce jeune garçon vit avec son grand-père dans une région isolée « le doigt de Dieu ». Là, il attrape des oiseaux et des poissons car c’est un excellent cuisinier. Mais un secret menace sa vie paisible et il va devoir se lancer dans une aventure qui va lui apporter embûche et rencontre.
Rappelons que cette histoire se déroule 16 ans après celle de l’anime The Seven Deadly Sins.
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Œuvre originale de Nakaba Suzuki.
Studio d’animation : Telecom Animation Film.
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haitilegends · 5 months
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À la Mémoire de JEAN BENJAMIN
Repose en Paix
Nous adressons nos plus sincères condoléances à la famille, aux amis et aux admirateurs de Jean Jacques Benjamin, un musicien de l'ombre dont la lumière a brillé intensément dans les domaines de la musique et de la culture haïtienne. Né le 14 septembre 1931, Jean Benjamin n'était pas seulement un chanteur, mais aussi un pianiste et compositeur profond. Son décès le 2 mai 2024 nous a laissé un vide qui ne pourra jamais être comblé, mais son héritage résonnera à jamais à travers sa musique et les vies qu'il a touchées.
La voix de Jean était un phare d'inspiration et de joie pour un groupe élite de mélomanes, portant la riche histoire et l'esprit vibrant d'Haïti à travers les générations et les frontières. En tant que chanteur principal pour l'Orchestre Riviera Hotel sous la direction du Maestro Edner Guignard dans les années 1950, aux côtés de légendes telles que le regretté Guy Durosier, Jean Benjamin a mis en avant l'essence de la musique Big Band haïtienne, captivant les cœurs et les âmes avec des standards de Boléro haïtien jazzy et des compositions originales.
Ses mélodies, de la poignante: "Gisèle" dédiée à sa première épouse à l'émouvante: "L'amour", sont des trésors intemporels qui continuent d'inspirer et d'élever. L'art de Jean était un pont, reliant le passé au présent, la tradition à l'innovation. Sa musique, immortalisée par des enregistrements et des performances, reste un témoignage de son talent extraordinaire et de sa passion inébranlable pour son art.
Nous sommes reconnaissants pour les souvenirs, la musique et l'héritage que Jean Jacques Benjamin laisse derrière lui.
À son frère—Dr Rodrigue Benjamin et Famille
À ses enfants—Ylder Benjamin, Esmeralda Benjamin Laraque, Claudette Benjamin, Jean Jacques junior Benjamin, Grevy Benjamin, Esther Benjamin.
Aux petits-enfants—Marcus Benjamin, Laurent Laraque, Sebastian Laraque, Christopher C. Raymonvil ; et un arrière-petit-fils ;
À ses neveux et nièces—Jean René Foureau et famile; Hervé et Ketly Foureau Dorsinville; Marlene Benjamin et famille; Caroline Benjamin Fleurimont et famille;
Franklyn Benjamin Jr et famille; Frankline Benjamin et famille; Nadine Benjamin et famille; Gregoire Benjamin et famille; Sandra Benjamin et famille; Patrice Benjamin et famille
À — Gilbert Laraque, Robert-Charlot Raymonvil et toute la famille élargie
Aux amis proches —Serge Morel, Leopold Molière aka Yoyo,
nos pensées vous accompagnent en cette période difficile. Puissiez-vous trouver du réconfort dans le fait que l'esprit de Jean continue de vivre à travers sa musique et les innombrables vies qu'il a touchées. Sa vie a été bien vécue, et ses contributions à la musique et à la culture continueront d'être célébrées pour les générations à venir.
Repose en paix, Jean Benjamin, une véritable légende dont les mélodies résonneront à jamais dans le cœur de ceux qui ont eu le privilège de vivre votre art.
#SGLmt
#Haitilegends
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In Loving Memory of JEAN BENJAMIN
Rest in Peace
We extend our deepest condolences to the family, friends, and admirers of Jean Jacques Benjamin, an unsung music man whose light shone brightly in the realms of Haitian music and culture. Born on September 14, 1931, Jean Benjamin was not just a singer, but a profound pianist and composer. His passing on May 2, 2024, has left us with a void that can never be filled, but his legacy will forever resonate through his music and the lives he touched.
Jean's voice was a beacon of inspiration and joy for an elite group of melomanes, carrying the rich history and vibrant spirit of Haiti across generations and borders. As a premier vocalist for Orchestra Riviera Hotel under the direction of Maestro Edner Guignard in the 1950s, alongside legends like the late Guy Durosier, Jean Benjamin brought the essence of Haitian Big Band music to the forefront, captivating hearts and souls with jazzy Haitian Bolero Standards and original compositions.
His melodies, from the poignant "Gisèle" dedicated to his first wife to the stirring "L'amour," are timeless treasures that continue to inspire and uplift. Jean's artistry was a bridge, connecting the past with the present, tradition with innovation. His music, immortalized by recordings and performances, remains a testament to his extraordinary talent and his unwavering passion for his craft.
We are grateful for the memories, the music, and the legacy Jean Jacques Benjamin leaves behind.
To his brother—Dr Rodrigue Benjamin et Famille
To his children—Ylder Benjamin, Esmeralda Benjamin Laraque, Claudette Benjamin, Jean Jacques junior Benjamin, Grevy Benjamin, Esther Benjamin.
His grandchildren—Marcus Benjamin, Laurent Laraque, Sebastian Laraque, Christopher C. Raymonvil; and one great-grandchild.
To his nephews and nieces—Jean René Foureau et famile; Hervé et Ketly Foureau Dorsinville; Marlene Benjamin et famille; Caroline Benjamin Fleurimont et famille;
Franklyn Benjamin Jr et famille; Frankline Benjamin et famille; Nadine Benjamin et famille; Gregoire Benjamin et famille; Sandra Benjamin et famille; Patrice Benjamin et famille
To —Gilbert Laraque, Robert-Charlot Raymonvil and the entire extended family.
To his close friends:—Serge Morel, Leopold Molière aka Yoyo,
our thoughts are with you during this difficult time. May you find comfort in the knowledge that Jean's spirit lives on through his music and the countless lives he touched. His was a life well-lived, and his contributions to music and culture will continue to be celebrated for generations to come.
Rest in peace, Jean Benjamin, a true legend whose melodies will forever echo in the hearts of those who had the privilege to experience your artistry.
Sandra Gabriel Lmt
#SGLmt
#Haitilegends
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From Jean Benjamin with Love!
https://on.soundcloud.com/iTeJGcL9F1EzMMS16
Voici quelques musiques supplémentaires.
Grevy Newton Benjamin
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lilias42 · 5 months
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Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
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C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
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miaqc1 · 2 days
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fashionbooksmilano · 10 months
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Geisha Une tradition vivante
Kyoko Aihara
Editions Soline, Courbevoie 2001, 128 pages, 24x29cm, ISBN 978-2876774315
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est un privilège rare que de franchir les rideaux armoriés des anciennes maisons de thé japonaises, d'où la méconnaissance du rôle joué par les hôtesses de ces lieux rompues aux arts de divertissement et connues sous le nom de geishas. Historiquement, ces femmes sont associées à Kyoto, l'ancienne capitale du japon, où les exigences traditionnelles de leur formation sont toujours en vigueur aujourd'hui. Geisha explore tous les aspects de la vie, souvent pénible, de ces femmes remarquables leur costume, leur coiffure et leur maquillage élaborés, les cérémonies et les rituels auxquels elles participent, leur excellence dans la pratique des arts traditionnels et les relations qu'elles entretiennent avec les hommes et le monde extérieur. Les maiko et les geiko de Kyoto occupent une place à part dans la culture japonaise. II y a un siècle encore, on les voyait déambuler dans les rues de la ville, comme d'autres femmes aux activités proches dans d'autres villes du Japon. Aujourd'hui, leur existence se trouve menacée ; peu de femmes choisissent ce métier exigeant. En effet, de nombreuses années d'études leur sont nécessaires pour perfectionner leur connaissance des arts, apprendre à mener une conversation avec brio afin de divertir les hommes dans le respect de la tradition et à participer aux festivals saisonniers. Kyoto est la seule ville à proposer une formation de haut niveau qui garantit que les maiko et les geiko en exercice sont les véritables gardiennes du patrimoine culturel de leur pays. Le livre éclairant de Kyoko Aihara, richement documenté et illustré de photographies originales, dresse un portrait détaillé d'un pan de la société japonaise encore nimbé de mystère.
Kyoko Aihara est née à Yokohama, au Japon. Diplômée en histoire de l'art de l'Université de Tokyo, elle est ensuite allée étudier l'allemand à Cologne. Depuis 1994, elle est journaliste et photographe free-lance au Japon. Elle a publié de nombreux livres (tous illustrés de ses propres photographies) et rédigé pour de multiples journaux et magazines japonais des articles sur un vaste éventail de sujets. Les contacts privilégiés qu'elle a noués avec les maiko et les geiko de Kyoto lui ont permis de pénétrer l'univers des maisons de thé de la ville et d'écrire ce livre remarquable, unique en son genre.
07/12/23
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arthistoryanimalia · 6 months
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For #WorldFrogDay: Picasso’s #Frogs 🐸
Pablo Ruiz y Picasso (Spanish, 1881–1973)
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1. The Toad (Le Crapaud), 1949
Lithograph on zinc; image: 19 5/8 x 25 1/4" (49.9 x 64.1 cm)
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2. The Frogs (Les Grenouilles), from Eaux-fortes originale pour des textes de Buffon (Histoire naturelle), 1936, published 1942
Aquatint & drypoint; image: 10 9/16 x 8 5/16 in (26.9 x 21.1 cm)
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3. The Toad (Le Crapaud), from Eaux-fortes originales pour des textes de Buffon (Histoire Naturelle), 1936, published 1942
Aquatint & drypoint; image: 10 7/16 x 8 1/4 in (26.5 x 20.9 cm)
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4. Lucien Clergue (French, 1934-2014)
Picasso Discovering a Toad, 1968
Gelatin-silver print; image: 10 7/8 × 7 3/16 in (27.62 × 18.26 cm)
1. MOMA, 2. MOMA, 3. PMA, 4. LACMA
1-3 © Estate of Pablo Picasso / Artists Rights Society (ARS), New York [educational use]
4 © Lucien Clergue / DACS, London [educational use]
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notasfilosoficas · 5 months
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“La historia es una galería de cuadros en la que hay pocos originales y muchos falsos”
Jules Michelet
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Fue un escritor e historiador francés, nacido en París en agosto de 1798, conocido por su obra de varios volúmenes “Historia de Francia”, que traza la historia de Francia desde los primeros tiempos hasta la Revolución Francesa de 1789.
Nació en el seno de una familia calvinista, su padre era un próspero maestro de imprenta y Jules le asistía en el trabajo de impresión. 
Estudió en el célebre colegio Lycée Charlemagne rechazando un puesto en la imprenta imperial. Fue un alumno destacado aprobando su examen universitario en 1821 y convirtiéndose en profesor de historia en el College Rollin.
En 1824 contrajo matrimonio con Pauline Rosseau en donde tenía padrinos poderosos como el político y escritor Abel-Francois Villemain y el filósofo y espiritualista Victor Cousin entre otros.
Michelet era más que un apasionado político, un hombre de letras y un investigador de la historia, publicó sus primeras obras escolares entre los años 1825 y 1827, produciendo diferentes esbozos y cronologías de la historia moderna. 
1838 fue un año de gran importancia en la vida de MIchelet, fue nombrado titular de la cátedra de historia en el Collège de France en un momento en que la actividad de la orden jesuita causaba cierta pretendida alarma. 
Ayudado por su amigo el escritor e intelectual francés, Adgar Quinet, abrieron polémicas conferencias en contra de la orden religiosa, era tal su fervor que sus cursos tuvieron que ser prohibidos al inicio del estallido de 1848, tiempo en el que emprendió y llevó a cabo una entusiasta “Historia de la Revolución Francesa”, durante los años que transcurrieron entre la caída de Felipe II y la instauración definitiva de Napoleón III.
Tras el golpe de estado de 1851, el hombre de ideas liberales, y republicanas, con la instauración del segundo imperio, se vio privado de su empleo en el Archivo Nacional y de su cátedra en el colegio de Francia.
Al tiempo en que continúa trabajando en su obra histórica monumental, emprende la publicación de una serie de libros extraordinarios como versiones extendidas de ciertos episodios o comentarios a volúmenes anexos.
En 1867 la gran obra de su vida es terminada y se trata de una edición compuesta de 19 tomos que abarca desde la historia antigua llegando a la muerte de Carlomagno, hasta la historia del siglo XVIII y el estallido de la revolución.
Michelet es probablemente el primer historiador en dedicarse a algo así como una historia pintoresca de la edad media, y su narración sigue siendo la mas viva que existe.
Aunque su investigación en manuscritos y textos impresos fue de lo mas laboriosa, su imaginación y fuertes prejuicios religiosos y políticos lo hicieron ver las cosas desde un solo punto de vista.
Michelet no pudo concluir la segunda parte de su obra titulada Histoire du XIX, llegando hasta la Batalla de Waterloo.
Jules Michelet muere a la edad de 75 años de un infarto agudo al miocardio y su cuerpo es enterrado en el cementerio del Père-Lachaise en Paris, uno de los cementerios mas celebres del mundo.
Fuentes: Wikipedia, phte.upf.edu
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