Tumgik
#JE ROUGIR
where-is-vivian · 1 year
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[my fic in a nutshell pt.2]
James, wiggling his eyebrows: I'll make you blush, Regulus.
Regulus: Your flirting skills are shitty.
James: Yeah? What do you know about flirting anyway?
Regulus, with a straight face, without looking away: Je sais très bien comment flirter, et si j'en avais le courage, je te dirais comment me faire rougir de mille manières, pour que jamais plus tu n'essayes de séduire quiconque d'autre. (I know very well how to flirt, and if I was brave enough, I'd tell you thousands ways to make me blush, so that you'll never ever flirt with anyone else.)
James, clueless, blushing hard: *speechless*
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kilfeur · 4 months
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Mention intéressante c'est que bien qu'il semble comment faire plaisir à Stolas or il sait pas des choses plus intimes comme l'ambiance ou bien la taille (bien est ce que ça compte comme quelque chose d'intime ?). Bref on arrive à la scène où Blitzo et Stolas discutent et j'ai bien aimé cette scène car Stolas ne touche pas Blitzo. C'est seulement pour le cristal qu'il le fait ! Blitzo s'accrochant à ce qu'ils ont. Alors que Stolas souhaite quelque chose de nouveau pour leur relation, cette scène est importante car ça les testent justement.
Et on a vu Stolas rougir deux fois montrant qu'il est tenté mais se ressaisit pour leur bien de leur relation. Et bien sûr à cause de ses expériences passés, Blitzo croît que c'est un role play. Et de l'autre les deux ressentis sont compréhensibles, Stolas a comprit que leur marché n'est pas juste pour eux et veut donner le choix Blitzo. Et Blitzo qui a déjà été blessé et utilisé craint l'intimité personnelle et émotionnelle, ne croit pas que Stolas puisse dire une chose pareille. Mais vu ses yeux, je pense que ça le choque plus de voir que son bien aimé le voit de cette manière. Ça me fait un peu penser à son ancienne relation avec Verosika et quand justement, elle a essayé de se rapprocher intimement de lui c'est là qu'il l'a repoussé !
Aussi joli contraste de cette scène par rapport à celle où Stolas sauve I.M.P des agents.
It's interesting to note that although he seems to know how to please Stolas, he doesn't know about more intimate things like mood or size (well, does size count as intimate?). Anyway, we come to the scene where Blitzo and Stolas are talking, and I liked it because Stolas doesn't touch Blitz. He only does it for the crystal! Blitzo clings to what they have. While Stolas wants something new for their relationship, this scene is important because it tests them.
And we saw Stolas blush twice, showing that he's tempted but pulls himself together for the sake of their relationship. And of course, because of his past experiences, Blitzo thinks it's a role play. On the other hand, both feelings are understandable: Stolas understands that their deal isn't fair to them and wants to give Blitzo a choice. And Blitzo, who has already been hurt and used fears personal and emotional intimacy, doesn't believe Stolas would say such a thing. But given his eyes, I think it shocks him more to see his beloved see him that way. It reminds me a little of his old relationship with Verosika, and when she tried to get closer to him, he pushed her away!
It's also a nice contrast to the scene where Stolas saves I.M.P. from the agents.
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lisaalmeida · 7 months
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Maintenant je comprends ce qui pousse les gens à lire, pourquoi ils aiment se perdre dans une autre vie.
Parfois, à la lecture d'une phrase, je bondis, parce qu'elle exprime un sentiment que j'éprouve mais n'ose pas formuler.
Je voudrais pouvoir dire aux personnages que je les comprends, qu'ils ne sont pas seuls, que je ne suis pas seule, qu'ils n'ont pas à rougir de leurs sentiments.
Et puis la sonnerie retentit, je referme mon livre et retrouve la réalité.
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olympic-paris · 17 days
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saga: Soumission & Domination 263
Emma, Ric et Pablo
Je passe voir "Mère". Elle est ravie de Pablo. Bien qu'elle m'ait fait confiance, elle ne connaissait pas les capacités de son nouveau cuisinier avant de l'avoir embauché. Tous les invités qu'elle a reçu depuis son arrivé ont été conquis par ses plats. Pour un peu, elle me reprocherait de ne pas avoir insisté plus tôt pour qu'elle l'embauche !
Elle m'a demandé dernièrement si cela ne me gênerait pas si elle devenait elle aussi cliente de ma société. Je comprends qu'avec PH nous sommes tous les deux trop occupé pour satisfaire tous ses besoins. Elle ajoute que c'est seulement pour les moments où nous sommes trop loin d'elle
Sur le moment je suis légèrement choqué mais rapidement je suis mort de rire. Quand elle me parle de tarif, je lui dis d'oublier ça, pour elle ce sera quand elle veut et même trois si elle le désire. Ça, elle n'avait pas osé me le demander mais j'étais sûr que cela lui manquait, Ernesto ne monte pas assez souvent, même si, à chaque fois qu'il est là, nous passons la voir.
Les premiers que je lui envoi sont : Jona, Viktor et Nikolaï. Elle m'a appelé dès leur départ de la maison pour me remercier de ce choix. Elle a bien vu que Viktor et Nikolaï était ensemble mais m'a garantie que cela ne nuisait en rien à leurs capacités à la faire jouir. Jona s'est montré plus " physique " dans ses rapports mais elle avait apprécié cette fougue. Bien qu'ils soient tous plutôt gay, ils n'avaient eu d'attentions que pour elle. Ils ont seulement échangés des regards et d'après Emma surtout pour coordonner leurs caresses et diverses pénétrations. Pas de prise de plaisir sans elle, ce que nous (PH, Ernesto et moi) nous nous autorisons. En bref, elle m'a remercié pour leur efficacité et professionnalisme.
Je ne leur ai pas dit qu'ils se faisaient ma " mère " mais qu'il devait se donner à fond car je la connaissais personnellement.
Spontanément, ils sont passés dans la soirée faire leur rapport. Jona m'a remercié de les avoir envoyés à une aussi belle jeune femme. Cela les changeait agréablement des autres clientes situées plutôt dans la tranche d'âge supérieur et aux physiques plus enrobés. Viktor, lui me parle plus de l'appétit vorace qu'elle leur a montré. Je pense qu'elle s'est effectivement bien amusé avec leurs jeunes corps plein de sève et de vitalité. Nikolaï d'ajouter qu'elle ne les avait laissé partir qu'après les avoir vidé deux fois chacun ! Comme c'était une de mes amies, ils n'avaient pas osé partir après la première fois comme ils le faisaient pour un rendez vous normal. Les autres clientes ne sont pas aussi " libérées ". Ils se sont fait réellement plaisir à lui faire l'amour.
Je les remerciais d'avoir eu cette délicatesse et je leur annonçais le montant amélioré de leur prestation. Ils ont eu, tous les trois, la même réaction de refus. C'était avec plaisir qu'ils m'avaient rendu ce service et d'ajouter qu'ils étaient prêts à recommencer quand je voudrais. Jona ajoute que si je voulais, François pourrait le remplacer ou même les accompagner. Je le proposerais à Emma. Elle n'a plus de tabou coté sexe et ça devrait lui plaire. Quand je le répéterais à Emma, ça va la faire rougir.
Pablo se fait à sa nouvelle vie. Le fait qu'il parle bien français a facilité son intégration. La vieille cuisinière ne jure plus que par lui (à croire qu'elle est tombée amoureuse de lui). Lui-même se fait plaisir à élaborer de nouveaux plats. Coté sexe, nous lui avons indiqué les lieux : bars, boites, sauna et autres points de rencontre de mecs entre eux comme les sites internet de rencontre. Il vient diner chez nous quand il est de repos mais depuis deux semaines, il nous délaisse une fois sur deux pour baiser les passifs du coin ! Sa bite XXL fait merveille dans les petits culs des passifs locaux. Mais d'après ce qu'il nous raconte, seuls les plus mignons peuvent en profiter. Les WE où Ernesto remonte avec Hervé, nous touzons en " famille ". Mais invitons aussi certains de nos amis. Nos trois " ainés " étant exclusivement actifs et nous trois A/P, nous invitons fréquemment des purs passifs. C'est comme ça qu'Ed et Théo en plus de Jimmy nous rejoignent souvent.
Ric, lui, est plutôt un de ses visiteurs du soir. Il passe voir Pablo après son service du soir et de temps à autre reste même la nuit entière avec lui. Je l'ai su parce qu'Hervé se trouve à me demander plus souvent un Escort pour ses besoins personnels.
Ric, me dis que c'est pas parce qu'il est " avec " Alban qu'il doit rester abstinent pendant la semaine ou les WE où ils ne se rencontrent pas. Il me dit qu'Alban de son coté n'est pas un saint sur Paris et que les p'tits mecs défilent dans son atelier. Il en a même rencontré quelques uns. Ils sont mignons mais pas aussi musclés que lui, ce qui excite encore bien son Alban. Par contre ce sont de réelles belles salopes de compétition ! Il lui est arrivé de participer à des touzes organisées par Alban ou bien comme invité avec lui. Il a même participé, lors d'une méga-touze organisée par une connaissance d'Alban, à un concours de passifs où il est sorti grand vainqueur aussi bien sur l'épreuve gorge profonde qu'en bottom. Faut dire que se faire enculer et " gaver " par la queue XXL de son paternel presque tous les jours pendant 4 ans l'a bien " formaté ". Ça, plus son caractère soumis hérité des mauvais traitements donnés par sa mère, sans oublier son physique hyper musclé, l'ont rendu très résistant. J'ai participé à sa " construction ". Quand il était le centre de mes gangs bangs commerciaux où il se faisait enculer par plus de 10 black TTBM à la chaîne, ça du bien aider aussi ! Mais ça ils ne le savent pas à Paris ! En attendant ça lui a permis de gagner haut la main ce concours de " à qui en prendra le plus " dans la touze.
Même Alban, pourtant bien au courant de la résistance de son poulain n'en est pas revenu ce soir là. S'il avait mal aux cuisses en rentrant au petit matin, Ric était tout content surtout de ce qu'il avait gagné puisque les bottoms en compétition étaient aussi le support de paris et en tant que gagnant des deux épreuves, il avait raflé la totalité des mises des participants " actifs " et des " propriétaires " des compétiteurs. Alban était aussi fier que Ric de la performance de la soirée. Quand ils m'ont appelé pour nous raconter ça, ils en étaient encore morts de rire ! C'est un mois plus tard que je bénéficierai de cette performance. En effet, lors de la livraison des deux cariatides en bronze destinées à " soutenir " la piscine à l'interface séjour/cuisine du 4ème étage du Blockhaus, je me suis aperçu qu'Alban avait minoré sa facture. Quand j'ai demandé la raison d'un tel geste, il m'a dit que c'était en remerciement pour Ric. Et par là il entendait : le fait que je l'ai découvert, délivré de sa mère sadique, amené à aimer le sexe masculin, formé à la soumission paternelle, poussé à la muscu, complété sa formation de maso assumé et d'en avoir fait ce qu'il est à ce jour.
Quand j'objectai que le terrain était fertile et que je n'avais fait que révéler le potentiel du gamin, Alban m'a détrompé. PH l'a suivi en assurant que j'avais un réel talent pour découvrir les talents cachés, surtout sexuels, des mecs encore indécis ou même polyvalents. Il a ajouté que c'était même la raison principale de la réussite de mes sociétés d'Escort.
La mise en place des deux sculptures a été un brin scabreux. Leurs dimensions (2m hors socle rapporté) et leur poids (même creux, le bronze c'est lourd) nous ont obligés à passer par la terrasse. Mais le résultat est superbe. Alban a parfaitement reproduits les traits et la musculature de Ric pour les réaliser. Leur présence donne une théâtralité à la salle qui lui manquait et rompt la continuité des murs qui lui donnait précédemment un petit air de station de métro !
Je donne à Pablo un code d'entrée pour le " portail rue " et pour l'accès au second étage et la salle de sport. Comme cela il peut même venir à minuit ce n'est pas un problème. La seule contrainte est qu'il n'y amène personne à baiser. Cela lui convient tout à fait et entre ma salle de muscu et la piscine d'Emma, il maintient une forme physique impeccable. Il me dit que souvent, Emma profite de sa présence dans l'eau pour s'entrainer à ses cotés. Nous plaisantons ensemble de son statut de cuisinier / coach sportif. Il rit et me dit qu'elle lui a confié qu'elle avait tout intérêt à garder la forme avec un corps ferme et mince si elle voulait toujours plaire à ses trois " garnements " (Ernesto, PH et moi). Pablo ajoute qu'il a parfois l'impression d'être un confident rassurant. Emma sait qu'il ne va pas la juger et qu'il comprend que même veuve, elle avait droit au plaisir du sexe. Dans ces moments là, il a l'impression d'être plus un " petit frère " (ils n'ont que 15 ans de différence) que son employé.
Je le remercie de prendre soin de ma mère. Il rit et m'assure que c'est très agréable et qu'il ne changerait pas de patronne pour tout l'or suisse du monde. Là bas, il n'était pas mieux payé et en plus il était considéré comme un véritable larbin devant être disponible 24h/24 et 7j/7 ! Il pense que le fait qu'il soit un pur gay et responsable d'Ernesto le place hors de ses sphères tant professionnelles que personnelles. Et ça, ça la libère dans leurs relations. Je suis content car elle va pouvoir se confier en étant sure de ne pas être jugées (ce dont elle n'était jamais sûre avec ses amies même proches). Nous rions encore plus de sa nouvelle situation de Cuisinier / coach sportif / confident !
Quand je la revoie, elle me parle de Pablo et de la complicité qui se tisse entre eux. Elle me dit que ça lui fait du bien de pouvoir parler de ce qui lui arrive dans ses relations affectives et sexuelles sans risque de sentir une désapprobation et l'opprobre générale. Elle me dit que Pablo commençait à avoir une bonne réputation auprès de ses amis et connaissances qui se régalent de sa cuisine lors des diners qu'elle organise. C'est elle qui me dit qu'il va avoir une première commande. Quand je lui demande qui est l'ami qui le fait travailler. Elle me répond qu'Hervé ( son ami et Mec/Père de Kev) a prévu une réception chez lui à Paris d'une quinzaine de grands patrons. Elle devra s'en séparer du samedi au dimanche soir mais ça lui fait plaisir à deux titres, rendre service à Hervé qui est un de ses amis les plus proches et pour Pablo.
PH nous rejoint après ses cours. Evidement ça dérape ! Les embrassades " filiales " glissent " sexuelles ". On chauffe vite et les vêtements glissent de nos corps comme par magie. Emma est vraiment devenue libérée et nous baisons comme des fous. Elle nous pipe maintenant comme un mec, et réussit même à nous prendre entiers dans sa gorge. De notre coté, nous embouchons ses deux trous (vagin et anus) et jouons de nos langues bien enfoncées dedans. Ce truc la fait décoller à chaque fois. Quand nous sommes avec Ernesto le troisième lui roule une pelle. D'ailleurs nous ne changeons de positions qu'après lui avoir procuré un premier orgasme. Nous continuons en changeant notre organe qui la pénètre. J'entends par là que nous substituons nos bites à nos langues ! Première phase je lui lime le vagin alors que PH se fait sa rondelle. Puis nous échangeons. C"est la meilleure femme que j'ai jamais baisée (bon d'accord je ne m'en suis pas fais des douzaines non plus !). Par contre c'est celle qui a le vagin le plus musclé et qui est capable de le contracter pour bien nous serrer la queue.
Après avoir profité de sa bouche, je me retrouve à lui lécher le cou et à pétrir ses seins. Comme je sens que PH et moi montons en pression, j'accentue un travail de tétons qui startérise son envoi au 7ème ciel. Ce sont alors ses contractions musculaires internes qui nous font exploser à notre tour. Je lui envoie bien 5 à 6 éjaculations dans le cul en même temps que PH lui rempli le vagin.
Nous restons emboités, entassés sur son lit jusqu'à ce que, naturellement, nos engins dégonflent et sortent d'Emma. Encore un peu de temps à rester blottis les uns contre les autres avant d'aller nous doucher. Nous excitons une dernière fois Emma avec nos doigts alors que l'eau coule sur nous. Elle essaye de s'échapper mais même enduite de savon, elle ne nous glisse pas entre les mains ! Et nous devons la soutenir quand elle se prend un dernier orgasme.
Nous nous sommes tellement bien amusé avec Emma que nous n'avons pas eu besoin de faire l'amour entre nous deux. C'est souvent le cas quand nous ne sommes que deux avec elle.
Avant de partir comme nous ne sommes attendus par personne, nous enfilons un maillot de bain et juste avec un peignoir sur les épaules nous traversons la maison jusqu'à la piscine.
Quand nous entrons, un léger clapotis de l'eau nous informe qu'il y a quelqu'un dans la piscine. C'est Pablo qui aligne les longueurs. J'envoi la nage à contre courant quand il arrive à deux mètres de la sortie d'eau. Surpris il boit la tasse et s'arrête crachant, ne sachant pas ce qui lui arrive. PH et moi le rejoignons en sautant dans l'eau de chaque coté de lui. Il attrape PH qui est le plus proche de lui et l'enfonce sous l'eau. S'ensuit une bagarre où il faut que nous unissions nos forces pour réussir à l'enfoncer à son tour sous l'eau.
Nous nageons en parallèle, pas loin d'une demi-heure, avant que Pablo sorte de l'eau. Nous le suivons et l'asticotons alors que nous nous rinçons sous la douche. J'ai le plaisir de voir que cela fait son petit effet puisque son maillot devient vite trop petit.
Je tire sur le cordon et glisse ma main pour empoigner sa bite. PH dans son dos baisse son boxer jusqu'aux chevilles. Je glisse alors sur mes genoux et embouche son gland avant d'enfourner la totalité de la bête. Je sens aussitôt les mains de Pablo se poser sur mon crane et me maintenir bien plaqué contre son pubis. Il relâche la pression et me laisse prendre un rythme qui me permet de respirer de temps en temps ! PH le pousse à écarter les jambes et s'attaque à sa rondelle. Les gémissements qui nous parviennent montrent le plaisir que nous lui procurons. Avec mes mains je demande à PH de préparer mon propre anus à la future saillie. Je passe en position 4 pattes pour lui donner accès à ma rondelle tout en gardant la queue de Pablo dans la bouche. Une petite claque sur mes fesses m'indique que PH estime ma rondelle suffisamment préparée. Je fait demi tour pour la présenter à Pablo qui se met à genoux entre mes cuisses et, kpoté par les bons soins de PH, je le sens pousser son gland en moi. PH m'a bien détendu avec sa langue et le gel de la kpote suffit à laisser glisser sa bite jusqu'à ce que nos deux bassins se heurtent. Que c'est bon !! PH laisse Pablo me limer deux trois minutes avant de glisser sous moi et alterner un pipage de ma queue et un léchage de ma rondelle malmenée. C'est encore meilleur ! De temps en temps je devine qu'il bouffe les couilles de Pablo car je ne sens plus sa langue et le rythme de Pablo devient hiératique. Sa belle bite bandée à 2cm de mon visage, je la mange !
Pour reprendre la direction des " affaires ", Pablo m'enserre la taille de ses grandes mains et impose à nous deux sa volonté. PH ne peut plus que me sucer et lécher ma rondelle alors que la cadence de ma saillie augmente sensiblement. Quand Pablo s'aperçois de l'heure, il m'encule plus vivement jusqu'à nous faire tous exploser rapidement. Je jouis alors qu'il me maintient plaqué contre lui, juste secoué par les spasmes de ses éjaculations. Cela déclenche en moi un orgasme ravageur qui me fait juter dans la bouche de mon PH qui lui ne se gène pas non plus pour me gaver. Dès que Pablo est sorti de moi, je pivote pour rouler un patin à PH, mélangeant par là même nos deux spermes. Pablo nous caresse la tête avant de couler sous l'eau pour se laver.
Cette fois ci nous le laissons tranquille et rapidement il se rhabille pour aller préparer le service du soir.
Quand nous quittons la maison,  je suis content d'être venu en voiture, j'aurais peut être eu du mal à piloter correctement ma moto !
Jardinier
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alexar60 · 1 year
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Vulgaire
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Trois vieilles dames partant à la messe, s’arrêtèrent devant une affiche du film « Emmanuelle ». Elles étaient éberluées par ce qu’elles découvrirent.
La première : C’est un film,
La seconde : Un film ? Mais pourquoi est-elle à poil ?
La troisième : C’est un film cochon. Ça c’est sûr, c’est un film cochon.
La seconde : Et ils vont le passer au cinéma ?
La première : Oui, c’est prévu dans quinze jours.
La seconde : C’est scandaleux ! Tous les hommes vont aller le voir. En plus, elle fait vulgaire assise comme ça, cette trainée.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une petite trainée. Oui, c’est vraiment une petite trainée.
La seconde : Une pute, oui ! Comment s’appelle-t-elle ?
La première lit l’affiche et répondit lentement: Sylvia Kristel.
La seconde : Avec un nom pareil, c’est une étrangère en plus !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une étrangère. Il n’y a pas de trainée par chez nous.
La seconde : A tous les coups, c’est une allemande. Il n’y a que les allemandes pour se foutre à poil comme ça en photo. On a bien fait d’avoir gagné la guerre. Ça ne m’aurait pas plu d’être à poil en photo.
La première : Ou de Paris. Ma sœur a visité Paris et m’a dit qu’il y avait beaucoup de femmes de mauvaise vie dans Paris.
La seconde : C’est pareil. C’est pas de chez nous !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est pas de chez nous.
Un homme passe derrière eux. Il les salue en baissant sa casquette et continue de marcher en les regardant.
La seconde : A tous les coups, il va revenir mater l’affiche.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est un cochon.
La première : C’est parce qu’il boit. Il ne va pas à l’église. Il va jouer au tiercé en face. Il va boire et va rentrer saoul comme une bourrique.
La seconde : Elle va être contente sa femme ! Et ce film parle de quoi ?
La première : Je ne sais pas.
La troisième : Ça ne peut être qu’un film grossier. Elle fait tellement vulgaire sur l’affiche. Ça c’est sûr, c’est un film grossier.
La seconde : C’est la faute à Giscard. Depuis qu’il est président, la France fout le camp. Ça ne se serait pas passé comme ça avec Pompidou ni avec le Général.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est la faute à Giscard. Je n’aurais pas dû voter pour lui. Et c’est aussi la faute aux beatniks, ces jeunes mal-habillés qui traversent le village avec leurs motos.
La première : Tu as voté Giscard ?
La troisième : Oui, mon mari m’a dit de voter pour lui.
La seconde observe encore l’affiche : Et elle est maquillée comme une poufiasse.
La troisième : Ça c’est sûr, il n’y a que les poufiasses qui se maquillent. Ca fait vraiment vulgaire !
La première : Et ses seins sont tout petits. Elle n’a pas d’enfants.
La seconde : Encore heureux ! A sa place, je n’en ferai pas. J’aurais trop honte qu’ils voient le film.
La troisième : Ça c’est sûr, j’aurais honte aussi.
La première et la seconde commençaient à partir lorsque la troisième demanda : On laisse l’affiche comme ça ?
La première : Oui, on le signalera au curé. Il saura faire quelque-chose contre ce genre de mauvais film.
La seconde : En tous cas, si mon Marcel va voir le film, il prendra un coup de sac à main sur la tête.
La troisième : Et je suis sûr qu’il n’y a pas Louis de Funès dans ce film. Ça c’est sûr, il n’y a pas Louis de Funès.
Elles s’entrèrent dans l’église sans voir les deux garçons qui s’arrêtèrent devant l’affiche. Ils rougirent en voyant l’actrice nue avant de se poser des questions sur la poitrine des filles.
Le mari de la seconde n’ira jamais voir ce film. En revanche, le curé ira le voir incognito. Je veux dire sans son costume de curé.
Alex@r60 – août 2023
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junosartsthetic · 2 years
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hi! may i request headcanons for polnareff, hol horse, caesar, mista and gyro reacting to their s/o flirting with them while they're both fighting against some random enemy please?
This is kind of all over the place but I was kind of struggling with this prompt, even though it's super cute and can definitely make for some fantastic headcanons. Anyway, sorry this took a while.
Also the French in Jean's part has summaries in English in parenthesis. Sorry, I can't help myself when I write about my French husband.
Jean Pierre Polnareff
Bless his heart he really does try to stay calm when you start your usual antics during a fight with a user you two encountered alone
But it is very hard to focus on the task at hand with your constant teasing
“Tu viens souvent ici, mon amour?” (come here often?)
“Mon ange, je t’aime, mais ce n’est pas le temps!” (i love you but now is not the time)
You laughed
“il est toujours temps de te faire rougir!” (there's always time to make you flustered)
Your current enemy didn’t seem to enjoy your little back and forth, planting a punch on your stomach that knocked the wind out of you and sent you flying 
Polnareff panicked, shouting your name as he countered the attacks of your foe
“Je vais bien!” you called, wiping the blood now dribbling from your lip (i'm good)
Did you have a slight issue of getting off track and constantly flirting with your husband when you should be paying attention to the battle at hand?
Yes
But you couldn’t help yourself
You loved him dearly and always wanted him to know that he was on your mind
Because what if one day
That’s the last thing he hears?
Hol Horse
Hol Horse is usually to focused in on the moment to do anything else but fight, but he can’t help himself during the end of one battle 
His hat had flown off of him, and you managed to snag it, placing it on your head for the rest of the fight
By the time everything was over, you were still wearing it, checking over your husband for any injuries
“Are you good, hon? You got hit pretty hard,” you asked worriedly
“Oh I’m fine, sweetheart. I can’t help but notice yer wearin’ my hat.”
“Oh yeah”
You took it off, placing it on his head
“I just didn’t want it to get destroyed during the battle, I didn’t have time to give it back to you”
“Oh I’m not mad, darlin’. I just hope you know what this means for tonight.”
You placed a peck on his cheek
“Sweetie, you’ve used the same tactic more times than I can count. I know what it means.”
Caesar Zeppeli 
When you and Ceasar start to whisper sweet nothings to each other, it’s not a problem for anybody else
Except Joseph
Because he just has to butt in to every conversation Caesar has
“Can you two get a room! I’m trying to save the world here while you’re off smacking each other’s asses!”
You roll your eyes
“That was one time—”
The feeling of a slap on your ass makes you hit Caesar in the arm
“Two times. But still, talk during battle is only a sign of weakness if you’re too dumb to do two things at once!”
“(Y/N)! Are you calling me dumb?”
“If the shoe fits, JoJo!”
“Caesar, butt out of this!”
Somehow, the only people you end up fighting at the end of the day are each other.
No surprise there
Guido Mista
Please do not ever flirt with Mista during a fight
He has a one track mind
I repeat
Do not
He will end up shooting himself
Somehow
All the time
Every time
Please save the dirty-talk for afterwards
God bless him
Gyro Zeppeli
(I have completely forgotten his character imma be completely honest so if this is ooc i apologize it’s been a while since i’ve read part 7)
There is really only one thing on his mind the entirety of the race
Winning
And while he would do anything for you
He will get pretty heated if something you say distracts him enough to put him at a disadvantage
He loves hearing your voice at night, and would do anything to keep you in his arms forever
But he’s also pretty hard-headed about his priorities at the moment
And during most of the day, that’s not you
While that can seem rude, he can only imagine how happy the two of you will be if he wins and gets everything that comes with it.
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camerarchives · 3 months
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TW.
Je regarde les marques rougir.
I can't.
Qu'est ce que je vais dire à mon infirmière ?
I can't.
« Ne regarde surtout pas les calories du Yop Lisa ok ? »
I can't.
« Tu te sens de monter sur la vilaine ? »
I can't.
« Alors qu'est ce que tu penses de ce poids ? »
I can't.
« Tu veux t'en sortir ? »
I can't.
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I just can't.
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theungracefulpasterie · 3 months
Note
Hey! How are you?
I saw that you were open for requests on BSD. Could you write something with Verlaine, or with Dazai? I was thinking of something like, the reader wants to throw a surprise party so they are keeping it a secret from Verlaine/Dazai. How would they react? Would they find out about the surprise, and if yes, would they pretend they didn't know, to let the reader happy? I don't know if it makes that much sense...
Also, another thing, I saw that you speak french so could I ask you to write it in french? It's just cuz I'll have to do a french exam, but sometimes I distract myself from the studies and read fanfics 😅. This way, if you can write it in french I can both read about BSD and train my french.
I'm sorry if it's stupid or doesn't make sense, you're free to ignore this if you'd like, but I would appreciate it if you wouldn't.
Have a nice day 🥰
A/N : Hi, thanks for the request ! Of course I can do it in French, it'll be helpful for both you and I tbh 😅 ! Sorry if I took time to publish as well, I am also held at gunpoint by the exams 😭. I'll write for Verlaine first if it doesn't bother you, then for Dazai in another post if you don't mind ! Anyways, hope you'll like it !
P.O.V : You throw a surprise party for him (Verlaine's part)(in French)
~Verlaine~
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Remettons les choses dans leur contexte : Tu n'étais pas un haut gradé dans la Mafia Portuaire, mais tu en es quand même un membre puissant et précieux. C'est pourquoi tu as été affecté par Mori lui-même à superviser la surveillance de ceux que la Mafia gardait captifs, emprisonnés. Et c'est là que tu le rencontres : Paul Verlaine, emprisonné aux tréfonds de la Mafia après un gros incident avec Chuuya que tu n'arrivais toujours pas à comprendre malgré le nombre de fois que ce dernier t'a raconté.
Mais étrangement, quelque chose t'attirait sans cesse vers lui. Plus tu l'observais, plus tu te rendais compte qu'il était vraiment déprimé, comme si tout cet incident l'avait privé de toute joie de vivre. Il te faisait de la peine. À force de l'observer, il finit par te remarquer et parla.
"C'est mal élevé de fixer les gens comme ça", dit-il d'un air sec mais quelque peu humoristique. Son commentaire te surprena et tu te mis à rougir de honte.
"Désolé !! C'est pas ça mais... vous sembliez triste c'est tout...", tu répondis en essayant de fuir son regard. Il te regarda, confus.
"Je vous imaginais beaucoup moins sensible que ça pour quelqu'un qui a l'air si haut placé..."
"Je suis peut-être privilégié ici mais ça ne veut pas dire que je suis un monstre non plus.", tu lui répondis sérieusement. Tu ne sais pas pourquoi, mais t'avais l'impression que ta sincérité l'avait touché. Bon, c'est sûrement une fausse impression...
Après quelques minutes de silence il disa d'une voix douce.
"Ma tristesse se voyait tant que ça ?", tu hochas la tête et t'approchas de sa cellule pour lui faire face.
"Je... je ne peux pas faire partir la tristesse. Mais si ça vous soulage, même si c'est un peu bizarre que ce soit à moi que vous vous confiez, faites-le.", dis-tu comme si vous étiez de vieux amis. À cause de ça, Paul ne pouvait s'empêcher de penser que tu lui rappelais Rimbaud. C'est peut-être pour ça que, étonnement, il se confie à toi.
Et plus les jours, les semaines et les lois passèrent, il te parlait de ce qui l'accablait et le rendait triste. Et ces petites séances de psy se transformaient peu à peu en des discussions normales où vous parliez de tout et de rien, comme des amis. Ça vous rapprochait grandement. Vous aviez commencé à vous tutoyer. Mais vous sentiez tout les deux qu'il y avait une tension en plus. Étonnement, c'est Paul qui a fait le premier pas. Et c'est comme ça que, malgré les barreaux, vous aviez commencé à vous donner des surnoms affectifs et à vous tenir la main et carresser le visage. Vous rêviez que ces barreaux n'existent plus et d'enfin pouvoir vous sentir, l'un contre l'autre complètement.
Pour être honnête, votre rapprochement n'était pas très discret et Chuuya et Mori ont finit par être au courant. Tu avais clairement peur pour ta vie, mais à ta grande surprise, Chuuya te disa rien et Mori accepta même votre relation, à condition que tes sentiments ne contrôlent pas la qualité de ton travail. Et c'est là que tu proposas l'idée d'une fête surprise pour Paul, tellement tu étais content. Tu te rendas tout de suite compte que tu étais peut-être aller trop loin avec cette demande mais encore une fois, Mori accepta de libérer Paul de sa cellule !
Tu ne tenais plus en place ! Tu te mis directement à faire les préparatifs pour que la fête soit la meilleure qui soit, c'est que mérite ton bien-aimé après tout. Malheureusement, le temps que tu prenais pour préparer la fête empiétait sur le rendez-vous quotidien que tu avais avec Paul et il se sentait malheureux.
Tu avais enfin fini. Tu te rendas vite à sa cellule et voyait qu'il était pas aussi heureux de te voir et tu savais pourquoi.
"Chéri, je suis désolé vraiment...", il te faisait la sourde oreille.
"Mais je te jure que ça valait le coup !", tu pris tes clés et ouvrit sa cellule. Le retentissement des clés le fit rapidement relever sa tête, tout confus. Tu lui tendis la main.
"Viens, j'ai quelque chose pour toi !", dis-tu avec un énorme sourire et un peu de rougeur sur tes joues.
Avec des yeux écarquillés de confusion, il hésita quelques secondes avant de prendre ta main. Ça faisait bizarre de vous voir enfin sans quelque chose entre vous, vous aviez envie de vous enlacer pendant des heures, mais tu étais trop pressé de lui montrer sa surprise que tu te mis à courir toujours avec ta main serrée contre la sienne, ce qui lui prit de court car il allait t'entourer de ses bras.
"Est-ce que... est-ce qu'on a le droit de filer en douce comme ça ??", dit-il un peu inquiet de se faire prendre en flagrant délit.
"Oh chut ! Tais-toi et suis-moi ! Tu sais que je le ferais pas si je n'en avais pas le droit !", il réfléchit et hocha la tête en accord avec ce que tu dis. Après ce qui semblaient être des minutes interminables, vous arriviez enfin à une porte.
"Prêt ?!", tu lui demandas avec empressement.
"Je ne sais pas... je pense que oui, peu importe ce que c'est..", dit-il en retour. Tu ouvris donc la porte et tout le monde cria "Surprise !!". Il a eu peur au début et allait utiliser son pouvoir quand il vit une banderole où il était écrit "En l'honneur de Paul" avec un cœur un peu mal fait, malgré tout tes efforts. Il arrivait pas à en croire ses yeux, il avait du mal à former ses mots et te regarda et se perdit dans tes yeux.
"Alors ?", tu demandas, un peu effrayé de sa réponse.
"C'est... c'est vraiment pour moi ?", dit-il la voix tremblante, sentant des larmes se former dans ses yeux contre son gré.
Tu pris son visage entre tes mains et l'embrassa tendrement, pour la première fois, sur ses lèvres. Elles étaient si douces. Ce qui se passait en ce moment semblait irréel pour le manipulateur de gravité. Tu séparas tes lèvres des siennes et le regarda droit dans les yeux.
"Eh ouais... ce n'est pas un rêve mon amour."
Il t'enlaça très fort et te disa :
"Je t'aime.."
"Moi aussi, Paul. Je t'aime.."
Et c'est à ce moment que cette fête surprise symbolisa le départ d'une nouvelle vie pour Verlaine.
A/N : Finallyyy the end 😭. For a first fic, I am pretty happy with how it turned out even though I felt like I quite rushed things towards the end. Hope it is not too long and the buildup until the party isn't too slow for you too. And if I also hope this story will make you understand how French works a little bit more ! And for the others reading this, don't hesitate to translate it :). Next will be the same prompt but with Dazai !
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les-cris-des-fendues · 2 months
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Ph. La bouquiniste
Une sélection d'écrits de femmes de lettres par Diglee, dessinatrice de grand talent. Il m'a été offert par mes parents au Noël dernier. Il n'a plus quitté mon chevet. C'est un véritable trésor. Vous l'offrir absolument si vous aimez les Grandes Dames qui votre peau, attisent...
*
(EXtraits)
"J'ai écrit de la poésie érotique assez tôt dans ma vie. Comme une déclaration de guerre."
Joumana Haddad "Le retour de Lilith"
*
Tellement pudique que je me réfugie dans des paroles obscènes Insolente au point de rougir en criant mon feu Chasseuse, je lance mes mots comme des flèches Et mes flèches me reviennent chargées de proies.
Joumana Haddad
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Quelques trucs bien. Décembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Commencer à formuler des vœux 
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement 
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante 
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir 
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance 
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie 
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude 
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux 
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière 
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase 
Plus ou moins, tout m’est égal 
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme 
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là 
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ? 
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement 
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste 
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre 
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser 
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop 
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël 
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison 
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer 
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour 
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur 
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches 
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion 
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine ! 
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique 
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens 
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre 
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
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peutetreplusblog · 1 year
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Au premier passage, mon œil avait été dévié par un modèle ancien, une Berlinette rouge dont le moteur chantait une note de musique particulièrement agréable à mon oreille.
C’est au retour que je l’ai aperçue, seule, assise à la terrasse de ce café, entre ombre et soleil. Un café devant elle sur la petite table ronde, l’œil rivé sur son téléphone, les doigts tapotant sur les touches. Consultait-elle des informations? Regardait-elle les dernières créations de mode? Ou tout simplement écrivait-elle un message à un ami, un mari, un amant...?
Sa robe blanche offrait ses frêles épaules aux regards des passants, juste barrées par deux fines bretelles laissant apparaître un joli dessous blanc. Un peu de vent voletait sous les volants de sa robe laissant parfois apparaître un peu plus que le genou. De belles sandales à lanière autour de sa cheville complétaient ce joli tableau. Parfois, elle retirait ses lunettes de soleil pour porter la branche à sa bouche, laissant apparaître des yeux d’une beauté extrême. Ses lêvres d’un rouge éclatant dessinaient parfaitement les contours de sa bouche.
Je suis resté un instant à la contempler lorsqu’elle m’a jeté un regard, accompagné d’un sourire absolument renversant. Je suis resté comme tétanisé, une suée m’envahissant à m’en faire rougir les joues.
Plutôt que de lui rendre son sourire, paniqué, je me suis retourné et reparti vers la Berlinette qui, cette fois-ci, n’avait plus le moteur en marche.
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sous-le-saule · 1 year
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Oui mon capitaine
(Le musicien fantôme, épisode 2 – parce que pourquoi pas…)
Remis de ma surprise, je me dirige vers la table de l’homme au tricorne et m’apprête à m’asseoir sur un tabouret grossier quand il m’arrête d’un geste. Jetant un regard suspicieux aux buveurs, il m’entraine vers une espèce d’alcôve dans un coin de la salle.
Le tenancier nous apporte à chacun un demi d’une bière à la couleur douteuse, que je me garde bien de toucher.
- Je suis Giacomo Tremonti, dis-je en tendant la main au marin par-dessus la table. Vous avez sans doute entendu parler de moi.
- Non, fait-il platement, soulevant sa chope et ne faisant aucun cas de ma main tendue, que je finis par ramener dans mon giron.
Je ne sais pas vraiment si j’espérais que ma réputation de compositeur m’ait précédé dans un tel endroit, ce qui ne m’empêche pas de me sentir vaguement froissé.
De la manche, il s’essuie les lèvres avant de croiser les bras sur la table.
- Alors, de quelle somme parle-t-on ?
Droit au but, donc.
- Eh bien… je me disais que 200 pièces d’or –
- Nouvelles ou anciennes ?
- Anciennes, naturellement.
- 300.
Je m’attendais à du marchandage, aussi je lui propose la somme que je me suis réellement fixée.
- 250 ?
Il a un fin sourire de renard, comme s’il avait su dès le départ que je monterais sans discuter jusque là.
- Tope là.
Cette fois, il me tend la main, et serre la mienne avec force, souriant à ma grimace de douleur.
Tout ce que je fais ou dis semble amuser cet homme, et je ne me suis jamais de ma vie autant senti en dehors de mon élément.
- Ne devrait-on pas signer un contrat ou à tout le moins établir quelque document pour-
- C’est ce qu’on vient de faire.
- Oh. Euh. Bien.
- J’aurai besoin des pièces au plus tôt. Pour l’avitaillement. Ce genre de choses. Demain, ce serait bien. On peut embarquer dans trois jours.
- Ah. Certes. Je vous ferai apporter cela. Où dois-je -
- Non !
Cet homme a la fâcheuse habitude de me couper la parole et cela commence à m’agacer. Il prend un air dramatique, ferme les yeux et se pince l’arête du nez.
- Non, non, non. Bon sang ! Je voulais vérifier si vous étiez aussi naïf que vous en avez l’air. Si vous payez l’entièreté de la somme avant l’embarquement, j’appareille dans l’heure et vous ne reverrez jamais votre or. Réfléchissez un peu.
Malgré toute ma volonté de mener cette négociation à bien, je ne peux m’empêcher de prendre un air hautain et vexé.
- Excusez-moi d’ignorer les usages en vigueur. Je pensais que l’honneur des pi- je veux dire, des marins, garantissait –
Cela le fait hurler de rire. C'en est assez. Jamais je n’ai été traité de la sorte. Cette fois, c’est décidé, je m’en vais. Il y a bien un autre repaire de ce genre où je trouverai un équipage.
Il fait un geste conciliant, qui doit sans doute avoir valeur à ses yeux d’excuses en bonne et due forme.
- Restez, dit-il en s’essuyant les yeux. Vous trouverez personne d’autre qui s’engagera dans une folie pareille.
Je me rassieds à contre-cœur.
- Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi vous, vous acceptez. Et ne me dites pas que c’est pour l’argent, vous venez de me mettre en garde alors que vous auriez pu me dépouiller.
Il plonge ses yeux sombres dans les miens, soudain sérieux.
- Je m’ennuie, et vous êtes distrayant.
Je ne suis pas bien certain que ce soit un compliment.
- Soit. Que disons-nous, alors ? La moitié de la somme avant l’embarquement, et le reste à la réussite de la mission ?
- Normalement, on précise aussi que je dois vous ramener au port d’embarquement. Vivant.
Je m’étrangle.
- Je pensais que ça allait de soi !
- Tsk.
- L’affaire est donc conclue, monsieur… ?
- Capitaine. Esteban Álvarez. Quoi ? Vous vous attendiez à « Barbe Noire le sanguinaire » ?
Je me sens rougir.
- De toute façon, reprend-il, à bord vous ferez comme tout le monde et vous me donnerez du « capitaine ». C’est clair ?
C’est à ce moment-là que le plaisant concept de ce voyage prend une forme concrète dans mon esprit. Je vais passer plusieurs semaines en mer avec cet individu pour le moins désarçonnant et ses hommes qui me jetteront peut-être par-dessus bord à la première occasion. Je déglutis. Dans quoi me suis-je embarqué ? Je pourrais encore changer d’avis. Mais je veux percer le mystère du Musicien fantôme. Et, pour une fois, vivre une aventure. Car je me l’avoue enfin : moi aussi, je m’ennuie.
Hochant la tête, je fais de mon mieux pour insuffler de l’assurance à ma voix.
- Oui, mon capitaine.
Le temps d’un battement de paupières, il a l’air troublé. Puis il détourne le regard en grommelant :
- « Oui, capitaine » suffira. Vous n’êtes pas sous mes ordres.
Ha ! Pour une fois, c’est moi qui l’ai déstabilisé. Je prends note de sa réaction avec un certain intérêt. Ce voyage s’annonce, en effet, distrayant.
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witchyphoebe · 9 months
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Happy Yule!
My first Yule as a witch! I wish everyone to get rid of negativity and bad things to fill your life with hapiness and joy as Nature fills herself with life and longer day light from now on <3 I'm not sure what ritual to accomplish for this longest night of the year, so I'm just gonna think about what I want next, and what I want to get rid of. And maybe light a nice candle :)
I have a friend who celebrates the winter solstice, and read a story for his children: It's in french so I'm gonna translate it in english, sorry if it's not like the one you would know in original english ^_^' (The french version is below the english version for those who can understand)
The Sun Bird
Once upon a time, there was a bird whose feathers were made of light.
When it crossed the sky, its spread wings lightened the world, and all the trees from Earth felt the soft warmth of its breath on their leaf.
It was named Sun bird.
Every day, the Sun bird circled the globe.
Trees were waiting for its arrival every morning, at dawn, and saluted its departure, every evening, at twilight.
When Sun was on the other side of the Earth, night fell and trees slept.
The Sun bird only lived to offer everyone its light and its warmth, but through the years, it got more and more tired.
"If I land just for one moment, said Sun, what would the trees become on the other side of Earth, too long deprives of my light?"
So, it kept going.
The more its trip kept going, the more distant its warmth became, and the days kept getting shorter and shorter.
Trees saw their leaf turning yellow, red, then fall, and snow covered their branches.
Soon, the nights seemed endless, and everyone were asking themselves: will Sun rise tomorrow?
One day of December, exhausted, the Sun bird landed on top of the only tree on Earth whose branches weren't bare: the fir.
As its last feather lights were fading out, Sun saw for the first time sky turning black and covered with many little sparkling lights.
And the tree said to the bird:
"Today, you are weak, because I fed from your sparkle during the whole year.
Today, rest under my branches, sheltered from the wind and cold, and tomorrow, the lights from your feather will come back, and with it the soft warmth of your breath, and trees will find their leafs back."
That's why, every year, when nights get longer and longer, kids decorate a tir tree hanging sparkling ornaments on their branches, and place at its foot, star-shaped biscuits
and a small glass of Calvados.
They know that during the longest, the coldest and the darkest night, Sun is resting.
And if we are lucky, maybe the bird will land on top of our tree, and maybe we will find, at the foot of our tree, in the morning, some light feather, and gifts left by the bird.
For it is from the embrace of bird and tree that the seasons are born, and that night comes after day, and day comes after night.
************** French Version below *****************
L'oiseau Soleil
Il était une fois un oiseau dont les plumes étaient faites de lumière.
Lorsqu’il traversait le ciel, ses ailes déployées illuminaient le monde, et tous les arbres de la Terre sentaient sur leurs feuilles la douce chaleur de son souffle.
On appelait cet oiseau Soleil.
Chaque jour, 
L’Oiseau Soleil faisait 
le tour de la Terre.
Les arbres guettaient son arrivée le matin, à l’aurore, et saluaient son départ, le soir, au crépuscule.
Lorsque Soleil était de l’autre côté de la Terre, la nuit tombait et les arbres dormaient.
L’Oiseau Soleil ne vivait que pour offrir à tous et toutes sa lumière et sa chaleur, mais à mesure que l’année avançait, la fatigue le gagnait. « Si je me pose, ne serait-ce qu’un instant, disait Soleil, que deviendront les arbres de l’autre côté de la Terre, privé trop longtemps de ma lumière ? » Alors, il continuait.
Plus son voyage durait, plus sa chaleur se faisait lointaine, plus sa lumière se faisait pâle, et plus les jours se faisaient courts.
Les arbres voyaient leur feuilles jaunir, rougir, puis tomber, et la neige recouvrir leurs branches.
Bientôt, les nuits semblèrent interminables et chacun se demandait : Soleil se lèvera-t-il demain ?
Un jour de décembre, épuisé, L’Oiseau Soleil se posa au sommet du seul arbre sur Terre dont les branches n’étaient pas nues : le sapin.
Alors que s’éteignaient ses dernières plumes de lumière, Soleil vit pour la première fois le ciel devenir noir et se couvrir d’une myriade de petits points scintillants.
Et le sapin dit à l’oiseau :
« Aujourd’hui, tu es faible mais je suis fort, car toute l’année je me suis nourri de ton éclat.
Aujourd’hui, repose-toi sous mes branches, à l’abri du vent et du froid, et demain la lumière de tes plumes reviendra, et avec elle la douce chaleur de ton souffle, et les arbres retrouveront leurs feuilles. »
Voilà pourquoi, chaque année, lorsque les nuits s’allongent, les enfants décorent un sapin en accrochant de brillantes décorations à ses branches, et posent à son pied des biscuits en forme d’étoiles
et un petit verre de Calvados.
Ils savent qu’au cours de la nuit la plus longue, la plus froide et la plus noire, Soleil cherche le repos.
Et si nous sommes chanceux, peut-être l’oiseau se posera-t-il au sommet de notre arbre, et peut-être trouverons nous au matin, au pied de notre sapin, quelques plumes de lumière, et des cadeaux laissés par Soleil. Car c’est l’étreinte de l’oiseau et de l’arbre que naissent les saisons, et que la nuit succède au jour, et le jour à la nuit.
How about you witch community ? What do you do for Yule ?
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thebusylilbee · 1 year
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Rule : when you get this, list 5 songs you’ve been listening to & tag 5-10 people.
I was tagged by the lovely @swaggypsyduck thank you !
1. Daffodil - Florence and the machine : the mood switch between the intro and the rest of the song, the dark atmosphere... *italian chef kiss*
2. Eat your young - Hozier : I am not immune to a good Hozier song
3. Le dernier jour du disco - Juliette Armanet : sorry TMI but the way she sings "Le dernier jour du disco je veux le passer sur ta peau à rougir comme un coquelicot" ("the last day of disco I want to spend it on your skin blushing like a poppy" basically, but better in french since there's a triple rhyme) with that wonderful tune behind is THEE most erotic shit to me, it makes me want to f*ck
4. Never let me down again - Depeche Mode : ive already mentionned this one in previous tag games but what can I say, i'm still riding that The Last of Us high
5. C'est comme ça - Les Rita Mitsouko : never gets old
I'm tagging : @amarocit @girlpetrarca @eyeldritch @wolfsnape @michaelmandog @priestin @motsimages @grizoulvr
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sofya-fanfics · 10 months
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Nuits blanches
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Fandom : Boruto : Naruto Next Generations
Relationship : Boruto x Sarada
Voici ma participation pour le Comfortember 2023 pour le prompt : Appels téléphoniques nocturne.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Encore une nouvelle nuit sans dormir. Boruto avait perdu le compte. Il ne voulait pas, il ne devait pas dormir. Si jamais il s’endormait, Momoshiki prendrait le contrôle de son corps et il pourrait faire du mal à toutes les personnes qu’il aimait. Sa famille, ses amis, les habitant du village.
Disclaimer : Naruto et Boruto : Naruto Next Generations appartiennent à Masashi Kishimoto, Ukyo Kodachi et Mikio Ikemoto.
@comfortember
AO3 / FF.NET
Encore une nouvelle nuit sans dormir. Boruto avait perdu le compte. Il ne voulait pas, il ne devait pas dormir. Si jamais il s’endormait, Momoshiki prendrait le contrôle de son corps et il pourrait faire du mal à toutes les personnes qu’il aimait. Sa famille, ses amis, les habitant du village.
Par miracle, il avait réussi à reprendre le contrôle à chaque fois. Mais si jamais il n’y arrivait pas, tout serait terminé et il tuerait tout le monde. Il ne devait pas s’endormir, se répétait-il encore et encore. Il devait rester éveillé tant qu’il n’avait pas trouvé la solution pour empêcher Momoshiki de réapparaître. Alors il essayait de trouver des parades pour ne pas dormir. Il regardait des films, des séries ou jouait à des jeux vidéos toute la nuit.
Son téléphone se mit à sonner et Boruto sourit. Il n’avait pas besoin de regarder qui l’appelait, il savait qu’il s’agissait de Sarada. Depuis qu’elle savait qu’il ne dormait pas, elle l’appelait chaque soir. Pour lui parler, pour le rassurer, pour lui dire qu’il n’était pas seul et qu’il pouvait compter sur ses amis si Momoshiki réapparaissait. Ou elle l’appelait tout simplement pour lui raconter quelque chose d’amusant qui lui était arrivé.
Leur conversations qui au départ étaient courtes, pouvait désormais durer plusieurs heures. En général, jusqu’à ce que Sarada s’endorme au bout du fil. Chaque soir Boruto attendait son appel avec impatience. Elle était comme une lumière au bout de ces longues heures sans sommeil.
« Salut, dit-il en décrochant.
-Salut. »
Plusieurs fois il lui avait dit qu’elle n’était pas obligée de l’appeler, qu’elle pouvait seulement lui envoyer des messages. Mais à chaque fois elle refusait.
« Je suis plus rassurée quand j’entends ta voix. »
Quand elle lui avait dit cela, Boruto s’était mis à rougir. Il rougissait encore en repensant à cette phrase. Sarada lui raconta comment c’était déroulé sa journée et son entraînement avec Sasuke qui lui avait enseigné un nouveau jutsu et à se servir de son Sharingan. Boruto ne put s’empêcher de sourire. Il pouvait entendre à quel point elle avait apprécié cette journée et même si elle n’en parlait pas, il savait qu’elle était heureuse de passer du temps avec son père. Il pouvait également entendre qu’elle était en train de lancer des kunaïs sur la cible qui était accrochée au mur de sa chambre. Ils parlèrent une heure, deux heures. Boruto entendait la fatigue dans la voix de Sarada.
« Tu devrais aller dormir, dit-il.
-Ça va. Je ne suis pas fatiguée. »
Elle se mit à bailler et Boruto rit légèrement. Il savait que cela ne servait à rien d’insister. Sarada était trop têtue pour raccrocher. Ils continuèrent de parler encore un peu, jusqu’à ce qu’elle finisse par s’endormir au téléphone. Le son de son souffle régulier avait quelque chose de réconfortant. Il avait l’impression de ne pas être seul. Grâce à Sarada, ses nuits passées sans dormir étaient moins difficiles. Pendant le temps où il était au téléphone avec elle, il arrivait à oublier Momoshiki.
Il se dit qu’il allait attendre un peu avant de raccrocher. Il voulait profiter du calme qu’il ressentait après avoir parlé à Sarada.
Fin
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alexar60 · 2 years
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Des mots...
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Un diner rapide et de mauvaise qualité,
Avant de m’affaler lourdement devant la télé.
Soudain, mon téléphone vibra ! Un SMS:
« Chez toi dans cinq minutes » écrivit ma maitresse.
A peine entrée qu’on se couvrait de baisers.
Puis, je l’emmenais par la main sur le lit.
Et nous commencions par nous enlacer.
Je l’admirais en silence lorsqu’elle me dit :
« Dis-moi les mots, qui apportent à mon cœur le sourire.
Dis-moi les mots, si honteux que je voudrais rougir.
Dis-moi les mots, qui m’emportent dans leur soupir.
Dis-moi les mots, si puissants que je me sentirais frémir. »
Alors, j’ai laissé mes doigts écrire sur sa peau,
Les mots que prononçaient mes lèvres doucement.
Je voyais dans son regard qu’elle les trouvait beaux,
Pendant que son chemisier glissait lentement.
Elle laissait faire, appréciant chacune de mes phrases.
Je faisais mouche, je sentais tout son corps frissonner.
Aussitôt, elle m’invita à profiter, partager l’extase,
Et éteindre le feu que mes mots provoquaient.
Alex@r60 – février 2023
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